Le risque d’avoir Dieu pour partie adverse…


Frère,

Sont-ce les nilotiques (hema, tutsi et banyamulenge +/-= tutsi ?) qui prennent leur revanche ou quoi ?  Je n’ai aucun dossier en main ; je demanderai à qui de droit si je peux en avoir ; ne serait-ce que les conclusions des avocats.  C’est ce qui me permettra de conseiller là où je peux être utile pour notre pays moribond : pour un temps !

Moi, je crois que le combat juridique est ce qui peut nous avancer vers une paix durable.  Ce combat, il faut le commencer au Congo même et ne pas craindre le régime ni le gouvernement en place ; mais bien se préparer pour être convainquant et dissuasif d’un point de vue diplomatique, au national comme à l’international.  Et je propose de recourir à la balkanisation stratégique, si l’attente n’est pas possible entre parties dans un court terme ; comme personnellement, nous le prédisons.  Cette balkanisation doit permettre à chaque peuple (clan, tribu ou ethnie ou alliance) de choisir avec qui travailler sur un destin national et sur le traitement des dossiers en cours et de vivre ses échecs et ses succès, afin de prendre la mesure objective de la qualité de sa politique.  L’unitarisme du MPR ne nous avance à rien :il faut avoir l’humilité de le reconnaître.  Sinon, que fera Dieu de nous ?  Ce ne sera pas facile.  Parce que, les diviseurs, s’ils existent, en profiteront.  Définitivement, ce sera pour le bien de ceux qui sauront négocier des coopérations saines, qui ne se seront pas trompés dans leurs calculs.

La majorité de nous congolais pense que ce sont les armes qui résoudront les problèmes du moment.  Pour nous, ce problème est celui de la rébellion contre des régimes d’imposteurs politiques qui favorisent le banditisme de droit commun et le banditisme international.  J’ai toujours dit que c’était impossible de résoudre nos problèmes avec les armes ; mais que par la voie juridique, nous épurerons le pays du banditisme politique et par voie de conséquence du banditisme de droit commun.

Mes compatriotes ne m’attendent pas de cette oreille, même s’ils me disent souvent, en privé : « tu as raison Paluku, mais nous ne savons pas te soutenir en public : pour ne pas mourir… ».  Qu’allons-nous proposer : demander la séparation du nilotique d’avec le non-nilotique, demander la séparation de l’Est d’avec l’Ouest ou demander de mener la guerre contre le M23 et le Président rwandais ?  La première proposition serait insensée : les nilotiques ne se sont jamais préparés pour une séparation d’avec les non-nilotiques.  La deuxième proposition ne convient pas à beaucoup de nos frères de l’Est aussi.  La guerre contre le M23 ne fonctionnera pas parce que le M23 est un mouvement rebelle congolais avant tout le reste ; quand bien-même les ennemis du rwandophone ne veulent pas le reconnaître.

Les tribunaux et les forces des Nations Unies sont inefficaces par essence : nous le voyons.  En effet, New York est piloté par des lobbies aux intérêts opposés, mais qui, lorsqu’il s’agit de dépecer l’Afrique, finissent toujours par sacrifier cette dernière, parce qu’elle tarde à se prendre en charge, vue qu’elle est, dans l’état actuel, un continent colonial, asservi, sans leaders valables, sans ressources humaines capables de la représenter correctement devant le concert des nations.  La preuve se trouve aussi dans la démarche de cette conférence, qui a un relent colonial…  Comme toujours !

Les non-nilotiques n’entendent pas les choses telles que je les voie s’annoncer dans cette conférence à laquelle je ne participerai pas ; parce qu’elle va se terminer sur un chaos total, de toute évidence, en queue de poisson, dans la confusion, si nous tenons compte de l’état d’esprit de la majorité des Congolais d’aujourd’hui et de celui du collectif des avocats impliqués dans l’organisation de ladite conférence !  Pour eux en effet, les démons actuels sont le M23, Paul Kagame et les Occidentaux, quoi que vous disiez, quoi que vous pensiez, quoi que vous fassiez.  Aucun – en exagérant, comme j’en ai l’habitude, pour éveiller – ne veut décortiquer les problèmes dans leurs origines, dans leurs coûts ni dans leurs conséquences.  Ils viennent de demander de couper les têtes d’on ne sait qui, on ne sait pourquoi, alors que les leurs sont, pensons-nous, les premières à mettre à la guillotine…  Cependant, quand interviendra l’alliance nilo-soudanaise dans l’affaire – ce qui risque de ne pas se faire attendre – les cartes seront redistribuées et les bantous et les pygmées, se retrouveront contre une force qui, au Congo actuel, ne pourra que prendre le dessus de la guerre que les bantous recherche sans savoir avec qui ils devraient réellement marcher.  Parce qu’au fond : les bantous et le nilotiques qui se battent, ne sont-ils pas descendants d’un même aïeul ?  Cela dit, notons que partout dans le monde, ce sont les cousins qui s’entretuent ; comme dans le jardin d’Eden, c’est Caïn qui tua Abel.

Dans ce monde païen, glauque, je ne me permettrai pas d’approcher, bien-aimé.  Ma gente et la tienne n’ont-elles pas pour devise de ne jamais trahir ?  Je ne prendrai pas le risque d’avoir Dieu pour partie adverse, contrairement à ce que certains voudraient toujours tenter.

Intégrer notre goupe WhatsApp…


Je vous invite à intégrer mon groupe à vocation politique : le Projet 2014.

Il est conçu pour nous aider à rédiger en ligne et tester sur terrain un projet de société pour le Congo. Un document qui soit le plus complet et le plus démocratique que notre pays ait jamais connu.

Pour intégrer le groupe, assurez-vous d’avoir des capacités rédactionnelles. Appuyez, le cas échéant, sur le lien ci-après.

Attention : ne vous exposez pas à la mort sans réfléchir. La politique en Afrique est trop risquée : nous vous désirons vivants et épanouis et non pas morts, par négligence ou par ignorance. S’engager en politique est un grand acte civique, mais c’est TOUJOURS prendre un risque. Certains adversaires politiques se prennent toujours pour des ennemis ! Il faut donc bien mesurer le danger encouru avant de s’engager et non pas après.

https://chat.whatsapp.com/CGsSS2oE2qL4TYOcPzBiwh

Wazalendu(o) qui ne comprend pas…


À mangina, tous les wazalendu tués par les FARDC avaient une autorisation officielle [afin] de combattre les ADF. Cette cacophonie entre FARDC et wazalendu dénote d’une complicité.

Sur plus de 15 morts, seulement 4 corps sont à la morgue, à l’hôpital général de référence de Beni.

En attendant une communication officielle et une riposte sévère des WAZALENDU, sachez que l’ennemi est dans les FARDC.

Comment les FARDC peuvent[-ils] tuer leurs partenaires, et cela, sans aucune enquête ?

LS

Erreur, trahison, duplicité, piège ou autre raison.

Nous avons prévenu, nous prévenons : personne de tient compte de nos conseils, ne croit à notre témoignage…

Tshisekedi gagnera : les mains levées !


Selon un membre de notre groupe WhatsApp « Projet 2014 », voici ce qu’étaient les tendances des statistiques électorales dans nos provinces. La source des chiffres n’est pas citée… Comme c’est souvent le cas chez nous.

[21/12, 09:58] Tendance du soir :

  1. Nord-kivu : Tshisekedi 67%, Katumbi :20, autres :3
  2. Sud -kivu : Tshisekedi: 80%, Katumbi: 14%, autres :6%
  3. Grand Katanga : tshisekedi : 40%, Katumbi 58% , autres :2%
  4. Grand kasayi , Tshisekedi:93%, Katumbi :6% , autres :1%
  5. Maniema : tshisekedi :50%katumbi 48%, , autres 2%
  6. Équateur : tshisekedi : 74%, katumbi :10%, Fayulu : 4%, autres 2%
  7. Bandundu: Tsisekedi : 52%, Katumbi : 21%, Fayulu : 25%, autres :2%
  8. Bas Congo. :tshisekedi 65%, Katumbi: 15%, Fayulu 18% , autres :2%
  9. Provinces orientale : tsisekedi : 64%, katumbi : 30%, autres : 6%
  10. Kinshasa : Tsisekedi : 85%, Katumbi : 11 %, autres : 4%.

Donc, Tshisekedi va gagner, encore une fois, les mains levées ! Nous sommes électeurs, plus ou moins libres, nous devrons assummer notre choix, que personnellement je trouve malheureux à bien d’égards.

  • Une bonne préparation permettrait de faire mieux : unir, pacifier, grandir.
  • Avant même la proclamation, l’opposition se plaint déjà, sans s’excuser pour ses erreurs, sans vouloir assumer ses responsabilités !
  • Plutôt que de tirer les leçons de sa cupidité, elle en appelle aux étrangers pour arranger le pays qu’elle (cette opposition) met en moule, comme le fait le pouvoir en place.
  • La population se soumet, félicite, insulte, béatement.
  • L’intelligentsia congolaise est absente : le peuple est en manque d’éclaireurs dans ses églises qui répende de l’opium à leurs fidèles.
  • Les prophetess de Dieu continuent à souffrir le martyr !

Radio Okapi, donne quelques informations utiles à consulter : https://www.radiookapi.net/2023/12/22/actualite/politique/presidentielle-2023-les-resultats-du-vote-de-la-diaspora-donnent-une.

Katumbi et Bemba se battent ?


Infos congo - Actualités Congo - CENI-RDC 12-12-2023
Media Congo a publié un article choc sur la question que nous avons repris ici, avec plusieurs autres liens du site-même.

Vous trouverez plus encore sur le site de MédiaCongo.

mediacongo

Politique

Présidentielle 2023 : Moïse Katumbi répond sèchement aux accusations de Jean-Pierre Bemba

Moïse Katumbi, candidat à la présidentielle de 2023, a sans passer par le dos de la cuillère, répondu aux accusations de Jean-Pierre Bemba, Vice-premier ministre en charge de la Défense Nationale

Dans une publication sur les réseaux sociaux, Moïse Katumbi a déclaré qu’il allait défendre le peuple congolais contre les violences et l’injustice. Il a également dénoncé les crimes commis par Jean-Pierre Bemba et ses hommes, notamment le massacre de civils à Kisangani et le cannibalisme de pygmées.

« Je vais défendre le peuple congolais contre qui tu avais pris les armes, massacré à Kisangani et ailleurs. Je vais défendre mes frères Pygmées que tu as massacrés cruellement et dont certains ont été bouffés par tes hommes (je ne sais pas si tu avais goûté aussi) », a-t-il réagi.

Le candidat numéro 03 a également dénoncé les pillages et la destruction du Grand-Équateur et de l’ex-province orientale, commis par l’ancien chef rebelle et ses alliés.

« Je vais défendre le Grand-Equateur et l’Ex-province orientale que tu as détruit et pillé avec la complicité de tes parrains », a-t-il laissé entendre.

Enfin, Moïse Katumbi a rappelé qu’il avait toujours défendu le peuple congolais, depuis sa jeunesse.

« Je vais défendre ce peuple que tu as fait tuer à Kinshasa en 2006 par ta soif du pouvoir, mais aussi ton manque de retenu », a déclaré Moïse Katumbi.

La réponse de Moïse Katumbi a été saluée par de nombreux internautes, qui ont apprécié son courage et son engagement en faveur de la justice et de la paix.

Célestin Botoleande
Objectif Infos / MCP, via mediacongo.net

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Ont commenté cet article

Okolela @V73Q7NS

La droite congolaise…


[27/11, 21:05] Projet 2014, Groupe WhatsApp.

Premières tendances après 5 jours de la campagne :
Tendance du soir :

  1. Nord-Kivu : Tshisekedi : 5%, Katumbi : 65%, autres : 30%.
  2. Sud -Kivu : Tshisekedi : 40%, Katumbi : 58%, autres : 2%.
  3. Grand Katanga : tshisekedi : 8%, Katumbi 91% , autres : 1%.
  4. Grand Kasaï : Tshisekedi : 85%, Katumbi : 24%, autres :1%.
  5. Maniema : Tshisekedi :4%, Katumbi : 95%, autres : 1%.
  6. Équateur : Tshisekedi : 40%, Katumbi : 40%, Fayulu : 15%, autres : 5%.
  7. Bandundu : Tsisekedi : 9%, Katumbi : 38%, Fayulu : 52%, autres :1%.
  8. Bas-Congo : Tshisekedi : 25%, Katumbi : 35%, Fayulu : 28%, autres : 2%.
  9. Orientale : Tsisekedi : 10%, Katumbi : 75%, Fayulu : 9%, autres : 6%.
  10. Kinshasa : Tsisekedi : 35%, Katumbi : 30%, Fayulu : 28%, autres : 2%.

[27/11, 21:05] GPAU

Katumbi est gagnant, selon ce message anonyme…

La fête peut donc commencer dans le camp de Katumbi, si ces données sont réelles !

Le « Président élu », M. Martin Fayulu Madidi, serait-il vomi des siens ?

Katumbi : il ne lui resterait plus qu’à bien surveiller les urnes que nous pourrions avoir ; tandis que Tshisekedi, ne devrait plus que bien veiller à sa vie, plutôt que de tenter de tripatouiller, comme cela est de coutume dans bien des pays que nous connaissons de nos jours !

Si tel était l’après 20 décembre 2023, ce serait la première fois que le Congo bascule à droite ; et, nous verrions une ombre de ce que voulait Moïse Tshombe pour ce pays apparaître à l’horizon…

FÉLIX TSHISEKEDI, LA VERITÉ INTERDITE : vérité ou jalousie ?


FÉLIX TSHISEKEDI, LA VERITÉ INTERDITE

« Nécromancie, Chivas, Foufou, Pillage, Infidélité, Meurtre et Inceste »

Un livre de
VINCENT CARTER

Dans ce livre explosif signé Vincent Carter, l’auteur le Journaliste Franco-Americain nous entraîne dans les méandres obscurs de la vie du président, felix Tshisekedi. Au travers de témoignages poignants et de révélations choquantes, l’histoire dévoile un homme obscur, dominé par son passé, dont les actes répugnants ont souillé chaque aspect de sa vie.

Tshisekedi, l’actuel président est dépeint comme un être ténébreux, sous l’emprise complète de sa mère et sa femme. Selon les témoignages anonymes de proches et de membres de sa famille, il aurait commis des actes d’une cruauté sans limite, allant de l’inceste en ayant un enfant avec sa propre tante paternelle, à la nécromancie en passant par l’infidélité de sa femme Denise Nyakeru et le meurtre des generaux et Cherubin Okende.

L’auteur révèle les détails sordides de ses activités nocturnes de Felix Tshisekedi , où il se livre à des orgies dépravées avec des amis, tout en pratiquant la magie noire et les rites mystiques et Magiques de Kamwena Nsapu du Kasai.

L’histoire se penche également sur les connexions sombres de Tshisekedi avec la famille Mobutu, révélant son obsession pour les secrets de la magie et de la sorcellerie, qu’il aurait tenté d’acquérir auprès des descendants de Mobutu.

Au-delà de sa vie personnelle dépravée, le livre met en lumière les mécanismes de pillage massif au Congo, orchestrés par Tshisekedi et sa femme infidèle. Vincent Carter expose les comptes secrets et les fortunes volées au peuple congolais, cachées dans des banques bruxelloises sous de fausses identités. Une enquête policière belge est déjà en cours pour démêler ce réseau complexe.

Ce livre, révélant les démons cachés derrière le masque politique de la famille Tshisekedi, promet de briser les mythes et les mensonges entretenus par ce clan. “FELIX TSHISEKEDI, LA VERITÉ INTERDITE: Nécromancie, Chivas, Foufou, Pillage, Infidélité, Meurtre et Inceste” est une plongée sans compromis dans les abysses d’un pouvoir corrompu et immoral, un récit saisissant qui ébranlera les fondations de la réputation de Tshisekedi et de sa mafia familiale.

DISPONIBLE LE 18 NOVEMBRE 2023

SUR LE SITE

https://CONGOINTELLIGENCE.COM

UNE ENQUÊTE DE VINCENT CARTER

JOURNALISTE D’INVESTIGATION

Qui a tué le 30/08/2023 à Goma ?


De notre groupe WhatsApp (Projet 2014)…

[4/9, 01:01] : POURQUOI CET HOMME DOIT ETRE ARRETE ET JUGÉ POUR LE MASSACRE DU 30 AOUT 2023?

Voici les raisons :

Nous sommes 03:20 de Goma, déjà, des militaires quitte le camps KATINDO en direction de Nyabushongo. Ils sont lourdement armés, telle une expédition qui va en guerre contre un ennemi armé et organisé.

A 04:15, les militaires ouvrent le feu sur l’Eglise de Wazalendo supposée abriter des manifestant qui devraient marcher vers la base de la MONUSCO et y déposer leur mémo pacifiquement.

L’assaut prend une vingtaine de minutes et à la clé on dénombre 51 morts tués par balle, 77 blessés et jusque-là il n’y a pas d’arrestation.

A 5:15 la chasse à l’homme commence, 21 autres personnes reçoivent de balles et meurent sur le champs, 55 autres reçoivent de balles et sont blessés.

A 6:19 les arrestations commencent. Tout celui qui se trouvent dans le partage aux environs du lieu de carnage est réputé Muzalendo. Un porte à porte s’effectue. Téléphone, argent, et autres biens de valeurs sont emportés par des militaires déguisés en inciviques et miliciens. Dans cette barbarie de pillage, 17 autres personnes sont tués, toujours par balle. 22 autres sont blessés.

A 07:12 des camions (KAMAZ) arrivent et font la ronde du quartier pour ramasser les corps des victimes afin de faire disparaitre les traces. Quelques curieux obstrués dans leurs maisons parviennent quand-même à prendre quelques images qu’ils lancent si tôt sur les réseaux sociaux et qui feront le tour du monde en quelques minutes seulement.

Les corps traînent toujours dans la rue et d’autres sont emportés par les tueurs et amènes à une destination inconnue.

A 08:30, à l’issue d’une brève rencontre, Mr Constant NDIMA KONGBA sort un communiqué officiel qui dresse un bilan définitif selon lui. Il y a eu 7 morts et quelques blessés côté « assaillant » et 1 policier tué. Qui est l’assaillant?

L’armée s’est comporté de manière professionnelle disait le Communiqué du Gouverneur militaire signé par le Lt Col. NGIKE KAIKO.

A l’hôpital de CEBECA NDOSHO, les morts se comptent en dizaines, l’une après l’autre personne amenées pour des soins meurent faute de traitement, le bilan s’alourdit. Rien qu’à l’hôpital, 23 morts parmi les blessés.

Arrêtant tout celui qu’ils ont trouvé sur leur passage, les criminels amènent avec eux 155 autres civils qu’ils présentent à Mr Constant NDIMA qui par ailleurs ne regrette pas plutôt il les encourage.

Au lendemain du carnage, Constant NDIMA KONGBA fait une apparition télévisée à la RTNC et affirme ceci:

J’ai ordonné à l’armée d’intervenir pour stopper ces manifestant qui se dirigeaient dangereusement vers la MONUSCO et les forces de l’EAC. Ils voulaient tuer les blancs.

A 3:20, il y avait-il déjà des manifestants dans les rue de Goma et qui se dirigeaient vers le QG de la MONUSCO?

Les deux Quartiers où il y a EUR ces carnages sont-ils proches du QG de la MONUSCO qui se trouve d’ailleurs à la RVA, plus de 10Km du lieu de massacre?

Quelle était l’intention de Constant NDIMA KONGBA d’envoyer des militaires surarmes à 3:20 du matin pour encercler une église?

Combien d’adeptes de ladite secte ont-ils été tués, blessés ou arrêtés par désobéissance sur la route qui mène vers la MONUSCO que NDIMA supposait être menacée?

L’intention criminelle de ce Monsieur l’a poussé à ordonner à ses inciviques d’emporter les corps de leur victimes afin qu’il ne soit connu du public qu’il y a eu massacre pourtant trop tard.
La publication du bilan de 7 morts et un policier par le gouverneur militaire, contredit par le gouvernement congolais puis condamné par le Président Tshisekedi renforce la conviction de quiconque que les massacres de Goma a été planifié par le Gouverneur militaire en place ensemble avec tous ses collaborateurs et qu’en voulant dissimuler les corps, ce qu’est une ‘attitude reconnu à un criminel n’est rien d’autre que la confirmation d’un comportement répréhensible.

S’agissant de l’attaque systématique menée contre la population civile non armée, il s’agit bien d’un crime de guerre imputable aux dirigeants hiérarchiques de troupes.

Lorsqu’il a ordonné l’incendie de l’église en question et du Poste-Radio, il s’agit là d’un crime contre l’humanité.

Quand ses soldats ont introduit des projectiles, de couton et de canons dans les parties intimes de la journaliste Mongi assassinée sur place, il s’agit là d’une mutilation de cadavre, là aussi c’est un crime de guerre.

Vu la gravité de faits, Mr Félix Tshisekedi n’a aucun autre choix que de mettre à la disposition de la justice Mr Constant NDIMA KONGBA pour répondre de ses actes même dans le cas du délit de commandement car étant le responsable hiérarchique à défaut d’être lui-même accusé pour tous les crimes de ses soldats en tant que auteur intellectuel in solidium avec Constant NDIMA.(cfrt Procès J.P BEMBA à la Haye dans l’affaire Centrafrique)

La Justice devra intervenir de Mr NDIMA la restitution de Corps de victimes, la prise en charge de soins médicaux de blessés, la libération de toutes les personnes illégalement arrêtées par ses hommes et la réparation de tous les préjudices causés par ce sulfureux officier à toutes les victimes.

Vous ferez mieux de partager massivement ce poste.

[4/9, 04:56]: Jl est 11h top a goma arrive d’une forte délégation conduit par le vice premièr ministre ministre de l’intérieur vice premier ministre ministre de la défense ministre de la justice ministre de droit humain ministre des affaires sociales gouverneur militaire général constant dima …. L’objectif est de faire une enquête indépendante pour se rassurer delà la vraie réalité delà tuerie qui se passé à Goma. Depuis la ville de Goma Bruno tongoetani héritier président de la société civile mubi en mission privé
[4/9, 06:51] : #RDC: toute famille qui a perdu les siens à l’issue des manifestations
sanglantes du mercredi 30 Août 2023 à #Goma est priée de se présenter au
gouvernorat de province pour prendre contact avec la commission dépêchée
de #Kinshasa pour faire le point général sur la situation.

Communiqué
[4/9, 08:00] : Message du ministre de l’intérieur Peter Kazadi à la population de Goma ce lundi à 2heures

Déjeuner politique…


[26/8, 10:39] G. Paluku Atoka Uwekomu: Cher Héritier,
Que propose-tu, d’original, pour réduire ou supprimer cette fracture sociale ?
C’est cela la raison d’être de ce groupe. Dans quelle mesure participe-tu au test sur terrain des solutions proposées par d’autres compatiotes ou amis du Congo ; pour inspirer les autres qui cherchent comment participer au développement du Congo ?
[26/8, 10:55] G. Paluku Atoka Uwekomu: Pour nous, le grand obstacle demeure les graves lacunes dans l’instruction, dans la qualification et dans l’éducation de notre population qui commence par son abandon de son Dieu.
C’est pour cela que nous proposons une action de terrain via des projets tels que le FEEC (Fonds pour les Élèves et Étudiants du Congo), le CFC (Centre de Formation et de Conférences) que plusieurs, pour l’instant, ignorent, mais sans lesquels nous ne nous en sortirons pas, même si nous allons aux élections de 2023.
Mieux serait de se concentrer d’abord, nous-mêmes, sur notre instruction, notre formation et notre éducation. Comment ? Je pense que la mobilisation en passant par des réunions hebdomadaires par exemple, en famille, dans les quartiers, dans les villages, permet d’être efficaces et rapides. Que nous vous invitons à nous rejoindre les week-end, entre 16h00 et 18:00 de Bruxelles, par exemple, pour des rencontres courtes, de 30 à 60 minutes, qui nous permettent d’accroître, en tant que nation, notre connaissance du monde, notre maîtrise de la gestion du développement national, et notre moralité dans le vécu quotidien, où que nous soyons.
Cette démarche sera très longue parce que nous avons acquis de mauvaise habitudes, avec le MNC, le MPR, l’AFDL, le PPRD et l’UDPS dont nous ne saurons pas rapidement nous départir, tant que nous refusons de nous mettre autour de la table pour examiner, nous-mêmes, ce qu’à été notre implication dans la gestion dans la gestion calamiteuse du Congo hérité de la fausse indépendance de 1960.
Aller vers l’indépendance demande de nous de la sincérité, de l’ardeur, du courage et surtout de l’amour pour notre gente congolaise. Sans cela, nous ne seront que de chiens qui aboient pendant que les caravanes des pilleurs intérieurs et extérieurs passent !
[26/8, 10:58] Héritier Ba’ndoni: C’est qui est decriant c’est que les hommes au pouvoir ne font que discuter nuit et jour des avantages liés à leur position dans l’échelle, et pourtant ce sont ceux au bas de l’échelle qui leur ont laissé arriver où ils sont.
Et donc il revient aux vrais élites du pays, des hommes et femmes de conscience, d’éduquer la base pour sanctionner sévèrement les assoiffés de pouvoir.
Le problème est que en RDC le régionalisme, tribalisme, etc sont encrés dans le coeur et mémoire des gens à tous les niveaux, ce qui a pour l’une de conséquence la prise de position sentimentale notamment s’il faut élire, s’il faut dénoncer…
Bref, le grand travail doit commencer au niveau de ceux qui sont au bas de l’échelle pour se libérer ou alors du moins permettre une moyenne de vie sociale…
Le secteur où on est mieux payé en RDC c’est dans la politique, meilleur entrepreunariat pour les assoiffés de pouvoir…
Rare sont les pays avec un nombre important de partis au monde,…
[26/8, 11:00] Héritier Ba’ndoni: Je suis parfaitement d’accord avec les idées fournies ici
[26/8, 11:01] Héritier Ba’ndoni: FEEC, CFC= deux grandes stratégies que je retiens et qui attirent mon attention de manière particulière
[26/8, 11:01] Héritier Ba’ndoni: Je crois que je devrais réfléchir dessus dans mon quartier, village, etc.
[26/8, 11:01] G. Paluku Atoka Uwekomu: Les photos que tu montres sont la conséquence de la démission de nos populations, de nos peuples qui acceptent de vivre dans l’oisiveté, de se contenter des salaires d’esclaves, depuis que nous nous sommes exploités entre nous peuples d’Afrique – avant l’arrivée de l’esclavagiste arabe et du colonisateur européen ; depuis que nous avons vendu nos frères aux européens et aux arabes pour des vils présents ou par peur du fusil ; depuis que nous nous sommes soumis aux dictateurs et imposteurs de tous acabits.
La solution est de faire prendre conscience à nos populations, à nos peuples, que nous devons immédiatement nous mettre au travail – le vrai travail, que nous devons arrêter de travailler pour moins que 18 € bruts par heure (36.000 CDF/heure), le plus rapidement possible… Sans cela, serons-nous et comment pourrons-nous être traités comme êtres dignes d’humanité par les autres nations qui nous observent ou nous exploitent, à l’instar de nos propres compatriotes ?
[26/8, 11:03] Héritier Ba’ndoni: 😭nous sommes esclaves de nos frères, c’est triste.
Très important ça
[26/8, 11:06] Héritier Ba’ndoni: Le plus souvent, nous acceptons nous contenter de petits avantages très limités que ceux là viennent nous donner juste pour nous flatter et nous abandonner à genoux pendant des années…
Nous devons être en mesure de dire STOP à celà,…
Je crois qu’on y arrivera un jour.
[26/8, 11:16] Héritier Ba’ndoni: Autre chose, ils maintiennent l’insécurité pour nous mettre en stress continue, et pourtant si tout allait bien, des milliers de congolais allaient se mettre au travail de champs dans les forêts, etc.
Je me rappelle de la période de période où FPIC a fait sa première apparition… Ce fut quand je venais de lancer mes discussions avec leurs chefs coutumiers pour un mini projet agricole à Mwanga, visant à produire de légumes pour la ville de Bunia…
Pour dire que tant que les bas peuples se laissent corrompre pas les forts pour créer des groupes armés, bandes de bandits semant l’insécurité, la base elle même ne pourra jamais avancer…
Aujourd’hui des grands villages sont restés vides en Ituri par exemple, ses habitants coincés de force dans des sites et autour des grandes agglomérations comme Bunia…
Main salle politicienne derrière, nous devons nous réveiller et mettre en pratique FEEC, CFC…
[26/8, 11:35] G. Paluku Atoka Uwekomu: Comment allons-nous éduquer nos populations ?
Nous qui avons fuit ou qui avons opter pour l’éloignement de la dictature, la mauvaise gouvernance ou de l’irresponsabilité nationale, n’avons pas un contact direct facile avec la base. Les pouvoirs en place gèrent savamment et intentionnellement les moyens de communication de telle sorte que ce contact soit le plus difficile possible, tant qu’ils sont aux arènes. Quant à nos populations qui continuent à fleurter avec le diable (paresses, sectarismes, mensonges, meurtres, démissions, traîtrises…), qui oublient pourquoi nous nous retrouvons à l’extérieur du pays et nous insultent en nous considérant comme des traîtres, nous pourtant qui soutenons le pays en y injectant plus 70% à 80% de son PIB réel (4-7 milliards d’euros produit à l’intérieur, 17 milliards injectés par la diaspora), comment seront-elles bénies sans passer par la repentance ?
Ne nous y trompons pas, chers frères.
Tant que nous refuserons de nous mettre autour d’une table pour examiner l’ensemble des obstacles à notre développement harmonieux, dans le seul but de protéger nos frères forfaiteurs, par népotisme, le Congo restera sous le coup de la malédiction !
Nous avons tué les prophètes de Dieu par milliers, par millions. Ce n’est pas que Dieu ne pouvait pas nous écrabouiller tous ! C’est qu’Il use de patience à notre égard.
Nous avons le choix entre continuer à avoir le cou roide ou accepter de nous reconnaître fautifs et responsables de la misère qui sévit dans notre pays en ce compris l’insécurité dite de l’Est de la RDC.
[26/8, 11:58] G. Paluku Atoka Uwekomu: Sur le plan stratégique, nous devons savoir qu’au pays ne s’est développé par le fait d’une foule. L’étincelle a toujours été provoquée par une ou un petit groupe de personne.
Le développement technologique de Taïwan, à l’information que je possède, a été enclenché par une bande de moins de 10 personnes ! De même, le développement économique des USA a été amorcé par une douzaine de tribus politiques révoltée contre la monarchie britannique.
Ce groupe a compté près de 200 membres : de quoi soulever la terre !
Que se passe-t-il pour que personne ne parle de lui sur terre ?
Seules 3 personnes ont jusqu’ici mis la main à la pâte : rédiger un projet de société pour la RDC qui soit le plus complet et le plus démocratique ; et, tester sur terrain les propositions formulées dans le projet. Cela fait 24 ans que le Projet 2014 existe !
Bref : soit que nous n’avons pas encore compris ce qu’est le Projet 2014, soit que nous n’adhérons pas audit projet, soit que le projet est mal conçu pour produire les résultats qui en sont attendus : le passage de la République à une union libre d’État indépendants du Congo ou de l’Afrique Centrale, États basés sur nos affinités culturelles.
Un week-end comme celui-ci est un des rares moments où nous pouvons secouer les fondements du Projet 2014 pour en assurer la réussite : si cela est possible.
Le développement du Congo n’est pas le Projet 2014. Ce projet-ci est notre proposition qui s’appuie sur trois piliers : le christianisme, le capitalisme et la démocratie. Plusieurs projets similaires existent où chacun peut se retrouver et contribuer : La 3ème Force, La 3ème Voie, l’UNIC, la RDC-Libre, qui sont toutes des propositions originales, avec des particularités particulières, qu’il vaut la peine de bien examiner et pour ensuite les bien exploiter.
[26/8, 12:06] G. Paluku Atoka Uwekomu: « Âme abattue est celle qui mourra ! » (La Bible).
On ne fait pas la politique quand on pas le cran !
Nous, Congolais :
Que voulons-nous ?
Pourquoi ?
Comment ?
Pour quand ?
Pour qui ?
Avec qui ?
Avec quoi ?
Ne pas avoir SA réponse à SOI, NOTRE réponse à NOUS, c’est nous exposer à d’autres déceptions plus regrettables que les précédentes et les présentes, comme nous y obligent ceux qui vont aux élections de 2023, sans que nous ne soyons bien préparés en amont, préalablement !

Rare en RDC : un avis motivé !


À RETENIR SUR JOSEPH KABILA :

1.JKK est né au maquis de Hewa Bora et est allé en exil en Tanzanie 5 ans avant la création de l’UDPS . Donc, il a commencé la lutte avant les fondateurs de l’UDPS qui dansaient encore SANKAYOSA ;

  1. JKK à 25 ans, il va libérer la RDC aux côtés de son père Mzee Kabila qui a commencé l’opposition depuis septembre 1960 (22 ans avant Étienne Tshisekedi). Il a commandé les troupes de L’AFDL pour la libération de Kisangani face aux armées très équipées ( DSP, SARM, Garde civile, Commandos de choc de col Mbuza Mabe, Mercenaires français et Serbes, les EX-FAR et Interahamwe );
  2. JKK nommé commandant forces terrestres et général major va défendre la RDC de l’agression rwando-ougandaise de août 1998 -2001;
  3. Désigné chef de l’État après l’assassinat de son père Mzee Kabila,il a réalisé ce qui suit :
    a. De 2001-2003 : stabiliser les fronts de bataille et réunifier le pays qui est morcelé ;
    b. De 2003- 2006 : il gère le pays sous 1+4 dans une approche managériale très appréciée jusqu’à amener la RDC aux élections démocratiques et libres ;
    c. De 2006-2011: il lance le projet de la reconstruction du pays avec le projet de 5 chantiers, la restructuration de l’armée et de la Police, la mise en place des institutions étatiques, etc
    d. De 2011 -2018 : il lance le projet de la révolution de la modernité en favorisant le climat des affaires, encourager l’investissement privé par la construction des immeubles et des flats hôtels, des infrastructures des biens communs, la compagnie aérienne, transport en commun urbain, la bancarisation de paye des employés.

Ses acquis à sauvegarder :

  1. La décolonisation intellectuelle et économique par la révision du code minier ;
    2 . La démocratie pluraliste et Électorale ;
  2. Le secteur médiatique et des télécommunications très développé ;
  3. Le budget national qu’il a trouvé à 300 millions dollars et a laissé le budget de 6 milliards de dollars sans la dette extérieure (atteinte du point d’achèvement de l’initiative PPTE avec l’expertise avérée de MATATA PONYO);
  4. Une armée républicaine et dissuasive, 8ème d’Afrique ;
  5. Le patriotisme, l’unité et la culture de représentation équitable dans la désignation aux postes de l’État sans tribalisme ;
  6. Le respect des droits humains et de la justice équitable ;
  7. Les universités et les hôpitaux de référence dans chaque province ;
  8. La création de 3e cycle (DEA) à l’ESU et la gratuité de l’enseignement à L’EPST.

CELLCOM G4-PPRD.

NOTES
Voici une propagande qui va dans la bonne direction : citer des faits, avérés ou contestables, pour vendre son candidat !
À vos plumes : dans les commentaires ; ici bas.