Notre niveau politique est encore très bas, chérie. Il nous faut nous instruire, nous former, nous éduquer. Nous-mêmes, cette fois-ci. Constatons que notre système éducatif actuel n’ait atteint que peu de personne ; et même ceux qui en sortent, ont des comportements qui montrent que ce système ne soit pas celui qu’il nous fallait. J’ai besoin de votre soutien pour y arriver. Conditions – disposer d’un ordinateur connecté ; – participer activement aux formations et travaux ; – s’inscrire ici https://projet2014.com/inscription pour pouvoir travailler en ligne sur le projet.
[12-04-25 20:22] III
Ce projet est très intéressant. Malheureusement, je ne sais pas m’inscrire maintenant, à cause de mon état d’esprit et de ma santé physique. Dès que je serai complètement rétablie, impérativement, je m’inscrirais. Mungu wetu atusaidiye !
Je suppose que tu apprends de l’histoire que nous vivons au pays.
Nous n’avons jamais voulu admettre que nous ayons opéré de mauvais choix. Notre salaire est une ignominie grandissante.
Objectivement, Tshisekedi et Nangaa ne pacifie pas la RDC. Tous les deux se tournent vers les États-Unis d’Amérique. Le premier pour « valoriser notre patrimoine et pacifier ». Le second, pour « libérer le Congolais de la dictature et développer le pays ».
Moi et toi n’arrivons à sensibiliser personne. Notre peuple manque de connaissance, d’expérience et de discipline. En même temps il ne veut ni apprendre, ni se former ni s’éduquer. Le mal est profond. Nous sommes des enfants maudits, inciviques, idolâtres.
Je trouve personne pour mobiliser et gérer pour nous tes concessions. Les mois passants, nous aurions pu avoir une 1ère récolte déjà. La voie de la suffisance alimentaire serait en déblaiement déjà. Un espoir commencerait à naître.
Qu’allons-nous faire ? Nous refusons de nous mettre autour d’une table pour réfléchir, pour décider et passer à l’acte. La paresse, l’égoïsme, l’irresponsabilité nous tuent.
Que nous suggère-tu ?
Un samedi pour la RDC
Un samedi, comme celui-ci, c’est le jour que nous pourrions travailler. Même avec des SMS, nous savons élaborer des projets innovateur. Pour nous équiper en compétence informatique, j’ai proposer. Des cours gratuits d’informatique pour débuter en informatique. Personne ne veut dépenser pour cela. Plusieurs prendrons leur bière ou embrasserons leurs concubins.
Pourquoi Dieu benirait-ils nos orgies ? Notre ruine n’est-elle pas garantie par nous-mêmes ?
La spoliation culturelle s’est mondialiste et un peuple, qui ne se protège pas, dépérit.
De quelle responsabilité parentale devons nous parler ? Comment la garantirons-nous efficacement, si nous ne reprenons le contrôle de notre identité culturelle ?
À tous les familles, patriarchies, clans, tribus, ethnies et peuples, du Congo Kinshasa, nous conseillons une décolonisation mentale et spirituelle urgente, pour arrêter l’hémorragie que nous infligent les hommes que nous avons commis ou que nous tolérons au pouvoir depuis 1960.
Nous étions sensés prendre notre indépendance : pas des mains des Belges !
Pourquoi apprenons-nous encore le français alors que nous passons toutes nos journées à parler nos langues vernaculaires ou maternelles ?
Dans nos écoles, nos bureaux et nos chantiers, c’est par obligation que plusieurs d’entre nous parlent français. Dans nos bureaux, tout comme dans nos chantiers, le français est généralement réservé au dialogue avec des non étrangers : nos langues vernaculaires étant celles préférées. Tout naturellement, dans nos maisons, ce sont nos langues paternelles ou maternelles qui sont usitées ; du moins, chez ceux d’entre nous qui voudraient garder leur identité culturelle.
Si donc nous pouvons encontre trouver d’utilité au français, ce n’est pas tant parce qu’il nous unirait, mais beaucoup plus parce que c’est lui la langue qui nous permet d’acquérir les autres savoirs : les mathématiques, les sciences et même les autres langues. N’ayant pas développé nos académies, nous cramponant à l’école napoléoniène, nous n’avons pas encore trouvé une alternative aux langues coloniales.
La multiplication des relations internationales, la croissance de l’importance des langues dans les affaires, les fréquentes migrations des personnes, obligent plusieurs étrangers à apprendre nos langues, pour vendre plus aisément chez nous ; autant que cela nous oblige à apprendre plusieurs langues étrangères pour communiquer et pour migrer vers d’autres régions du monde.
Hier, notre destination principale était la Belgique. Aujourd’hui, plusieurs destinations de déplacements s’offrent à nous. Nous nous retrouvons en Chine comme à Ottawa ; aux Phillipines comme en Colombie. Nos citoyens se doivent donc apprendre plusieurs autres langues en fonction de leurs choix de vie : partenaires, conjoints, clients, alliés, etc.
Nous avons proposé, pour notre enseignement, la prise en compte des langues parlées dans les pays limitrophes : la langue vernaculaire, le français – depuis le primaire, l’anglais – dès le secondaire, le portugais – de le supérieur. Jusque là, personne n’en tient compte et plusieurs de nos compatriotes n’ont toujours pas encore la maîtrise de la 2ème langue.
Nous sommes impopulaires partout : cela n’est pas à démontrer. Il suffit de consulter les statistiques de ce site pour s’en convaincre.
Dans la ville de Kisangani, la grogne « monterait ». Selon une publication vidéo qui circule sur WhatsApp. Une enquête nous amène à douter de l’authenticité de cette publication, qui serait de l’intoxication, selon une relation de la ville de Kisangani, ainsi que nous pouvons le lire ci-dessous.
Bonjour Graphèle. C'est faux et archifaux. C'est du n'importe quoi. Nous nous demandons quel jour a pu avoir lieu à Kisangani un tel évènement. Ce sont de fausses informations. Comment ça va ?
Il faut se demander si nos compatriotes croient nous aider à gagner notre indépendance avec la désinformation ou encore la confusion.
Un nouveau front doit être ouvert dans la lutte pour notre indépendance. Nous nous devons d’éduquer nos enfants de l’importance de la vérité dans notre cheminement vers le développement. Sinon, l’échec continuera à être cuisant dans les décennies à venir, dans un pays où, progressivement, la parole donnée perd de sa valeur.
Qu’à cela ne tiennent. De récentes décisions issues des instances du pouvoir, du gouvernement et du Parlement de Kinshasa montrent que celles-ci soient dépassées par le cours des évènements. Des hommes s’énervent, se fâchent et prennent des décisions la tête en surchauffe ; ce qui, à coup sûr, les disqualifiera une fois pour toute.
La rage ne monte pas : elle est là, bien installée, depuis les années 1959 selon l’histoire, jusque ce jour, sans résultat probant – à ce qu’il nous semble. Pourquoi ?
L’analyse rapide de la vidéo suivante, comme de bien d’autres vidéos similaires, permet de rapidement comprendre la légèreté de notre démarche, lors même que nous prenons YHW en témoin.
LA CONNAISSANCE DE LA PSYCHOLOGIE TUTSI, C’EST LE DÉBUT DE LA FIN DE L’INSTABILITÉ À L’EST DE LA RDC.
Ne te hasarde jamais et au grand jamais à solliciter un dialogue , autrement dit , une négociation avec un Tutsi. Dans la culture , la tradition , l’expérience et la mentalité d’un Tutsi , demander de négocier ou de dialoguer avec lui revient à lui envoyer un message clair et sans équivoque à savoir : le signal de ta faiblesse et donc , de ton incapacité de te battre avec lui .
Le Tutsi ne croit qu’en la loi du plus fort et du plus rusé et uniquement en cette loi .
Le Tutsi est totalement et définitivement dépourvu des sentiments tels que la pitié , la compassion , la reconnaissance, la clémence , la gratitude ou la compréhension .
Le Tutsi est doté d’une capacité mémorielle stupéfiante . Il n’oublie jamais , au grand jamais , surtout le mal qu’on lui a causé. Par contre , il est prompt à effacer de son esprit le bien qu’on lui a fait pour ne pas devoir ensuite s’acquitter de la dette de reconnaissance, preuve de faiblesse selon leur psychologie.
Contrairement à nous autres Bantous congolais , le Tutsi est pourvu non seulement d’une surprenante mémoire collective, mais aussi d’une conscience communautaire à toute épreuve . Face à cette qualité supérieure , nous autres Bantous congolais sommes battus à plate couture, écrasés et bons à être jetés dans les poubelles de l’histoire .
Lorsque d’aventure , un Tutsi accepte d’amorcer un dialogue ou une négociation avec un Muntu , cela signifie tout simplement qu’il consent à le tuer à petits feux , en commençant par un bras , puis l’autre , ensuite une jambe , puis l’autre , puis une oreille , et ensuite l’autre jusqu’à ce que , de guerre lasse , il lui tranche enfin la tête .
Le Tutsi nage avec une extraordinaire facilité dans les eaux glauques et n’est pas du tout incommodé par la puanteur qu’exhalent les mensonges . Du reste , le mensonge qui se désigne en kinyarwanda par le terme « ubwenge » tient lieu dans leur culture de l’une des vertus cardinales.
Le Tutsi tient en piètre estime la fidélité de sa femme et même la virginité de sa fille lorsqu’il s’agit d’arracher une faveur , d’obtenir un avantage et surtout de faire triompher la cause de son ethnie .
Le Tutsi est capable de faire preuve d’une patience inouïe , quasiment angélique si, au bout d’un temps qui peut se mesurer en décennies et même en siècles, il est assuré d’obtenir le résultat escompté. Tous ceux qui ignorent ou qui , pour leur plus grand malheur ont oublié ces caractéristiques de la psychologie du Tutsi en acceptant l’ouverture de négociations et d’un dialogue avec les membres de cette communauté l’ont payé de leurs vies . Tu veux des exemples ? Vraiment ? En voici quatre , très très probants :
A. Le président hutu burundais Melchior N’dadaye était en négociations avec les factions militaires tutsies burundaises lorsqu’il fut assassiné et sauvagement mutilé dans le camp miliaire de Bujumbura en octobre 1993.
B. Le président hutu rwandais Juvénal Habyarimana venait de signer les accords d’Arusha le 6 avril 1994 avec la milice armée extrémiste tutsie dénommée FPR, Front patriotique rwandais du général tutsi sanguinaire Paul Kagame , croyant ainsi naïvement en avoir fini avec les assassinats et les meurtres lorsque son Jet privé , un Falcon 250 avec un équipage français fut abattu dans la même soirée du 6 avril 1994, vers 20 heures 15, au-dessus de Kigali . Juvénal Habyarimana périt dans l’attentat de son avion avec le chef d’Etat-major général des Forces armées rwandaises, les FAR, en la personne du général Nsabimana, lui aussi un Hutu. Dans le même aéronef trouva également la mort un autre président hutu, le Burundais Cyprien N’taryamira. Les Tutsis réussirent ainsi un exploit unique et sans précédent dans l’histoire de l’humanité en assassinant deux Chefs d’Etat dans un même attentat. D’une pierre deux coups. L’encre des accords d’Arusha n’avait pas encore eu le temps de sécher que les dits accords étaient déjà violés, devenant du caducs au moment où deux parmi les signataires , tous deux des Hutus étaient liquidés dans le crash de leur appareil .
C. Les négociations qui se sont déroulées sous le prestigieux égide des Nelson Mandela sur l’Outenika, un navire de guerre sud-africain ancré au large de Pointe-Noire au Congo-Brazzaville entre feu le maréchal Mobutu et la milice armée ethnique et extrémiste tutsie dénommée Afdl n’ont jamais pu aboutir parce que pendant que les négociations se tenaient , l’Afdl poursuivait son inexorable avance vers Kinshasa.
La capitale zaïroise fut investie et conquise le 17 mai 1997, rendant du coup vaine et sans objet tout dialogue.
D. Le président Laurent -Désiré Kabila fut lui aussi assassiné en pleines négociations avec ses anciens alliés tutsis de l’Afdl .
E. Fatshi ne serait plus de ce monde s’il a avait pris place à bord du même appareil que ses gardes du corps, son chauffeur et sa voiture blindée lors du retour de son premier voyage à l’Est du pays.
F. D’après mon comptage , plus de 54 conférences ,dialogues, conclaves, sommets, rencontres ont été organisés depuis 26 ans entre les Bantous congolais et le régime des Tutsis au pouvoir au Rwanda, ayant accouché selon toi de plus de 70 résolutions pour ramener la paix au Congo . Tout cela en pure perte car, après l’Est de notre pays , c’est maintenant l’ouest , c’est la province de Bandundu , ce sont les territoires de Kwamouth, de Bagata, ds Masi-Manimba, de Bulungu , c’est aussi le Bas-Congo qui sont désormais mis à feu et à sang.
La crise congolaise ne relève nullement de nature politique parce que trois élections présidentielles (2006, 2011,2018) n’ont pas réussi à y mettre un terme . On a même remarqué une aggravation de l’insécurité , une recrudescence des massacres et une prolifération de milices tutsies au surlendemain de chaque scrutin présidentiel ( CNDP du Tutsi Laurent Nkundabatware, M23 de Jean-Bosco N’taganda et de Sultani Makenga, CODECO, RED TABARA, ADD/NALU, etc. )
La crise congolaise est d’essence ethnique parce qu’elle oppose les Tutsis du Rwanda aux Bantous du Congo. Après plus de 26 ans de massacres , de viols et d’abominations, les Bantous congolais n’ont pas encore réussi à qualifier de façon pertinente l’immense tragédie qui ensanglante leur nation. Ils continuent de parler de leurs agresseurs qui seraient des Rwandais ! Du grand n’importe quoi ! Un lézard et un crotale sont , certes , tous deux des reptiles. Mais le premier est inoffensif tandis que le second possède un venin mortel. En cas de morsure, un individu qui dirait qu’il a été mordu par un « reptile » se condamne lui-même à la mort.
Les Hutus et les Tutsis sont des Rwandais. Les premiers cités ne sont pas nos ennemis. Les seconds sont nos bourreaux qu’il convient de désigner exclusivement par leur appartenance ethnique et non pas par leur identité nationale. Tant que les Bantous du Congo, nos compatriotes, n’auront pas compris cette subtilité sémantique élémentaire, ils sont promis à une extermination à plus ou moins long terme.
Nous autres Bantous congolais ne pouvons pas user de la moindre complaisance ni faire preuve de compassion envers les Tutsis qui ont bénéficié pendant des décennies de notre hospitalité, à qui nous avons offert le gîte et le couvert, que nous avons rendus riches, puissants et opulents au point que certains d’entre eux ont même occupé de hautes fonctions dans nos institutions politiques. Mais ce n’est pas tout. Nous avons aussi ouvert les portes de nos établissements scolaires et les amphithéâtres de nos universités aux enfants de ces Tutsis accueillis, à bras ouverts, en réfugiés chez nous pendant des décennies. Mais voilà que, depuis septembre 1996, déclenchant une invasion militaire à partir de la bourgade de Lemera, l’Afdl , une milice armée ethnique tutsie financée et équipée par cette race de cafards s’est brusquement retournée contre nous, leurs bienfaiteurs bantous et nous font désormais paître avec un sceptre d’airain.
À l’insu de nos dirigeants, la république démocratique du Congo est désormais complètement cernée de toutes parts, du côté de la Centrafrique comme de celui de Brazzaville, aussi bien sur ses frontières avec l’Ouganda , avec la Zambie et la Tanzanie que du côté du Soudan. Désormais, le péril, omniprésent, campe à nos frontières.
Notre pays, avec au sein des FARDC plus de 2.500 officiers tutsis (selon des chiffres datant de cinq ans), vit donc sous un régime d’occupation militaire, cause principale ayant engendré cinq effets majeurs et funestes :
A. La domination politique des Tutsis sur les Bantous.
B. l’assujettissement des Bantous congolais par les Tutsis.
C. Un génocide des Bantous congolais dont le bilan de pertes en vies humaines dépasse déjà aujourd’hui les 12 millions de morts.
D. le pillage éhonté et systématique de nos richesses minières, aggravé par l’évasion de nos recettes fiscales et douanières.
E. des velléités de balkanisation du Congo en vue de la création d’un tutsi land ou foyer national tutsi au détriment de l’intégrité nationale et de l’unité politique de la république démocratique du Congo.
Face à de tels périls, que peuvent les négociations, les dialogues et les élections ? Rien !! Quand les Bantous congolais comprendront -ils enfin qu’ils ne pourront espérer survivre dans les années et les décennies à venir qu’en versant des hectolitres de larmes et de sang dans une lutte sans merci contre les Tutsis ? Dans le cas contraire, ils n’ont qu’à se rappeler le sort réservé à la Yougoslavie dont le nom a disparu du lexique politique. Il est temps que les Bantous prennent le sentier de la guerre et qu’ensemble, les armes au point , ils crient « Sus à l’envahisseur tutsi ! » en les traquant et en les débusquant sur l’ensemble du territoire national congolais. Les Tutsis qui résisteront ou qui refuseront de battre en retraite vers le Rwanda paieront de leurs vies leur témérité, leur ingratitude, leur trahison et leur félonie. Dans le cas contraire, les Bantous congolais n’auront bientôt plus que leurs yeux pour pleurer leur pays perdu et leurs existences ravagées pour l’éternité.
Pour terminer, une anecdote qui te donnera peut-être une vague idée du cynisme, de la capacité de mensonge et de l’impudence des Tutsis. Cette communauté ethnique negro-africaine tire son nom de l’empereur romain Flavinius Titus mort à Rome en l’an 81 après Jesus -Christ si je ne l’abuse. L’empereur Flavinius Titus s’était en effet rendu sur les hauts plateaux d’Abyssinie (situés dans l’actuelle Éthiopie) pour recruter des mercenaires noirs africains en vue de les enrôler dans les légions romaines. Puis, il marcha sur la Palestine en l’an 79 après Jésus-Christ pour entreprendre le siège de Jérusalem. Lorsque la ville sainte des Juifs se rendit , elle fut mise à sac, sa population massacrée, ses temples, dont celui de Salomon incendiés avec de surcroît, la profanation de leurs sanctuaires où les saints des saints. Naturellement, les mercenaires abyssiniens prirent une part active dans le pillage de Jérusalem dont la principale conséquence fut le phénomène de la dispersion des Juifs travers toute la planète, événement connu désormais sous l’appellation de « diaspora ».
Pendant deux mille ans, les Juifs ayant perdu et fui la Palestine furent persécutés à cause notamment des mercenaires noirs enrôlés dans les légions de romaines par l’empereur Titus. À la mort de ce dernier, les soldats africains furent démobilisés. Ils s’en retournèrent en Abyssinie. En mémoire de leur empereur, des exploits militaires qu’ils avaient accomplis sous ses ordres, ils adoptèrent son nom Titus dont, au fil des siècles, les deux voyelles furent inversées pour donner lieu au vocable Tuti ou Tutsi. Jusque là, rien de bien méchant. Mais attends. Attends la suite.
En mai 1948 naquit l’Etat d’Israël, permettant ainsi aux Juifs disséminés à travers le monde et en errance depuis deux mille ans de retrouver enfin leur patrie. Très bien. Mais en septembre 1999, les Tutsis firent croire aux Juifs qu’ils partageaient les mêmes ascendants, qu’eux aussi faisaient parties de l’une des 12 tribus perdues d’Israël.
Les dirigeants juifs gobèrent ce colossal « ubwenge ». Tant et si bien que cette même année 1999, dans un des hôtels Mercure situé dans la banlieue de Bruxelles, une alliance connue sous le nom de « Pacte de Havila » fut scellée entre les Juifs et leurs anciens bourreaux les Tutsis, ceux à cause desquels ils ont connu deux mille ans d’errance, de pogromes et de persécutions à travers la planète avec, comme clef de voûte de tous les malheurs qui se sont abattus sur eux, la Shoah ou l’holocauste des Juifs sous le IIIe Reich d’Adolphe Hitler .
Pour couronner le tout, depuis 1999, les Tutsis s’appellent désormais « communauté hébraïque tutsie » ! Ils ont ainsi réussi à duper même les Juifs qui passent pourtant pour la race la plus intelligente de la terre, si on compte le nombre de Prix Nobel qui leur attribués, comparés à ceux remportés par les autres groupes raciaux.
On comprend maintenant d’où sont venus le soutien militaire, l’assistance diplomatique, l’aide logistique, l’appui financier et la complaisance médiatique qui permirent aux Tutsis de conquérir notre pays en 9 mois, de septembre 1996 au 17 mai 1997 et de d’emparer du pouvoir à Kinshasa.
Je ne verrais aucun inconvénient si tu pouvais assurer une large diffusion à ce message dont tu voudras bien, au passage, excuser la longueur excessive. Mais je crois qu’il en valait peut-être la peine.
Est-ce vrai que l’UDPS soit jaloux contre Nzanga ? C’est ce que nous débattons ici-bas. L’opposition culturelle entre lubaphones et swahiliphones vient de très loin et s’accroît avec l’avènement de l’UDPS au pouvoir.
« La jalousie de l’UDPS. » C’est ce que voit un compatriote dans le soulèvement de certains membres de l’UDPS contre l’AVPR naissant.
Nous avons alors posé la question: « Que fera l’AVRP pour contrer victorieusement cette jalousie éventuelle de l’UDPS avec un bénéfice pour la RDC ? »
Une réponse nous a été fournie illico.
« AVRP a ses élus et est membre d’une grande plateforme politique. Malgré la jalousie historique et continuelle de certains égarés de l’UDPS. AVRP restera au côté du Chef de l’État. Nous connaissons bien le mode opératoire de l’UDPS. On gère le pouvoir grâce aux principes et non pas avec des imaginations. Sans ses alliés, l’UDPS ne vaut rien. »
Nous en profitons pour revenir à cette écharde dont souffre la RDC depuis les années 60.
En RDC, en effet, en exagérant, aucun politique n’a des principes humains, démocratiques, clairs, connus, suivis rigoureusement, pour présider à la destinée de notre peuple. Nos hommes politiques, sans formation politique de base ni éducation politiques spécifiques, bricolent. Aucun chef de l’État ne sait libérer le congolais de l’esclavage (pauvreté, dictat) ni du banditisme ni de l’ignorance ni de l’aliénation mentale, etc. Frères, séparons nous de ces hommes sans foi ni loi. Ne serait-ce d’esprit ! Formons nos enfants, tous les soirs, à mener une vie qui ne soit pas celle de ces irresponsables connus de longue date, de ces méchants, de ces destructeurs sans scrupules.
L’Ituri, par exemple, dans son âme, n’est normalement pas UDPS. Ils aiment bricoler, dominer, tricher, se venter, paraître, dans leur parti tribal. Nous, sans parti politique fort, sommes une multiculture de travail bien accompli, d’honnêteté, de respect, de sérieux, de responsabilité, de naïveté ; à dire vrai. Il faudra donc beaucoup de temps pour que nous devenions une symbiose ! Les udpsistes devront apprendre à s’humilier, à se civiliser, nous devront apprendre à nous organiser politiquement et à ouvrir nos yeux, d’abord !
Cela doit se travailler de part et d’autre, sans ambages ! En attendant, nos fils doivent arrêter net toute spoliation de nos moeurs en s’investissant dans un parti qui viole et spolie toute notre culture, qui détruit nos valeurs, qui nous tire vers le bas ; pour avoir le temps de mettre lendu et hema sur les rails et avoir la force de prendre notre indépendance véritable, pendant que d’autres se plaisent à être assujettis à nos ennemis, du dedans et du dehors, clairement identifiés, depuis belle lurette ! Ce challenge, l’iturien ne se l’est pas encore approprié !
L’AVPR finira par être nord-kivutien, s’il ne l’est pas encore. Là aussi, la relation à l’UDPS se reduira à la question culturelle. Le Kivu, en effet, est une autre culture, opposée, elle aussi au registre kasaïen, pour cause d’autres incompatibilités connues également ; mais qui demandent du temps pour être résolues.
Sont-ce là des raisons de s’alarmer ? Existe-il des solutions acceptables pour tous ?
Oui : des hommes meurent en masse dans l’Ituri et dans le Kivu.
Non : l’UDPS veut dominer et se pavoiner, ni l’Ituri ni le Kivu n’ont du temps pour cala ; et de plus, cela n’est pas le destin qu’ils visent.
Dans cette condition, l’urgence est que les brimés se liguent pour prendre leur défense. Bourrés de traîtres , infiltrés par les udpsistes, les Ituriens et les Kivutiens auront du mal à s’en sortir. Ils doivent d’abord amégager leurs maisons respectives, trouver des terrains d’attentes pour se liguer et engager une contre-attaque victorieuse qui imposera à tous le respect mutuel.
Quelques décennies sont nécessaires, parce que, l’alliance soudano-nilotique ajoute une couche au problème que nous travaillons, dans Projet 2014, depuis 1976 déjà, et dont nous mesurons la complexité au plan humain, sociologique, économique et spirituel !
Comme les Congolais refusent de se mettre autour d’une table, la difficulté de solutionner les problèmes ira croissante !
Cet article est long. Cependant, il est riche d’informations utiles. Bien que trompeur et révoltant sur certains points, et voire même insultant pour les nilotiques congolais que nous sommes – dits alliés naturels des Tutsi, il vaut la peine d’être lu, la tête bien froide, pour comprendre pourquoi nous insistons – avec l’auteur d’ailleurs, en d’autres lieux – sur la nécessité pour nos peuples de travailler leur indépendance (dépendance) et leur libération (colonialisme, esclavagisme, dictature).
Que vous soyez bantous ou non-bantous, retenez votre souffle.
Enfin, le yansi ou yanzi qui écrit, n’est peut-être pas bantou lui-même. En effet, certaines informations en notre possession, provenant du Bandundu profond, laissent penser que les origines des yanzi ne soient pas très bien connues. Rassurons-nous. Avec ce que permet la génétique aujourd’hui, certains d’entre auront bientôt la surpprise d’apprendre qu’ils ne sont pas ce qu’ils croyaient être…
Lisez la suite, distribuée tel que reçue ; et attribuée à notre frère Kwebe Kimpele.
Sur la compréhension de la stratégie rwandaise, KWEBE Kimpele persiste et signe.
N’leki Bolodjwa, bonjour. Merci, infiniment, po na appel na yo de tout à l’heure, ce samedi 8 octobre 2022. Me permettras-tu de te dispenser une petite leçon sur la psychologie ethnique des Tutsis ? Merci d’avance.
Ne te hasarde jamais, au grand jamais à solliciter un dialogue, autrement dit, une négociation avec un Tutsi. Dans la culture, la tradition, l’expérience et la mentalité d’un Tutsi, demander de négocier ou de dialoguer avec lui revient à lui envoyer un message clair et sans équivoque à savoir : le signal de ta faiblesse et donc, de ton incapacité de te battre avec lui.
Le Tutsi ne croit qu’en la loi du plus fort et du plus rusé et uniquement en cette loi.
Le Tutsi est totalement et définitivement dépourvu des sentiments tels que la pitié, la compassion, la reconnaissance, la clémence, la gratitude ou la compréhension.
Le Tutsi est doté d’une capacité mémorielle stupéfiante. Il n’oublie jamais, au grand jamais, surtout le mal qu’on lui a causé. Par contre, il est prompt à effacer de son esprit le bien qu’on lui a fait pour ne pas devoir ensuite acquitter une dette de reconnaissance, preuve de faiblesse selon leur psychologie.
Contrairement à nous autres Bantous congolais, le Tutsi est pourvu non seulement d’une surprenante mémoire collective, mais aussi d’une conscience communautaire à toute épreuve. Face à cette qualité supérieure, nous autres Bantous congolais sommes battus à plate couture, écrasés et tout juste bons à être jetés dans les poubelles de l’histoire.
Lorsque d’aventure, un Tutsi accepte d’amorcer un dialogue ou une négociation avec un Muntu, cela signifie tout simplement qu’il consent à le tuer à petits feux, en commençant par un bras, puis l’autre, ensuite une jambe, puis l’autre, puis une oreille, et ensuite l’autre jusqu’à ce que, de guerre lasse, il lui tranche enfin la tête.
Le Tutsi nage avec une extraordinaire facilité dans les eaux glauques et n’est pas du tout incommodé par la puanteur qu’exhalent les mensonges. Du reste, le mensonge qui se désigne en kinyarwanda par le terme « ubwenge » tient lieu dans leur culture de l’une des vertus cardinales.
Le Tutsi tient en piètre estime la fidélité de sa femme et même la virginité de sa fille lorsqu’il s’agit d’arracher une faveur, d’obtenir un avantage et surtout de faire triompher la cause de son ethnie.
Le Tutsi est capable de faire preuve d’une patience inouïe, quasiment angélique si, au bout d’un temps qui peut se mesurer en décennies et même en siècles, il est assuré d’obtenir le résultat escompté. Tous ceux qui ignorent ou qui , pour leur plus grand malheur ont oublié ces caractéristiques de la psychologie du Tutsi en acceptant l’ouverture de négociations et d’un dialogue avec les membres de cette communauté l’ont payé de leurs vies. Tu veux des exemples ? Vraiment ? En voici quatre, très très probants :
a. Le président hutu burundais Melchior N’dadaye était en négociations avec les factions militaires tutsies burundaises lorsqu’il fut assassiné et sauvagement mutilé dans le camp miliaire de Bujumbura en octobre 1993.
b. Le président hutu rwandais Juvénal Habyarimana venait de signer les accords d’Arusha le 6 avril 1994 avec la milice armée extrémiste tutsie dénommée FPR, Front patriotique rwandais du général tutsi sanguinaire Paul Kagame, croyant ainsi naïvement en avoir fini avec les assassinats et les meurtres lorsque son Jet privé, un Falcon 250 avec un équipage français fut abattu dans la même soirée du 6 avril 1994, vers 20 heures 15, au-dessus de Kigali. Juvénal Habyarimana périt dans l’attentat de son avion avec le chef d’Etat-major général des Forces armées rwandaises, les FAR, en la personne du général Nsabimana, lui aussi un Hutu. Dans le même aéronef trouva également la mort un autre président hutu, le Burundais Cyprien N’taryamira. Les Tutsis réussirent ainsi un exploit unique et sans précédent dans l’histoire de l’humanité en assassinant deux Chefs d’Etat dans un même attentat. D’une pierre deux coups. L’encre des accords d’Arusha n’avait pas encore eu le temps de sécher que les dits accords étaient déjà violés, devenant du caducs au moment où deux parmi les signataires , tous deux des Hutus étaient liquidés dans le crash de leur appareil .
c. Les négociations qui se sont déroulées sous le prestigieux égide des Nelson Mandela sur l’Outenika, un navire de guerre sud-africain ancré au large de Pointe-Noire au Congo-Brazzaville entre feu le maréchal Mobutu et la milice armée ethnique et extrémiste tutsie dénommée Afdl n’ont jamais pu aboutir parce que pendant que les négociations se tenaient, l’Afdl poursuivait son inexorable avance vers Kinshasa. La capitale ad zaïroise fut investie et conquise le 17 mai 1997, rendant du coup vaine et sans objet tout dialogue.
d. Le président Laurent -Désiré Kabila fut lui aussi assassiné en pleines négociations avec ses anciens alliés tutsis de l’Afdl.
e. Fatshi ne serait plus de ce monde s’il a avait pris place à bord du même appareil que ses gardes du corps, son chauffeur et sa voiture blindée lors du retour de son premier voyage à l’Est du pays.
f. D’après mon comptage, plus de 54 conférences, dialogues, conclaves, sommets, rencontres ont été organisés depuis 26 ans entre les Bantous congolais et le régime des Tutsis au pouvoir au Rwanda, ayant accouché selon toi de plus de 70 résolutions pour ramener la paix au Congo. Tout cela en pure perte car, après l’Est de notre pays, c’est maintenant l’ouest, c’est la province de Bandundu, ce sont les territoires de Kwamouth, de Bagata, ds Masi-Manimba, de Bulungu, c’est aussi le Bas-Congo qui sont désormais mis à feu et à sang. Mais c’est juste en ce moment que cette ordure de Vital Kamerhe ose préconiser l’ouverture…. d’un dialogue avec les Tutsis à travers leur milice 23 ? Vital Kamerhe est un vrai fumier ! La crise congolaise ne relève nullement de nature politique parce que trois élections présidentielles (2006, 2011,2018) n’ont pas réussi à y mettre un terme. On a même remarqué une aggravation de l’insécurité, une recrudescence des massacres et une prolifération de milices tutsies au surlendemain de chaque scrutin présidentiel ( CNDP du Tutsi Laurent Nkundabatware, M23 de Jean-Bosco N’taganda et de Sultani Makenga, CODECO, RED TABARA, ADD/NALU, etc.) La crise congolaise est d’essence ethnique parce qu’elle oppose les Tutsis du Rwanda aux Bantous du Congo. Après plus de 26 ans de massacres, de viols et d’abominations, les Bantous congolais n’ont pas encore réussi à qualifier de façon pertinente l’immense tragédie qui ensanglante leur nation. Ils continuent de parler de leurs agresseurs qui seraient des Rwandais ! Du grand n’importe quoi ! Un lézard et un crotale sont, certes, tous deux des reptiles. Mais le premier est inoffensif tandis que le second possède un venin mortel. En cas de morsure, un individu qui dirait qu’il a été mordu par un « reptile » se condamne lui-même à la mort. Les Hutus et les Tutsis sont des Rwandais. Les premiers cités ne sont pas nos ennemis. Les seconds sont nos bourreaux qu’il convient de désigner exclusivement par leur appartenance ethnique et non pas par leur identité nationale. Tant que les Bantous du Congo, nos compatriotes, n’auront pas compris cette subtilité sémantique élémentaire, ils sont promis à une extermination à plus ou moins long terme. Nous autres Bantous congolais ne pouvons pas user de la moindre complaisance ni faire preuve de compassion envers les Tutsis qui ont bénéficié pendant des décennies de notre hospitalité, à qui nous avons offert le gîte et le couvert, que nous avons rendus riches, puissants et opulents au point que certains d’entre eux ont même occupé de hautes fonctions dans nos instituions politiques. Mais ce n’est pas tout. Nous avons aussi ouvert les portes de nos établissements scolaires et les amphithéâtres de nos universités aux enfants de ces Tutsis accueillis, à bras ouverts, en réfugiés chez nous pendant des décennies. Mais voilà que, depuis septembre 1996, déclenchant une invasion militaire à partir de la bourgade de Lemera, l’Afdl , une milice armée ethnique tutsie financée et équipée par cette race de cafards s’est brusquement retournée contre nous, leurs bienfaiteurs bantous et nous font désormais paître avec un sceptre d’airain. A l’insu de nos dirigeants, la république démocratique du Congo est désormais complètement cernée de toutes parts , du côté de la Centrafrique comme de celui de Brazzaville, aussi bien sur ses frontières avec l’Ouganda, avec la Zambie et la Tanzanie que du côté du Soudan. Désormais, le péril, omniprésent, campe à nos frontières. Notre pays, avec au sein des FARDC plus de 2.500 officiers tutsis (selon des chiffres datant de cinq ans ), vit donc sous un régime d’occupation militaire, cause principale ayant engendré cinq effets majeurs et funestes :
a. la domination politique des Tutsis sur les Bantous.
b. l’assujettissement des Bantous congolais par les Tutsis.
c. Un génocide des Bantous congolais dont le bilan de pertes en vies humaines dépasse déjà aujourd’hui les 12 millions de morts.
d. le pillage éhonté et systématique de nos richesses minières, aggravé par l’évasion de nos recettes fiscales et douanières.
e. des velléités de balkanisation du Congo en vue de la création d’un tutsi land ou foyer national tutsi au détriment de l’intégrité nationale et de l’unité politique de la république démocratique du Congo. Face à de tels périls , que peuvent les négociations , les dialogues et les élections ? Rien !! Quand les Bantous congolais comprendront-ils enfin qu’ils ne pourront espérer survivre dans les années et les décennies à venir qu’en versant des hectolitres de larmes et de sang dans une lutte sans merci contre les Tutsis ? Dans le cas contraire, ils n’ont qu’à se rappeler le sort réservé à la Yougoslavie dont le nom a disparu du lexique politique. Il est temps que les Bantous prennent le sentier de la guerre et qu’ensemble, les armes au point, ils crient « Sus à l’envahisseur tutsi ! » en les traquant et en les débusquant sur l’ensemble du territoire national congolais. Les Tutsis qui résisteront ou qui refuseront de battre en retraite vers le Rwanda paieront de leurs vies leur témérité, leur ingratitude, leur trahison et leur félonie. Dans le cas contraire, les Bantous congolais n’auront bientôt plus que leurs yeux pour pleurer leur pays perdu et leurs existences ravagées pour l’éternité. Pour terminer, une anecdote qui te donnera peut-être une vague idée du cynisme, de la capacité de mensonge et de l’impudence des Tutsis. Cette communauté ethnique negro-africaine tire son nom de l’empereur romain Flavinius Titus mort à Rome en l’an 81 après Jésus-Christ si je ne l’abuse. L’empereur Flavinius Titus s’était en effet rendu sur les hauts plateaux d’Abyssinie (situés dans l’actuelle Éthiopie) pour recruter des mercenaires noirs africains en vue de les enrôler dans les légions romaines . Puis, il marcha sur la Palestine en l’an 79 après Jésus-Christ pour entreprendre le siège de Jérusalem. Lorsque la ville sainte des Juifs se rendit, elle fut mise à sac, sa population massacrée, ses temples, dont celui de Salomon incendiés avec de surcroît, la profanation de leurs sanctuaires où les saints des saints. Naturellement, les mercenaires abyssiniens prirent une part active dans le pillage de Jérusalem dont la principale conséquence fut le phénomène de la dispersion des Juifs travers toute la planète , événement connu désormais sous l’appellation de « diaspora ». Pendant deux mille ans, les Juifs ayant perdu et fui la Palestine furent persécutés à cause notamment des mercenaires noirs enrôlés dans les légions de romaines par l’empereur Titus. A la mort de ce dernier, les soldats africains furent démobilisés. Ils s’en retournèrent en Abyssinie. En mémoire de leur empereur, des exploits militaires qu’ils avaient accomplis sous ses ordres, ils adoptèrent son nom Titus dont ,u au fil des siècles, les deux voyelles furent inversées pour donner lieu au vocable Tuti ou Tutsi. Jusque là, rien de bien méchant. Mais attends. Attends la suite.
En mai 1948 naquit l’Etat d’Israël, permettant ainsi aux Juifs disséminés à travers le monde et en errance depuis deux mille ans de retrouver enfin leur patrie. Très bien. Mais en septembre 1999, les Tutsis firent croire aux Juifs qu’ils partageaient les mêmes ascendants, qu’eux aussi faisaient parties de l’une des 12 tribus perdues d’Israël.
Les dirigeants juifs gobèrent ce colossal « ubwenge ». Tant et si bien que cette même année 1999, dans un des hôtels Mercure situé dans la banlieue de Bruxelles, une alliance connue sous le nom de « Pacte de Havila » fut scellée entre les Juifs et leurs anciens bourreaux les Tutsis, ceux à cause desquels ils ont connu deux mille ans d’errance, de pogromes et de persécutions à travers la planète avec, comme clef de voûte de tous les malheurs qui se sont abattus sur eux, la Shoah ou l’holocauste des Juifs sous le IIIe Reich d’Adolphe Hitler . Pour couronner le tout, depuis 1999, les Tutsis s’appellent désormais « communauté hébraïque tutsie » ! Ils ont ainsi réussi à duper même les Juifs qui passent pourtant pour la race la plus intelligente dela terre, si on compte le nombre de Prix Nobel qui leur attribués, comparés à ceux remportés par les autres groupes raciaux . On comprend maintenant d’où sont venus le soutien militaire, l’assistance diplomatique, l’aide logistique, l’appui financier et la complaisance médiatique qui permirent aux Tutsis de conquérir notre pays en 9 mois , de septembre 1996 au 17 mai 1997 et de d’emparer du pouvoir à Kinshasa.
Je ne verrais aucun inconvénient si tu pouvais assurer une large diffusion à ce message dont tu voudras bien, au passage, excuser la longueur excessive. Mais je crois qu’il en valait peut-être la peine.
[12/8, 10:03] Paul Emile Okoka: Mediter et partager massivement ce qui suit ci dessus cela est la connaissance ou spiritualite de culte de nos ancestres 5.000 ans avant Christ, c’est alors Christ ou Wsire 5.000 ans avant Christ, n’est rien autre que l’amour de Dieu, c’est l’equilibre entre le bien et le mal, cela est la maat ,c’est l’essence de la nature divine, c’est la vie eternelle ou l’absence totale du mal(Esaie 11:2, 1Cor. 2:16 et 1Cor. 3:16) [12/8, 10:23] G. Paluku Atoka Uwekomu: ☝🏿Le racisme est un des fléaux de l’humanité ! Si l’Afrique a difficile à s’en sortir, c’est parce qu’elle se vautre dans le racisme, tout comme l’Occident et l’Orient. Deux causes essentielles à cet échec africain :
L’ignorance. Ne pas connaître sa valeur, ses limites, ses capacités tue.
L’égoïsme. Vouloir tout avoir pour soi, sans penser à autrui, que l’on ignore être son frère, son complément tue, exactement, comme l’ignorance, dont procède d’ailleurs l’égoïsme.
Il n’est pas mal de parler de sa couleur… Mais alors, il faut parler de sa couleur et ne pas le confondre à son racisme.
Il est légitime de parler de notre continent : mais alors, il ne faut pas oublié qu’elle est noire et blanche. L’arabe en effet, n’est qu’un blanc, dans nos cultures nègres.