Quittons l’esclavage !


Nous, Congolais,

Tant que nous n’arrêterons pas d’être, nous-mêmes, des esclavagistes, des payeurs et des accepteurs des salaires qui n’en sont pas uns, la paix sera impossible dans nos pays.  Nous n’arrêterons pas de le répéter !

Parce qu’on ne peut pas bien travailler sans bien se nourrir ni être satisfait par les travaux des travailleurs mal nutris, peu productifs.
En RDC, nous devons, inconditionnellement, nous imposer un salaire minimum égal, à tout le moins, au minimum vital !

Cette façon de faire sera une libération de la pauvreté et du complexe d’infériorité dont souffrent certains d’entre nous.

Estons nos parlementaires, à voter pour un salaire minimum obligatoire, avec des sanctions sévères contre les contrevenants.

Obligation scolaire et professionnelle…


Nos parlementaires doivent être titillés. Ils doivent être commandés pour déposer une loi qui rende obligatoire les études pour nos enfants de la RDC jusqu’à l’âge de 24 ans. Cela, dans le but de nous mettre rapidement en avance par rapport aux autres nations qui vieillissent politiquement, culturellement et stratégiquement parlant. Ces pays perdent en vitesse dans le développement spirituel, intellectuel, culturel, scientifique, industriel, technologique, social.

Jusqu’à présent, nos dirigeants ont majoritairement été des jeunes. Sans instruction, sans formation et sans éducation suffisantes, ils ont abîmé le pays hérité de la fausse indépendance proposée par le MNC. Et pour ne pas avoir une opposition forte à leurs régimes fantoches, le MPR, l’AFDL, le PPRD et l’UDPS maintiennent la population dans l’ignorance des lois qui président au fonctionnement du monde visible et invisible. Pour se faire, ils détruisent, chaque jour qui passe, le tissu de notre enseignement. Pour sauver notre nation, nous avons proposé pour notre enseignement : 1° l’obligation scolaire jusque 24 ans, 2° la séparation de la fonction enseignante et de la fonction évaluative des acquis et 3° la quadrimestrialisation de l’enseignement à tous les niveaux : celui dit préscolaire, le primaire, le secondaire, le supérieur, l’universitaire et le post-universitaire.

Jusqu’à présent, personne ne nous suit. Les pouvoirs qui se succèdent à Kinshasa continuent à profiter de la démission des parents qui bien souvent, hélas, n’aiment leurs enfants que du bout des lèvres. Le peuple s’abrutit, la nation en pâtit, les ennemis du Congo en profite pour piller et décimer nos peuples. La gente congolaise risque donc un jour de disparaître, comme le prédit plus ou moins Kwebe Kimpele, cet autre prophète qui prêche dans le désert.

« Dans le système éducatif de la République Démocratique du Congo, la scolarité est obligatoire pendant 6 ans1. [C’est donc une obligation scolaire jusqu’à 12 ans, dans un pays sous-développé à bien sous plusieurs plans !] Cela correspond généralement à l’enseignement primaire. Cependant, il est important de noter que l’application de cette obligation peut varier en fonction de divers facteurs, y compris les ressources disponibles et les conditions locales [Presque nulle part dans le pays, les parents ne sont poursuivis ! Beaucoup d’enfants errent dans les rues et dans les cours des parcelles toutes les journées, sans que les communes ne demandent de comptes aux parents défaillants.]. Pour des informations plus précises et à jour, je vous recommande de consulter les dernières publications du Ministère de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique de la République Démocratique du Congo ou d’autres sources officielles. » Copilot, Microsoft, ce dimanche 21 janvier 2024, 18:20.

Qu’est-il dit de l’application de la loi en cette matière ? Pourquoi plusieurs enfants sont-ils dans les rues ou en situation d’esclaves dans les maisons d’inciviques ? Qui est responsable de cette situation ? Comment le gouvernement congolais de la RDC contrôle-t-il l’application de l’obligation scolaire jusqu’à l’âge de 12 ans et que fait-il des enfants mineurs entre 12 ans et 18 ans ?

« Le contrôle de l’obligation scolaire en République Démocratique du Congo est assuré par plusieurs mécanismes. Voici quelques-uns des principaux mécanismes de contrôle :

  1. Contrôle de l’inscription scolaire des mineurs : Une cellule spécifique est chargée de vérifier que les mineurs bénéficient bien d’une instruction1. Elle vérifie que chaque enfant est inscrit dans une des filières d’enseignement1. Lorsqu’aucune information n’est trouvée sur la manière dont est instruit un mineur, le service prend alors contact avec les parents ou la personne investie de l’autorité parentale1.
  2. Contrôle des salaires des enseignants : Un audit approfondi a porté sur les salaires des enseignants dans les provinces concernées par le projet2. Ces résultats ont fait l’objet d’un contrôle par un organisme indépendant2.
  3. Contrôle de l’achat des manuels scolaires : L’achat des manuels scolaires revient en priorité aux écoles qui le font sous le contrôle et la responsabilité de leurs gestionnaires respectifs, et en concertation permanente avec les parents d’élèves3.

Cependant, il est important de noter que l’application de ces contrôles peut varier en fonction de divers facteurs, y compris les ressources disponibles et les conditions locales. Pour des informations plus précises et à jour, je vous recommande de consulter les dernières publications du Ministère de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique de la République Démocratique du Congo ou d’autres sources officielles. » Copilot, Microsoft, ce dimanche 21 janvier 2024. » Copilot, Microsoft, ce dimanche 21 janvier 2024 à 21:57.

Nous savons très bien que l’esclavagisme, la colonisation, la dictature et le sabotage de l’enseignement, contribuent à accroître l’insécurité dans le pays. Ils contribuent aussi à retarder la prospérité de la majorité et à nous plonger dans l’ignominie, dans le grand déshonneur et dans l’indignité extrême dans lesquelles nous vivons aujourd’hui, partout où nous sommes. Ces maux qui continuent au Congo, qui y sont entretenus par des esclavagistes, des colonialistes et des dictateurs étrangers et nationaux nous poursuivront jusqu’au jour nous nous léverons tous pour dire : « ASSEZ de nous prendre pour ses sous-hommes ! »

Pour proposer et ne pas nous contenter de la critique facile, nous proposons des voies et moyens pour nous sortir de l’auberge.

  1. Dissolution inconditionelle de la CENI pour responsabiliser l’adminidtration publique.
  2. Salaire minimum garanti à tous les plus de 24 ans et ce minimum supérieur au minimum vital ; obligation de travail pour eux tous – ces plus de 24 ans, y compris les handicapés. Mise au travail, par l’administration locale, de ceux qui ne trouvent pas du travail ou de citoyens qui n’arrivent pas à créer du travail par eux-mêmes dans les 12 mois.
  3. Salaire maximum inférieur ou égal à 5 fois le minimum vital, dans le secteur public.
  4. Obligation scolaire jusque 24 ans pour tous les enfants.
  5. Trois ans maximum de moratoire pour chaque travailleur sans qualification validée par l’État, électroniquement, pour se qualifier dans son domaine par une formation à horaire décalé.
  6. Cinq ans maximum de sursis pour chaque administration locale pour adjoindre l’eau potable et l’électicité dans chaque maison de ménage et chaque installation d’entreprise, à ses frais – l’admonistration locale, moyenant des crédits bancaires, qui couvrent les rénovations indispensbles.

Ce que nous ne pouvons pas !


[26/8, 20:55] GPAU :

Nous ne pouvons pas si facilement anéantir un peuple, quelque exécrable qu’il soit, chez lui ! Il est inique de réfléchir de la sorte, dans une nation jeune, d’origine coloniale. Nous ne pouvons plus continuer à tromper les concongolais non plus. Ce qui est dit ci-dessous est un mensonge qui coûtera probablement cher à ses auteurs. Les lendu et alliés et les nande et alliés, se battent, bien ou mal, pour leurs terres. Nous tous qui sommes sur leurs terres, nous gagnerions à rentrer chez nous, planter nos oignons. Cette façon de faire prouvera que nous sommes respectueux d’autrui, civilisé et paisible. Sinon, nos esprits hégémoniques rencontreront le courroux de peuples enragés, furieux.

https://newscongo.news/article/Ituri-Nord-Kivu—Les-operations-conjointes-FARDC-UPDF-prorogees-de-2-mois/3523


[27/8, 07:09] UAJD:

Cher administrateur du groupe, comment as-tu apprécié ou interprété cette publication ?

[27/8, 10:20] GPAU :

Demander l’avis de l’administrateur est une bonne chose. Cependant, cher frère, notre culture alur étant celle de débat et non celle de la pensée unique, quelle est ta propre opinion sur la question, que tu nous cache mal ? Sur laquelle de nos valeurs se fonde ton recours ? Quel est l’objectif de ce recours ?

Frère, je propose depuis longtemps que nous, peuples congolais, rentrions chacun chez soi – là où nous nous sentons le plus à l’aise, pour vaquer au développement de nos terres ancestrales dans la quiétude et ne pas avoir à nous pourrir la vie mutuellement dans notre jeune pays créé par la conférence de Berlin (?) ; et pour fermer la bouche aux lendu et alliés qui nous accusent de les coloniser, de manière particulière, dans notre Ituri.

Certes, la majorité ne partage pas notre point de vue, depuis que nous nous sommes politiquement engager, en 1976. Elle (cette majorité) pense que le Congo soit à nous tous, qu’il nous revienne de vivre où nous voulons, dans le respect de la loi, sans que les autochtones n’aient à nous soumettre au respect de leurs lois, de leurs cultures et politiques locales. Nous retorquons, depuis toujours, qu’il soit dangereux, inacceptable, colonial de penser et de se comporter de la sorte ; parce que personne n’a jamais demander à nos peuples avec qui ils voulaient vivre ni composer ; même si, d’expérience nous reconnaissons aujourd’hui que la volonté supposée, présumée, de plusieurs, de la majorité de concongolais soit de demeurer le Congo créé par les belges et leurs alliés, pour y créer un destin national, jusqu’ici défini par de véritables bandits politiques, plutôt que par nos peuples, directement concernés par tous les choix politiques qui nous sont imposés jusqu’ici, telle la République qui renie à nos royaumes, empires, alliances et autres, le droit à l’existence, tant bien que mal.

Heureusement, le Père restant au contrôle de toute chose, les faits montrent clairement que notre hypothèse de travail soit la négation dangereuse de la volonté affirmée de certains peuples de notre pays d’en dominer d’autres et celle tout aussi affirmée d’autres peuples de se débarrasser de ceux qui tentent de les subjuguer – à leur manière d’apprécier les comportements de leurs voisins. C’est ce que nous vivons en Ituri, dans le Kivu, dans l’Équateur, dans le Katanga, dans le Congo dit central.

C’est dans ce contexte aussi que l’état de siège est, pour nous, une preuve irréfutable, de l’hégémonisme du pouvoir de Kinshasa ; contre lequel nous appelons tout l’Est à livrer une légitime et juste bataille politique et non pas une improductive et déshumanisante rébellion.
Beaucoup de supporters de cet ignoble projet déchantent depuis des mois, mais sont incapables de paisiblement obtenir notre liberté aliénée, face à des lâches ennemis armés qui sévissent à l’Est de la République.

C’est ce qui nous arrive avec la CENI, la République, la MONUSCO, le lingala, les 60% de transferts, que Kinshasa nous impose, mais que plus personne dans le Kibali-Ituri, la Tshopo, les Uélé et les autres province de l’Est, ne sait et n’arrive à arrêter ; dans ce même registre colonial, esclavagiste.

Il est contre productif de vouloir nier des faits. Tant que nous serons dans la minorité politique, nous serons des démons : rien d’étonnant à cela. Ce qui nous fait peur n’est pas le rejet des nôtres, mais le sort lourd et terrible que Lui prononce sur ceux qui, comme nous tous congolais, ont les cous roides.

Paix chez vous tous dont les pieds sont beaux du fait de l’annonce que vous faîtes de la Bonne Nouvelle, par beaux temps, comme par mauvais temps.

La traite d’esclaves…


[1/9, 13:06] Véronique Mangwanda Nzumba: https://youtu.be/WF01zfB5nrQ

Chronique : En finir avec la traite négrière en Afrique

Difficile d’imaginer que dans nos pays se pratique encore la traite négrière, difficile d’imaginer qu’au 20e siècle, l’on ait réduit des centaines de milliers de nos populations en esclaves. Cette fois-ci, c’est sur leur propre terre, dans leur propre village qu’on les a réduit en esclavage. Avec encore une fois la complicité de leurs chefs. Les mines en RDC ne sauraient être une malédiction pour les congolais. Il faut rapidement le transformer en opportunité. Cela ne dépend que des dirigeants.

Abonnez-vous et activez la cloche de notification pour être les premiers à visionner les prochaines sorties.
[1/9, 13:32] G. Paluku Atoka Uwekomu: Difficile d’imaginer que dans nos pays se pratique encore la traite négrière, difficile d’imaginer qu’au 20e siècle, l’on ait réduit des centaines de milliers de nos populations en esclaves.
Qui ne sait pas que nos peuples sont des esclaves les uns des autres depuis la nuit des temps? Les Chinois ne font que profiter de notre incapacité de nous approprier un pays que Lumumba et les siens croyaient nous confier. Il s’avère aujourd’hui clairement que Lumumba n’avait pas de vision pour le Congo, qu’il s’est trompé en vilipendant et persécuant les membres du PNP qui lui disaient clairement que l’indépendance auquel il revaient n’était pas possible dans l’état où la colonie se trouvait ; qu’il fallait préparer des cadres capables. Cette fois-ci, c’est sur leur propre terre, dans leur propre village qu’on les a réduit en esclavage. Beaucoup de nos peuples étaient en esclavage avant l’arrivée des colonisateurs, avant même l’arrivée des esclavagistes. Et aujourd’hui, ce ne sont pas les chinois qui soient forcément les pires de nos ennemis. Ils comptent sur les millions de traîtres qui se comptent dans nos rangs pour nous exploiter, nous fouéter quand ils croient avoir intérêt à le faire. En étant à ce stade, nous devons, pensons-nous, commencer par libérer chacun de nos peuples qui vit encore tout forme d’esclavage lui imposé par Kinshasa ou par des étrangers. Le discours qui consiste à ne pointer que les étrangers, passe de moins en moins. Les congolais commencent à comprendre que nous devons commencer nous-même par nous débarasser de nos velléités colonialistes et esclavagistes, nous, peuples congolais, peuples du Congo. Avec encore une fois la complicité de leurs chefs. Les mines en RDC ne sauraient être une malédiction pour les congolais. Il faut rapidement le transformer en opportunité. Cela ne dépend que des dirigeants. La prison dans laquelle nous nous maintenons est celle de penser que ce qui nous arrive ne soit que les conséquences des agissement de nos leaders politiques, en oubliant que ce sont nous qui les avons élus ou qui les avons tolérer et tolérons.
[1/9, 13:42] G. Paluku Atoka Uwekomu: L’intelligentsia congolaise est démissionnaire. Si elle ne l’était pas, aucun étranger ne serait en train d’exploiter pour nous nos minérais.
Si réellement nous aimons le Congo, comme certains aime à le prétendre en insuttant en même temps ce pays sans bouger son auriculaire, rien ne changera.
Les questions-mêmes que nous nous posons trahissent nos méchancetés.
Nous payons moins de 3 € à nos frères par jour et nous voulons prétendre être de libérateurs…
La vérité est autre : tant que le congolais ne se lèvera pas pour s’occuper de ce qu’il prétend être son pays, sa condition ne s’améliorera guère. Il y aura certes de plus en plus de milliardaires congolais ; mais encore et toujours au détriment de la grande masse.
Seul, le Projet 2014 et quelques autres rares et timides projets du genre, invite les congolais à se mettre ensemble, autour d’une table, pour décider du destin du Congo.
Le refus catégorique des politiciens en lisse de se mettre autour d’une telle table est la preuve que leur désire de coloniser et d’esclavagiser demeure intact !

S’accrocher à la dépendance…


S’accrocher à la dépendance tout en caressant dans nos rêves l’indépendance.  C’est ce que nous faisons depuis 1960.

Il n’y aura pas d’indépendance du Congo sans la répudiation de cette peste qu’est la république et sans adoption d’une union d’états indépendants, avec comme objectif de couper l’herbe sous les pieds des dictateurs et d’assurer le respect des cultures de nos peuples.

La vérité étant têtue, nos flirts avec la dictature ne nous apporterons que malheurs sur malheurs.

+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

[20:43:48] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: CONGOLAIS UN PEUPLES MAUDIT OU PEREUX  OU ENVOUTER  Le Gouvernement de la République vient de proposer un projet de révision de certaines dispositions de la Constitution de la République, sans préciser à l’opinion lesquels des articles sont particulièrement visés.

A la lumière des contraintes sur l’organisation des élections notamment, provinciales, La Prospérité a choisi de faire un exercice d’intuition avec ses lecteurs. Il se pourrait que cette révision vise, au minimum, quatre articles de la loi fondamentale : 101, 104, 197 et 198. Voici, le contenu actuel de ces articles et devinez avec nous, qu’est-ce qui pourraient être des corrections à y apporter.

Article 101
Les membres de l’Assemblée nationale portent le titre de député national. Ils sont élus au suffrage universel direct et secret. Les candidats aux élections législatives sont présentés par des partis politiques ou par des regroupements politiques. Ils peuvent aussi se présenter en indépendants. Chaque député national est élu avec deux suppléants. Le député national représente la nation. Tout mandat impératif est nul. Le nombre de députés nationaux ainsi que les conditions de leur élection et éligibilité sont fixés par la loi électorale.

Article 104 :
Les membres du Sénat portent le titre de sénateur. Le sénateur représente sa province, mais son mandat est national. Tout mandat impératif est nul. Les candidats sénateurs sont présentés par des partis politiques ou par des regroupements politiques. Ils peuvent aussi se présenter en indépendants. Ils sont élus au second degré par les Assemblées provinciales. Chaque sénateur est élu avec deux suppléants. Les anciens Présidents de la République élus sont de droit sénateurs à vie. Le nombre des sénateurs ainsi que les conditions de leur élection et éligibilité sont fixés par la loi électorale.

Article197 :
L’Assemblée provinciale est l’organe délibérant de la province. Elle délibère dans le domaine des compétences réservées à la province et contrôle le Gouvernement provincial ainsi que les services publics provinciaux et locaux. Elle légifère par voie d’édit. Ses membres sont appelés députés provinciaux. Ils sont élus au suffrage universel direct et secret ou cooptés pour un mandat de cinq ans renouvelable. Le nombre de députés provinciaux cooptés ne peut dépasser le dixième des membres qui composent l’Assemblée provinciale. Sans préjudice des autres dispositions de la présente constitution, les dispositions des articles 100, 101, 102, 103, 108 et 109 sont applicables, mutatis mutandis, aux Assemblées provinciales.

Article 198 :
Le Gouvernement provincial est composé d’un gouverneur, d’un vice-gouverneur et de ministres provinciaux. Le gouverneur et le vice-gouverneur sont élus pour un mandat de cinq ans renouvelable une fois par les députés provinciaux au sein ou en dehors de l’Assemblée provinciale. Ils sont investis par ordonnance du Président de la République. Les ministres provinciaux sont désignés par le Gouverneur au sein ou en dehors de l’Assemblée provinciale. La composition du Gouvernement provincial tient compte de la représentativité provinciale. Le nombre de ministres provinciaux ne peut dépasser dix. Avant d’entrée en fonction, le Gouverneur présente à l’Assemblée provincial le programme de son Gouvernement. Lorsque ce programme est approuvé à la majorité absolue des membres qui composent l’Assemblée provinciale, celle-ci investit les ministres. Les membres du Gouvernement provinciaux peuvent être, collectivement ou individuellement, relevés de leurs fonctions par le vote d’une motion de censure ou de défiance de l’Assemblée provinciale. Les dispositions des articles 146 et 147 de la présente Constitution s’appliquent mutatis mutandis aux membres du Gouvernement provincial. Il convient de dire qu’il ne s’agit ici que d’une supposition
[20:50:55 | Edited 20:51:03] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Quel peuple sommes-nous ?
[20:51:17] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Déification éternelle des présidents ?
[20:52:22] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Voilà pourquoi, dans le cadre du Projet 2014, nous disons qu’il n’y aura pas d’indépendance véritable du congolais tant que nous serons sous la république, cette peste qu’il faut vite faire que de balayer de notre pays !
[20:54:56] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Aller, à pas mesurés, vers une union d’états indépendants du Congo ou de l’Afrique Centrale est ce qui nous nettoyera l’espace politique congolais ou de l’Afrique Centrale et nous enlèvera toute velléité dicatoriale, autocratique.
[20:55:48] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Ne pas vouloir l’accepter, c’est, sans le savoir peut-être, caresser d’une main la liberté et de l’autre, s’accorcher à l’esclavage.

Droits de l’homme: l’Equateur propose d’aider les USA


Décidemment, l’Amérique Latine a sa façon de défendre son indépendance, sa souveraineté.  C’est le tour de l’Equateur de dire aux américains qu’ils n’aient pas le monopole de leçon à donner aux autres pays de la terre.  Cette façon de faire lui réussit-elle et comment pouvons-nous le voir ?

La question qui se pose est : quel est l’état réel du respect des droits de l’homme en Equateur et aux Etats-Unis et comment le savons-nous ?

Plus utilement encore, quel est l’état du respect des droits de l’homme en RDC et que faisons-nous pour son amélioration ?  2016 approche et les partis politiques ne bougent pas.  Ceux de l’opposition particulièrement, pendant que le pouvoir prépare bien ses cartouches…

A Projet 2014, nous affirmons que le non respect des droits de l’homme en RDC est principalement la conséquence directe de nos malheureux choix politique depuis les années 60 et particulièrement de l’adoption de la République comme modèle d’organisation de la politique dans notre pays fortement multiculturelle et d’origine coloniale.

C’est pourquoi, nous proposons à tous ceux qui croient comme nous en la nécessité d’un changement d’attitudes de notre part et en celle d’un passage de la république vers une union d’états indépendants au Congo, de ce joindre à nous, pour forcer la dictature, l’imposture et le colonialisme à la capitulation ; de peur que nous ne les écrasions de force ; parce que, contre la volonté de notre Dieu et de notre peuple, il n’est aucune force qui ne puisse résister !

Droits de l’homme: l’Equateur propose d’aider les USA.

La traîtrise est-elle africaine ?


La traîtrise est-elle africaine ?  Par plusieurs fois en effet, nous constatons que l’africain trahit son propre frère africain.  A la traîte des esclave, nos chefs noirs se firent les complices des arabes et des occidentaux.  Pendant la colinisation, plusieurs colonisés se virent tuées des mains des colonisées au service des colonisateurs.  Aujourd’hui, nos dictateurs sont à la soldes des pays néocolonisateurs et nos peuples sont poussés à l’exil.  Forcés à l’exil, pour laisser place à des pilleurs qui exploitent la crédulité de nos peuples ignorants.  Les récentes situations en Afrique Centrale sont interpellantes.

Les seleka ont été poussés au désespoir. Cela ne justifie pas qu’ils se livrent, eux aussi, à la tuerie, à l’arbitraire. Ils commencent de ce fait leur règne avec une mauvaise note. Ils ne sauront pas organiser une justice digne de ce nom. Parce qu’ils devraient alors commencer par se juger eux-mêmes pour les personnes mortes innocemment, sur les champs de bataille et ailleurs, par le fait de leur démarche. Ils ne sauront pas non plus organiser l’économie. Parce qu’ils doivent désormais payer les dettes des pays amis qui les ont aidés à prendre le pouvoir, les mains ensanglantées. Et tout cela, avant de ne penser à nos frères centrafricains, etc. Ces frères qu’ils se sont préparés à aller tuer !

Quant aux sud-africains, ils viennent de se trahir et de trahir l’Afrique. En s’engageant dans une lutte où les ennemis ne sont pas des non-africains, mais des africains, c’est une choix de trahison qu’ils firent. Leur cupidité les a donc amenés à sacrifier des centrafricains au profit d’étrangers. C’est moche que cette nouvelle traîtrise de l’homme africain par l’africain lui-même. C’est comme si l’esclavage, la colonisation, la dictature et l’imposture ne suffisaient pas encore sur notre continent !

La réalité est pourtant qu’au Nord, comme au Sud, les citoyens se laissent mener au supplice par leurs propres frères.  Par ces hommes qu’on appelle politiciens.