Qui est responsable, de quoi ?


Certains condamnent le Président de la République pour sa manière de traiter l’actuelle crise politique qui oppose rwandais, ugandais et congolais.

Examinons la question d’un peu plus près.

Quelle est la crise ?  Quelle est l’accusation ?  Qui est l’accusateur ?

La crise aujourd’hui est principalement l’insécurité à l’Est : vol, viol, enlèvement, tueries, occupation, pillage de minérais, du bois, de minéraux, du pétrole, de salaires, de champs ou plantations, de fermes, de maison, de terres, d’écoles, de villages ; par des rebelles, des bandits, des armées congolaises et étrangères, etc.   Brualités et brimades de toutes les sortes,  des citoyens, par des ennemis du congolais, des policiers et des militaires, congolais et étrangers, autant que par des rebelles, la justice même et les bandits de grands chemins.

Quelle est l’accusation portée contre le Président de la République ? Ne sont-ce pas :

  1. son état de siège qui a apporté plus de morts, d’injustice, d’insécurité, de frustrations que de sauvés, de secourus ;
  2. son maintien dans le pays de la CENI pour bloquer le fonctionnement normal de l’administration des élections, de la démocratie et du droit de vote  ;
  3. le maintient de la MONUSCO dans le pays, pour caresser dans le sens du poil l’ONU, qui entretien la colonisation du pays depuis 1960, dans le but de se maintenir au pouvoir ;
  4. la composition avec des groupes politico-militaires tels que la CODECO, les Wazalendo, les Mai-Mai, Zaïre, le FPRI,  Chini ya Kilima et bien d’autres ex-rebelles, pour se maintenir au pouvoir, dans l’Est du pays ;
  5. ses interminables voyages à l’étranger pour chercher des soutiens dont les congolais n’ont quoi faire, qui ne rentre pas dans son rôle, mais que paient les contribuables congolais ;
  6. sa contribution à la déliquescence de l’enseignement, du travail et de l’administration, dans le pays, qui continue de plus bel, en raison de son incapacité de se pourvoir en ministres patriotes et capables, par la pratique de l’esclavage, des salaires de misères ;
  7. les multiples cas de détournements du denier publique par son gouvernement et son parlement ;
  8. etc.

Qui est l’accusateur ?

 Théoriquement, une bande de quelques opposants, en porte-à-faux total avec la population congolaise.  En effet, celle-ci a soit largement voté le Président de la République soit choisi de le toléré.

À côté d’eux, les rebelles.  Ceux-ci ont choisi d’exprimer leur désaccord d’avec le pouvoir en prenant les armes.  Ils sont en effet persuadés que les dicateurs ne comprendraient que le langage des armes.  Cependant, ils ignorent volontairement que les victoires des rebelles qui les ont précédés n’ont jamais arrangé le pays, dans le but de s’enrichir sur le dos de nos faibles poluations. 

Enfin, à l’extérieur de la République, une poignée de pays où se trouveraient de vrais amis des Congolais, souvent ignorés et en nombre limité, ici aussi.  Il faudra donc du temps pour que le Congo soit « libéré », acquiert son indépendance.  En effet, pour nous, épris de démocratie, de justice et d’humanité, étant largement minoritaires, il faudra du temps avant que nous gagnions des âmes à notre cause.  Les accusateurs sont donc quelques opposants civilisés, un conglomérat de rebelles et de rares fidèles amis des Congolais ; formant un groupe limité.  Cela explique que la dictature tienne la route impunément au Congo, depuis 1960 jusqu’aujourd’hui.

Chers compatriotes, vous faites une fausse lecture historique, désolé de vous le dire ainsi. Je vous pose une question simple : la RDCongo aurait-elle connu cette situation déplorable que vous décrivez si Mobutu n’avait pas confié la gouvernance étatique, avec pleins pouvoirs, à un sujet rwandais, président des étudiants rwandais à Lovanium, en 1969, à savoir Barthélémy Bisengimana Rwema?

Mobutu avait-il confié « la gouvernance étatique, avec pleins pouvoirs, à un sujet rwandais » ? Le régime de Mobutu fut une des dictatures les plus farouches que nous ayons connues jusqu’à ce jour. Le Président fondateur, le Maréchal, le Timonier, papa de la République, c’était lui et personne d’autre ; du moins d’apparence ! Le Comité Central, organe supprême du parti-état, était géré par d’autres personnes que Bartélémy Bisengimana qui ne pouvait pas tenir tête à aucun d’entre eux. Que nous le sachions, ces personnes étaient des congolais de souche…

Voilà l’origine de ce que vous condamnez, à raison de nos jours. La nomination de Bisengimana a été à la base du « Réseau BB à travers le Zaïre ». Les services de sécurité avaient mis à nu ce réseau. C’est pourquoi Mokolo wa Pombo avait confié ce dossier à Honoré Ngbanda pour le nouveau service Études, créé et taillé sur mesure après sa formation en Israël. Nous sommes en janvier 1973 (Lire Crimes organisés en Afrique Centrale. Révélations sur les réseaux rwandais et occidentaux, Duboiris, 2000). Cet exemple démontre clairement que l’infiltration à laquelle vous faites allusion débuta sous Mobutu, lorsqu’il accorda aux Rwandophones la nationalité congolaise de manière collective (une grande première) le 26 mars 1971, sans un recensement précis des bénéficiaires. Conséquence, tout Rwandophone qui débarquait au Zaïre à 8h00, avait déjà sa carte d’identité à 12h00. Cette ordonnance fut diluée dans celle de janvier 1972 sur la nationalité zaïroise. Je vous conseille de lire aussi Nimy Mayidika Ngimbi dans son livre publiée 2006 (Je ne renie rien, je raconte…). Il signale les difficultés auxquelles il fut confronté pour se débarrasser de deux conseillers rwandais hyper-puissants laissés par son prédécesseur. Même la bibliothèque de la Cour suprême ne fut pas épargnée puisque dirigée par un Zairwa… Ensuite, il eut la mesure suicidaire, dangereuse qui contribua à la déstructuration du tissu économique, la zairianisation. Cette mesure fut déconseillée par le collège des Conseillers économiques à la présidence, comme le décrit l’ambassadeur JB Murairi, Le festin des vautours.

En 1972, une loi a été voté en l’Assemblée nationale révolutionnaire dont tout congolais peut prendre connaissance pour comprendre pourquoi la congolité fait problème et continuera encore à être une pierre d’achoppement pour beaucoup d’entre nous, qui ne voudraient pas s’instruire davantage sur la question .

Pourtant :

  1. les locuteurs du kongo se retrouvent dans 3 pays (Congo-Kinshasa, Congo-Brazaville et Angola) pendant que les rwandophones se retrouvent dans 4 pays (Congo-Kinshasa, Rwanda, Uganda, Burundi) ;
  2. les locuteurs du kongo ne sont pas tous de l’ethnie Kongo, non plus que les locuteurs du rwanda ne sont pas tous de l’ethnie Hutu.

Les conflits entre rwandophones et non-rwandophones ou entre tutsi et non-tutsi, dans le Kivu, doivent donc avoir une explication que les tutsi ou les rwandophones, les politologues et les historiens nous cachent où ne maîtrisent pas.

(1) Que nous cachent-ils ? (2) Pourquoi ? (3) Comment ? (3) Avec quelles conséquences ? C’est ce que nous tâcherons d’exposer ici, non comme spécialistes de ces questions, mais comme personne ayant des attaches dans le Kivu.

Et pour tout couronner, c’est en 1976 que fut créée la fameuse tribu Banyamulenge, par un certain Gisaro vivant à Kinshasa. Personne ne contesta cette mascarade nocive. En 1981, le Comité central du Mpr décida le retrait de la nationalité collective attribuée aux Rwandophones. Mais seulement, il s’était passé 10 ans entre l’année d’attribution de cette nationalité et son retrait. Jean-Claude Willame note, par exemple, que c’est à partir de cette année là que débuterent les conflits et les violences dans le Kivu (Lire: Les Banyarwanda et les violences dans le Kivu). Puisque certains Rwandophones furent exclus des élections de 1982 et de 1987. Lors de la CNS, en 1991-1992, d’autres rwandophones furent invalidés, accentuant le malaise de ces populations. C’est ce qui fait qu’en juillet 1995, 40 dignitaires tutsis redigerent un mémorandum adressé au maréchal du Zaïre. Dans ce document, ils sollicitaient le recouvrement de leur nationalité zaïroise et lui avertissaient qu’au cas contraire, ils allaient recourir à tous les moyens possibles pour y arriver. Et en octobre 1996, débuta la rébellion de l’Afdl qui fut présentée comme une revendication des Banyamulenge pour recouvrer leur nationalité. J’espère que ce rappel historique vous permet de replacer et de situer les éléments essentiels pour saisir l’origine de la rébellion de 1996. Si oui, nous devons admettre qu’il est faux de prétendre que l’infiltration déplorable remonte à l’année 1996, coïncidant avec le déclenchement de la rébellion de l’Afdl. Tout aussi faux de prétendre que c’est LD Kabila qui a ramené les rwandais au Congo. Puisqu’ils y étaient déjà et s’étaient vachement enrichis sous Mobutu : cas de Gaiga, Bisengimana, Gisaro, et Miko Rwayitare, le propriétaire de Télécel à qui fut confié le monopole de la téléphonie cellulaire au Congo zairianisé. De porte-parole, LD Kabila n’est devenu président de l’Afdl qu’après le décès de Ngandu Kisase. Et c’est un coup d’Etat qu’il fut au sein de lAfdl pour s’auto-proclamer Président de la République, selon les autres membres de l’Afdl. Car, la structure afdelienne prévoyait Bugera comme Président de la République. Je me limite à ce stade. J’espère avoir remis les éléments du puzzle en place pour saisir l’origine des infiltrations. Il est dés lors faux de soutenir que LD Kabila est venu avec les Rwandais. La vérité est que ce sont, au contraire, les Rwandais, Ougandais, Angolais, etc., qui ont porté LD Kabila au pouvoir à Kinshasa. Puisqu’il ne fut pas à l’origine de cette rébellion. Il fut recruté en tant qu’opposant à Mobutu. D’ailleurs, le recent ouvrage de Charles Onana montre comment le Fpr avait tout fait pour repousser les réfugiés vers le Congo selon le plan concocté à l’avance. Cette version d’Onana corrobore une anecdote que m’avait rapportée le defunt ambassadeur Albert Kisonga chez lui à Gilly, en Belgique. Après une soirée bien arrosée avec Gaiga, le Zombie, celui-ci lui déclara ceci:  » Tu sais, Albert, les jeunes gens qui accompagnent Museveni sont majoritairement des Tutsis rwandais. Nous allons installer Museveni à Kampala. Ensuite, nous irons prendre le pouvoir à Kigali. Et pour finir, nous viendrons vous coloniser, vous les Zaïrois…Puisque vous avez une élite idiote ». Cette conversation eut lieu en 1985. Voilà pourquoi je persiste à croire que le contraire est faux historiquement. Comme vous pouvez le constater, mon rappel historique est factuel. Il ne se fonde pas sur des considérations ethnicistes ou provincialistes. Car, ce qui devrait caractériser un pays multiethnique comme la RDCongo, ce n’est pas l’appartenance à sa tribu ou à sa province, donnes sociologiques compréhensibles, mais le patriotisme civique, comme le propose Yasha Mounk. Bien à vous. ABBM
Je m’excuse pour les coquilles. Bien à vous. Je dépose ça, là : à l’avènement de l’Afdl, tous les va-t-en-guerre ( Kengo, Kisangani ne tombera pas, Ngbanda, Kongulu, tous les généraux de Mobutu, plusieurs dignitaires entr’autre Thambwe Mwamba et Tutti quanti…) ont pris le large pour un exil en Europe. Lors de la guerre de Kinshasa ( Joseph Kabila vs JP Bemba), le dernier s’est retrouvé en Belgique où la CPI l’avait cueilli). En un mot, les va-t-en-guerre ont les moyens de conserver leurs vies et rebondir lorsque les choses se tassent. Plusieurs possèdent plus d’une nationalités. Combien de pauvres gars n’ont-ils pas perdu la vie à l’entrée de l’Afdl ou lors des échauffourées entre Joseph et JP, laissant femmes et enfants ? Ce petit tableau peint la nature de tous ces adaptés de la guerre. Et après ? Ils reviennent en force, coalisent avec le nouveau pouvoir et se refont une santé de fer, en tout point de vue. C’est là, le calcul de Nangaa et cie. Juste ça : la boulimie du pouvoir. Ici, nous voulons attirer l’attention de tous nos compatriotes sur le danger qui nous guette: celui de tomber dans ce piège où veulent nous conduire cette catégorie ( une minorité) qui se fiche de nos vies, au nom du pouvoir. Posons-nous cette question : pourquoi Goma, jusqu’à présent ne tombe pas? Réponse : aucune raison n’est leur est donnée. En effet, le Rwanda est l’arbre qui cache la forêt ( communauté dite  » internationale » qui ont des intérêts dans nos minerais). Cette communauté est confuse parceque, malgré toutes les provocations, Kinshasa reste droit dans ces bottes et rallie à elle plusieurs voix qui commence à les gêner. La dernière étant l’accusation directe portée sur Apple. Il est temps, pour nous, de réfléchir sans émotions ni sentiments : sommes – nous prêts pour une guerre contre ce bon monde ?

En effet, la tribu Banyamulenge est un groupe ethnique controversé qui a émergé dans la région des Grands Lacs en Afrique centrale. Voici quelques informations à ce sujet :

  1. Origine et Identité :
    • Les Banyamulenge sont principalement concentrés dans la région du Kivu, qui couvre à la fois la République démocratique du Congo (RDC) et le Rwanda.
    • Le terme “Banyamulenge” signifie littéralement “ceux qui viennent de Mulenge”, faisant référence à une région montagneuse située dans le Sud-Kivu.
    • Ils sont souvent considérés comme une sous-ethnie des Tutsis, bien que cela soit contesté par certains.
  2. Controverses et Conflits :
    • La création de la tribu Banyamulenge en 1976 a suscité des tensions et des conflits dans la région.
    • Certains Congolais les considèrent comme des étrangers et remettent en question leur droit à la citoyenneté congolaise.
    • Ils ont été impliqués dans des conflits armés, notamment lors des guerres civiles en RDC.
  3. Identité Politique :
    • Les Banyamulenge ont cherché à défendre leurs droits et leur identité en tant que groupe distinct.
    • Ils ont été actifs dans la politique congolaise et ont revendiqué leur place dans la société.
  4. Complexité et Débats :
    • La question de l’identité des Banyamulenge est complexe et controversée. Certains les considèrent comme des Congolais à part entière, tandis que d’autres les voient comme des étrangers.
    • Les débats sur leur nationalité et leur appartenance ethnique ont persisté au fil des ans.

En somme, la tribu Banyamulenge est un sujet sensible et complexe, étroitement lié à l’histoire et à la politique de la région des Grands Lacs. Il est important de reconnaître les nuances et les diverses perspectives lorsqu’on aborde ce sujet.

Les usurpations des terres et des nationalités


En RDC, les pouvoirs s’occupent de dépouiller nos peuples de leurs terres ; et qui pis est, de spolier ces terres usurpées…

Les victimes, sans instruction, formation ni éducation suffisantes, se plaignent souvent mal : elles vont rechercher le salut auprès de leurs bourreaux, aussi étrange que cela parraisse, en reconnaissance d’une autorité qu’elles croient venir de Dieu, pendant que de toute évidence, elle vient de Satan ou de ses suppôts humains ! Le résultat est là : la division de notre nation naissante gagne du terrain. Le citoyen ne compte plus ni sur son humanité ni sur sa race ni sur son peuple ni sur sa tribu ni sur son clan ni sur sa patriarchie ni sur sa famille nucléaire. La nation n’est plus que dans la tête des nostalgiques de la colonisation, de la civilisation occidentale.

Congo-Libre et le Projet 2014 sont les seuls lieux que je connaise où le congolais soit invité à défendre son identité et sa possession, quand elle en a encore…

Progressivement, lentement, mais sûrement, les villes sont retirées du contrôle des autochtones qui les ont construites, mais qui ne les possèdent plus, ne les contrôlent plus. Kinshasa n’est plus ni yaka ni nteke ni humbu ; Bunia n’est plus bira, Oicha n’est plus ni mbuba ni bila ni mbute ; Mahagi, très bientôt, cessera d’être palara ; Kisangani ne sera plus ni topoke ni lokele, etc. Et même Ramogi sera vendu aux étrangers, si nous ne réagissons pas avec intelligence, célérité et sagesse, à ce qui nous arrivent !

La colonisation du congolais se poursuit donc de plus bel et il ne faut pas s’étonner que les rébellions se multiplient et des étrangers en profitent pour vendre des armes à ceux qui voudraient braver les usurpateurs, tels les hommes qui trônent aujourd’hui à Kinshasa, bénis par une frange de congolais qui ne savent pas ce qu’ils font.

L’opposition silencieuse existe. Celle à qui des traîtres, des néocolonisateurs sans intelligence, sans vision, ont cru utile de retirer la nationalité congolaise, pour les démunir politiquement…

ERREUR ! Dieu ne sommeille pas.

L’Occident et l’Orient, qui jouent le jeu de ces bandits politiques, qui conduit à leur perte politique prochaine certaine, commence à comprendre les erreurs qu’ils ont commises et qu’ils n’ont pas encore corrigées. Enfermés dans l’orgueil racial, politique ou culturel, certains continuent à jouer aux maîtres ou gendarmes du monde, sous les regards du Dieu vivant. Pendant ce temps, les fils de ce Dieu voient tout, sonde le coeur même de leur Père, qui ne dort ni ne sommeille, rappelons-le !

Pendant le temps que la RDC et bien d’autres pays du Tiers Monde dorment, il est vrai, s’ennivrent de paresse et d’égoïsme suicidaires, le monde anti-occidental tente de s’implanter, de se tailler sa place à elle aussi : les islamistes, les communistes et les socialistes continuent à nous faire la cours : à nous subjuguer, pour un temps.

En effet, il y a des congolais sur qui Dieu veille et qu'Il n'abandonnera pas.  Forcés à l'exil ou muselés, pour certains, il adviendra que leurs fils se lèvent un jour pour bâtir une grande nation au centre de l'Afrique ou dans l'Afrique toute entière, changeant significativement les rapports de forces entre le Nord et le Sud...
Comment nous préparons-nous à ces changements lointins et pourquoi ?
Que deviendront les usurpateurs des terres et des nationalités et leurs victimes ; et pourquoi ?

Les africanistes théorisent : il faut passer aux démonstrations !


[3/10, 04:40] Paul Emile Okoka: Ecouter et partager massivement cette video, il s’agit du reveil de l’afrique noire ou du kongo en cours selon Esaie 18:1-7, en outre consulter tous mes commentaires qui y sont contenus, https://fb.watch/fW18gh5vNB/
[3/10, 08:28] G. Paluku Atoka Uwekomu: Nous pensons qu’un réveil viendra dans plusieurs dizaines d’années.

Au Congo, où les congolais se brutalisent, s’empoisonnent, se subjuguent, s’entretuent encore, en plus de se laisser corrompre par des étrangers, et de continuer à croire aux fétiches et aux idoles, nous ne trouvons pas encore qu’il soit logique de parler d’une repentance et encore moins d’une conversion.

Un pays où des peuples fêtent et dansent pendant d’autres s’entretuent, où les peuples élisent et suivent des méchants, ne sera pas béni : il souffrira les affres de son investissement dans l’iniquité ; jusqu’à sa repentance.
[3/10, 08:51] G. Paluku Atoka Uwekomu: Les africanistes, versant, revenant à un racisme anti-blanc vain, tentent de créer de faux espoirs.

Plutôt que d’inviter au travail et à une unité active de l’Afrique, il ne pensent et ne passent leur temps qu’à ressasser leurs rancoeurs contre les colonisateurs blancs.

Dans le Projet 2014, nous invitons tous les peuples du Congo à créer une vraie unité de nos peuples pour contrer les imposteurs.

Nous invitons tous nos frères d’alentours : Kongo, Ngala, nilotes, luba, shokwe et lunda à librement et fraternellement rejoindre la gachette de l’Afrique, pour bâtir paisiblement une union d’états indépendants qui soit modèle pour les autres régions de l’Afrique ; avec des états fondés sur nos différents clans, tribus, ethnies, alliances.

Ce processus doit commencer. Doucement, dans le calme, dans la détermination, la sagesse, l’intelligence et le sérieux pour couper l’herbe sous les pieds de nombreux imposteurs et lâches qui abusent de nos peuples affaiblis par les diviseurs, les hégémoniques.

Provoquons la rage ?


Nous ne pouvons pas si facilement anéantir un peuple, quelque exécrable qu’il soit, chez lui ! Il est inique de réfléchir de la sorte, dans une nation jeune, d’origine coloniale. Nous ne pouvons plus continuer à tromper les concongolais non plus. Ce qui est dit ci-dessous est un mensonge qui coûtera probablement cher à ses auteurs. Les lendu et alliés ainsi que les nande et alliés, se battent, bien ou mal, pour leurs terres. Nous tous qui sommes sur leurs terres, nous gagnerions à rentrer chez nous, planter nos oignons. Cette façon de faire prouvera que nous sommes respectueux d’autrui, civilisé et paisible.

Sinon, nos esprits hégémoniques rencontreront le courroux de peuples enragés, furieux.

On ne ment pas à Dieu !


[11/6, 08:25] G. Paluku Atoka Uwekomu: Nord-Kivu : L’armée rwandaise a tiré une dizaine de bombes sur le territoire congolais et tué deux écoliers (FARDC) https://7sur7.cd/2022/06/10/nord-kivu-larmee-rwandaise-tire-une-dizaine-de-bombes-sur-le-territoire-congolais-et-tue
[11/6, 08:25] G. Paluku Atoka Uwekomu: Kashiru et Kavange, deux villages de la Localité de Bunagana viennent de tomber entre les mains de M23. Les Fardc se sont repliés vers La frontière avec l’Ouganda à Kanombe, Ou ont signale des combats jusqu’à cette heure

https://t.co/XfxtCups0l
[11/6, 08:25] G. Paluku Atoka Uwekomu: Nord-Kivu : Les FARDC possèdent des images de drone qui attestent l’occupation de Tchanzu et Runyonyi par l’armée Rwandaise (Général Ekenge) https://7sur7.cd/2022/06/10/nord-kivu-les-fardc-possedent-des-images-de-drone-qui-attestent-loccupation-de-tchanzu
[11/6, 08:25] G. Paluku Atoka Uwekomu: Nous sommes donc en guerre contre le Rwanda que notre Président disait ne pas être notre ennemi.
Que s’est-il passé entre les deux amis, dans l’entre temps, comment et pourquoi ?
[11/6, 08:25] G. Paluku Atoka Uwekomu: Les M23 gagneront-ils cette guerre sans un appui des peuples congolais ?
[11/6, 08:25] G. Paluku Atoka Uwekomu: Nord-Kivu : Les FARDC possèdent des images de drone qui attestent l’occupation de Tchanzu et Runyonyi par l’armée Rwandaise (Général Ekenge) https://7sur7.cd/2022/06/10/nord-kivu-les-fardc-possedent-des-images-de-drone-qui-attestent-loccupation-de-tchanzu
[11/6, 08:25] G. Paluku Atoka Uwekomu: Les réponses à ces deux questions sont simples.

  1. Il ne faut bâtir sur l’hypocrisie !
  2. Une rébellion sort toujours perdante – en Afrique, généralement, 25 ans plus tard !
    [11/6, 08:25] G. Paluku Atoka Uwekomu: Wale wote (Rwanda, rahia na M23) watashindwa.
    Alakini, kwa sababu ya kukatala ku tii wa tumishi ya Mungu, tutateseka tena, mupaka tutubu zambi zetu. Kwa sababu, Kongo mzima inaomba Mungu, alakini haimuti.

Tous ceux là (Rwanda, notre nation et le M23) seront vaincus.
Cependant, pour avoir refusé d’obéir aux serviteurs de Dieu, nous souffrirons encore jusqu’au jour oû nous confesserons nos péchés. Parce que, le Congo tout entier prie Dieu, mais ne lui obéit pas.

Pourquoi est-il nécessaire de nous approprier le Congo ou de nous séparer ?


Skype
Du Peuple
L’heure n’est plus aux marches chers compatriotes Congolais. Tout le monde sait aujourd’hui que Kanambe est Rwandais, que le Congo est occupé, que tous ces incoscients qui remplissent les institutions (Parlement, Gouvernement, les Gouverneurs, Bourgoumestres de territoires et autres PPRD, musiciens, acteurs de Theatres etc…) sont des collabos; Dans d’autres pays comme ils font ce qu’on appelle « la haute trahison », ils doivent payer de leur sang pour donner lecon aux generations futures. C’est pourquoi: Il est plus qu’important que partout ou se trouvent les Congolais en leiu et place de « marches » nous fassions des journées des reflexions pour raisonner ensemble sur ce que nous sommes appellés à faire rellement en ce moment. Ne soyons pas naïfs ou fanantiques de certaines personnes , égoistes ou orgeuilleux, par contre faisons des choses convenablement dans la direction de la veritable libération de notre pays. Que vive le Congo, que vive la resistance! Ingeta.

======================================= Projet 2014
L’erreur est de penser que tous les conglais aujourd’hui sachent ou croient que JHK soit rwandais !
En effet, de toute bonne foi, beaucoup d’entre nous croient fermément encore que JHK soit, indéniablement, congolais ; qu’il soit mal jugé, injustement insulté et méchamment rejeté par ses opposants, dont les udpsistes, combattants et les résistants particulièrement, auxquels il faut ajouter quelques individualités « indépendantes ».
Parmi ces congolais se trouvent ceux qui défendent JHK, le protègent, le louent, le félicitent pour ses hauts faits : deux élections démocratiques, la fin de la guerre à l’est de la RDC, les cinq chantiers actuellement en route, les bonnes relations avec l’Uganda et le Rwanda, etc.
A côté d’eux se trouvent tous ceux qui ont résolu de rentrer dans une guerre sainte contre les udpsistes, les combattants et les résistants et contre tous ceux qui voudraient s’opposer ou contester le système josephiste, qu’ils considèrent comme de véritables incarnation du diable ou de ses anges.
Mauvaise foi, malice, collaboration, trahison, irresponsabilité, folie : rétorque les purs et durs des l’opposition !
Jusqu’où irons-nous avec ces contradictions, oppositions, contradictions, apparentes ou profondes ?
Qu’est-ce qui déclenchera le déclic, le sursaut national, le rassemblement des congolais, pour résoudre les enigmes de leurs divergences ?
Au Projet 2014, nous aimons à dégrainer notre chapelet :

1. la RDC, comme beaucoup d’autres pays africains, est un état issue de la colonisation ;

2. nous, congolais, depuis 1960, n’avons pas encore pris le temps de s’asseoire pour décider de ce que nous désirons faire du Congo de Kasavubu et Lumumba, parce que nos politiciens en quête d’hégémonie politique se montrent véreux et hypocrites ;

3. le défaut de courage politique de nos peuples et de nos politiciens profitent aux dictateurs et aux néocolonialistes qui les manipules à souhait, ne nous permettant pas de jouir de l’indépendance que nous croyions avoir le 30 juin 1960.

Ce sont nos peuples congolais qui doivent prendre la responsabilité de se choisir des leaders patriotes et capables pour que le dialogue se tienne ; à défaut de quoi, il ne faut pas se leurer en continuant à perdre de nos fils dans une unité qui n’existe que de nom, qui ne profite qu’aux ennemis de nos âmes et leurs valets congolais.

L’enclave de Cabinda a droit à son indépendance…


La RDC, une fois libérée, devrait aider le peuple frère de l’enclave de Cabinda à obtenir l’indépendance pour laquelle il est en droit de se battre par tous les moyens démocratiques.

Nous pensons que dans la logique de notre vision d’une confédération d’états indépendants du Congo ou de l’Afrique Centrale,la RDC a plutôt intérêt à soutenir toutes les initiatives démocratiques du peuple cabindais visant à obtenir son indépendance de Luanda qui ne lui sied pas.  Bien plus, il faut soutenir, si cela devait se confirmer, la volonté de certains cabindais de devenir citoyen du Congo-Kinshasa.  Nous avons, en effet, tout à y gagner.  Il n’est pas des raisons pour qu’un peuple frère soit contraint à faire chemin avec des peuples qui ne lui inspirent ni confiance et qui ne lui assure pas sa sécurité qu’il attend ; mais qui au contraire le menace et le nargue ; et que nous ne lui venions pas au secours.

Cependant, encore une fois, nous devrions veiller, une fois cela devenu possible, à ce que la démarche cabindaise s’inscrive dans le cadre d’une indépendance volontaire, régulièrement et démocratiquement conquise et non plus acquise.

Le soutien de la dictature angolaise, par les gouvernements de Kinshasa et de Brazzaville, s’il était avéré, doit être dénoncé avec toute notre énergie jusqu’à ce que nous libérions notre Congo de l’imposture et de la dictature ; avant de soutenir, de toutes nos forces, les initiatives des peuples brimés qui revendiquent leur droit inaliénable à leur autodétermination.

Ce qui est dit de l’enclave de Cabinda devrait, s’applique également à l’Est de notre territoire où certains peuples sont malheureusement contraints à en subir d’autres qui ne leurs conviennent pas !