Droits de l’homme: l’Equateur propose d’aider les USA


Décidemment, l’Amérique Latine a sa façon de défendre son indépendance, sa souveraineté.  C’est le tour de l’Equateur de dire aux américains qu’ils n’aient pas le monopole de leçon à donner aux autres pays de la terre.  Cette façon de faire lui réussit-elle et comment pouvons-nous le voir ?

La question qui se pose est : quel est l’état réel du respect des droits de l’homme en Equateur et aux Etats-Unis et comment le savons-nous ?

Plus utilement encore, quel est l’état du respect des droits de l’homme en RDC et que faisons-nous pour son amélioration ?  2016 approche et les partis politiques ne bougent pas.  Ceux de l’opposition particulièrement, pendant que le pouvoir prépare bien ses cartouches…

A Projet 2014, nous affirmons que le non respect des droits de l’homme en RDC est principalement la conséquence directe de nos malheureux choix politique depuis les années 60 et particulièrement de l’adoption de la République comme modèle d’organisation de la politique dans notre pays fortement multiculturelle et d’origine coloniale.

C’est pourquoi, nous proposons à tous ceux qui croient comme nous en la nécessité d’un changement d’attitudes de notre part et en celle d’un passage de la république vers une union d’états indépendants au Congo, de ce joindre à nous, pour forcer la dictature, l’imposture et le colonialisme à la capitulation ; de peur que nous ne les écrasions de force ; parce que, contre la volonté de notre Dieu et de notre peuple, il n’est aucune force qui ne puisse résister !

Droits de l’homme: l’Equateur propose d’aider les USA.

Cybercafés/Goma


Feuille de route pour le démarrage du projet Cybercafés/Goma

Tableau 1 Tâches et résultats entendus

Ordre

Tâches

Résultats entendus

Remarques, observations

1.

Identification des institutions d’enseignement intéressées

Trois institutions d’enseignement intéressées (Dénomination, nombre d’élèves ou d’étudiants, nombre du personnel enseignant et administratif, Nom, prénom, téléphone et adresse email du responsable)

Prendre si possible trois points équidistants dans la ville pour assurer un déplacement possible d’autres écoles vers les 3 laboratoires d’informatique. Tenir compte des labos existants.

2.

Obtenir 3 devis de chacun des 3 meilleurs fournisseurs de services Internet de la ville

Pour chacune des institutions et chacun des fournisseurs obtenir un devis qui fournit les coûts des installations et le coût d’une année d’abonnement. La connexion doit être de de la toute dernière technologie disponible, un DSL sans limitation de volume de données ni disponibilité en temps ! Fournir les coordonnées de l’entreprise et du responsable.

 

3.

Créer un compte pour la gestion financière du projet

Un compte auprès d’une institution bancaire pour EAE ASBL

 

4.

Calculer la rentabilité du projet

Rentabilité économique, sociale, politique, culturelle, technologique, scientifique, industrielle

 

5.

Négocier et réunir la participation des parents aux frais

Un montant total des participations dans chaque institution, par enfant ou par famille (à suggérer).

 

6.

Négocier une participation de l’administration locale

Quartier

Commune

Ville

 

7.

Négocier une participation de la population locale

Le quartier

La commune

La ville

 

8.

Négocier une participation des opérateurs économiques locaux

Commerçants

Autres hommes d’affaires

 

9.

Rechercher un éventuel don, crédit ou subside

RDC

Belgique

UE

 

Tableau 2 3 institutions choisies pour le projet-pilote

Dénomination

Apprenants

Personnel

Prénom

Nom

Post-nom

Téléphone

Email

               
               
               

Tableau 3 3 meilleurs fournisseurs de services Internet

Dénomination

Rue

Numéro

Quartier

Commune

Nom

Prénom

Téléphone

Fax

Email

                   
                   
                   

Tableau 4 : Coût en dollars de l’installation complète et d’un abonnement de 12 mois. Total = …$

Fournisseurs

Institution 1

Institution 2

Institution 3

Sous-totaux

Coûts

Installation

Abonnement

Installation

Abonnement

Installation

Abonnement

 

Fournisseur 1

             

Fournisseur 2

             

Fournisseur 3

             

Tableau 5 : Participations locales aux frais en dollars. Total = … $

Participations

Institution 1

Institution 2

Institution 3

Sous-totaux

Parents

       

Quartier

       

Commune

       

Ville

       

Opérateurs

       

Dons

       

Subsides

       

Crédits

       

24 heures après…


“L’officier militaire s’est toutefois dit «solidaire» et «compatissant» face à cette population qui, selon lui, avaient bien accueilli les FARDC à leur arrivée à Nord-Kivu: les FARDC se retirent de Rutshuru, le M23 se redéploieRutshuru.”

Naïveté !

Les populations du Nord-Kivu se refuse de voir où se trouve leur vrai salut !

Voyons, si en dehors du projet 2014, elles pourraient trouver mieux pour une approche salvatrice efficace, qui nous conduise vers une vraie et durable paix.

***********************************************************

[17:54:41] christian akili: Vingt-quatre heures après avoir repris le contrôle des localités abandonnées par les rebelles du M23 à Rutshuru, l’armée congolaise s’est retirée, dimanche 3 mars, de ce territoire du Nord-Kivu. Les Forces armées de la RDC (FARDC) affirment avoir obéi à un ordre hiérarchique. Des témoins rapportent que les rebelles du M23 ont commencé à revenir dans ce territoire. De son côté, la société civile demande au Gouvernement de tenir ses promesses faites, relatives à la sécurisation de la population locale.

Selon plusieurs témoins, l’armée a commencé à se retirer vers minuit, heure locale, à partir de Rubare, à 4 Km de Rutshuru centre, sur la route allant vers Bunagana.

Les FARDC se sont ensuite retirées de Kalengera et Kako, à l’ouest, Rutshuru-centre et Kiwanja, au nord, puis Nyongera, au nord-est.

Deux heures plus tard, vers 3 heures du matin, à la surprise de la population, le M23 a commencé à redéployer ses troupes à partir de Rubare, puis sur l’axe Mabenga- Rwindi, rapportent les mêmes sources.

Le porte-parole du M23 a confirmé que les rebelles se redéploient sur leurs anciennes positions abandonnés vendredi dernier.

«Inadmissible », estime la société civile

La société civile du Nord-Kivu a jugé inadmissible ce retrait de l’armée du territoire de Rutshuru, alors que le porte-parole du gouvernement, Lambert Mende, avait affirmé que les FARDC étaient revenues restaurer l’autorité de l’Etat dans ces localités longtemps occupées par les rebelles

Pour Omar Kavota, porte-parole de cette structure, «il en va de la dignité du gouvernement congolais de trouver une réponse immédiate pour que sa parole d’honneur, ses promesses, rassurant la population, soient respectées».

«On était déjà très satisfait des déclarations du porte-parole du Gouvernement, qui annonçait que les FARDC étaient en train de restaurer l’autorité de l’Etat. Ces propos viennent d’être contredits par une réalité triste. C’est inadmissible parce que le porte-parole du Gouvernement a rassuré la population. Il a envoyé des messages de réconfort à cette population, qui saluaient la présence et le retour des FARDC», a-t-il affirmé.

« Nous ne sommes pas des rebelles »

Confirmant le retrait de l’armée des positions qu’elle avait investies quelques heures plus tôt dans le Rutshuru, le porte-parole des FARDC au Nord-Kivu, le lieutenant Colonel Olivier Hamuli, a déclaré qu’il s’agissait d’obéir à un ordre hiérarchique.

«Nous, nous ne sommes pas des rebelles. Nous sommes une armée républicaine, et nous sommes soumis à l’autorité politico-administrative. On s’est retiré sur ordre de la hiérarchie. Et nous nous inclinons devant cette instruction», a-t-il affirmé.

L’officier militaire s’est toutefois dit «solidaire» et «compatissant» face à cette population qui, selon lui, avaient bien accueilli les FARDC à leur arrivée à Nord-Kivu: les FARDC se retirent de Rutshuru, le M23 se redéploieRutshuru.

Vendredi 1er mars dans la soirée, les militaires congolais avaient repris le contrôle de plusieurs localités du territoire de Rutshuru abandonnées par les rebelles du M23 qui les occupaient depuis plusieurs mois.

Dans un communiqué vendredi 1er mars, le M23 avait annoncé son retrait de ces localités pour « éviter la confrontation des forces dans les grandes agglomérations et la mise en danger des vies humaines ».

Selon le mouvement rebelle, les localités de Mabenga, Kitagoma, Kiwanja, Rutshuru-centre et Rugari sont assiégées par une coalition armée, composée de militaires congolais, de rebelles rwandais des FDLR, et de miliciens Maï-Maï, qu’il accuse de commettre des exactions à l’encontre des populations civiles.

Réagissant à ce communiqué, le porte-parole du gouvernement congolais, Lambert Mende, avait indiqué que c’est à l’armée congolaise d’assurer la sécurité des populations civiles et non au M23.

Un sit-in peut-il servir ?


  • Nguru Wasingya Anselme

    SIT-IN DE GOMA (RDC) SUSPENDU/ TÉMOIGNAGE FASCINANT D’UN MANIFESTANT
    « Goma, 7h30, la Police GMI revient sur le lieu de la manifestation avec deux jeeps 4X4 policiers (armés jusqu’aux dents). Les élements de Cette unité de GMI ont menacé de tirer. Ils ont quitté leur véhicule avec brutalité, ils étaient à quarante à peu près. Ils nous ont escortés jusqu’à la Paroisse Carmel avant nous de nous proposer d’aller à la mairie mais curieusement ils nous amener au bureau de la Police P2 où on a subi des intimidations. 5 minutes après, ils nous ramenés au siège de l’assemblée Provinciale du Nord-Kivu; oùn ous avons rencontré le vice président de l’assemblée provinciale, le maire de la ville, le commandant ville de la PNC, le responsable de la TRAMINCO (société de construction de la voirie) et le président de la société civile ville de Goma. Prenant la Parole, le responsable de la TRANMINCO a affirmé que la semaine prochaine les travaux d’asphaltage démarreront sans faute sur l’ensemble de la voirie (10,5km) ensuite le plan d’exécution des travaux sera remis aux élus du Nord-Kivu. Le Président de la société civile? Ville de Goma, Gautier, s’exprimant à son tour a tenu a rappelé aux parties concernés que la date butoir des travaux d’asphaltage est fixée au 28.03.2013. Le Maire de ville (Kundos) a instruit le commandant ville de la Police d’interpeller le Major Malumba qui nous a supplicier et saisi nos biens hier dans la soirée. « 

Les nouvelles des Kivu…


L’affrontement vient d’eclater au niveau de Kilima-Nyoka entre les deux factions, d’une part, du Col. Innocent ZIMUNDA, fidèle au général Baudouin et au président ; et d’autre part, le Col. MBONEZA fidele au generale MAKENGA, ce col voulait traverse la zone sous controle du col Zim Zim et joindre Makenga sur la colline de Chanzu la ou il s’est retranché depuis une semaine deja

************************************************************

[3:19:59 PM] CA : ce matin voi la declaration de Makenga
VOICI CE QU’EST LE M23 REMODELE SANS JM RUGIGA,SULTANI MAKENGA SEUL ROI

VOICI LE GOUVERNEMENT SANS J.M RUNIGA

• Chef du haut commandement militaire : Colonel SULTANI MAKENGA
• Secrétaire exécutif : M. François RUCOGOZA TUYIHIMBAZE
• Département des affaires politiques et administration du territoire : M. SENDUGU MUSEVENI
• Département des relations extérieures et de la coopération régionale : Me René ABANDI MUNYARUGERERO
• Département des affaires sociales et humanitaires : Dr Alexis KASANZU
• Département des Finances, Budget et Ressources naturelles : M. Justin GASHEMA
• Département de l’Agriculture, Pêche et Elevage : M. Déogratias NZABIRINDA NTAMBARA
• Département de la Justice et des droits humains : Me Antoine MAHAMBA KASIWA
• Département de la Réconciliation et de l’Unité Nationale : M. Jean Serge KAMBASU NGEVE
• Département de Rapatriement des réfugiés et réinsertion des déplacés internes : M. Benjamin MBONIMPA
• Département du Tourisme, Environnement et Conservation de la Nature : Prof Stanislas BALEKE
• Département de la Jeunesse, Sport et Loisirs : M. Ali MUSAGARA
[3:21:45 PM] christian akili: apres deux heures voici ce qui viendra
[3:21:59 PM] christian akili: LE COLONEL SERAPHIN MIRINDI
REAGI A LA DESTITUTION DE J.M RUNIGA
ET DESAVOUE
SULTANI MAKENGA

… Dans une Interview exclusive sur Radio KIVU1, Seraphin Mirindi est sans équivoque :
« La décision de destitution du Président du M23 par le Général Sultani Makenda est une décision unilatérale qui ne concerne que Makenga lui-même. Nous comme membres du Haut-Commandement militaire du M23 qui avons travaillé avec Makenga, nous avons toujours demandé une concertation interne qu’il a refusé. Nous accusions déjà Makenga de 4 griefs.
Un, Il s’est beaucoup ingéré dans l’organisation politique du M23 et nous l’accusions d’usurpation du pouvoir.
De deux, le général Makenga a détourné beaucoup d’argent de notre armée. Nous avions voulu initié un audit afin qu’il s’en explique. Il a signé sur beaucoup de bons de sortie d’argent et nous voulions savoir l’utilité de tout ce montant car nos soldats meurent de faim.
De trois il ne veut pas réunir toute l’armée du M2 autour de lui car il se contente seulement d’un groupe qui est sous son autorité.
De quatre nous avons des preuves qu’il a été soudoyé par le Président Joseph Kabila pour nous désorganiser et mettre fin au dialogue de Kampala que nous suivons bien.
C’est quand Sultani Makenga a su que nous allions lui demander tout ceci qu’il s’est précipité pour publier son communiqué de destitution du chef du M23 afin de faire semblant comme si c’est lui qui aime notre mouvement et veut son essor. Nous appelons cela une fuite en avant.
Nous comme armée nous décidons de rester avec le Bishop Runiga qui est notre Président. En suite notre armée se décide de n’est plus obéir aux ordres de Sultani Makenga jusqu’à nouvelle ordre et que tout soit clarifié. Troisièmement nous attendons une réunion extraordinaire entre politiciens et militaires du M23 afin de savoir quelle position prendre et suivre.
Afin moi qui était G5 de l’armée du M23 je viens d’être promu Porte–Parole de l’armée du M23.
RADIO KIVU1 : Ou est monsieur Jean-Marie RUNIGA ?
S.MIRINDI : Il est ici en mission. Il visite la population et son armée et sa police. L’administrateur du territoire (de KIBUMBA) est avec nous ici, le secrétaire général de la police et nous qui l’accompagnons sommes ensemble. Nous n’obéissons pas aux décisions personnelles de Sultani Makenga.
-RADIO KIVU1 :Pouvons-nous dire qu’il y a deux armées au M23 et deux porte-parole ?
-Moi je parle comme militaire. Je suis dans l’armée du M23.Je deviens porte-parole militaire car même Vianey Kazarama est devenu indiscipliné et il n’a plus le droit de nous engager sans notre consentement.
[3:23:22 PM] christian akili: c’est apres qu’il ya eu affrontement  au niveau de kilima-nyoka
[3:39:39 PM] GPAU : Voilà qui confirme ce que nous vous disions.
Le M23 non plus, n’est pas la solution !
La meilleure solution au problème congolais aujourd’hui est la participation au Projet 2014 ou à un projet congolais similaire, à trouver !

[3:43:53 PM] CA : le projet 2014 est bien mais il ya un autre problème qui nécessite une solution pour que le projet 2014 soit efficace c’est le problème de leadership au congo,

[3:44:17 PM] CA : Kanambe est un frein a tout ce que vous pouvez entreprendre

[3:47:38 PM] GPAU: Relis ce que tu viens d’écrire !

[3:47:48 PM] GPAU: Que veux-tu dire au juste ?

[3:51:38 PM] CA : j’ai viens de lire, je veux dire que pour le développement du congo, aujourd’hui c’est le gouvernement en place qui est un frein a tout développement

[3:51:55 PM] GPAU: Comment vois-tu la question ou le problème du leadership au Congo résolu en dehors du Projet 2014 ou d’un autre projet similaire ?

As-tu déjà trouvé un autre projet similaire ?

Ou alors tu tu attends la « communauté internationale » intervenir pour résoudre « le problème de leadership au congo » ?

[3:52:33 PM] GPAU: Désolé, CA. Nous savons tout cela depuis 1960 !

[3:52:56 PM] GPAU: Si ce n’est qu’aujourd’hui que tu le découvre, alors, tu es très en retard.

[3:55:23 PM] GPAU: Pour nous, il a toujours été question de chercher la solution à notre manque de civisme. Et notre analyse est très simple. Tout le monde aujourd’hui est irresponsable. Nous n’avons pas construit le Congo. C’est la Belgique et les autres métropoles qui ont créé la RDC. Depuis l’indépendance de 1960, nous ne nous sommes pas encore assis pour décider, librement, de ce que nous voudrions faire de cette portion de terre appelée Congo-Kinshasa ou RDC.

[3:55:40 PM] GPAU: La conséquence en est que personne ne soit redevable à personne.

[3:56:04 PM] CA : c’est ne pas a la communauté Internationale d’intervenir pour résoudre, car comme vous le dites depuis 1960, alors quand on doit faire une chose deux fois de la même manière et s’attendre a un résultat différent ce qu’en a perdu la tête, ce qui reste a faire c’est le projet 2014

[3:56:13 PM] GPAU: Le Projet 2014 est le seul projet que je connaisse, qui propose la solution du problème congolais à sa source !

[3:57:06 PM] GPAU: Nous demandons que tous ceux qui aiment le Congo se dépouillent de leurs orgueils suicidaires pour venir autour de la table de démocratie, construire notre Congo à nous congolais !

[3:57:52 PM] GPAU: Si personne ne répond, nous comprenons par là qu’il y a des congolais qui veulent continuer à coloniser des congolais comme eux !

[3:58:26 PM] GPAU: Tant qu’il en sera ainsi, CA, notre Dieu est vivant, la pérégrination dans le désert du sous-développement continuera !

[3:59:08 PM] GPAU: A l’histoire, tu sauras que ce que je dis, je le tiens de celui qui a la Terre dans la paume de sa main !

[4:00:25 PM] GPAU: CA, tu fouis ma question. Si ce n’est pas à la communauté internationale d’intervenir, toi, CA, que fais-tu pour que le congolais comprenne que c’est à lui de se mettre autour de cette table à laquelle nous convions tous les congolais ?

[4:00:41 PM] GPAU: Autrement, comment puis-je savoir que tu aimes le Congo ?

[4:01:09 PM] GPAU: Demain, nos fils lira ce qui est écrit ici et analyseront ta réponse concrète à l’appel !

[4:01:16 PM] GPAU: Bonne journée, CA

[4:01:35 PM] CA : merci
[4:03:20 PM] CA : c’est   vraie nous devons nous mettre autour d’une table
[4:03:41 PM] CA : Bonne journee aussi

Le communiqué de l’UFRC (2)


Les enjeux

Les enjeux sont énormes dans la Région des Grands Lacs. Les vies de Kanambe, Museveni et Kagame dépendent de ce qui se décide à l’Est du Congo. Plus précisément de ce que décident les opérateurs économiques de l’Est du Congo. Si aujourd’hui, nos compatriotes commerçants de l’Est de la RDC décident de ne plus traiter avec l’Uganda, le Rwanda, le Soudan du Sud, la République Centrafricaine, le Burundi, la Tanzanie et le Kenya, Museveni et Kagame mourront à coup sûr et immédiatement. Le rôle des partis politiques est négligeable : ils ne sont pas structurés ni compétents, ni même près de le l’être. Les milices non plus. Versées dans le combat de la dictature par la dictature, elles ne peuvent pas aller loin, dans tous les cas. Dressées contre le monde dit libre, qui dispose d’importants moyens humains, technologiques, politiques, culturels et psychologiques, ces milices se battent à armes inégales. La légitimité et la justesse de leur quête d’indépendance pour la RDC ne suffit pas par elles-mêmes à leur garantir la victoire.

Pendant ce temps, l’Occident comme l’Orient pillent l’Est et même l’Ouest de la RDC.  Les congolais en effet, dorment encore, et dormiront probablement encore pendant quelques deux à trois décennies à moins qu’un génie ne surgisse.

Une stratégie

Une stratégie utile pour libérer l’Est de la RDC, mieux, la RDC toute entière, doit donc actuellement vite intégrer cette donne. Impliquer tous les opérateurs économiques majeurs de l’Est de notre pays permettra d’aller vite, mais bien en besogne. Il s’agit recenser d’abord ces opérateurs économiques. Ensuite, dresser une fiche de suivi l’activité de chacun d’entre eux pour étudier le mécanisme par lequel ils trahissent le pays, tel que nous le savons depuis 1966 déjà. Le mobutisme ayant brimé nos peuples de l’Est, tous nos commerçants de l’Est ont perdu toute la confiance aveugle qu’ils avaient dans l’Etat congolais. Nos opérateurs économiques pensent donc utile de vendre le pays, de négocier avec les pays frontaliers les modalités d’acheminement de leurs produits vers le Moyen-Orient et l’Asie ; le marché européen s’étant fermé aux produits de l’Afrique, pour « protéger » ses industries et ses agriculteurs. Notre récente réunion de travail nous a persuadés de la nécessité de former les acteurs du changement, si nous voulons que ce changement soit démocratique, profitable au plus grand nombre et durable.

L’imposture

L’imposture combine la dictature et la compromission pour profiter de cette crise de confiance en l’Etat congolais qui l’intéresse pour parfaire son projet de la mise à terre de la RDC. Ce projet simple, mais périlleux lui réussit : nous congolais sommes niais, peureux, paresseux, égoïstes et de ce fait désorganisés et inefficaces. Cela facile la sape de notre nation. Pendant que nos opposants se querellent et cherchent comment s’enrichir sans effort et rapidement, l’imposture corrompt, pille, consolide sa position ; dans le seul but d’assurer sa survie. Quand elle sent la résistance populaire se développer, elle recours à la violence gratuite : elle tue à bout portant, elle empoisonne, elle profère des menaces. Pourquoi ?

L’année 2016

L’échéance de 2016 est proche. Kanambe n’a plus droit à un quelconque mandat. D’après sa propre constitution, qu’il tente encore de modifier à nouveau. Il faut pourtant qu’il soit au pouvoir en 2016. Sinon, le prochain président, devra être une personne adoubée. Mais cette personne, nous le savons, n’est pas facile, pour ne pas dire impossible, à trouver. Du moins, s’il ne veut pas le faire par une autre effusion massive de sang. Une effusion de sang que l’Occident commence à avoir dur à porter sur sa conscience collective. Le M23 est perplexe, lui aussi. Jusqu’ici, il a menacé en vain les populations de Rutshuru et de Goma de mort si elles n’évacuaient pas leurs cases. Personne ne bouge, fatiguée de quitter pour revenir… Seule, l’intelligentsia est obligé de prendre le chemin de l’exil. Elle serait, dans la conscience collective de l’Est, la cible privilégiée de l’imposture. Celle-ci, chercherait à décimer toutes les têtes pensantes susceptibles d’organiser la population autour d’un projet robuste de résistance. L’Est de la RDC se vide donc des leaders politiques essentiels. Les partis politiques sans poids, sont mis à genou : ils n’ont rien. Ils doivent tout quémander : si pas d’auprès de l’imposture, c’est d’auprès de l’Occident qu’ils tentent de tout recevoir. Les grands de l’opposition ont démontré leur faiblesse dans le Traité de Nice.

Le Projet 2014

Dans cette jungle, le Projet 2014, attaché à la christianisme, à la démocratie et au libéralisme, est rejeté par la majorité au sein de l’opposition. Non seulement par la peur que le gens ont de la mort depuis bien avant sa création, mais aussi par son refus catégorique de lorgner à la violence comme moyen de combat. Dans une démarche persévérante, le Projet 2014 glane quelsques âmes qui comment à montrer de l’intérêt sans pourtant mettre la main à la patte. En effet, au Projet 2014, nous nous faisons exigeants : participer à la rédaction d’un projet de société (50 pages de proposition originale par trimestre) ou à la gestion fructueuse du développement local sur terrain. Cette rigueur fait que nous devons, logiquement, attendre que le congolais comprenne que sans le travail, aucune libération véritable de notre population n’est possible !

Conclusions

Le travail, au sens large du terme tout comme au sens politique de celui-ci, reste ce à quoi le congolais ne pense pas assez.

Les commerçants vendent nos marchandises à vil prix et un tribut lourd à nos ennemis, continuant ainsi à compromettre l’avenir de notre nation !

Les partis politiques tribaux, régionaux, d’ethnies sont dans l’improductivité totale. Qui pis est, quasiment tous sont dans un processus de la vente de la souveraineté de notre nation. Le peuple ne commence qu’à peine à les découvrir sous leur vrai visage : des bandes de cupides, sans vision, sans idéologie

Les combattants et résistants, très motivés mais pas suffisamment inspirés, ce sont lancés dans des opérations punitives contre musiciens et politiciens du kanambisme. Pour une fois, le 5 février dernier, ils ont enfin compris, à Bruxelles, la nécessité de mener un lutte intelligente et sage. Le temps qu’ils démontrent de leur volonté d’aller dans ce sens et de résultat palpable en terme de mobilisation de foule à cette nouvelle méthodologie, le pays sera dans la souffrance de l’enfantement.

Le Projet 2014, se doit de se rendre compte à l’évidence : 15 ans ne suffisaient pas pour préparer l’avènement d’une union d’Etats indépendants au Congo-Kinshasa. Par la force des choses, la RDC finira pourtant par le devenir. Les signes sont là que les peuples se rendent compte de leurs différences et du besoin de conjuguer leurs efforts.

Le monde occidental et oriental profite des traîtres que sont nos opérateurs écononomiques et nos partis politiques, comme l’ont fait les négriers, les colonisateurs, les dictateurs et comme le fait l’imposture. et demeurent les vrais bénéficiaires du présent systèmes de choses.

RDC : bantous contre chamites, soudanais et nilotiques ?


“Likembe” tire, encore une fois, la sonnette d’alarme.  Elle s’adresse aux bantous qui dorment, selon elle.  Qui l’écoutera cette fois-ci ?  D’après son propos constant, le combat du congolais doit désormais tenir compte d’une nouvelle donne.  La minorité (soudanais + nilotiques + hema-tutsi  et alliés– notons qu’en RDC on dit plutôt hema et non pas hima, que les tutsi comme les hema ont leurs alliés !), sous le regard d’innocents pygmées, tente de dominer la majorité (bantous) à bien suivre “Likembe”.  Ce qui n’est pas acceptable de fait, dans l’hypothèse qu’elle ait raison et que la démocratie soit incluse dans nos soucis.

Nous l’avions prédit.  Avec la libération des congolais du kanambisme il faut aussi travailler à leur libération des colonisations linguistiques.  Nous l’écrivions ici depuis le 6 juin 2012 : https://projet2014.com/2012/06/12/nos-langues-celles-des-autres/.  Kanambe ne manquera pas de jouer cette carte pour les élections de 2016 aussi, comme il l’a fait en 2011 et en 2006.  Certains d’entre nous risquent de piquer des crises, si rien n’est fait maintenant, avec sagesse, intelligence et détermination.

Chaque congolais doit pouvoir travailler dans sa propre langue, dans sa langue vernaculaire ou dans une langue étrangère démocratiquement adoptée.  Il ne doit pas être obligé d’utiliser une langue qui n’accroît en rien son capital bonheur et qui n’est pas sienne.  De ce fait, notre armée doit être débarrassée du lingala et du swahili là où ses langues à être imposées aux autres.  L’imposition du lingala à l’armée, nous le savons, est un fait colonial fondé sur un préjugé qu’il faut vite effacé.  L’imposition du swahili à une frange de notre armée est un autre fait dictatorial qu’il faut refuser de cautionner.  L’imposition, à nos compatriotes militaires, du lingala ou du swahili est une colonisation linguistique dont il faut vite faire que se débarrasser comme de l’imposture.

Les congolais doivent pourvoir travailler dans leurs propres langues, dans leurs langues vernaculaires ou dans dans des langues d’emprunt démocratiquement choisies par les congolais, comme suggéré par “Likembe” ici-bas.  Ces langues, nous avons tout intérêt à les multiplier.  Nous offrirons ainsi à nos enfants d’apprendre l’utile.  En même temps, nous romprons avec l’aliénation de la RDC à la francophonie qui ne nous rapporte rien, faute d’en faire bon usage :
http://www.paluku.net/2014/contributions/graphelepalukuatokauwekomu/, rubrique Enseignement.

Ce projet est délicat.  Mais sans tendre vers le respect de tout congolais, la paix véritable n’est pas possible en RDC.  L’imposture profitera de la grogne des uns et des autres pour mieux asseoir sa dictature, comme le fit le mobutisme.

***************************************
[Dimanche, le 17 février 2013 à 10:26:22 PM] Likembe: Chers compatriotes ( Alire et à réflechir)
Le Congo partage ses frontières avec l’enclave de Cabinda (Angola) et la République du Congo à l’ouest, la République centrafricaine et le Soudan du Sud au nord, l’Ouganda, le Rwanda, le Burundi et la Tanzanie à l’est, la Zambie et l’Angola au sud.
Plusieurs centaines d’ethnies forment la population du pays ; le français est la langue officielle et quatre langues bantoues (kikongo, lingala, tchiluba, swahili) ont le statut de langue nationale.
Le peuple congolais est composé de plusieurs centaines d’ethnies plus de 450 formant différents groupes. Néanmoins, de nombreuses langues et cultures de petites ethnies ont tendance à disparaître au profit de celles des grosses ethnies.
Groupe bantou (80 % de la population) :
• Luba (18 %)
• Mongo (17 %)
• Kongo (12 %)
• Autres : Ambala, Ambuun, Angba, Babindi, Bangala, Bango, Pende, Bazombe, Bemba, Bembe, Bira, Bowa, Dikidiki, Dzing, Fuliru, Havu, Hema, Hunde,  Iboko, Kanioka, Kaonde, Kuba, Kumu, Kwango, Lengola, Lokele, Lundas, Lupu, Lwalwa, Mbala, Mbole, Mbuza (Budja), Nande, NgoliBangoli, Ngombe, Nkumu, Nyanga, Popoi, Poto, Sango, Shi, Songo, Sukus, Tabwa, Tchokwé, Téké, Tembo, Tetela, Topoke, Ungana, Vira, Wakuti, Yaka, Yakoma, Yanzi, Yeke, Yela, Batsamba, Baholo, Baboma etc.
Groupe sud-soudanais :
• Ngbandi
• Ngbaka
• Manvu
• Mbunja
• Moru-Mangbetu
• Zande
Groupe nilotique :
• Alur
• Kakwa
• Lugbara
• Logo
Groupe chamite :
• Hima-Tutsi
Groupe pygmée :
• Mbuti
• Twa
• Baka
• Babinga
Chers frères et sœurs bantous, réveillez-vous ! La guerre  qui se passe au Congo  a plusieurs têtes. Ne vous focalisez pas toujours  sur les chamites  càd les HIMA- TUTSI  ou les impérialistes. La guerre se trouve aussi entre minorité et majorité au Congo. La MAJORITE  c’est les bantous qui font 80% de la population et la minorité  est les Sud –soudanais, les nilotiques, les chamites et les pygmées. Mais mettons les pygmées à côté parcequ’ ils ne sont pas dans ce conflit, ils subissent le même sort que les bantous. Le reste de la minorité sont ensemble  et combattent ensemble pour détruire les bantous. Sachez que les 8 millions de morts et les femmes violées ne sont que les bantous et non la minorité. Il y aura des bantous inconscients , la minorité et des infiltrés qui veulent la mort de notre parti le CONGO vont réagir et m’insulter pour orienter le débat d’un autre côté  surtout vers le tribalisme mais la réalité c’est ce que je dis . Apprenez à lire et à regarder sérieusement ce qui passe dans votre pays et vous déchiffrerez la vérité. Regardez qui sont aux côtés des Chamites tutsi- hima dans cette guerre , ce sont les nilotiques à Kisangani et les soudanais à l’Equateur.  Sachez que la minorité a toujours fait et continue a faire que les bantous ne dirigeront jamais le Congo c’est ainsi qu’ils veulent diviser le Congo.

Se défendre : comment ?


Comment Butembo peut-il se défendre contre les tueurs à gage, les bandits de droit commun et contre la violence du régime de Kanambe, du gouvernement de Matata et du parlement de Minaku ?

Y a-t-il encore d’autres façons de combattre qui soient plus efficaces et moins coûteuses en vies humaines ?

Qui nous pousse chaque fois à l’erreur stratégique de manière à accroître nos pertes et à avantager l’ennemi de Butembo ?

Comment et pourquoi emprunter un chemin qui surprenne l’ennemi quand bien-même il nous lit ?

Combien faut-il être pour commencer avec une garantie du résultat ?

  • Tembos Yotama A travers la structure « Véranda MUTSANGA », les jeunes se donnent à traquer les bandits pour les mettre or d’état de nuire, pour éviter que « l’histoire leur demande ce qu’ils ont fait quand les assassins tuaient les habitants jours et nuit comme des mouches ».

  • Nguru Wasingya Anselme Ca fait mal au coeur

    et avec ca on veut organiser la CAN 2019 en RDC

  • Asani Longhe Courage . Même de loin , nous vous soutenons .

  • Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu Une telle structure n’est pas assez pesante pour faire face au mal. Les sbires du régime, du gouvernement et du parlement de Kinshasa vont mettre tous les moyens en oeuvre pour essayer de l’étouffer dans l’oeuf.
    Voici notre proposition :
    1. identifier d’abord les vrais leaders de Butembo et les promouvoir ;
    2. sous leur houlette, nettoyer l’espace politique bubolais et si possible, nord-kivutien, démocratiquement ;
    3. engager le développement intégral du bubolais (sur le plan sécuritaire et sur tous les autres plans) sur base des projets écrits et acceptés par la mojorité des bubolais
    Cette démarche demande du temps pour produire ses effets (6 mois maximum) et se structurer correctement. Avec comme bénéfice d’élaguer la troupe de traîtres, paresseux et des incompétents pour ne garder que des hommes efficaces : forts, intelligents, sages, déterminés.  Et, plus important que tout cela ; Kanambe sera arrêté avec tous les siens, proprement ; parce que notre détermination suscitera inévitablement des levés de boucliers ailleurs dans la RDC et la diaspora qui cherchent comment tenir le toreau par ses cornes pour le renverser !
    Essayons pendant 6 mois, sans broncher, et je vous garantis que vous serez étonnés, surppris du résultat.  Vous regretterez d’avoir investi dans des marches et manifestations suicidaires.
    Nous le disons avec assurance pour que nous évitions d’autres morts sans bénéfice, regrettables, évitables.  Nous le disons parce que l’ennemi n’a plus de pouvoir contre un schéma chrétien contre lequel il n’a aucun pouvoir.  Nous avons confiance parce que Dieu nous a montrer entre 89 et 93 que cette méthode marche.  Dans un groupe de moins de 10 personnes, soutenus par le seul Dieu vivant et vrai, et au bout d’une année d’une démarche stratégique silencieuse, mais déterminée, nous avons permis à plus de 8000 boursiers congolais du monde entier, sauf 11, d’avoir les arriérés de 23 mois de leur bourse que le mobutisme tenait à s’approprier.
    Si les gens mourraient pendant que Butembo avance : ce serait louable. Ici, les gens meurent et les riches bubolais creusent le fossé entre eux et le « bas-peuple », avec la bénédiction du kanambisme !  Si vous croyez que c’et inacceptable : tester notre approche, après avoir dicerné et acquis la conviction que Dieu est avec nous !  Autrement, continuer d’autres essais : nous vous garantissons que les démons en connaissent les faiblesses…

Kanambe est-il un mal ? Pourquoi et comment ?


Pourquoi Kanambe est-il un mal à résoudre, démocratiquement ? Parce que :

1. Il ne méritait pas d’être nommé président en 2001 ; à ce titre, ceux qui l’on désigné président doivent tôt ou tard rendre compte à la nation ;

2. Il n’est pas congolais d’origine, mais serait congolais par naturalisation et de ce fait pas présidentiable en 2006 non plus qu’en 2011 ;

3. Quand bien-même il serait congolais, il ne mérite pas de prendre la direction du pays parce qu’il n’a ni le savoir, ni le savoir-faire, ni le savoir-être que l’on peut attendre d’un président ;

4. Il est étrange, qu’avec ses échecs, il ait repris le pouvoir en 2006 et en 2011, sous le regard et l’attitude permissifs des congolais.

La critique est facile, l’art ne l’est pas.

Comment faire pour résoudre toutes ses erreurs qui sont nôtres et non pas rwandaises ?

1. Se rencontrer pour rédiger un projet de société pour la RDC qui soit le plus démocratique et le plus complet possible, et le plus engageant ;

2. Gérer le développement de la nation par projets démocratiques et congolais.

Les acteurs actuels n’étant pas qualifiés pour ce travail, le devoir est nôtre de les disqualifier pour les remplacer par des acteurs compétents, motivés.

Sous la conduite de nos vrais leaders, il sera possible d’espérer un changement, puisqu’ils auront pour mission de conduire les projets que nous aurons préalablement conçus démocratiquement.

Sortez du milieu d’elle mon peuple !


    Aujourd’hui

    « (…) sortez du milieu d’elle, mon peuple »
    (La Bible)

    Comment le congolais sage gérera-t-il la situation qui prévaut à l’Est du Congo ? Face à des peuples qui choisissent les voies du diable, volontairement – puisque plusieurs fois avertis sans changement d’attitude – que faire pour être chrétien, libéral, démocrate, sage, intelligent ?

    clip_image00116:22

    GPAU

    l’information passe en temps réel ici :https://projet2014.wordpress.com

    Tu vas très bien pendant qu’une bombe aurait éclatée dans ta ville, selon Audace Bwira de Goma sur place ?

    Anselme Nguru Wasingya ne confirme pas l’information et traîne à la vérifier…

    clip_image001[1]16:28

    FS

    C’est faux. Seulement nous sommes dans une psychose des rumeurs et tractes stipulant que les m23 vont occuper la ville cette nuit.ca va à Bruxelles?

    16:32

    GPAU

    A Bruxelles, la majorité des congolais veulent en finir avec Joseph Hyppolite Kanambe.

    16:33

    GPAU

    Certains proposent qu’il soit tué ; d’autres propose qu’il soit arrêté pour être jugé démocratiquement ! Toutes les batteries sont en marche pour le débouter, mais comme tu le sais, le congolais parle depuis le 30 juin 1960, sans être à même de restituer à nos peuples leur indépendance !

    16:35

    GPAU

    Tu dis que c’est faux ; pourtant, selon Anselme les femmes des militaires ont quitté hier pour une destination qu’il ne spécifie pas… Et que ce matin, elles seraient revenues…

    Tu infirmes cela aussi ?

    clip_image001[2]16:49

    FS

    Papa, les choses qui se passent ici au nord kivu sont horribles. Nous ne parlons plus. Nous sommes vraiment fatigues, heureux pour vous qui êtes a l’étranger

    16:55

    GPAU

    C’est une des raisons pour laquelle notre malheur continue.

    Il faut que chacun décide de s’élever contre tout ce qui est mal : vol, pillage, tuerie, empoisonnement, viol, etc.

    Sinon, ne nous plaignons pas.

    Ce n’est pas à la communauté internationale ni au CIRGL de nous délivrer de nos soufrance.

    Goma a toujours été une des rares villes congolaise de vols à mains armées, depuis les années 60 !

    Il n’est pas étonnant que le malheur s’abatte sur elle…

    Les gens se foutent de tout dans Goma !

    Ils ne pensent même pas au Nyiragongo…

    Mais comme la conséquence du péché est la mort, nos gomatraciens vos continuer à mourir faute de connaissance de lois qui gouvernent le monde temporel et le monde non-temporel !

    Le Projet 2014 propose qu’autour d’une table, nous apprenions comment participer à l’amélioration de notre destin, de celui de nos enfants.

    Toi personnellement, maman, quel est ton engagement ?

    clip_image001[3]17:13

    FS

    Ce que vs dites est vrai papa, même si l’on s’engageait a l’amélioration du destin, dans quel pays !! Pas de boulot, droit de l’homme bafoue…c’est horrible

    17:14

    GPAU

    Tout cela, Florence, est le résultat de notre investissement.

    Qu’avons-nous fait entre 65 et 97, si ce n’est pas danser et boire dans les stades ?

    Cela se paie, Florence ! Nous les disions à nos compatriotes depuis 1976 !

    Plusieurs étudiants votaient vert : la majorité d’ailleurs !

    17:17

    GPAU

    Pendant que par trois fois nous n’avons pas pu voter à nos risques et péril parce que nous réclamions les bulletins rouges que le MPR ne voulait pas nous remettre ou qu’il n’apportait pas dans les bureaux de vote tout simplement, sûr, très sûr même, de sa victoire ; puisque le congolais avait choisi la voie de la trahison de la nation !

    17:21

    GPAU

    Dieu est vivant, Florence. Tant que nous ne corrigerons pas cette traîtrise de la nation, je ne vois pas comment nous mériterions la paix et la prospérité.
    Des individualités s’enrichissent et s’enrichiront encore sur le dos du congolais, tant que nous ne serons pas majoritaires à renoncer à Satan et ses suppôts humains que nous avons commis à la gestion de la RDC.

    17:22

    GPAU

    Notre Projet 2014 est une invitation de divorcer d’avec ses hommes-là en les disqualifiant démocratiquement.

    Et si le peuple congolais préfère les méchants : j’ai une conseil pour toi et les tiens : sortez du milieu de ce peuple !

    Je peux aider dans un cas, comme dans l’autre !