RDC : colonisée par l’Amérique


Si les américains viennent, ce sera le début d’une nouvelle colonisation.  L’auteur de ce nouvel esclavage sera le Président de la République, lui-même.  C’est son deal à lui.

Comment le Projet 2014 peut-il nous aider à devenir de plus en plus libres ?  Comment pouvons-nous nous transformer en partenaires et non pas rester des esclaves ?  Nous sommes déjà esclaves de ceux que nous avons élus, librement.

Le début du deal de Donald Trump – Félix Tshisekedi, au regard de notre niveau de développement politique, scientifique, moral, spirituel, économique, technologique, culturel, industriel et social, ne peut être qu’une nouvelle colonisation.  Ce sont les armes qui parleront encore !

Nous instruire, nous former, nous éduquer, NOUS-MÊMES, est la solution.  Cette stratégie, les hommes de Kinshasa n’arrivent pas à l’adopter ni à la mettre en œuvre,  faute de motivation et de capacité.

Nos rencontres du Projet 2014, peuvent rentre possible la mise en route de cette solution peu onéreuse, congolaise, efficace !

EAE ASBL nous offre des formations accessibles et de grande facture, que nous négligeons.

De 20h00 à 20h40 de Bruxelles, tous les jours, sauf les vendredis, une rencontre du Projet 2014 a lieu sur Zoom ou sur Meet.  Nous y exposons et discutons ce que nous proposons POUR NOUS DÉVELOPPER NOUS-MÊMES !

Rejoignez la salle de réunions via votre navigateur internet.

https://us04web.zoom.us/j/79664589726?pwd=ihNbiGnDa7wc6avzMHs8m0jD3ian3m.1

Rejoignez la salle de réunions via application Zoom Workplace.

Identificateur de la réunion : 796 6458 9726
Mot de passe d’accès : cr4HL6

‐———————-

Pour nous instruire, nous former, et nous éduquer nous-mêmes, nous vous proposons une rencontre avec l’EAE ASBL, où nous sommes administrateur bénévole.

À 20h45 de Bruxelles, tous les soirs, sauf les vendredis, une rencontre de l’EAE ASBL, pour nous instruire, nous former, nous éduquer, et nous professionnaliser est animer par plusieurs intervenants.

Rejoignez EAE ASBL via votre navigateur.

https://us04web.zoom.us/j/79664589726?pwd=ihNbiGnDa7wc6avzMHs8m0jD3ian3m.1

Rejoignez le Centre de Formations et de Conférences en ligne de l’EAE ASBL via votre application Zoom Workplace.

Identificateur : 796 6458 972

Mot de passe : cr4HL6

Quittons l’esclavage !


Nous, Congolais,

Tant que nous n’arrêterons pas d’être, nous-mêmes, des esclavagistes, des payeurs et des accepteurs des salaires qui n’en sont pas uns, la paix sera impossible dans nos pays.  Nous n’arrêterons pas de le répéter !

Parce qu’on ne peut pas bien travailler sans bien se nourrir ni être satisfait par les travaux des travailleurs mal nutris, peu productifs.
En RDC, nous devons, inconditionnellement, nous imposer un salaire minimum égal, à tout le moins, au minimum vital !

Cette façon de faire sera une libération de la pauvreté et du complexe d’infériorité dont souffrent certains d’entre nous.

Estons nos parlementaires, à voter pour un salaire minimum obligatoire, avec des sanctions sévères contre les contrevenants.

Cause et donc la racine de la guerre qui ravage le Congo ?


Écoutons ce que prétend un compatriote !

« Pour comprendre la cause et donc la racine de la guerre qui ravage le Congo , il faut remonter au mois d’octobre 1973 et non pas se focaliser sur des personnages insignifiants et des acteurs de troisième catégorie comme Bill Clinton , Madeleine Albright , Tony Blair, Louis Michel , Obassandjo, Paul Kagame, Museveni, etc . C’est du menu fretin.

C’est une funeste erreur et c’est par pure ignorance que les Bantous congolais ciblent ces individus qui ne sont en réalité que de minables exécutants .

Que s’est-il passé en octobre 1973 ? Le déclenchement de la guerre du Yom Kippour , bien sûr , entre l’Egypte de Anouar El Sadate et Israël .

Il s’en suivit:
1- la défaite de l’armée égyptienne.
2- l’occupation du Sinaï , territoire égyptien et donc africain ( très important pour comprendre la suite !) par Tsahal, l’armée israélienne.
3- la réaction de feu le maréchal Mobutu qui , du haut de la tribune de l’ONU , prononça la terrible phrase dont les Bantous congolais ont perdu le souvenir et dont , bien sûr , ils n’ont jamais été capables de mesurer les conséquences dévastatrices.
Rappelez -vous , l’ancien président de l’ex république du Zaïre proclama devant l’assemblée générale de l’ONU, « urbi et orbi », je le cite textuellement : « Entre un ami et un frère , le choix est clair ». De façon plus explicite, entre l’ami juif et le frère égyptien ( parce que africain ) , Mobutu choisit le frère égypto-africain au détriment de l’ami juif.
Mais loin de s’arrêter à cette option, Mobutu alla plus loin , beaucoup plus loin avec la rupture des relations diplomatiques entre le Zaïre et Israël .
Il s’en suivit aussitôt une réaction en chaîne avec des ruptures de relations diplomatiques en cascade entre la quasi totalité des États africains, hormis l’Afrique du Sud , la Côte d’Ivoire et le Bénin . Jamais , depuis sa création en mai 1948, jamais au cours de son existence chahutée, l’Etat Juif n’avait essuyé pareille humiliation, ni encaissé pareille offense , ni subi pareil outrage à l’échelle internationale.
Un tel opprobre rendait nécessaire une réparation , sous forme de vengeance envers son auteur , envers son peuple et envers son pays . En somme une triple vengeance.
Cette dernière étant un plat qui se mange froid , Israël attendit 20 ans pour le déclenchement de la phase de représailles et de vengeance sur Mobutu , sur le peuple bantou congolais et sur le Congo .

La première loi dans le code de Moïse auquel tous les Juifs sont soumis est la loi dite du talion : « œil pour œil , dent pour dent ». Les Bantous congolais, à commencer par leurs pasteurs qui lisent la Bible ne comprennent rien à ce livre et n’ont jamais pensé à en tirer les conséquences sur le destin de leur propre pays ni sur leur destinée collective .
Donc la vengeance étant un plat qui se mange froid , c’est en 1993 que les Juifs instrumentalisèrent les Tutsis pour exécuter la vengeance à leur place , tout en leur promettant un soutien militaire et une assistance financière illimités, un appui logistique en abondance , la complaisance des médias aux ordres des lobbies juifs et la complicité diplomatique sur l’ensemble de la planète .
C’est ainsi que fut créé en 1993 l’instrument de prédilection chargé de matérialiser la triple vengeance juive à savoir l’AFDL, Alliance des forces démocratiques pour la libération du Congo .

Trois ans plus tard , en septembre 1996, l’AFDL passait à l’action en déclenchant à partir de la bourgade congolaise de Lemera la grande offensive militaire qui allait , neuf mois plus tard , le 17 mai 1997, provoquer l’effondrement du régime de Mobutu , sa fuite au Maroc et sa mort à Rabat le 27 septembre de la même année . Première vengeance assouvie .
Soit dit en passant , loin d’être une rébellion congolaise , l’AFDL opéra en réalité comme une milice armée ethnique et extrémiste tutsie , une vraie tumeur cancéreuse qui produira plus tard des métastases : RCD/ Goma, CNDP, M23 et tout récemment l’AFC, Alliance du fleuve Congo.

La deuxième vengeance , qui devait s’exercer contre le peuple de Mobutu , les Bantous congolais , a également été satisfaite puisque le bilan du génocide en cours au Congo dépasse en ce mercredi 8 mai 2024 douze millions de morts . Série en cours . notamment du côté du Nord-Kivu.

Dans l’entretemps , les Juifs et les Tutsis avaient passé une alliance de sang , elle aussi ignorée par l’écrasante majorité des Bantous congolais . Il s’agit du fameux Pacte de Havila signé à Bruxelles , dans un des hôtels Mercure situé en banlieue de la capitale belge , en septembre 1999.

Il ne reste plus aux Juifs qu’à assouvir la troisième et dernière vengeance, celle qui soit s’exercer contre la république du Congo . Notre pays est en voie de balkanisation et de dislocation. Le Congo résiste , certes , tant bien que mal mais pour combien de jours ou de mois encore ?

Tout au sommet de cette immense pyramide de vengeance bâtie par les Juifs pour anéantir le Congo et les Bantous congolais opère la plus secrète, la plus puissante , la plus impitoyable, la plus satanique et la plus redoutable de toutes les organisations occultes juives à travers cette planète : « Les fils de l’Alliance », en hébreu « B’naï B’rith » dont le siège est situé à New York , aux USA. C’est elle la donneuse d’ordres . C’est elle qui tient les commandes . D’elle partent les instructions aux banques juives , aux dirigeants juifs comme Louis Michel , Madeleine Albright ( mais bien sûr qu’elle fut une Juive !) , aux médias et aux ONG pour l’exécution de leur stratégie .
Les Bantous congolais ne sont pas obligés de croire en cette exégèse. Ils peuvent continuer, comme ils le font depuis bientôt 30 ans , à dénoncer la communauté internationale, Bill Clinton , Madeleine Albright , Louis Michel et tutti quanti ! Malheur à eux !! C’est ainsi qu’ils sont exterminés sans savoir qui sont ceux qui les tuent.
À bon entendeur, salut ! »

Selon notre compatriote, nous, Bantous, serions donc victimes d’une rancœur, d’une vengeance des Juifs, humiliés en 1973 par J. D. Mobutu Sese Seko, qui; dans leur guerre contre le monde arabe, se rangea du côté des arabes de El Sadate, par solidarité continentale, laissant trahissant l’amitié israëlo-zaïroise.

Est-ce vrai, que ce que raconte notre compatriote lourdement inspiré ? Où sont les erreurs, le cas échéant ? Comment éviter que nos peuples bantous qui tomberaient dans un piège, en considérant que les ennemis du Congo soient plutôt Bill Clinton et bien d’autres personnalités favorables à l’État d’Israël, ne le soient plus désormais ?

Nous avons déjà analysé de notre côté les causes de nos déboires, nous congolais, quant à ce qui se rapporte à l’insécurité dans le pays.

Tribalité ou tribalisme ?


[21-03-24 10:51] Le tribalisme : une des pesanteurs qui tirent [la RDC] vers le bas. C’est vraiment regrettable !

[21-03-24 11:45] : Le tribalisme que nous observons au Congo est une réaction de tout païen contre l’esclavagisme et la colonisation dans lesquels Kinshasa s’investit depuis bien avant 1960. Il n’est pas qu’une méchanceté de l’actuel régime seul. Le mal vient de très loin : de nos aïeux. Cette souffrance continuera encore après nous, à voir la manière dont nous la gérons, nous : Congolais. Il est important que nos enfants apprennent à reconnaître cette vérité capitale, fondamentale, pour que demain soit corrigée la situation que nous avons créé de nos mains et de nos esprits rebelles à Dieu, dont nous nions l’amour, par attachement aux esprits de nos « koko ».

Accordons à chacun de nos peuples et alliances son indépendance réelle et sa liberté véritable. Nous verrons alors les différentes formes de ségrégations que nous vivons aujourd’hui disparaître rapidement, pour ne pas dire instantanément.

Les Congolais qui se voient brimer par l’État, se rabattrons tout naturellement et souvent sur leurs familles, leurs patriarchies, leurs clans, leurs tribus, leurs ethnies, leurs races, leurs nations, leurs continents, où ils attendent être plus facilement écoutés. Prenons un exemple simple. Kinshasa a décidé que nous ne soyons plus congolais parce que nous avons acquis des nationalités étrangères. Il a en revanche accordé à des personnes de pères étrangers, qui le désirent, de devenir congolais ; ce qui est une normalité chez nos compatriotes matriarcaux minoritaires, mais une abomination chez nos compatriotes patriarcaux, largement majoritaires. De même, il a accordé à des personnes de mères étrangères, qui le désirent, de devenir congolais ; ce qui est une normalité chez nos compatriotes patriarcaux, mais une violation des coutumes de nos compatriotes matriarcaux. Ces violations de nos droits les plus élémentaires ne peuvent que frustrer ceux qui n’ont d’autres remparts que leurs familles, les patriarchies, leurs clans, leurs tribus, leurs clans, leurs ethnies ou leurs alliances ; dans une nation par ailleurs à origine coloniale.

Comment voulez-vous que nous connaissions la paix dans ces conditions ? Frères, aujourd’hui tout montre que personne à Kinshasa ne veut nous accorder d’être libres, indépendants, nous, Congolais, de l’Est, comme de l’Ouest ; du Nord, comme du Sud. Chacun veut régner sur nous, nous dominer, nous subjuguer, nous exploiter, nous enlever nos valeurs et nous inculquer ses antivaleurs et pire encore, nous enlever nos terres et nos frères, pour s’emparer de nos biens et de nos terres. Ces hommes, lorsque nous ne les avons pas élus, nous, congolais de père ou de mère, nous les tolérons. Comment congédierons-nous ce mal de nos villages, localité, cités et villes ?

La meilleure façon de démontrer que son groupe ethnographique a de la valeur, comme les autres, ce n’est pas de crier à la ségrégation, se morfondre dans des jérémiades ; mais c’est plutôt de le montrer par sa pensée, sa parole et surtout par ses exploits, ses actions, dans la société où l’on vit avec les autres groupes qui ont aussi leurs valeurs à mettre sur la table ! C’est de défendre nos frères, nos terres, là où Satan et ses suppôts humains tentent de dérober des dons précieux que nous avons reçus de Dieu ou au prix de sacrifices de nos aïeux, quand bien-mêmes certains d’entre eux nous ont trahi après avoir conquis les terres dont nous sommes aujourd’hui propriétaires, par la grâce divine.

En lisant cet article, un compatriote a régi : « C’est plus gravissime de le savoir si c’est ainsi. »

Comme il est chrétien, je me suis précipité sur ma Bible pour y puiser un conseil du Sage et lui est répondu.

Tu es Dieudonné. N’est-ce pas, cher frère ? Si tu trouves gravissime de le savoir, relis alors ceci et prends une position vis-à-vis de ton Dieu et qui est aussi mon Dieu.

1 Timothée 5:8 « Si quelqu’un n’a pas soin des siens, et principalement de ceux de sa famille, il a renié la foi, et il est pire qu’un infidèle. »

Il ne faut pas donc croire ceux qui vous disent aimer la République Démocratique du Congo, alors qu’ils ne s’aiment pas encore eux-mêmes et encore moins, ils n’aiment même pas encore les membres de leurs propres familles restraintes !

Pendant que les autres attendent…


[01-01-2024 22:52] : « Moi j’attends le 3/1 [le 3 janvier 2024] ici le résultat de la CENI surtout pour les députés nationales et provinciales. »

Tel est ce qu’attend notre compatriote d’un groupe WhatsApp prolifique. Dans notre Projet 2014, nous avons compris que les Congolais ne doivent pas compter sur ceux qui multiplient des promesses infondées ou des espoirs vains. Cela nous a inspiré les réflexions ci-dessous que nous nous hâtons de partager avec vous. Parce que le temps nous presse.

[01-01-2024 22:52] : Qu’en feras-tu quand tu les auras ? Cela pourrait nous aider dans le montage actuel de notre stratégie.

En effet, au projet 2014, nous souhaiterions avoir les peuples congolais, les ministres du pays et les parlementaires du pays de notre côté en nombre suffisant avant de décréter ce que nous proposons depuis notre début en décembre 1999 :

1° l’abandon de la République pour l’adoption de l’union d’États indépendants du Congo ou de l’Afrique Centrale ou même de l’Afrique, construite partant des affinités qui existent entre nos peuples ;

2° la fin de la dictature pour son remplacement par la théocratie ;

3° la fin de la colonisation et le recouvrement de la souveraineté par tous nos peuples jusqu’ici subjugués ;

4° la fin de la médiocrité dans les affaires de la nation et la gestion du pays par des technocrates, mercenaires de l’État, payés au résultat ;

etc.

Tout cela, pour nous, est à faire dans l’ordre, en soumission total aux peuples par tous ; et non à une quelconque autorité usurpée de Dieu !

D’ores et déjà, préparons-nous résolument et sereinement à agit différemment désormais. En effet, le changement que nous proposons ne devrait pas nous prendre moins de 25 ans, au regard de l’état de délabrement politique dans lequel se trouve la nation et de la carence d’un projet de société digne d’un pays à la taille du nôtre.

Un travail glorieux est à accomplir patiemment. Il faut d’abord s’attendre sur certains principes fondamentaux. Le respect de tout congolais en tant qu’être humain et sa protection contre les ennemis de notre nation. Le refus de toute forme de médiocrité, de bestialité, d’esclavage et de colonisation, de dictature, de trahison, de pillage de nos richesses.

Peuples congolais, prenez courage et rejoignez le Projet 2014, porteurs de projets politiques novateurs, pesants et originaux. Notre pays ne saurait demeurer dans le marasme que perpétue les régimes qui se succèdent à Kinshasa jusque ce jour et qui avouent eux-mêmes leurs incapacités à apporter le changement dont nous avons besoin : celui de passer du mal au bien. Nous devons serrer nos coudes pour récuser toute forme de domination, de moutonnerie ; de niaiserie et de collaboration avec les imposteurs défilent à Kinshasa.

Commencer par mûrir un projet individuellement ou en groupe plus ou moins important. Inscrivez-vous ensuite comme participant au Projet 2014, pour contribuer à la rédaction, en ligne, et au test, sur terrain, d’un projet de société qui soit le plus démocratique et le plus complet que notre pays ait jamais eu.

Pour vous inscrire comme participant, suivez ce lien-ci.

Bunagana ou le pays tout entier ?


« Restons dans l’histoire mes soeurs et frères, arrêtons trop la boisson et l’ambiance pensons à nos Petites soeurs et petits frères, travaillons dur l’amour du pays. » (Projet 2014, WhatsApp)

Qu’est-ce que RESTER DANS L’HISTOIRE ?
Qui sont nos frères et nos soeurs ?
Comment et pourquoi penser à ces frères et soeurs ?
Qu’est-ce que l’amour du pays ?
Comment et pourquoi travailler dur l’amour du pays ?

Sans avoir des réponses à ces questions élémentaires, mais essentielles, comment pourrons-nous monter une stratégie qui nous permette de délivrer durablement Bunagana et le Congo tout entier de l’occupation, de la domination étrangère, de l’esclavage ?

Tous nos peuples du Congo vivent dans la colonisation et l’esclavage. Certains, depuis la nuit des temps ; d’autres, depuis quelques siècles ou décennies.
Nous pensons que le premier travail à faire c’est de décoloniser le pays : (1) accepter que chaque peuple ait le droit et le devoir de prendre son destin en main et (2) nous entraider, pour que cette indépendance de nos peuples cesse d’être une démagogie qui suscite des rebellions dans le pays, qui fasse le lit de l’imposture ou de l’occupation dans la sphère politique locale et nationale.

Tout l’Est est occupé, subjugué, exploité par des allochtones ou des étrangers. Les rancoeurs montent contre les colons, les dominateurs, les imposteurs… La division du pays se renforce et est capitalisée par les ennemis de nos peuples, de notre nation.

Et comme nous sommes peu instruits, insuffisamment qualifiés, de plus en plus immoraux, l’ennemi gagne du terrain chaque jour. La ressource humaine n’est pas de qualité.
Nous éduquer nous-mêmes en tant que nation demande que nous nous rencontrions, physiquement et virtuellement, pour définir nos valeurs et la manière de les promouvoir rapidement, démocratiquement.
Très peu d’entre nous acceptent de s’imposer cette discipline. Ce qui demande de notre part une campagne forte d’éducation par toutes les voies disponibles et accessibles : réunions familiales dans les foyers, travaux de groupes en présentiel ou en ligne, chat, messageries électroniques, les MOC, etc.

Dans ce projet, nous vous invitons à nous rejoindre dans ce combat contre nos faiblesses, pour espérer un jour être à même de véritablement secourir Bunagana et bien d’autres localités qui sont dans les griffes de Satan…

Esclaves des européens ou des congolais ?


Tel que reçu sur WhatsApp.

Liste de salaires des enseignants en Afrique :

  1. RDC : 90 et 150$
  2. Congo Brazza : 400$
  3. Gabon : 700$
  4. Cameroun : 600$
  5. Angola : 800$
  6. Tunisie : 1500$
  7. Égypte : 1600$
  8. Algérie : 1500$
  9. Madagascar : 600$
  10. Zambie : 500$
  11. Tanzanie : 400$
  12. Rwanda : 300$
  13. Zimbabwe : 500$
  14. Lybie : 1000$
  15. Maroc : 1200$
  16. Burkina Faso : 700$
  17. Guinée : 600$
  18. Afrique du Sud : 2000$
  19. cote d’ivoire : 800$
  20. Nigeria : 900$.

Je ne suis pas autorisé à faire seul la recherche, vous pouvez aussi continuer.


GPAU

Nous estimons que dans la plupart de ces pays le minimum vital se situe dans les 3250 $ bruts/mois/travailleur. Nos pays doivent donc décider de doubler voir même de multiplier par 30 leurs masses salariales : par la mise à l’emploi, le relèvement du niveau d’instruction, d’éducation et de formation de la population.

C’est donc d’un véritable règne de l’esclavagisme africain que désormais doivent se débarrasser les africains et leurs vrais amis.

La traite d’esclaves…


[1/9, 13:06] Véronique Mangwanda Nzumba: https://youtu.be/WF01zfB5nrQ

Chronique : En finir avec la traite négrière en Afrique

Difficile d’imaginer que dans nos pays se pratique encore la traite négrière, difficile d’imaginer qu’au 20e siècle, l’on ait réduit des centaines de milliers de nos populations en esclaves. Cette fois-ci, c’est sur leur propre terre, dans leur propre village qu’on les a réduit en esclavage. Avec encore une fois la complicité de leurs chefs. Les mines en RDC ne sauraient être une malédiction pour les congolais. Il faut rapidement le transformer en opportunité. Cela ne dépend que des dirigeants.

Abonnez-vous et activez la cloche de notification pour être les premiers à visionner les prochaines sorties.
[1/9, 13:32] G. Paluku Atoka Uwekomu: Difficile d’imaginer que dans nos pays se pratique encore la traite négrière, difficile d’imaginer qu’au 20e siècle, l’on ait réduit des centaines de milliers de nos populations en esclaves.
Qui ne sait pas que nos peuples sont des esclaves les uns des autres depuis la nuit des temps? Les Chinois ne font que profiter de notre incapacité de nous approprier un pays que Lumumba et les siens croyaient nous confier. Il s’avère aujourd’hui clairement que Lumumba n’avait pas de vision pour le Congo, qu’il s’est trompé en vilipendant et persécuant les membres du PNP qui lui disaient clairement que l’indépendance auquel il revaient n’était pas possible dans l’état où la colonie se trouvait ; qu’il fallait préparer des cadres capables. Cette fois-ci, c’est sur leur propre terre, dans leur propre village qu’on les a réduit en esclavage. Beaucoup de nos peuples étaient en esclavage avant l’arrivée des colonisateurs, avant même l’arrivée des esclavagistes. Et aujourd’hui, ce ne sont pas les chinois qui soient forcément les pires de nos ennemis. Ils comptent sur les millions de traîtres qui se comptent dans nos rangs pour nous exploiter, nous fouéter quand ils croient avoir intérêt à le faire. En étant à ce stade, nous devons, pensons-nous, commencer par libérer chacun de nos peuples qui vit encore tout forme d’esclavage lui imposé par Kinshasa ou par des étrangers. Le discours qui consiste à ne pointer que les étrangers, passe de moins en moins. Les congolais commencent à comprendre que nous devons commencer nous-même par nous débarasser de nos velléités colonialistes et esclavagistes, nous, peuples congolais, peuples du Congo. Avec encore une fois la complicité de leurs chefs. Les mines en RDC ne sauraient être une malédiction pour les congolais. Il faut rapidement le transformer en opportunité. Cela ne dépend que des dirigeants. La prison dans laquelle nous nous maintenons est celle de penser que ce qui nous arrive ne soit que les conséquences des agissement de nos leaders politiques, en oubliant que ce sont nous qui les avons élus ou qui les avons tolérer et tolérons.
[1/9, 13:42] G. Paluku Atoka Uwekomu: L’intelligentsia congolaise est démissionnaire. Si elle ne l’était pas, aucun étranger ne serait en train d’exploiter pour nous nos minérais.
Si réellement nous aimons le Congo, comme certains aime à le prétendre en insuttant en même temps ce pays sans bouger son auriculaire, rien ne changera.
Les questions-mêmes que nous nous posons trahissent nos méchancetés.
Nous payons moins de 3 € à nos frères par jour et nous voulons prétendre être de libérateurs…
La vérité est autre : tant que le congolais ne se lèvera pas pour s’occuper de ce qu’il prétend être son pays, sa condition ne s’améliorera guère. Il y aura certes de plus en plus de milliardaires congolais ; mais encore et toujours au détriment de la grande masse.
Seul, le Projet 2014 et quelques autres rares et timides projets du genre, invite les congolais à se mettre ensemble, autour d’une table, pour décider du destin du Congo.
Le refus catégorique des politiciens en lisse de se mettre autour d’une telle table est la preuve que leur désire de coloniser et d’esclavagiser demeure intact !