Agences d’emplois racistes !


[6/1, 20:07] PLT

S’il vous plaît, lorsque vous recevez cette vidéo, transmettez-la. Partagez-le le plus largement possible !

Il existe actuellement de fausses agences de Chine, de Corée, du Japon et d’autres régions d’Asie ouvertes au Nigeria, au Ghana et dans d’autres pays africains, qui promettent des emplois (domestiques, comme le ménage, la garde d’enfants, etc.). Cependant, à votre arrivée, ils vous transforment en quelque chose de moins qu’humain. Assassiner notre peuple, en particulier les filles, pour leurs reins, leur cœur et leur foie. La plupart du temps, nos propres frères et sœurs africains sont impliqués dans le trafic d’êtres humains vers Dubaï, le Caire, en particulier la Libye, l’Égypte et le Liban.

Ils prépareront vos documents de voyage et tout ; quand vous y arriverez, ce sera votre enfer et la fin de votre vie. La vidéo qui l’accompagne a été enregistrée secrètement par un passant qui n’était pas au courant de ces coupables et la vidéo dit tout. La vie que vous sauvez en la faisant circuler pourrait être celle de vos proches.

Merci.


[1/6/2024, 22:14]

GPAU

J’ai participé à la délivrance d’une congolaise du Koweit : graduée, elle est devenue esclave là-bas !
Cette naïveté est due au fait que nous n’éduquons pas nos femmes, nos filles ; nous ne les protégeons pas ; attendant que d’autres s’occuoent d’eux : les intruisent, les forment, les éduquent !


[1/6/2024, 22:16] PLT

C’est plutôt très triste, la vidéo, fait la honte pour nos autorités d’Afrique.

Nos jeunes, n’ayant pas d’avenir, ils ou elles se font enregistrer dans les agences asiatiques qui leur promettent les emplois domestiques et à leur arrivée dans le pays d’accueil, on les tue pour leur prendre les organes comme les reins et autres.
Nos jeunes n’ont pas de perspectives d’avenir chez nous, malgré nos richesses minières.


[6/1, 22:19] PLT

Pas de jérémiades, frère! Investissons chez nous, dans les jeunes sérieux.

Je cherche des gestionnaires pour ouvrir jusqu’à 400 centres de formation totalement congolais à Kinshasa. Personne n’est disponible pour piloter le projet qui offrira près de 6000 emplois qui offriront des collations de plus de 450 €/mois, pour 5 jours/semaine à 8 heures/jour de travail. Le Projet sera totalement financer par les apprenants.

La santé et le social en un !


[01/02 à 07:34] M. John Baptist Kavunga Mbusa

L’extrait du jeune actuel Premier Ministre Français


[01/02 à 11:41] G. Paluku Atoka Uwekomu

JB,
Que propose-tu pour l’accès aux soins pour tous en RDC ?
La manière d’organiser et de financer cet accès.

Nous proposons depuis belle lurette une solution globale, chrétienne, capitaliste, démocratique et humaniste. Je parie que l’UE et le Rwanda nous suivront avant les Congolais.

  1. L’obligation de travail pour tous, dès 25 ans.
  2. Un salaire minimum égale à au moins le minimum vital et un salaire maximal au plus égale à 5 fois le minimum vital.
  3. L’impôt au taux unique estimé à 57% sur tous les revenus.
  4. Une assurance accident, maladie, invalidité de base pour tous et à vie.

Cette solution résoud la question de la santé pour tous, charge tous les travailleurs de la même manière pour le financement.

C’est aussi une réponse à la question de l’injustice sociale et à celle de la pauvreté.

Obligation scolaire et professionnelle…


Nos parlementaires doivent être titillés. Ils doivent être commandés pour déposer une loi qui rende obligatoire les études pour nos enfants de la RDC jusqu’à l’âge de 24 ans. Cela, dans le but de nous mettre rapidement en avance par rapport aux autres nations qui vieillissent politiquement, culturellement et stratégiquement parlant. Ces pays perdent en vitesse dans le développement spirituel, intellectuel, culturel, scientifique, industriel, technologique, social.

Jusqu’à présent, nos dirigeants ont majoritairement été des jeunes. Sans instruction, sans formation et sans éducation suffisantes, ils ont abîmé le pays hérité de la fausse indépendance proposée par le MNC. Et pour ne pas avoir une opposition forte à leurs régimes fantoches, le MPR, l’AFDL, le PPRD et l’UDPS maintiennent la population dans l’ignorance des lois qui président au fonctionnement du monde visible et invisible. Pour se faire, ils détruisent, chaque jour qui passe, le tissu de notre enseignement. Pour sauver notre nation, nous avons proposé pour notre enseignement : 1° l’obligation scolaire jusque 24 ans, 2° la séparation de la fonction enseignante et de la fonction évaluative des acquis et 3° la quadrimestrialisation de l’enseignement à tous les niveaux : celui dit préscolaire, le primaire, le secondaire, le supérieur, l’universitaire et le post-universitaire.

Jusqu’à présent, personne ne nous suit. Les pouvoirs qui se succèdent à Kinshasa continuent à profiter de la démission des parents qui bien souvent, hélas, n’aiment leurs enfants que du bout des lèvres. Le peuple s’abrutit, la nation en pâtit, les ennemis du Congo en profite pour piller et décimer nos peuples. La gente congolaise risque donc un jour de disparaître, comme le prédit plus ou moins Kwebe Kimpele, cet autre prophète qui prêche dans le désert.

« Dans le système éducatif de la République Démocratique du Congo, la scolarité est obligatoire pendant 6 ans1. [C’est donc une obligation scolaire jusqu’à 12 ans, dans un pays sous-développé à bien sous plusieurs plans !] Cela correspond généralement à l’enseignement primaire. Cependant, il est important de noter que l’application de cette obligation peut varier en fonction de divers facteurs, y compris les ressources disponibles et les conditions locales [Presque nulle part dans le pays, les parents ne sont poursuivis ! Beaucoup d’enfants errent dans les rues et dans les cours des parcelles toutes les journées, sans que les communes ne demandent de comptes aux parents défaillants.]. Pour des informations plus précises et à jour, je vous recommande de consulter les dernières publications du Ministère de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique de la République Démocratique du Congo ou d’autres sources officielles. » Copilot, Microsoft, ce dimanche 21 janvier 2024, 18:20.

Qu’est-il dit de l’application de la loi en cette matière ? Pourquoi plusieurs enfants sont-ils dans les rues ou en situation d’esclaves dans les maisons d’inciviques ? Qui est responsable de cette situation ? Comment le gouvernement congolais de la RDC contrôle-t-il l’application de l’obligation scolaire jusqu’à l’âge de 12 ans et que fait-il des enfants mineurs entre 12 ans et 18 ans ?

« Le contrôle de l’obligation scolaire en République Démocratique du Congo est assuré par plusieurs mécanismes. Voici quelques-uns des principaux mécanismes de contrôle :

  1. Contrôle de l’inscription scolaire des mineurs : Une cellule spécifique est chargée de vérifier que les mineurs bénéficient bien d’une instruction1. Elle vérifie que chaque enfant est inscrit dans une des filières d’enseignement1. Lorsqu’aucune information n’est trouvée sur la manière dont est instruit un mineur, le service prend alors contact avec les parents ou la personne investie de l’autorité parentale1.
  2. Contrôle des salaires des enseignants : Un audit approfondi a porté sur les salaires des enseignants dans les provinces concernées par le projet2. Ces résultats ont fait l’objet d’un contrôle par un organisme indépendant2.
  3. Contrôle de l’achat des manuels scolaires : L’achat des manuels scolaires revient en priorité aux écoles qui le font sous le contrôle et la responsabilité de leurs gestionnaires respectifs, et en concertation permanente avec les parents d’élèves3.

Cependant, il est important de noter que l’application de ces contrôles peut varier en fonction de divers facteurs, y compris les ressources disponibles et les conditions locales. Pour des informations plus précises et à jour, je vous recommande de consulter les dernières publications du Ministère de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique de la République Démocratique du Congo ou d’autres sources officielles. » Copilot, Microsoft, ce dimanche 21 janvier 2024. » Copilot, Microsoft, ce dimanche 21 janvier 2024 à 21:57.

Nous savons très bien que l’esclavagisme, la colonisation, la dictature et le sabotage de l’enseignement, contribuent à accroître l’insécurité dans le pays. Ils contribuent aussi à retarder la prospérité de la majorité et à nous plonger dans l’ignominie, dans le grand déshonneur et dans l’indignité extrême dans lesquelles nous vivons aujourd’hui, partout où nous sommes. Ces maux qui continuent au Congo, qui y sont entretenus par des esclavagistes, des colonialistes et des dictateurs étrangers et nationaux nous poursuivront jusqu’au jour nous nous léverons tous pour dire : « ASSEZ de nous prendre pour ses sous-hommes ! »

Pour proposer et ne pas nous contenter de la critique facile, nous proposons des voies et moyens pour nous sortir de l’auberge.

  1. Dissolution inconditionelle de la CENI pour responsabiliser l’adminidtration publique.
  2. Salaire minimum garanti à tous les plus de 24 ans et ce minimum supérieur au minimum vital ; obligation de travail pour eux tous – ces plus de 24 ans, y compris les handicapés. Mise au travail, par l’administration locale, de ceux qui ne trouvent pas du travail ou de citoyens qui n’arrivent pas à créer du travail par eux-mêmes dans les 12 mois.
  3. Salaire maximum inférieur ou égal à 5 fois le minimum vital, dans le secteur public.
  4. Obligation scolaire jusque 24 ans pour tous les enfants.
  5. Trois ans maximum de moratoire pour chaque travailleur sans qualification validée par l’État, électroniquement, pour se qualifier dans son domaine par une formation à horaire décalé.
  6. Cinq ans maximum de sursis pour chaque administration locale pour adjoindre l’eau potable et l’électicité dans chaque maison de ménage et chaque installation d’entreprise, à ses frais – l’admonistration locale, moyenant des crédits bancaires, qui couvrent les rénovations indispensbles.

Une attaque…


Le chômage bat son plein dans notre pays. Mais en même temps, ceux qui sont au travail sont, pour la plupart, sous qualifiés ou sans qualification. C’est ainsi que nos corps de métiers, nos agriculteurs, nos éleveurs et nos pêcheurs sont souvent des personnes sans instructions conventionnelles, sans qualifications reconnues, sans une éducation validée ou validable par la collectivité. Notre compétitivité en souffre, en souffrira encore longtemps, dès lors que l’UDPS rate sa coche.

Au niveau local, notre devoir est d’analyser ce fléau sérieusement, pour pouvoir apporter des solutions idoines aux problèmes que le chômage pose à notre localité, à notre pays. Le parasitisme, l’exode rurale, la fuite de cerveaux, le haut taux de mortalité, le manque de compétitivité, l’esclavagisme, la colonisation, la promiscuité environnementale et familiale, la faim, la maladie, l’insécurité et le sombre avenir que cela fait présager sont autant de conséquences directes et ineluctables du chômage ; contre lequel le Projet 2014 voudrait davantage engager le gouvernement et toute la population congolaise ; parce notre bonheur passe par notre enrichissement et que ce dernier est impossible sans un travail ardu et intelligent. Comment allons-nous y parvenir ou qu’est-ce qui changera dans notre stratégie ? Qui seront les acteurs ou à qui nous adresserons-nous désormais ? Quel est l’objectif à poursuivre ou quelle est la valeur à défendre ?

La stratégie

En 1999, en lançant le Projet 2014, nous avons compté sur le patriotisme des congolais.  Nous savons depuis que nous nous sommes trompés sur la sincérité de nos compatriotes.
Dans le cadre de l'EAE ASBL, nous avons investis dans plusieurs projets en comptant sur la bonne foi de nos associés et de nos partenaires. Aujourd'hui, nous savons que c'était là aussi méconnaître le pourrissement moral du congolais.
Nous avons pourtant appris.
Primo, il faut compter sur l'expérience et non pas sur des présomptions.
Secundo, il ne faut pas aider, mais plutôt responsabiliser.
C'est la raison pour laquelle nous nous efforcerons de conseiller, d'encourager, de proposer nos enseignements, nos formations et nos services à nos associés et à nos patenaires, en gardant à l'esprit une chose : l'enrichissement du congolais, dans son sens holistique.

La ressource humaine

Contrairement à ce que prétendent nos compatriotes, le pourvoie en ressources non-humaines, au Congo, reste et sera encore pendant longtemps le moindre des soucis.  En revanche, il nous faudra beaucoup de temps pour nous qualifier.  Les hommes capables de concevoir, d'animer et réaliser le développement manquent, faute d'instruction,  de formation et d'éducation. Les signes sont là : la superstition envahissante, l'incompétence grandissante, la traîtrise généralisée, l'esclavagisme, la colonisation et des faits comparables.
L'homme est la ressource au centre du développement : c'est pour lui et par lui que s'opère le développement. De la qualité de l'homme dépend la qualité du développement : extension, niveau, source, finalité...

La vision, la mission, l’objectif

Le bonheur du congolais : n'est-ce pas là l'objectif à poursuivre ?
Un congo développé, Dieu voulant, n'est-ce pas là notre vision du Congo de demain ?
Quelle mission implique cette vision ? Quels sont les objectifs spécifiques ? Ce bonheur, n'est-il pas l'enrichissement total du Congolais, son développement intégral ? La connaissance, la qualification et la moralité ne sont-ce pas là les richesses qui nous manquent ?
S'attaquer au chômage c'est aussi s'attaquer à toutes les formes de pauvreté : l'ignorance, l'incompétence et l'immoralité.

Créateur d’entreprise


Je souhaite être, gracieusement, accompagné par l’EAE ASBL dans ma démarche de création d’une entreprise unipersonnelle ou d’une société qui soit rentable et viable ; et, qui corresponde à mes qualifications, mes compétences, mes expertises ; et éventuellement à celles de mes futurs associés.

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Chercheur d’emploi


Je souhaite être, gracieusement, accompagné par l’EAE ASBL dans ma recherche active d’un emploi bien rémunéré et qui corresponde à mes qualifications, mes compétences, mes expertises.

J’accepte que l’EAE ASBL publie les informations pertinentes de mon curriculum vitae, avec mon accord, à l’attention des employeurs qui recherchent des collaborateurs dans mon (mes) secteur(s) de qualification, compétence ou expertise.

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Chômage à Kinshasa


Voici enfin le résultat brut de notre enquête préliminaire sur le chômage dans la ville de Kinshasa.  Elle succède à une enquête similaire que nous avons commanditée dans la ville de Goma et dont les résultats ont déjà été publiés ici :
http://eae-asbl.blogspot.be/2013/03/le-chomage-goma-notre-enquete.html et
http://eae-asbl.blogspot.be/2013/03/60-chomeurs-de-goma-2-repartition-par.html.

Nos partenaires locaux (Kinshasa et Goma) s’organisent très bien et méritent d’être soutenus par la diaspora congolaise.  Nous collectons nos fonds avec l’ASBL AUPC.  Pour ce projet-ci, indiquez : “Projet Coopératives/Kinshasa” ou “Projet Coopératives/Goma” ou alors “Projet Coopératives” dans votre communication.
(IBAN: BE24 7795 9821 8838 BIC: GKCCBEBB – ASSOCIATION DES AMIS DE L’AUMONERIE UNIVERSITAIRE PROTESTANTE DU CONGO – AUPC ASBL)

Le ton vient donc d’être donné pour la publication régulière des résultats engrangés sur terrain par nos partenaires kinois qui ne manquent de nous annoncer d’autres prouesses pour pas très longtemps.

On notera que tous les 60 chômeurs interrogés sont sans emplois indépendamment de toute leur bonne volonté.  49 s’estiment empêchés de travailler ; parce que le travail est caché par les employeurs (45 enquêtés) ; parce qu’ils manquent de pistons (42 enquêtés) ; 27 pensent que le travail fait défaut – et l’EAE ASBL étudie comment en créer dans les mois à venir ; tandis que 7 pensent que les mauvaises conditions de travail sont un obstacle à le mise à l’emploi.

Chers compatriotes, ces résultats qui viennent de nous parvenir aujourd’hui ressemblent étrangement ceux qui nous sont parvenus de Goma.  Nous commençons donc à nous faire une opinion objective sur les causes du chômage dans notre pays :
1. le manque de civisme : le favoritisme des employeurs ;
2. la carence de travail, faute d’initiative et à cause de l’insécurité des biens et des personnes ;
3. les mauvaises conditions de travail : en l’absence d’une autorité de contrôle et des syndicats digne de ces noms.

Nous espérons bientôt pouvoir, avec le soutien de toutes les forces vives de la nation, et les chômeurs en premiers, pouvoir étendre cette enquête de manière à confirmer ou infirmer ces conclusions préliminaires.

Dans la ville de Kinshasa, nous avons déjà, avec nos 11 protégés, lancer des offres de services.  Nous attendons les premiers résultats dans le mois qui suivent.  La création d’emplois est à l’étude et des possibilités ne manquent, mais les initiatives font encore grandement défaut.  L’EAE ASBL se propose donc d’apporter son plus ; non seulement pour les populations kinoises, mais aussi pour les populations de l’UE à terme.

Faisons remarquer enfin que notre échantillon présent n’est pas représentatif des chômeurs kinois.  La plupart ici ont poussé leurs études très loin (gradués, licenciés).

Tableau 1 : Le pourquoi du chômage à Kinshasa

Numéro

Oui

Non

Total

Je suis au chômage parce que :

     

1.    Je ne veux pas travailler

0

60

60

1.1. Par paresse

0

60

60

1.2. Pour une autre raison

0

60

60

1.3.   Autre.

1

59

60

2.    Je veux travailler, mais

60

0

60

2.1. Je suis empêché de travailler

49

11

60

2.1.1.    Par la maladie

0

60

60

2.1.2.    Par un handicap physique

0

60

60

2.1.2.    Par un handicap mental

0

60

60

2.1.3.    Par les d’études

0

60

60

2.1.4.    Par le manque de moyens nécessaires pour en chercher

9

51

60

2.1.5.    Par le manque de relations, de pistons

42

18

60

2.1.6.    Par les mauvaises conditions de travail

7

53

60

2.1.7.    Autre

1

59

60

2.2. Je ne trouve pas de travail

50

10

60

2.2.1.    Le travail fait défaut

24

36

60

2.2.2.    Le travail est caché

45

15

60

2.2.3.    Autre

1

59

60

2.3. Je trouve du travail mais (le chômage est préférable)

1

59

60

2.3.1.    Le salaire est tout le temps prohibitif

1

59

60

2.3.2.    Les conditions de travail sont tout le temps mauvaises

1

59

60

2.3.3.    Le travail ne correspond pas à ma qualification, à chaque coup

1

59

60

2.3.4.    J’échoue toujours aux tests d’embauche

2

58

60

2.3.5.    Autre

0

60

60

3.    Je ne songe pas à travailler

0

60

60

3.1. Je n’y ai jamais pensé

0

60

60

3.2. On ne m’a jamais parlé du travail

0

60

60

3.3. Je n’en vois pas l’intérêt

0

60

60

3.4. Je n’ai pas besoin du travail

0

60

60

3.5.   Autre

0

60

60

4.    Autre ..

0

60

60

4.1. Spécifier :

0

60

60

4.2. Spécifier :

0

60

60

4.3. Autre

0

60

60

 

Tableau 2 : répartition des chômeurs suivant l’âge

(à venir)

Tableau 3 : répartition des chômeurs suivant les filières de fomation

(à venir)

Tableau 4 : répartition des chômeurs suivant le nombre d’année passé au chômage.

(à venir)

Tableau 5 : répartition des chômeurs suivant le nombre d’années d’études égrenées

(à venir)

60 chômeurs de Goma (2) : répartition par secteur


Voici la réparatition par secteurs des 60 “chômeurs” de notre enquête préliminaire dans la ville  de Goma.

La pédagogie, le développement rural, l’informatique

Tableau 1 : Répartition des 60 « chômeurs » par secteur : leurs âges et nombre d’années d’études

Age

nnées d’études

Secteur

26

15

Comptabilité

 

Comptabilité Count

1

25

15

Comptable

 

Comptable Count

1

22

10

Couture

 

Couture Count

1

38

17

Développement communautaire

26

17

Développement communautaire

 

Développement communautaire Count

2

40

15

Développement rural

29

15

Développement rural

27

13

Développement rural

27

13

Développement rural

25

15

Développement rural

 

Développement rural Count

5

29

17

Economie

29

17

Economie

28

17

Economie

 

Economie Count

3

26

 

Electicité, communcation

 

Electicité, communcation Count

1

27

15

Electronique

 

Electronique Count

1

42

17

Gestion des ressources humaines

 

Gestion des ressources humaines Count

1

25

15

Gestion fiscale et douanière

 

Gestion fiscale et douanière Count

1

33

17

Informatique

27

15

Informatique

26

15

Informatique

25

15

Informatique

 

Informatique Count

4

20

12

Mécanique générale

 

Mécanique générale Count

1

38

12

Pédagogie

32

12

Pédagogie

30

12

Pédagogie

29

11

Pédagogie

29

12

Pédagogie

29

12

Pédagogie

28

12

Pédagogie

27

12

Pédagogie

27

12

Pédagogie

27

12

Pédagogie

27

12

Pédagogie

26

12

Pédagogie

26

12

Pédagogie

25

12

Pédagogie

24

10

Pédagogie

24

12

Pédagogie

23

12

Pédagogie

23

12

Pédagogie

23

11

Pédagogie

22

12

Pédagogie

22

12

Pédagogie

21

12

Pédagogie

 

Pédagogie Count

22

39

15

Psychologie

 

Psychologie Count

1

30

17

Psychologie clinique

 

Psychologie clinique Count

1

28

17

Relations internationales

28

17

Relations internationales

26

16

Relations internationales

 

Relations internationales Count

3

27

17

Science politique

 

Science politique Count

1

38

17

Sciences économiques

31

17

Sciences économiques

 

Sciences économiques Count

2

27

 

Sciences infirmières

 

Sciences infirmières Count

1

20

13

Secrétariat

 

Secrétariat Count

1

43

15

Techniques médicales de laboratoire

 

Techniques médicales de laboratoire Count

1

27

12

Techniques sociales

26

12

Techniques sociales

20

12

Techniques sociales

 

Techniques sociales Count

3

29

17

Théologie

 

Théologie Count

1

25

12

 
 

Grand Count

59

 

Qui sont le plus au chômage à Goma ?

De cette enquête préliminaire portant 60 enquêtés, 59 ont indiqué leur secteur qualification.  Ci-dessous nous reprenons le nombre de “chômeurs” par secteur.

L’enquête proprement dite que nous organiserons avec l’aide des chômeurs permettra de confirmer ou d’infirmer que les pédagogues (22), le techniciens du développement rural et communautaire (7), les informaticiens (3), les économistes (3) et les licenciés en relations internationales (3) ainsi que les techniciens du sociales (3) sont les moins nantis.

EAE ASBL attend de prêter main forte à ces groupes pour les aider dans types d’initiatives :

1. une recherche active du travail, dans une démarche de groupe ;

2. une recherche active d’opportunités de création d’emplois sous forme dans le cadre de coopératives pesantes.

Nous nous fixons 24 mois maximum pour mette chacun de nos protégé futur à l’emploi, avec l’aide de tout la ville de Goma qui sera mobilisée à cet effet !

Tableau 2 : Répartition par secteur : importance du chômage

Secteur

Nombre

Pédagogie

22

Développement rural

5

Informatique

4

Economie

3

Relations internationales

3

Techniques sociales

3

Comptabilité

2

Développement communautaire

2

Sciences économiques

2

Couture

1

Electricité, communication

1

Electronique

1

Gestion des ressources humaines

1

Gestion fiscale et douanière

1

Mécanique générale

1

Psychologie

1

Psychologie clinique

1

Science politique

1

Sciences infirmières

1

Secrétariat

1

Techniques médicales de laboratoire

1

Théologie

1

Le chômage à Goma : notre enquête préliminaire…


Il nous parvient que 92% de personnes valides et en âge de travailler, à Goma, soient au chômage…  Quel drame pour cette ville qui devrait faire la fièreté de la RDC ?  Pendant de ce temps, nous apprenons ce matine, qu’en France, le chômage vienne de grimper à 10,5% de la population en état de travailler.

Ci-après, merci de trouver les résultats d’une enquête préliminaire sur le chômage, dans le cadre de notre projet Coopératives, clôturée hier et menée avec dévouement par notre collaborateur local, Monsieur Anselme Nguru Wasingya .

Une bonne lecture de ce tableau permet de comprendre beaucoup sur le chômage chez les 60 personnes consultées.  Vous remarquerez par exemple les nombre de personnes qui pensent que le travail soit caché !  Notez aussi le nombre de personnes empêchés de travailler par une maladie mentale !  Noter également la contradiction entre la ligne (1.) et (2.) qui traduit probablement la non maîtrise du français par les participants à l’enquête ou tout simplement une contradiction interne dans le chef de ces personnes…  Notons la quasi totalité des participant à cette enquête est D6, G3 ou L2 !

Dans un projet tableau, nous publierons la répartition par niveau d’étude et par spécialité des 60 “chômeurs”.  Notez que pour nous, les handicapés ne sont pas des “chômeurs”…

Tableau 1 : Enquête préliminaire sur le chômage dans la ville de Goma

La colonne Numéro reprend les questions auxquelles il fallait répondre par Oui ou Non !

La colonne Oui reprend les nombres de Oui récoltés tandis que la colonne Non reprend les nombres de Non récoltés.

Total est une colonne de vérification = Oui+Non = nombre de chômeurs consultés dans Goma.

Numéro

Oui

Non

Total

Nom

     

Post-nom

     

Prénom

     

Date de naissance

     

Qualification (ce que j’aime faire et sais faire)

     

Au chômage depuis

     

Je suis au chômage parce que :

     

1.    Je ne veux pas travailler

0

60

60

1.1. Par paresse

0

60

60

1.2. Pour une autre raison

4

56

60

1.3.   Autre.

6

54

60

2.    Je veux travailler, mais

57

3

60

2.1. Je suis empêché de travailler

3

57

60

2.1.1.    Par la maladie

2

58

60

2.1.2.    Par un handicap physique

1

59

60

2.1.2.    Par un handicap mental

7

53

60

2.1.3.    Par les d’études

20

40

60

2.1.4.    Par le manque de moyens nécessaires pour en chercher

46

14

60

2.1.5.    Par le manque de relations, de pistons

34

26

60

2.1.6.    Par les mauvaises conditions de travail

22

38

60

2.1.7.    Autre

21

39

60

2.2. Je ne trouve pas de travail

42

18

60

2.2.1.    Le travail fait défaut

7

53

60

2.2.2.    Le travail est caché

40

20

60

2.2.3.    Autre

17

43

60

2.3. Je trouve du travail mais (le chômage est préférable)

11

49

60

2.3.1.    Le salaire est tout le temps prohibitif

13

47

60

2.3.2.    Les conditions de travail sont tout le temps mauvaises

35

25

60

2.3.3.    Le travail ne correspond pas à ma qualification, à chaque coup

17

43

60

2.3.4.    J’échoue toujours aux tests d’embauche

12

48

60

2.3.5.    Autre

17

43

60

3.    Je ne songe pas à travailler

3

57

60

3.1. Je n’y ai jamais pensé

0

60

60

3.2. On ne m’a jamais parlé du travail

3

57

60

3.3. Je n’en vois pas l’intérêt

5

55

60

3.4. Je n’ai pas besoin du travail

2

58

60

3.5.   Autre

12

48

60

4.    Autre…

28

32

60

4.1. Spécifier :

28

32

60

4.2. Spécifier :

32

28

60

4.3. Autre

29

31

60