Conférer sur notre problème…


Les problèmes s’accumulent.  Les solutions sont inadaptées, inefficaces, dictatoriales, jusqu’ici.  Les rébellions sont toujours actives et déterminée2 s à combattre.  Le banditisme va croissant,  partout dans le pays.  La participation citoyenne diminue.  L’opposition pacifique s’accroît.  L’impénitence du peuple chrétien mais idolâtre continue.  Nous manquons d’ingénieurs du développement.  Que faire, pour sauver la nation ?

Garder le calme et travailler davantage est important.  Une analyse nouvelle, soignée, rapide et complète est nécessaire.   Elle permettra de construire le bon arbre à problèmes.  Nous aurons la solution mathématique de notre problème.  Nous pourrons choisir une stratégie intelligente et en évaluer le coût exact.  La mobilisation de ressources ira de soit.  Parce que le peuple saura à quoi elle s’engage.  Elle connaîtra avec précision les dividendes de son investissement.  Bien avant de s’engager, elle connaîtra les opportunités et les menaces.

Le challenge aujourd’hui c’est de nous pourvoir en ingénieurs du développement.  C’est de combattre la corruption de nos mœurs.  C’est d’arrêter la culture de l’impunité, de la dépendance, de l’esclavage.  C’est divorcer d’avec la colonisation, la dictature, le tribalisme, l’idolâtrie.

Dans les trois années qui nous séparent de 2028, notre choix sera, encore une fois, décisif.

DRESSONS NOS FRONTS !


Préparons notre rencontre, chez nous, pour être bien tranquilles, riches, technologiquement et économiquement aux frontières des avancées dans le monde. Pour oublier la honte dans laquelle nous ont plongés le MNC, le MPR, l’AFDL, le PPRD et l’UDPS.

Si vous voulez que Kongo Ya Sika (KYS) prenne le flambeau dans une ou deux années, soyez au moins 2.500.000 à vous inscrire ici :

https://projet2014.com/inscription ou ici https://kongoyamupia.wordpress.com

Tous les soirs, nous organisons deux rencontres pour nous préparer à l’avènement de l’Union des États Indépendants du Congo. Et à fêter la mort définitive de la République, qui ne nous apportera JAMAIS la paix.

1. Notre propre éducation politique dans le cadre du Projet 2014.  Personne ne vient à cette rencontre jusqu’ici.

Tous les jours, sauf vendredi, de 18:30 à 19:10 de Bruxelles.

Téléchargez et importez notre calendrier d’ici :

ou bien, rejoignez notre salle de réunion de votre navigateur internet par ce lien-ci :

https://us04web.zoom.us/j/77264177045?pwd=4dZn3b2kDlr1AZ4U8N5IyU69iNi6iF.1

ou alors, connectez-vous à l’aide de votre application Zoom Workplace :

Identificateur de la réunion : 772 6417 7045
Mot de passe de connexion : 2RTe0g

2. Notre propre instruction et notre propre formation pour combattre nos ignorances et nos incompétences. Sont elles qui nous rendent incapables de participer à la libération véritable, démocratique, durable du Congo-Kinshasa.

Tous les jours, sauf vendredi, de 19:15 à 19:55 de Bruxelles.

Téléchargez et importer notre calendrier, sous format .ICS, dans votre application de gestion de rendez-vous ici :

Se connecter via son navigateur internet :

https://us04web.zoom.us/j/72718973931?pwd=dFJxeEekubd3CbYiEWvm1CaqABEJsm.1

Entrez dans la salle de reunion via Zoom Workplace :

Identificateur de la réunion : 727 1897 3931
Mot de passe : 2nNcUH

RDC : colonisée par l’Amérique


Si les américains viennent, ce sera le début d’une nouvelle colonisation.  L’auteur de ce nouvel esclavage sera le Président de la République, lui-même.  C’est son deal à lui.

Comment le Projet 2014 peut-il nous aider à devenir de plus en plus libres ?  Comment pouvons-nous nous transformer en partenaires et non pas rester des esclaves ?  Nous sommes déjà esclaves de ceux que nous avons élus, librement.

Le début du deal de Donald Trump – Félix Tshisekedi, au regard de notre niveau de développement politique, scientifique, moral, spirituel, économique, technologique, culturel, industriel et social, ne peut être qu’une nouvelle colonisation.  Ce sont les armes qui parleront encore !

Nous instruire, nous former, nous éduquer, NOUS-MÊMES, est la solution.  Cette stratégie, les hommes de Kinshasa n’arrivent pas à l’adopter ni à la mettre en œuvre,  faute de motivation et de capacité.

Nos rencontres du Projet 2014, peuvent rentre possible la mise en route de cette solution peu onéreuse, congolaise, efficace !

EAE ASBL nous offre des formations accessibles et de grande facture, que nous négligeons.

De 20h00 à 20h40 de Bruxelles, tous les jours, sauf les vendredis, une rencontre du Projet 2014 a lieu sur Zoom ou sur Meet.  Nous y exposons et discutons ce que nous proposons POUR NOUS DÉVELOPPER NOUS-MÊMES !

Rejoignez la salle de réunions via votre navigateur internet.

https://us04web.zoom.us/j/79664589726?pwd=ihNbiGnDa7wc6avzMHs8m0jD3ian3m.1

Rejoignez la salle de réunions via application Zoom Workplace.

Identificateur de la réunion : 796 6458 9726
Mot de passe d’accès : cr4HL6

‐———————-

Pour nous instruire, nous former, et nous éduquer nous-mêmes, nous vous proposons une rencontre avec l’EAE ASBL, où nous sommes administrateur bénévole.

À 20h45 de Bruxelles, tous les soirs, sauf les vendredis, une rencontre de l’EAE ASBL, pour nous instruire, nous former, nous éduquer, et nous professionnaliser est animer par plusieurs intervenants.

Rejoignez EAE ASBL via votre navigateur.

https://us04web.zoom.us/j/79664589726?pwd=ihNbiGnDa7wc6avzMHs8m0jD3ian3m.1

Rejoignez le Centre de Formations et de Conférences en ligne de l’EAE ASBL via votre application Zoom Workplace.

Identificateur : 796 6458 972

Mot de passe : cr4HL6

Le sermon du jour


https://copilot.microsoft.com/shares/QxzM3z7EBZeb2sDvktXpx

Une adresse à mes frères Congolais.

Oui !  Le samedi, 19 avril 2025 déjà, nous écrivions ceci :

« Si donc, les Congolais ne rejoignent toujours pas le Projet 2014, qui prône l’indépendance totale du Congo, à réaliser [prendre] par les Congolais eux-mêmes,  après une disqualification de tous les bandits politiques que nous avons nous-mêmes commis à la gestion de la chose publique depuis 1960 ; le pays sera divisé en deux blocs que nous avons connus dans les années 70 : l’Est et l’Ouest.  Mais, attention !  Cette fois-ci,  l’Ouest perdra la province de l’Equateur, à la grande surprise de plusieurs, qui vivent dans des illusions ! »  Source : Groupe WhatsApp « Projet 2014 ».

Écoutons le message d’un Équatorien qui en dit long.  Ce message, d’apparence anodine, risque d’amorcer ou plutôt de faire partie un processus qui chamboule tout dans notre RDC et hors de la RDC, inéluctablement.

Dans l’amour patriotique pour notre Président, nous n’arrêtons de le prévenir, fraternellement en Christ, du danger que le pousse à courir, ceux qui, bientôt l’oublieront aussi vite qu’ils l’avaient adopté.  Le Président de la République peut s’éviter, nous éviter, une mort qui ne profitera ni à lui-même, ni à sa famille, ni au peuple congolais ; comme les autres morts d’hommes politiques que nous avons connus et adulés.

Ceux qui ne l’aiment pas – et qui lui tendent des pièges – ou ceux qui manquent de la sagesse, lui feront toujours croire qu’il soit encore populaire dans le pays : ce qui n’est pas faux en soit.  Cependant, la dure réalité est que son régime ait déjà déçu plusieurs.  L’existence des rebelles dans le pays suffit à lui seul de faire comprendre qu’il y a une frange de Congolais qui ne se retrouve plus dans son régime.  Se mettre sur le bas-côté, depuis bien avant la fin de son premier mandat, était s’éviter le pire.  Commencer un deuxième mandat était une erreur à ne pas commettre, une tentation à laquelle il ne fallait pas succomber, et nous l’avions dit dans le même élan d’amour patriotique que nous avons pour un compatriote avec qui nous avons mené une lutte, ensemble, sur plusieurs années, bien que dans des mouvements différents, mais convergents.

Comme cela arrive toujours dans nos pays colonisés, qui se recherchent encore, il devient difficile pour lui de se défaire du pouvoir.  Pourtant, nous pouvons aider, nous pouvons conseiller, pour trouver une solution élégante, apaisante, et éviter l’écoulement d’un sang que le MNC a engagé, amorcé et qui ne s’est pas encore arrêté jusque ce jour.  Pendant ce temps…

Dans l’équateur, comme nous le savons tous, la loyauté est une vertu cardinale.  Trahir sa parole, se pardonne difficilement.  On n’y dit pas « frère », pour s’amuser.  Le mauvais jeu paie cash !  Une qualité appréciée de tous, tant qu’elle ne touche pas à l’enlèvement d’une vie d’homme, mais qu’elle pousse au respect mutuel.

Nous ne savons pas qui a tué le Général Alengbia Nyitetessya Nzambe Dieu Gentil.  Cependant, les hommes agissent en fonction de ce à quoi ils croient.  Et pour l’heure, nous entendons avec nous qui sont les accusés.  Avant qu’il ne soit trop tard, voyons plutôt comment construire que comment détruire.  En effet, il y a plus dans cette affaire…  Ainsi que nous l’avons annoncé.  Parce que, très vite, l’alliance nilo-soudanaise se mettra en route, si elle ne l’est pas encore.  Quant à Bemba dont d’aucuns parlent, il n’aura pas de choix.  Quoi qu’on dise : il a une tête, un cœur et un esprit.  Quelle sera la conséquence de tout cela ?  Qu’en sera l’impact ?

Naturellement – il fallait en tenir compte depuis 1960 – l’Équateur rejoindra probablement, adoptera très vite, s’il ne l’a pas encore fait, l’AFC, et avec celle-ci, le M23 qui pour nous, ne font qu’un et seront difficile à séparer ; parce que c’est une question de sang !  La conséquence sur le plan international est immédiate.

Une fois l’alliance activée – ou plutôt comme elle est toujours active, même le Président Trump, logiquement, changera de camp – pour ce qui le verront ainsi : c’est pourtant une question d’homologie de culture.  Lorsque nous l’expliquons, personne ne veut nous croire.  Les États-Unis n’ont pas le cœur à l’Ouest, mais à l’Est, de tout temps ; et, rien ne laisse voir un changement qui les amènerait à faire foi à l’Ouest, jusqu’ici, en tout cas.  Celui-ci en effet, globalement, garde son cœur « à gauche » !

Nous, qui aimons véritablement le Congo et celui que nous avons élu – quoi qu’eût été notre motivation, expliquons à notre Président dont nous ne doutons pas qu’il aime le Congo à sa manière, qu’il est temps pour lui de céder le pouvoir, de manière civilisée, à une personne à préparer ensemble, soigneusement et rapidement, pour éviter que le bain de sang ne continue, et que la colère de Dieu ne continue à se déferler sur les impies qui pullulent sur notre territoire.Vous aurez le texte intégral ici, dans quelques heures.

Nous instruire, nous former, nous éduquer nous-mêmes


[12-04-25 19:26] GPAU

Notre niveau politique est encore très bas, chérie. Il nous faut nous instruire, nous former, nous éduquer. Nous-mêmes, cette fois-ci. Constatons que notre système éducatif actuel n’ait atteint que peu de personne ; et même ceux qui en sortent, ont des comportements qui montrent que ce système ne soit pas celui qu’il nous fallait.
J’ai besoin de votre soutien pour y arriver.
Conditions
– disposer d’un ordinateur connecté ;
– participer activement aux formations et travaux ;
– s’inscrire ici https://projet2014.com/inscription pour pouvoir travailler en ligne sur le projet.

[12-04-25 20:22] III

Ce projet est très intéressant. Malheureusement, je ne sais pas m’inscrire maintenant, à cause de mon état d’esprit et de ma santé physique. Dès que je serai complètement rétablie, impérativement, je m’inscrirais.
Mungu wetu atusaidiye !

Responsabilité parentale !


Les drames que vivent nos familles se multiplie.

La spoliation culturelle s’est mondialiste et un peuple, qui ne se protège pas, dépérit.

De quelle responsabilité parentale devons nous parler ? Comment la garantirons-nous efficacement, si nous ne reprenons le contrôle de notre identité culturelle ?

https://www.facebook.com/share/r/15DPAyaTKm/

À tous les familles, patriarchies, clans,  tribus, ethnies et peuples, du Congo Kinshasa, nous conseillons une décolonisation mentale et spirituelle urgente, pour arrêter l’hémorragie que nous infligent les hommes que nous avons commis ou que nous tolérons au pouvoir depuis 1960.

Nous étions sensés prendre notre indépendance : pas des mains des Belges !

Bunagana ou le pays tout entier ?


« Restons dans l’histoire mes soeurs et frères, arrêtons trop la boisson et l’ambiance pensons à nos Petites soeurs et petits frères, travaillons dur l’amour du pays. » (Projet 2014, WhatsApp)

Qu’est-ce que RESTER DANS L’HISTOIRE ?
Qui sont nos frères et nos soeurs ?
Comment et pourquoi penser à ces frères et soeurs ?
Qu’est-ce que l’amour du pays ?
Comment et pourquoi travailler dur l’amour du pays ?

Sans avoir des réponses à ces questions élémentaires, mais essentielles, comment pourrons-nous monter une stratégie qui nous permette de délivrer durablement Bunagana et le Congo tout entier de l’occupation, de la domination étrangère, de l’esclavage ?

Tous nos peuples du Congo vivent dans la colonisation et l’esclavage. Certains, depuis la nuit des temps ; d’autres, depuis quelques siècles ou décennies.
Nous pensons que le premier travail à faire c’est de décoloniser le pays : (1) accepter que chaque peuple ait le droit et le devoir de prendre son destin en main et (2) nous entraider, pour que cette indépendance de nos peuples cesse d’être une démagogie qui suscite des rebellions dans le pays, qui fasse le lit de l’imposture ou de l’occupation dans la sphère politique locale et nationale.

Tout l’Est est occupé, subjugué, exploité par des allochtones ou des étrangers. Les rancoeurs montent contre les colons, les dominateurs, les imposteurs… La division du pays se renforce et est capitalisée par les ennemis de nos peuples, de notre nation.

Et comme nous sommes peu instruits, insuffisamment qualifiés, de plus en plus immoraux, l’ennemi gagne du terrain chaque jour. La ressource humaine n’est pas de qualité.
Nous éduquer nous-mêmes en tant que nation demande que nous nous rencontrions, physiquement et virtuellement, pour définir nos valeurs et la manière de les promouvoir rapidement, démocratiquement.
Très peu d’entre nous acceptent de s’imposer cette discipline. Ce qui demande de notre part une campagne forte d’éducation par toutes les voies disponibles et accessibles : réunions familiales dans les foyers, travaux de groupes en présentiel ou en ligne, chat, messageries électroniques, les MOC, etc.

Dans ce projet, nous vous invitons à nous rejoindre dans ce combat contre nos faiblesses, pour espérer un jour être à même de véritablement secourir Bunagana et bien d’autres localités qui sont dans les griffes de Satan…

Il nous faudra attendre…


[26/7, 19:34] JJ

ITURI: CONSTRUCTION DE NOUVEAUX BÂTIMENTS POUR L’ACCUEIL DES COMBATTANTS DANS LE SITE DE DÉSARMEMENT ET DÉMOBILISATION DE DIANGO

Plus de 6 dortoirs, 1 réfectoire, une infirmerie, plusieurs bureaux, des cuisines et des toilettes , sont en cours de construction au site de désarmement et démobilisation de Diango dans la province de l’Ituri.

Ces nouveaux bâtiments construits en bois avec pavement, viennent s’ajouter aux infrastructures déjà existantes sur ce site afin d’accueillir 1000 combattants dont 20 combattants par dortoirs.

Ces travaux, qui ont démarré le 4 juillet dernier, sur financement du gouvernement congolais à travers le P-DDRCS, sont exécutés par le corps du génie militaire et l’entreprise Yesu ni Jibu .

Cellule de communication P-DDRCS/ITURI.

[26/7, 20:48] GPAU

Un pays n’est pas développé par les élections ni par les armes, en effet.

C’est par un travail méthodique, sous la houlette d’hommes faits, intelligents, sages, patriotes, porteurs de projets rentables, pesants, robustes, visionnaires.

Rejoignez notre équipe du Projet 2014, avec une proposition originale, novatrice.

Projet2014.com/inscription

À ma gente congolaise.


Chers compatriotes,
Notre passé, notre présent et notre futur sont tous importants, à mon avis.

Pour le Congo, quelle est votre vision, votre mission, votre proposition, en tant que membre de la gente congolaise ?


Je pense par exemple que nous devons hisser les salaires dans nos localités, protéger notre travail et qualifer tous nos travailleurs, pour accroître leur productivité et nous permettre d’être compétitifs !


Pour ce faire, il faut une décision collective avec des mesures accompagnantes bien étudiées préalablement…
Si nous voulons que dans 25 ans, les salaires de 100 €/mois passent à 3250 €/mois, nous devons multiplier nos pas salaires par un minimum de 1,0116717228 chaque mois, systématiquement ! Cela est possible, même si les autres tiennent à la pauvreté.

Libérons-nous, nous-mêmes et n’attendons pas les autres, les insouciants, les irresposables du progrès !

Rejoignez-nous sur WhatsApp…

https://chat.whatsapp.com/CGsSS2oE2qL4TYOcPzBiwh