Balkanisation ou notre choix


L’annonce claire d’une « guerre » contre le régime de Kinshasa profitera, à termes, à l’AFC et ses alliés, comme nous l’avions prévu.

Kinshasa a clairement le choix entre
(1) s’allier l’Occident contre le Nord et l’Orient,
(2) prendre son indépendance réelle vis-à-vis de tous,
(3) s’appuyer sur la Russie, la Chine et le monde arabe pour combattre l’Occident.

Pour nous, c’est le choix numéro (2) qui est de loin le meilleur. Mais il faut se rendre compte que le PNP avait raison et que le MNC avait tort : jusque aujourd’hui, nous manquons les hommes capables d’animer une indépendance réelle du Congo. Les hommes de Kinshasa sont clairement ceux qui nous conduiront à la balkanisation, dans un bain de sang déplorable du pays.

Si donc, les Congolais ne rejoignent toujours pas le Projet 2014, qui prône l’indépendance totale du Congo, à réalisée par les Congolais eux-mêmes, après une disqualification de tous les bandits politiques que nous avons nous-mêmes commis à la gestion de la chose publique depuis 1960 ; le pays sera divisé en deux blocs que nous avons connus dans les années 70 : l’Est et l’Ouest. Mais, attention ! Cette fois-ci, l’Ouest perdra la province de l’Equateur, à la grande surpprise de plusieurs, qui vivent dans des illusions !

Quant à l’AFC, son incapacité à nous apporter la paix devient de plus en plus évident. C’est après lui que l’Est pourra prétendre à une pacification.

Nos voisins de l’Est doivent cesser de compter sur les minerais du Congo. Les Congolais savent, depuis la nuit des temps, qu’ils doivent produire, stocker, transformer, commercialiser, consommer et traiter leurs déchets, au Congo même, et non pas en Occident ni dans l’Orient. Si notre indépendance tarde, c’est parce que le MNC nous as mis sur un mauvais pas. Quelques rares Congolais sont décidés à œuvrer pour la correction de la faute. Leur nombre prendra du temps pour croître ; mais, les terroristes institutionnels et conventionels n’auront pas le derniers mot : Dieu combattra pour le petit reste.

Est : Dictature, esclavage, pillage, tueries…


Je pense que les occidentaux soutiendront l’AFC, le M23, le Rwanda et leurs alliés.

Renseignements pris, la majorité à l’Est soutient son bourreau, le régime de Kinshasa.  Cependant, pour quelques raisons, le dévolu de l’Occident tombera  probablement ou est déjà tombé sur l’AFC/M23, plutôt que sur l’UDPS.

  • Elle est plus instruite et plus structurée que l’UDPS qui, par défiance, traite avec la Russie, pays « adversaire » de l’Occident.
  • Elle rentre dans l’ancien plan de l’AFDL, que d’aucuns présentent vainement comme un plan de balkanisation du Congo, mais qui convenait, aux yeux de l’Occident et de certains d’entre nous,  qui la considèrons plutôt comme un plan d’indépendance véritable des peuples du Congo.  Une indépendance ratée depuis la colonisation leur imposée par certains hégémonistes et pilleurs, Banundois, Équatoriens, Kivutiens, puis Kasaïens, qui se cachent mal.
  • L’AFC revient probablement avec l’anglais qui convient le plus au monde anglosaxon et à une frange de l’intelligentsia de l’Est.
  • Elle est le seul outil disponible, à cette heure, aux yeux de certains, pour « démocratiquement » forcer Kinshasa à arrêter sa malice, sa dictature, son esclavage, et son pillage de l’Est.

La fatigue et la corruption politiques se sont installées de plus belle.  La colonisation interne et externe en a profité.  L’Orient et le Nord en profitent pour prendre place dans ce Congo américano-europeen.  Des matières premières industrielles importantes s’y trouvent.  Elles peuvent être exploitées sans rien payées, aux usurpateurs congolais chargés de culpabilité, incapables de défendre le peuple qu’il asservit, pour vivre sa joie.  Il convient de ne pas laisser l’Amérique et l’Europe continuer à être les seuls maîtres, les seuls pilleurs de la jungle, dans cette République bannière lumumbienne. Les inimitiés anciennes entre les peuples sont revenues en surface, mettant en évidence un tribalisme qui n’a toujours pas encore été résolu.

La terreur s’agrandit.  La peur gagne les esprits.  L’exil vide le pays des patriotes déçus par l’immoralité entretenue par la fausse religion, les hégémonismes, les complexés divers, les égoïstes légendaires.

[12/16, 00:51] : Il semble que Kagame ait boycotté la rencontre de Luanda, parce que Tshisekedi refuse de négocier avec le M23 !


[12/16, 00:54] : Sommet de Luanda : Paul Kagame y a-t-il été ?
Le sommet de la paix prévu à Luanda entre le Rwanda et la République démocratique du Congo a été annulé. Paul Kagame, le président rwandais, devait y participer, mais en raison de divergences et d’une impasse dans les négociations, la réunion n’a pas eu lieu.

Lubero : Le M23-RDF renforce ses capacités militaires avec un char de combat et intensifie ses attaques contre les FARDC et les Wazalendo SUIVEZ CE LIEN POUR VOIR LA VIDÉO. Source : WhatsApp.

RDC

Écoutez lorsque un incompétent défend son échec avec beaucoup du courage sans honte.  Source : WhatsApp

Le PM français censuré.

Michel Barnier s’en sort pl…

Merde!! La retrraite volee d’un tortionaire typique de l’ouest globale. Voila d’ou sort l’astuce de voler chez les tortionaires vautours a l’image du vautour itinerant pretendu president de la RDC. Vraiment une realite qui choque l’esprit. Cela m’aneme a dire que nous sommes obliges de concevoir et introduire une loi dans nos constitutions en Afrique intitule: Tout politicien africain doit etre poursouivi pour vol cache dans des paradis fiscaux apres son mandat de service au peuple.

Source : WhatsApp, tel que reçu.

Chiguel Maïga dévoile tout : Les coulisses d…

De la sagesse de l’ex premier ministre MALIEN jaillie la lumiere pour toutes les couches de la societe maliene: « Ne discute JAMAI les affaires du Mali en dehors du Mali. Le malien qui s’engage dans cela est un agent double et UN TRAITRE a la nation. » Cela montre les congolais de la RDC qui s’engagent dans des dialogues, accords etc en dehors de la RDC sont des agents doubles et les plus grands TRAITRES de la RDC. Voila la definition de la classe politique congolaise pourrie.

Source : WhatsApp

TikTok : Amelda Dany

Suivez ce lien pour regarder.

Source : WhatsApp

RCA-TCHAD : RELATIONS DIPLOMATIQUES

La sagesse africaine longtemps oubliee nous revient petit a petit.

[12/16, 01:31] : https://youtu.be/Ma-ViMK-Q9o?si=lykBVZg1Nv1ojMnQ


[12/16, 01:31] : https://youtu.be/_bIn4CT2yJE?si=UmqvGqGssxA4jIYc


[12/16, 01:31]  La colonisation est assidument un cancer impossible a traiter. je m’interroge a haute voix. Pourquoi une bonne partie des pays africains s’acharnent tjrs a s’attacher
a l’occident tortionaire?! Apres six siecles: esclavage, colonisation, imperimalisme des genocide un peu partout! Quel manque de reflexion chez les africains? sommes nous aussi betes?! Triste!

https://youtu.be/OKwMfstbJqg?si=iiC4VX32_M0qTmZH
[12/16, 01:31]  https://youtu.be/_kW2LmmXxpk?si=mDiAeNLxwxnb_3te

Goma, tombé ou pas, qu’est ce qui changera ?

[1/30, 11:17] Asbl Échanges Avec Extérieur: RDC, VOICI LES ACCORDS QUE KABILA AVAIT SIGNÉ AVEC KAGAME QUE Félix Antoine Tshisekedi NE VEUT PAS APPLIQUER.

À Son Article Premier de l’Accord de 2013 Entre le Régime de KINSHASA et le Terroristes Rat🐀-ndais du #M23, le Président KABILA avait Accepté de Parachever Tous les Points Ressortis de l’Accord de 2009 avec le #CNDP du Rwandais #Laurent_Nkunda, Voici ce dit Accord de 2009 :

♦️ Le Gouvernement Accepte de céder 43% des Postes de Commandement Militaire au Nord-Kivu et 39% des Postes de Commandement Militaire au SUD-KIVU à la Seule Communauté #TUTSI,

♦️ Le Gouvernement Accepte la Création d’une Nouvelle Police de Frontière Sous le Commandement des Rat🐀ndais du #M23 Enfin de les Protéger,

♦️ Le Gouvernement accepte de décréter la Partie Est du Pays (NORD-KIVU, SUD-KIVU, ITURI, HAUT-UELÉ, MANIEMA et TANGANYIKA) Comme étant une Zone Sinistrée et Bénéficiera d’un statut d’Administration Particulière, d’une Autonomie Fiscale et Financière et d’un Concept sécuritaire Particulier Sous la


[1/30, 11:59] GPAU

Le Gouvernement, le Parlement et le Président ne s’en sortiront pas.

Ils veulent servir Dieu et Mammon et nous, peuple congolais, ne les arrêtons pas, dans cette folie collective.

Nous sommes en guerre, contre les Tutsi, parce que Mze les avaient trompés et qu’ils soutiennent le M23 pour contrer les Hutu du FDLR que nous gardons armés chez nous.

Les M23 se battent pour la survie des Tutsi congolais et pour débouter la dictature, l’esclavage, le pillage de nos ressources que nous impose de Kinshasa soutenu par quelques racistes bantous qui ne savent rien des enjeux politiques à l’Est du Congo.

Le peuple que nous sommes, oublie que se sont les FARDC, la PNC, les faux Wazalendo et leurs alliers étrangers qui nous pillent, dilapident nos richesses, pour se mzintenir au pouvoir et soumettre le Congo tout entier, et s’éviter les condamnations de leurs crimes cumulés depuis 1960 jusque ce jour.

Les 85% de faux chrétiens rejoignent cette cohorte. C’est pour cela que Dieu nous résistera, jusqu’à ce que nous débarrassions le Palais de la Nation des fétiches dont nous l’encombrons.

Voyons si Dieu peut changer !

Ce qui se passerait à l’Est


[12/19, 09:03] DD.

Les villages sur la route Goma – Butembo sous control par Les rebelle M23 -RDF

Monigi
Kibati
Buhumba
Kibumba
Rugari
Rumangabo
Katale
Kalengera
Rubare
Rutshuru
Kiwanja
Kahunga
Mabenga
Bushendo
Maymoto
Rwindi
Kanyabayonga
Kayna
Kirumba
Mighobwe
Bwatsinge
Kaseghe
Matembe
Vutsorovya
Alimbongo
Mambasa
Ndoluma
Kitsombiro
Bikara
Katondi

2: ça reste
Lubero
Kimbulu
Musyenene
Ndando
Kyambogho
Butembo

Question tutaweza tena kubatosha mwahii mingini?


[12/19, 09:52] GPAU

Que disent les habitants de ces localités de la gestion de leurs localités par les rebelles de la coalition AFC, M23, RDF et autres ?

Qui est responsable, de quoi ?


Certains condamnent le Président de la République pour sa manière de traiter l’actuelle crise politique qui oppose rwandais, ugandais et congolais.

Examinons la question d’un peu plus près.

Quelle est la crise ?  Quelle est l’accusation ?  Qui est l’accusateur ?

La crise aujourd’hui est principalement l’insécurité à l’Est : vol, viol, enlèvement, tueries, occupation, pillage de minérais, du bois, de minéraux, du pétrole, de salaires, de champs ou plantations, de fermes, de maison, de terres, d’écoles, de villages ; par des rebelles, des bandits, des armées congolaises et étrangères, etc.   Brualités et brimades de toutes les sortes,  des citoyens, par des ennemis du congolais, des policiers et des militaires, congolais et étrangers, autant que par des rebelles, la justice même et les bandits de grands chemins.

Quelle est l’accusation portée contre le Président de la République ? Ne sont-ce pas :

  1. son état de siège qui a apporté plus de morts, d’injustice, d’insécurité, de frustrations que de sauvés, de secourus ;
  2. son maintien dans le pays de la CENI pour bloquer le fonctionnement normal de l’administration des élections, de la démocratie et du droit de vote  ;
  3. le maintient de la MONUSCO dans le pays, pour caresser dans le sens du poil l’ONU, qui entretien la colonisation du pays depuis 1960, dans le but de se maintenir au pouvoir ;
  4. la composition avec des groupes politico-militaires tels que la CODECO, les Wazalendo, les Mai-Mai, Zaïre, le FPRI,  Chini ya Kilima et bien d’autres ex-rebelles, pour se maintenir au pouvoir, dans l’Est du pays ;
  5. ses interminables voyages à l’étranger pour chercher des soutiens dont les congolais n’ont quoi faire, qui ne rentre pas dans son rôle, mais que paient les contribuables congolais ;
  6. sa contribution à la déliquescence de l’enseignement, du travail et de l’administration, dans le pays, qui continue de plus bel, en raison de son incapacité de se pourvoir en ministres patriotes et capables, par la pratique de l’esclavage, des salaires de misères ;
  7. les multiples cas de détournements du denier publique par son gouvernement et son parlement ;
  8. etc.

Qui est l’accusateur ?

 Théoriquement, une bande de quelques opposants, en porte-à-faux total avec la population congolaise.  En effet, celle-ci a soit largement voté le Président de la République soit choisi de le toléré.

À côté d’eux, les rebelles.  Ceux-ci ont choisi d’exprimer leur désaccord d’avec le pouvoir en prenant les armes.  Ils sont en effet persuadés que les dicateurs ne comprendraient que le langage des armes.  Cependant, ils ignorent volontairement que les victoires des rebelles qui les ont précédés n’ont jamais arrangé le pays, dans le but de s’enrichir sur le dos de nos faibles poluations. 

Enfin, à l’extérieur de la République, une poignée de pays où se trouveraient de vrais amis des Congolais, souvent ignorés et en nombre limité, ici aussi.  Il faudra donc du temps pour que le Congo soit « libéré », acquiert son indépendance.  En effet, pour nous, épris de démocratie, de justice et d’humanité, étant largement minoritaires, il faudra du temps avant que nous gagnions des âmes à notre cause.  Les accusateurs sont donc quelques opposants civilisés, un conglomérat de rebelles et de rares fidèles amis des Congolais ; formant un groupe limité.  Cela explique que la dictature tienne la route impunément au Congo, depuis 1960 jusqu’aujourd’hui.

Chers compatriotes, vous faites une fausse lecture historique, désolé de vous le dire ainsi. Je vous pose une question simple : la RDCongo aurait-elle connu cette situation déplorable que vous décrivez si Mobutu n’avait pas confié la gouvernance étatique, avec pleins pouvoirs, à un sujet rwandais, président des étudiants rwandais à Lovanium, en 1969, à savoir Barthélémy Bisengimana Rwema?

Mobutu avait-il confié « la gouvernance étatique, avec pleins pouvoirs, à un sujet rwandais » ? Le régime de Mobutu fut une des dictatures les plus farouches que nous ayons connues jusqu’à ce jour. Le Président fondateur, le Maréchal, le Timonier, papa de la République, c’était lui et personne d’autre ; du moins d’apparence ! Le Comité Central, organe supprême du parti-état, était géré par d’autres personnes que Bartélémy Bisengimana qui ne pouvait pas tenir tête à aucun d’entre eux. Que nous le sachions, ces personnes étaient des congolais de souche…

Voilà l’origine de ce que vous condamnez, à raison de nos jours. La nomination de Bisengimana a été à la base du « Réseau BB à travers le Zaïre ». Les services de sécurité avaient mis à nu ce réseau. C’est pourquoi Mokolo wa Pombo avait confié ce dossier à Honoré Ngbanda pour le nouveau service Études, créé et taillé sur mesure après sa formation en Israël. Nous sommes en janvier 1973 (Lire Crimes organisés en Afrique Centrale. Révélations sur les réseaux rwandais et occidentaux, Duboiris, 2000). Cet exemple démontre clairement que l’infiltration à laquelle vous faites allusion débuta sous Mobutu, lorsqu’il accorda aux Rwandophones la nationalité congolaise de manière collective (une grande première) le 26 mars 1971, sans un recensement précis des bénéficiaires. Conséquence, tout Rwandophone qui débarquait au Zaïre à 8h00, avait déjà sa carte d’identité à 12h00. Cette ordonnance fut diluée dans celle de janvier 1972 sur la nationalité zaïroise. Je vous conseille de lire aussi Nimy Mayidika Ngimbi dans son livre publiée 2006 (Je ne renie rien, je raconte…). Il signale les difficultés auxquelles il fut confronté pour se débarrasser de deux conseillers rwandais hyper-puissants laissés par son prédécesseur. Même la bibliothèque de la Cour suprême ne fut pas épargnée puisque dirigée par un Zairwa… Ensuite, il eut la mesure suicidaire, dangereuse qui contribua à la déstructuration du tissu économique, la zairianisation. Cette mesure fut déconseillée par le collège des Conseillers économiques à la présidence, comme le décrit l’ambassadeur JB Murairi, Le festin des vautours.

En 1972, une loi a été voté en l’Assemblée nationale révolutionnaire dont tout congolais peut prendre connaissance pour comprendre pourquoi la congolité fait problème et continuera encore à être une pierre d’achoppement pour beaucoup d’entre nous, qui ne voudraient pas s’instruire davantage sur la question .

Pourtant :

  1. les locuteurs du kongo se retrouvent dans 3 pays (Congo-Kinshasa, Congo-Brazaville et Angola) pendant que les rwandophones se retrouvent dans 4 pays (Congo-Kinshasa, Rwanda, Uganda, Burundi) ;
  2. les locuteurs du kongo ne sont pas tous de l’ethnie Kongo, non plus que les locuteurs du rwanda ne sont pas tous de l’ethnie Hutu.

Les conflits entre rwandophones et non-rwandophones ou entre tutsi et non-tutsi, dans le Kivu, doivent donc avoir une explication que les tutsi ou les rwandophones, les politologues et les historiens nous cachent où ne maîtrisent pas.

(1) Que nous cachent-ils ? (2) Pourquoi ? (3) Comment ? (3) Avec quelles conséquences ? C’est ce que nous tâcherons d’exposer ici, non comme spécialistes de ces questions, mais comme personne ayant des attaches dans le Kivu.

Et pour tout couronner, c’est en 1976 que fut créée la fameuse tribu Banyamulenge, par un certain Gisaro vivant à Kinshasa. Personne ne contesta cette mascarade nocive. En 1981, le Comité central du Mpr décida le retrait de la nationalité collective attribuée aux Rwandophones. Mais seulement, il s’était passé 10 ans entre l’année d’attribution de cette nationalité et son retrait. Jean-Claude Willame note, par exemple, que c’est à partir de cette année là que débuterent les conflits et les violences dans le Kivu (Lire: Les Banyarwanda et les violences dans le Kivu). Puisque certains Rwandophones furent exclus des élections de 1982 et de 1987. Lors de la CNS, en 1991-1992, d’autres rwandophones furent invalidés, accentuant le malaise de ces populations. C’est ce qui fait qu’en juillet 1995, 40 dignitaires tutsis redigerent un mémorandum adressé au maréchal du Zaïre. Dans ce document, ils sollicitaient le recouvrement de leur nationalité zaïroise et lui avertissaient qu’au cas contraire, ils allaient recourir à tous les moyens possibles pour y arriver. Et en octobre 1996, débuta la rébellion de l’Afdl qui fut présentée comme une revendication des Banyamulenge pour recouvrer leur nationalité. J’espère que ce rappel historique vous permet de replacer et de situer les éléments essentiels pour saisir l’origine de la rébellion de 1996. Si oui, nous devons admettre qu’il est faux de prétendre que l’infiltration déplorable remonte à l’année 1996, coïncidant avec le déclenchement de la rébellion de l’Afdl. Tout aussi faux de prétendre que c’est LD Kabila qui a ramené les rwandais au Congo. Puisqu’ils y étaient déjà et s’étaient vachement enrichis sous Mobutu : cas de Gaiga, Bisengimana, Gisaro, et Miko Rwayitare, le propriétaire de Télécel à qui fut confié le monopole de la téléphonie cellulaire au Congo zairianisé. De porte-parole, LD Kabila n’est devenu président de l’Afdl qu’après le décès de Ngandu Kisase. Et c’est un coup d’Etat qu’il fut au sein de lAfdl pour s’auto-proclamer Président de la République, selon les autres membres de l’Afdl. Car, la structure afdelienne prévoyait Bugera comme Président de la République. Je me limite à ce stade. J’espère avoir remis les éléments du puzzle en place pour saisir l’origine des infiltrations. Il est dés lors faux de soutenir que LD Kabila est venu avec les Rwandais. La vérité est que ce sont, au contraire, les Rwandais, Ougandais, Angolais, etc., qui ont porté LD Kabila au pouvoir à Kinshasa. Puisqu’il ne fut pas à l’origine de cette rébellion. Il fut recruté en tant qu’opposant à Mobutu. D’ailleurs, le recent ouvrage de Charles Onana montre comment le Fpr avait tout fait pour repousser les réfugiés vers le Congo selon le plan concocté à l’avance. Cette version d’Onana corrobore une anecdote que m’avait rapportée le defunt ambassadeur Albert Kisonga chez lui à Gilly, en Belgique. Après une soirée bien arrosée avec Gaiga, le Zombie, celui-ci lui déclara ceci:  » Tu sais, Albert, les jeunes gens qui accompagnent Museveni sont majoritairement des Tutsis rwandais. Nous allons installer Museveni à Kampala. Ensuite, nous irons prendre le pouvoir à Kigali. Et pour finir, nous viendrons vous coloniser, vous les Zaïrois…Puisque vous avez une élite idiote ». Cette conversation eut lieu en 1985. Voilà pourquoi je persiste à croire que le contraire est faux historiquement. Comme vous pouvez le constater, mon rappel historique est factuel. Il ne se fonde pas sur des considérations ethnicistes ou provincialistes. Car, ce qui devrait caractériser un pays multiethnique comme la RDCongo, ce n’est pas l’appartenance à sa tribu ou à sa province, donnes sociologiques compréhensibles, mais le patriotisme civique, comme le propose Yasha Mounk. Bien à vous. ABBM
Je m’excuse pour les coquilles. Bien à vous. Je dépose ça, là : à l’avènement de l’Afdl, tous les va-t-en-guerre ( Kengo, Kisangani ne tombera pas, Ngbanda, Kongulu, tous les généraux de Mobutu, plusieurs dignitaires entr’autre Thambwe Mwamba et Tutti quanti…) ont pris le large pour un exil en Europe. Lors de la guerre de Kinshasa ( Joseph Kabila vs JP Bemba), le dernier s’est retrouvé en Belgique où la CPI l’avait cueilli). En un mot, les va-t-en-guerre ont les moyens de conserver leurs vies et rebondir lorsque les choses se tassent. Plusieurs possèdent plus d’une nationalités. Combien de pauvres gars n’ont-ils pas perdu la vie à l’entrée de l’Afdl ou lors des échauffourées entre Joseph et JP, laissant femmes et enfants ? Ce petit tableau peint la nature de tous ces adaptés de la guerre. Et après ? Ils reviennent en force, coalisent avec le nouveau pouvoir et se refont une santé de fer, en tout point de vue. C’est là, le calcul de Nangaa et cie. Juste ça : la boulimie du pouvoir. Ici, nous voulons attirer l’attention de tous nos compatriotes sur le danger qui nous guette: celui de tomber dans ce piège où veulent nous conduire cette catégorie ( une minorité) qui se fiche de nos vies, au nom du pouvoir. Posons-nous cette question : pourquoi Goma, jusqu’à présent ne tombe pas? Réponse : aucune raison n’est leur est donnée. En effet, le Rwanda est l’arbre qui cache la forêt ( communauté dite  » internationale » qui ont des intérêts dans nos minerais). Cette communauté est confuse parceque, malgré toutes les provocations, Kinshasa reste droit dans ces bottes et rallie à elle plusieurs voix qui commence à les gêner. La dernière étant l’accusation directe portée sur Apple. Il est temps, pour nous, de réfléchir sans émotions ni sentiments : sommes – nous prêts pour une guerre contre ce bon monde ?

En effet, la tribu Banyamulenge est un groupe ethnique controversé qui a émergé dans la région des Grands Lacs en Afrique centrale. Voici quelques informations à ce sujet :

  1. Origine et Identité :
    • Les Banyamulenge sont principalement concentrés dans la région du Kivu, qui couvre à la fois la République démocratique du Congo (RDC) et le Rwanda.
    • Le terme “Banyamulenge” signifie littéralement “ceux qui viennent de Mulenge”, faisant référence à une région montagneuse située dans le Sud-Kivu.
    • Ils sont souvent considérés comme une sous-ethnie des Tutsis, bien que cela soit contesté par certains.
  2. Controverses et Conflits :
    • La création de la tribu Banyamulenge en 1976 a suscité des tensions et des conflits dans la région.
    • Certains Congolais les considèrent comme des étrangers et remettent en question leur droit à la citoyenneté congolaise.
    • Ils ont été impliqués dans des conflits armés, notamment lors des guerres civiles en RDC.
  3. Identité Politique :
    • Les Banyamulenge ont cherché à défendre leurs droits et leur identité en tant que groupe distinct.
    • Ils ont été actifs dans la politique congolaise et ont revendiqué leur place dans la société.
  4. Complexité et Débats :
    • La question de l’identité des Banyamulenge est complexe et controversée. Certains les considèrent comme des Congolais à part entière, tandis que d’autres les voient comme des étrangers.
    • Les débats sur leur nationalité et leur appartenance ethnique ont persisté au fil des ans.

En somme, la tribu Banyamulenge est un sujet sensible et complexe, étroitement lié à l’histoire et à la politique de la région des Grands Lacs. Il est important de reconnaître les nuances et les diverses perspectives lorsqu’on aborde ce sujet.

Les jours qui suivent…


La paix Zéro

Le développement Zéro

La sécurité Zéro

Tout ce qui nous reste c’est le détournement de l’argent de la province et personne n’a le droit de parler de tout ça si non la justice de l’ituri doit vous arrêter pour faux bruit.

Pendant ce temps le nom Tsisekedi permet aux individus de chasser même les orpailleurs de leurs carrières et installer les les militaires pour piller l’or de l’ituri et c’est le garde du corps de Mr le rebel jonny luboya lui même qui suppervise l’opération.

Avant nous avions lu dans des réseaux un certain Christian Tsisekedi en disant qu’il aurait imposé Mr le Rebel luboya en Ituri pour piller l’ituri,
Aujourd’hui nous avons un certain Thierry Tsisekedi qui vient lui même dans la forêt de territoire de mambasa à Nyanya pour chasser les orpailleurs de leurs lieux de travail pour lui à son tour piller la province de l’ituri.

Quand je vous dis souvent que l’objectif n’est pas la paix mais s’enrichir Munazi ona miye tu mufuta bangi moya ivi.
Sawa tu.

Mais ce Rebel ne vous donnera jamais la paix.

LB3 TATE

Trahisons en série…


Les véritables Hutu congolais dont la référence est la chefferie des Bwisha, en territoire de Rutshuru, province du Nord-Kivu, sortent de leur silence et fixent les opinions sur l’identité des immigrés qui sèment tant de désolation dans la région de Beni et dans la partie sud de la province de l’Ituri, précisément à Tchabi, Mitego et Boga.

Il est urgent que certains dignitaires se justifient ou soient jugés

La justice populaire doit interpeller l’ex-président Joseph Kabila, l’ex-gouverneur Julien Paluku, l’ex-Maire de la ville de Beni Nyonyi Bwanakawa, l’ex-gouverneur de l’Ituri Adballah Penembaka sur l’implantation des milliers des personnes suspectes et inconnues en Ituri et au Nord-Kivu.

La genèse du fléau…

Depuis la période du phénomène de la rébellion du M23, un mouvement massif des personnes non autrement identifiées, mais suspectes de par leur caractère clandestin, en destination du grand Nord-Kivu et de l’Ituri, a été constaté à partir des frontières du Rwanda. La société civile du Nord-Kivu en avait aussitot fait l’alerte à l’intention des opinions nationales et internationales, qui sont toutes demeurées indifférentes.

La vérité fondamentale sur cette infiltration est que la Tanzanie venait de refouler les réfugiés Rwandais qui vivaient sur son territoire. Kagame, le président du Rwandais, considérant ces personnes comme inutiles et de trop, s’est arrangé avec son homologue congolais de l’époque, de surcroit lui-même rwandais de sang, en la personne de Joseph Kabila, en vue de déverser ces “indésirables” sur le territoire congolais pour des objectifs multiformes. D’une part, Kagame voulait se débarrasser d’un surpeuplement. D’autre part, en fournissant tous les moyens requis pour aider ces réfugiés et autres volontaires rwandais à s’implanter en République Démocratique du Congo, Kagame préparaient des combattants devant exécuter les opeérations préliminaires pour l’aider dans son plan d’occuper certaines régions bien ciblées dans l’est de la RDC.

Voici comment Joseph Kabila installa les faux ADF à Beni…

Des massacres contre les civils explosent dans la région de Beni le 02 octobre 2014. On les imputera aux “présumés ADF” jusqu’à nos jours. Vrai et faux.

“Vrai”, du fait que Joseph Kabila venait de tout faire pour diviser les véritables ADF en deux groupes en excitant Baluku contre Jamil Mukulu pour des différends propres avec ce dernier que lui (Joseph Kabila) et le feu Laurent-Désiré Kabila avaient pourtant encadré pendant longtemps. Le groupe de Jamil Mukulu, qui porte l’étendard des vrais ADF sera livré à l’anéantissement presque total suite aux opérations qu’a menées le feu général Lucien Bahuma. Entretemps, d’énormes faveurs et moyens seront mis à la disposition de Baluku pour susciter des ADF qui devront travailler à l’accomplissement du plan de Joseph Kabila et de Paul Kagame.

“Faux”, parce qu’il y avait déjà dans la chefferie des Watalinga plus de deux mille rwandais qui venaient de s’y infiltrer avec la complicité du chef Bamukoka qui avait accepté la corruption lui proposée par les conspirateurs. Meme, dans la ville de Beni, d’autres rwandais venaient d’acquérir des domaines terriens par le canal des personnes interposées, et avec l’influence des autorités politico-admnistratives, dont sur place Nyonyi Bwanakawa, le Maire de la ville. Joseph Kabila placera tous ces rwandais sous l’encadrement du groupe de Baluku pour constituer les faux ADF, auteurs de la désolation de ces jours à Beni et en Ituri.

Mais la connexion de ce groupe d’assassins et terroristes au sein des FARDC, l’armée officielle congolais, se fera par des officiers rwandais infiltrés et d’autres pro (comme le général Mundos) qui les ont toujours cotoyés, soit en se trouvant dans le cercle rapproché du président Kabila, soit à travers les rébellions du RCD, du CNDP et du M23. La plus grande védette qui n’hésitera pas à se manifester ouvertement est le colonel Richard Bisambaza, qui en déclarant sa défection en 2013, avait mis à la disposition de Baluku une unité d’une soixantaine de militaires de son commandement, pour poser la base de ceux qui seraient un peu après les egorgeurs, en vue de lancer les massacres dans le terrain qu’il venait de préparer dans le triangle Eringeti – Mbau – Kamango, au nord et au nord-est du territoire de Beni. Et voilà tout au sujet du lancement des activités des faux ADF en oeuvre du terrorisme à Beni et en Ituri.

Une réalité absurde: des immigrés qui affluent par milliers dans une zone en proie aux massacres…

Plus les massacres montaient d’ampleur dans le territoire de Beni, plus il a été constaté l’intensification des personnes en migration vers cette zone en proie à l’insécurité, sous prétexte de venir chercher de terres arables. Est-il nécessaire d’être philosophe ou lisencié ou docteur en antropologie ou en sociologie pour comprendre que ce n’est pas possible qu’un groupe de personnes prétendent venir chercher une vie heureuse et meilleure dans un milieu qui est en train d’être déserté par les autochtones forcés de s’en fuir à cause de la cruauté des massacres qui y sévissent?

On comprend dès lors comment les égorgeurs de Beni ont continué de recevoir régulièrement des renforts rwandais avec la complicités des autorités officielles pour exterminer les autochtones.

Julien Paluku, Nyonyi Bwanakawa et Abdallah Penembaka doivent se justifier…

Des groupes massifs d’immigrés clandestins rwandais ont envahi le grand Nord-Kivu et l’Ituri en bénéficiant de la protection et de la couverture des autorités officielles congolaises. Leur mouvement de Goma vers Beni et vers Ituri a été toujours couvert et sécurité par des feuilles de route collectives dument signées à Goma, au gouvernorat de la province du Nord-Kivu sous le mandat de Julien Paluku, après que ces clandestins aient été dotés de fausses cartes d’électeur congolaises délivrées par une mafia installée à Gisenyi, au Rwanda. Quelques fois, il a été également observé des escortes militaires qui les protégeaient le long de leur trajectoire. Et quand les populations autochtones cherchaient à sonder pour savoir plus de ce genre de mouvement suspect vers des zones en insécurité de haute tragédie, elles étaient réprimées par les forces de l’ordre jusqu’au sang, tout cela pour assurer le maximum de protection aux personnes non autrement identifiées au détriment des fils et filles du pays. Quelle trahison!

Nyonyi Bwanakawa a aussi une lourde responsabilité à porter. Il n’a cessé de faire traquer les autochtones de Beni qui tenter de se plaindre du comportement d’indifférence des autorités aussi bien civiles que militaires face à l’ampleur de l’insécurité grandissante dans son entité. Il confirmait lui-même qu’il est en contact avec les leaders desdits égorgeurs et pourtant il n’a jamais donné la preuve de faire mieux pour aider l’opération Sokola 1 à mettre ces ennemis hors d’état de nuir.

Quant à Abdallah Penembaka, il était gouverneur de province de l’Ituri, à Bunia. Plus de cent mille personnes non identifiées se sont installées dans sa juridiction sous son regard. La population locale a fait part de la souffrance que lui infligent ces immigrés, mais absolument rien n’a été fait pour sécuriser les autochtones. Bien au contraire, l’autorité provinciale de Bunia a formulé des menaces pour intimider les notables et les chefs coutumiers des communautés qui se plaignaient, en l’occurrence les Banyali-Tchabi, les Bira et les Hema. Paradoxalement, on a plutot assisté au renforcement des dispositifs de protection militaire en faveur des mêmes inconnus, même au moment ou ils commencaient à piller et à tuer des civils parmi les autochtones. Les communautés locales ont suggéré à l’autorité provinciale d’organiser ne fut-ce que l’identification de ces inconnus, mais en vain. Et aujourd’hui, ces inconnus se donnent même l’audace de dire avec arrogance : “Nous allons continuer à massacrer cette population qui ne nous permet pas de nous établir dans ces terres que nous avons choisies pour pratiquer notre agriculture”, tel qu’un d’entre eux déclarait le 9 juillet à Otmaber, après avoir massacré et incendié les passagers dans les véhicules de transport en commun qui les acheminaient de Bunia vers Beni et Butembo.

Il est urgent que Joseph Kabila, Julien Paluku, Nyonyi Bwanakawa et Abdallah Penembaka disent à la population de Beni et de l’Ituri qui sont exactement ces personnes qui massacrent fièrement les autochtones sous leur propre protection, ces immigrés que les vrais Hutu “Banyabwisha” de Rutshuru ne reconnaissent pas comme faisant partie de leur communauté. Tout le monde découvre enfin que les égorgeurs qui exterminent les autochtones sont ces immigrés qui ne sont pas des congolais (- car ils utilisent abusivement le nom des “Banyabwisha” -) en se revetant du masque des ADF. Ces autorités et dignitaires doivent expliquer qui sont ces criminels qu’ils ont choisi d’installer à Beni et en Ituri, et pourquoi ils préfèrent les protéger au détriment des fils et filles du pays.

Les Banyabwisha de Rutshuru ont raison de briser le silence et de dire toute la vérité…

S’il faut être franc, les Banyabwisha, nos frères Hutu congolais de Rutshuru, sont en train de traverser les mêmes souffrances que les Nande de Beni et les Hema, Banyali, Babira en Ituri. Les mêmes étrangers qui massacres les autochtones à Beni et en Ituri font la même opération contre les Hutu congolais à travers le territoire de Rutshuru. C’est pourquoi, de très nombreuses familles Hutu Banyabwisha de Rutshuru ont été forcées a fuir leurs terres pour devenir réfugiés ou demandeurs d’asile aux camps de l’UNHRC à Kyaka II, à Nakivale et à Kyangwale en Ouganda. Mais aucune de ces familles n’a pris la destination de Beni ou de l’Ituri. Ceci est un fait réel que n’importe quel enquêteur peut vérifier.

Il faut se méfier du président Félix Tshisekedi – collabo !

En tout cas la population du Nord-Kivu et de l’Ituri mourra de sa naiveté et de sa confiance aveugle. Beaucoup ont applaudi à l’accession au pouvoir de monsieur Félix Tshisekedi, clamant que cette fois-ci un véritable congolais a enfin mis fin au règne rwandais dans le pays. Et pourtant la situation sécuritaire est d’emblée passée du mal au pire dans l’est du pays. Tshisekedi Antoine Tshilombo n’ignore pas que c’est la main de Kigali qui trempe dans le sang des congolais tués comme des mouches dans plusieurs coins de Beni, de l’Ituri et des hauts plateaux du Sud-Kivu. Et pourtant, il se permet, malgré tout de signer des accords qui renforcent la capacité d’influence, de controle et l’emprise de Paul Kagame dans cette partie de l’est du territoire national congolais tant convoitée par le Rwanda.

Cet accord officiel que Félix vient de signer avec Kagame lors de sa dernière tournée à l’est de la RDC n’est que la petite face visible de l’Iseberg des multitudes d’accords secrets que les congolais ne découvrirons pas peut-être bientot, lesquels demeurent pour lui la seule garantie de continuer à se tenir au pouvoir.

Illustration: camp de transit officiel des clandestins rwandais à Nyongera (Kiwanja/Rutshuru)

Aujourd’hui, il est vrai qu’il n’y a pas de guerre ou d’insécurité du genre de la région de Beni et de l’Ituri. Et pourtant les autorités ont permis l’érection d’un très grand camp (soi-disant des déplacés) sur le terrain de l’état situé à Nyongera, non loin de la prison de Kiwanja. Aucun autochtone de la communauté des Banyabwisha de Rutshuru ne se trouve dans ce camp qui abrite actuellement plus de 2000 personnes dont l’origine est indéterminée.

Les autorités doivent honnêtement édifier les opinions en précisant qui sont les habitants de ce camp, car ils ne sont pas issus des communautés autochtones congolaises, et surtout que rien ne justifie l’opportunité d’eriger un tel camp dans le Rutshuru dans le contexte actuel.
Il s’agit en fait d’un camp de transit expressement mis en place pour canaliser des immigrés clandestins vers le grand Nord-Kivu et vers l’Ituri: ce sont des personnes qui transitent par ce camp de Nyongera qui affluent dans les zones de massacres à Beni et en Ituri en se camouflant sous l’identité des Banyabwisha qui ne les reconnaissent malheureusement pas. Ainsi, même le régime de Félix Tshisekedi évolue-t-il dans la ligne de complicité et de trahision lui léguée par son prédécesseur, en défaveur de la Nation.

Pour prouver son innocence, si du moins il prétend l’etre, Félix Tshisekedi doit faire identifier sans délai l’origine des assassins et terroristes de Beni et de l’Ituri trompant les opinions qu’ils seraient des Banyabwisha, les faire retourner à leur provenance originelle et stopper l’insécurité et les violences non justifiables imposées aux congolais de Beni et de l’Ituri.

Christian Lukinga

©️Beni-Lubero Online.

L’axe Bunia-Goma-Bukavu-Lubumbashi…


Notre histoire peut nous aider à comprendre notre destin. Prenons ici quelques faits épars pour tenter une meilleure compréhension de ce qui se passe à l’Est de la RDC.

Saviez-vous que Goma et Lubumbashi soient des fiefs des bandits à mains armées depuis les années 60 et que
Kinshasa, Bunia et d’autres villes ont connu le banditisme à mains armées après ces deux villes ? Si oui, en savez-vous le pourquoi ?

Savez-vous que les coupeurs de têtes ont commencé leur commerce dans le Kivu et le Katanga ?

Savez-vous que c’est en Ituri et dans le Kivu que furent mener les dernières opérations de nettoyage des rebelles dans les années 60 ?
Savez-vous pourquoi il en fut ainsi ?

Savez-vous que c’est dans les missions prostetantes et catholiques que la fornication était la plus forte dans les années 60 et 70 et en connaissez-vous la raison ?

Quelle conclusion pouvons-nous en tirer et pourquoi ?

L’Est se trahit lui-même !


[4/6, 10:33] Mr. John Baptist Kavunga Mbusa: Nord-Kivu : ce retour en kiosques du Journal Rafiki avec en sa Une « L’état de siège gagne des points, mais échoue » ! https://www.radiomoto.net/2022/06/04/nord-kivu-ce-retour-en-kiosques-du-journal-rafiki-avec-en-sa-une-letat-de-siege-gagne-des-points-mais-echoue/

Nous suivre en direct via ce lien : https://radioenlignefrance.com/radio-moto
[4/6, 10:42] G. Paluku Atoka Uwekomu: Cet état de siège gagne des points du fait df la sous instruction de notre population.
Peu de nos compatriotes voient loin et ne sont en mesure de comprendre que cette mesure soit soit une erreur soit une mauvaise foi de la part du Président de la République qui l’a prise.
En Ituri, nous savons que les autorités souflent le chaud et le froid pour que le peuple niais les adopte, les apprivoise.
Nous sommes pourtant colonisés par ces allochtones, incapables que nous sommes de nous prendre en charge et de les prier de rentrer chez eux où il y a beaucoup à faire.
Le Kibali-Ituri, pour lequel nos pères se sont battus, continue à opter pour l’ignominie : c’est désolant !

L’Ituri et tout l’Est sont en danger !


[31/5, 16:19] +243 823 986 222: https://lavoixdelituri.net/iturila-province-enregistre-le-premier-bilan-lourd-des-attaques-des-adf-depuis-la-proclamation-de-letat-de-siege/


[4/6, 12:45] Graphèle Paluku Atoka Uwekomu: Notre Président ne nous aime pas, nous de l’est du Congo : je vous ai prévenu !
Il vient de poster les siens, armés, partout : que réaliserons-nous si nous ne le dénonçons pas démocratiquement et courageusement ?
Je vous ai conseillé de titiller nos parlementaires pour le dénoncer et pour refuser l’état d’urgence : personne ne bouge…
Nous n’avons pas confiance en Dieu, ni ses fils : quel sera notre sort dans ces conditions ?

Qui sont ces deux blancs ?


Voici ce qui nous parvient du terrain nord-kivutien (WhatsApp).

Qui sont ces deux blancs ? Que font-ils là, aux côtés de ceux que l’on dit être des envahisseurs ugandais ?

Dans les rang des FARDC, voici que des hommes meurent et que d’autres sont blessés, encore et toujours. Dans une armée qui ne serait plus nôtre, selon plusieurs, comment savoir si c’est l’ennemi assaillant qui nous tue ou si c’est l’ennemi de nos rang ?

À opérer de mauvais choix électoraux, à tolérer l’imposture dans le pays, notre sort ne fait que s’empirer et notre ennemi gagne du terrain. Bientôt, nous risquons de voir d’autres blancs apparaître en Ituri…

Pendant que la fausse religion gagne du terrain, signe de notre d’échéance, ne nous nous étonnons pas que ceux nos ennemis nous devancent.

Cette année ne sera pas bonne : tant que nous carrosseries le mal et que nous éloignerons Dieu de nos projets. Ce qui suit n’est que le commencement de notre ignominie… (Nous avons corrigé quelques fautes de frappe uniquement).

Nord-Kivu

Hier, 1er janvier 2021, les éléments du 3202ème régiment, ont pris l’ascendance sur les terroristes des ADF/MTM au village LOSELOSE et les ont délogés de ce village situé dans le Secteur de Ruwenzori.
Bilan côté ennemi : 14 corps vus, dont deux blancs probablement des arabes.
Deux de nos héros soldats sont tombés sur le champ d’honneur, accomplissant ainsi leurs serment de « servir le pays, jusqu’au sacrifice suprême ».
7 soldats ont été blessés.
Pour l’instant le calme est revenu et les FARDC contrôlent cette partie du pays.

Antony MUALUSHAYI PP SOKOLA 1 GN