« La nationalité congolaise est une et exclusive. Elle ne peut être détenue concurremment avec une autre nationalité. Elle est soit d’origine, soit acquise par l’effet de la naturalisation, de l’option, de l’adoption, du mariage ou de la naissance et de la résidence en République Démocratique du Congo. »
http://www.leganet.cd
La loi est dure, mais c’est la loi.
Dans un pays où des bandits politiques créent des lois pour se maintenir au pouvoir, une loi n’est plus une loi, mais sujet de raillerie et de guerre fratricide, comme nous l’avons écouter ci-haut.
Lorsque certains congolais et étrangers, s’arroge le droit d’attribuer aux personnes la congolité ou de retirer à d’autres cette nationalité, ils engagent les vrais congolais à entrer en guerre.
Cette guerre, nos bandits ci-haut évoqués la perdrons, après une longue guerre sanglante, pourtant évitable.
Le Président de la République vient d’engager cette guerre, sans le savoir. Le gouverneur militaire de l’Ituri qu’il le gagnera en terrorisant les ituriens en rébellion, contre un régime dictatorial et sanguinaire…
Le peuple sous instruit, sous formé, sous éduqué subit son calvaire : pour un temps.
Combien de temps le peuple se laissera-t-il conduire à l’abattoir ? Pourquoi et comment ?
Quant à nous, nous ne cessons d’indiquer la voie par excellence pour nous éviter la mort de la nation congolaise : titiller nos parlementaires pour la disqualification des hommes véreux que nous commettons, par pure folie et caprice, à répétition, à la gestion de la chose publique.