Nos questions à ChatGPT
- Tous les sénateurs américains sont-ils pour l’accord de Washington ?
- Sinon, combien sont contre ?
- Les USA sont-ils capable d’imposer la paix aux Congolais ?
- Pourquoi ?
- Tous les congolais sont-ils favorables à l’accord de Washington ?
- Pourquoi ?
- Quelle proportion représentent-ils ?
Les réponses de ChatGPT
Excellentes questions — et elles montrent bien la complexité de la situation actuelle. En l’état des informations publiques, voici ce que l’on peut dire — avec précision, mais aussi honnêteté sur les incertitudes.
🔹 1. Tous les sénateurs américains sont-ils pour l’accord de Washington ? Sinon, combien sont contre ?
- Il n’existe pas d’information publique montrant que tous les sénateurs américains soutiennent l’accord. (foreign.senate.gov)
- Il y a certains sénateurs (notamment des figures du parti démocrate) qui ont salué l’accord comme une étape possible vers la paix, tout en insistant sur la nécessité d’une mise en œuvre effective. (allAfrica.com)
- Mais je n’ai pas trouvé de source crédible qui donne un nombre clair de sénateurs « contre » l’accord — absence de vote formel, amendement ou rejet public dans le Sénat visible.
👉 Conclusion : non, on ne peut pas dire que tous les sénateurs soient pour. Il y a un soutien ouvert de plusieurs d’entre eux, mais pas de vote unanime documenté, donc pas de base factuelle pour affirmer qu’un certain nombre est « contre ».
Les Congolais, logiquement, doivent cesser de prendre pour avis du sénat américain ce qui ne l’est pas : le point de vue de deux sénateurs que nous rencontrons sur le Net.
Et même si cela devait l’être, cette prise de position, qui prône l’impérialisme et nie aux peuples du Congo leurs droits à leur autodétermination, leur droit à la souvereineté ne passera plus comme par le passé. Dieu lui-même, pour l’amour des siens, fera concourir les évènements pour l’échec de tous les projets de perpétuation de la colonisation du Congo qui continue, hélas, jusque ce jour ; et ce, avec la bénédiction du pouvoir de Kinshasa. Tous les Congolais épros de paix et de justice, rejètent le processus de Washington depuis son début.
🔹 2. Les États-Unis sont-ils capables d’imposer la paix aux Congolais ? Pourquoi — ou pourquoi pas ?
✅ Ce qu’ils peuvent faire :
- Grâce à leur influence diplomatique et leurs relations — le fait qu’ils aient pu réunir la RDC et le Rwanda à Washington montre une capacité à négocier et à imposer un cadre international. (Reuters)
- En tant que médiateur, les États-Unis peuvent proposer des incitations économiques, des garanties diplomatiques, des partenariats miniers pour encourager le respect des engagements. (Wikipédia) Tant que la relation sera celle de deux trois personnes, nous Congolais en quête d’une paix entre nos peuples et non d’une quelconque aide américaine, nous dresserons contre cette volonté d’utiliser la marionette kinoise contre les intérêt de notre nation. Ceux qui veulent acheter le Congo des mains de Tshisekedi seront, tôt ou tard accusés de recelle.
⚠️ Ce qu’ils ne peuvent pas garantir réellement :
- Le conflit à l’Est de la RDC ne dépend pas uniquement d’un pacte entre trois personnes : il implique des groupes armés multiples, des dynamiques internes, des agendas communautaires et des intérêts ou convoitises minières. Même un accord entre États ne couvre pas forcément tous ces acteurs. Plusieurs rapports notent que les combats ont repris juste après la signature de l’accord. (The Guardian) C’est la preuve qu’un terrorisme américain n’a pas d’autre nom qu’un terrorisme des islamistes ou européens qui se cachent mal.
- La souveraineté nationale, les intérêts internes, les logiques locales, les alliances informelles — ces facteurs échappent en grande partie au contrôle externe, selon certains. Mais, depuis toujours, les Congolais que l’esclavagisme et le colonialisme continuent. Il faudra du temps pour que la RDC s’en débarasse, sous un autre régime qu’une République.
- Une paix durable nécessite plus qu’un accord d’État : il faut un accord de terrain, un travail de réconciliation, un contrôle effectif, et une volonté réelle de réforme — ce que ni les États-Unis ni Kinshasa ne peuvent pas imposer unilatéralement, indéfiniment. Déjà, les EUA savent l’erreur à corriger : compter sur des hommes sans foi ni loi. Comme pays chrétiens, les EUA doivent se répentir de leur péchés ; sinon, la colère de Dieu s’abattra sur le pays qui ne peut choisir Dieu et Mamon.
👉 Conclusion : les États-Unis peuvent faciliter, encourager, inciter, surveiller, mais ils ne peuvent pas “imposer” la paix de manière durable — surtout dans un contexte aussi fragmenté que l’Est de la RDC ; où, les nilotiques ne se laisseront pas faire. Parce que ce sont eux que certains bantous racistes de longue date, voudraient anéantir ; pour venger les leurs, génocidés au Congo comme au Rwanda.
De plus en plus de Congolais commencent à comprendre la nécessité de s’approprier le Congo issu de l’indépendance factice de Lumumba. Ils acceptent enfin que les Congolais ne sont pas encore réellement indépendants.
La diversité culturelle du pays, les erreurs de Lumumba et de ceux qui l’ont suivi jusqu’à ce jour, ainsi que l’incapacité de nos peuples à conquérir leur véritable indépendance faute de leaderships compétents, rendent extrêmement difficile tout processus de pacification au Congo — surtout par la force.
Au Projet 2014, nous proposons avant tout l’extirpation du modèle républicain de la RDC. Tant que le pays demeurera une République, il ne faut pas espérer y instaurer la paix. Kinshasa tente, en vain, d’imposer la paix à l’Est en niant aux Nilotiques congolais leur nationalité et leurs terres. Très bientôt, il lui faudra revoir ses calculs et cesser d’exposer inutilement la vie de nos concitoyens par un discours de division et une politique dictatoriale et terrorisante. Une telle approche ne fera qu’aggraver les fractures et exposer davantage le pays au risque d’éclatement, car il existe des Congolais — tant à l’Est qu’à l’Ouest — qui savent ce qu’ils veulent, contrairement à ce que Kinshasa semble vouloir leur imposer.
Le M23, qui n’est pas la seule rébellion armée contre le régime de Kinshasa, constitue une mauvaise défense de la cause nilotique. Cependant, il ne pourra être réduit au silence par la force militaire, fût-elle américaine. Seule la justice permettra un jour de faire taire les armes. Or, les hommes de Kinshasa — qui ont eux-mêmes des comptes à rendre au pays — sont logiquement incapables d’instaurer une telle justice. Washington et Doha constituent donc, clairement, des manœuvres contraires aux intérêts du peuple congolais, comme nous le savons depuis le début : les amis de nos ennemis sont nos ennemis.
Il en va de même pour la CODECO, autre rébellion armée née du mépris persistant envers les populations balés et lendus, entretenu par certains Hemas, Alurs et leurs alliés. Elle ne pourra être muselée sur sa propre terre sans perturber la paix mondiale, ni sans qu’elle finisse par triompher d’un combat qui dure depuis des siècles.
La liste est longue. Chaque dictature qui s’est succédé au Congo a ajouté une couche supplémentaire de rancœur, tant entre Congolais qu’entre les peuples du Congo et ceux des nations étrangères.
🔹 3. Tous les Congolais sont-ils favorables à l’accord de Washington ? Pourquoi ? Quelle proportion représentent-ils ?
- Il n’existe aucun sondage fiable public à ce jour, couvrant toute la RDC (et spécialement l’Est) mesurant le niveau de soutien à l’accord de Washington. Je n’ai trouvé aucune étude d’opinion récente — donc aucune base statistique pour dire « tous » ou « une majorité/ minorité ».
- Vu la diversité de la RDC (communautés étatiques, zones rurales, groupes armés, exilés, diaspora, populations des zones de conflit), il est hautement improbable que « tous les Congolais » soient favorables — l’hypothèse de l’unanimité est irréaliste.
- Beaucoup de Congolais (dans l’Est, mais aussi ailleurs) resteront dubitatifs ou sceptiques tant que les promesses ne sont pas traduites en actes : retrait de troupes, désarmement, justice, reconstruction, respect des droits.
👉 Conclusion : on ne peut pas dire que « tous » les Congolais sont favorables. On ne peut pas quantifier une proportion — faute de données. Ce qui est certain, c’est que l’attente est massive, mais la méfiance l’est encore plus.
Il est étonnant que les statistiques sur l’opinion congolaise au sujet des accords de Doha et de Washington soient si rares. Pourtant, ces données semblent essentielles pour évaluer la légitimité de ces deux projets. Que disent réellement les rapports onusiens ? Et, sans ces éléments, comment pourrions-nous juger objectivement de la légitimité de tels processus ?
Dans ces conditions, le Projet 2014 se doit de tout mettre en œuvre pour aider les Congolais que Washington et Doha « réduisent au silence », lâchement (?), peut-être, afin de poursuivre le pillage de nos peuples affaiblis par 140 ans d’une colonisation qui succède à plusieurs siècles d’esclavage. Les Congolais doivent participer pleinement à l’avènement de notre véritable indépendance, qui ne fait que commencer. Le plus simple est de contribuer à l’émancipation de nos communautés, dans une démarche idéalement nationale, mais réellement libre, afin d’éviter des déconvenues inutiles.
Les conflits interethniques seront ainsi résolus plus rapidement qu’en attendant l’intervention des hommes de Kinshasa, qui n’ont aucun intérêt à s’y engager.
🔹 4. Pourquoi ces incertitudes sont-elles légitimes ?
- Le contexte congolais est marqué par des années d’accords non respectés — ce qui crée un rejet (cynisme + méfiance) de tout nouvel accord.
- Le terrain réel (Est de la RDC) est fragmenté : groupes armés, milices, minorités, exactions, alliances changeantes. Un accord bilatéral n’inclut pas tous ces acteurs.
- Les enjeux miniers, stratégiques, internationaux (richesses, minerais, intérêts financiers) sont énormes : cela ajoute une dimension économique au conflit — beaucoup de résistances sont liées à ces intérêts.
✅ Mon évaluation — honnête et nuancée
- L’accord de Washington a un certain soutien au sein du Sénat américain, mais il n’est pas universel — on ne peut pas l’assumer comme unanimité.
- Les États-Unis peuvent jouer un rôle important, mais ils ne peuvent pas garantir la paix : la paix dépend d’abord de ce qui se passe sur le terrain, en RDC.
- En l’absence de données solides, on ne peut pas prétendre que tous les Congolais soutiennent l’accord — et toute estimation chiffrée serait hasardeuse.
En bref : l’accord est une opportunité. Mais ce n’est ni une garantie, ni un ticket gagnant automatique. Tout dépendra de la volonté réelle des acteurs, de la pression de la société civile, et de la vigilance citoyenne.
From <https://chatgpt.com/c/68cb9b28-98b8-8331-9bde-432d9ed45b44>
Nos questions subsidiaires à ChatGPT
- Qu’est-ce qui plaide pour « l’opportunité » de l’accord de Washington, objectivement parlant ?
- À contrario, qu’est qui plaide pour « la dangerosité » de l’accord de Washington ?
Les réponses de ChatGPT à nos questions subsidiaires
Voici une analyse strictement objective, structurée, équilibrée, et alignée avec les faits connus aujourd’hui.
Je distingue clairement ce qui plaide pour l’opportunité de l’accord de Washington,
et ce qui plaide pour sa dangerosité.
✅ I. Ce qui plaide pour « l’OPPORTUNITÉ » de l’accord de Washington (objectivement)
Même ses critiques reconnaissent que l’accord apporte certains éléments potentiellement utiles, s’il est appliqué avec sincérité et rigueur.
1. La mise en face-à-face de la RDC et du Rwanda
Depuis des années, la guerre dans l’Est est alimentée par des accusations mutuelles (soutien rwandais au M23, soutien congolais aux FDLR).
Le fait que les deux chefs d’État se retrouvent ensemble dans un cadre diplomatique fort — les États-Unis — constitue un progrès symbolique et diplomatique.
👉 Cela ouvre une fenêtre possible de désescalade.
2. La pression diplomatique américaine
Les États-Unis sont l’un des rares acteurs ayant assez d’influence politique, militaire et financière pour obliger :
- Kigali à faire des concessions,
- Kinshasa à accepter un compromis,
- et les deux parties à signer un document engageant.
Si Washington décide réellement de suivre l’application,
👉 cela peut freiner les violations et encourager un retour au dialogue.
C’est ici que réside l’erreur monumentale :
– Se faire le gendarme de la région des Grands Lacs.
– Travailler sur la base de concessions et de compromis qui laissent intactes les rancœurs, les frustrations et les inimitiés.
– Penser que des signatures apposées sur du papier ont la même signification que dans la culture occidentale.
Il faut avoir le courage d’aider les frères ennemis à comprendre l’intérêt qu’il y a pour eux à résoudre leurs problèmes honnêtement, résolument et librement, afin de ne plus demeurer esclaves ni colonisés, pour le plus grand bien de toute l’humanité.
Les fautifs paieront alors pour leurs fautes et seront totalement déchargés du poids de la culpabilité. Les victimes se sentiront respectées, valorisées et encouragées à pardonner, tout comme elles auront été, elles aussi, pardonnées.
3. Un cadre pour organiser un mécanisme sécuritaire
L’accord propose la création d’un mécanisme de surveillance conjoint (ou supervisé) du retrait, du désarmement, des mouvements de troupes.
👉 C’est un instrument utile si les parties jouent le jeu.
Il y a pourtant des raisons de penser que les membres du M23 ne sont pas des suicidaires. Où iraient-ils ? Au Rwanda ? Pour y faire quoi ? Les Rwandais qui les aident laisseront-ils leurs frères mourir sous leurs yeux ? Pour quelles raisons mystérieuses ? Est-ce une habitude, chez eux, de trahir un frère ?
Obliger les FDLR à retourner au Rwanda est-ce une solution humaniste ? La RDC n’a jamais réussi, ou n’a jamais voulu, les désarmer : pourquoi ? La RDC livrera-t-elle en pâture ceux qu’elle croyait être ses alliés pour renverser le régime tutsi du Rwanda ? Au fond, ces Hutus — pour la plupart — ne sont-ils pas des frères des Congolais ? Que fera Dieu de ceux qui trahiront leurs frères ?
Nous l’avons toujours dit, depuis longtemps : désarmons les vrais réfugiés. Installons-les loin de nos frontières afin qu’ils participent à l’enrichissement de la RDC. Raisonnons nos frères tutsis jusqu’à ce qu’ils acceptent qu’ils sont une minorité — à protéger — au Rwanda, leur terre à eux aussi. Quant aux islamistes terroristes qui voudraient envahir le Congo chrétiens, sommons-les d’aller chez ceux avec qui ils partagent la même foi.
4. La possibilité d’un allègement immédiat des souffrances civiles
Si même 30 % des engagements étaient appliqués, même temporairement, cela pourrait :
- réduire les combats,
- ouvrir des corridors humanitaires,
- réduire les déplacements de population,
- baisser la mortalité dans les zones les plus violentes.
👉 Pour les populations civiles, même un répit temporaire est une opportunité.
Vivre en paix ne doit pas être quelque chose à quémander simplement parce que l’on est Congolais. Et sans justice, nous le savons bien, la paix est impossible.
La question qui se pose aujourd’hui en RDC est la suivante : qui respecte autrui pour prétendre au respect ? Qui est droit pour mériter la paix ?
Que disent les processus de Washington et de Doha ? Sont-ils capables de nous apporter des réponses à ces questions essentielles ?
5. L’ouverture économique (mines, infrastructures)
Un accord bilatéral sous parrainage américain peut attirer :
- investissements,
- projets miniers régulés,
- financement de reconstruction,
- infrastructures stratégiques.
👉 Dans un contexte où l’Est est ravagé, c’est un levier non négligeable.
Conclusion opportunité
L’accord ouvre une fenêtre de désescalade, même fragile,
et un espace diplomatique formel pour des acteurs qui, jusqu’ici, fonctionnaient surtout par confrontation indirecte.
❌ II. Ce qui plaide pour la « DANGÉROSITÉ » de l’accord de Washington
Cette partie est tout aussi importante — et ce sont des éléments critiques majeurs.
1. Le M23 n’est pas partie prenante
L’acteur militaire principal du front nord ne signe pas l’accord.
👉 Cela fait du texte un accord « théorique » :
- il ne lie pas le M23,
- il ne règle pas les revendications profondes,
- il ne désarme pas les effectifs sur le terrain.
Un accord sans le M23 = un accord incomplet dès le départ.
S’il est juste, louable, souhaitable d’écarter tout groupe jugé terroriste d’un accord de paix, il faut alors écarter aussi le gouvernement congolais, esclavagiste et terroriste, de cet accord. Sinon, il y a injustice et une paix n’est pas possible dans ces conditions. Les peuples congolais ne doivent pas se faire d’illusions : l’insécurité continuera, longtemps encore ; à moins que Dieu interviennent Lui-même, pour l’amour des siens.
2. Les acteurs locaux majeurs sont ignorés
L’accord ne mentionne pas :
- CODECO,
- ZAÏRE,
- FPIC,
- ADF,
- les groupes communautaires Bantu, Hema, Lendu, Nande, Hunde, Nyanga, Alur…
👉 Cela donne une impression de lecture racialisée et simpliste du conflit :
« Rwanda vs RDC »,
alors que la réalité est multipolaire, interne, communautaire et complexe.
Ignorer ces acteurs =
➡️ reproduire les erreurs de Lusaka, Sun City, Nairobi, Luanda…
Voici qui met en lumière le caractère partial, fourbe, du régime qui a signé l’accord de Washington.
Or, tant que ces fautes ne seront pas corrigées, quel peuple sérieux croira et composera avec Kinshasa ?
3. Un risque de “colonialité de la paix”
Lorsque des accords sont négociés loin du terrain,
par des États étrangers,
sans consultation des communautés locales,
cela crée un sentiment de :
- dépossession,
- infantilisation politique,
- marginalisation identitaire,
- esclavage,
- colonisation…
👉 Plusieurs Congolais — du Nord comme du Sud — y voient déjà une forme moderne de « paix imposée », donc suspecte.
Cette paix proposée n’est pas suspecte. Elle est, objectivement parlant, factice, fausse, une méchanceté déguisée en bienfaisance.
4. Le Rwanda et la RDC n’ont pas un bilan crédible
Il existe plusieurs précédents d’engagements non respectés.
Le manque de confiance structurel rend la mise en œuvre d’un tel accord très improbable.
👉 Sans confiance, un accord devient un papier symbolique.
La mise en œuvre d’un tel accord avec succès n’est pas improbable. Elle est une impossibilité mathématique ; sauf dans le monde de niais.
5. Les concessions cachées (danger politique majeur)
Beaucoup redoutent que des concessions :
- minières,
- territoriales,
- diplomatiques,
- ou militaires
aient été négociées en coulisses.
Sans transparence totale,
👉 la population peut percevoir cela comme une trahison,
ce qui augmente la tension interne et le rejet du texte.
6. Risque de fronde intérieure en RDC
Une partie importante des Congolais :
- militaires,
- habitants de l’Est,
- diaspora,
- leaders locaux (Ituri, Rutshuru, Masisi, Hauts Plateaux),
- victimes des conflits,
ne croit pas à cet accord.
👉 Si l’accord est appliqué “par la force”,
on peut assister à une résistance communautaire,
voire à une extension des milices locales.
7. Risque d’illusion diplomatique
L’accord peut créer une fausse impression de paix pour les acteurs internationaux,
ce qui réduit la pression sur le terrain,
alors que les violences continuent.
C’est ce qui s’est produit après Lusaka, Addis-Abeba, Nairobi…
👉 L’accord peut devenir une coquille vide,
mais politiquement dangereuse parce qu’elle donne l’impression d’un “progrès”.
⚖️ Synthèse finale
Ce qui rend l’accord potentiellement utile :
- fenêtre diplomatique ouverte, elle devra néanmoins totalement être débarrasser du parti pris et s’assurer de s’aligner avec la volonté des peuples congolais et rwandais au risque d’échouer.
- occasion de désescalade,
- éventuels bénéfices économiques, l’enrichissement d’une nation dépend de son implication dans le travail structurée, intelligent, partant des ressources à sa dispositions. Le Congo, tout comme le Rwanda, on beaucoup d’atouts encore inexploités pleinement de façon responsable.
- possibilité d’un soulagement humanitaire.
Ce qui rend l’accord potentiellement dangereux :
- pression américaine, risque de paix imposée, déjà perçu par certains Congolais comme de l’impérialisme, comme une convoitise des richesses naturelles du Congo ;
- absence des acteurs locaux (M23, CODECO, Zaïre, FPIC…),
- manque de transparence,
- déficit de crédibilité des signataires,
- risque de rejet populaire et communautaire,
- reproduction des erreurs des accords précédents.
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Notre conclusion provisoire
- Washington aidera la RDC, s’il s’investit dans une démarche humaniste et non pas impérialiste ; cette dernière lui causera du tort à lui-même, à Kinshasa et à Kigali ;
- Les Congolais, tout comme les Rwandais, doivent maintenir le cap de l’apprentissage de la géopolitique ;
- Par-delà toute chose, le Congolais doit revenir à Dieu et arrêter son idolâtrie.
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