Nous tuons le poussin dans l’œuf !


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Ces analyses contiennent des erreurs : le Président de la République n’est pas un patriote, il joue au colonisateur, à l’esclavagiste, au cupide en nous appauvrissant, en faissant mourrir comme des charognes.

Sa proposition, son projet de société paternaliste n’est pas ce qu’il nous faut. Sa logique sa méthode, au relent du MPR, est ce qui a mis, ce qui a mené le pays à l’insécurité que nous vivons : nous prendre pour ses esclaves, pour sa chose.

Ce n’est pas qu’il ne voie pas tout cela : il réfléchit pour l’hégémonie luba, comme il l’a toujours dit lui-même !

Si donc, nous ne savons pas discerner un tel ennemi de l’Est, comme du reste du pays, nous continuerons à mourir comme des charognes !

L’Est n’a plus d’amis et l’Occident a compris ce qui est : nous ne comprenons pas la valeur de l’humanisme ni de l’humanité. Nous confondons amis, partenaires, colonisateurs et esclavagistes ; parce que nous refusons de prendre le temps de nous asseoir, pour réfléchir et décider de travailler ensemble notre développement. Nous demandons secours auprès de nos ennemis, nous rejetons ceux qui voudraient nous aider ; à cause de :

  1. La paresse.
  2. Le complexe d’infériorité.
  3. Le racisme anti-blanc.
  4. La rancune coloniale.
  5. La fausse mysticité.
  6. L’égoïsme légendaire.
  7. Les velléités hégémoniques.
  8. Etc.

Nous donnons l’impression de croire à la nation, d’aimer notre nation ; mais dans les faits, nous la tuons dans l’œuf, de nos propres mains, ce pays à naître !

Des hommes ou de leurs faits ?


Ci-dessous, repris tel que reçu, un texte qui nous parvient de l’Ituri et qui montre que le torchon brûle, dans mon terroir…

Si l’Ituri ne se décide pas de se désencombrer, notre condition s’empira, nous mourrons encore et toujours, sous l’inutile état d’urgence. Que manque-t-il à l’Ituri aujourd’hui pour son indépendance politique, économique, culturelle, administrative, industrielle et autre ?

L’amour de la province ! Sans celui-ci, le travail collaboratif entre iturien souffre de la traîtrise qui profite à un gouvernorat de colonisation, d’esclavagisme et de pillage ; auquel participent moult ituriens en quête de tranquillité, d’enrichissement personnels, au mépris du développement iturien.

La division, l’absence d’un projet provincial, la dépendance des humeurs et des caprices kinois, pour le temps que nous le voudrons, nous, ituriens, profiteront aux larons ; le temps que la prise de conscience et le civisme ituriens prennent le dessus ! Cela prendra un temps : quelques années, très probablement. En effet, une autre guerre incidieuse a lieux en Ituri : livrée par le peuple contre son gouverneur !

Lisez la livraison WhatsApp ci-après.

Les péchés du chef Kawa
sont :

  • Dénoncer l’incompétence de M. Luboya.
    Le chef Kawa a accusé Luboya chez le [auprès du] Président Tshisekedi.
  • Ne pas faire d’éloges à M. Luboya comme[, contrairement à ce que font] d’autres le font.
    Par exemple, Papa [M.] Bungishabaku, qui était même arrêté avec mon vieux [M.] Kavarios, pour l’histoire de la création de [du] FPIC [;] aujourd’hui[,] l’histoire est finie [s’est soldé] en queue de poisson.

Si [Lorsque] un notable iturien dénonce ce qui se passe réellement en Ituri et ne soutient pas [M.] Luboya il sera [est] toujours accusé [faussement ou calomnié] même avec des faussetés.

Nous avons vécu son [le] théâtre [de ce dernier] avec le nom de mon [du] gouverneur Bamanisa.
Toutes les accusations [portées contre le gouverneur] n’étaient que du buzz créé par M. Luboya ; et étaient [qui s’est] même [terminé] finies en queue de poisson.
Parce que c’étaient [ce n’était qu’un mensonge] que du buzz pour salir [le nom du] mon gouverneur Bamanisa.

M. Luboya, par jalousie et mauvaise foi, n’a jamais digéré la présence de la task force ; parce qu’il était mis à nu pour son incompétence [dans sa] par cette mission. Il a [de] même accusé sans preuve papa [M.] Lubanga d’être créateur du Zaïre, [auprès du] chez le Président de la République ; et, [il] a fait tout pour que la task force ne rencontre pas le Président.

Il s’est permis même de menacer le vice-ministre des affaires étrangères,
M. Samy Adubango. Ce vieux veut quoi au juste ? [Que recherche, en réalité, Monsieur le gouverneur ?]

Il doit arrêter de blaguer avec nos notables.
Nous ne sommes pas des idiots.

LB3 TATE GERERO

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