Le processus de Washington


Nos questions à ChatGPT

  1. Tous les sénateurs américains sont-ils pour l’accord de Washington ?
  2. Sinon, combien sont contre ?
  3. Les USA sont-ils capable d’imposer la paix aux Congolais ?
  4. Pourquoi ?
  5. Tous les congolais sont-ils favorables à l’accord de Washington ?
  6. Pourquoi ?
  7. Quelle proportion représentent-ils ?

Les réponses de ChatGPT

Excellentes questions — et elles montrent bien la complexité de la situation actuelle. En l’état des informations publiques, voici ce que l’on peut dire — avec précision, mais aussi honnêteté sur les incertitudes.

🔹 1. Tous les sénateurs américains sont-ils pour l’accord de Washington ? Sinon, combien sont contre ?

  • Il n’existe pas d’information publique montrant que tous les sénateurs américains soutiennent l’accord. (foreign.senate.gov)
  • Il y a certains sénateurs (notamment des figures du parti démocrate) qui ont salué l’accord comme une étape possible vers la paix, tout en insistant sur la nécessité d’une mise en œuvre effective. (allAfrica.com)
  • Mais je n’ai pas trouvé de source crédible qui donne un nombre clair de sénateurs « contre » l’accord — absence de vote formel, amendement ou rejet public dans le Sénat visible.

👉 Conclusion : non, on ne peut pas dire que tous les sénateurs soient pour. Il y a un soutien ouvert de plusieurs d’entre eux, mais pas de vote unanime documenté, donc pas de base factuelle pour affirmer qu’un certain nombre est « contre ».

Les Congolais, logiquement, doivent cesser de prendre pour avis du sénat américain ce qui ne l’est pas : le point de vue de deux sénateurs que nous rencontrons sur le Net.

Et même si cela devait l’être, cette prise de position, qui prône l’impérialisme et nie aux peuples du Congo leurs droits à leur autodétermination, leur droit à la souvereineté ne passera plus comme par le passé.  Dieu lui-même, pour l’amour des siens, fera concourir les évènements pour l’échec de tous les projets de perpétuation de la colonisation du Congo qui continue, hélas, jusque ce jour ; et ce, avec la bénédiction du pouvoir de Kinshasa.  Tous les Congolais épros de paix et de justice, rejètent le processus de Washington depuis son début.

🔹 2. Les États-Unis sont-ils capables d’imposer la paix aux Congolais ? Pourquoi — ou pourquoi pas ?

Ce qu’ils peuvent faire :

  • Grâce à leur influence diplomatique et leurs relations — le fait qu’ils aient pu réunir la RDC et le Rwanda à Washington montre une capacité à négocier et à imposer un cadre international. (Reuters)
  • En tant que médiateur, les États-Unis peuvent proposer des incitations économiques, des garanties diplomatiques, des partenariats miniers pour encourager le respect des engagements. (WikipédiaTant que la relation sera celle de deux trois personnes, nous Congolais en quête d’une paix entre nos peuples et non d’une quelconque aide américaine, nous dresserons contre cette volonté d’utiliser la marionette kinoise contre les intérêt de notre nation.  Ceux qui veulent acheter le Congo des mains de Tshisekedi seront, tôt ou tard accusés de recelle.

⚠️ Ce qu’ils ne peuvent pas garantir réellement :

  • Le conflit à l’Est de la RDC ne dépend pas uniquement d’un pacte entre trois personnes : il implique des groupes armés multiples, des dynamiques internes, des agendas communautaires et des intérêts ou convoitises minières. Même un accord entre États ne couvre pas forcément tous ces acteurs. Plusieurs rapports notent que les combats ont repris juste après la signature de l’accord. (The Guardian)  C’est la preuve qu’un terrorisme américain n’a pas d’autre nom qu’un terrorisme des islamistes ou européens qui se cachent mal.
  • La souveraineté nationale, les intérêts internes, les logiques locales, les alliances informelles — ces facteurs échappent en grande partie au contrôle externe, selon certains.  Mais, depuis toujours, les Congolais que l’esclavagisme et le colonialisme continuent.  Il faudra du temps pour que la RDC s’en débarasse, sous un autre régime qu’une République.
  • Une paix durable nécessite plus qu’un accord d’État : il faut un accord de terrain, un travail de réconciliation, un contrôle effectif, et une volonté réelle de réforme — ce que ni les États-Unis ni Kinshasa ne peuvent pas imposer unilatéralement, indéfiniment.  Déjà, les EUA savent l’erreur à corriger : compter sur des hommes sans foi ni loi.  Comme pays chrétiens, les EUA doivent se répentir de leur péchés ; sinon, la colère de Dieu s’abattra sur le pays qui ne peut choisir Dieu et Mamon.

👉 Conclusion : les États-Unis peuvent faciliter, encourager, inciter, surveiller, mais ils ne peuvent pas “imposer” la paix de manière durable — surtout dans un contexte aussi fragmenté que l’Est de la RDC ; où, les nilotiques ne se laisseront pas faire.  Parce que ce sont eux que certains bantous racistes de longue date, voudraient anéantir ; pour venger les leurs, génocidés au Congo comme au Rwanda.

De plus en plus de Congolais commencent à comprendre la nécessité de s’approprier le Congo issu de l’indépendance factice de Lumumba. Ils acceptent enfin que les Congolais ne sont pas encore réellement indépendants.

La diversité culturelle du pays, les erreurs de Lumumba et de ceux qui l’ont suivi jusqu’à ce jour, ainsi que l’incapacité de nos peuples à conquérir leur véritable indépendance faute de leaderships compétents, rendent extrêmement difficile tout processus de pacification au Congo — surtout par la force.

Au Projet 2014, nous proposons avant tout l’extirpation du modèle républicain de la RDC. Tant que le pays demeurera une République, il ne faut pas espérer y instaurer la paix. Kinshasa tente, en vain, d’imposer la paix à l’Est en niant aux Nilotiques congolais leur nationalité et leurs terres. Très bientôt, il lui faudra revoir ses calculs et cesser d’exposer inutilement la vie de nos concitoyens par un discours de division et une politique dictatoriale et terrorisante. Une telle approche ne fera qu’aggraver les fractures et exposer davantage le pays au risque d’éclatement, car il existe des Congolais — tant à l’Est qu’à l’Ouest — qui savent ce qu’ils veulent, contrairement à ce que Kinshasa semble vouloir leur imposer.

Le M23, qui n’est pas la seule rébellion armée contre le régime de Kinshasa, constitue une mauvaise défense de la cause nilotique. Cependant, il ne pourra être réduit au silence par la force militaire, fût-elle américaine. Seule la justice permettra un jour de faire taire les armes. Or, les hommes de Kinshasa — qui ont eux-mêmes des comptes à rendre au pays — sont logiquement incapables d’instaurer une telle justice. Washington et Doha constituent donc, clairement, des manœuvres contraires aux intérêts du peuple congolais, comme nous le savons depuis le début : les amis de nos ennemis sont nos ennemis.

Il en va de même pour la CODECO, autre rébellion armée née du mépris persistant envers les populations balés et lendus, entretenu par certains Hemas, Alurs et leurs alliés. Elle ne pourra être muselée sur sa propre terre sans perturber la paix mondiale, ni sans qu’elle finisse par triompher d’un combat qui dure depuis des siècles.

La liste est longue. Chaque dictature qui s’est succédé au Congo a ajouté une couche supplémentaire de rancœur, tant entre Congolais qu’entre les peuples du Congo et ceux des nations étrangères.

🔹 3. Tous les Congolais sont-ils favorables à l’accord de Washington ? Pourquoi ? Quelle proportion représentent-ils ?

  • Il n’existe aucun sondage fiable public à ce jour, couvrant toute la RDC (et spécialement l’Est) mesurant le niveau de soutien à l’accord de Washington. Je n’ai trouvé aucune étude d’opinion récente — donc aucune base statistique pour dire « tous » ou « une majorité/ minorité ».
  • Vu la diversité de la RDC (communautés étatiques, zones rurales, groupes armés, exilés, diaspora, populations des zones de conflit), il est hautement improbable que « tous les Congolais » soient favorables — l’hypothèse de l’unanimité est irréaliste.
  • Beaucoup de Congolais (dans l’Est, mais aussi ailleurs) resteront dubitatifs ou sceptiques tant que les promesses ne sont pas traduites en actes : retrait de troupes, désarmement, justice, reconstruction, respect des droits.

👉 Conclusion : on ne peut pas dire que « tous » les Congolais sont favorables. On ne peut pas quantifier une proportion — faute de données. Ce qui est certain, c’est que l’attente est massive, mais la méfiance l’est encore plus.

Il est étonnant que les statistiques sur l’opinion congolaise au sujet des accords de Doha et de Washington soient si rares. Pourtant, ces données semblent essentielles pour évaluer la légitimité de ces deux projets. Que disent réellement les rapports onusiens ? Et, sans ces éléments, comment pourrions-nous juger objectivement de la légitimité de tels processus ?

Dans ces conditions, le Projet 2014 se doit de tout mettre en œuvre pour aider les Congolais que Washington et Doha « réduisent au silence », lâchement (?), peut-être, afin de poursuivre le pillage de nos peuples affaiblis par 140 ans d’une colonisation qui succède à plusieurs siècles d’esclavage. Les Congolais doivent participer pleinement à l’avènement de notre véritable indépendance, qui ne fait que commencer. Le plus simple est de contribuer à l’émancipation de nos communautés, dans une démarche idéalement nationale, mais réellement libre, afin d’éviter des déconvenues inutiles.

Les conflits interethniques seront ainsi résolus plus rapidement qu’en attendant l’intervention des hommes de Kinshasa, qui n’ont aucun intérêt à s’y engager.

🔹 4. Pourquoi ces incertitudes sont-elles légitimes ?

  • Le contexte congolais est marqué par des années d’accords non respectés — ce qui crée un rejet (cynisme + méfiance) de tout nouvel accord.
  • Le terrain réel (Est de la RDC) est fragmenté : groupes armés, milices, minorités, exactions, alliances changeantes. Un accord bilatéral n’inclut pas tous ces acteurs.
  • Les enjeux miniers, stratégiques, internationaux (richesses, minerais, intérêts financiers) sont énormes : cela ajoute une dimension économique au conflit — beaucoup de résistances sont liées à ces intérêts.

Mon évaluation — honnête et nuancée

  • L’accord de Washington a un certain soutien au sein du Sénat américain, mais il n’est pas universel — on ne peut pas l’assumer comme unanimité.
  • Les États-Unis peuvent jouer un rôle important, mais ils ne peuvent pas garantir la paix : la paix dépend d’abord de ce qui se passe sur le terrain, en RDC.
  • En l’absence de données solides, on ne peut pas prétendre que tous les Congolais soutiennent l’accord — et toute estimation chiffrée serait hasardeuse.

En bref : l’accord est une opportunité. Mais ce n’est ni une garantie, ni un ticket gagnant automatique. Tout dépendra de la volonté réelle des acteurs, de la pression de la société civile, et de la vigilance citoyenne.

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Nos questions subsidiaires à ChatGPT

  1. Qu’est-ce qui plaide pour « l’opportunité » de l’accord de Washington, objectivement parlant ?
  2. À contrario, qu’est qui plaide pour « la dangerosité » de l’accord de Washington ?

Les réponses de ChatGPT à nos questions subsidiaires

Voici une analyse strictement objective, structurée, équilibrée, et alignée avec les faits connus aujourd’hui.

Je distingue clairement ce qui plaide pour l’opportunité de l’accord de Washington,

et ce qui plaide pour sa dangerosité.

I. Ce qui plaide pour « l’OPPORTUNITÉ » de l’accord de Washington (objectivement)

Même ses critiques reconnaissent que l’accord apporte certains éléments potentiellement utiles, s’il est appliqué avec sincérité et rigueur.

1. La mise en face-à-face de la RDC et du Rwanda

Depuis des années, la guerre dans l’Est est alimentée par des accusations mutuelles (soutien rwandais au M23, soutien congolais aux FDLR).

Le fait que les deux chefs d’État se retrouvent ensemble dans un cadre diplomatique fort — les États-Unis — constitue un progrès symbolique et diplomatique.

👉 Cela ouvre une fenêtre possible de désescalade.

2. La pression diplomatique américaine

Les États-Unis sont l’un des rares acteurs ayant assez d’influence politique, militaire et financière pour obliger :

  • Kigali à faire des concessions,
  • Kinshasa à accepter un compromis,
  • et les deux parties à signer un document engageant.

Si Washington décide réellement de suivre l’application,

👉 cela peut freiner les violations et encourager un retour au dialogue.

C’est ici que réside l’erreur monumentale :

– Se faire le gendarme de la région des Grands Lacs.

– Travailler sur la base de concessions et de compromis qui laissent intactes les rancœurs, les frustrations et les inimitiés.

– Penser que des signatures apposées sur du papier ont la même signification que dans la culture occidentale.

Il faut avoir le courage d’aider les frères ennemis à comprendre l’intérêt qu’il y a pour eux à résoudre leurs problèmes honnêtement, résolument et librement, afin de ne plus demeurer esclaves ni colonisés, pour le plus grand bien de toute l’humanité.

Les fautifs paieront alors pour leurs fautes et seront totalement déchargés du poids de la culpabilité. Les victimes se sentiront respectées, valorisées et encouragées à pardonner, tout comme elles auront été, elles aussi, pardonnées.

3. Un cadre pour organiser un mécanisme sécuritaire

L’accord propose la création d’un mécanisme de surveillance conjoint (ou supervisé) du retrait, du désarmement, des mouvements de troupes.

👉 C’est un instrument utile si les parties jouent le jeu.

Il y a pourtant des raisons de penser que les membres du M23 ne sont pas des suicidaires. Où iraient-ils ? Au Rwanda ? Pour y faire quoi ? Les Rwandais qui les aident laisseront-ils leurs frères mourir sous leurs yeux ? Pour quelles raisons mystérieuses ? Est-ce une habitude, chez eux, de trahir un frère ?

Obliger les FDLR à retourner au Rwanda est-ce une solution humaniste ? La RDC n’a jamais réussi, ou n’a jamais voulu, les désarmer : pourquoi ? La RDC livrera-t-elle en pâture ceux qu’elle croyait être ses alliés pour renverser le régime tutsi du Rwanda ? Au fond, ces Hutus — pour la plupart — ne sont-ils pas des frères des Congolais ? Que fera Dieu de ceux qui trahiront leurs frères ?

Nous l’avons toujours dit, depuis longtemps : désarmons les vrais réfugiés. Installons-les loin de nos frontières afin qu’ils participent à l’enrichissement de la RDC. Raisonnons nos frères tutsis jusqu’à ce qu’ils acceptent qu’ils sont une minorité — à protéger — au Rwanda, leur terre à eux aussi.  Quant aux islamistes terroristes qui voudraient envahir le Congo chrétiens, sommons-les d’aller chez ceux avec qui ils partagent la même foi.

4. La possibilité d’un allègement immédiat des souffrances civiles

Si même 30 % des engagements étaient appliqués, même temporairement, cela pourrait :

  • réduire les combats,
  • ouvrir des corridors humanitaires,
  • réduire les déplacements de population,
  • baisser la mortalité dans les zones les plus violentes.

👉 Pour les populations civiles, même un répit temporaire est une opportunité.

Vivre en paix ne doit pas être quelque chose à quémander simplement parce que l’on est Congolais. Et sans justice, nous le savons bien, la paix est impossible.

La question qui se pose aujourd’hui en RDC est la suivante : qui respecte autrui pour prétendre au respect ? Qui est droit pour mériter la paix ?

Que disent les processus de Washington et de Doha ? Sont-ils capables de nous apporter des réponses à ces questions essentielles ?

5. L’ouverture économique (mines, infrastructures)

Un accord bilatéral sous parrainage américain peut attirer :

  • investissements,
  • projets miniers régulés,
  • financement de reconstruction,
  • infrastructures stratégiques.

👉 Dans un contexte où l’Est est ravagé, c’est un levier non négligeable.

Conclusion opportunité

L’accord ouvre une fenêtre de désescalade, même fragile,

et un espace diplomatique formel pour des acteurs qui, jusqu’ici, fonctionnaient surtout par confrontation indirecte.

II. Ce qui plaide pour la « DANGÉROSITÉ » de l’accord de Washington

Cette partie est tout aussi importante — et ce sont des éléments critiques majeurs.

1. Le M23 n’est pas partie prenante

L’acteur militaire principal du front nord ne signe pas l’accord.

👉 Cela fait du texte un accord « théorique » :

  • il ne lie pas le M23,
  • il ne règle pas les revendications profondes,
  • il ne désarme pas les effectifs sur le terrain.

Un accord sans le M23 = un accord incomplet dès le départ.

S’il est juste, louable, souhaitable d’écarter tout groupe jugé terroriste d’un accord de paix, il faut alors écarter aussi le gouvernement congolais, esclavagiste et terroriste, de cet accord.  Sinon, il y a injustice et une paix n’est pas possible dans ces conditions.  Les peuples congolais ne doivent pas se faire d’illusions : l’insécurité continuera, longtemps encore ; à moins que Dieu interviennent Lui-même, pour l’amour des siens.

2. Les acteurs locaux majeurs sont ignorés

L’accord ne mentionne pas :

  • CODECO,
  • ZAÏRE,
  • FPIC,
  • ADF,
  • les groupes communautaires Bantu, Hema, Lendu, Nande, Hunde, Nyanga, Alur…

👉 Cela donne une impression de lecture racialisée et simpliste du conflit :

« Rwanda vs RDC »,

alors que la réalité est multipolaire, interne, communautaire et complexe.

Ignorer ces acteurs =

➡️ reproduire les erreurs de Lusaka, Sun City, Nairobi, Luanda…

Voici qui met en lumière le caractère partial, fourbe, du régime qui a signé l’accord de Washington.

Or, tant que ces fautes ne seront pas corrigées, quel peuple sérieux croira et composera avec Kinshasa ?

3. Un risque de “colonialité de la paix”

Lorsque des accords sont négociés loin du terrain,

par des États étrangers,

sans consultation des communautés locales,

cela crée un sentiment de :

  • dépossession,
  • infantilisation politique,
  • marginalisation identitaire,
  • esclavage,
  • colonisation…

👉 Plusieurs Congolais — du Nord comme du Sud — y voient déjà une forme moderne de « paix imposée », donc suspecte.

Cette paix proposée n’est pas suspecte.  Elle est, objectivement parlant, factice, fausse, une méchanceté déguisée en  bienfaisance.

4. Le Rwanda et la RDC n’ont pas un bilan crédible

Il existe plusieurs précédents d’engagements non respectés.

Le manque de confiance structurel rend la mise en œuvre d’un tel accord très improbable.

👉 Sans confiance, un accord devient un papier symbolique.

La mise en œuvre d’un tel accord avec succès n’est pas improbable.  Elle est une impossibilité mathématique ; sauf dans le monde de niais.

5. Les concessions cachées (danger politique majeur)

Beaucoup redoutent que des concessions :

  • minières,
  • territoriales,
  • diplomatiques,
  • ou militaires
    aient été négociées en coulisses.

Sans transparence totale,

👉 la population peut percevoir cela comme une trahison,

ce qui augmente la tension interne et le rejet du texte.

6. Risque de fronde intérieure en RDC

Une partie importante des Congolais :

  • militaires,
  • habitants de l’Est,
  • diaspora,
  • leaders locaux (Ituri, Rutshuru, Masisi, Hauts Plateaux),
  • victimes des conflits,

ne croit pas à cet accord.

👉 Si l’accord est appliqué “par la force”,

on peut assister à une résistance communautaire,

voire à une extension des milices locales.

7. Risque d’illusion diplomatique

L’accord peut créer une fausse impression de paix pour les acteurs internationaux,

ce qui réduit la pression sur le terrain,

alors que les violences continuent.

C’est ce qui s’est produit après Lusaka, Addis-Abeba, Nairobi…

👉 L’accord peut devenir une coquille vide,

mais politiquement dangereuse parce qu’elle donne l’impression d’un “progrès”.

⚖️ Synthèse finale

Ce qui rend l’accord potentiellement utile :

  • fenêtre diplomatique ouverte,  elle devra néanmoins totalement être débarrasser du parti pris et s’assurer de s’aligner avec la volonté des peuples congolais et rwandais au risque d’échouer.
  • occasion de désescalade,
  • éventuels bénéfices économiques, l’enrichissement d’une nation dépend de son implication dans le travail structurée, intelligent, partant des ressources à sa dispositions.  Le Congo, tout comme le Rwanda, on beaucoup d’atouts encore inexploités pleinement de façon responsable.
  • possibilité d’un soulagement humanitaire.

Ce qui rend l’accord potentiellement dangereux :

  • pression américaine, risque de paix imposée, déjà perçu par certains Congolais comme de l’impérialisme, comme une convoitise des richesses naturelles du Congo ;
  • absence des acteurs locaux (M23, CODECO, Zaïre, FPIC…),
  • manque de transparence,
  • déficit de crédibilité des signataires,
  • risque de rejet populaire et communautaire,
  • reproduction des erreurs des accords précédents.

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Notre conclusion provisoire

  • Washington aidera la RDC, s’il s’investit dans une démarche humaniste et non pas impérialiste ; cette dernière lui causera du tort à lui-même, à Kinshasa et à Kigali ;
  • Les Congolais, tout comme les Rwandais, doivent maintenir le cap de l’apprentissage de la géopolitique ;
  • Par-delà toute chose, le Congolais doit revenir à Dieu et arrêter son idolâtrie.

Congo et Rwanda réconciliés !



Appel à la réconciliation du Congo et du Rwanda

Aimer son pays ne peut pas se réduire à un slogan. Le Congo doit, et peut, faire plus et mieux – pour ses enfants et pour ses frères Africains.

Assez de ceux qui nous apprennent à haïr et à tuer nos frères. Nous choisissons plutôt d’apprendre à les élever, à les soutenir, à les réussir dans l’amour et la patience.

Disons NON à ceux qui veulent faire de nous des Caïn, nous qui avons consacré notre pays à Dieu.
Disons STOP au pouvoir mensonger et à la rébellion meurtrière.

L’heure n’est pas d’opposer Congolais et Rwandais.
L’heure est de se dire la vérité qui corrige, qui unit, qui élève – au lieu de laisser d’autres vivre de notre sang.

Il est assez humiliant de courir chercher ailleurs des solutions connues à nos propres problèmes.
Il est temps de briser ces valses politiques stériles qui nous empêchent d’inviter nos frères du Rwanda à Kinshasa, ou de les écouter à Kigali, sans peur, mais avec le désir sincère d’enterrer les haches de guerre.

Ainsi, nous redonnerons dignité à nos peuples et honneur à nos nations, héritées de la colonisation mais capables, ensemble, d’inventer un avenir de paix et de fraternité.


Balkanisation : seule voie du salut !


[9/17, 12:55] GPAU

Voici ce que je produis, mais que je n’ai pas encore terminé.
Que me conseille-tu ?
L’origine coloniale de nos états est un problème.
Ce problème est soluble.
Il faut de l’amour, du courage, de l’intelligence, de la franchise pour y parvenir.
Serrons nos coudes !

[9/17, 15:09] D. Y.

Il faut faire de la RDC un Etat fédéré comme les USA. Le problème sera résolu !

[9/17, 22:03] GPAU

C’est ce que je propose aux Congolais depuis 1999.
La majorité écrasante n’en veut pas. Elle craint que cela ne conduise à l’éclatement du pays. Or, les Congolais, ne veulent pas de la balkanisation du pays. Ils désirent vivre en des parasites, les plus forts au dépens des plus faibles.
C’est pour cela que certains nilotiques proposent la séparation des nilotiques d’avec les bantous pour éviter des querelles inutiles.

[9/18, 06:39] D. Y.

C’est la seule voie du salut pour les pays du continent africain !

RDC–Qatar : Une colonisation qui se perpétue par nous-mêmes !


[8/8, 23:10]

[D’un contact WhatsApp]

« Qatar-RDC : Le pivot géopolitique qui isole le Rwanda et enterre le M23 20 milliards $ en jeu »

1. Le réalignement stratégique du Qatar : Kinshasa au centre, Kigali marginalisé
Dans l’échiquier des relations internationales, les alliances se forgent et se défont au gré des intérêts. L’Émirat du Qatar vient d’opérer un virage clairvoyant en s’alignant pleinement derrière la diplomatie offensive du Président congolais Félix Tshisekedi.
Ce repositionnement n’est pas un hasard : il répond à une logique de realpolitik où le Rwanda et ses relais armés (M23/AFC) deviennent un passif géopolitique, tandis que la RDC s’impose comme un partenaire incontournable.

2. Le coup d’accélérateur américain : Le M23 classé terroriste, une victoire pour Kinshasa
La récente résolution du Sénat américain inscrivant le M23 parmi les organisations terroristes (au même titre qu’Al-Qaïda, le Hezbollah ou le Hamas) a scellé le sort du mouvement. Pour Doha, cette décision valide deux calculs :
Légitimer l’offensive congolaise contre les groupes armés, avec un soutien juridique international.
Asphyxier les soutiens rwandais au M23, désormais exposés à des sanctions ciblées.
Le Qatar, en acteur avisé, anticipe la chute inéluctable des dirigeants du M23 et mise sur le camp gagnant.

3. La diplomatie économique comme arme : 20 milliards $ pour la RDC, un message à Kigali
Doha ne se contente pas de déclarations : il déploie une stratégie d’influence par l’investissement.
La tournée africaine de Cheikh Al Mansour Bin Jabor Al Thani (cousin de l’Émir et patron d’Al Mansour Holding) dans 10 pays, dont la RDC, envoie un signal sans équivoque :
La RDC, priorité absolue avec des investissements directs estimés à *20 milliards $, renforçant son poids régional.
Le Rwanda, tenu à distance : en finançant massivement Kinshasa, le Qatar sape l’influence économique de Kigali en Afrique centrale.

4. Une délégation royale pour sceller l’alliance
Avec une délégation de 19 membres (dont des conseillers royaux et experts émiratis), cette tournée du 13 au 29 août n’est pas qu’une opération commerciale : c’est une manœuvre géoéconomique visant à :

Consolider les partenariats qataro-congolais (énergie, infrastructures, mines).

Élargir l’influence de Doha en Afrique, en marginalisant les acteurs jugés instables (Rwanda/M23).

Conclusion : Le Qatar joue son rôle de puissance pivot
En soutenant la RDC, le Qatar capitalise sur trois leviers :
Légitimité internationale (via le vote américain contre le M23).
Poids économique (investissements massifs comme levier d’influence).
Isolation ciblée du Rwanda, dont les soutiens aux groupes armés deviennent un handicap diplomatique.

THE BEST


[8/9, 09:06]

GPAU

Il est temps de regarder la réalité en face : la colonisation ne s’est pas simplement retirée, elle s’est métamorphosée. Aujourd’hui, elle se poursuit par notre propre complicité — nous, Congolais, en sommes devenus les relais inconscients. Il n’y a donc aucune raison de se réjouir.

Ce moment exige de nous une introspection lucide sur notre destinée et sur celle de nos enfants. Un avenir que nous mettons en péril depuis que nous avons accepté, pour la première fois, les chaînes de l’asservissement. Ce consentement initial à l’esclavage continue de produire ses effets, génération après génération.

L’intelligentsia congolaise, censée éclairer et guider, semble sombrer dans l’indifférence. Elle a renoncé à son rôle historique, et cette démission morale la rend coupable devant le peuple et devant l’Histoire.

Puisse-je, à mon humble mesure, contribuer à l’éveil des consciences et à la reconquête de notre dignité.

Responsabilité parentale !


Les drames que vivent nos familles se multiplie.

La spoliation culturelle s’est mondialiste et un peuple, qui ne se protège pas, dépérit.

De quelle responsabilité parentale devons nous parler ? Comment la garantirons-nous efficacement, si nous ne reprenons le contrôle de notre identité culturelle ?

https://www.facebook.com/share/r/15DPAyaTKm/

À tous les familles, patriarchies, clans,  tribus, ethnies et peuples, du Congo Kinshasa, nous conseillons une décolonisation mentale et spirituelle urgente, pour arrêter l’hémorragie que nous infligent les hommes que nous avons commis ou que nous tolérons au pouvoir depuis 1960.

Nous étions sensés prendre notre indépendance : pas des mains des Belges !

Il faut savoir Partir !


Écouter le message des prêtres catholiques à Félix Tshisekedi : Il faut savoir Partir.》


Ce message doit être pris au sérieux par notre frère en Christ, le Président de la République, à qui nous souhaitons une vie longue, au vrai service du Dieu vivant et vrai ; et non consacrée aux fils de Satan.

Son entourage est ce qui va le tuer, comme cela est arrivé souvent, dans notre pays. Nous, nous avons déjà averti, à plusieurs fois, à plusieurs reprises : nous ne sommes pas écoutés. Voici qu’un autre prophète argumente, insiste, explique, pourquoi Kinshasa doit déposer ses armes démoniaques.

Dieu est Dieu. Il ne dort ni ne sommeille. Il attend que le pécheur se repentisse. Sinon, paternellement, il sait aussi punir.

Les hommes qui trônent à Kinshasa ne doivent pas se fier à la faiblesse avérée des Congolais ; mais ils doivent se souvenir que pour un seul fils de Dieu, ils seront châtiés, très sévèrement. L’exemple sera parlant !

Après avoir consacré le pays à Dieu, le Président de la République ne pouvait se permettre de recevoir des féticheurs dans le palais de la nation. Il ne pouvait non plus se joindre des hommes dont il sait bien qu’ils ne craignent pas Dieu. Pour ces péchés là, comme pour bien d’autre, il est encore possible de se repentir. Cependant, bientôt, le courroux de Dieu sera manifeste : Dieu vengera lui-même ses nombreux saints que nous, Congolais, avons envoyés à la tombe, jusqu’à ce que les Congolais se repentent du cœur et non de la bouche seulement.

Le risque d’avoir Dieu pour partie adverse…


Frère,

Sont-ce les nilotiques (hema, tutsi et banyamulenge +/-= tutsi ?) qui prennent leur revanche ou quoi ?  Je n’ai aucun dossier en main ; je demanderai à qui de droit si je peux en avoir ; ne serait-ce que les conclusions des avocats.  C’est ce qui me permettra de conseiller là où je peux être utile pour notre pays moribond : pour un temps !

Moi, je crois que le combat juridique est ce qui peut nous avancer vers une paix durable.  Ce combat, il faut le commencer au Congo même et ne pas craindre le régime ni le gouvernement en place ; mais bien se préparer pour être convainquant et dissuasif d’un point de vue diplomatique, au national comme à l’international.  Et je propose de recourir à la balkanisation stratégique, si l’attente n’est pas possible entre parties dans un court terme ; comme personnellement, nous le prédisons.  Cette balkanisation doit permettre à chaque peuple (clan, tribu ou ethnie ou alliance) de choisir avec qui travailler sur un destin national et sur le traitement des dossiers en cours et de vivre ses échecs et ses succès, afin de prendre la mesure objective de la qualité de sa politique.  L’unitarisme du MPR ne nous avance à rien :il faut avoir l’humilité de le reconnaître.  Sinon, que fera Dieu de nous ?  Ce ne sera pas facile.  Parce que, les diviseurs, s’ils existent, en profiteront.  Définitivement, ce sera pour le bien de ceux qui sauront négocier des coopérations saines, qui ne se seront pas trompés dans leurs calculs.

La majorité de nous congolais pense que ce sont les armes qui résoudront les problèmes du moment.  Pour nous, ce problème est celui de la rébellion contre des régimes d’imposteurs politiques qui favorisent le banditisme de droit commun et le banditisme international.  J’ai toujours dit que c’était impossible de résoudre nos problèmes avec les armes ; mais que par la voie juridique, nous épurerons le pays du banditisme politique et par voie de conséquence du banditisme de droit commun.

Mes compatriotes ne m’attendent pas de cette oreille, même s’ils me disent souvent, en privé : « tu as raison Paluku, mais nous ne savons pas te soutenir en public : pour ne pas mourir… ».  Qu’allons-nous proposer : demander la séparation du nilotique d’avec le non-nilotique, demander la séparation de l’Est d’avec l’Ouest ou demander de mener la guerre contre le M23 et le Président rwandais ?  La première proposition serait insensée : les nilotiques ne se sont jamais préparés pour une séparation d’avec les non-nilotiques.  La deuxième proposition ne convient pas à beaucoup de nos frères de l’Est aussi.  La guerre contre le M23 ne fonctionnera pas parce que le M23 est un mouvement rebelle congolais avant tout le reste ; quand bien-même les ennemis du rwandophone ne veulent pas le reconnaître.

Les tribunaux et les forces des Nations Unies sont inefficaces par essence : nous le voyons.  En effet, New York est piloté par des lobbies aux intérêts opposés, mais qui, lorsqu’il s’agit de dépecer l’Afrique, finissent toujours par sacrifier cette dernière, parce qu’elle tarde à se prendre en charge, vue qu’elle est, dans l’état actuel, un continent colonial, asservi, sans leaders valables, sans ressources humaines capables de la représenter correctement devant le concert des nations.  La preuve se trouve aussi dans la démarche de cette conférence, qui a un relent colonial…  Comme toujours !

Les non-nilotiques n’entendent pas les choses telles que je les voie s’annoncer dans cette conférence à laquelle je ne participerai pas ; parce qu’elle va se terminer sur un chaos total, de toute évidence, en queue de poisson, dans la confusion, si nous tenons compte de l’état d’esprit de la majorité des Congolais d’aujourd’hui et de celui du collectif des avocats impliqués dans l’organisation de ladite conférence !  Pour eux en effet, les démons actuels sont le M23, Paul Kagame et les Occidentaux, quoi que vous disiez, quoi que vous pensiez, quoi que vous fassiez.  Aucun – en exagérant, comme j’en ai l’habitude, pour éveiller – ne veut décortiquer les problèmes dans leurs origines, dans leurs coûts ni dans leurs conséquences.  Ils viennent de demander de couper les têtes d’on ne sait qui, on ne sait pourquoi, alors que les leurs sont, pensons-nous, les premières à mettre à la guillotine…  Cependant, quand interviendra l’alliance nilo-soudanaise dans l’affaire – ce qui risque de ne pas se faire attendre – les cartes seront redistribuées et les bantous et les pygmées, se retrouveront contre une force qui, au Congo actuel, ne pourra que prendre le dessus de la guerre que les bantous recherche sans savoir avec qui ils devraient réellement marcher.  Parce qu’au fond : les bantous et le nilotiques qui se battent, ne sont-ils pas descendants d’un même aïeul ?  Cela dit, notons que partout dans le monde, ce sont les cousins qui s’entretuent ; comme dans le jardin d’Eden, c’est Caïn qui tua Abel.

Dans ce monde païen, glauque, je ne me permettrai pas d’approcher, bien-aimé.  Ma gente et la tienne n’ont-elles pas pour devise de ne jamais trahir ?  Je ne prendrai pas le risque d’avoir Dieu pour partie adverse, contrairement à ce que certains voudraient toujours tenter.

Ils trembleront à nos moindres atermoiements


  1. Si tout le monde peut acheter des terres où il veut, tant qu’il a de l’argent et n’a pas l’intention de coloniser ni de subjuguer les autochtones ; alors, que tout le monde qui a de l’argent achète à l’Est du Congo tant qu’il n’a pas l’intention de coloniser ni de subjuguer cet Est de la République.
  2. Pourquoi la RCA aurait-il besoin de l’aide du Rwanda pour assurer sa sécurité ?  Comment se fait-il qu’on retrouve une femme rwandaise chez les hommes du pouvoir en RCA aussi ?  Où sont les autres femmes, que font-elles et pourquoi ?
  3. En quoi consisterait la vigilance à laquelle notre frère invite les Équatoriens ; invitation qui n’arrête pas à être adressée, depuis plus de 64 ans nos seulement aux Équatoriens, mais à tous les Congolais, sans succès ?

Dans le Kivu, la coexistence entre les rwandophones et les autochtones a commencé par être paisible.  Les autochtones ont marié leurs filles aux rwandophones et leur ont attribuées des terres pour leurs troupeaux en preuve d’une fraternité naturelle.  Les rwandophones cultivateurs (hutu) et fermiers (tutsi) se sont mis à s’enrichir et la fraternité ainsi que la paix ont commencé à se transformer une haine démoniaque, en une insécurité morbide et en une guerre que nos hommes politiques, qui ne connaissent pas bien l’origine des problèmes, n’arrivent pas à résoudre, parce qu’ils tapent à côté, sciemment, dans le seul but de profiter de l’Est qui accuse une naïveté étonnante, mais bien connue de tous et exploité par tous – en exagérant.

Nous, dans le projet 2014, devons restituer aux Congolais, l’histoire de nos alliances et de nos inimitiés, d’antan et d’aujourd’hui, pour permettre à nos peuples de mieux comprendre d’où nous venons et où venons et où nous allons.  Sinon, nos enfants continueront à prendre des décisions illogiques, insensés, sans fondements historiques, sans soubassement juridique et humainement inacceptables par tous les hommes de bonne volonté, voués au Dieu vivant est vrai.

Les Ngombe, Mongo, Budja, Ngbaka et Ngbandi de l’Équateur ne se retrouvent-ils pas en RCA – l’exception de Mongo, peut-être ?  De quel droit allons-nous les dissocier de leurs frères d’en face ?  Ceux de leurs qui vivent dans la RCA avec des conjoints rwandais, comment et pourquoi les déciderons-nous tous à divorcer?  De quel droit allons-nous leur interdire d’épouser au Rwanda ainsi qu’ils auraient décidé de le faire, pendant que nous-mêmes avons de nombreuses épouses rwandaises dans nos ménages et de nombreux congolais de pères et de mères au Rwanda ?

Je pense que nous devons commencer par arrêter de craindre les Rwandais et apprendre à les aimer pour notre bien et pour leur bien.  Ceux-ci ont plutôt une peur bleue nous, contrairement à ce que d’aucuns voudraient nous faire croire ici et là-bas ; ne serait-ce qu’en raison de nos potentialités, de la taille de notre population, de la taille de notre territoire et de la force de notre étonnante et insaisissable unité.  Les Rwandais savent à quoi ils doivent s’attendre quand le Congo se redressera et si jamais celui-ci se décide de se venger des torts qu’il a subi matériellement et moralement ; nonobstant ce que le Rwanda aura lui souffert de son côté.  La désorganisation de nos peuples épars, mal réunis au sein d’une République malencontreusement formée, explique la crainte injustifiée que nous avons de nos concitoyens rwandophones et de leurs cousins rwandais.  Aujourd’hui et pour quelques décennies encore, ils pillent notre pays, spolient nos mœurs et déciment nos populations.  Mais il viendra un temps qui coûtera très cher à leurs progénitures.  Parce que, comme tout le monde le sait bien, il y a au Congo un reste qui réfléchit, qui observe, qui analyse, dans un silence nécessaire et utile que Dieu voit.

Le Projet 2014 est un lieu où nous pouvons ANALYSER froidement les problèmes que nous rencontrons en en trouvant leurs racines, leurs coûts et leurs conséquences, pour nous rendre à même de disposer de la stratégie mathématique pour les résoudre.  Le fait que nous passions notre temps à nous attaquer à des faux problèmes, contribue, jusqu’ici, à accroître notre ignominie ; et, les fils de Satan pensent qu’il en sera ainsi indéfiniment…

Quand nous apprendrons à dire non à nos dictateurs, à nos distracteurs, à nos bourreaux ; quand nous apprendrons que notre unité sentimentale d’aujourd’hui fera notre force de demain, tous les pays qui nous font peur aujourd’hui trembleront à nos moindres gesticulations !

Wazalendu(o) qui ne comprend pas…


À mangina, tous les wazalendu tués par les FARDC avaient une autorisation officielle [afin] de combattre les ADF. Cette cacophonie entre FARDC et wazalendu dénote d’une complicité.

Sur plus de 15 morts, seulement 4 corps sont à la morgue, à l’hôpital général de référence de Beni.

En attendant une communication officielle et une riposte sévère des WAZALENDU, sachez que l’ennemi est dans les FARDC.

Comment les FARDC peuvent[-ils] tuer leurs partenaires, et cela, sans aucune enquête ?

LS

Erreur, trahison, duplicité, piège ou autre raison.

Nous avons prévenu, nous prévenons : personne de tient compte de nos conseils, ne croit à notre témoignage…

Les bonnes personnes aux bonnes places…


[4/11/2023, 03:09] Paul Emile Okoka

L’ Afrique est en marche inexorablement, vers son éveil intégral et sa renaissance en cours selon Esaie 18:1-7. Consultez tous mes commentaires qui sont contenus dans le lien ci-joint. https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=859499799295488&id=100057064286555


[4/11/2023, 12:27] G. Paluku Atoka Uwekomu

Je pense que le chemin soit encore entier ! Parce que nos niveaux d’instruction, de formation, d’éducation, d’enrichissement sont encore très bas.

Pour les relever, nous avons besoin de nous trouver des leaders patriotes, talentueux, capables d’asseoir un système éducatif et une organisation du travail qui permettent de rapidement de supprimer nos faiblesses.

Nous pouvons, dans nos localités respectives, commencer par lister les besoins, les problèmes. Ensuite, il faudra les analyser pour identifier les ressources qui font défaut et les solutions idoines.
C’est alors que la mobilisation des ressources sera facile pour le lancement des projets réussis.

Cette approche méthodique n’est pas possible dans la plupart de nos partis politiques, faute d’avoir les bonnes personnes aux bonnes places ! Nos investissements ne sont pas suffisants, depuis le MNC jusqu’à l’UDPS.