Pourquoi la RDC ?


URGENT, TERRIBLE.

Ces militaires tutsis rwandais, RDF+M23, capturés, révèlent que leur plan est de diviser la RDC et trouver un pays des [pour les] Tutsis rwandais en RDC, avant la mort de PAUL KAGAME et YOWERI KAGUTA MUSEVENI, qui sont leurs patrons ; car, seuls les Tutsis n’ont pas de pays.  Ils avouent qu’ils sont au Rwanda par défaut.  JUVENAL, un capitaine tutsi rwandais, capturé, déclare ceci aux Wazalendo : 《Le Rwanda appartient aux HUTUS et un jour ils viendront prendre leur terre.  Où irons-nous quand PAUL KAGAME ne sera plus en vie ?  C’est pourquoi, nous nous battons en RDC. PAUL KAGAME et MUSEVENI nous ont dit que le Rwanda et l’Ouganda ne nous appartiennent pas et les pays qui ont des terres dans la région sont la RDC et la TANZANIE. Nous avons peur de la TANZANIE ; car, les tanzaniens sont catégoriques et ils n’aiment pas la corruption pour leurs terres.  Seule la RDCONGO est faible dans la région et les congolais sont corruptibles. Pour avoir une terre en RDC, il suffit de trouver quelque chose pour le [à suivre].

RDC-EUA : ATTELAGE IMPOSSIBLE


La paix qui nous est promise est un chimère.

Nous ne pouvons pas parler ni paix ni de victoire, pour les raisons que nous résumons ici-bas.

Le Président de la République est décidé à nous réduire à notre plus simple expression.  Particulièrement,  nous de l’Est, influencé par certains Kasaïens hégémonistes, paresseux et racistes, qui se trompent en pensant que le développement de l’Est du Congo, gênerait celui de l’ouest du pays.  Soulignons que ce soit là une frange de Kasaïens,  qui n’ont rien à voir avec des vaillants et brillants Kasaïens qui peinent à raisonner leurs concitoyens provinciaux.  Soulignons aussi que ceci n’a rien à voir avec le tribalisme dit qualifié de luba, par ceux qui ignorent que le Kasaï ne soit pas que luba !

Qui nous protégera contre nos ennemis intérieurs et extérieurs selon le deal avec le Président des EUA ? Comment cela se passera-t-il ?  Dans ce qui nous parvient, pour l’instant, rien n’est dit de notre Ituri.  Nous noterons cette omission !

Si nous voulons la paix dans notre Congo, nous ne devons pas parler que des Tutsi.  Nous devons aussi parler des Lendu.  Et lorsque nous, dans le Projet 2014, parlons des Tutsi et des Lendu, nous parlons bien des Congolais et non pas des Ugandais ou des Rwandais !

Sans réponses convainquantes sur la table, nous multiplierons rébellions. Comme les hommes de Kinshasa ne peuvent se transformer en anges, en raison de leur méchanceté viscérale, affirmée, si l’Amérique nous aime réellement, c’est tout le système diabolique que nous avons instauré à Kinshasa, qu’il devra nous aider à démanteler premièrement.  Sachons en effet, qu’il y a une arme contre laquelle aucune arme ne peut résister : c’est la volonté.

Sinon, ne baissons pas la garde. Venez à nos rencontres du Projet 2014. Nous intégrerons la nouvelle donne politique dans notre stratégie d’indépendance, de libération, de démocratisation. Il faut en effet abattre la République d’abord. C’est le frein à la pacification de notre pays et de ce fait à son développement.

Aujourd’hui,  l’attelage RDC-EUA est un attelage impossible.  Vous nous le direz, dans moins de six mois !

Tutsi et territoire congolais


Depuis quand retrouve-t-on des tutsi sur le territoire du Congo actuel ?

Voici la réponse du Copilot à consulter avec précaution, esprit critique.

La présence des Tutsis dans l’actuelle République Démocratique du Congo (RDC) remonte à plusieurs décennies [Le nombre de ces décennies n’est pas précisé ici.]. Voici quelques éléments à ce sujet :

  1. Origine des Tutsis :
    • Les Tutsis sont un groupe ethnique originaire de la région des Grands Lacs africains. [Il faut se poser la question de savoir ce que veut dire originaire dans ce contexte.]
    • Ils sont principalement présents au Rwanda, au Burundi et dans certaines parties de la RDC. [L’Uganda est-il omis exprès ?]
  2. Migration et Histoire :
    • Certains Tutsis affirment que leurs ancêtres étaient déjà présents dans la région du Congo avant la colonisation. [Y a-t-il des preuves apportées pour étayer cette affirmation ?]
    • D’autres soutiennent que les Tutsis ont été déplacés du Rwanda vers le Congo pendant la période coloniale. [Apportent-ils la preuve que les déportés fussent les premiers tutsis à habiter la RDC ?]
    • Après la révolution hutu des années 1960 et des décennies de règne de l’élite hutu, certains Tutsis ont cherché refuge au Rwanda voisin [Au Congo voisin !].
  3. Contexte Actuel :

En somme, la présence des Tutsis dans le Congo actuel est un sujet riche en histoire et en nuances, reflétant les mouvements de population et les événements politiques au fil du temps21. Si vous avez d’autres questions, n’hésitez pas à demander !

En même temps nous pouvons aussi lire ce qui suit, en réponse à la question : « How long have Tutsi been in drc ? »

The Tutsi communities in the Democratic Republic of Congo (DRC) have a complex history. They have been present in the region for at least 400 years and have intermarried with the Hutu population. However, their impact on the DRC’s conflicts escalated significantly after the 1994 Rwandan Genocide. Congolese Tutsis, including the Banyamulenge in South Kivu and the Banyarwanda in North Kivu, played crucial roles during the Rwandan civil war and helped end the genocide. Unfortunately, this history has also fueled tensions and conspiracy theories, with both Rwanda and the DRC using Tutsi populations as part of their narratives in ongoing conflicts¹³.

Source: Conversation with Copilot, 8/4/2024
(1) Rwanda genocide: 30 years on, why Tutsis are at the centre of DR Congo …. https://theconversation.com/rwanda-genocide-30-years-on-why-tutsis-are-at-the-centre-of-dr-congos-conflict-226457.
(2) Tutsi – Wikipedia. https://en.wikipedia.org/wiki/Tutsi.
(3) A guide to the decades-long conflict in DR Congo – Al Jazeera. https://www.aljazeera.com/news/2024/2/21/a-guide-to-the-decades-long-conflict-in-dr-congo.

Conférence-débat prochaine : « Quid du tutsi et du nilotique dans la Région des Grands Lacs ? »


Notre exploitation de deux articles, de nord-kivutiens, ce matin, a suscité une réaction d’une tutsi.  Cette réaction m’inspire une conférence-débat sur la question tutsi en particulier ou nilotique en général, qui divise nos peuples de la Région des Grands Lacs et de l’Afrique noire particulièrement, en conséquence.

Ci-dessous mon entretien avec

[11/7/2024, 12:32]

DS

Pourquoi cette haine des congolais envers [contre] les tutsi ?  Personnellement je n’en comprends pas le motif.

Selon moi, le problème africain vient des leaders de nos pays qui ne savent pas protéger leurs territoires et non des problèmes [conflits inter-] ethniques.

GPAU

Tu es nilotique et tu ne comprends pas pourquoi ta gente est honnie au Rwanda, au Congo, au Burundi et ailleurs ?

Je vais préparer une conférence-débat sur cette question ; bien qu’elle soit risquée. Tu seras invitée.

DS

Ok

GPAU

Pourquoi penses-tu qu’il en soit ainsi ?

Moi je montrerai que nous sommes détestables, méprisables, nous, nilotiques ; comme ceux qui nous en veulent, ces non-nilotiques : bantous, soudanais, eurasiens et autres.

J’expliquerai alors mon Projet 2014 ; ce que j’y propose comme solution aux problèmes, à mes compatriotes congolais ; et, à nos voisins directs.

Une quinzaine de jours sera nécessaire pour revenir à vous, ici, sur WhatsApp et sur Skype.

Ressusciter le Kibali-Ituri


Réssusciter le Kibali-Ituri peut sécuriser l’Est de la RDC.  Pourquoi le pensons-nous ?

Plusieurs projets de pacification de l’Est du Congo échouent.  Le projet Wazalendo aussi va – plus vite encore – à sa mort prochaine.  Personne ne se pose vraiment la question de savoir pourquoi ces projets échouent.

Né d’un père alur et d’une mère nande, intéressé par le fonctionnement de l’humain depuis mes 10 ans d’âge, j’ai appris à connaître beaucoup de l’âme kibali-iturienne.

De conviction protestante évangélique, moulé dans le capitalisme et l’alurité purs et durs, je ne peux pas, je ne sais pas rester indifférent face aux malheurs que vivent les miens, dans le Kibali-Ituri, que plusieurs trahissent ou spolient !

En effet, le Kibali-Ituri n’est pas quelconque.  Depuis Lumumba en 1960, obnubilé par le communisme, mon terroir a été pris d’assaut par la gauche extrême.  Comme la solidarité africaine et le communisme, sont vite confondables, chez plusieurs, le Kibali-Ituri s’est mis à dépérir, sans que la majorité ne s’en rende compte.

Les premières victimes furent les sorciers, les membres du PNP, Part National du Progrès, honni pour son allégeance au colonisateur belge, blanc.  Ils furent tués par milliers, dépouillés de tous leurs biens.  Quelques-uns trouvèrent leur salut dans l’exil : ma famille vécu 12 mois en Uganda, de 1964 à 1965, pour cela, après 2 ans d’exil de mon père à Kinshasa, de 1960 à 1962.

Il importe de souligner que les auteurs des crimes de cette époque circulent toujours, librement.  Ces hommes, ayant du sang congolais et étrangers sur la main, impénitents, pour la plus part, font tout pour garder le pouvoir, afin de cacher leurs forfaits et de maintenir le Congo sous leur domination.

C’est dommage que les fils des PNP ne sachent pas se lever pour les ester en justice ces premiers bandits politiques, qui font des émules !  Le mal gagne le pays, parce que ces hommes se multiplient.

Dans l’Ituri, les nilotiques que nous fustigeons aujourd’hui, sont des cultivateurs, pêcheurs, chasseurs, éleveurs, d’anciens esclavagistes et colonisateurs, avant les Belges.  Ils se sont, tout naturellement, retrouvés nombreux être du PNP et forment de ce fait les premiers opposants aux régimes des non-nilotiques, révoltés, contre l’esclavage et la colonisation belges, mais aussi, contre les anciens esclavagistes et colonisateurs nilotiques.  Il est donc normal que les Lendu, Bira, Lugwara et autres combattent aujourd’hui les Hema, Alur, Kakwa et leurs cousins respectifs.  Peu voudraient l’expliquer à nos compatriotes, de circonstance !

Dans le Grand-Nord kivutien, les rwandophones, venus dans le cadre de l’esclavage et de la colonisation belge, cultivateurs et fermiers, se sont vite enrichis et se sont mis à discriminer leurs hôtes, qui de leur côté par réaction mêlée de jalousie, ont décidé de se défendre par la force, en versant dans l’arbitraire,  pour certains, soutenu par un régime fantoche de Kinshasa, d’obédience plutôt communiste que socialiste, maquillé en régime libéral,  pour tenter de dribbler l’Occident qui le soutien.  Les nande, enrichis par leurs travaux des champs et leurs commerces et par divers trafics des richesses nationales ont vite provoqué la jalousie de leurs concurrents internes et externes ; et, se retrouvent aujourd’hui combattus du dedans comme du dehors.

La coalition nande-hutu, pour contrer les esclavagistes et colonisateurs tutsi ne fonctionne pas.  Les hutu, du Congo comme du Rwanda, et les autres cousins congolais desdits nande, se considèrent de plus en plus comme dénigrés et discriminés par les riches nande.  Certains, pour cette raison, déboutent les Wazalendo, pour rejoindre le M23 et l’AFC, dans l’espoir de réduire l’hégémonie nande dans le Grand-Nord kivutien, où plusieurs minorités se sentent délaissées, abandonnées à leur triste sort.

Le texte suivant doit donc être lu avec de bonnes lunnettes.  Il traduit le mal-être que le nande gère mal depuis 1960, versant dans la naïveté, l’hypocrisie et la méchanceté des allochtones du Grand-Nord kivutien.  Cette attitude érode toute la confiance dont jouissait jadis le nande.

Aurons-nous contribué à sensibiliser nos oncles tant aimés, cette fois-ci ?  Que la gloire en reviennent au Dieu d’amour que nous confessons avec eux.

[7/8, 08:35] Par grâce: LA VILLE DE BUTEMBO DEMEURE HOSPITALIÈRE DEPUIS DES DÉCENNIES

Que l’ennemi ne vous fasse agiter chers frères et sœurs d’autres communautés inutilement

Les prétendus actes de barbarie; de lapidation, d’égorgement, incendie, des vandalismes qui se seraient passé en ville de Butembo ne se font pas par l’ensemble de la population de ladite ville, plutôt par des infiltrés qui y sont au compte de l’ennemi et qui veulent semer haines et créer des conflits, mésententes contre le peuple Nande vis à vis d’autres tribus avec lesquelles nous vivons en relation d’interdépendance.

Le Mouvement Citoyen Tujenge Amani na Maendeleo, Nzenge Amani, appelle :

  • le peuple bubolais à redoubler la Vigilance vis-à-vis des gens qui posent des actes de barbaries au nom de la communauté qui poussent à salir et ternir l’image du peuple Nande à la face du Monde
  • des communautés voisine, de ne pas tenir rigueur tous les peuples Nande. ce ne pas ce dernier (ce peuple Nande) qui est derrière ces actes ignobles, plutôt l’ennemi veut se créer d’arguments, voulant accuser faussement les Nande envie de salir sa réputation par ces diables qui ne cessent *d’utiliser certaines brebis galeuses de la tribu dans l’objectif d’accomplir sa mission au nom de ce peuple (Nande).
  • les autorités Etatiques de mener des enquêtes afin de démanteler le prétendu réseau de ces ennemis. Sans oublier que l’infraction est individuelle
  • la coordination de la Société civile, Religieuse, association culturelle KYAGHANDA YIRA et autres structures associatives et patronales, chacun à son niveau de s’impliquer dans cette affaire pour décourager ces actes d’assassinat et de xénophobie qui se seraient pratiquer au sein de la tribu ou mieux de la communauté Nande afin de l’étouffer et mettre hors d’état de nuire l’ennemi qui crée haines et confusions, tentant ainsi accomplir sa mission. (Diviser pour mieux régner)

Cordiale bienvenue aux Congolais et étrangers qui veulent fréquenter Butembo à condition que vous soyez à règle avec l’État congolais selon les prescrits de la loi.

Butembo n’es pas tribale, les Nande ne sont pas tribale comme d’autres le croiraient. C’est Seulement l’ennemi qui veut diaboliser Butembo et le peuple Nande afin de ternir leurs images. Au point que ce même ennemi manipule certains inconscients dans la communauté afin de détruire même certains biens privés des membres de la communauté nande. Pendant que la même communauté est indexée, doigtée par d’autres communautés, alors qu’elle est aussi victimes des affres commis de près et de loins par ces mêmes ennemis de la paix.
D’où, c’est la communauté Nande qui est visée par l’ennemi en incitant à la haine les membres d’autres communautés contre les Nande.

Peuple Congolais soyons prudents…!!!

Cellecom TUJENGE AMANI NA MAENDELEO (Nzenge Amani RDC)

[7/8, 09:43] Asbl Échanges Avec Extérieur: La lecture attentive du texte montre bien que nous ayons affaire à des menteurs, des peureux, des hypocrites, des inciviques !

Butembo est une localité nande, qui a été paisible et propre dans le passé, et qui a été spoliée par des allochtones, y admis sans discernement, depuis la nuit des temps. Aujourd’hui, Butembo est un repère d’assassins, de voleurs, de fainéants, de trafiquants, des violents, de démagogues, d’hypocrites, par le fait d’une mixité nocive, dégradante, suicidaire, au nom d’une fausse unité nationale, des dupes.

Taire la vérité, par peur des unitaristes procède de l’incivisme total et de la folie dans lequel le nande verse, comme les autres peuples irresponsables, suicidaires depuis des siècles.

Être alur authentique, c’est être vrai, être franc, courageux, libre, travailleur, défenseur de ses valeurs culturelles.

Que sont les projets nande ? Que sont les Mai-Mai et les Wazalendo adoptés par certains nande aveugles ? Que nous apportent ces projets et pourquoi ; et qu’apportent ces projets aux nande que nous aimions bien et que nous chassons désormais à répétition, avec les autres ituriens ? Que nous ont fait de mal, ces nande ?

En se mêlant à aux méchants, les nande sont en train de perdre leurs valeurs : d’hospitalité, fraternité, esprit de travail, dans la paix !

Ils nous ont coupé les têtes, ils nous ont pillé notre or, ils nous ont envoyé les banyabwisha (Bwisha) et les prostituées, ils nous ont appris la tolérance des méchants…

Ce que nous devons dire et répéter aux nande, par amour pour eux, c’est le devoir qu’ils ont de revenir à leurs valeurs culturelles bradées contre des pacotilles : les faveurs empoisonnées de Kinshasa ! Les nande ont trahi notre alliance kibali-iturienne.

Comment serons-nous amis dans ces conditions ? Vous, nande, RÉVEILLEZ-VOUS et revenez à vos anciens amours !

Le Masisi congolais dans les années 1885


Pourquoi un autre article sur cette question ?

Beaucoup d’encre, de salive et de sang coule dans le Masisi congolais, comme dans le reste du pays, du continent et de la planète, depuis bien avant l’indépendance du Congo. Beaucoup de vérités n’étant pas encore dites, beaucoup de mensonges se propageant, ils convient que nous tentions une contribution, dans un contexte où plusieurs ont difficile à se départir de l’impartialité, de la sentimentalité, du parti pris.

Nous avons posé à Copilot la question de savoir qui occupait le Masisi dans le Kivu congolais en 1885 ? Contrairement à ce qu’on attend souvent dire, les tutsi y auraient été à cette époque déjà.

« …
En 1885, le territoire de Masisi dans la région du Kivu congolais était habité par plusieurs groupes ethniques. Voici un aperçu des principaux acteurs de cette époque :

  1. Twa, Hutu, Kumu, Tutsi, Hunde et Tembo : Ces six grandes tribus étaient présentes dans la région de Masisi1. Chacune de ces communautés avait ses propres traditions et modes de vie uniques.
  2. Forces extérieures :
  3. Facteurs de guerre :

En somme, le Kivu était un foyer de conflits multidimensionnels, avec des acteurs internes et externes qui se disputaient le contrôle de la région. Aujourd’hui encore, le Kivu reste une zone sensible et complexe en République démocratique du Congo2,3.

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… »

Motivations

Plusieurs, kivutiens ou non, contestent, dans cette histoire d’une présensence des Tutsi dans la région à ces dates et demandent des preuves probantes de l’historicité des faits allégués. Cet espace essaie d’apporter le plus d’éléments possibles pour éclairer l’opinion sur cette question qui coûte des vies humaines à plusieurs de nos compatriote congolais et d’étrangers, établis ou pas sur notre territoire.

Or, sans l’éclosion de la vérité, la paix et la prospérité pour tous resterons un leurre, non seulement dans le Masisi, le Kivu, l’Ituri et les autres provinces du Congo, mais dans tout notre pays tout entier.

Quelles sont les sources d’information ?

Toutes les ces sources, il convient de les consulter avec un sens critique et de recouper les informations fournies par plusieurs, quelles que soient les « autorités scientifiques » des auteurs. L’expérience montre en effet que beaucoup doit encore être réécrit de l’hitoire du monde en générale et du Congo en particulier. Des mensons étant parfois véhiculés sciemment ou inconsciemment.

http://topkivu.com/nation/masisi-un-territoire-aux-traditions-uniques-et-aux-richesses-abondantes/ : cette page est inaccessible, ce vendredi 29/03/2024 à 15:59, pour des raisons qui restent à déterminer.

https://journals.openedition.org/echogeo/10793#tocto3n8 : fournit des informations utiles. Il vaut donc la peine d’être consulté pour avoir une première vue des problèmes et de l’histoire. C’est aussi là que nous pouvons trouver une réponse partielle à la question du pourquoi l’insécurité dans le Kivu : « Les populations réputées « autochtones », c’est-à-dire installées avant l’arrivée des migrants rwandais, se sont senti progressivement dépossédées de leurs prérogatives foncières et des droits symboliques qui s’y rattachent. Les tensions se sont cristallisées autour du foncier et de la question de la nationalité. La révision en 1981 dans un sens restrictif des critères permettant de se revendiquer comme Congolais (à l’époque Zaïrois) a privé des dizaines de milliers de Banyarwanda de la nationalité congolaise, envenimant les relations inter-communautaires. »

https://fr.wikipedia.org/wiki/Guerre_du_Kivu : cette source, Wikipedia, fournie une carte de mars 2024, de la situation de l’occupation de l’Est par des forces armées.

Sont-elles fiables et pourquoi ?
Pourquoi tant de contradictions entre les fils mêmes du Kivu sur ces sources ?
Quelles sont les intérêts en jeux ?

Tel que reçu…


« Trois États membres du Conseil de sécurité des Nations unies (Etats-Unis d’Amérique, Royaume-Uni de Grande Bretagne et d’Irlande du Nord, la France et l’ONU viennent de s’accorder pour modifier sensiblement les frontières Est de la République démocratique du Congo !

Dans ces mêmes circonstances du temps, le Rwanda vient de créer trois (3) colonies des peuplements à Nyirangongo, Kibumba et Bahumba où ils sont entrain d’installer massivement des colons militaires tutsi rwandais hypers armés.

La prochaine étape qui s’annonce c’est l’officialisation de la reconnaissance de la souveraineté du Rwanda sur les dites entités soit disant pour protéger les minorités tutsi rwandaises de la République démocratique du Congo.

Il n’y a que la Russie maintenant qui peut mettre en échec ce plan macabre mais le Président Félix Antoine Tshisekedi hésite à prendre la décision de faire aboutir l’offre de la Fédération de Russie il croit encore à une diplomatie inutile américaine qui lui fait perdre du temps.

Au delà de ce que »

Cette information reçue par WhatsApp est visiblement tronqué.

Voici un commentaire du Copilot sur le sujet.

Il semble que la situation politique et diplomatique entre la République Démocratique du Congo (RDC) et la Russie soit complexe. Selon les informations disponibles, un accord de coopération militaire entre la RDC et la Russie a été approuvé, visant à échanger des expériences et des informations dans la lutte contre l’extrémisme et le terrorisme international1. Cependant, certains analystes, comme Franklin Nyamsi, suggèrent que le président Tshisekedi pourrait ne pas être entièrement engagé dans la mise en œuvre de cet accord, le percevant plutôt comme un moyen de pression sur les soutiens occidentaux du Rwanda1.

« Il est important de noter que les relations internationales sont souvent influencées par une multitude de facteurs, y compris des intérêts stratégiques, économiques et politiques, qui peuvent rendre les décisions complexes et multifacettes. »

Les Congolais n’ont pas encore leur dernier mot !  Et ceux qui vendent le  Congo doivent faire attention à leur intention ; parce que Dieu veille.

Haine ou révélation du tutsi ?


Tel que reçu, dans notre groupe WhatsApp.

À partager aux enfants congolais

LA CONNAISSANCE DE LA PSYCHOLOGIE TUTSI, C’EST LE DÉBUT DE LA FIN DE L’INSTABILITÉ À L’EST DE LA RDC.

  1. Ne te hasarde jamais et au grand jamais à solliciter un dialogue , autrement dit , une négociation avec un Tutsi. Dans la culture , la tradition , l’expérience et la mentalité d’un Tutsi , demander de négocier ou de dialoguer avec lui revient à lui envoyer un message clair et sans équivoque à savoir : le signal de ta faiblesse et donc , de ton incapacité de te battre avec lui .
  2. Le Tutsi ne croit qu’en la loi du plus fort et du plus rusé et uniquement en cette loi .
  3. Le Tutsi est totalement et définitivement dépourvu des sentiments tels que la pitié , la compassion , la reconnaissance, la clémence , la gratitude ou la compréhension .
  4. Le Tutsi est doté d’une capacité mémorielle stupéfiante . Il n’oublie jamais , au grand jamais , surtout le mal qu’on lui a causé. Par contre , il est prompt à effacer de son esprit le bien qu’on lui a fait pour ne pas devoir ensuite s’acquitter de la dette de reconnaissance, preuve de faiblesse selon leur psychologie.
  5. Contrairement à nous autres Bantous congolais , le Tutsi est pourvu non seulement d’une surprenante mémoire collective, mais aussi d’une conscience communautaire à toute épreuve . Face à cette qualité supérieure , nous autres Bantous congolais sommes battus à plate couture, écrasés et bons à être jetés dans les poubelles de l’histoire .
  6. Lorsque d’aventure , un Tutsi accepte d’amorcer un dialogue ou une négociation avec un Muntu , cela signifie tout simplement qu’il consent à le tuer à petits feux , en commençant par un bras , puis l’autre , ensuite une jambe , puis l’autre , puis une oreille , et ensuite l’autre jusqu’à ce que , de guerre lasse , il lui tranche enfin la tête .
  7. Le Tutsi nage avec une extraordinaire facilité dans les eaux glauques et n’est pas du tout incommodé par la puanteur qu’exhalent les mensonges . Du reste , le mensonge qui se désigne en kinyarwanda par le terme « ubwenge » tient lieu dans leur culture de l’une des vertus cardinales.
  8. Le Tutsi tient en piètre estime la fidélité de sa femme et même la virginité de sa fille lorsqu’il s’agit d’arracher une faveur , d’obtenir un avantage et surtout de faire triompher la cause de son ethnie .
  9. Le Tutsi est capable de faire preuve d’une patience inouïe , quasiment angélique si, au bout d’un temps qui peut se mesurer en décennies et même en siècles, il est assuré d’obtenir le résultat escompté.
    Tous ceux qui ignorent ou qui , pour leur plus grand malheur ont oublié ces caractéristiques de la psychologie du Tutsi en acceptant l’ouverture de négociations et d’un dialogue avec les membres de cette communauté l’ont payé de leurs vies . Tu veux des exemples ? Vraiment ? En voici quatre , très très probants :

A. Le président hutu burundais Melchior N’dadaye était en négociations avec les factions militaires tutsies burundaises lorsqu’il fut assassiné et sauvagement mutilé dans le camp miliaire de Bujumbura en octobre 1993.

B. Le président hutu rwandais Juvénal Habyarimana venait de signer les accords d’Arusha le 6 avril 1994 avec la milice armée extrémiste tutsie dénommée FPR, Front patriotique rwandais du général tutsi sanguinaire Paul Kagame , croyant ainsi naïvement en avoir fini avec les assassinats et les meurtres lorsque son Jet privé , un Falcon 250 avec un équipage français fut abattu dans la même soirée du 6 avril 1994, vers 20 heures 15, au-dessus de Kigali . Juvénal Habyarimana périt dans l’attentat de son avion avec le chef d’Etat-major général des Forces armées rwandaises, les FAR, en la personne du général Nsabimana, lui aussi un Hutu. Dans le même aéronef trouva également la mort un autre président hutu, le Burundais Cyprien N’taryamira. Les Tutsis réussirent ainsi un exploit unique et sans précédent dans l’histoire de l’humanité en assassinant deux Chefs d’Etat dans un même attentat. D’une pierre deux coups. L’encre des accords d’Arusha n’avait pas encore eu le temps de sécher que les dits accords étaient déjà violés, devenant du caducs au moment où deux parmi les signataires , tous deux des Hutus étaient liquidés dans le crash de leur appareil .

C. Les négociations qui se sont déroulées sous le prestigieux égide des Nelson Mandela sur l’Outenika, un navire de guerre sud-africain ancré au large de Pointe-Noire au Congo-Brazzaville entre feu le maréchal Mobutu et la
milice armée ethnique et extrémiste tutsie dénommée Afdl n’ont jamais pu aboutir parce que pendant que les négociations se tenaient , l’Afdl poursuivait son inexorable avance vers Kinshasa.

La capitale zaïroise fut investie et conquise le 17 mai 1997, rendant du coup vaine et sans objet tout dialogue.

  • D. Le président Laurent -Désiré Kabila fut lui aussi assassiné en pleines négociations avec ses anciens alliés tutsis de l’Afdl .
  • E. Fatshi ne serait plus de ce monde s’il a avait pris place à bord du même appareil que ses gardes du corps, son chauffeur et sa voiture blindée lors du retour de son premier voyage à l’Est du pays.
  • F. D’après mon comptage , plus de 54 conférences ,dialogues, conclaves, sommets, rencontres ont été organisés depuis 26 ans entre les Bantous congolais et le régime des Tutsis au pouvoir au Rwanda, ayant accouché selon toi de plus de 70 résolutions pour ramener la paix au Congo . Tout cela en pure perte car, après l’Est de notre pays , c’est maintenant l’ouest , c’est la province de Bandundu , ce sont les territoires de Kwamouth, de Bagata, ds Masi-Manimba, de Bulungu , c’est aussi le Bas-Congo qui sont désormais mis à feu et à sang.

La crise congolaise ne relève nullement de nature politique parce que trois élections présidentielles (2006, 2011,2018) n’ont pas réussi à y mettre un terme . On a même remarqué une aggravation de
l’insécurité , une recrudescence des massacres et une prolifération de milices tutsies au surlendemain de chaque scrutin présidentiel ( CNDP du Tutsi Laurent Nkundabatware, M23 de Jean-Bosco N’taganda et de Sultani Makenga, CODECO, RED TABARA, ADD/NALU, etc. )

La crise congolaise est d’essence ethnique parce qu’elle oppose les Tutsis du Rwanda aux Bantous du Congo. Après plus de 26 ans de massacres , de viols et d’abominations, les Bantous congolais n’ont pas encore réussi à qualifier de façon pertinente l’immense tragédie qui ensanglante leur nation. Ils continuent de parler de leurs agresseurs qui seraient des Rwandais ! Du grand n’importe quoi ! Un lézard et un crotale sont , certes , tous deux des reptiles. Mais le premier est inoffensif tandis que le
second possède un venin mortel. En cas de morsure, un individu qui dirait qu’il a été mordu par un « reptile »
se condamne lui-même à la mort.

Les Hutus et les Tutsis sont des Rwandais. Les premiers cités ne sont pas nos ennemis. Les seconds sont nos bourreaux qu’il convient de désigner exclusivement par leur appartenance ethnique et non pas par leur identité nationale. Tant que les Bantous du Congo, nos compatriotes, n’auront pas compris cette subtilité sémantique élémentaire, ils sont promis à une extermination à plus ou moins long terme.

Nous autres Bantous congolais ne pouvons pas user de la moindre complaisance ni faire preuve de compassion envers les Tutsis qui ont bénéficié pendant des décennies de notre hospitalité, à qui nous avons offert le gîte et le couvert, que nous avons rendus riches, puissants et opulents au point que certains d’entre eux ont même occupé de hautes fonctions dans nos institutions politiques. Mais ce n’est pas tout. Nous avons aussi ouvert les portes de nos établissements scolaires et les amphithéâtres de nos universités aux enfants de ces Tutsis accueillis, à bras ouverts, en réfugiés chez nous pendant des décennies. Mais voilà que, depuis septembre 1996, déclenchant une invasion militaire à partir de la bourgade de Lemera, l’Afdl , une milice armée ethnique tutsie financée et équipée par cette race de cafards s’est brusquement retournée contre nous, leurs bienfaiteurs bantous et nous font désormais paître avec un sceptre d’airain.

À l’insu de nos dirigeants, la république démocratique du Congo est désormais complètement cernée de toutes parts, du côté de la Centrafrique comme de celui de Brazzaville, aussi bien sur ses frontières avec l’Ouganda , avec la Zambie et la Tanzanie que du côté du Soudan. Désormais, le péril, omniprésent, campe à nos frontières.

Notre pays, avec au sein des FARDC plus de 2.500 officiers tutsis (selon des chiffres datant de cinq ans), vit donc sous un régime d’occupation militaire, cause principale ayant engendré cinq effets majeurs et funestes :

  • A. La domination politique des Tutsis sur les Bantous.
  • B. l’assujettissement des Bantous congolais par les Tutsis.
  • C. Un génocide des Bantous congolais dont le bilan de pertes en vies humaines dépasse déjà aujourd’hui les 12 millions de morts.
  • D. le pillage éhonté et systématique de nos richesses minières, aggravé par l’évasion de nos recettes fiscales et douanières.
  • E. des velléités de balkanisation du Congo en vue de la création d’un tutsi land ou foyer national tutsi au détriment de l’intégrité nationale et de l’unité politique de la république démocratique du Congo.

Face à de tels périls, que peuvent les négociations, les dialogues et les élections ? Rien !! Quand les Bantous congolais comprendront -ils enfin qu’ils ne pourront espérer survivre dans les années et les décennies à venir qu’en versant des hectolitres de larmes et de sang dans une lutte sans merci contre les Tutsis ? Dans le cas contraire, ils n’ont qu’à se rappeler le sort réservé à la Yougoslavie dont le nom a disparu du lexique politique. Il est temps que les Bantous prennent le sentier de la guerre et qu’ensemble, les armes au point , ils crient « Sus à l’envahisseur tutsi ! » en les traquant et en les débusquant sur l’ensemble du territoire national congolais. Les Tutsis qui résisteront ou qui refuseront de battre en retraite vers le Rwanda paieront de leurs vies leur témérité, leur ingratitude, leur trahison et leur félonie. Dans le cas contraire, les Bantous congolais n’auront bientôt plus que leurs yeux pour pleurer leur pays perdu et leurs existences ravagées pour l’éternité.

Pour terminer, une anecdote qui te donnera peut-être une vague idée du cynisme, de la capacité de mensonge et de l’impudence des Tutsis. Cette communauté ethnique negro-africaine tire son nom de l’empereur romain Flavinius Titus mort à Rome en l’an 81 après Jesus -Christ si je ne l’abuse. L’empereur Flavinius Titus s’était en effet rendu sur les hauts plateaux d’Abyssinie (situés dans l’actuelle Éthiopie) pour recruter des mercenaires noirs africains en vue de les enrôler dans les légions romaines. Puis, il marcha sur la Palestine en l’an 79 après Jésus-Christ pour entreprendre le siège de Jérusalem. Lorsque la ville sainte des Juifs se rendit , elle fut mise à sac, sa population massacrée, ses temples, dont celui de Salomon incendiés avec de surcroît, la profanation de leurs sanctuaires où les saints des saints. Naturellement, les mercenaires abyssiniens prirent une part active dans le pillage de Jérusalem dont la principale conséquence fut le phénomène de la dispersion des Juifs travers toute la planète, événement connu désormais sous l’appellation de « diaspora ».

Pendant deux mille ans, les Juifs ayant perdu et fui la Palestine furent persécutés à cause notamment des mercenaires noirs enrôlés dans les légions de romaines par l’empereur Titus. À la
mort de ce dernier, les soldats africains furent démobilisés. Ils s’en retournèrent en Abyssinie. En mémoire de leur empereur, des exploits militaires qu’ils avaient accomplis sous ses ordres, ils adoptèrent son nom Titus dont, au fil des siècles, les deux voyelles furent inversées pour donner lieu au vocable Tuti ou Tutsi.
Jusque là, rien de bien méchant. Mais attends. Attends la suite.

En mai 1948 naquit l’Etat d’Israël, permettant ainsi aux Juifs disséminés à travers le monde et en errance depuis deux mille ans de retrouver enfin leur patrie. Très bien. Mais en septembre 1999, les Tutsis firent croire aux Juifs qu’ils partageaient les mêmes ascendants, qu’eux aussi faisaient parties de l’une des 12 tribus perdues d’Israël.

Les dirigeants juifs gobèrent ce colossal « ubwenge ». Tant et si bien que cette même année 1999, dans un des hôtels Mercure situé dans la banlieue de Bruxelles, une alliance connue sous le nom de « Pacte de Havila » fut scellée entre les Juifs et leurs anciens bourreaux les Tutsis, ceux à cause desquels ils ont connu deux mille ans d’errance, de pogromes et de persécutions à travers la planète avec, comme clef de voûte de tous les malheurs qui se sont abattus sur eux, la Shoah ou l’holocauste des Juifs sous le IIIe Reich d’Adolphe Hitler .

Pour couronner le tout, depuis 1999, les Tutsis s’appellent désormais « communauté hébraïque tutsie » ! Ils ont ainsi réussi à duper même les Juifs qui passent pourtant pour la race la plus intelligente de la terre, si on compte le nombre de Prix Nobel qui leur attribués, comparés à ceux remportés par les autres groupes raciaux.

On comprend maintenant d’où sont venus le soutien militaire, l’assistance diplomatique, l’aide logistique, l’appui financier et la complaisance médiatique qui permirent aux Tutsis de conquérir notre pays en 9 mois, de septembre 1996 au 17 mai 1997 et de d’emparer du pouvoir à Kinshasa.

Je ne verrais aucun inconvénient si tu pouvais assurer une large diffusion à ce message dont tu voudras bien, au passage, excuser la longueur excessive. Mais je crois qu’il en valait peut-être la peine.

Deo-Gratias MAINGO ANDANI André, Journaliste d’Investigation.

Qui habiteront le Tutsiland ?


Voici une intervention que je trouve très intéressante, en raison de deux questions essentielles qu’elle nous pose ; s’agissant du réel ou imaginaire Tutsi-Land.

《Le Tutsi-Land est anticipatif et conquérant… Ils sont au Congo, en Ouganda, en Afrique du Sud, dans le Maghreb, en Europe, aux Amériques et bien partout au monde.

Kagame n’est qu’une carte sur laquelle le cartel « Tutsi-Land » réussit à anéantir le Grand Kivu aujourd’hui, pour progresser vers l’Ouest.

L’après-Kagame se jouait bien avant Kagame !

La meilleure question est plutôt : que font les hutus aujourd’hui, qu’ils n’ont fait hier ?

Et les congolais, que font-ils aujourd’hui qu’ils eussent pu faire il y a des années face à ces vermines Tutsi-landais ?》

Ma réponse à chaud est que toutes les deux parties (Hutu et Congolais) se livrent à la guerre, pour le moment.
Plusieurs mouront encore de part et d’autre.
Un jours, les cousins se résoudront à reconnaître, autour d’une table familiale, qu’ils ont mérité la colère de Dieu, leur Père.
En effet, les protagonistes de cette guerre ignorent-ils leurs aïeux communs et le pourquoi de leur inimitié ?

Au fond, qui habiteront le Tutsiland ?

Tutsi congolais et sincérité…


Les Tutsi congolais sont-ils sincères, patriotes ; ou plutôt, hypocrites, traîtres ? Comment le savoir ?

Kinshasa est-il à même, en mesure, d’assurer leur protection ? Contre qui ? Pourquoi ? Comment ?

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La question tutsi mérite de retenir notre attention, tout comme la question lendu.

En effet, ces deux peuples causent ou subissent avec les autres peuples l’insécurité dans l’Est, mais aussi dans le reste de la RDC et du monde.  Ici, nous traiterons des Tutsi.  Dans un autre article, nous parlerons des Lendu.

Les Tutsi du Congo sont-ils des Congolais ?

Sont-ils sincères, ces tutsi ?

Sont-ils patriotes ?

Sont-ils hypocrites ?

Sont-ils des traîtres ?

Les Tutsi congolais sont-ils menacés ?

Si oui, Kinshasa peut-il les protéger ?