Adresse solennelle au Président Donald Trump



Monsieur le Président,

Nous nous exprimons dans l’ombre des rendez-vous de Washington et de Doha, là où les destins des peuples semblent se jouer sans leur consentement. L’heure est grave. L’Histoire retiendra bientôt que les protagonistes de cette tragédie auront été poussés à l’irréparable : le génocide des Ougandais et des Congolais.

Nous redoutons que votre gouvernement réalise trop tard qu’il s’est associé à ceux qui portent la responsabilité de crimes innommables. Ces alliances pourraient conduire à abandonner le peuple congolais à une souffrance silencieuse, entretenue par des élites corrompues — qu’elles soient au pouvoir ou dans l’opposition — qui se nourrissent de la misère et du sang de leurs propres concitoyens.

Monsieur Trump, en tant que frère en Christ, nous avons le devoir de vous interpeller : nul chrétien ne saurait s’associer à ceux qui fomentent des meurtres au grand jour. L’enrichissement personnel bâti sur la trahison des siens est un péché grave. Nous vous avons averti : la justice divine n’est pas aveugle, et elle ne tolère pas l’indifférence devant le mal.

Nous espérons que vos choix futurs seront guidés par une conscience renouvelée, attentive au cri des opprimés. L’Histoire peut encore s’écrire autrement — avec justice, vérité et compassion.


URGENT ! URGENT! ATTAQUE TRES MEURTRIÈRE DES TERRORISTES ADF-NALU A KOMANDA SUR LA ROUTE BENI-BUNIA

Les ADF viennent d’égorger une trentaine des membres de la Croisade Eucharistique qui étaient en session dans la salle cartas a KOMANDA, d’autres corps des civils seraient aussi dans les champs d’où le bilan pourrait s’alourdir.
L’attaque est survenue dans la nuit du samedi à ce dimanche 27 juillet 2025.

Des zélateurs et zélatrices, secrétaires et cérémoniaires viennent d’être massacrés à la machette.
Les opérations SHUJAA FARDC-UPDF Sont en cours dans cette région.
Quelques personnalités qui sont cachées a BENI, MAMBASA, IRUMU qui tirent profit dans ces massacres sont en train de chercher à saboter ces opérations pour tenter de décourager la population a collaboré avec les autorités compétentes.

Nous continuons une enquête très rigoureuse pour dénicher les ADF en
veste et en tenue militaire qui continuent à contrecarrer les opérations FARDC-UPDF.

CMM, Activiste de droits humains

Ituri : sentiments ou caprices ?


Voici ce que l’on peut lire dans un groupe WhatsApp iturien.

Il ne faut dès lors pas s’étonner que cette région du monde reste parmi des plus insécurisées de la RDC. Avec les groupes armés tels que CODECO, Zaïre, Chini ya Kilima, FPRI et autres, l’Ituri, après le Nord et le Sud Kivu, est en proie à un des désastres humanitaires le plus marquant du 21ème siècle.

[10-08-24 04:50] Par grâce:

Allô, allô… GOUVERNEMENT, FARDC ET TOUT CITOYEN CONGOLAIS.

Il est déplorable de voir l’observation du CESSEZ-LE-FEU par les militaires loyalistes pendant que les M23 récupèrent des contrées de manière rapide, les unes après les autres sans aucune offensive ni sans être inquiété par qui que ce soit.

Les dirigeants, dans le Gouvernement et les commandants dans les FARDC, doivent dire ce qui est claire au peuple.

Néanmoins le peuple soutient toujours les forces de défense loyalistes jusqu’au sacrifice suprême.

La lecture de cet article nous a inspiré les lignes suivantes.

[10-08-24 14:43] GPAU

Est-il responsable et sérieux de soutenir, dans l’Ituri, une armée commandée par des ennemis de l’Ituri, quand on aime sa province ?

« Les dirigeants dans le Gouvernement et des commandants des FARDC doivent dire ce qui est claire au peuple. »

Ce comportement du peuple iturien, cette trahison continuelle de notre terroir, a commencé bien avant 1960, pour ne pas parler des trahisons d’avant l’esclavage arabe et la colonisation européenne. Est-il possible, dans l’état actuel du pays, de dire utilement la vérité au peuple iturien ? Cette vérité dite au peuple lui apporterait quoi qu’il ignorerait ? Le peuple iturien demande-il réellement d’être informé sur quoi quoi que se soit qui touche à son destin ? Si du moins il en aurait un ! Quand, où et comment cela se passerait-il ?

« Néanmoins le peuple soutient toujours les forces de défense loyalistes jusqu’au sacrifice suprême. »

Ce peuple que nous sommes, défend-il réellement les intérêts de l’Ituri et ceux de la République Démocratique du Congo ? En 1960, le peuple iturien embrassait le lumumbisme ; en 1964, le molelisme ; en 1965, le mobutisme ; en 1997, le kabilisme ; et en 2011, l’udpsisme. Quel objectif, quel destin, quel avenir a jamais poursuivi et rechercher l’iturien ?

Quelles sont les conséquences à tirer du constat.

  1. L’Ituri manque une âme, de peuples qui soient débout.
  2. L’Ituri manque de leaders valables.
  3. L’intelligentsia iturienne est irresponsable et mourra de son égoïsme et de son ingratitude.
  4. Si le Projet 2014 ne titille pas les peuples et les cerveaux ituriens, l’Ituri mourra comme le reste de la RDC.

Violences et les morts en Ituri : depuis quand ?


À la question qu’est-ce qu’est le G5 en Ituri, voici ce que l’on peut lire.

« Le G5 est une association regroupant plusieurs communautés, dont les Hema, dans la province de l’Ituri, en République Démocratique du Congo (RDC). Cette association se considère comme victime des exactions perpétrées par la milice CODECO (Coopérative pour le développement du Congo), qui prétend défendre la communauté Lendu1.

Les conflits inter-ethniques en Ituri, qui opposent principalement les groupes Hema et Lendu, ont causé de nombreuses violences et pertes humaines depuis 20171. Malgré la signature d’accords de paix, les violences continuent, notamment autour des sites miniers1. »

Le Copilot

Quelles sont les communautés qui forment le G5 iturien ? Que signifie le sigle G5 ?

Le même Copilot précise cette fois-ci.

« Le G5 iturien est une coalition de cinq communautés principales de la province de l’Ituri en République Démocratique du Congo. Ces communautés sont :

  1. Hema
  2. Alur
  3. Ndo-Okebo
  4. Nyali
  5. Mambisa

Le sigle G5 signifie simplement “Groupe des 5”, en référence aux cinq communautés qui composent cette coalition. Cette alliance a été formée pour défendre les intérêts communs de ces communautés face aux violences et aux conflits inter-ethniques dans la région. »

En quoi les 5 communautés du G5 sont elle les principales de l’Ituri : en ce numériquement, socialement, culturellement, politiquement, économiquement, spirituellement, industriellement ? Et surtout : pourquoi et comment ?

Est-ce vrai que le G5 ait été créé pour « défendre les intérêts communs de ces communautés face aux violences et aux conflits inter-ethniques dans la région » ou plutôt pour défendre les 5 communautés contres les lendu et leurs alliés précisément, avec qui l’entente n’existe pas vraiment depuis la nuit des temps, de suite de la colonisation des peuples soudanais par les peuples nilotiques ; à ce que nous avons appris de nos aïeux ? À ne pas se dire clairement la vérité, en tombant dans le travers nord-kivutien, dans l’improductive hypocrisie, nous craignons, pour notre part, que nous continuions à sombrer de plus en plus dans la méfiance, dans la violence sans fin, dans l’accumulation continuelle des mensonges et de rancoeurs. Il est étange que Lese, Ngiti, Nyali, Lokele et Nande et Bwisha ne soient pas cités dans cette affaire qui ne fait que grossir le rang des mécontents et des victimes, tous les jours.

Pour nous, le Projet 2014 est la démarche tout indiquée pour aller vers un débalage complet de nos fardeaux, pour le déposer sous le feu du jugement de tous par tous, en hommes reponsables, prévenants.

Enfin, comme nous aimons à le souligner, en 1976, nous resolûmes de rejoindre notre père en politique dans le souci d’aider notre Ituri à éviter l’éclatement, parce qu’ en 1974 déjà, nous vivions dans l’insécurité la plus totale : hommes et femmes empoisonnés ou battus mouraient ou survivaient. En 1994, nous tirions déjà ici la sonnette d’alame : à cause des conflits interethniques…

Peuples ituriens, rentrons à nos amours : apprenons à nous dire la vérité, pour créer la confiance qui nous aidera à nous mettre autour d’une vraie table de conciliation, d’humanisation, pour plus jamais, les ennemis de nos âmes ne continuent à nous subjuger.

Le Masisi congolais dans les années 1885


Pourquoi un autre article sur cette question ?

Beaucoup d’encre, de salive et de sang coule dans le Masisi congolais, comme dans le reste du pays, du continent et de la planète, depuis bien avant l’indépendance du Congo. Beaucoup de vérités n’étant pas encore dites, beaucoup de mensonges se propageant, ils convient que nous tentions une contribution, dans un contexte où plusieurs ont difficile à se départir de l’impartialité, de la sentimentalité, du parti pris.

Nous avons posé à Copilot la question de savoir qui occupait le Masisi dans le Kivu congolais en 1885 ? Contrairement à ce qu’on attend souvent dire, les tutsi y auraient été à cette époque déjà.

« …
En 1885, le territoire de Masisi dans la région du Kivu congolais était habité par plusieurs groupes ethniques. Voici un aperçu des principaux acteurs de cette époque :

  1. Twa, Hutu, Kumu, Tutsi, Hunde et Tembo : Ces six grandes tribus étaient présentes dans la région de Masisi1. Chacune de ces communautés avait ses propres traditions et modes de vie uniques.
  2. Forces extérieures :
  3. Facteurs de guerre :

En somme, le Kivu était un foyer de conflits multidimensionnels, avec des acteurs internes et externes qui se disputaient le contrôle de la région. Aujourd’hui encore, le Kivu reste une zone sensible et complexe en République démocratique du Congo2,3.

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… »

Motivations

Plusieurs, kivutiens ou non, contestent, dans cette histoire d’une présensence des Tutsi dans la région à ces dates et demandent des preuves probantes de l’historicité des faits allégués. Cet espace essaie d’apporter le plus d’éléments possibles pour éclairer l’opinion sur cette question qui coûte des vies humaines à plusieurs de nos compatriote congolais et d’étrangers, établis ou pas sur notre territoire.

Or, sans l’éclosion de la vérité, la paix et la prospérité pour tous resterons un leurre, non seulement dans le Masisi, le Kivu, l’Ituri et les autres provinces du Congo, mais dans tout notre pays tout entier.

Quelles sont les sources d’information ?

Toutes les ces sources, il convient de les consulter avec un sens critique et de recouper les informations fournies par plusieurs, quelles que soient les « autorités scientifiques » des auteurs. L’expérience montre en effet que beaucoup doit encore être réécrit de l’hitoire du monde en générale et du Congo en particulier. Des mensons étant parfois véhiculés sciemment ou inconsciemment.

http://topkivu.com/nation/masisi-un-territoire-aux-traditions-uniques-et-aux-richesses-abondantes/ : cette page est inaccessible, ce vendredi 29/03/2024 à 15:59, pour des raisons qui restent à déterminer.

https://journals.openedition.org/echogeo/10793#tocto3n8 : fournit des informations utiles. Il vaut donc la peine d’être consulté pour avoir une première vue des problèmes et de l’histoire. C’est aussi là que nous pouvons trouver une réponse partielle à la question du pourquoi l’insécurité dans le Kivu : « Les populations réputées « autochtones », c’est-à-dire installées avant l’arrivée des migrants rwandais, se sont senti progressivement dépossédées de leurs prérogatives foncières et des droits symboliques qui s’y rattachent. Les tensions se sont cristallisées autour du foncier et de la question de la nationalité. La révision en 1981 dans un sens restrictif des critères permettant de se revendiquer comme Congolais (à l’époque Zaïrois) a privé des dizaines de milliers de Banyarwanda de la nationalité congolaise, envenimant les relations inter-communautaires. »

https://fr.wikipedia.org/wiki/Guerre_du_Kivu : cette source, Wikipedia, fournie une carte de mars 2024, de la situation de l’occupation de l’Est par des forces armées.

Sont-elles fiables et pourquoi ?
Pourquoi tant de contradictions entre les fils mêmes du Kivu sur ces sources ?
Quelles sont les intérêts en jeux ?

Ituri et son gouverneur…


Tel que reçu !

DANS SON DERNIER POINT DE PRESSE, MONSIEUR LUBOYA N’KASHAMA S’EN PREND À TOUS LES NOTABLES ITURIENS MAIS CURIEUSEMENT ASSURE LA DÉFENSE DES GROUPES ARMÉS

Il attaque le Boss Kenda qu’il menace même d’arrêter, il attaque l’homme d’affaires Mambo Kamaragi(Rhoff) à qui il promet la prison, il attaque la FEC, il attaque Abdellah Pene Mbaka, il attaque le Boss Danny Mugisa, il attaque les députés provinciaux, moi Luc il va jusqu’à m’injurier, me traitant d’un « petit fou »…

Je voudrais ici décortiquer certains des propos choquants, ridicules et inacceptables tenus par ce fameux général incompétent, que son frère de tribu Mr Tshilombo a imposé de force dans les bureaux de notre province.

  1. Luboya affirme que son unique ennemi en Ituri, ce sont les ADF. D’après lui, Codeco, FPIC, Zaïre, FRPI et autres milices locales sont ses alliés qu’il ne peut pas combattre. Il faut uniquement dialoguer avec elles. Pourtant ces milices tuent plus que tout autre groupe armé en RDC. Pour le seul mois de décembre dernier, le petit décompte non exhaustif venant des structures de la société civile fait état de plus de 250 morts notamment dans les territoires de Djugu, Irumu et Mahagi.
    Évidemment de tels propos venant d’un ancien rebelle du RCD/Goma, formé au Rwanda et imposé général dans notre armée par Kagame, ne peuvent surprendre personne. En fait d’après lui, même eux quand ils étaient au RCD/Goma, le gouvernement de l’époque a dû les écouter et dialoguer avec eux pour finir la guerre. Pour dire qu’il appelle le gouvernement à écouter les « revendications de ces groupes armés » pourtant il est connu de tous que Codeco, FPIC, Zaïre n’ont aucune revendication acceptable.
    Alors, devant cette affirmation claire venant de la bouche de Monsieur Luboya lui-même, qu’il n’est pas venu combattre les groupes armés, à quoi lui et son état de siège nous servent ? Avons-nous besoin d’un militaire dans les bureaux de notre province pour dialoguer avec les groupes armés ?
  2. Monsieur Luboya joue à un très mauvais jeu, celui de surfer sur la crise du Nord-Kivu notamment l’agression rwandaise du M23, pour justifier son incompétence, allant jusqu’à indexer une de nos communautés, les Hema pour ne pas les citer, de vouloir faciliter l’invasion de l’Ituri.
    Je voudrais d’abord lui rappeler que la plupart des rwandais qui nous font la guerre aujourd’hui au M23 sont ses anciens collègues du RCD et que si le M23 décide d’attaquer l’Ituri, ce n’est pas lui qui l’empêchera, bien au contraire.
    En outre, il y a lieu de se demander si ça fonctionne dans sa tête.
    Comment parler de l’arrivée du M23 en Ituri, sachant que Rutshuru où se trouve ce groupe terroriste, c’est à environ 1.000km de Bunia!
    Pour ceux qui ne maîtrisent pas la zone, Rutshuru où se trouve le M23, pour quitter là-bas et arriver à Bunia par voie terrestre, il faut d’abord avoir conquis Butembo qui est à 600km, ensuite Beni qui est à 650km, ensuite Komanda qui est à environ 850km, ensuite Bunia qui est à plus de 900km. Même dans les rêves les plus fous, comment un soit disant officier de notre armée peut pondre pareilles monstruosités?
    Sauf si comme on sait que Willy Ngoma, Bertrand Bisimwa, Kazarama et autres criminels du M23 qui sont ses anciens collègues formés au Rwanda, pourraient arriver par un vol qui leur aura été affrété on ne sait par qui, pour s’emparer de Bunia.
    Évidemment, tout le monde s’est toujours demandé comment Monsieur Tshilombo n’avait trouvé que ce « pur produit du Rwanda » pour l’imposer comme « gouverneur militaire » en Ituri, je crois que maintenant nous avons la réponse. L’infiltration de l’Ituri pourrait passer par Monsieur Luboya!
  3. Luboya trompe que la FEC lui donne chaque mois 100.000 dollars sur les recettes de la taxe additionnelle destinée à l’asphaltage de voirie urbaine de Bunia, en vue d’après lui, d’assurer la sécurité de la ville de Bunia. Vérification faite, ceci est complètement faux. La FEC n’a d’ailleurs aucune collaboration avec lui depuis son arrivée. La FEC n’a même pas accès au compte où l’argent de cette taxe est logé, ce qui va à l’encontre du protocole d’accord signé avec le gouvernement provincial civil.
    Je voudrais rappeler à Monsieur Luboya que parmi les nombreux dossiers sales qui vont inévitablement le conduire en prison, il y a cet argent destiné à l’asphaltage de la voirie de Bunia, projet qu’il a saboté totalement. Aucun kilomètre n’a été asphalté depuis plus de 20 mois qu’il est là alors que le dernier rapport du service provincial des Hydrocarbures auquel j’ai accédé, indique qu’il empoche chaque mois en moyenne 400.000 dollars. Donc tout compte fait, Luboya a déjà volé à notre province plus de 8 millions de dollars !
  4. Concernant les injures inacceptables et les mensonges éhontés qu’il a proférés à ma modeste personne, affirmant sans aucun « honneur d’officier »(à se demander si ce parvenu rebelle formé au Rwanda connaît ce que ceci signifie), que moi Luc je lui aurait envoyé des gens pour demander 300 dollars, j’ai tout simplement eu pitié de lui.
    J’invite n’importe qui à m’envoyer le numéro Mpesa de cet orpailleur en uniforme, je vais lui faire un transfert de 300 dollars, je comprends qu’il est resté pauvre malgré tous les millions qu’il a déjà volé à notre province et avec lesquels il a envoyé ses enfants en Europe.
    Cher Luboya, sachez que Luc est un politique respecté à travers le pays et l’étranger, Luc est à côté du président élu de la RDC, Luc appartient à une grande famille, Luc mène un combat loyal en faveur de la population qui souffre, jamais il peut demander 300 dollars, au contraire c’est lui qui peut vous les envoyer comme visiblement vous en avez besoin. J’attends votre numéro Mpesa.

J’ai malheureusement quelques soucis de santé actuellement, je ne saurais pas décortiquer toutes les âneries que j’ai suivi de sa part, mais je voudrais être clair avec Monsieur Luboya: Nous ne tolérerons aucune menace, arrestation, extorsion, escroquerie, envers les notables de notre province.
Vous mangez et buvez avec les leaders de Codeco, FPIC, FRPI, de Zaïre dont vous avez même facilité la création d’une nouvelle branche à Bunia (MAPI).
Vous n’avez jamais inquiété un seul parmi ces tueurs du peuple iturien et c’est Mambo Kamaragi, Kenda ou Luc Malembe sur qui vous allez exhiber vos biceps ? Honte à vous Monsieur.
Je reviens bientôt chez-moi à Bunia comme ça on va bien jouer à ce jeu d’injures publiques que vous venez d’inaugurer avec moi.
Vous avez de la chance car moi Luc je n’amène jamais quelqu’un en justice, c’est parmi mes principes. Pourtant j’ai toutes les raisons de vous poursuivre pour « injure publique » après m’avoir injustement jeté en prison pendant 7 mois et j’ai fini par vous gagner devant le tribunal malgré votre tentative de corrompre le juge avec 5000 dollars.

Luc Malembe
Acteur Politique

Conclusion : le torchon brûle ! À quand la paix ?

Ituri : le ton monte.


Bien qu’avec plus de 18 ans en retard, les ituriens commencent à comprendre qu’ils soient la cibles de plusieurs acteurs politico-militaires assoiffés de leur or.

L’article ci-dessous, discute quelques points saillants qui montrent la complicité du pouvoir kinois dans ce qui se passe en Ituri.

Le silence marqué par les parlementaires et les administratifs, de l’Ituri comme ceux de l’extérieur de l’Ituri, montre bien que la province se dépérit et que la solidarité et l’unité nationales n’existent pas. Que faire ?

Nous avions proposé aux ituriens, à tout l’Est, l’autonomie, l’indépendance et l’interpellation de l’Ouest, par une balkanisation stratégique même. Personne ne nous avait suivi. La situation sécuritaire ne fait que s’aggraver ; des étrangers sont de plus en plus associés au pillage de l’Ituri et à l’extermination de sa population. La réaction de notre population n’est pas appropriée : cette dernière verse dans le banditisme et le tribalisme qui aggrave la situation et ajoute à notre ignominie.

Le projet 2014, qui propose une démarche humaniste et démocratique n’est pas connu est raillé depuis 23 ans. Pourtant, les faits, sur terrain nous donne à chaque fois raison : le pays s’enlise, se délabre, pendant que certains s’enrichissent énormément, abreuvés du sang des congolais. Pourquoi et comment ? Lisez la livraison de notre compatriote ci-après.

CHERS ITURIENS, LA SITUATION RISQUE DE DEVENIR INCONTRÔLÉE, BUNIA NOTRE VILLE EST VRAIMENT EN DANGER, MONSIEUR LUBOYA NE CONTROLE PLUS RIEN, IL EST TOTALEMENT DÉPASSÉ PAR LES ÉVÉNEMENTS

La province de l’Ituri est jetée dans le chaos total, une véritable situation de « Non Etat » s’est installée depuis que l’état de siège a été déclaré et qu’un général incompétent et visiblement sans parcours militaire requis a été mis à sa tête.

Ce qui se passe sur le terrain au moment où j’écris, c’est que la province est totalement abandonnée entre les mains des groupes armés qui se combattent pour le contrôle des sites miniers, principalement dans les territoires de Djugu, Irumu et Mambasa.

Ceci devant un prétendu état de siège totalement dépassé, incapable de mener une seule opération militaire d’envergure pouvant inquiéter les groupes armés.

Dans ces 3 territoires à problème, le Général Luboya n’y a presque jamais mis ses pieds depuis 16 mois qu’il est en Ituri, personne ne sait il a peur de quoi.
Il n’a jamais été à Mungwalu, cité minière qui a été de nouveau attaquée le week-end dernier par des miliciens de Codeco, faisant une trentaine de morts.

Il n’a jamais été à Luna à la frontière avec le Nord Kivu où la route nationale numéro 04 qui va de Beni à Kisangani en passant par l’Ituri, est totalement abandonnée sous le contrôle des ADF sur une distance de plus de 200km où ils ont rasé village par village, tuant les habitants et forçant les autres à fuir.

Cette route était pourtant totalement praticable et le traffic était intense avant l’état du siège.

Pour ce qui est de Bunia chef-lieu de l’Ituri, la ville est totalement assiégée. Côté sud, au quartier Lengabo à seulement 5km du centre ville, on note une présence injustifiée des miliciens FPIC depuis plus d’un mois, visiblement à la demande des animateurs de l’état de siège car rien n’a été fait pour les déloger. Pour quelle fin? Personne ne le sait.
Cependant, dans leurs affrontements avec ceux de la FRPI, ces derniers menacent de venir à Bunia pour les déloger, ce qui met la sécurité de la ville en grand danger.

Côté Est, on apprend la résurgence de l’ALC une faction de Codeco conduite par un certain « Petit Loup de la montagne », qui avait signé une incursion spectaculaire en septembre 2020 dans la ville de Bunia mais qui avait été totalement anéanti à l’époque par l’armée. Devant le laxisme de l’état de siège, les informations qui nous parviennent des habitants de Ezekere à une dizaine de Kilomètres de Bunia indiquent qu’il est entrain de se réorganiser.

La même situation s’observe du côté Nord de la ville où les positions de Codeco et FPIC ne sont pas pas assez loin.

Comme élément nouveau, maintenant les groupes armés Codeco, FPIC, FRPI et Zaïre, que l’état de siège était sensé venir combattre, sont entrain d’être montés les uns contre les autres, l’objectif est d’embraser totalement l’Ituri pour justifier le maintien indéfini de cet état de siège qui permet aux militaires de s’enrichir de manière illicite.

C’est ce qui explique les affrontements en cours entre la FRPI et FPIC à Irumu, deux milices qui pourtant étaient alliées mais qui ont été opposées pour se combattre et ce sont les populations qui payent le prix. Pendant que les deux groupes armés se battent depuis bientôt un mois, l’armée supposée en état de siège, les observe sans rien faire.

C’est la même situation à Djugu où Codeco et Zaïre, qui étaient des milices ennemies, ne s’étaient pourtant jamais affrontées de manière ouverte comme c’est le cas actuellement pour le contrôle des sites d’exploitation artisanale d’or.

L’état de siège qui était sensé être une période exceptionnelle, s’est vite transformé en une période anormale, un véritable Non État.

Le Général Luboya Nkashama et son équipe à ce jour ne protègent plus personne, à part eux-mêmes. Unique chose qui les intéresse, les affaires.

Ils sont dans les mines, dans les douanes, dans les recettes de la province. Depuis leur arrivée, les opérations militaires ont été reléguées au dernier plan, nous ne sommes même pas au courant d’une seule opération d’envergure menée par eux depuis 16 mois, ce qui fait qu’ils n’ont anéanti ni même inquiété un seul groupe armé.

Dans cette condition, il est difficile de s’expliquer pourquoi Monsieur Félix Tshisekedi tient coûte que coûte à maintenir cet état de siège qui le discrédite totalement au sein de la population de l’Ituri. Est-ce que le plan c’est d’embraser l’Ituri, y installer à dessein un chaos, afin de justifier sa non participation aux élections ? Si c’est le cas, je peux promettre à Monsieur Tshisekedi qu’il n’y aura pas élections au Congo sans l’Ituri et le Nord Kivu.

Nous combattrons toute forme de balkanisation de notre pays, y compris la balkanisation politique.

Luc Malembe
Acteur Politique

Quel sort se réservent les ituriens ?


[2/9, 05:52] DJ

Ituri : « Les éléments du groupe d’autodéfense ne sont pas uniquement des Hema. Ils sont aussi Alur, Nyali, Mambisa, Ndo-Okebu, etc.. Ils sont prêts à deposer les armes » (Président de l’association culturelle ENTE)

En un clic, suivez la vidéo sur INTERFACE TV et n’oubliez pas de vous abonner. https://youtu.be/fd5H7_w_kAU

[2/9, 16:12] GPAU

Si tout cela est sincère et véritable, le groupe d’autodéfense se montre niais, quant à lui, en acceptant de rendre ses armes à nos bourreaux, nous ituriens.

Une meilleure proposition serait que chaque membre du groupe demande d’avoir un permis de port d’arme, parce que les FARDC sont commis par Kinshasa à la colonisation, au génocide et au pillage des ressources ituriennes.
C’est dommage que nous investissions toujours mal, depuis 1960 !

Ce que nous ne pouvons pas !


[26/8, 20:55] GPAU :

Nous ne pouvons pas si facilement anéantir un peuple, quelque exécrable qu’il soit, chez lui ! Il est inique de réfléchir de la sorte, dans une nation jeune, d’origine coloniale. Nous ne pouvons plus continuer à tromper les concongolais non plus. Ce qui est dit ci-dessous est un mensonge qui coûtera probablement cher à ses auteurs. Les lendu et alliés et les nande et alliés, se battent, bien ou mal, pour leurs terres. Nous tous qui sommes sur leurs terres, nous gagnerions à rentrer chez nous, planter nos oignons. Cette façon de faire prouvera que nous sommes respectueux d’autrui, civilisé et paisible. Sinon, nos esprits hégémoniques rencontreront le courroux de peuples enragés, furieux.

https://newscongo.news/article/Ituri-Nord-Kivu—Les-operations-conjointes-FARDC-UPDF-prorogees-de-2-mois/3523


[27/8, 07:09] UAJD:

Cher administrateur du groupe, comment as-tu apprécié ou interprété cette publication ?

[27/8, 10:20] GPAU :

Demander l’avis de l’administrateur est une bonne chose. Cependant, cher frère, notre culture alur étant celle de débat et non celle de la pensée unique, quelle est ta propre opinion sur la question, que tu nous cache mal ? Sur laquelle de nos valeurs se fonde ton recours ? Quel est l’objectif de ce recours ?

Frère, je propose depuis longtemps que nous, peuples congolais, rentrions chacun chez soi – là où nous nous sentons le plus à l’aise, pour vaquer au développement de nos terres ancestrales dans la quiétude et ne pas avoir à nous pourrir la vie mutuellement dans notre jeune pays créé par la conférence de Berlin (?) ; et pour fermer la bouche aux lendu et alliés qui nous accusent de les coloniser, de manière particulière, dans notre Ituri.

Certes, la majorité ne partage pas notre point de vue, depuis que nous nous sommes politiquement engager, en 1976. Elle (cette majorité) pense que le Congo soit à nous tous, qu’il nous revienne de vivre où nous voulons, dans le respect de la loi, sans que les autochtones n’aient à nous soumettre au respect de leurs lois, de leurs cultures et politiques locales. Nous retorquons, depuis toujours, qu’il soit dangereux, inacceptable, colonial de penser et de se comporter de la sorte ; parce que personne n’a jamais demander à nos peuples avec qui ils voulaient vivre ni composer ; même si, d’expérience nous reconnaissons aujourd’hui que la volonté supposée, présumée, de plusieurs, de la majorité de concongolais soit de demeurer le Congo créé par les belges et leurs alliés, pour y créer un destin national, jusqu’ici défini par de véritables bandits politiques, plutôt que par nos peuples, directement concernés par tous les choix politiques qui nous sont imposés jusqu’ici, telle la République qui renie à nos royaumes, empires, alliances et autres, le droit à l’existence, tant bien que mal.

Heureusement, le Père restant au contrôle de toute chose, les faits montrent clairement que notre hypothèse de travail soit la négation dangereuse de la volonté affirmée de certains peuples de notre pays d’en dominer d’autres et celle tout aussi affirmée d’autres peuples de se débarrasser de ceux qui tentent de les subjuguer – à leur manière d’apprécier les comportements de leurs voisins. C’est ce que nous vivons en Ituri, dans le Kivu, dans l’Équateur, dans le Katanga, dans le Congo dit central.

C’est dans ce contexte aussi que l’état de siège est, pour nous, une preuve irréfutable, de l’hégémonisme du pouvoir de Kinshasa ; contre lequel nous appelons tout l’Est à livrer une légitime et juste bataille politique et non pas une improductive et déshumanisante rébellion.
Beaucoup de supporters de cet ignoble projet déchantent depuis des mois, mais sont incapables de paisiblement obtenir notre liberté aliénée, face à des lâches ennemis armés qui sévissent à l’Est de la République.

C’est ce qui nous arrive avec la CENI, la République, la MONUSCO, le lingala, les 60% de transferts, que Kinshasa nous impose, mais que plus personne dans le Kibali-Ituri, la Tshopo, les Uélé et les autres province de l’Est, ne sait et n’arrive à arrêter ; dans ce même registre colonial, esclavagiste.

Il est contre productif de vouloir nier des faits. Tant que nous serons dans la minorité politique, nous serons des démons : rien d’étonnant à cela. Ce qui nous fait peur n’est pas le rejet des nôtres, mais le sort lourd et terrible que Lui prononce sur ceux qui, comme nous tous congolais, ont les cous roides.

Paix chez vous tous dont les pieds sont beaux du fait de l’annonce que vous faîtes de la Bonne Nouvelle, par beaux temps, comme par mauvais temps.

Ituri : fungula macho !


1. Évitez les rencontres en présentiel. C’est le moment que les mouchards vous empoisonnent, vous tuent à petit feu, profitant de vos distrations et niaiserie. Préférer les réunions en ligne, téléphoniques. Celui qui vous mettra sur table d’écoute ne gagnera rien si vous parlez de notre devenir, sans volonté de nuir à personne…

2. Ne soyez soumis qu’au Père et ne vous laissez subjuguer par personne. Les injonctions mal placées que vous suivez font notre faiblesse devant les suppôts de Satan qui renforcent alors leur domination sur nous… Résister à Satan le fait fuir, selon les Écritures et cela est mon expérience personnelle.

3. N’allez plus plus aux réunions sans ordre du jour ni improvisées : vous y perdriez votre temps ou votre vie précieux . Elles sont le fait de l’immaturité ou de la précipitation qui va à l’encontre de l’excellence chère à nos aïeux…

Ci-dessous une démonstration de la moutonnerie iturienne.

COMMUNIQUÉ D’URGENCE

Très chers frères et sœurs, leaders et membres des conseils provinciaux, urbains, communaux et locaux. Très chers coordonnateurs des associations et mouvements de jeunes, présidents des taximans et motards, présidents des jeunes des communautés : bonsoir !
Une réunion d’urgence est prévue [organisée] à votre intention pour demain, mercredi, de 7h00 à 8h00, dans la salle des jeunes CAP-MAP.
Sur ce, vous êtes conviés à participer physiquement [dans] à ladite rencontre.

Ordre du jour :

La situation sécuritaire et diplomatique de l’Est de la RDC, cas de l’Ituri : enjeux, défis et perspectives.

NB.

Vu l’importance de cette rencontre pour [l’intérêt de] notre chère province, aucune absence ne sera tolérée [Indice de la dictature, de la domination, de la colonisation].
Qu’on se le communique [Amateurisme politique].

Ambassadeur Gentil KANIKI ABIANDROA

Président du Conseil Provincial de la Jeunesse de l’ITURI.

Ce qui est important se prépare dans le calme et le respect et non pas dans la précipitation ni dans l’irrespect !

Pour travailler vite et bien, l’ordre du jour ne doit pas se contenter d’indiquer le thème, mais aussi les questions initiales ou définitives auxquelles les personnes réunies rechercherons des réponses ou les problèmes auxquels la réunion devra apporter des solutions. Cette façon de faire permet d’éviter les discussions oiseuses et bien de distracteurs, de divagations.

Il convient aussi de bien sassurer que tous nos frères ituriens soient former au travail en groupe. Il est en effet connu des animateurs de réunions que travailler en groupe avec des personnes non former pour ce type de travail, c’est gaspiller du temps et de l’énergie et risquer de démotiver des personnes qui au départ sont très engagés…

Nos interrogations.


[6/7, 16:30] MUW : Nous venons d’être alerté par une population de Nyamamba maintenant même à 15h du 06/07/2022 de l’entrée des éléments de Codeco dirigé par Bahati venus de Datule à Nyamamba, dans le groupement Gbavi , chefferie des Bahema Banywagi.Ils appellent la population au meeting.La majorité de la population se trouve à ce moment dans la brousse. La question que nous continuons à se poser, que deviennent les milices de Codeco en Ituri pour le moment ?
[6/7, 18:11] GPAU : Quel est le sens de cette question au regard de l’histoire de l’Ituri ?