Le Masisi congolais dans les années 1885


Pourquoi un autre article sur cette question ?

Beaucoup d’encre, de salive et de sang coule dans le Masisi congolais, comme dans le reste du pays, du continent et de la planète, depuis bien avant l’indépendance du Congo. Beaucoup de vérités n’étant pas encore dites, beaucoup de mensonges se propageant, ils convient que nous tentions une contribution, dans un contexte où plusieurs ont difficile à se départir de l’impartialité, de la sentimentalité, du parti pris.

Nous avons posé à Copilot la question de savoir qui occupait le Masisi dans le Kivu congolais en 1885 ? Contrairement à ce qu’on attend souvent dire, les tutsi y auraient été à cette époque déjà.

« …
En 1885, le territoire de Masisi dans la région du Kivu congolais était habité par plusieurs groupes ethniques. Voici un aperçu des principaux acteurs de cette époque :

  1. Twa, Hutu, Kumu, Tutsi, Hunde et Tembo : Ces six grandes tribus étaient présentes dans la région de Masisi1. Chacune de ces communautés avait ses propres traditions et modes de vie uniques.
  2. Forces extérieures :
  3. Facteurs de guerre :

En somme, le Kivu était un foyer de conflits multidimensionnels, avec des acteurs internes et externes qui se disputaient le contrôle de la région. Aujourd’hui encore, le Kivu reste une zone sensible et complexe en République démocratique du Congo2,3.

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… »

Motivations

Plusieurs, kivutiens ou non, contestent, dans cette histoire d’une présensence des Tutsi dans la région à ces dates et demandent des preuves probantes de l’historicité des faits allégués. Cet espace essaie d’apporter le plus d’éléments possibles pour éclairer l’opinion sur cette question qui coûte des vies humaines à plusieurs de nos compatriote congolais et d’étrangers, établis ou pas sur notre territoire.

Or, sans l’éclosion de la vérité, la paix et la prospérité pour tous resterons un leurre, non seulement dans le Masisi, le Kivu, l’Ituri et les autres provinces du Congo, mais dans tout notre pays tout entier.

Quelles sont les sources d’information ?

Toutes les ces sources, il convient de les consulter avec un sens critique et de recouper les informations fournies par plusieurs, quelles que soient les « autorités scientifiques » des auteurs. L’expérience montre en effet que beaucoup doit encore être réécrit de l’hitoire du monde en générale et du Congo en particulier. Des mensons étant parfois véhiculés sciemment ou inconsciemment.

http://topkivu.com/nation/masisi-un-territoire-aux-traditions-uniques-et-aux-richesses-abondantes/ : cette page est inaccessible, ce vendredi 29/03/2024 à 15:59, pour des raisons qui restent à déterminer.

https://journals.openedition.org/echogeo/10793#tocto3n8 : fournit des informations utiles. Il vaut donc la peine d’être consulté pour avoir une première vue des problèmes et de l’histoire. C’est aussi là que nous pouvons trouver une réponse partielle à la question du pourquoi l’insécurité dans le Kivu : « Les populations réputées « autochtones », c’est-à-dire installées avant l’arrivée des migrants rwandais, se sont senti progressivement dépossédées de leurs prérogatives foncières et des droits symboliques qui s’y rattachent. Les tensions se sont cristallisées autour du foncier et de la question de la nationalité. La révision en 1981 dans un sens restrictif des critères permettant de se revendiquer comme Congolais (à l’époque Zaïrois) a privé des dizaines de milliers de Banyarwanda de la nationalité congolaise, envenimant les relations inter-communautaires. »

https://fr.wikipedia.org/wiki/Guerre_du_Kivu : cette source, Wikipedia, fournie une carte de mars 2024, de la situation de l’occupation de l’Est par des forces armées.

Sont-elles fiables et pourquoi ?
Pourquoi tant de contradictions entre les fils mêmes du Kivu sur ces sources ?
Quelles sont les intérêts en jeux ?

Bunia-ville et Mambassa : les allochtones dominent encore et toujours !


[14/1, 04:51]

Patrice UKWA

SONT ELUS OU REELUS DEPUTES NATIONAUX PEOVINCE DE L’ITURI

A. Circonscription ARU

AKISU ADJULE Raymond

AMULE ARAKAYO KIZITO

DRAZA ATSULE

BANIO DEBO Daniel

KASHINDE AVODJOA néné

ADJIO DJIDI

B. Circonscription BUNIA Ville

KAKULE KALYOMO

IRACAN UNEN GRATIEN

C. Circonscription DJUGU

MATESO SAVO Jospin

NGABU TSUNDE Jean Paul

NDJABU NGABU Floribert

DHEDA TIKPA François

UYEWA CWINYAY’AY Daniel

BYARUHANGA UTIKE Moïse

NDJAZA LINDE Jean Vianney

D. Circonscription IRUMU

BUNGISHABAKU KATHO

BABANGU WABABU Paul

KAKULE Fidel

E. Circonscription MAHAGI

AGENONGA Robert

UVOYA UNENCAN J Faustin

ADUBANGO AWOTO Samuel

BEROCAN KERAURE nono

FURAHA UMA Daniel

MUNGU JAKISA François

MUBER JAWULI

F. Circonscription MAMBASA

KAMBALE EZECHIEL Barnabas

ABDALLAH PENEMBAKA J.

SHISHOMBO MIHALI Saidi

[14/1, 09:21]

Graphèle Paluku Atoka Uwekomu:

Wow !
Que se passe-t-il à Bunia et à Mambassa ?
Pas un seul de nos frères bira à Bunia, mais pourquoi, encore et toujours des allochtones ?
Mambassa : que font les autres lese et pourquoi ?

1. Rentrons chez nous, auprès de nos peuples abuses, développer nos villages, nos localités, nos villes.

2. Hissons les niveaux d’instructions, de formation et d’éducation des autochtones aussi, pour barrer la route à la colonisation, à l’esclavage, à la spoliation de nos moeurs, à la haine intertribale ; et ouvrir le chemin de l’unité coopérative, de la paix, du progrès, de la base !

C’est le combat d’Atuka (Atoka) le patriarche défunt que nous avons rejoint en 1976 et que nous invitons les ituriens à rejoindre au plus vite pour contaminer le reste de la RDC qui compte encore et de plus belle sur la République assassine !

Lundi 16 avril


Une quarantaine de personnes seraient encore tuées en Ituri cette semaine.
Cetains, trouvent encore utile d’inviter, de convier la population iturienne à une descente dans les rues : pour protester, dénoncer la CODECO, semeuse de la désolation et le gouvernement, complice de la CODECO, selon la pensée des hôtes de la manifestation.

Qui en veut à l'Ituri et pourquoi ? Comment, quand et pourquoi en finir avec l'insécurité dans la région ?
Qui nous écoutera là-dessus ?

Nous l'avions déjà dit et répété : la solution au problème iturien sera iturienne et ne viendra pas d'ailleurs !

[15/4, 22:22] QUICONQUE NE SERA PAS DANS LA RUE SERA TRAITE COMME LE TUEUR DES ITURIENS DIXIT


[16/4, 18:14] Un peuple a les chefs qu’il mérite.
Si nous sommes manipulables, c’est que nous ne nous aimons pas assez. Si nos administrateurs nous trahissent, c’est que nous élisons des hommes véreux à la tête de nos institutions.
Si Dieu n’écoute pas nos prières depuis l’esclavage arabe jusque aujourd’hui en passant par la colonisation européenne, c’est parce que nous sommes des sous-hommes.
Nous passons notre temps à adorer la créature plutôt que le Créateur.
Nos orgies des dimanches ne sont pas des cultes rendus à Dieu ; mais à Satan et ses suppôts humains. Sinon, pourquoi sommes-nous divisés, égocentristes, tout le temps dans la confusion, ennemis des enfants et prohètes de Dieu ?

Certains mourront encore pour l’or iturien.


URGENT ! URGENT ! URGENT

UN INCIDENT MORTEL POURRAIT SE PRODUIRE DANS LA LOCALITÉ DE NIANIA EN ITURI, ENTRE LA POPULATION LOCALE ET DES GENS SE RÉCLAMANT MEMBRES DE LA FAMILLE DE FELIX TSHISEKEDI VENUS CHERCHER DE L’OR

Faisant suite à ma dénonciation d’hier, concernant la présence des individus se réclamant appartenir à la famille de Felix Tshisekedi venus chercher de l’or dans la localité de Niania située à plus de 400km de Bunia dans le territoire de Mambasa, une tension est perceptible au sein de la population locale.

Je venais de recevoir les alertes venant de la part de plusieurs acteurs sociaux de la place, qui font état d’un mécontentement généralisé des habitants de Niania et qui pourrait déboucher à un soulèvement.

La population s’est réveillée un matin et a vu débarquer des personnes escortées par des militaires FARDC lourdement armés, pour amasser de l’or, pourtant cette localité très reculée manque de tout. Pas de route, pas d’eau, pas d’électricité, pas d’infrastructures sociales de base.

En effet, après le départ de Monsieur Thierry Tshisekedi, présenté comme un frère cadet de Monsieur Felix Tshisekedi, qui a emporté une quantité suffisante d’or à bord d’un avion de la compagnie Ituri Airlines ayant réussi à atterrir sur une petite piste située à une vingtaine de kilomètres de Niania centre, c’est un autre, nommé Joel Tshisekedi, également présenté comme cousin de Félix Tshisekedi, qui y règne présentement en Maître absolu.

Ce dernier est aidé par un certain Aimé Teza, un autre Monsieur dont le nom est plusieurs fois cité dans tous les dossiers sales liés à l’exploitation illicite d’or dans la réserve de faune à Okapis.
Je vais revenir sur toutes les magouilles dans lesquelles ce Monsieur Aimé Teza est mêlé dans ma prochaine publication.

Escorté par des militaires de la Garde Républicaine, ainsi que ceux de la garde rapprochée de Monsieur Luboya Nkashama, animateur de l’état de siège en Ituri, Monsieur Joel Tshisekedi a pris d’assaut lui aussi le carré minier appartenant à l’exploitant Aumba et c’est lui qui est entrain d’amasser de l’or, pendant que le propriétaire n’a que ses yeux pour pleurer.

D’ailleurs l’un des collaborateurs de Monsieur Aumba, exploitant et propriétaire du site où l’or est entrain d’être emporté, du nom de Akandabo Jean-Marie, est déjà en clandestinité, menacé d’arrestation par ces mêmes prétendus membres de la famille de Félix Tshisekedi .

Je voudrais rappeler ici que le simple fait d’être membre de la famille de Félix Tshisekedi ne constitue pas un privilège pour violer toutes les lois du pays qui protègent notamment la propriété privée, ou celles qui réglementent l’exploitation des minerais en RDC.

Surtout, l’utilisation des militaires FARDC dans l’exploitation des minerais étant strictement prohibée, j’invite Monsieur Felix Tshisekedi à vite rappeler à l’ordre les membres de sa famille biologique, l’Ituri n’est pas et ne sera jamais un héritage de leur famille.

Est-ce qu’en 4 ans de pouvoir, Felix Tshisekedi a déjà réalisé un seul projet de développement dans cette partie du pays ?
Même la construction d’un hôpital moderne à Mambasa, qui était prévu au programme 100 jours, n’a existé que dans l’imaginaire de Felix Tshisekedi alors que l’argent avait été débloqué et détourné.

J’invite également Monsieur Tshisekedi à nous débarrasser de son frère de tribu qu’il nous a imposé dans notre province, Monsieur Luboya Nkashama Johnny qui en fait, ne s’est pas comporté comme général d’une armée, mais comme exploitant artisanal d’or, à la recherche d’argent.

Ce Monsieur en plus de 20 mois de présence en Ituri, n’a mené aucune opération militaire d’envergure contre les groupes armés.

Il est toujours enfermé dans un bureau climatisé, il ne va jamais là où ça tire, l’unique chose qui l’intéresse, ce sont les minerais, les recettes provinciales et les douanes.

Je peux assurer Monsieur Felix Tshisekedi qu’en réalité son meilleur adversaire politique actuel pour ce qui concerne l’Ituri et le Nord Kivu, ce n’est pas nous l’opposition, ce n’est pas Lamuka.
C’est son propre état de siège de pacotille, perçu depuis 20 mois aujourd’hui, comme un fardeau devenu trop lourd à porter, car il maintient inutilement la population de ces deux provinces dans une terreur militaire pour le moins insupportable !

Luc Malembe
Acteur Politique

L’Ituri et le Nord-Kivu ont choisi le suicide, encore une fois !


En acceptant de demeurer congolais, les deux provinces colonisés et esclavagisés de l’Ituri et du Nord-Kivu, comme depuis la traite des esclaves, ont encore une fois choisi la colonisation et l’esclavage congolais – cette fois-ci.

L’humiliation de nos peuples n’a pas encore eu gzin de cause sur notre moutonnerie. Quand et comment aurons-nous 250 parlementaires pour la paix en Ituri ?

L’état de siège prolongé pour la 34ème fois

Kavunga Jean Baptiste
Oct 14

Les députés nationaux ont voté ce jeudi 13 octobre 2022, la prorogation de l’état de siège pour la 34ème fois, dans les provinces de l’Ituri et du Nord-Kivu, en proie à l’insécurité causée par des groupes armés étrangers et locaux.

Ce vote s’est déroulé sans débat après la motion de procédure du député national Prosper Bukasa, qui a appelé ses collègues à éviter toutes les discussions publiques sur des questions hautement sécuritaires.
Sur 386 élus présents dans la salle de congrès de l’hémicycle du palais du peuple, 383 ont voté pour cette prolongation.

C’est la ministre de la justice Rose Mutombo qui a présenté ce projet du gouvernement devant les élus du peuple.
La Rédaction

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http://ahdignity.org/2022/10/14/letat-de-siege-prolonge-pour-la-34eme-fois/
[14/10, 08:40] G. Paluku Atoka Uwekomu: Avec ce vote à l’appui,  comment pouvons nous dire que le gouvernement irresponsable ne soit pas soutenu par nous,  peuple congolais ?

Si nous, de l’Ituri et du Nord-Kivu ne comprennons pas que nous sommes colonisés et esclavagisés par nous-mêmes et par les hommes qui trônent à Kinshasa ; et non pas par ceux qui nous domineraient de Kigali, alors nous n’avons qu’à nous en prendre à nos propres niaiserie, étourderie, complaisance… Elles durent depuis l’esclavage arabe jusqu’à celui de nos compatriotes congolais.

Lokana de Poste n’est plus ?


[29/9, 09:17] Héritier Ba’ndoni: Lokana de poste, artiste de la ville de Bunia dans une émission en 2020…

La circonstance de sa mort dans cet audio.

« Le jour de ma mort, que penserai je de mes musiques, de théâtres… »

Il y a plein de chansons où il a même prêché : notamment  » Yesu Pomba » chanté en 2019.

Nos condoléances les plus attristées à la famille éplorée.

Ituri : le ton monte.


Bien qu’avec plus de 18 ans en retard, les ituriens commencent à comprendre qu’ils soient la cibles de plusieurs acteurs politico-militaires assoiffés de leur or.

L’article ci-dessous, discute quelques points saillants qui montrent la complicité du pouvoir kinois dans ce qui se passe en Ituri.

Le silence marqué par les parlementaires et les administratifs, de l’Ituri comme ceux de l’extérieur de l’Ituri, montre bien que la province se dépérit et que la solidarité et l’unité nationales n’existent pas. Que faire ?

Nous avions proposé aux ituriens, à tout l’Est, l’autonomie, l’indépendance et l’interpellation de l’Ouest, par une balkanisation stratégique même. Personne ne nous avait suivi. La situation sécuritaire ne fait que s’aggraver ; des étrangers sont de plus en plus associés au pillage de l’Ituri et à l’extermination de sa population. La réaction de notre population n’est pas appropriée : cette dernière verse dans le banditisme et le tribalisme qui aggrave la situation et ajoute à notre ignominie.

Le projet 2014, qui propose une démarche humaniste et démocratique n’est pas connu est raillé depuis 23 ans. Pourtant, les faits, sur terrain nous donne à chaque fois raison : le pays s’enlise, se délabre, pendant que certains s’enrichissent énormément, abreuvés du sang des congolais. Pourquoi et comment ? Lisez la livraison de notre compatriote ci-après.

CHERS ITURIENS, LA SITUATION RISQUE DE DEVENIR INCONTRÔLÉE, BUNIA NOTRE VILLE EST VRAIMENT EN DANGER, MONSIEUR LUBOYA NE CONTROLE PLUS RIEN, IL EST TOTALEMENT DÉPASSÉ PAR LES ÉVÉNEMENTS

La province de l’Ituri est jetée dans le chaos total, une véritable situation de « Non Etat » s’est installée depuis que l’état de siège a été déclaré et qu’un général incompétent et visiblement sans parcours militaire requis a été mis à sa tête.

Ce qui se passe sur le terrain au moment où j’écris, c’est que la province est totalement abandonnée entre les mains des groupes armés qui se combattent pour le contrôle des sites miniers, principalement dans les territoires de Djugu, Irumu et Mambasa.

Ceci devant un prétendu état de siège totalement dépassé, incapable de mener une seule opération militaire d’envergure pouvant inquiéter les groupes armés.

Dans ces 3 territoires à problème, le Général Luboya n’y a presque jamais mis ses pieds depuis 16 mois qu’il est en Ituri, personne ne sait il a peur de quoi.
Il n’a jamais été à Mungwalu, cité minière qui a été de nouveau attaquée le week-end dernier par des miliciens de Codeco, faisant une trentaine de morts.

Il n’a jamais été à Luna à la frontière avec le Nord Kivu où la route nationale numéro 04 qui va de Beni à Kisangani en passant par l’Ituri, est totalement abandonnée sous le contrôle des ADF sur une distance de plus de 200km où ils ont rasé village par village, tuant les habitants et forçant les autres à fuir.

Cette route était pourtant totalement praticable et le traffic était intense avant l’état du siège.

Pour ce qui est de Bunia chef-lieu de l’Ituri, la ville est totalement assiégée. Côté sud, au quartier Lengabo à seulement 5km du centre ville, on note une présence injustifiée des miliciens FPIC depuis plus d’un mois, visiblement à la demande des animateurs de l’état de siège car rien n’a été fait pour les déloger. Pour quelle fin? Personne ne le sait.
Cependant, dans leurs affrontements avec ceux de la FRPI, ces derniers menacent de venir à Bunia pour les déloger, ce qui met la sécurité de la ville en grand danger.

Côté Est, on apprend la résurgence de l’ALC une faction de Codeco conduite par un certain « Petit Loup de la montagne », qui avait signé une incursion spectaculaire en septembre 2020 dans la ville de Bunia mais qui avait été totalement anéanti à l’époque par l’armée. Devant le laxisme de l’état de siège, les informations qui nous parviennent des habitants de Ezekere à une dizaine de Kilomètres de Bunia indiquent qu’il est entrain de se réorganiser.

La même situation s’observe du côté Nord de la ville où les positions de Codeco et FPIC ne sont pas pas assez loin.

Comme élément nouveau, maintenant les groupes armés Codeco, FPIC, FRPI et Zaïre, que l’état de siège était sensé venir combattre, sont entrain d’être montés les uns contre les autres, l’objectif est d’embraser totalement l’Ituri pour justifier le maintien indéfini de cet état de siège qui permet aux militaires de s’enrichir de manière illicite.

C’est ce qui explique les affrontements en cours entre la FRPI et FPIC à Irumu, deux milices qui pourtant étaient alliées mais qui ont été opposées pour se combattre et ce sont les populations qui payent le prix. Pendant que les deux groupes armés se battent depuis bientôt un mois, l’armée supposée en état de siège, les observe sans rien faire.

C’est la même situation à Djugu où Codeco et Zaïre, qui étaient des milices ennemies, ne s’étaient pourtant jamais affrontées de manière ouverte comme c’est le cas actuellement pour le contrôle des sites d’exploitation artisanale d’or.

L’état de siège qui était sensé être une période exceptionnelle, s’est vite transformé en une période anormale, un véritable Non État.

Le Général Luboya Nkashama et son équipe à ce jour ne protègent plus personne, à part eux-mêmes. Unique chose qui les intéresse, les affaires.

Ils sont dans les mines, dans les douanes, dans les recettes de la province. Depuis leur arrivée, les opérations militaires ont été reléguées au dernier plan, nous ne sommes même pas au courant d’une seule opération d’envergure menée par eux depuis 16 mois, ce qui fait qu’ils n’ont anéanti ni même inquiété un seul groupe armé.

Dans cette condition, il est difficile de s’expliquer pourquoi Monsieur Félix Tshisekedi tient coûte que coûte à maintenir cet état de siège qui le discrédite totalement au sein de la population de l’Ituri. Est-ce que le plan c’est d’embraser l’Ituri, y installer à dessein un chaos, afin de justifier sa non participation aux élections ? Si c’est le cas, je peux promettre à Monsieur Tshisekedi qu’il n’y aura pas élections au Congo sans l’Ituri et le Nord Kivu.

Nous combattrons toute forme de balkanisation de notre pays, y compris la balkanisation politique.

Luc Malembe
Acteur Politique

Quel sort se réservent les ituriens ?


[2/9, 05:52] DJ

Ituri : « Les éléments du groupe d’autodéfense ne sont pas uniquement des Hema. Ils sont aussi Alur, Nyali, Mambisa, Ndo-Okebu, etc.. Ils sont prêts à deposer les armes » (Président de l’association culturelle ENTE)

En un clic, suivez la vidéo sur INTERFACE TV et n’oubliez pas de vous abonner. https://youtu.be/fd5H7_w_kAU

[2/9, 16:12] GPAU

Si tout cela est sincère et véritable, le groupe d’autodéfense se montre niais, quant à lui, en acceptant de rendre ses armes à nos bourreaux, nous ituriens.

Une meilleure proposition serait que chaque membre du groupe demande d’avoir un permis de port d’arme, parce que les FARDC sont commis par Kinshasa à la colonisation, au génocide et au pillage des ressources ituriennes.
C’est dommage que nous investissions toujours mal, depuis 1960 !

Des hommes ou de leurs faits ?


Ci-dessous, repris tel que reçu, un texte qui nous parvient de l’Ituri et qui montre que le torchon brûle, dans mon terroir…

Si l’Ituri ne se décide pas de se désencombrer, notre condition s’empira, nous mourrons encore et toujours, sous l’inutile état d’urgence. Que manque-t-il à l’Ituri aujourd’hui pour son indépendance politique, économique, culturelle, administrative, industrielle et autre ?

L’amour de la province ! Sans celui-ci, le travail collaboratif entre iturien souffre de la traîtrise qui profite à un gouvernorat de colonisation, d’esclavagisme et de pillage ; auquel participent moult ituriens en quête de tranquillité, d’enrichissement personnels, au mépris du développement iturien.

La division, l’absence d’un projet provincial, la dépendance des humeurs et des caprices kinois, pour le temps que nous le voudrons, nous, ituriens, profiteront aux larons ; le temps que la prise de conscience et le civisme ituriens prennent le dessus ! Cela prendra un temps : quelques années, très probablement. En effet, une autre guerre incidieuse a lieux en Ituri : livrée par le peuple contre son gouverneur !

Lisez la livraison WhatsApp ci-après.

Les péchés du chef Kawa
sont :

  • Dénoncer l’incompétence de M. Luboya.
    Le chef Kawa a accusé Luboya chez le [auprès du] Président Tshisekedi.
  • Ne pas faire d’éloges à M. Luboya comme[, contrairement à ce que font] d’autres le font.
    Par exemple, Papa [M.] Bungishabaku, qui était même arrêté avec mon vieux [M.] Kavarios, pour l’histoire de la création de [du] FPIC [;] aujourd’hui[,] l’histoire est finie [s’est soldé] en queue de poisson.

Si [Lorsque] un notable iturien dénonce ce qui se passe réellement en Ituri et ne soutient pas [M.] Luboya il sera [est] toujours accusé [faussement ou calomnié] même avec des faussetés.

Nous avons vécu son [le] théâtre [de ce dernier] avec le nom de mon [du] gouverneur Bamanisa.
Toutes les accusations [portées contre le gouverneur] n’étaient que du buzz créé par M. Luboya ; et étaient [qui s’est] même [terminé] finies en queue de poisson.
Parce que c’étaient [ce n’était qu’un mensonge] que du buzz pour salir [le nom du] mon gouverneur Bamanisa.

M. Luboya, par jalousie et mauvaise foi, n’a jamais digéré la présence de la task force ; parce qu’il était mis à nu pour son incompétence [dans sa] par cette mission. Il a [de] même accusé sans preuve papa [M.] Lubanga d’être créateur du Zaïre, [auprès du] chez le Président de la République ; et, [il] a fait tout pour que la task force ne rencontre pas le Président.

Il s’est permis même de menacer le vice-ministre des affaires étrangères,
M. Samy Adubango. Ce vieux veut quoi au juste ? [Que recherche, en réalité, Monsieur le gouverneur ?]

Il doit arrêter de blaguer avec nos notables.
Nous ne sommes pas des idiots.

LB3 TATE GERERO

Ituri : fungula macho !


1. Évitez les rencontres en présentiel. C’est le moment que les mouchards vous empoisonnent, vous tuent à petit feu, profitant de vos distrations et niaiserie. Préférer les réunions en ligne, téléphoniques. Celui qui vous mettra sur table d’écoute ne gagnera rien si vous parlez de notre devenir, sans volonté de nuir à personne…

2. Ne soyez soumis qu’au Père et ne vous laissez subjuguer par personne. Les injonctions mal placées que vous suivez font notre faiblesse devant les suppôts de Satan qui renforcent alors leur domination sur nous… Résister à Satan le fait fuir, selon les Écritures et cela est mon expérience personnelle.

3. N’allez plus plus aux réunions sans ordre du jour ni improvisées : vous y perdriez votre temps ou votre vie précieux . Elles sont le fait de l’immaturité ou de la précipitation qui va à l’encontre de l’excellence chère à nos aïeux…

Ci-dessous une démonstration de la moutonnerie iturienne.

COMMUNIQUÉ D’URGENCE

Très chers frères et sœurs, leaders et membres des conseils provinciaux, urbains, communaux et locaux. Très chers coordonnateurs des associations et mouvements de jeunes, présidents des taximans et motards, présidents des jeunes des communautés : bonsoir !
Une réunion d’urgence est prévue [organisée] à votre intention pour demain, mercredi, de 7h00 à 8h00, dans la salle des jeunes CAP-MAP.
Sur ce, vous êtes conviés à participer physiquement [dans] à ladite rencontre.

Ordre du jour :

La situation sécuritaire et diplomatique de l’Est de la RDC, cas de l’Ituri : enjeux, défis et perspectives.

NB.

Vu l’importance de cette rencontre pour [l’intérêt de] notre chère province, aucune absence ne sera tolérée [Indice de la dictature, de la domination, de la colonisation].
Qu’on se le communique [Amateurisme politique].

Ambassadeur Gentil KANIKI ABIANDROA

Président du Conseil Provincial de la Jeunesse de l’ITURI.

Ce qui est important se prépare dans le calme et le respect et non pas dans la précipitation ni dans l’irrespect !

Pour travailler vite et bien, l’ordre du jour ne doit pas se contenter d’indiquer le thème, mais aussi les questions initiales ou définitives auxquelles les personnes réunies rechercherons des réponses ou les problèmes auxquels la réunion devra apporter des solutions. Cette façon de faire permet d’éviter les discussions oiseuses et bien de distracteurs, de divagations.

Il convient aussi de bien sassurer que tous nos frères ituriens soient former au travail en groupe. Il est en effet connu des animateurs de réunions que travailler en groupe avec des personnes non former pour ce type de travail, c’est gaspiller du temps et de l’énergie et risquer de démotiver des personnes qui au départ sont très engagés…