FAUX : Kinshasa ne subira pas d’intensifs délestages que jusqu’à décembre !


Nous avons besoin de 1.070 GW = 1.070.000 MW au minimum pour être pris au sérieux par les nations : 11kW par ménage de 6 personnes, 7 fois plus pour les entreprises dans un pays à la pointe de la technologie, pour un coût total de 2 à 8 billions de dollars américains d’installation !  Les délestages seront au rendez-vous jusqu’au jour où nous avoisineront les 100% de nos besoins.  Il faut plus d’un siècle au rythme où nous y allons.

Commençons à réfléchir autrement, mes frères.  Kinshasa est la capitale du Congo, mais n’est pas le Congo à lui seul et finira par ne plus être la capitale du Congo un jour vu son excentricité géographique.

Notre devoir d’ingénieur civil électricien est de dire à notre peuple que le pouvoir, comme l’opposition le trompe avec des projets de misère.  Il n’y a pas du travail sérieux qui se fasse par nous-mêmes congolais d’abord. Et ceux qui sont là pour nous « aider », nous traitent toujours en colonisés !

From: Congokin-tribune [mailto:congokin-tribune-bounces@congokingroupes.com] On Behalf Of Lumona1— via Congokin-tribune
Sent: vendredi 17 octobre 2014 17:32
To: congokin-tribune@congokingroupes.com
Subject: [Congokin-tribune] Kinshasa subira d’intensifs délestages jusqu’à décembre

17 octobre 2014

Deux groupes d’Inga II ont lâché, Kinshasa subira d’intensifs délestages jusqu’à décembre

Deux groupes d Inga II ont lâché, Kinshasa subira d intensifs délestages jusqu à décembre

La SNEL n’y va pas avec un langage diplomatique : les prochains jours seront ténébreux. Elle annonce «le délestage sera intensif » dans la capitale et dans le Bas-Congo, conséquence d’un déficit de production de la centrale d’Inga II. Outre l’écroulement d’un pylône dans le faubourg Ouest de la capitale. Certes, la SNEL a entrepris des travaux de réfection. Mais la maintenance à Inga II va durer longtemps, prévient la SNEL.

En 1982, lorsqu’Inga II (1.400MW) a été mis en marche, quatre de 8 turbines fournies par la firme ACEC Charleroi n’ont jamais ronronné. Et 2 de 4 turbines qui tournaient cahin-caha, le G24 et G 28 sont tombées en panne. Les dernières tentatives pour les réparer ont échoué. Il faut compter fin novembre 2014 pour la remise en service de l’une ou l’autre de ces turbines. C’est 175 MW sur les quelques 800MW mis à disposition de la capitale qui sont donc compromis.

Alors que l’on parle du projet Grand Inga, les deux premiers barrages du site d’Inga croulent à petit feu. Il n’est plus que de gestes de bonne volonté des institutions financières internationales ou des ONG internationales ou encore des opérateurs miniers du Katanga pour sauver ce qui peut l’être. L’on se rappelle entre 2011-2012, c’est la société allemande spécialisée dans le domaine de l’énergie, VOIT Hydro la firme allemande VOIT Hydro se trouve dans la région d’Inga dans le cadre d’un appel d’offre international pour la réhabilitation des groupes G11 et G15 de Inga II sur financement de l’Agence de financement de la coopération allemande, KFW pour quelque USD 50 millions. L a situation est si catastrophique que la RDC a cessé d’exporter du courant. Tenez, la ville de Goma est alimentée par le courant venant du Rwanda.

Au Katanga, c’est à la Zambie voisine que la SNEL achète désormais du courant chaque soir, entre 22h00’ et 6h00’, quelque 100 MW à sa consœur ZESCO. Pour revenir à la capitale, en attendant l’opérationnalité de Zongo II (150MW) ou encore la construction de la nouvelle ligne de 400Kv Inga/Kinshasa dans le cadre du projet PMEDE, la SNEL a levé, l’option d’importer quelque 20MW du Congo Brazzaville en vue de soutenir son offre en courant électrique dans la Capitale.

Le site d’Inga assure, actuellement, 63,5% de la production brute du courant du pays. Mais le taux de desserte demeure pas assez satisfaisant du fait qu’il n’est plus que 3 groupes sur 8 d’Inga II sont opérationnels (G23, G24 et G28) et 1 (sur 6) seul groupe d’Inga I (G11) qui tiennent cahin-caha. La nature sinon la négligence est aussi passée par là: l’étiage. Le niveau d’eau se met à baisser depuis quelques temps. Sinon, foi du prof Dieudonné Musibono, Chef du Département de l’environnement à l’Université de Kinshasa, pendant plus de 20 ans, la SNEL- sinon l’Etat propriétaire de cette entreprise- n’avait plus, en réalité, entrepris les opérations de des voies d’eau en amont des barrages d’Inga I et Inga II. C’est ainsi que le Groupe 26 d’Inga II a , par exemple, été arrêté volontairement par la SNEL pour maintenir le plan d’eau fixé par des experts de l’entreprise.

Il y a quelques années, un diagnostic technique établi pour la réhabilitation des infrastructures de la SNEL, rendu public par le Comité de pilotage de la réforme des entreprises publiques, a fait mention d’un investissement de USD 1 milliard de dollars dont 600 millions pour requinquer 9 des14 centrales hydroélectriques de la société où sont installés 32 turbines dont une vingtaine ronronnent encore cahin-caha. Il faudrait lever 300 millions de dollars pour retaper les 5183 Km des lignes du réseau de transport du courant et quelque 40 millions de dollars pour les infrastructures de distribution composées de 16.433Km des lignes basse tension et 4.470Km de basse tension. D’ores et déjà, le COPIREP a fait savoir que ni l’Etat r-dcongolais ni la SNEL n’ont la capacité de financer un tel programme. Le déficit en courant électrique a, on le sait, une fois encore entraîné la R-dC à la queue du classement Doing Business 2014 de la Banque mondiale. Chaque année, l’économie r-dcongolaise accuse une perte de croissance de 5% à cause du déficit en énergie électrique, fait-on comprendre le Comité de pilotage de la réforme des entreprises publiques, COPIREP.

A ce jour, à peine 44% des foyers dans la capitale Kinshasa ont accès à l’électricité et le taux de l’électrification à l’échelle nationale n’est que de 9%,a indiqué la Commission Aménagement du territoire du Sénat, lors de l’examen sur le projet de loi relatif au secteur de l’électricité. La loi relative à la libéralisation du secteur de l’électricité en RDC pourrait être promulguée courant 2015.
Mais rien ne rassure qu’en libéralisant le secteur de la distribution du courant, la R-dC sortirait de l’auberge. En libéralisant le secteur d’électricité, le gouvernement n’aura fait que déshabiller Saint Pierre pour habiller Saint Paul, a redouté Mutima Sakrimi, ex-SG de l’Union des pays producteurs de l’électrique en Afrique, actuel DG de l’Office des Routes. Plutôt réticent à la libéralisation du secteur de l’électricité car partout en Afrique, a-t-il fait comprendre, où elle a été expérimentée, l’échec fut cuisant au bout de quelques mois. Pour le COPIREP, enfer ou ciel, peu importe pourvu qu’on n’y trouve du nouveau. D’ailleurs le gouvernement, dans sa lettre de politique et stratégies de développement du secteur de l’énergie électrique a souverainement réaffirmé l’option libérale dans la réforme du secteur de l’électricité et de la SNEL en vue de permettre l’accès des partenaires privés, a-t-on fait comprendre au COPIREP. Quiconque veut peut donc devenir, à court terme, opérateur dans le secteur d’électricité. Parmi les grandes difficultés auxquelles est confrontée la SNEL, l’Etat note, selon ce rapport du COPIREP, outre l’absence de clarté sur le régime juridique des biens constituant l’actif immobilisé de la société après sa création en mai 1970 ainsi que l’absence des titres de propriété de la quasi-totalité des biens immobilisés figurant à l’actif du bilan de la SNEL à la date de sa transformation en SARL en décembre 2009 ; l’absence d’une convention de gestion du service public de l’électricité entre l’Etat et la SNEL.

Toutefois, la libéralisation du marché du courant aura, par contre, le mérite, croit-on au COPIREP, de porter la couverture énergétique de populations r-dcongolaises de 6 à 60% dans 10 ans, donc d’ici 2025. L’électrification urbaine, particulièrement, devrait, elle, quadrupler de 35 à 90% au cours de la même période.

Pold LEVI Maweja

Mambo wa Lumona
Roaming around all continents

CIA-Climat


[15:51:12] Belothi: La CIA apprivoise la météo RG
[15:51:39] Belothi: http://fr.rian.ru/presse_russe/20130725/198855150.html
[15:52:22] Belothi: La CIA cherche comment contrôler le climat de la planète. Et elle a déjà dépensé 630 000 dollars pour ça, écrit jeudi le quotidien Rossiïskaïa gazeta.
L’agence assure que le projet – intitulé « Géoingénierie du climat : évaluations techniques et discussions des impacts » – est inoffensif, mais les experts russes affirment que l’accès à l’arme offensive climatique est un rêve de longue date de Washington. L’étude des changements climatiques et des moyens de les contrôler prendra 21 mois aux chercheurs américains. C’est le délai imparti pour ce projet d’étude sur lequel travaillent, hormis la CIA, l’Académie nationale des sciences, l’agence responsable de l’étude de l’océan et de l’atmosphère NOAA (National Oceanic and Atmospheric Administration) et la Nasa. Les technologies développées avec le soutien actif de la CIA, même sous forme « limitée », paraissent très menaçantes. Il est notamment question de limiter le rayonnement solaire sur Terre grâce à la dispersion de particules spécifiques dans la stratosphère, de contrôler les radiations solaires et de déplacer des nuages.
[16:06:05] Belothi: « SOUS NOS YEUX »
Bientôt, plus d’obstacle au nouveau Sykes-Picot
par Thierry Meyssan

La question énergétique en RDC


La question énergétique question énergétique en RDC fait d’un proposition du notre proposition que la plupart négligent jusqu’ici : c’est bien dommage.

Le Projet 2014 n’est pas que rédiger un projet de société pour la RDC qui soit le plus démocratique et le plus complet possible.  C’est aussi se préparer à hydoélectrifier notre pays.  Pourquoi ?

Pace que la SNEL prétend que nous aurions près de 100 GW exploitable dans sur l’étendu de notre territoire et que notre peuple, dans sa majorité, vit dans un dénuement innacceptable, faute de pouvoir disposer de l’énergie dont elle besoin pour, depuis voici bientôt 53 ans dits d’indépendance.

Il s’agit donc pour nous de rapidement rendre à notre peuple son droit à :

  1. s’éclairer ;
  2. chauffer et se chauffer ;
  3. s’équiper en électroménagers pour simplifier les travaux de ménage et se concentrer sur d’autres travaux : l’école, le champ, le bureau, l’usine, etc. ;
  4. se déplacer plus rapidement dans des trains électriques et sur toute l’étendu de notre territoire, d’un bout à l’autre, à un coût raisonnable ;
  5. traiter ses matières premières à l’intérieur de notre territoire pour la commation intérieure et pour l’exportation de l’excédent…

Nous proposons qu’avec nous, des projets soient rapidement mis en route pour que les 120 GW soient inconditionnelement produits et consommés par les ménages de la RDC, pour pouvoir travailler à exploiter nos matières premières dans des conditions qui nous rendent concurrentielles et sans égaux dans le monde entier.

Dans la page référencée ici nous montrons que nous pouvons d’ores et déjà nous investir pour préparer la prise en charge totale du projet par nous-même, congolais.  Pas un seul rho ne viendra être quémender à l’étranger ; de sorte que, dans le pire de cas, nous pouvons lancer des chantiers partout dans le pays, dès 2023 pour produire un minimum de 120 GW dans la RDC et pour la RDC d’abord !  Il existe toutefois des conditions pour que cela se face.

  1. nettoyer l’espace politique immédiatement et sans pitier pour ceux qui se dressent, de mauvaise foi, en obstacles à notre épannouissement ;
  2. nous instruire, nous éduquer et nous former pour prendre en charge ce projet et les projets connexes (accompagnants) ;
  3. rapidement déterminer les opportunités qui se présentent à nous et les risques qui nous guêtent pour les gérer professionnellement à notre avantage, etc.

Notons en passant que ce projet nous permettra de résoudre, grâce au soutien à l’initiative privée, d’autres projets d’envergure qui démeurent dans des tiroirs :

  1. l’eau potable aux portes des ménages et entreprises ;
  2. transport des personnes et biens sur de longues distances à coûts réduits ;
  3. industrie conventionnelle et de pointe ;
  4. santé ;
  5. habitat
  6. télécommunications et traitement de l’information…

Nous aimons à ainsister pour dire que les factures des maîtres d’oeuvres devront être payées cash, de l’argent de notre poche ou citoyens congolais ; et non pas d’une autre personne, des fruits d’une mendicité qui ne se justifie pas.  Voici comment cela peut se préparer : http://eae-asbl.blogspot.be/2013/02/10-ans-pour-payer-notre-dette.html en s’engageant dans le Projet 2014, là où l’on est, sans plus tarder !

Jeunesse : levons-nous et agissons ! (3)


Pourquoi ne fêtons-nous pas le 30 juin ?

Demain est la journée de la fête de l’indépendance qui nous aurait déjà coûté 6 à 12 millions que d’autres comptent pour nous !

Jeunesse congolaise, réfuse d’avoir un avenir compromis par de papa qui veulent éternelement.

Suivez une partie de la campagne que nous menons sous Skype et Facebook.

Vous pouvez appuyer l’initiative.

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[10:50:22] JAO: Bonne fête de l’indépendance en Bruxelles

[11:52:15] GPAU: Bonne fête ?

[11:52:22] GPAU: Qu’est-ce qui te prends ?

[11:52:37] GPAU: Où vois-tu le congolais indépendant ?

[11:53:13] GPAU: Avec des congolais qui enlèvent aux autres congolais leur nationalité ?

[11:55:01] GPAU: Avec un imposteur et incompétent à la tête du pays ; des assassinats, des meurtres, des viols, de vols, de populations déplacées, décimées, privées de leurs libertés et de la paix ; toi tu es en fête ?

[11:55:33] GPAU: Je n’ai jamais fêté le 30 juin !

[11:55:37] JAO: Ce malheureux mon frère maintenant vous avez quelle nationalité

[11:57:50] GPAU: Je réfléchis à comment faire pour convaincre mon peuple de traduire en justice les assassins de Lumumba, Tshombe, Chebeya, Tungulu et autres ; à traduire en justice ce qui s’arroge le droit de me priver de ma nationalité !

[11:58:40] JAO: Même moi mon frère j’en ai marre avec

[11:58:40] GPAU: Et toi, je pensais que tu étais à notre côté dans cette lutte pour l’indépendance des peuples du Congo !

[11:59:00] GPAU: 2016 approche, allez-vous commettre encore la même erreur ?

[11:59:15] GPAU: Malu Malu est déjà mis en place…

[11:59:31] GPAU: Vous irez encore à ces élections-là aussi ?

[12:00:27] GPAU: Ce serait très dommage et appeler une malédiction sur une autre !

[12:00:33] JAO: Moi non je n’irai

[12:01:00] JAO: Vraiment ce drôle d’histoire

[12:02:33] JAO: Ce pourquoi je dois tjrs les dénoncer

[12:03:47] GPAU: Je préviens déjà que le mot d’ordre doit être clair : dès maintenant, pas d’élections avec des bandits politiques, des miliciens ou ex-miliciens, des hommes qui ont des comptes à rendre à la nation du fait de leurs implications dans des guerres, dans des pillages, dans des brimades du peuple : nous devons nous lever contre ces vices qui font la honte de notre Etat, de notre nation naissante !

[12:03:48] GPAU: Je préviens déjà que le mot d’ordre doit être clair : dès maintenant, pas d’élections avec des bandits politiques, des miliciens ou ex-miliciens, des hommes qui ont des comptes à rendre à la nation du fait de leurs implications dans des guerres, dans des pillages, dans des brimades du peuple : nous devons nous lever contre ces vices qui font la honte de notre Etat, de notre nation naissante !

[12:04:46] GPAU: Je vous invite tous à participer au Projet 2014 pour que nous mettions pied, démocratiquement, le plan d’arrestation propre de tous ces bandits qui pullulent l’espace politique congolais !

[12:04:47] GPAU: Je vous invite tous à participer au Projet 2014 pour que nous mettions pied, démocratiquement, le plan d’arrestation propre de tous ces bandits qui pullulent l’espace politique congolais !

[12:05:09] JAO: Papa je suis derrière vous

[12:05:52] GPAU: Je ne vois pas de voie de salut dans les compromissions auxquelles certains d’entre nous se livrent en acceptant d’aller négocier avec des bandits qu’il faut déloger de la maison qu’ils occupent pour notre malheur !

[12:05:53] GPAU: Je ne vois pas de voie de salut dans les compromissions auxquelles certains d’entre nous se livrent en acceptant d’aller négocier avec des bandits qu’il faut déloger de la maison qu’ils occupent pour notre malheur !

[12:06:18] GPAU: Que fais-tu concrètement ?

[12:06:18] GPAU: Que fais-tu concrètement ?

[12:06:29] GPAU: Comment mobilise-tu autour de toi ?

[12:06:30] GPAU: Comment mobilise-tu autour de toi ?

[12:07:36] GPAU: Où est la liste de personnes que tu as convaincu de se mettre de notre côté pour dire non à l’insécurité, non à la médiocrité, non à l’imposture, non à la colonisation, non à la dictature ?

[12:07:37] GPAU: Où est la liste de personnes que tu as convaincu de se mettre de notre côté pour dire non à l’insécurité, non à la médiocrité, non à l’imposture, non à la colonisation, non à la dictature ?

[12:08:14] GPAU: Nous attendons être au moins 50% des électeurs fin 2014 pour gagner en 2016, Dieu voulant.

[12:08:15] GPAU: Nous attendons être au moins 50% des électeurs fin 2014 pour gagner en 2016, Dieu voulant.

[12:09:53] GPAU: Nous devons avoir la liste des participants au Projet 2014 ; nous devons rédiger un projet de société qui soit le plus complet et le plus démocratique d’ici décembre 2014. Projet que nous proposerons aux Congolais pendant 2 ans avant de battre démocratiquement ceux qui voudraient encore induire nos peuples dans l’erreur !

[12:09:55] GPAU: Nous devons avoir la liste des participants au Projet 2014 ; nous devons rédiger un projet de société qui soit le plus complet et le plus démocratique d’ici décembre 2014. Projet que nous proposerons aux Congolais pendant 2 ans avant de battre démocratiquement ceux qui voudraient encore induire nos peuples dans l’erreur !

Nous avons dit…


Nous avons dit avoir commis des hommes véreux et incompétents à la gestion de la chose publique.  Nous n’arrêtons de mettre sous les yeux du congolais que nous sommes, cette faute grave en espérant vainement l’émouvoir…  Erreur !

L’analyse fine des documents suivants, permet de voir comment se manifeste notre irresponsabilité et ce que nous pouvons logiquement tirer comme conclusion quant à l’avenir de notre nation.

http://radiookapi.net/economie/2013/05/10/rdc-letat-devrait-garder-le-monopole-du-transport-de-lelectricite-proposent-des-analystes/

http://radiookapi.net/actualite/2013/04/03/rdc-les-deputes-debattent-de-la-liberalisation-du-secteur-de-lelectricite/

Où sont les 5 chantiers ?


Nos compatriotes laisse traîner l’imposture au pouvoir.

Pendant ce temps, voici ce que la RDC est devenu et demeure, depuis 1960.

La critique est facile, mais l’art est difficile.  C’est la raison pour laquelle nous insistons pour appeler les congolais à nous rejoindre en vue d’un travail de fond.

Il ne sera pas normal que nous allions chercher du pétrole à Mombasa en 2050.  Nous ne serons plus, mais nos neveux et leurs fils seront encore en vie.  Comment préparer leur avenir autrement que par un projet tel que le Projet 2014 ?

Qu’a fait le ministre en charge du transport pour que ce type d’accident n’ait pas lieu ?  Qu’est-ce qui pourrait être fait pour que nous ayons de meilleurs ministres ?  Sommes-nous conscients de notre part dans ces deux morts et dans les pertes pour la nation occasionnées par un tel accident ?

GPAU, initiateur et gestionnaire du Projet 2014.
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RDC/BUTEMBO
Par Theodore
Accident de roulage,un grand camion appartenant a l’Établissement KISUMBA transportant du petrole en provenance de MOMBASA pour Butembo a fini sa course dans la riviere KISALALA aux environs de 22h dans la route Beni -Butembo dans la nuit du lundi au mardi 07/05/2013.Bilan 2 morts dont le chauffeur et son aide.
nguruwasingya@gmail.com
twitter : nguru wasingya anselm

RDC/BUTEMBO
Par Theodore
Accident de roulage,un grand camion appartenant a l’Établissement KISUMBA transportant du petrole en provenance de MOMBASA pour Butembo a fini sa course dans la riviere KISALALA aux environs de 22h dans la route Beni -Butembo dans la nuit du lundi au mardi 07/05/2013.Bilan 2 morts dont le chauffeur et son aide.
nguruwasingya@gmail.com
twitter : nguru wasingya anselm

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