RDC–Qatar : Une colonisation qui se perpétue par nous-mêmes !


[8/8, 23:10]

[D’un contact WhatsApp]

« Qatar-RDC : Le pivot géopolitique qui isole le Rwanda et enterre le M23 20 milliards $ en jeu »

1. Le réalignement stratégique du Qatar : Kinshasa au centre, Kigali marginalisé
Dans l’échiquier des relations internationales, les alliances se forgent et se défont au gré des intérêts. L’Émirat du Qatar vient d’opérer un virage clairvoyant en s’alignant pleinement derrière la diplomatie offensive du Président congolais Félix Tshisekedi.
Ce repositionnement n’est pas un hasard : il répond à une logique de realpolitik où le Rwanda et ses relais armés (M23/AFC) deviennent un passif géopolitique, tandis que la RDC s’impose comme un partenaire incontournable.

2. Le coup d’accélérateur américain : Le M23 classé terroriste, une victoire pour Kinshasa
La récente résolution du Sénat américain inscrivant le M23 parmi les organisations terroristes (au même titre qu’Al-Qaïda, le Hezbollah ou le Hamas) a scellé le sort du mouvement. Pour Doha, cette décision valide deux calculs :
Légitimer l’offensive congolaise contre les groupes armés, avec un soutien juridique international.
Asphyxier les soutiens rwandais au M23, désormais exposés à des sanctions ciblées.
Le Qatar, en acteur avisé, anticipe la chute inéluctable des dirigeants du M23 et mise sur le camp gagnant.

3. La diplomatie économique comme arme : 20 milliards $ pour la RDC, un message à Kigali
Doha ne se contente pas de déclarations : il déploie une stratégie d’influence par l’investissement.
La tournée africaine de Cheikh Al Mansour Bin Jabor Al Thani (cousin de l’Émir et patron d’Al Mansour Holding) dans 10 pays, dont la RDC, envoie un signal sans équivoque :
La RDC, priorité absolue avec des investissements directs estimés à *20 milliards $, renforçant son poids régional.
Le Rwanda, tenu à distance : en finançant massivement Kinshasa, le Qatar sape l’influence économique de Kigali en Afrique centrale.

4. Une délégation royale pour sceller l’alliance
Avec une délégation de 19 membres (dont des conseillers royaux et experts émiratis), cette tournée du 13 au 29 août n’est pas qu’une opération commerciale : c’est une manœuvre géoéconomique visant à :

Consolider les partenariats qataro-congolais (énergie, infrastructures, mines).

Élargir l’influence de Doha en Afrique, en marginalisant les acteurs jugés instables (Rwanda/M23).

Conclusion : Le Qatar joue son rôle de puissance pivot
En soutenant la RDC, le Qatar capitalise sur trois leviers :
Légitimité internationale (via le vote américain contre le M23).
Poids économique (investissements massifs comme levier d’influence).
Isolation ciblée du Rwanda, dont les soutiens aux groupes armés deviennent un handicap diplomatique.

THE BEST


[8/9, 09:06]

GPAU

Il est temps de regarder la réalité en face : la colonisation ne s’est pas simplement retirée, elle s’est métamorphosée. Aujourd’hui, elle se poursuit par notre propre complicité — nous, Congolais, en sommes devenus les relais inconscients. Il n’y a donc aucune raison de se réjouir.

Ce moment exige de nous une introspection lucide sur notre destinée et sur celle de nos enfants. Un avenir que nous mettons en péril depuis que nous avons accepté, pour la première fois, les chaînes de l’asservissement. Ce consentement initial à l’esclavage continue de produire ses effets, génération après génération.

L’intelligentsia congolaise, censée éclairer et guider, semble sombrer dans l’indifférence. Elle a renoncé à son rôle historique, et cette démission morale la rend coupable devant le peuple et devant l’Histoire.

Puisse-je, à mon humble mesure, contribuer à l’éveil des consciences et à la reconquête de notre dignité.

Ne s’en sortira pas !


Quoi que nous fassions, Kinshasa ne s’en sortira pas.

Il n’a pas un plan démocratique pour pacifier le pays.  Celui qui nous est présenté est léger, irresponsable, colonialiste, dicatorial, sectaire, inacceptable,  conflictuel.  Sans ambition, il aliène et appauvrit notre pays.

Une analyse fine des problèmes qui se posent, de leurs origines réelles, des conséquences subies et à venir, n’est pas produite.  La probité morale des acteurs est contestée, à tous les niveaux.  Le pouvoir, l’opposition et le peuple sont démissionnaires.  La ressource humaine de qualité  nous manque cruellement.  Que faut-il faire ?

Commencer par qualifier les acteurs politiques : le Pouvoir, le Gouvernement,  le Parlement, le Congolais.  Il n’est pas normal que des militaires gèrent l »État ; que des gradués ou licenciés animent des équipes des docteurs ; que des voleurs et assassins commandent des hommes intègres !

Pour ne pas tomber dans les travers de nos prédécesseurs, dans Kongo Ya Sika, nous tenons désormais à qualifier chaque membre.  Être capable de concevoir, d’analyser, de conduire, d’évaluer, de redresser, d’animer un projet politique, sera désormais indispensable pour rester dans notre structure à nous.  Le combat contre la médiocrité sera intensifié et nous permettra de nous mettre au-dessus de la mêlée.

Des personnes déclarés comme des ADF auraient massacré 4 personnes, incendié 6 maisons, blessé 1 personne, enlevé plusieurs personnes, incendié une moto  et une kiosque contenant l’essence.  Tout cela s’est passé à Kokola, à plus ou moins 15 km d’Oïcha.  La population y vit la peur, jusque ce jour.  Comment résoudre rapidement, efficacement, définitivement ce problème, en minimisant les dépenses ?  Voici un exercice politique à confier à un candidat membre de notre mouvement, sachant qu’il est originaire d’Ikongo Wasa, près de Mbandaka.

Kinshasa est incapable de proposer une solution à ce problème.  Ses acteurs doivent, pour la plupart, répondre des crimes commises de contre la nation congolaise, restées impunies ou cachées jusqu’ici, en étant aux commandes des institutions de l’État.

Cette erreure est nationale.  C’est a tout Congolais de se lever pour la corriger.

Protégeons nos frères : indistinctement !


Rappelons les 3 piliers du Projet 2014 :

la chrétienté,

la démocratie,

le capitalisme.

Le développement intégral, intégré et endogène du Congo ne sera ni l’œuvre d’une République, ni celle d’une quelconque rébellion que Kinshasa perpétue, malgré l’impatience de notre peuple.

Nous le répétons : tout semble indiquer clairement que nous soyons dans un cénario AFDL bis. Nous conseillons donc vivement aux hommes de Kinshasa de s’épargner de la mort en acceptant leur échec, leurs forfaits et demandant pardon au peuple Congolais pendant qu’il en est encore temps. Ce n’est pas à l’arrivée des hommes armés de l’opposition qu’ils échapperont : ce sera trop tard ! J’ai déjà vivement conseillé au Président de la République, un frère en Christ, de mieux faire que de céder le pouvoir dans la paix. Il serait triste de le perdre, sans bénéfice pour les siens ; pour ceux qui le poussent à une mort évitable et qui s’avérera inutile, regrettable pour tous !

Les nilo-soudanais riposteront !


Kinshasa, dans sa soif du sang, de la gloriole et de la mondanité, dans sa confiance naïve en ses partenaires immaginaires, entre en guerre contre Kigali.

Trompant et manipulant les bantous, comme ses prédécesseurs, il demeure levresponsable de millions de mort et les centaines de forces rebelles que nous connaissons.

Pendant que les bantous naïfs le suivent, d’autres bantous avisés ont déjà choisi leur camp.  Bientôt,  si guerre il y a, les inconditionnels du tribalisme tomberont dans la confusion, à la grande surpprise de la majorité !  La donne politique changera, mais le paix n’en sera pas pour autant pacifier, contrairement à ce que pense Goma.  Les nilo-soudanais en effet, riposteront dans les semaines qui viennent, si Kinshasa ose pousser le bouchon plus loin, à la grande surpprise des distraits,  Les bantous se diviseront et une partie rejoindra l’alliance.  Ce ne sera pas encore la fin !  Ce sera le commencement de la fin des conflits internes.

Pourquoi ne pas commencer par apprendre, se former, s’éduquer pour travailler efficacement et gagner plus que ce monde que nous accusons parfois faussement.
Venez voir comment nous travaillons en Belgique et comparer à comment nous travaillons au Congo.
Quels Congolais travaille 8 h/j, 5 j/s et gagne au moins 2500 €/mois ?
Nous laissons les FDLR, les ADF, les NALU, armés, dans notre pays, et nous sommes étonnés que l’Uganda et le Rwanda nous en veuillent ?
Nous rendons la production, la transformation et la vente de nos minerais et minéraux difficile à nos compatriotes, et nous sommes étonnés que ces produits traversent nos frontières par la contrebande ? Nous dépossédons les congolais de leur nationalité et nous sommes étonnés que les Banyamulenge ou les tutsi se soulèvent contre notre pays ?
Nous commettons des hommes véreux, incompétents à la gestion de l’État et nous sommes étonnés que nos cerveaux désertent le pays et organisent des rebellions ?

Il n’y a pas d’excuse pour nous. Si nous nous refusons d’ester nos bandits politiques et de droit commun en justice, nous-mêmes, notre pays sera envahi de plus bel par les rebelles qui gagneront du terrain, de plus en plus, conduisant le pays au chaos.
Déjà, les nilotiques d’organisent pour défendre leurs frères. Bientôt, leurs cousins les rejoindront, tout naturellement, et la guerre prendra une autre allure.
Nous auront le choix entre une nouvelle colonisation des bantous par l’alliance nilo-soudanaise ou la balkanisation du Congo que certains pensent appartenir aux bantous seuls !
Peuple congolais, que choisissons-nous ? La guerre que recherchent les idolâtres, pilleurs, tribalistes et meurtriers ?

Faire la guerre à so  frère…


[2/1, 22:47]

RDC : Mgr Fulgence Muteba, Archevêque métropolitain de Lubumbashi et Président de la CENCO  est arrivé à Kinshasa ce vendredi soir.
Sauf changement, la CENCO🇻🇦 devrait être reçu lundi par le Président Tshisekedi, dit une source proche de l’ Église Catholique.
« C’est après cette rencontre que les évêques vont prendre la parole sur les récents événements ».


[2/1, 23:07]  GPAU

Quoi donc ? Est-ce une manière de s’allier les prélats catholiques – et protestants, et d’espérer arracher ainsi la bénédiction de Dieu pour gagner la guerre contre le Rwanda ou contre le M23 ?
Erreur !  Lisons le livre d’Amos, si nous pensons être un peuple de Dieu.

La raison du plus fort…


Maître KABALU signe

WhatsApp, 24 janvier 2025.

Situation à 16h30, heure de Lubumbashi

  1. Il est important de noter que Goma n’est pas tombée, d’ici peu la ville sera entièrement sous contrôle de nos FARDC.
  2. Des affrontements se déroulent entre l’unité spéciale des Tigres des FARDC et les forces rwandaises (RDF) à la borne 12.
  3. Parallèlement, à Gisenyi, des échanges de tirs ont eu lieu entre l’unité spéciale des Guépards des FARDC et les RDF.
  4. Si Goma avait été totalement capturée, le communiqué des M23 aurait déjà été annoncé.
  5. À ce jour, nous notons un silence radio du côté du M23, qui n’a pas encore confirmé sa prise de contrôle sur la ville de Goma. En conclusion, la détermination reste forte et nous continuerons à nous battre jusqu’à la dernière goutte de sang.

GPAU cogite

Ce qui pourrait réjouir, c’est la présence de Guépards à Gisenyi. Chez l’ennemi, pour le dissuader de promener dans notre pays comme s’il était chez lui.
En revanche, combattre nos concitoyens de l’AFC et du M23 nous semble être une trahison de notre unité, nous Congolais. Ceci, quand bien-même ils seraient supportés par des pays tiers. Dans ces pays tiers se trouvent par aillieurs nos cousins à nous tous, à protéger. Rappelons que l’AFC et le M23 sont des Congolais, qui ne partagent pas le mode de gestion de Kinshasa. Nous sommes nombreux à nous en plaindre ; sans souscrire à la rébellion. Nous, de l’Ituri et du Nord-Kivu, sommes en désaccord total avec Kinshasa. Que reprochons-nous à ce régime comme aux précédents ?

  1. La spoliation de nos moeurs.
  2. Le pillage de nos ressources.
  3. Un état de siège injustifié et demandé par nos populations.
  4. La présence de MONUC sur nos terres sans notre invitation.

Quant à ceux qui ne tiennent que le langage de la force, ils feraient mieux de se raviser. En effet, beaucoup, dans l’AFC et dans le M23, nous tiennent aussi le même discours. Se battre, jusqu’à la dernière goutte de sang. Dans un tel cas de figure, le plus fort gagnera. Ce sera Kinshasa ou l’AFC/M23. Quelque soit le gagnant, sa victoire durera durera combien de temps ? Le plus triste dans l’histoire est apparaît désormais au grand jour. Nous n’avons plus de leçon à donner aux Rwandais. Parce que nous les combattons avec les FDLR dans nos rangs. Pendant longtemps, nous les avons gardés armés, sur notre territoire, à ce que nous apprenons, mais qui doit être vérifié.

Il apparaît donc qu’une solution propre existe. De bonne fois, chaque partie désarme les rebelles des pays frontaliers, réfugiés sur son territoire. Chaque pays fait respecter ses frontières, avec le soutiens des ses amis.

La raison du plus fort sera-t-elle la meilleure ici aussi ? Quelle Dieu confessons-nous ?

Notre Père céleste et nous !


[1/7, 07:10] Par grâce

Projet 2014 – WhatsApp

MESSAGE FORT AUX FARDC

Militaires FARDC n’ont pas droit à l’erreur face à la guerre contre les M23.
La population reconnaît la supériorité de la force motrice des FARDC.
Si les FARDC pourraient céder les zones sous son contrôle aux mains des ennemis, la population comprendra que c’est de manière volontaire de la part des FARDC.

La population Nord-Kivucienne souhaite voir les FARDC éliminer l’ennemi qui n’a plus d’ailleurs la force. Boustez hors du sol congolais ces hors la loi.
Laissez ceux qui font les défections le faire car ils sont fatigués de garder leur hypocrisie dans les rangs de FARDC (les masques tombent)
Pas question d’explication…!!!

« NE JAMAIS TRAHIR LE CONGO »🇨🇩 »

Cellcom NZ. AM.


[1/7, 12:50] GPAU

Nous n’avons jamais gagné une seule guerre par nous-mêmes dans le passé : pourquoi ?

En 2025, qu’avons-nous acquis de nouveau, pour gagner une guerre contre les M23, l’AFC et alliés ?

Il est inique et incensé de faire semblant de combattre nos compatriotes, nos propres frères, rebellés contre le régime esclavagiste, colonisateur et meurtrier de Kinshasa ; au motif qu’ils soient asupportés par nos voisins, nos cousins. Qui pis est, par la force, par les armes, après avoir appelés frères, ces voisins, ces cousins !

Nous, peuple congolais, devons corriger notre erreur : avoir toujours élus, porté au pouvoir, des assoiffés de glorioles, d’argent, de domination de nos peuples, des népotites de tout genre.

Sachons que ce soient pas tous les congolais qui dorment. Kinshasa berne les traîtres : ceux qui n’ont aucun souci de la vie, du bonheur des congolais. Qui sont les premiers assassins du congolais ? Ne sont-ce pas les FARDC et leurs associés Wazalenfo ?

Qui pille, vole, viole, terrorise, appauvrit, colonise, esclavagise, subjugue à Kinshasa, dans le Kasaï et ailleurs ? Sont-ce nos voisins, les M23, l’AFC ou leurs alliés ?

Arrêtons de nous tromper nous-mêmes : corrigeons nos propres fautes, avant de nous attaquer aux vrais défis de notre temps !

Notre Père céleste ne se réjouira jamais de notre méchanceté, de notre fausseté, de notre paresse !

Nos télécommunications


Bonjour papa professeur !  Depuis hier, notre connexion faisait défaut ; raison pour laquelle j’ai raté notre rendez-vous avec vous.  Vraiment, notre connexion de la RDC…  Nos dirigeants sont inconscients.


Mon fils, construire, étendre, gérer, maintenir, réparer et moderniser les connexions, les télécoms dans notre pays n’est ni un travail de notre Président ni un travail du Gouvernement ni celui de notre Parlement ; mais c’est le travail de nos collectivités, de nos consommateurs des services des télécommunications, de nos ingénieurs de l’électionique et des télécoms – comme moi.

Si nous attendons quelque chose de Tshisekedi, de Suminwa et de Kamerhe, nous attendrons longtemps. Levons-nous et bâtissons notre réseau nous-mêmes : il sera de la toute dernière génération dans le monde ; tandis que le Président de la République, la Première ministre et le Président de l’assemblée nationale, dormiront, plus que ceux d’aujourd’hui.

Désormais, le régime de Kinshasa n’a plus la force de nous empêcher de moderniser nos télécommunications, notre agriculture, notre pêche, nos mines, notre habitat, nos routes, nos autres infrastructure, nos enseignements, notre santé… Dans nos territoires, élaborons des projets de modernisation de notre Télécom : les autres nous emboîteront le pas ; et, Kinshasa ne saura pas tenir débout devant l’ouragan de l’histoire ; pas une seule seconde.

Nous aurons l’occasion aussi de nous rendre compte de nos limites, de nos insuffisances, de nos réels besoins, de nos effectives capacités. Pour l’instant, les hommes qui trônent à Kinshasa nous distraient, nous pillent et nous déciment. Levons-nous et arrêtons les dans leur folie meurtrière, prenant notre Dieu pour appuie.

Nous tâcherons de mobiliser nos ingénieurs des télécommunications et nous verrons très vitre ou se trouve de goulot d’étranglement que nous exposerons aux congolais, ici, qui comprendront et décideront très vite, pertinemment, efficacement et facilement.

État des télécommunications au Congo

À SUIVRE…

Opérer son choix


La mort de plusieurs dans la prison de Makala a Kinshasa a suscité des débats,  des réflexions chez plusieurs.

Nous nous sommes exprimés et JCU a réagi.

[9/3, 22:39] JCU

J’aurais besoin de votre analyse quant à ce.

Franchement dans un pays de droit, où on prône la démocratique, dans des lieux de correction ! Non, non, non : Congo.

[9/4, 10:38] GPAU

L’Ituri va continuer à vivre le même type d’événements que celui advenu à Kinshasa si nous continuons à laisser les choses aller de la sorte, à lier notre destin à celui des hommes de Kinshasa, à ne pas défendre nos valeurs ituriennes, à ne pas vouloir résoudre le conflit Hema-Lendu par nous-mêmes, à ne pas exiger notre indépendance véritable.

Avec les acteurs politiques actuels, nous ne sauront pas opérer le changement nécessaire. La vraie solution passe donc par :

  1. L’identification et la promotion de nos bons gestionnaires de la chose publique.
  2. La disqualification, par voie de droit, de tous les hommes véreux qui trônent dans notre pays.
  3. L’engagement du pays dans un développement endogène, intégral et intégré, dans un système respectueux de tous nos peuples du Congo, par des projets écrits, consensuels, démocratiques, complets, soignés, solidaires, rentables.

Kinshasa n’a ni la volonté, ni la capacité de conduire un tel projet. Nos localités, nos communes ou nos secteurs, nos territoires et nos provinces ou futurs états se doivent se liguer pour disqualifer démocratiquement les esclavagistes et colonialistes de Kinshasa et pour engager notre nation sur la voie de son indépendance et de sa prospérité véritables. Au Projet 2014, nous avons des propositions claires et net pour aller vers dans la direction d’un tel bonheur.

Accueil

Moi, je suis prêt à participer, tant que les mahagiens ou les ituriens, le voudront, à un processus qui vise une réelle indépendance de tous nos peuples, unis autour des valeurs nationales clairement définies et préalablement acceptées par les états à créer sur la base de nos affinités culturelles.

Je refuse en revanche de fonctionner avec des brutaux, des assassins, des esclavagistes, des colonisateurs, des fétichistes, des démagogues, des voleurs…


[9/4, 11:05] JCU :

Ça laisse nos mémoires vides dans la réalisation.


[9/4, 11:13] GPAU:

Continuons à mourir, d’accompagner l’arbitraire et l’enrichissement de nos bourreaux.  Dieu écoute ses serviteurs, JCU. Toi, chousis la vie et non pas la mort qu’a choisie la foule.

Ma fille, pendant les vacances.


Bonjour, chérie !

Je cherche des agrégés en pédagogie pour ouvrir des centres de formations et de conférences à Bruxelles et à Kinshasa.

Tu peux m’aider à inviter des personnes à nos formations :


https://eaeasbl.com/projets/cfc.

Nous visons la création de 400 centres à Kinshasa et 48 centres à Bruxelles.