Congo et Rwanda réconciliés !



Appel à la réconciliation du Congo et du Rwanda

Aimer son pays ne peut pas se réduire à un slogan. Le Congo doit, et peut, faire plus et mieux – pour ses enfants et pour ses frères Africains.

Assez de ceux qui nous apprennent à haïr et à tuer nos frères. Nous choisissons plutôt d’apprendre à les élever, à les soutenir, à les réussir dans l’amour et la patience.

Disons NON à ceux qui veulent faire de nous des Caïn, nous qui avons consacré notre pays à Dieu.
Disons STOP au pouvoir mensonger et à la rébellion meurtrière.

L’heure n’est pas d’opposer Congolais et Rwandais.
L’heure est de se dire la vérité qui corrige, qui unit, qui élève – au lieu de laisser d’autres vivre de notre sang.

Il est assez humiliant de courir chercher ailleurs des solutions connues à nos propres problèmes.
Il est temps de briser ces valses politiques stériles qui nous empêchent d’inviter nos frères du Rwanda à Kinshasa, ou de les écouter à Kigali, sans peur, mais avec le désir sincère d’enterrer les haches de guerre.

Ainsi, nous redonnerons dignité à nos peuples et honneur à nos nations, héritées de la colonisation mais capables, ensemble, d’inventer un avenir de paix et de fraternité.


La raison du plus fort…


Maître KABALU signe

WhatsApp, 24 janvier 2025.

Situation à 16h30, heure de Lubumbashi

  1. Il est important de noter que Goma n’est pas tombée, d’ici peu la ville sera entièrement sous contrôle de nos FARDC.
  2. Des affrontements se déroulent entre l’unité spéciale des Tigres des FARDC et les forces rwandaises (RDF) à la borne 12.
  3. Parallèlement, à Gisenyi, des échanges de tirs ont eu lieu entre l’unité spéciale des Guépards des FARDC et les RDF.
  4. Si Goma avait été totalement capturée, le communiqué des M23 aurait déjà été annoncé.
  5. À ce jour, nous notons un silence radio du côté du M23, qui n’a pas encore confirmé sa prise de contrôle sur la ville de Goma. En conclusion, la détermination reste forte et nous continuerons à nous battre jusqu’à la dernière goutte de sang.

GPAU cogite

Ce qui pourrait réjouir, c’est la présence de Guépards à Gisenyi. Chez l’ennemi, pour le dissuader de promener dans notre pays comme s’il était chez lui.
En revanche, combattre nos concitoyens de l’AFC et du M23 nous semble être une trahison de notre unité, nous Congolais. Ceci, quand bien-même ils seraient supportés par des pays tiers. Dans ces pays tiers se trouvent par aillieurs nos cousins à nous tous, à protéger. Rappelons que l’AFC et le M23 sont des Congolais, qui ne partagent pas le mode de gestion de Kinshasa. Nous sommes nombreux à nous en plaindre ; sans souscrire à la rébellion. Nous, de l’Ituri et du Nord-Kivu, sommes en désaccord total avec Kinshasa. Que reprochons-nous à ce régime comme aux précédents ?

  1. La spoliation de nos moeurs.
  2. Le pillage de nos ressources.
  3. Un état de siège injustifié et demandé par nos populations.
  4. La présence de MONUC sur nos terres sans notre invitation.

Quant à ceux qui ne tiennent que le langage de la force, ils feraient mieux de se raviser. En effet, beaucoup, dans l’AFC et dans le M23, nous tiennent aussi le même discours. Se battre, jusqu’à la dernière goutte de sang. Dans un tel cas de figure, le plus fort gagnera. Ce sera Kinshasa ou l’AFC/M23. Quelque soit le gagnant, sa victoire durera durera combien de temps ? Le plus triste dans l’histoire est apparaît désormais au grand jour. Nous n’avons plus de leçon à donner aux Rwandais. Parce que nous les combattons avec les FDLR dans nos rangs. Pendant longtemps, nous les avons gardés armés, sur notre territoire, à ce que nous apprenons, mais qui doit être vérifié.

Il apparaît donc qu’une solution propre existe. De bonne fois, chaque partie désarme les rebelles des pays frontaliers, réfugiés sur son territoire. Chaque pays fait respecter ses frontières, avec le soutiens des ses amis.

La raison du plus fort sera-t-elle la meilleure ici aussi ? Quelle Dieu confessons-nous ?

Charles Onana : une erreur corrigible !


Ce qui se passe avec Charles Onana doit nous apprendre que nous demeurons naïfs, niais, égoïstes, divisés, amateuristes, nous, noirs africains.

J’avais déjà indiqué que Charles Onana manquait de sagesse et d’expérience et risquait lui aussi de mourir, sans bénéfice pour l’Afrique, comme cela a été le cas avec les révolutionnaires qui l’ont devancé.

Où sont les chefs d’accusation contre Charles et la liste exhaustive de ses accusateurs ? Qui a analysé ces accusations et étudié les accusateurs ; avoir d’élaborer une réponse qui conduise les ennemis de l’Afrique à réfléchir ?

Il faut agir vite et bien, pour sauver Charles Onana et l’Afrique.

Nangaa : Entre nous et un fils de l’Ituri.


Ci-dessous notre conversion avec un fils de l’Ituri sur le phénomène Nangaa.

Certaines choses sont dites qui peuvent aider à comprendre l’âme des Ituriens, des populations de l’Est de la RDC, quand bien-même l’échantillon ne fait pas les statistiques. Lisons, plutôt…

Un fils de l’Ituri :

La cours militaire de la Gombe : voici la liste des co-accusés de Corneille Nangaa.

GPAU :

Que pense-tu du phénomène Nangaa ?  Que pense le Haut-Congo de lui ?

Un fils de l’Ituri :

Il est un traitre.

GPAU :

Pourquoi est-il traitre, à ton avis ?

Un fils de l’Ituri :

À cause de sa soif du pouvoir.

GPAU :

Lui pourrait dire qu’il a la volonté de libérer un peuple meurtri !  Ce qui est bien louable.  Non ?  Que lui retoquerais-tu ?

Un fils de l’Ituri :

L’erreur qu’il a commise ; c’est-à-dire, de rejoindre Kigali.

GPAU :

Je partage ton point de vue.  Quoi qu’il arrive, il devrait rester auprès des siens ; se battre avec eux et ne pas courir vers des étrangers qui dans son pays, qui sont par ailleurs ressentis considérés, par la majorité, comme des ennemis du congolais, à tort ou à raison !

C’est ce que nous allons lui envoyer comme message, en tant que Haut-Congolais, nilo-soudanais ; en espérant ainsi toucher son cœur au-delà de son intelligence.  S’il nous écoute, nous l’aurons gagné à la cause de l’amour des siens.  S’il ne nous écoute pas, Dieu, qui connais les cœurs tranchera.

Un fils de l’Ituri :

Aller demander de la force à l’extérieure c’est un signe de faiblesse.

S’il voulait revendiquer la démocratie, ce n’est pas de cette façon-là qu’il devrait le faire. Cela a prouvé en suffisance qu’il ne soit pas des nôtres. Il a l’idéologie et la force de réunir, mais il a mal procédé.

GPAU :

1. Quelle est son idéologie ?  Où est-elle documentée, pour que nous l’examinions calmement et prenions position pour ou contre lui ?

2. En quoi vois-tu en lui la force de réunir ?  L’impression que j’ai est qu’il ait des émules, à l’Est ; et, des opposants, partout.

Un fils de l’Ituri :

Dans cette vidéo-ci par exemple !

Ressusciter le Kibali-Ituri


Réssusciter le Kibali-Ituri peut sécuriser l’Est de la RDC.  Pourquoi le pensons-nous ?

Plusieurs projets de pacification de l’Est du Congo échouent.  Le projet Wazalendo aussi va – plus vite encore – à sa mort prochaine.  Personne ne se pose vraiment la question de savoir pourquoi ces projets échouent.

Né d’un père alur et d’une mère nande, intéressé par le fonctionnement de l’humain depuis mes 10 ans d’âge, j’ai appris à connaître beaucoup de l’âme kibali-iturienne.

De conviction protestante évangélique, moulé dans le capitalisme et l’alurité purs et durs, je ne peux pas, je ne sais pas rester indifférent face aux malheurs que vivent les miens, dans le Kibali-Ituri, que plusieurs trahissent ou spolient !

En effet, le Kibali-Ituri n’est pas quelconque.  Depuis Lumumba en 1960, obnubilé par le communisme, mon terroir a été pris d’assaut par la gauche extrême.  Comme la solidarité africaine et le communisme, sont vite confondables, chez plusieurs, le Kibali-Ituri s’est mis à dépérir, sans que la majorité ne s’en rende compte.

Les premières victimes furent les sorciers, les membres du PNP, Part National du Progrès, honni pour son allégeance au colonisateur belge, blanc.  Ils furent tués par milliers, dépouillés de tous leurs biens.  Quelques-uns trouvèrent leur salut dans l’exil : ma famille vécu 12 mois en Uganda, de 1964 à 1965, pour cela, après 2 ans d’exil de mon père à Kinshasa, de 1960 à 1962.

Il importe de souligner que les auteurs des crimes de cette époque circulent toujours, librement.  Ces hommes, ayant du sang congolais et étrangers sur la main, impénitents, pour la plus part, font tout pour garder le pouvoir, afin de cacher leurs forfaits et de maintenir le Congo sous leur domination.

C’est dommage que les fils des PNP ne sachent pas se lever pour les ester en justice ces premiers bandits politiques, qui font des émules !  Le mal gagne le pays, parce que ces hommes se multiplient.

Dans l’Ituri, les nilotiques que nous fustigeons aujourd’hui, sont des cultivateurs, pêcheurs, chasseurs, éleveurs, d’anciens esclavagistes et colonisateurs, avant les Belges.  Ils se sont, tout naturellement, retrouvés nombreux être du PNP et forment de ce fait les premiers opposants aux régimes des non-nilotiques, révoltés, contre l’esclavage et la colonisation belges, mais aussi, contre les anciens esclavagistes et colonisateurs nilotiques.  Il est donc normal que les Lendu, Bira, Lugwara et autres combattent aujourd’hui les Hema, Alur, Kakwa et leurs cousins respectifs.  Peu voudraient l’expliquer à nos compatriotes, de circonstance !

Dans le Grand-Nord kivutien, les rwandophones, venus dans le cadre de l’esclavage et de la colonisation belge, cultivateurs et fermiers, se sont vite enrichis et se sont mis à discriminer leurs hôtes, qui de leur côté par réaction mêlée de jalousie, ont décidé de se défendre par la force, en versant dans l’arbitraire,  pour certains, soutenu par un régime fantoche de Kinshasa, d’obédience plutôt communiste que socialiste, maquillé en régime libéral,  pour tenter de dribbler l’Occident qui le soutien.  Les nande, enrichis par leurs travaux des champs et leurs commerces et par divers trafics des richesses nationales ont vite provoqué la jalousie de leurs concurrents internes et externes ; et, se retrouvent aujourd’hui combattus du dedans comme du dehors.

La coalition nande-hutu, pour contrer les esclavagistes et colonisateurs tutsi ne fonctionne pas.  Les hutu, du Congo comme du Rwanda, et les autres cousins congolais desdits nande, se considèrent de plus en plus comme dénigrés et discriminés par les riches nande.  Certains, pour cette raison, déboutent les Wazalendo, pour rejoindre le M23 et l’AFC, dans l’espoir de réduire l’hégémonie nande dans le Grand-Nord kivutien, où plusieurs minorités se sentent délaissées, abandonnées à leur triste sort.

Le texte suivant doit donc être lu avec de bonnes lunnettes.  Il traduit le mal-être que le nande gère mal depuis 1960, versant dans la naïveté, l’hypocrisie et la méchanceté des allochtones du Grand-Nord kivutien.  Cette attitude érode toute la confiance dont jouissait jadis le nande.

Aurons-nous contribué à sensibiliser nos oncles tant aimés, cette fois-ci ?  Que la gloire en reviennent au Dieu d’amour que nous confessons avec eux.

[7/8, 08:35] Par grâce: LA VILLE DE BUTEMBO DEMEURE HOSPITALIÈRE DEPUIS DES DÉCENNIES

Que l’ennemi ne vous fasse agiter chers frères et sœurs d’autres communautés inutilement

Les prétendus actes de barbarie; de lapidation, d’égorgement, incendie, des vandalismes qui se seraient passé en ville de Butembo ne se font pas par l’ensemble de la population de ladite ville, plutôt par des infiltrés qui y sont au compte de l’ennemi et qui veulent semer haines et créer des conflits, mésententes contre le peuple Nande vis à vis d’autres tribus avec lesquelles nous vivons en relation d’interdépendance.

Le Mouvement Citoyen Tujenge Amani na Maendeleo, Nzenge Amani, appelle :

  • le peuple bubolais à redoubler la Vigilance vis-à-vis des gens qui posent des actes de barbaries au nom de la communauté qui poussent à salir et ternir l’image du peuple Nande à la face du Monde
  • des communautés voisine, de ne pas tenir rigueur tous les peuples Nande. ce ne pas ce dernier (ce peuple Nande) qui est derrière ces actes ignobles, plutôt l’ennemi veut se créer d’arguments, voulant accuser faussement les Nande envie de salir sa réputation par ces diables qui ne cessent *d’utiliser certaines brebis galeuses de la tribu dans l’objectif d’accomplir sa mission au nom de ce peuple (Nande).
  • les autorités Etatiques de mener des enquêtes afin de démanteler le prétendu réseau de ces ennemis. Sans oublier que l’infraction est individuelle
  • la coordination de la Société civile, Religieuse, association culturelle KYAGHANDA YIRA et autres structures associatives et patronales, chacun à son niveau de s’impliquer dans cette affaire pour décourager ces actes d’assassinat et de xénophobie qui se seraient pratiquer au sein de la tribu ou mieux de la communauté Nande afin de l’étouffer et mettre hors d’état de nuire l’ennemi qui crée haines et confusions, tentant ainsi accomplir sa mission. (Diviser pour mieux régner)

Cordiale bienvenue aux Congolais et étrangers qui veulent fréquenter Butembo à condition que vous soyez à règle avec l’État congolais selon les prescrits de la loi.

Butembo n’es pas tribale, les Nande ne sont pas tribale comme d’autres le croiraient. C’est Seulement l’ennemi qui veut diaboliser Butembo et le peuple Nande afin de ternir leurs images. Au point que ce même ennemi manipule certains inconscients dans la communauté afin de détruire même certains biens privés des membres de la communauté nande. Pendant que la même communauté est indexée, doigtée par d’autres communautés, alors qu’elle est aussi victimes des affres commis de près et de loins par ces mêmes ennemis de la paix.
D’où, c’est la communauté Nande qui est visée par l’ennemi en incitant à la haine les membres d’autres communautés contre les Nande.

Peuple Congolais soyons prudents…!!!

Cellecom TUJENGE AMANI NA MAENDELEO (Nzenge Amani RDC)

[7/8, 09:43] Asbl Échanges Avec Extérieur: La lecture attentive du texte montre bien que nous ayons affaire à des menteurs, des peureux, des hypocrites, des inciviques !

Butembo est une localité nande, qui a été paisible et propre dans le passé, et qui a été spoliée par des allochtones, y admis sans discernement, depuis la nuit des temps. Aujourd’hui, Butembo est un repère d’assassins, de voleurs, de fainéants, de trafiquants, des violents, de démagogues, d’hypocrites, par le fait d’une mixité nocive, dégradante, suicidaire, au nom d’une fausse unité nationale, des dupes.

Taire la vérité, par peur des unitaristes procède de l’incivisme total et de la folie dans lequel le nande verse, comme les autres peuples irresponsables, suicidaires depuis des siècles.

Être alur authentique, c’est être vrai, être franc, courageux, libre, travailleur, défenseur de ses valeurs culturelles.

Que sont les projets nande ? Que sont les Mai-Mai et les Wazalendo adoptés par certains nande aveugles ? Que nous apportent ces projets et pourquoi ; et qu’apportent ces projets aux nande que nous aimions bien et que nous chassons désormais à répétition, avec les autres ituriens ? Que nous ont fait de mal, ces nande ?

En se mêlant à aux méchants, les nande sont en train de perdre leurs valeurs : d’hospitalité, fraternité, esprit de travail, dans la paix !

Ils nous ont coupé les têtes, ils nous ont pillé notre or, ils nous ont envoyé les banyabwisha (Bwisha) et les prostituées, ils nous ont appris la tolérance des méchants…

Ce que nous devons dire et répéter aux nande, par amour pour eux, c’est le devoir qu’ils ont de revenir à leurs valeurs culturelles bradées contre des pacotilles : les faveurs empoisonnées de Kinshasa ! Les nande ont trahi notre alliance kibali-iturienne.

Comment serons-nous amis dans ces conditions ? Vous, nande, RÉVEILLEZ-VOUS et revenez à vos anciens amours !

Qui est tribaliste et pour quoi ?


Au Congo, on parle du tribalisme seulement lorsqu’on voit des noms tels que : Tshibwabwa, Kazadi, Kalonji, Tshilumba, sur une quelconque liste.

Mais, quant à la liste de 22 personnes que Kamerhe a sélectionnées pour l’accompagner au Canada, des noms tel que :
SAFARI NGANIZI,
KAVIRA KATASOHIRE,
SEBUJANGWE KIRIVITA,
MUHOZI RUMASHANA,
BANYWESIZE BYAMUNGU,
SHANGALUME NKINGI,
MURHULA MEGAYANE,
NJANGU KARAZO KARA,
WANGATA ANTUL,
des noms apparemment rwandais apparaissent, personne ne parle de tribalisme ici.

KIADI KIBENI

GPAU

Lesquels des noms sont congolais, rwandais. luba ou shi ?

L’ignorance tue !

Dieu n’est pas et ne sera pas avec nous !


Tshisekedi, les FARDC, les Wazalendo, la CODECO, le M23 et tous ces acteurs politico-militaires ne pacifieront pas le Congo, en raison de leur immoralité. Ils pillent, ils violent, ils volent, ils brutalisent, musèlent, ils tuent, ils empoisonnent : comme les occupants, les rebelles, les extrémistes religieux, les trafiquants congolais et étrangers, les bandits de droit commun.

Nous, peuples du Congo, nous sommes leurs complices, lorsque nous refusons d’engager nos parlementaires à voter une motion de défiance contre nos bourreaux, élus par nous ou tolérés par nous.

Dieu ne sera pas avec nous, jusqu’au jour où nous cesserons d’imiter nos bourreaux dans leur méchanceté !

Haine ou révélation du tutsi ?


Tel que reçu, dans notre groupe WhatsApp.

À partager aux enfants congolais

LA CONNAISSANCE DE LA PSYCHOLOGIE TUTSI, C’EST LE DÉBUT DE LA FIN DE L’INSTABILITÉ À L’EST DE LA RDC.

  1. Ne te hasarde jamais et au grand jamais à solliciter un dialogue , autrement dit , une négociation avec un Tutsi. Dans la culture , la tradition , l’expérience et la mentalité d’un Tutsi , demander de négocier ou de dialoguer avec lui revient à lui envoyer un message clair et sans équivoque à savoir : le signal de ta faiblesse et donc , de ton incapacité de te battre avec lui .
  2. Le Tutsi ne croit qu’en la loi du plus fort et du plus rusé et uniquement en cette loi .
  3. Le Tutsi est totalement et définitivement dépourvu des sentiments tels que la pitié , la compassion , la reconnaissance, la clémence , la gratitude ou la compréhension .
  4. Le Tutsi est doté d’une capacité mémorielle stupéfiante . Il n’oublie jamais , au grand jamais , surtout le mal qu’on lui a causé. Par contre , il est prompt à effacer de son esprit le bien qu’on lui a fait pour ne pas devoir ensuite s’acquitter de la dette de reconnaissance, preuve de faiblesse selon leur psychologie.
  5. Contrairement à nous autres Bantous congolais , le Tutsi est pourvu non seulement d’une surprenante mémoire collective, mais aussi d’une conscience communautaire à toute épreuve . Face à cette qualité supérieure , nous autres Bantous congolais sommes battus à plate couture, écrasés et bons à être jetés dans les poubelles de l’histoire .
  6. Lorsque d’aventure , un Tutsi accepte d’amorcer un dialogue ou une négociation avec un Muntu , cela signifie tout simplement qu’il consent à le tuer à petits feux , en commençant par un bras , puis l’autre , ensuite une jambe , puis l’autre , puis une oreille , et ensuite l’autre jusqu’à ce que , de guerre lasse , il lui tranche enfin la tête .
  7. Le Tutsi nage avec une extraordinaire facilité dans les eaux glauques et n’est pas du tout incommodé par la puanteur qu’exhalent les mensonges . Du reste , le mensonge qui se désigne en kinyarwanda par le terme « ubwenge » tient lieu dans leur culture de l’une des vertus cardinales.
  8. Le Tutsi tient en piètre estime la fidélité de sa femme et même la virginité de sa fille lorsqu’il s’agit d’arracher une faveur , d’obtenir un avantage et surtout de faire triompher la cause de son ethnie .
  9. Le Tutsi est capable de faire preuve d’une patience inouïe , quasiment angélique si, au bout d’un temps qui peut se mesurer en décennies et même en siècles, il est assuré d’obtenir le résultat escompté.
    Tous ceux qui ignorent ou qui , pour leur plus grand malheur ont oublié ces caractéristiques de la psychologie du Tutsi en acceptant l’ouverture de négociations et d’un dialogue avec les membres de cette communauté l’ont payé de leurs vies . Tu veux des exemples ? Vraiment ? En voici quatre , très très probants :

A. Le président hutu burundais Melchior N’dadaye était en négociations avec les factions militaires tutsies burundaises lorsqu’il fut assassiné et sauvagement mutilé dans le camp miliaire de Bujumbura en octobre 1993.

B. Le président hutu rwandais Juvénal Habyarimana venait de signer les accords d’Arusha le 6 avril 1994 avec la milice armée extrémiste tutsie dénommée FPR, Front patriotique rwandais du général tutsi sanguinaire Paul Kagame , croyant ainsi naïvement en avoir fini avec les assassinats et les meurtres lorsque son Jet privé , un Falcon 250 avec un équipage français fut abattu dans la même soirée du 6 avril 1994, vers 20 heures 15, au-dessus de Kigali . Juvénal Habyarimana périt dans l’attentat de son avion avec le chef d’Etat-major général des Forces armées rwandaises, les FAR, en la personne du général Nsabimana, lui aussi un Hutu. Dans le même aéronef trouva également la mort un autre président hutu, le Burundais Cyprien N’taryamira. Les Tutsis réussirent ainsi un exploit unique et sans précédent dans l’histoire de l’humanité en assassinant deux Chefs d’Etat dans un même attentat. D’une pierre deux coups. L’encre des accords d’Arusha n’avait pas encore eu le temps de sécher que les dits accords étaient déjà violés, devenant du caducs au moment où deux parmi les signataires , tous deux des Hutus étaient liquidés dans le crash de leur appareil .

C. Les négociations qui se sont déroulées sous le prestigieux égide des Nelson Mandela sur l’Outenika, un navire de guerre sud-africain ancré au large de Pointe-Noire au Congo-Brazzaville entre feu le maréchal Mobutu et la
milice armée ethnique et extrémiste tutsie dénommée Afdl n’ont jamais pu aboutir parce que pendant que les négociations se tenaient , l’Afdl poursuivait son inexorable avance vers Kinshasa.

La capitale zaïroise fut investie et conquise le 17 mai 1997, rendant du coup vaine et sans objet tout dialogue.

  • D. Le président Laurent -Désiré Kabila fut lui aussi assassiné en pleines négociations avec ses anciens alliés tutsis de l’Afdl .
  • E. Fatshi ne serait plus de ce monde s’il a avait pris place à bord du même appareil que ses gardes du corps, son chauffeur et sa voiture blindée lors du retour de son premier voyage à l’Est du pays.
  • F. D’après mon comptage , plus de 54 conférences ,dialogues, conclaves, sommets, rencontres ont été organisés depuis 26 ans entre les Bantous congolais et le régime des Tutsis au pouvoir au Rwanda, ayant accouché selon toi de plus de 70 résolutions pour ramener la paix au Congo . Tout cela en pure perte car, après l’Est de notre pays , c’est maintenant l’ouest , c’est la province de Bandundu , ce sont les territoires de Kwamouth, de Bagata, ds Masi-Manimba, de Bulungu , c’est aussi le Bas-Congo qui sont désormais mis à feu et à sang.

La crise congolaise ne relève nullement de nature politique parce que trois élections présidentielles (2006, 2011,2018) n’ont pas réussi à y mettre un terme . On a même remarqué une aggravation de
l’insécurité , une recrudescence des massacres et une prolifération de milices tutsies au surlendemain de chaque scrutin présidentiel ( CNDP du Tutsi Laurent Nkundabatware, M23 de Jean-Bosco N’taganda et de Sultani Makenga, CODECO, RED TABARA, ADD/NALU, etc. )

La crise congolaise est d’essence ethnique parce qu’elle oppose les Tutsis du Rwanda aux Bantous du Congo. Après plus de 26 ans de massacres , de viols et d’abominations, les Bantous congolais n’ont pas encore réussi à qualifier de façon pertinente l’immense tragédie qui ensanglante leur nation. Ils continuent de parler de leurs agresseurs qui seraient des Rwandais ! Du grand n’importe quoi ! Un lézard et un crotale sont , certes , tous deux des reptiles. Mais le premier est inoffensif tandis que le
second possède un venin mortel. En cas de morsure, un individu qui dirait qu’il a été mordu par un « reptile »
se condamne lui-même à la mort.

Les Hutus et les Tutsis sont des Rwandais. Les premiers cités ne sont pas nos ennemis. Les seconds sont nos bourreaux qu’il convient de désigner exclusivement par leur appartenance ethnique et non pas par leur identité nationale. Tant que les Bantous du Congo, nos compatriotes, n’auront pas compris cette subtilité sémantique élémentaire, ils sont promis à une extermination à plus ou moins long terme.

Nous autres Bantous congolais ne pouvons pas user de la moindre complaisance ni faire preuve de compassion envers les Tutsis qui ont bénéficié pendant des décennies de notre hospitalité, à qui nous avons offert le gîte et le couvert, que nous avons rendus riches, puissants et opulents au point que certains d’entre eux ont même occupé de hautes fonctions dans nos institutions politiques. Mais ce n’est pas tout. Nous avons aussi ouvert les portes de nos établissements scolaires et les amphithéâtres de nos universités aux enfants de ces Tutsis accueillis, à bras ouverts, en réfugiés chez nous pendant des décennies. Mais voilà que, depuis septembre 1996, déclenchant une invasion militaire à partir de la bourgade de Lemera, l’Afdl , une milice armée ethnique tutsie financée et équipée par cette race de cafards s’est brusquement retournée contre nous, leurs bienfaiteurs bantous et nous font désormais paître avec un sceptre d’airain.

À l’insu de nos dirigeants, la république démocratique du Congo est désormais complètement cernée de toutes parts, du côté de la Centrafrique comme de celui de Brazzaville, aussi bien sur ses frontières avec l’Ouganda , avec la Zambie et la Tanzanie que du côté du Soudan. Désormais, le péril, omniprésent, campe à nos frontières.

Notre pays, avec au sein des FARDC plus de 2.500 officiers tutsis (selon des chiffres datant de cinq ans), vit donc sous un régime d’occupation militaire, cause principale ayant engendré cinq effets majeurs et funestes :

  • A. La domination politique des Tutsis sur les Bantous.
  • B. l’assujettissement des Bantous congolais par les Tutsis.
  • C. Un génocide des Bantous congolais dont le bilan de pertes en vies humaines dépasse déjà aujourd’hui les 12 millions de morts.
  • D. le pillage éhonté et systématique de nos richesses minières, aggravé par l’évasion de nos recettes fiscales et douanières.
  • E. des velléités de balkanisation du Congo en vue de la création d’un tutsi land ou foyer national tutsi au détriment de l’intégrité nationale et de l’unité politique de la république démocratique du Congo.

Face à de tels périls, que peuvent les négociations, les dialogues et les élections ? Rien !! Quand les Bantous congolais comprendront -ils enfin qu’ils ne pourront espérer survivre dans les années et les décennies à venir qu’en versant des hectolitres de larmes et de sang dans une lutte sans merci contre les Tutsis ? Dans le cas contraire, ils n’ont qu’à se rappeler le sort réservé à la Yougoslavie dont le nom a disparu du lexique politique. Il est temps que les Bantous prennent le sentier de la guerre et qu’ensemble, les armes au point , ils crient « Sus à l’envahisseur tutsi ! » en les traquant et en les débusquant sur l’ensemble du territoire national congolais. Les Tutsis qui résisteront ou qui refuseront de battre en retraite vers le Rwanda paieront de leurs vies leur témérité, leur ingratitude, leur trahison et leur félonie. Dans le cas contraire, les Bantous congolais n’auront bientôt plus que leurs yeux pour pleurer leur pays perdu et leurs existences ravagées pour l’éternité.

Pour terminer, une anecdote qui te donnera peut-être une vague idée du cynisme, de la capacité de mensonge et de l’impudence des Tutsis. Cette communauté ethnique negro-africaine tire son nom de l’empereur romain Flavinius Titus mort à Rome en l’an 81 après Jesus -Christ si je ne l’abuse. L’empereur Flavinius Titus s’était en effet rendu sur les hauts plateaux d’Abyssinie (situés dans l’actuelle Éthiopie) pour recruter des mercenaires noirs africains en vue de les enrôler dans les légions romaines. Puis, il marcha sur la Palestine en l’an 79 après Jésus-Christ pour entreprendre le siège de Jérusalem. Lorsque la ville sainte des Juifs se rendit , elle fut mise à sac, sa population massacrée, ses temples, dont celui de Salomon incendiés avec de surcroît, la profanation de leurs sanctuaires où les saints des saints. Naturellement, les mercenaires abyssiniens prirent une part active dans le pillage de Jérusalem dont la principale conséquence fut le phénomène de la dispersion des Juifs travers toute la planète, événement connu désormais sous l’appellation de « diaspora ».

Pendant deux mille ans, les Juifs ayant perdu et fui la Palestine furent persécutés à cause notamment des mercenaires noirs enrôlés dans les légions de romaines par l’empereur Titus. À la
mort de ce dernier, les soldats africains furent démobilisés. Ils s’en retournèrent en Abyssinie. En mémoire de leur empereur, des exploits militaires qu’ils avaient accomplis sous ses ordres, ils adoptèrent son nom Titus dont, au fil des siècles, les deux voyelles furent inversées pour donner lieu au vocable Tuti ou Tutsi.
Jusque là, rien de bien méchant. Mais attends. Attends la suite.

En mai 1948 naquit l’Etat d’Israël, permettant ainsi aux Juifs disséminés à travers le monde et en errance depuis deux mille ans de retrouver enfin leur patrie. Très bien. Mais en septembre 1999, les Tutsis firent croire aux Juifs qu’ils partageaient les mêmes ascendants, qu’eux aussi faisaient parties de l’une des 12 tribus perdues d’Israël.

Les dirigeants juifs gobèrent ce colossal « ubwenge ». Tant et si bien que cette même année 1999, dans un des hôtels Mercure situé dans la banlieue de Bruxelles, une alliance connue sous le nom de « Pacte de Havila » fut scellée entre les Juifs et leurs anciens bourreaux les Tutsis, ceux à cause desquels ils ont connu deux mille ans d’errance, de pogromes et de persécutions à travers la planète avec, comme clef de voûte de tous les malheurs qui se sont abattus sur eux, la Shoah ou l’holocauste des Juifs sous le IIIe Reich d’Adolphe Hitler .

Pour couronner le tout, depuis 1999, les Tutsis s’appellent désormais « communauté hébraïque tutsie » ! Ils ont ainsi réussi à duper même les Juifs qui passent pourtant pour la race la plus intelligente de la terre, si on compte le nombre de Prix Nobel qui leur attribués, comparés à ceux remportés par les autres groupes raciaux.

On comprend maintenant d’où sont venus le soutien militaire, l’assistance diplomatique, l’aide logistique, l’appui financier et la complaisance médiatique qui permirent aux Tutsis de conquérir notre pays en 9 mois, de septembre 1996 au 17 mai 1997 et de d’emparer du pouvoir à Kinshasa.

Je ne verrais aucun inconvénient si tu pouvais assurer une large diffusion à ce message dont tu voudras bien, au passage, excuser la longueur excessive. Mais je crois qu’il en valait peut-être la peine.

Deo-Gratias MAINGO ANDANI André, Journaliste d’Investigation.

Qui habiteront le Tutsiland ?


Voici une intervention que je trouve très intéressante, en raison de deux questions essentielles qu’elle nous pose ; s’agissant du réel ou imaginaire Tutsi-Land.

《Le Tutsi-Land est anticipatif et conquérant… Ils sont au Congo, en Ouganda, en Afrique du Sud, dans le Maghreb, en Europe, aux Amériques et bien partout au monde.

Kagame n’est qu’une carte sur laquelle le cartel « Tutsi-Land » réussit à anéantir le Grand Kivu aujourd’hui, pour progresser vers l’Ouest.

L’après-Kagame se jouait bien avant Kagame !

La meilleure question est plutôt : que font les hutus aujourd’hui, qu’ils n’ont fait hier ?

Et les congolais, que font-ils aujourd’hui qu’ils eussent pu faire il y a des années face à ces vermines Tutsi-landais ?》

Ma réponse à chaud est que toutes les deux parties (Hutu et Congolais) se livrent à la guerre, pour le moment.
Plusieurs mouront encore de part et d’autre.
Un jours, les cousins se résoudront à reconnaître, autour d’une table familiale, qu’ils ont mérité la colère de Dieu, leur Père.
En effet, les protagonistes de cette guerre ignorent-ils leurs aïeux communs et le pourquoi de leur inimitié ?

Au fond, qui habiteront le Tutsiland ?

Ce qui s’est dit ce matin…


Voici ce qui s’est dit et pensé dans notre groupe WhatsApp.  J’ai échangé avec deux compatriotes.  Tous les deux sont du Nord-Kivu.   Il est question de l’avancée des FARDC et des Wazalendo sur terrain.  Une avancée qui commencerait à faire peur à Kinshasa

[14/02, 08:37] G. Paluku Atoka Uwekomu: Quand un frère voisin prit pour que la guerre finisse dans notre pays, pendent qu’il y a encore de congolais qui applaudissent l’avancée des assaillants, c’est de la pure sorcellerie ! Changeons notre façon de voir les choses !
[14/02, 09:04] G. Paluku Atoka Uwekomu: Qu’est-ce qui est sorcellerie et pourquoi, Ghislain ?

Kinshasa a décidé de tuer les congolais qui, aidés par des étrangers, tuent des citoyens congolais arbitrairement et sauvagement ou occupent des territoirs qui ne sont pas leurs, après avoir averti notre peuple de son initiative et n’avoir pas été arrëté par le peuple consentant.

En son temps, le Président de la République devra expliquer son acte devant la nation qui probablement aura changé d’avis.

Quant à Kigali, qui dansait, hier, pour fêter ses victoires sur ses ennemis, déplore-t-il des morts ou pas ? Et pourquoi ? Quelle est sa réaction aujourd’hui, que sera-t-elle demain, comment et pourquoi ?

Nous l’avions prédit : il y aura encore beaucoup de morts dans notre pays, parce que nous avons appris à avoir soif de la mort comme nos voisins, qui en ont la tradition, pour avoir lier des relations intimes avec eux. Hier encore, nos chefs d’États étaient des frères, buvaient à la même coupe, mangeaient à la même table, loin du peuple.
[14/02, 09:29] G. Paluku Atoka Uwekomu: Dis-moi, frère, est-il vrai que la RDC aie pris le dessus au front comme nous le voyons dans les médias ? Quel sera l’attitude des hutu du Rwanda ? Ne vont-ils pas lâcher leur Président ? Et quel sera le sort de la minorité tutsi dans un tel cas de figure ?

De l’autre côté, que va faire l’Uganda face à la menace du feu congolais ?

Enfin, le Burundi, selon toi, demeurera-t-il un ami fidèle du Congo pour que les hutu prennent leur pouvoir longtemps usurpé, définitivement, dans le Rwanda-Urundi de demain ?
[14/02, 09:31] G. Paluku Atoka Uwekomu: Non! Je suis désolé, même si vous prétendez connaître l’histoire du monde ! Ici je reste pessimiste, quand bien même les frères du sang trahissent ! Alors cela ne sera jamais un moyen pour vous, de vouloir convaincre les esprits faibles, afin qu’ils adoptent la politique de la case brûlé ! Donc je vous prie de ne pas vouloir me faire croire que c’est #Kisekedi le problème ! En plus je me rappelle pendant les attaques des ADF/mtm! KABILA AVAIT DIT QUE S’ÉTAIT KAMBALE KI TUAIS KAKULE, et aujourd’hui que dira-t-il
[14/02, 09:50] G. Paluku Atoka Uwekomu: J’ai 68 ans bientôt. Je connais ce que mon âge m’a permis de vivre, mais je ne crois pas prétendre connaître l’histoire du monde ni l’avoir penser.

Qu’est-ce qui est politique de la case brûlée ici ?

Ai-je fait croire que le Président de la République soit le problème ? J’ai écrit qu’il devra répondre de la guerre décretée contre le M23, une rebellion congolaise, supportée par le Rwanda de Paul Kagame et par les alliés de ce dernier.

Quant aux Nande qui ont tué des Nande, ils existent, et tu le sais bien, je suppose. De là, nier le génocide du peuple nande, il y a une distance, frère ! Tu le sais aussi bien que moi.

Cela dit, dans le M23, y a-t-il ou pas ces Nande, dont nous partageons le sang, et que nous ne devrions pas trahir ?
[14/02, 09:53] G. Paluku Atoka Uwekomu: Je pense que nous allons gagner cette bataille une fois nous serons unis. Le Burundi restera tjr notre ami fidèle comme le Rwanda est devenu notre ennemis commun. Mon regret est que là où je suis ici il y a l’armée ougandaise qui vient combattre les ADF alors que cette même armée est entrée de soutenir les M23 ds le petit Nord – Kivu! Je trouve que notre président avait fait un mauvais choix de faire participer nos ennemis ds notre guerre.
[14/02, 09:53] G. Paluku Atoka Uwekomu: Dis-moi, frère, est-il vrai que la RDC aie pris le dessus au front comme nous le voyons dans les médias ? Quel sera l’attitude des hutu du Rwanda ? Ne vont-ils pas lâcher leur Président ? Et quel sera le sort de la minorité tutsi dans un tel cas de figure ?

De l’autre côté, que va faire l’Uganda face à la menace du feu congolais ?

Enfin, le Burundi, selon toi, demeurera-t-il un ami fidèle du Congo pour que les hutu prennent leur pouvoir longtemps usurpé, définitivement, dans le Rwanda-Urundi de demain ?
[14/02, 09:56] G. Paluku Atoka Uwekomu: Selon toi, quel sera le sort de l’autre peuple frère, les Tutsi, et de leurs alliés, dans ces conditions ?
[14/02, 10:02] G. Paluku Atoka Uwekomu: Et au Rwanda de demain ?
[14/02, 10:02] G. Paluku Atoka Uwekomu: Ils vont faire l’objet d’une menace ici au Congo. Càd un peuple qui sera mal vue ds nos entités.
[14/02, 10:02] G. Paluku Atoka Uwekomu: Probablement, quelle sera la dimension, la nature, de cette menace, chez nous au Congo, selon ton appréciation et pourquoi ?
[14/02, 10:11] G. Paluku Atoka Uwekomu: ☝🏿Cette échange entre fils de l’Est, montre bien la gravité de la mort qui nous attend, si nous ne prenons pas notre responsabilité en main en promouvant une vraie paix qui commence par la poursuite de tous ceux qui ont tué et qui tuent, arbitrairement, sur notre territoire congolais, depuis le départ du colonisateur belge.
[14/02, 10:13] G. Paluku Atoka Uwekomu: Au Rwanda nous avons peu que l’équation soit renverser et que les tutsis soient les plus menacé.
[14/02, 10:14] G. Paluku Atoka Uwekomu: ☝🏿Et au Rwanda ? Selon notre interlocuteur.
[14/02, 10:15] G. Paluku Atoka Uwekomu: Les tutsis seront exécutés en plein heure une fois on les trouverait ds une communauté congolaise.
[14/02, 10:16] G. Paluku Atoka Uwekomu: ☝🏿Tandis qu’au Congo, prédit notre interlocuteur…
[14/02, 10:30] G. Paluku Atoka Uwekomu: Nous devons changé le narratif ! Ici la RD.CONGO NE SE BAT CONTRE UNE ETHNIE MAIS PLUTÔT DES NATIONS ! ALORS EVITONS DE MELLANGR LES CHOSES!✍🏾
[14/02, 10:30] G. Paluku Atoka Uwekomu: Selon toi, le Congo (Et non pas Kinshasa) ne combat pas les Tutsi ni leurs alliés, mais plutôt les Rwandais et leurs alliés.

Selon nous, Kinshasa (Et non pas le Congo), combat les Tutsi et leurs alliés (Et non pas le Rwanda).

Nos discours sont donc fondamentalement et véritablement différents.

L’avenir proche, à ce que je pense, nous éclairera là dessus.

Merci pour ce déjeuner politique civilisé !
À demain, matin, Dieu voulant ?