Balkanisation : seule voie du salut !


[9/17, 12:55] GPAU

Voici ce que je produis, mais que je n’ai pas encore terminé.
Que me conseille-tu ?
L’origine coloniale de nos états est un problème.
Ce problème est soluble.
Il faut de l’amour, du courage, de l’intelligence, de la franchise pour y parvenir.
Serrons nos coudes !

[9/17, 15:09] D. Y.

Il faut faire de la RDC un Etat fédéré comme les USA. Le problème sera résolu !

[9/17, 22:03] GPAU

C’est ce que je propose aux Congolais depuis 1999.
La majorité écrasante n’en veut pas. Elle craint que cela ne conduise à l’éclatement du pays. Or, les Congolais, ne veulent pas de la balkanisation du pays. Ils désirent vivre en des parasites, les plus forts au dépens des plus faibles.
C’est pour cela que certains nilotiques proposent la séparation des nilotiques d’avec les bantous pour éviter des querelles inutiles.

[9/18, 06:39] D. Y.

C’est la seule voie du salut pour les pays du continent africain !

Réforme politique pour une RDC unie et cohérente


[2024/11/24, 07:54] (Source : WhatsApp)

Kyéngé Kisoke Kabwende

VIENT DE PARAITRE

REGARDS SUR L’HISTOIRE DES PEUPLES BANTUS DE LA RDC DEPUIS 1876 : ANALYSE ET PERSPECTIVES POUR LA CRÉATION DE l’UNION DES REPUBLIQUES D’AFRIQUE CENTRALE.
Mbu-Mputu, Norbert, Bristol, 22 novembre 2024.

Auteur de trois ouvrages et d’une dizaine à paraître, Kabwende Kisoke Kyéngé , Master de Spécialisation en Études Africaines à l’Université Libre de Bruxelles (ULB) en Belgique et surtout un prince héritier du Royaume de Kabongo et arrière-petit-fils du souverain Nkumwimba Kabongo Ka Nshimbu (1858-1948) ayant régné de 1888 à 1948, dans ce nouveau livre, presqu’une bible, Regards sur l’histoire des peuples bantus de la République Démocratique du Congo depuis 1876 : Analyse et perspectives pour la création de l’Union des Républiques d’Afrique centrale (Préface de Déhorah Kayembe et post-préface de Kibawa Wimwene Edmond, Bristol, MediaComX, 2024, 761 pages), et devant la structure actuelle de l’État unitaire congolais ou même devant la proposition d’un Etat fédéré où les provinces actuelles deviendraient des États et toutes les crises sans fin, l’auteur KABWENDE KISOKA KYENGE crève l’abcès en proposant un nouveau modèle de fédéralisme basé sur des ensembles nouveaux calcés sur les grands ensembles tribaux que comptent le pays. Il écrit :

« La République Démocratique du Congo est confrontée à un défi majeur : elle n’a pas réussi à former une nation unie et cohérente. » Malgré les efforts déployés pour instaurer une «nation congolaise », ces tentatives se sont révélées infructueuses jusqu’à présent. Les motifs exposés précédemment justifient pleinement la nécessité d’une révision constitutionnelle en vue de la création de l’Union des Républiques d’Afrique centrale. Dans cette union, chaque nation aura le droit de réclamer son droit à l’autodétermination, dans le respect de ses particularités et de sa diversité culturelle » (p. 721).

Pourquoi prendre l’ethnie revue-corrigée comme sous-bassement du nouvel État ? C’est, dit-il, contrairement à Didier Mumengi pour qui la colonisation aurait artificiellement morcelé les peuples Bantus de la République démocratique du Congo en tribus, ethnies et villages, faisant ainsi croire « qu’avant l’arrivée des Belges, nous étions un seul bloc » et que c’est la colonisation qui nous a « divisés en villages, tribus et ethnies ». Pour lui, au commencement de la RDC, c’était d’abord l’ethnie, donc c’est elle la racine même de toute organisation politique et de toute légitimité chez les peuples Bantus du Congo.
Mais, pour en arriver-là, et c’est là son originalité, il bifurque en analysant dans le fond et la forme l’empire des Baluba qui, comme tous les autres empires et royaumes et peuples des Bantus s’est retrouvé démembré depuis 1870, et supprimé par l’administration coloniale le 11 avril 1911, et dont le point de départ de toutes les colonisations remonte à la conférence géographique de Bruxelles du 12 au 14 septembre 1876 par Léopold II, passant par celle de Berlin de 1885 jusqu’à toutes les autres trouvailles néocoloniaux que, malheureusement, l’Afrique et la République Démocratique du Congo continuent à ne pas vouloir remettre en question. C’est se poser la question comment renier et réfuter la colonisation et ne pas remettre en question ses conséquences, comme qui dirait « ne pas aimer manger les palmiers et chérir les noix de palme », dit un proverbe !

Pour la mise en place d’une telle nouvelle structure étatique en Afrique centrale, courageusement, l’auteur passe en revue toutes les autres approches et théories des aînés professeurs et historiens, notamment Isidore Ndaywel è Nziem et Jean Tshonda Omasombo: « en dégageant une ligne médiane pour départager les deux, se contredisant sur le nombre d’ethnies et des tribus de la République démocratique du Congo ». Si pour le premier, la République Démocratique du Congo compte 365 tribus et ethnies, le second n’en dénombre que 275. D’où, pour Kabwende Kisoke Kyéngé :
« Il est probable qu’il existe moins de 50 ethnies, ce qui contraste fortement avec les 365 d’Isidore Ndaywel è Nziem et les 275 d’Omasombo et de son collègue. Cette conclusion découle du fait que ces auteurs, tout comme de nombreux autres, ne parviennent pas à faire une distinction nette entre l’ethnie et la tribu. De plus, Isidore Ndaywel è Nziem inclut même des noms de clans tels que le Ngoyi a Sanza (239) ou Ngoyi Mwana (233), ce qui ajoute à la confusion » (129-139).
Dans ses 27 chapitres précédés d’un prologue et se terminant par une conclusion générale, l’auteur propose une Union des Républiques d’Afrique centrale à la place de la République Démocratique du Congo actuelle où, aux notions modernes d’État s’associent les pouvoirs traditionnels et coutumiers, vrais détenteurs des imperiums souverains. Surtout que l’État congolais actuel hérité de la Table ronde de Bruxelles naquit d’une Belgique se précipitant à se débarrasser du Congo et des Congolais voulant sauter sur le miroir d’indépendance « cha cha ». Il est temps, dit l’auteur, de recadrer les contours nouveaux de ce pays-ci le Congo.

Pour chuter sur sa proposition, l’auteur analyse l’un des empires qu’il connait le mieux, puisque prince, de la nation « kiluba » dont le pays ancestral est le Buluba, habité par : des Baluba communément appelé les « Baluba du Katanga », devant d’ailleurs faire l’objet d’un nouveau livre. Ceux-ci ont fondé l’empire des Baluba (du 8e – 20e siècle). Dans cette recherche de la vérité historique et ethnologie, l’auteur en profite pour corriger ce qu’il appelle « le mensonge colonial » sur deux peuples différent mais portant le même nom aujourd’hui dit « Baluba du Katanga » et « Baluba du Kasaï », car contrairement, dit-il, à ce que la colonisation et nombreux auteurs et même des habitants du Kasaï nous ont fait croire, l’auteur démontre que l’appellation « Baluba du Kasaï » est une invention coloniale et que les ressortissants de Mbuji Mayi, Kananga en un mot ceux du Kasaï ne sont pas Baluba comme on le croit : les seuls vrais Baluba sont ceux qui parlent la langue kiluba et habitent le Buluba, dont l’ancêtre originel s’appellent Ilunga Nshi Mikulu.

Le pourquoi de cette approche nouvelle pour un nouveau Congo enraciné dans l’organisation politique traditionnelle peut se lire à la page 722 :
« Nous avançons donc que l’adoption du confédéralisme au sein d’une Union des Républiques d’Afrique centrale représenterait la seule voie authentique pour instaurer un véritable État de droit. En effet, la mise en œuvre de ce système favoriserait naturellement l’agrégation des peuples, en permettant une écoute plus attentive de la volonté populaire à travers des référendums et d’autres dispositifs de consultation démocratique dans les différentes régions, provinces et entités fondamentales » (p. 722).
Et encore : « Il est possible d’envisager des réformes intelligentes et stratégiques pour adapter l’État congolais aux réalités contemporaines. Cela impliquerait, entre autres, la reconnaissance des identités culturelles et ethniques qui composent le pays, ainsi qu’une décentralisation effective du pouvoir. En valorisant les richesses ethno-civilisationnelles des peuples du Congo, il devient envisageable de construire un État plus inclusif, où chaque groupe ethnique se sentira respecté et représenté. La réconciliation nationale passerait nécessairement par une gestion équitable de cette diversité. Une réforme institutionnelle qui accordera davantage d’autonomie aux régions, permettant une gouvernance locale adaptée aux particularismes de chaque groupe, pourrait constituer une voie à explorer » (702).

Pour le moins que l’on puisse dire, ce volumineux livre inaugure un débat, rien que par son titre, Regards sur l’histoire des peuples bantus de la République démocratique du Congo depuis 1876 : Analyse et perspectives pour la création de l’Union des Républiques d’Afrique centrale et la piste proposée par Kabwende Kisoke Kyéngé est à confronter avec d’autres. Si les lecteurs parcourront les pages sans heurts, ce sont des chercheurs qui y seront les mieux nourris avec des citations d’auteurs et toute une bibliographie détaillée à la fin.
Bonne lecture !

Norbert Mbu-Mputu
Journaliste, écrivain et chercheur en anthropologie et sociologie, Centre for Research on Migration and Refugees and Belonging, University of East London, Cliquer sur ce lien pour écrire à M. Norbert Mbu-Mputu.

Kyéngé Kisoke Kabwende
Oui ! Je veux consulter avant d’acheter le livre de M. Kyéngé.

[2024/11/24, 21:03]

Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu

Ceci est, à peu près, ce que nous proposons depuis décembre 1999, dans le Projet 2014.

Cependant, nous disons que sans un divorce d’avec la République, aucune paix ne sera possible en RDC. Ni dans aucun autre pays d’ailleurs.
Les Républiques que Kyéngé propose, dans la confédération, seront des foyers de dictatures. Ceux-ci rendront inacceptable la vie en confédération, pour les peuples en quête de démocratie. C’est le cas avec tous les peuples de l’Est du Congo, tout entier, par exemple.

Nous proposons une union libre d’États Indépendants du Congo dans un premier temps. Le cas échéant, une union des États de l’Afrique centrale ou de l’Afrique (Noire), dans un deuxième temps par exemple. Ces États doivent être construits sur la base des affinités culturelles qui existent entre certains de nos peuples. D’autres affinités peuvent être découvertes par la suite.

Enfin, l’Afrique étant plurielle, les bantous devront prendre en compte les stratégies nilo-soudanaises. Celles-ci divergent (République/Démocratie) ou s’opposent même (Unitarisme/Indépendance) de celles des bantous. Bien souvent, en raison des divergences ou oppositions culturelles, profondes, jusque ce jour.

Charles Onana : une erreur corrigible !


Ce qui se passe avec Charles Onana doit nous apprendre que nous demeurons naïfs, niais, égoïstes, divisés, amateuristes, nous, noirs africains.

J’avais déjà indiqué que Charles Onana manquait de sagesse et d’expérience et risquait lui aussi de mourir, sans bénéfice pour l’Afrique, comme cela a été le cas avec les révolutionnaires qui l’ont devancé.

Où sont les chefs d’accusation contre Charles et la liste exhaustive de ses accusateurs ? Qui a analysé ces accusations et étudié les accusateurs ; avoir d’élaborer une réponse qui conduise les ennemis de l’Afrique à réfléchir ?

Il faut agir vite et bien, pour sauver Charles Onana et l’Afrique.

Les méthodes communistes…


[6/14, 08:25] JBKM

C’est confirmé uganda inasaporti M23.


[6/14, 10:17] GPU

On ne contruit plus un pays de la sorte !  Nos jeunes ont besoin d’être instruits, formés et éduqués, conseillés, avant de se mettre au service de la nation utilement.

Sinon, ce sont d’autres congolais que nous perdrons !

[6/14, 10:23] GPAU

Ile swali, ni ya kweli ? Ikiwa hivyo, faida ni ya nani na kwa nini ?

[6/14, 10:44] DD

Il veut, lui aussi, tourner la saison intitulée « chute de palais de la nation » ? Peut-être il va finir ce que son prédécesseur n’a pas pu achever ; mais ses amis, qui l’ont précédé, croupissent déjà à N’dolo.

[6/14, 10:57] GPAU

Mon fils, que suggères-tu par là, pour avancer le pays ?

[6/14, 10:59] DD

C’est tout un système qui est pourri. Que fera une goutte d’eau dans un océan ?

DD2

Il dit quoi, même, celui-ci ?

Réécoute-le, DD ; tu finiras par comprendre son propos !

Le plus important est la suggestion que tu as pour de tels compatriotes ; pour avancer le pays ?

GPAU

Nous, nous ne croyons pas aux méthodes des communistes, depuis notre tendre enfance, où nous égrenons leurs inefficatés. Nous proposons à nos jeunes de s’instruire, de se former et de s’éduquer correctement, avant de se lancer dans des projets de développement du Congo.

Sinon, nous continuerons à souffrir de notre simplicité, de notre légèreté, de notre médiocrité !

Occident contre Afrique


Il faut publier et republier cette vidéo plusieurs centaines de fois afin que cet idiot paye pour ses propos haineux. Honte à lui. Mais Dieu est grand.


Voilà comment le manque d’instruction nous pose problème.

En quoi ce discours est-il haineux ? Réécouter la vidéo !

Cet homme se trompe dans son analyse, comme plusieurs autres occidentaux : en effet, si l’Occident continue à travailler, l’Afrique aura difficile à le rattraper. Parce qu’il faudra beaucoup de temps pour que l’Afrique mobilise les ressources nécessaires pour atteindre la vitesse de développement actuelle de l’Occident.

Cet homme ne dit pas que l’Afrique soit incapable de prendre son indépendance. Elle ne décide pas de payer les mêmes salaires qu’en Occident, immédiatement, pour quoi ? La réponse à cette question est capitale et fait peur à l’africain comme à l’Occidental.

Nous savons tous ce qu’il y a à faire.  Mon origine est africaine, mon présent est occidental.

En tant qu’occidentaux, nous ne dormons pas. Nous travaillons 14 heures par jour : qu’il pleuve ou qu’il neige.

Que fait l’africain quand il pleut, qu’il drache ; ou, que mijote-il quand il fait très chaud, quand il y a une canicule ?  Combien de temps passe-t-il à travailler ?

Oui : Dieu est grand, en effet ! Il bénit ceux qui le craignent. Qui sont-ce : les Africains avec leurs bakoko ou les Occidentaux avec leur Satan ?

Pendant longtemps encore, l’Occident gagnera la bataille.  Si l’africain le veut, il peut reverser la vapeur aujourd’hui : il devra alors faire montre de persévérance avant de récolter les fruits de sa semence.

Monnaie utile pour le Sahel ?


Le changement de monnaie à elle seule n’est pas suffisant dans le Sahel, pour le nouvel espace Mali, Niger, Burkina Faso.

Tant que les salaires dans les 3 pays resteront des salaires d’esclaves,  de colonisés, de dominés ; le Niger, le Burkina Faso et le Mali n’iront pas plus loin.  Le Congo a créé le Franc, le Zaïre puis le nouveau Franc, sans succès…

Le travail doit devenir obligatoire, gratifiant et disponible grace à des initiatives de production de biens et de services de qualité ; et, à l’application de salaires minimaux supérieurs au minimum vital et à la réduction de la tension salariale bien en-deça de 5.

Cela implique une instruction, une formation et une éducation intesifiées, étendues à tout le pays, rehaussées de niveau, rapidement, pour vite accroître l’autonomie et la compétitivité des pays incriminés.

Un soin particulier doit être accordé à la performance de l’administration par la simplification des procédures, la transparence, la justice, l’efficacité, la sécurité, la productivité, la rentabilté de celle-ci…

Cela demande, un développement par projets, la révision des projets existants pour l’amélioration de leur efficacité, la conception des projets complémentaires nouveaux, qui s’avèrent indispensables, utiles, réalisables, sans aliénation des nations.

Enfin, penser fédération des ressources pour réaliser des économies d’échelle ; unification de l’espace économique pour créer une union politique des peuples, à pas bien mesurés…

Formons un bel attelage…


Chers compatriotes congolais,

C’est assez que d’avoir eu à subir le MNC, le MPR, l’AFDL, le PPRD et l’UDPS.

Avec ou sans les autres provinces, je propose à l’Est du Congo particuliètement, mais sans exclure ceux qui pensent comme nous dans l’Ouest, de prendre distance vis-à-vis du régime Kinshasa que nous félicitons pour son exploit aux élections 2023, par la même occasion !

Instruisons nos palementaires pour écrire à la République Démocratique du Congo et aux Nations Unies que nous voulons la paix, le respect et la dignité pour notre développement, notre vie et celle de nos enfants.

Pour ce faire, nous décidons de tracer notre route dans le respect de nos peuples que Kinshasa subjugue, décime, appauvrit, abruttit, trahit. Aussi, prenons-noud notre indépendance, inconditionnellement, moyenant un décompte à faire en toute sérénité, le temps que cela prendra, comme des frères humains, en vue de former une Union d’États Indépendats du Congo. Cette union est libre : chaque peuple du Congo, respectueux des autres peuples de cet espace, peut rejoindre l’Union, en vue de contribuer à notre indépendance réel, à notre développement intégral véritable, dans le respect de nos cultures respectives.

Attirons l’attention particulière de nos compatriotes actuels sur les cractères pacifiques, démocratiques, capitalistes et chrétiens de notre démarche. Il n’y a donc ici de la place ni pour un peuple rebelle ni pour un peuple ségrégationiste ni pour un peuple païen ni pour un peuple communautariste ni pour un peuple béliqueux !

Avec Dieu, construisons un bel attelage pour sa gloire !

Katumbi gagnera-t-il ?


Apparemment oui ! Mais quelle est la réalité et comment le savoir ?

La swahiliphonie, majoritaire, paraît être avec lui, à ce qui commence à se voir dans les localités où il a annoncé ou effectué son passage, à Kisangani notamment. Seulement, des stratèges seraient en train de piéger Katumbi, en lui faisant croire qu’il soit populaire. Très vite, la vérité éclatera au grand jour, au grand dame de ceux qui se moque de Dieu, du côté du pouvoir que du côté de l »oppostion.

Face à ce rare congolais à être capitaliste, les USA ne se tromperont probablement plus cette fois-ci et abandonneront probablement un soutient aux pro-soviétiques et aux pro-chinois que nous leur avons toujours désespéremment déconseillés, depuis 1960 ; pour définitivement le soutenir jusqu’au bout, à l’encontre des congolais !

Quant à la question de la congolité, elle semble éteinte ou presque : Katumbi est en pleine campagne et certains de ses opposants de l’Est ont déjà perdu leurs électeurs et feraient mieux de changer de camp, même in extrémis… Il sera en effet de plus en plus difficile au clan du Président de la République de tripatouiller sans se mettre en danger politique et social réel : parce que les observateurs extérieurs, dans cette néo-colonie, sont des amis à Katumbi.

Dernier élément qui n’échappe à aucun observateur, il a mis son chapeau de cowboy, bleu de couleur…

Et comme pour boucler la boucle, c’est un autre vrai ou faux chrétien !

Les bonnes personnes aux bonnes places…


[4/11/2023, 03:09] Paul Emile Okoka

L’ Afrique est en marche inexorablement, vers son éveil intégral et sa renaissance en cours selon Esaie 18:1-7. Consultez tous mes commentaires qui sont contenus dans le lien ci-joint. https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=859499799295488&id=100057064286555


[4/11/2023, 12:27] G. Paluku Atoka Uwekomu

Je pense que le chemin soit encore entier ! Parce que nos niveaux d’instruction, de formation, d’éducation, d’enrichissement sont encore très bas.

Pour les relever, nous avons besoin de nous trouver des leaders patriotes, talentueux, capables d’asseoir un système éducatif et une organisation du travail qui permettent de rapidement de supprimer nos faiblesses.

Nous pouvons, dans nos localités respectives, commencer par lister les besoins, les problèmes. Ensuite, il faudra les analyser pour identifier les ressources qui font défaut et les solutions idoines.
C’est alors que la mobilisation des ressources sera facile pour le lancement des projets réussis.

Cette approche méthodique n’est pas possible dans la plupart de nos partis politiques, faute d’avoir les bonnes personnes aux bonnes places ! Nos investissements ne sont pas suffisants, depuis le MNC jusqu’à l’UDPS.

Afrique : quel avenir ?


Tel que reçu.

Consulter tous ces commentaires contenus dans ce link au sujet du ministère liberateur et prophétique de Nfumu Papa Simon Kimbangu du Congo RD(1887-1951)

Car, il faut le dire ici à haute voix : si nous continuons à nous comporter et à réflechir comme nous le faisons depuis près de 40 ans, le Congo et l’Afrique seront perdus à tout jamais.

Si nous continuons à penser et à croire que la solution des problèmes congolais et de la guerre qui détruit le Congo depuis maintenant plus de dix ans se trouve dans les négociations hypocrites avec le Rwanda et l’Uganda, dans les discussions trompeuses au sein de la Communauté dite internationale etc…

Nouus prolongeons notre esclavage et nos souffrances, et nous retardons notre véritable Indépendance, celle qui libère l’ESPRIT, L’AME et le CORPS, celle qui ouvre la voie de la Science et de la Haute Technologie, celle qui permet au Peuple Congolais de jouer pleinement son rôle de Conducteur des Peuples au cours du Troisième Millénaire !

Fraternellement en Jésus-Christ;

Frère Paul Emile Okoka(Afro-italiano Du Congo RD)

Ministère prophétique évangélisation mondiale
Proclamation du plein évangile de derniers jours