Les ituriens croient à nos ennemis : Kinshasa et la MONUSCO !


[16/7, 10:19] G. Paluku Atoka Uwekomu: C’est la catastrophe !
Cette fois, je vois mon pays occupé, recolonisé.
Dommage que les ituriens acceptent, tolèrent ces macabres visiteurs que Kinshasa invite chez nous.
L’avenir nous dira qui mourra et pourquoi.
En effet, le conflit dit hema/lendu tout comme l’invasion du pays par des bandits étrangers ne peuvent correctement être résolus de cette manière…
[16/7, 10:22] René Baraka Timolo: Quel est votre proposition ?
[16/7, 10:42] G. Paluku Atoka Uwekomu: La réponse, René, est dans mon texte :

Dommage que les ituriens acceptent, tolèrent ces macabres visiteurs que Kinshasa invite chez nous.

1) Il nous revient, nous, ituriens, de régler les conflits que nous avons nous-mêmes créés entre nous (lendu et alliés – hema et alliés).

2) Il nous revient de comprendre que Kinshasa et l’ONU veulent le délabrement de l’Est pour des raisons différentes, mais avec des intérêts convergents ; et de ce fait, ne sont pas les directions vers lesquelles il faut aller pour trouver du secours.

Plus clairement et précisément, où est la solution aux deux problèmes ( conflits internes et occupation étrangère ) ?
Dans la construction de deux arbres à problèmes par les ituriens eux-mêmes et ou pour les ituriens eux-mêmes.

Nous sommes prêts pour conduire ce travail depuis décembre 1999. Aucun iturien ne veut se mettre au travail. Les ituriens croient à nos ennemis : Kinshasa et la MONUSCO !

Initier dans l’Ituri ?


Voici un entretien que je viens d’avoiravec JC sur la question ci-dessus.

(…) Quelles sont les opportunités que tu ne cites pas ?
Je souhaiterais bien les considérer, si cela te convient.


1. Construire de grands dépôts à Mahagi et Aru.

2. Pourvoir en véhicules de transport public.

3. Électrifier les territoires.

Etc.


Frère,
Ce sont tous de bons projets. Nous pouvons les mettre en œuvre avec nos propres ressources, avant de recourir à l’État et aux banques, pour leur extension.

Je vais demander aux ituriens de mon entourage de participer. Ceux de la SDCM, dans Mahagi, sont à mon avis d’office preneurs de tels concepts. Il est question de leur soumettre des plans d’affaires convainquants : un par projet.

Dans les autres territoires, j’ai des amis qui ont difficiles à obtenir l’engagement de leurs bases respectives ; si ce n’est qu’à Djugu où les choses iraient plus vite, contrairement à ce qu’il n’en apparaît. À la vue des résultats, ils auront plus faciles. Je pense.

Construire l’Ituri…


Nous n’allons pas construire l’Ituri avec le tribalisme, la lâcheté, de la barbarie, de la méchanceté ni du banditisme.
C’est avec l’humanité, le courage, l’humanisme, la bienveillance et le civisme qu’il nous sera possible d’avancer, de développer notre province.
J’en appelle donc personnellement, à tous les combattants ituriens à cesser de se laisser manipuler par des paresseux, incompétents ou méchants hommes politiques, du pouvoir comme de l’opposition. Ceux qui poussent les autres à la mort, mais qui ont une peur bleue quand il faut prendre les armes pour combattre les ennemis de sa famille, de son peuple ou de sa nation.
Il nous faut quitter nos complexes, nos peurs, nos rancoeurs pour nous libérer de toute forme d’oppression, de domination, d’exploitation.
Une justice doit être rapidement instaurée d’une manière concensuelle.
Les esclavagistes, les colonisateurs, les pilleurs, les usurpateurs, les dictateurs doivent être estés en justice pour rendre compte à nos familles, à nos peuples et à notre nation.
Sans quoi, attendons nous au chaos et assumons notre choix de la guerre fratricide.

ITURI : Le gouverneur serait dépassé par le cours des évènements ?


URGENT URGENT URGENT, LE GOUVERNEUR MILITAIRE DE L’ITURI S’EST DÉCLARÉ DÉPASSÉ PAR LES ÉVÉNEMENTS DE L’INSÉCURITÉ EN ITURI.

C’était lors d’une rencontre entre la délégation de 5 communautés victimes, dénommé G5 A et lui le gouverneur militaire le 03/02/2022,
Dans l’audio que Madame SARAH a livré dans les groupes whatsapp, elle a d’abord présenté ses condoléances à la communauté ensuite elle a informé l’opinion public que la délégation de G5 A avait eu à rencontrer le gouverneur militaire pour la question des obsèques des civils membres de la communauté hema massacrés en date du 02/02/2022 à une heure du matin à Bule et c’est à cette occasion que le gouverneur a dit qu’il est dépassé par les cours des évènements actuels

La raison évoquée est qu’il n’a pas l’effectif des militaires nécessaires à envoyer au front pour se battre contre les codeco et pour protéger la population; il a déjà fait ce rapport à sa hiérarchie à maintes reprises, mais sans succès; il détient toutes ses correspondances, c’est avec cela qu’il se défendra plus tard même en justice.
Le gouverneur a exhorté aux communautés victimes regroupées au sein de G5 A de réclamer au gournement central l’envoie des militaires supplémentaires pour l’ituri.

Face à cette déclaration irresponsable de la part du gouverneur militaire de l’Ituri, l’opinion public se pose les questions suivantes:

  1. Le gouverneur militaire de l’Ituri se rendant compte être dépassé par les événements actuels des massacres en ITURI et s’estimant n’être pas écouté par Kinshasa, pourquoi ne peut-il pas démissionner?
    Se sent-il fier d’assister avec un œil impuissant face à ce génocide qui se passe à Djugu, Mahagi et Irumu?
  2. Il se justifie par le manque d’effectif des militaires pour envoyer au front, l’opinion public se demande où étaient partis les 16 camions des militaires FARDC envoyés en ITURI dernièrement en provenance de Kisangani ? à cela il faut ajouter un effectif important des gardes républicains commandé par le colonel Shiko venus renforcer les troupes ici en ITURI.
  3. Si le gouvernement central n’a pas pu selon lui répondre à ses demandes, est ce que c’est aux communautés victimes qui vont réussir?
    Est ce que c’est la mission des communautés victimes est de demander au gouvernement central d’augmenter l’effectif des militaires en ITURI ?
  4. Lorsque le gouverneur militaire dit que c’est avec ces lettres de demandes de l’augmentation des troupes envoyées à Kinshasa qu’il se défendra plus tard même en justice. Se reproche-t-il de quelque chose face à cette situation d’insécurité croissante en ITURI ?
  5. Luc Malembe n’avait-il pas raison de dire après massacre de plus de 100 déplacés dans le site de déplacé de DRODRO en novembre 2021 que « LE GOUVERNEUR MILITAIRE DE L’ITURI EST TOTALEMENT DÉPASSÉ PAR LA GRAVITÉ DE LA SITUATION SÉCURITAIRE, IL EST TEMPS POUR LUI ET SON ÉQUIPE DE S’EN ALLER » ?

À lui de prendre une bonne décision de sauver son honneur et peut-être d’échapper à la justice face à son incompétence.

Ituri : l’auditorat militaire instrumentalisé par Kinshasa…


[9/6, 10:32] +243 817 638 848: Alerte alerte

Pour détournements des fonds de l’État, l’ex Ministre Provincial de l’économie et finances et le DG de la DGRPI, tous du gouvernement Jean Bamanisa, sont interpellés ce Mercredi 9 juin 2021 à l’auditorat militaire de l’Ituri. C’est sur demande de l’avocat de la République que ces précités sont interpellés. Il était difficile de comprendre comment la caisse de la province était restée vide. Il sera aussi question d’établir des responsabilités dans le décaissement des fonds dans les comptes de la province.
Pour plus des précisions, passer à l’auditorat militaire maintenant, car ils sont déjà là.
Nous demandons à la justice militaire de travailler pour l’intérêt de la République et d’appliquer la loi en cas des aveux.
Il faut noter que l’IGF aussi, promet être à Bunia la semaine prochaine.

Que vive l’État de droit.

Christian Shauri
Acteur politique et Jeune leader.
[9/6, 11:14] Paluku-Atoka Uwekomu: Alerte tardive…

Pour détournements des fonds de l’État, l’ex- ministre provincial de l’économie et des finances et le DG de la DGRPI, tous du gouvernement Jean Bamanisa, sont interpellés, ce mercredi 9 juin 2021, à l’auditorat militaire de l’Ituri.
Je suppose que ce sont des civils. Pourquoi doivent-ils répondre devant une juridiction militaire ? Que dit la loi – laquelle – à ce sujet ?

C’est sur demande de l’avocat de la République. Quelle différence y a-t-il entre ce dernier et le procureur de la République ? L’avocat de la République représente quelle institution, dans le cas d’espèce ?

Il était difficile de comprendre comment la caisse de la province était restée vide. Il sera aussi question d’établir des responsabilités dans le décaissement des fonds des comptes de la province.
Pour plus de précisions, passer à l’auditorat militaire maintenant, car ils sont déjà là. Est-ce à l’auditorat militaire qu’un citoyen pourrait avoir des précisions sur l’interpellation de deux fonctionnaires ?

Nous demandons à la justice militaire de travailler pour l’intérêt de la République et d’appliquer la loi en cas d’aveux.

La justice ne s’applique pas qu’en cas d’aveu, mais aussi dès lors que la preuve de la faute est apportée par le plaignant.

Il faut noter que l’IGF (?) aussi, promet d’être à Bunia la semaine prochaine.
Dans quel but ?

Que vive l’État de droit.

Christian Shauri
Acteur politique et Jeune leader.

Je pense que l’État siège ne doit être pour Kinshasa l’occasion de se débarrasser des têtes qui ne lui plaise pas de manière expéditive. Qu’en est-il des juridictions civiles pendant cet état de siège ?

Soyons réactifs : titillons nos parlementaires pour que les militaires rentrent vite dans leurs casernes. Sinon, l’Ituri risque de voir l’insécurité y croître drastiquement !

L’Ituri et tout l’Est sont en danger !


[31/5, 16:19] +243 823 986 222: https://lavoixdelituri.net/iturila-province-enregistre-le-premier-bilan-lourd-des-attaques-des-adf-depuis-la-proclamation-de-letat-de-siege/


[4/6, 12:45] Graphèle Paluku Atoka Uwekomu: Notre Président ne nous aime pas, nous de l’est du Congo : je vous ai prévenu !
Il vient de poster les siens, armés, partout : que réaliserons-nous si nous ne le dénonçons pas démocratiquement et courageusement ?
Je vous ai conseillé de titiller nos parlementaires pour le dénoncer et pour refuser l’état d’urgence : personne ne bouge…
Nous n’avons pas confiance en Dieu, ni ses fils : quel sera notre sort dans ces conditions ?

Ituri : insécurité électrique en plus…


Nous avons développé la question dans le groupe WhatsApp « Projet 2014 ».

Des hommes meurent comme des mouches en RDC. Le peuple, qui découvre ses erreurs, plutôt que de se repentir de ses péchés, s’accroche au népotisme et à l’arbitraire. Les conséquences sont là.

Notre peuple découvre notre insécurité, notre misère énergétique : elle va exposer ses transformateurs au stade… Comme toujours, il applaudit et danse.

Le pays continue donc sa descente aux enfers !

Le coup roide et Dieu.


[28/5, 12:09] David Mungunuti Mokili: Papa Gouverneur Militaire de l’ituri, le temps de l’Évangile est révolu, la population iturienne attend la neutralisation de ces criminels qui ont semer et sèment la terreur depuis des années, ce que vous faites était déjà fait par le gouverneur Bamanisa, Bamanisa et d’autres ituriens ont déjà sensibiliser ces frères égarés mais n’ont jamais compris, je ne pense pas que votre mission est de venir faire l’Évangile c’est plutôt venir imposer l’autorité de l’État enfin qu’il ait la paix durable pour tous. Frapper ces miliciens est une solution efficace, les évangiles entrent dans l’oreille gauche et sortent dans l’oreille droite.
[28/5, 12:15] Paluku-Atoka Uwekomu: Avec un tel esprit, Dieu nous résistera !
Accordons-nous 4 semaines pour voir si j’ai tort.

Ituri : mon terroir…


La fraîche livraison ci-dessous parle de mon terroir.  L’Ituri – puisque c’est de lui qu’il s’agit – connait les guerres et les autres tribulations devenues courantes partout au Congo, depuis 1964.  Rébellions, affrontements interethniques, invasions par des hommes armées étrangers, pillages de ressources par des entreprises ou personnalités étrangères au district – congolaises ou non, viols, massacres, esclavage et autres : sont notre lot depuis que cette portion de la RDC est occupée par des populations de toutes les cultures du Congo.  Pygmées, bantous, soudanais et nilotes ont su se créer, dans le Kibali-Ituri d’abord et l’Ituri ensuite, une culture à part, caractéristique, ou se mêle christianisme, l’amour du travail bien accompli, de l’honnêteté, attachement à la justice, à la pudeur, au repect de la personne âgée, à l’accueil à l’étranger en danger, etc.  Nous avons en même temps cultivé des tares : la molesse politique qui nous fait supporter des aventuriers de toutes sortes : molelistes, mobutistes, kabilistes, kanambistes, batokachini – au sens culturel et non géographique du terme – néo-pencotistes, brahanamistes et autres personnes comparables, ayant des cultures incompatibles avec les nôtres.  Ce qui profite aux ennemis actifs ou passifs de nos âmes…

La division du Kibali-Ituri en Ituri et Nord-Kivu est une des initiatives de nos ennemis congolais, jaloux de l’élan que ce véritable futur État de progrès avait pris, à l’époque coloniale déjà.  Nous avons pourtant, depuis toujours, des hommes d’État reputés pour leur loyauté dans leur service à la nation congolaise.  Les brebis galeuses ne manquent pas ; cependant, nous pouvons être fiers d’être ituriens.  Notre naïveté, passivité politique et nos rivalités tribables en revanche ont profité énormément à nos ennemis.  Ils ont vite fait que d’éloigner le Nord-Kivu d’abord.  Ensuite, ces tares ont permis aux rébellions de pénétrer notre terroir et de détruire notre culuture, au lieu de renverser et de remplacer les régimes qui ne nous convenaient pas.  Aujourd’hui, l’imposture profite d’elles pour élargir sa base électorale jusque chez nous.  2001 et 2006 d’abord ; et, 2011 ensuite nous ont fait contribuer et participer à une démarche suicidaire que nous regrettons, à quelques uns seulement, l’Ituri étant déjà pourri jusqu’à la moelle des ses os…

En 1994, nous priions l’Ituri de ne pas accepter le projet MONUC et de préférer une solution locale des problèmes interethniques qui s’y posent avec récurrence, depuis que nos ancêtres on successivement conquis les terres de la région.  Personne ne nous comprit, personne ne nous suivit.  L’histoire nous donne aujourd’hui raison.  Le passage de la  MONUC à la MONUSCO nous coûte plus en vies humaines et en matières premières emportées qu’il ne nous apporte l’instruction, l’éducation, la formation, la paix, le progrès social et culturel de nos populations.  Tout le monde déchante aujourd’hui !

2016 est une échéance qui représente, pour certains, un autre test.  Pour nous, nous n’y voyons pourtant qu’un autre mauvais départ, pire que les précédents.  Parce que l’imposture ne sait plus s’améliorer et que l’opposition ne se prépare pas à s’assumer.

C’est dire que l’Ituri, comment les autres contrées du Congo, se prépare à nouveau à mal repartir.  La lecture de l’article suivant nous donne, si cela en était besoin la preuve que le pire est encore à venir, tant que nous ne voudrons pas prendre nous-mêmes notre avenir en mais ; et que, nous préférerons confier aux ennemis de nos âmes la charge de conduire notre destinée.


Un milicien dans l'Est de la RDC.Un milicien dans l’Est de la RDC.

Des rebelles ougandais des ADF sont accusés d’avoir tué, dans la nuit du 18 au 19 décembre, six personnes à l’arme blanche à l’issue d’une incursion dans la collectivité de Welesse Vonkutu, en territoire d’Irumu (Province Orientale). Selon les rescapés, ces assaillants armés s’exprimaient en swahili.

Le chef coutumier de Walesse  Vonkutu, Eugène Andibo Okauma, indique qu’un important mouvement des populations est également constaté dans cette contrée en proie aux groupes armés.

Les atrocités perpétrées par ces hommes qui tuent à coups de machette ont provoqué le déplacement des populations des localités situées en pleine forêt de Walesse Vonkutu pour se concentrer à Samboko, où se trouvent des soldats de l’armée régulière.

Le camp iturien


http://www.digitalcongo.net/article/70159

11 MW installés, dont 3,3 seulement sont disponibles.

Que représente ces 11 MW ?  De quoi alimenter 1000 ménages (hypothèse : 6 personnes par ménage), près de 6000 habitants seulement de la ville de Bunia qui en compte 366126.  Rien que pour les ménages, c’est donc bien de 670 MW que Bunia a besoin.   Quelle arnaque, des populations sans guide, parce que refusant de s’engager dans le Projet 2014 !  Où trouverons-nous ces 670 MW ?  Plusieurs rivières de l’Ituri nous permettent d’y prétendre : Ngezi, Shari, Ituri, Nzani, Loya, etc.  Pour que l’exploitation de ces ressources soient possible, ce n’est pas de Kinshasa qu’il faut attendre une initiative.  C’est à Kinshasa qu’il faut imposer le respect d’un plan que nous nous serons proposé pour électrifier notre ville et notre district et ses environs.

Depuis 1960, la ville de Bunia et tout l’Ituri, continuent à être pillés ; par les congolais comme par les étrangers.  Plusieurs y ont construit leurs fortunes et se sont ensuite évadés ou en ont été chassés par le MNC, les rebelions.  Certains sont rentrés dans leurs terroirs respectifs avec leurs butins.  Là ils ont construit, avec la fortune accumulée en Ituri, ce à quoi la majorité d’ituriens ne peuvent prétendre !  Comment comprendre que le pays de l’or jaune et de l’or noir, le pays du tilapia et du capitaine, que le pays du coltan demeure pauvre ?  Pendant ce temps, les ituriens èrent ça et là, muselés, incapables de défendre leur cause par eux-mêmes, comptant sur la providence pour leur lendemain.

En 2016, plusieurs passeront encore en Ituri, dans la ville de Bunia, tenter d’y glaner des voix pour continuer leur domination et leur exploitation de l’iturien.  Il faut savoir réagir, prévenir !  Non pas avec des machettes, mais avec l’épée de l’esprit.

C’est pour cela que dans le cadre de notre participation au Projet 2014, nous invitons les ituriens à ne pas continuer ce sommeil sommeil suicidaire dans lequel nous sommes plongés depuis l’époque de la traîte des exclaves, mais à se joindre à nous pour provoquer, exiger le changement nécessaire, tant que faire se peut, avant le 1er janvier 2014 !  Cela est possible : c’est l’organisation, la détermination, la sagesse, l’intelligence et le courage qui nous font défaut.

La démarche passe, comme nous l’avons toujours suggéré, par l’identification de nos vrais leaders, leur promotion, la disqualification de leaders véreux que nous avons commis à la gestion de la chose publique, l’amorce d’un développement par projets, sous la houlette d’hommes patriotes, sages, intelligents et compétents.

Il s’agit en effet d’initier des projets qui provoquent un saut dans l’histoire du développement de l’Ituri et de Bunia sa capitale.  La multiculturalité nous permet d’avoir la ressource humaine la plus riche en idées et en techniques.

La balle est donc dans le camp de l’Iturien.