Des congolais parmi les interpellés


[01:32:55] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: Quinze personnes, dont sept étrangers, avaient été arrêtées pour leur implication supposée dans la tentative de coup d’Etat déjouée aux Comores. Des sources proches de l’enquête avaient indiqué que plusieurs ressortissants de la RDC figuraient parmi les étrangers interpellés, dont un colonel du nom de Kombé Am-Joris.

Des mercenaires étrangers – dont un ressortissant français proche du défunt mercenaire Bob Denard – font partie de la quinzaine de personnes arrêtées, avait annoncé la semaine dernière un responsable du parti au pouvoir aux Comores, Mohamed Halifa.

Parmi les Comoriens arrêtés figure Mahamoud Ahmed Abdallah, fils de l’ancien président Ahmed Abdallah décédé en 1989, présenté comme le principal bénéficiaire du complot.

Barrons la route à ces autres tueurs !


[14:55:27] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: **** Appel vibrand de GPAU à l’engagement citoyen contre les assassins tant nationaux qu’internationaux ***

C’est depuis 1994 que nous disons à tous nos frères congolais que la vraie solution aux problèmes congolais sera congolaise. Nous avons indiqué être prêts à mener l’offensive politique propre contre les rebelles et les bandits politiques dont nous favorisons, par nos attitudes, la prolifération dans l’espace politique congolais.
Nous convions de ce fait tous les congolais qui comprennent que ce ne soit pas avec les armes que nous ferons la paix et la prospérité, mais bien avec un travail de fond, autour d’une table, dans les champs et les ateliers, que nous pourrons construire une nation moderne au centre de l’Afrique, à refuser avec toute leur énergie tout aussi bien les rebelles que les forces étrangères meurtriers à trouver asile sur notre territoire. C’est notre droit le plus élémentaire et notre devoir supprême que de barrer la route à tous ces projets qui ne font que gonfler le nombre des nôtres et des étrangers sur notre territoire, qui meurent gratuitement sans avoir été préalablement juger par la nation comme digne de mort…  Et de quelle mort ?
En même temps, nous proposons à tout congolais qui nous comprend de mettre toutes ses énergies à contribuer, matériellement et moralement, pour que nous corrigions notre grand péché : avoir commis à la gestion de la chose publique des hommes sans foi ni loi, qui nous enfonce de plus bel dans un gouffre.
C’est le moment pour nous d’identifier nos vrais leaders et de les promouvoir, pour espérer voir le pays sortir de l’auberge dans les 25 ans à venir !  Nous entêter dans notre position actuelle ne nous attirera que la colère du Dieu vivant que nous prétendons servir, les 85% de chrétiens que nous sommes !
Que celui qui a des oreilles pour entendre entende.

Le discours qui fâche


Le discours qui fâche plusieurs au Congo en est un comme celui-ci, qui consacre la “balkanisation” du Congo.

Un mélange d’espoir et de désespoir caractérise le discours.  Les fondements philosophiques et politiques  de sont pas solides.

Suivez…

 Révolution Katangaise

Vive la balkanisation en cours:
Article 5 :
Du fait des guerres récurrentes ayant entraîné la destruction des
… infrastructures­, du tissu socio-économiqu­e, la fracture de la cohésion
sociale et l’absence de toute perspective de développement ; suite au
déficit d’une paix durable et de la sécurité durant les dernières
décennies dans l’Est de la République, le Gouvernement s’engage à
décréter la partie Est de la RDC (Nord-Kivu, Sud-Kivu, Ituri,
Haut-Ouele, Maniema et Tanganyika) comme étant une « Zone Sinistrée ».
A ce titre, la zone déclarée sinistrée devra jouir de :
1. Un statut administratif particulier ;
2. D’un plan de développement spécial ;
3. D’une large autonomie fiscale et financière ;
4. D’un concept opérationnel particulier pour sa sécurisation ;
5. D’un programme spécifique de sécurisation pour la concrétisation
des différents Accords régionaux, notamment :
– Le Pacte sur la Sécurité, la Stabilité et le Développement dans la
Région des Grands Lacs signé à Nairobi, le 15 Décembre 2006 ;
– L’Accord-cadre pour la Paix, la Sécurité et la Coopération pour la
République Démocratique du Congo et la Région, signé à Addis-Abeba le
24 Février 2013.

A cette allure-ci…


“A cette allure-ci, comment pouvons-nous compter sur une victoire dans le combat livré contre l’ennemi des congolais ?”

[09-04-13 01:58:20] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: flash flash flash

LE COLONEL KANYAMA A LA TETE DE 20 POLICIERS VIENT D’ENLEVER SANS MANDAT A 22H00 AU CENTRE CANA LE DEPUTE EUGENE DIOMI NDONGALA.

LES POLICIERS ONT BRUTALISE LE PERSONNEL DE CANA ET PARTICULIEREMENT LES RECEPTIONNISTES POUR DEMANDER OU SE TROUVAIT DIOMI NDONGALA. ILS L’ONT PRIS DE FORCE ET AMENER ENVERS UNE DESTINATION INCONNUE. L’AGENT DE SECURITE MAMBA QUI ETAIT A LA PORTE DU CENTRE A ETE AUSSI ENLEVE.

LA FAMILLE DIOMI ET LA DEMOCRATIE CHRETIENNE EXPRIMENT DES VIVES CRAINTES POUR L’INTEGRITE PHYSIQUE DU DEPUTE DIOMI NDONGALA ET DEMANDENT A TOUS LES CONGOLAIS EPRIS DE JUSTICE DE SE MOBILISER CONTRE ce HARCELEMENT POLITICO-JUDICIARE QUI VIT LE DISSIDENT DIOMI NDONGALA DEPUIS PLUSIEURS ANNEES

[09-04-13 02:16:12] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu : Il est dommage qu’après les « vu… » on en arrive qu’à une « marche » !

Kanambe peut dormir sur ses lauriers, les amis !

[09-04-13 11:15:57] Jean-Paul Ntumba Kanyinda (IT) : TRISTE NOUVELLES. ET QUE FONT LES AUTRES DEPUTES ?

[09-04-13 11:16:42] Jean-Paul Ntumba Kanyinda (IT) : DE LA MAJORITE COMME DE L’OPPOSITION ?

[09-04-13 11:17:40] Jean-Paul Ntumba Kanyinda (IT) : SI EUX NE SAVENT PAS MONTRER L’UNITE ET SOLIDARITE ENTRE EUX, A QUOI BON EXISTER ?

[09-04-13 11:18:07] Jean-Paul Ntumba Kanyinda (IT) : CELA MONTRE BIEN QU’ILS SONT LA POUR LEURS POCHES

[09-04-13 11:18:53] Jean-Paul Ntumba Kanyinda (IT) : ILS PEUVENT MM DEMANDER 10000000$ PAR AN ET TUER TOUS LES CONGOLAIS

[13:15:47] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao : Pour votre information, retenez que Eugène DIOMI NDONGALA se trouve au CPRK-MAKALA/PAVILLON8 donc même pavillon avec : chalupa + col. Josué samba + Me. Firmin YANGAMBI + etc. Et le fameux pasteur DENIS LESSIE est gardé à la prison de NDOLO

[13:49:09] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu : Chers compatriotes congolais de la Radio du Projet 2014, LEVEZ-VOUS !

[13:49:42] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu : De quoi ou de qui avez-vous peur ?

[13:51:43] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu : Que l’Etat arrête un coupable, un perturbateur de la paix publique, est ce que nous attendons tous de lui !

Que le congolais, depuis Lumumba jusque maintenant, soit traîner dans la prison, invention du colonisateur, comme une charogne, devrait nous interpeller tous, sans exception : que nous soyons du pouvoir ou de l’opposition.

[13:52:34] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: A cette allure-ci, la RDC ne peut pas prétendre à la paix ni à la prospérité avant 2033 !

Comment y arriver sans que nous soyons en mesure de nous mettre autour d’une table pour la moindre des réflexion sur notre destin ?
Comment y arriver avec des leaders qui ne font que penser tribu, langues et alliances improductives ?
Comment y arriver avec des païens qui défilent à la tête d’un pays à 85% prétendûment chrétien ?

Loi organique…


 Maombi Muhindo Kasyenene

AUJOURD’HUI VOTE DE LA LOI ORGANIQUE SUR LE CONSEIL ECONOMIQUE SOCIAL A L’ENSEMBLEEE GENERALE
Après son examen et son adoption la semaine dernière, la loi organique portant organisation et fonctionnement du Conseil économique social va être votée ce lundi à la Chambre basse du parlement. Initiée par le député Henry Thomas Lokondo Yoka, la loi organique est l’une des matières qui constitue un arriéré législatif. Elle comporte 31 articles contenus dans 5 chapitres : des dispositions générales, de l’organisation, du fonctionnement, des ressources du Conseil et des dispositions finales.
A en croire l’initiateur de cette proposition de loi, conformément aux dispositions constitutionnelles, la gestion socio-économique de la Rd Congo est souvent caractérisée par des dysfonctionnements et autres contreperformances notamment à cause de l’absence d’un cadre de concertation structurée pour améliorer le vécu quotidien des congolais. Henry Thomas Lokondo Y…

(Graphèle) Paluku-Atoka Uwekomu

Le congolais moyen comprend-il tout cela ?  Comment cela lui sera-t-il utile si ne le comprend pas ?

Le Projet 2014, c’est aussi, laisser à chaque communauté de gérer sa destinée : ne destinée qui soit conçu par lui, pour lui.  Les concepts incriminés ici ne sont pas des réalités congolaises et sont plus nuisibles qu’utiles pour la RDC.  L’histoire de la RDC et la situation que nous y traversons le prouve suffisamment.

Réagissons donc en travaillant pour l’avènement d’une Union d’Etats Indépendants du Congo.  Une union qui permette à chaque peuple du Congo de gérer son développement avec des instruments politiques, juridiques, industriels, sociaux, économiques, culturels ou autres, conçus par lui et pour lui.

La dépendance culturelle actuelle, démontrer par la livraison ci-dessu, ne nous permet pas d’aller de l’avant.  Elle nous maintient sous l’esclavage des cultures qui nous échappent presque totalement.

RDF à Rutshuru ?


Ntaganda est à la CPI.

N’est-il pas logique que les RDF agissent de la sorte ?  Quel serait alors le sens des questionnements de Gabriel Kataliko di

Gabriel Kataliko

Plus de deux brigades de l’armée rwandaises RDF, serais dès hier soir à Rutchuru, afin de venir se battre contre leur fils Makenga, au sol de la RDC. Soulignons que dans moin de deux mois le rwanda serais officiellement dans les fronts contre ces dauphins.
On lui reprocherais la collaboration net avec les FDLR, et par conséquent aussi il faut mettre Makenga or jeux. La RDC est devenue leurs champs de Mais pour s ‘y battre en n’importe quel heur? Réfléchissons chers compatriotes.

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Pillage en RDC : même des bébés morts !


La RDC est humiliée.  Il l’est au point où même ses bébés morts sont eux-aussi désormais en vente à l’étranger, comme les matières du sol et sous-sol congolais.

Qui construit aujoud’hui son commerce autour des corps d’enfants, même morts, dans les hopitaux congolais ?  Bukavu est-elle la seule ville où se pratiquerait un tel commerce ?  Le phénomène est-il nouveau au Congo ?  Pourquoi le gouvernement Matat est-il incapable d’arrêter un tel phénomène social ?

Le phénomène n’est pas nouveau.  Les arabes vendirent des congolais, avec la complicité de nos aïeux, comme l’on vent du troupeau.  Certains colons belges étaient déjà accusés de canibalisme dans certains villages congolais.  Pendant ce temps, partout, il faisaient travailler le congolais comme une bête de somme.  Les sorciers, vrais où faux, depuis toujours, sont accusés d’exploiter les corps de leur victimes morts.  Dans les années 70, dans l’Est de la RDC, des étrangers allaient chercher des têtes d’hommes.  Selon les rumeurs, ces têtes valaient des fortunes en Europe et en Asie de l’Est.

Pendant la même époque, d’autres détéraient des corps de congolais en putréfaction.  Leur but était d’en produire des élixirs de toutes sortes.  Plusieurs y crurent ; d’autres y croient jusqu’aujourd’hui.

 Les Femmes Du Kivu

Bo yoka lisolo vrai:
L’Hôpital de Référence de Panzi en flagrance de trafique des nouveaux nés

 Picasso Fataki Bin Fataki

HISTOIRE VRAI
LOBI NA HOPITAL YA PANZI NA BUKAVU, BA AVENTURE ELEKAKI KUNA BOYOKA:
MAMAN MOKO A BOTAKI NA CESRIENNE MWANA MOBALI MPE BAKOLO MWANA BAMONAKI YE, LE MEDECIN DE GARDE A CONFIRME BANGO KE MWANA AZA BIEN. QUELQUES MINUTES APRES, INFIRMIER MOKO AYE KOYEBISA BANGO KE MWANA NA BANGO AKUFI. HOPITAL ESOMBELI BANGO… CERCUEIL MPO BAKUNDA MWANA, BOLAMU NINI TIII NA NIVEAU WANA. BOYOKA SIKOYO, TANGO BAZOKENDE KOKUNDA MWANA MUTU MOKO ALOBI TOFUNGOLA NANO CERCUEIL TOTALA EBEMBE YA MWANA AVANT TOKUNDA. BAFUNGOLA NAKATI YA CERCUEIL, BAMONI LIBOSO BA DRAPS NDENGE BATIAKA, DEUXIEME COUCHE, BAMONI SACHET YA COULEUR VERTE, BAPASOLI SACHET BAKUTI BA LINGES BAKANGA NETI MWANA. NZOKA BAYIBI MWANA BAKOSI BANGO KE AKUFAKI, NZOKA EZALAKA HABITUDE YA HOPITAL WANA YA KOYIBA BANA. HOPITAL YANGO OYO ESALAKA BA PUBLICITE MINGI NA BA JOURNAUX, TV NA RADIO, FAMILLE WANA EZONGI TII NA HOPITAL KOSENGA MWANA NA BANGO, BAPESI BANGO EBEMBE YA MWANA MWANI, NZOKA YA BANGO AZALI MWANA MOBALI. BA SERVICES NYONSO EZA DEJA ALERTE. LELO EKOYINDA NA HOPITAL WANA. FAMILLE WANA EKEYI KOSENGA MWANA NA BANGO YA MOBALI LELO NDE LELO EKO YINDA. NZOKA MPE MWANA YANGO AZA NDE MWANA YA MAITRE AVOCAT. BOKEBA BAKOMI KIYIBA BANA. TRAFIC YA BANA YA BEBE EKOMIEEEEEEEEEEEEE. AVIS NA BINO EZA NINI NA PROBLEME OYO.

Bangui, RSA


From: africa-t@googlegroups.com [mailto:africa-t@googlegroups.com] On Behalf Of malonga miatudila
Sent: lundi 25 mars 2013 12:59
Cc: PPRD
Subject: RE: [congocitizen] L’armée sud-africaine confirme la mort de plusieurs de ses hommes à Bangui

Chers Tous,
Au mois de janvier de cette annee, j’ai fait circuler une synthese de l’Histoire du Pays de Boganda… mais sans illusion sur les effets de cette information. Car Madame l’Histoire nous apprend sans cesse une chose: elle ne nous apprend rien.
Miatudila.
PS: Ceux qui oublient leur histoire sont condamnes a la repeter. Bozize a ete chasse comme il a chasse son predecesseur. Eteya biso? Mon oeil!


From: vitaclub1@yahoo.co.uk
Date: Mon, 25 Mar 2013 11:30:51 +0000
Subject: [congocitizen] L’armée sud-africaine confirme la mort de plusieurs de ses hommes à Bangui

L’armée sud-africaine confirme la mort de plusieurs de ses hommes à Bangui

Un blindé des troupes sud-africaines à Begoua, à 17 kilomètres de Bangui, samedi 23 mars 2013.

Un blindé des troupes sud-africaines à Begoua, à 17 kilomètres de Bangui, samedi 23 mars 2013.

REUTERS/Reuters TV

Par RFI

Un responsable de l’armée sud-africaine a confirmé, dimanche 24 mars, que plusieurs soldats sud-africains ont été tués dans les affrontements avec les rebelles de la Seleka à Bangui. Il se refuse pour l’instant à donner le nombre de soldats actuellement déployés en Centrafrique.
Suivez l’édition spéciale sur la situation en Centrafrique sur l’antenne de RFI, ce lundi 25 mars de 6 h à 7 h (TU).

Avec notre correspondante à Johannesburg,

On ne sait pour l’instant pas combien de soldats sud-africains sont morts pendant les affrontements à Bangui.

Mais le général Xolani Mabanga, directeur de la communication de l’armée sud-africaine, a confirmé que plusieurs soldats ont été tués ou blessés lors de combats entre les rebelles de la Seleka et les troupes sud-africaines. Des combats qui ont eu lieu notamment samedi dans la banlieue de Bangui. Selon le porte-parole de l’armée sud-africaine, il y a eu des victimes dans les deux camps.

En janvier, quatre cents hommes avaient été envoyés

Le général Mabanga a également précisé que la situation était calme ce dimanche après-midi à Bangui et que les troupes sud-africaines sont désormais hors de danger.
Il a refusé de préciser combien d’hommes sont déployés en Centrafrique pour des raisons de sécurité.

En janvier dernier, au moins 400 soldats sud-africains sont arrivés en Centrafrique pour encadrer et entraîner l’armée du régime de François Bozizé, dans le cadre d’un accord militaire entre les deux pays signé en 2007.

tags: Afrique du SudRépublique centrafricaine

G.Lutonadio

Melville

USA

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« We will remember not the words of our enemies, but the silence of our friends. »
« Nous ne nous souviendrons pas des paroles de nos enemis mais plutot du silence de nos amis »


« Tout militaire sans formation ideologique, c’est un criminel en puissance et malheur a ceux qui baillonnent leur peuple: Thomas Sankara »

« Je me demande pourquoi vous soutenez ces navires de la course au pouvoir appelés partis politiques mis en place pour que nous ne réalisions jamais ce qu’est reellement la politique et la démocratie et de toujours nous faire accepterer le mensonge sur la vérité. Vous ne pouvez jamais gagner un match en utilisant les règles du jeu qui peuvent etre changer par ses inventeurs en un clein d’oeil afin d’y sortir tourjours gagnant. »

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La Centrafrique – Indépendance de l’Afrique


[22-03-13 13:15:16] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao : Centrafrique : les rebelles forcent la ligne rouge sur la route de Bangui

LIBREVILLE – Les rebelles centrafricains du Séléka ont forcé vendredi un barrage de la force africaine au nord de Bangui, dernier verrou menant à la capitale centrafricaine, a affirmé à l’AFP une source au sein de cette mission militaire des Etats d’Afrique centrale (Fomac).

Il y a eu des tirs sans faire de blessés. Les rebelles ont forcé le barrage (de Damara, à 75 km au nord de Bangui), et sont passés vers 12H00 (11H00 GMT) locales, a déclaré cette source. Ils sont sur la route de Bangui. Nous sommes en alerte maximum, selon cette même source.

Damara était considérée par la Communauté économique et monétaire des Etats d’Afrique centrale (Cemac, qui fournit les troupes de la Fomac). Comme la ligne rouge que les rebelles du Séléka ne devaient pas franchir.

Le barrage de la Fomac à Damara était tenu par des soldats tchadiens et gabonais, selon cette source qui n’a pas précisé leur nombre.

Plusieurs barrages des Forces armées centrafricaines (FACA) et de la gendarmerie centrafricaine se trouvent aussi sur la route entre Damara et Bangui mais ils étaient peu équipés en janvier, avait constaté un journaliste de l’AFP.

Des troupes sud-africaines, appelées par le président François Bozizé dans le cadre d’un accord de défense, sont positionnées au nord de Bangui, près du PK 12 (point kilométrique 12) qui est la véritable entrée de la capitale centrafricaine. Il reste à savoir quelle sera l’attitude de ces troupes bien équipées face aux rebelles.

Quelque 250 soldats français se trouvent actuellement à Bangui dans la zone de l’aéroport situé au nord de la ville mais, lors de la précédente offensive, le président français François Hollande avait précisé qu’ils n’étaient là que pour défendre les ressortissants et intérêts français.

Les forces de la Fomac, constituées de Tchadiens, Gabonais, Camerounais et Congolais (Brazzaville) sont au nombre de 500 environ.

En janvier, le général Jean-Félix Akaga, le commandant gabonais de la Force multinationale d’Afrique centrale (Fomac), s’était montrée ferme devant le franchissement de Damara, dernier verrou avant Bangui.

Si les rebelles attaquent Damara, c’est une déclaration de guerre, cela veut dire qu’ils ont pris la résolution d’engager les 10 Etats d’Afrique centrale. Je ne pense pas sincèrement qu’ils en arriveront là, avait-il déclaré lors d’un point de presse à Bangui.

(©AFP / 22 mars 2013 12h59)

L’indépendance de l’Afrique

Par GPAU

Pendant qu’en RDC, les rébellions vouent toutes un grand respect pour la MONUC  et ont une peur bleue de cette dernière, en RCA, les rebelles traverse éperdument la ligne rouge du FOMAC.

C’est dire que l’Afrique reste sous-développé dans le sens plein et total du terme : culturellement, économiquement, technologiquement, politiquement, militairement…

Voilà pourquoi l’intelligentia africaine devrait se lever, comme un seul homme, pour prendre sa place dans la direction des affaires de l’Etat ; une place qu’elle a laissée à un cortège de bandits politiques de tous bords ; ce qui explique la lenteur avec laquelle l’Afrique chemine vers son indépendance.

Dans le cas particulier de la RDC, nous avions déjà prédit en 1985, à la fin de nos études à l’Université de Kinshasa, que cette indépendance attendrait nos petit fils ; c’est-à-dire, la génération qui naîtra dans les années 2016.

Tutsi : hamites ou kushites ?


[14:45:55] Likembe: Les Tutsi du Rwanda et du Burundi

Le peuple Tutsi fait partie d’un ensemble de peuples appelés« hamites » dans la littérature coloniale et missionnaire, qui habitent un territoire, autour du Nil Blanc, jadis nommé, dans la Bible, Pishon.
Cette vaste région couvre l’est du Congo, le Rwanda, le Burundi ainsi que des parties importantes de l’Ouganda, du Kenya et de la Tanzanie. Mais les Tutsi préfèrent se qualifier de « Kushites » et se réfèrent à l’ancien empire de Kusch où régna la reine de Saba et son fils Ménélik 1er (David II), dont le père aurait été le roi Salomon.
Différentes ethnies ont la même origine que les Tusti : les Hima (ou Hema dans l’est du Congo), les Massaï du Kenya et de la Tanzanie, les Karamajong, du nord de l’Ouganda, les Samburu du Nord du Kenya, etc.
Monseigneur Julien Gorju, chef de l’Eglise du Burundi, dans son Face au Royaume hamite du Ruanda, le royaume frère del’Urundi paru en 1938 à Bruxelles (voir aussi, du même auteur,Zigzags à travers l’Urundi, paru à Namur en 1926, 233 pp.), affirme que les Tutsi sont de descendance éthiopienne. Il fut approuvé par de nombreux autres missionnaires dont le Père Blanc Firmin Rodegem dans son Dictionnaire Rundi / Inyizamvugo y’ikirundi, paru à Usumbura en 1961, dans lequel il définit les Tutsi comme« éthiopides » (p.1.146).
Tant la Bible que les écrits de l’Egypte pharaonique parlent de ce qui est l’actuelle Ethiopie, comme du pays de Kush. Les Tutsi préfèrent donc se qualifier de « Kushites » et se réfèrent à ce royaume où régna la reine de Saba (la Makéda éthiopienne) qui serait une des descendantes de Moïse et de Tsipora, l’Ethiopienne.
Le Négus Haïlé Sélassié, le roi des rois, ne se faisait-il pas appeler le Lion de Judée ?Selon Mathias Niyonzima, spécialiste de l’histoire de son peuple et initiateur du site Beth Kushi ve’Yisraël, (http://www.bethkushi.be), l’origine juive des Tutsi est incontestable.
Il en veut pour preuve la loi des Anciens qui impose une série de règles qui ont des points de ressemblance étonnants avec la loi mosaïque : un monothéisme strict très ancien : Imana est le nom de Dieu, la cacheroute, les «imiziro»qui sont les «mitsvot», la vache rousse mais, en plus de cet attachement à la tradition, le refus du baptême chrétien (les derniers grands rois et chefs tutsi comme Mwezi, Mutaga, Maconco, Rwabugiriet Musinga ont combattu l’évangélisation (jusqu’à la mort pour certains) et l’assimilation. L’hostilité d’une certaine Eglise catholique romaine ainsi que le génocide dont ils furent les victimes, dans une indifférence coupable, et la vie quotidienne dans un environnement dominé par des populations ethniquement différentes et souvent hostiles les rapproche aussi du Peuple juif.
C’est un judaïsme pré talmudique qui serait similaire, selon lui, à celui des patriarches, des prophètes et des rois David et Salomon. Le coup d’Etat de1966 a mis fin à la dynastie des mwamis (rois) du Burundi qui fut fondée par Ntare I Rushatsi Cambaratama (le roi Lion I « le Hirsute à la Tunique de bête ») vers 1270 de notre ère et dont cinq des dix-sept souverains ont porté le titre de Ntare, Lion. Lors de la manifestation du 1er juillet 2004 à Matonge, ce pittoresque quartier de Bruxelles proche de la porte de Namur, un groupe de manifestants opposés au conflit qui ravage la région des Grands Lacs s’en est violemment pris à Serge R., le traitant de « Sale Juif » sous prétexte de son origine tutsi.
Selon Mathias Niyonzima, certains noms de clans gardent toujours leur racine hébraïque : « ben » (fils de), tels les Benengwe, Banyakarama,Banyamurenge, Banyiginya. Cette mémoire collective juive des Batutsi se concrétise aussi par l’adoption de l’étoile de David sur le drapeau du Burundi.
Bibliographie : L’origine juive des Tutsi. Article de Mathias Niyonzima, « Los Muestros n° 56 » – septembre 2004.Il y a une communication qui passe chaque fois qu’on rencontre un Juif,quand il partage sa peine et que nous partageons la nôtre. Quelque part,nous nous rejoignons. Je crois que cela nous a amené à développer bonnes relations avec Israël.
Je pense que les origines lointaines des peuples nilotiques de l’afrique Central tels que Tutsi du rwanda-Burundi et Hema du Congo remonteraient vers l’ethiopie.Des évidences des liés avec le peuple juifs sembleraint probables.Même nos coutumes attestent ce que nous sommes et vous pouvez visiter le site http://www.bethkushi.be .