Restituons les enfants à qui de droit !


Pas tout à fait vrai ! Les plus grands chefs rebelles du Congo sont des universitaires.

Ceux qui ont ravivé les guerres tribales anciennes, au Kivu et en Ituri, sont tous des universitaires.

Les penseurs de la dictatures au Congo, ne sont pas les ignares, mais bien des PHD.

Les grands faux prophètes du monde ne sont pas les fetcheurs de nos villages, mais nos théologiens, comme à l’époque de Christ.

Au Projet 2014, nous montrons que l’école napoléonienne a abruti plusieurs Congolais. Cependant, nous devons nouancer cette ONSERVATION OBJECTIVE.

En effet, si le Congo a des problèmes, il faut le reconnaître, c’est parce que la maturité spirituelle, intellectuelle, scientifique et culturelle de notre population et de notre classe politique est très douteuse, même chez ceux qui ont été aux études post-universitaires. C’est pour cela que nous estimons que nous devons revoir sérieusement notre système éducatif.

Les enfants endoctrinés dans nos écoles, nous reviennent avec une culture qui laisse à désirer : vol, mensonge, prostitution, méchanceté, intolérance culturelle, aliénations mentales, morales et spirituelles de toutes sortes.

Nos enfants sont tous désormais mal éduqués, inciviques, meurtriers même.

À 40 ans, la plupart de nos hommes et de nos femmes sont incapables de tenir un foyer. Ils ne savent ni faire le ménage ni même entretenir une vie sexuelle ou sociale digne ! De plus en plus, nous rencontrons des hommes de 50 ans qui se comportes dans les rues commes des enfants de 8 ans !

Seuls quelques esprits bien nés font la différence. L’observation montre vite que ces hommes proviennent des familles qui ont conscience de la dangerosité de notre système éducatif et qui ont su armer leurs enfants contre celui-ci. Je connais des parents qui ont abandonné leur travail pour éduquer eux-mêmes leurs enfants à la maison.

Mon expérience dans ce domaine est instructive. Depuis mon divorce d’avec mon ex-épouse, nos enfants qui étaient des champions dans leurs écoles ont tous commencé à connaître des difficultés scolaires puis académiques graves, inédites. Ce n’est pas tout… Les vies de mes propres cadets ont été brisés par une polygamie qui est venue briser le processus éducatif familial que l’école napoléonienne ne pouvait remplacer valablement ! Aucun de mes cadets n’a pu aller plus loin ni dans les études ni dans la vie professionnelle, malgré le potentiel économique familial.

Non, Pacifique : nous devons mettre l’école napoléonienne et la famille à leurs places. Il faut arrêter de confier l’éducation de nos enfant à des étrangers à notre culture. L’État doit arrêter de s’approprier nos enfants et bourrer leurs esprits des négativités. Il est question de restituer le naturel dans notre société : rendre les enfants à leurs géniteurs et ne pas les vendre à un État ; surtout lorsque nous peuple ne souscrivons pas à son projet de société.

C’est donc une révolution culturelle qu’il nous faut. Ce pourrait être réduire tout de go, de 50% le temps passer par nos enfants entre les mains des bandits politiques, qui n’en sont pas les géniteurs ni les garants du bonheur, après une étude soignée !  Bandits qui utilisent, lâchement, nos enfants pour faire leurs fortunes.

La gestion des paradigmes…


C’est vrai, la gestion des paradigmes dans divers domaines d’activité nécessite une compréhension approfondie et une expertise spécifique. Chaque domaine, qu’il s’agisse de la politique, de la science, de la philosophie, de l’administration ou de la religion, a ses propres paradigmes ou systèmes de pensée qui guident la façon dont les individus dans ces domaines perçoivent le monde et prennent des décisions.

  1. Politique: Les paradigmes politiques peuvent inclure des idéologies comme le libéralisme, le conservatisme, le socialisme, etc. Ces paradigmes influencent la façon dont les politiciens et les décideurs politiques abordent les questions de gouvernance et de politique publique.
  2. Science: Dans le domaine scientifique, les paradigmes peuvent se référer à des théories ou des modèles acceptés qui guident la recherche et l’expérimentation. Par exemple, le modèle standard en physique des particules est un paradigme qui guide la recherche dans ce domaine.
  3. Philosophie: Les paradigmes philosophiques peuvent inclure des écoles de pensée comme le réalisme, l’idéalisme, le pragmatisme, etc. Ces paradigmes influencent la façon dont les philosophes abordent les questions fondamentales de la réalité, de la connaissance et de l’éthique.
  4. Administration: Dans le domaine de l’administration, les paradigmes peuvent se référer à des modèles de gestion ou de leadership, tels que la gestion autocratique, démocratique ou laisser-faire.
  5. Religion: Les paradigmes religieux peuvent se référer à des croyances ou des doctrines spécifiques qui guident la pratique religieuse et la spiritualité.

La capacité de naviguer efficacement dans ces paradigmes nécessite non seulement une connaissance approfondie de chaque domaine, mais aussi la capacité de comprendre comment ces paradigmes interagissent et se chevauchent souvent dans le monde réel. C’est un défi que seules quelques personnes sont capables de relever efficacement.

Notre devoir est de nous assurer que nos enfants soient bien instruits sur les questions abordées en toute indépendance spirituels, dans des systèmes d’éducation respectueux de nos cultures, pour éviter des choques culturels qui rajouent à notre insécurité actuelle.

Mines et carrières ituriennes futures


« Bunia : arrivée de la ministre des Mines pour faire respecter la réglementation dans ce secteur. »

Bunia: arrivée de la ministre des Mines pour faire respecter la réglementation dans ce secteur

Cet article nous relance le combat du PADI, du Parti pour l’Avancement Démocratique de l’Ituri que plusieurs ont oublié…

Et pourtant.

Nous ituriens devons nous lever, tous, comme un seul homme, pour prendre le contrôle de l’exploitation et de la commercialisation de nos matières premières, de nos minerais et minéraux, qui profitent plus aux étrangers à notre terroir qu’à nous-mêmes.
Cette démarche doit être légale et elle doit viser un relèvement du niveau de vie de nos populations travailleurs du secteur miniers et une réorganisation profondeur de nos orpailleurs qui n’avancent guère.
Il importe de former, instruire et éduquer pour nous rendre compétitifs sur le marché national et international des minerais et minéraux dont regorgent l’Ituri.
Les associations ituriennes peuvent se joindre aux commerçants ituriens pour entreprendre une action structurée de formation et enseignement dans le secteur.
Les technologies de pointe doivent être exploitées dans nos mines et carrières pour aller vite et bien
. Cela veut donc dire que nous nous devons aussi de maîtriser l’énergétique la recherche et le développement d’outils de travail : l’électricité, l’eau, les machines et les appareillages.
Voilà pourquoi des projets tels que le CNTIC de Jupugulo et la récente Adisi Initiatiatives ainsi que nos universités doivent être hisser vers les haut.
Notre expérience à Jupugulo nous convaint de l’existence d’un potentiel financier inexploité.
Il faut, rapidement, professionnellement et fermement, combattre l’esclavage, le chômage, l’ignorance, l’absence de qualification et d’éducation ainsi que la colonisation de l’Ituri.
EAE ASBL s’est mis aux côtés des congolais pour encourager la prise en charge du développement des localités par ces dernières- mêmes. Les résultats sont lents à venir, il y a des raisons d’espérer, de s’attendre à l’avancement démocratique de l’Ituri !

Ce que je crois pour la RDC…


[16:34:59] SOFTKENS: Soyez demain nombreux à suivre en direct sur la chaîne Softkens Télévision ( http://softkens.com/SoftkensTV.htm ) votre émission Sosolasosola.  Le Pasteur Epaphras recevra l’ingénieur Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu de Bruxelles. Vous aurez la possibilté de poser des questions sur Skype.  Appelez  tewritoire.de.dimbelenge213.  L’émission passera de 9h00 à 10h00 heures de Toronto – Canada – soit 15h00 à 16h00 heure de Bruxelles.

Le ministre Mwangu Famba et la Banque Mondiale sont responsables des morts en RDC


Voici donc comment le ministre Mwangu Famba et la Banque Mondiale affament les congolais et les tuent ; et, comment les congolais les écoutent en bons colonisés et subjugués.

Faisons parler les chiffres ci-dessous.

Frais de fonctionnement pour 2012-2013

5.852.867,00

USD

 

Nombres d’écoles concernées

26.210

Ecoles

 

Par école

223,31

USD/école

Comment ce montant peut-il faire fonctionner toute une école ?

Prenons une école de 500 élèves à 50 élèves par classe. Cette école devrait avoir 500/50 = 100 enseignants au moins, mais idéalement 500/25 = 200 enseignants ! Si l’on ajoute le personnel administratif (10 personnes par exemple), une telle école aurait entre 110 et 210 membres du personnel et n’aurait fonctionné qu’avec 223,31 USD pendant les 12 mois que durent une année ?

Chers frères humains, qui font qu’il y ait des voleurs en RDC et pourquoi ?

Dans le cadre du Projet 2014, nous proposons que pour ces écoles, rien que pour les salaires, il faille prévoir un minimum annuel de dépenses de 12*110*1500*26.210 = 5.1895.800.000,00 USD !

C’est la raison pour laquelle, au Projet 2014 nous conseillons vivement aux congolais de se préparer à débouter tous ces hommes véreux et irresponsables que nous avons commis à la gestion de la chose publique par le fait de nos propres turpitudes.

From: africa-t@googlegroups.com [mailto:africa-t@googlegroups.com] On Behalf Of Jean Kadima-Schipa
Sent: lundi 2 septembre 2013 05:43
To: africa-t; kasaiwetu-list@yahoogroupes.fr; cokin; congocitizen@yahoogroups.ca; Front Com. des Patr. Congolais; Communauté Catholique Congolaise de Montréal cccm; Congo Bana Congo; Congo Bololo; Congo Libre; Udps Multimé; Kivu Avenir; Jean Kadima-Schipa; bandundu.idiofa@yahoo.com; Congo Bana Equateur; Union Congolaise; banayolo@yahoo.com
Subject: !_____Rentrée scolaire 2013-2014 : des frais de fonctionnement pour 26.210 écoles_______________________Le Phare de 2 sept.2013

Rubrique :  Société

Rentrée scolaire 2013-2014 : des frais de fonctionnement pour 26.210 écoles

Le ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et professionnel (E.P.S.P.), Maker Mwangu Famba, a procédé au lancement solennel des opérations de paiement de la dernière tranche semestrielle des frais de fonctionnement de l’année scolaire 2012-2013. Au total,  environ 26.210 écoles primaires publiques, mécanisées, budgétisées et disséminées sur toute l’étendue de la Rd Congo sont bénéficiaires de cette dotation. Le montant global de cette tranche est de 5.852.867 USD pour toutes ces écoles primaires ciblées par la Banque mondiale à travers son Projet d’Appui au Redressement du Secteur de l’Education (PARSE).

L’événement s’est déroulé le mardi, 27 août 2013, à Kenge, dans la Province de Bandundu. Cette province compte 4.847 écoles ciblées par ce projet pour un montant total estimé à 1.090.346 USD ; tandis que la Province éducationnelle de Bandundu 3 (Division provinciale/Kenge) compte 940 écoles primaires pour un montant estimé à 205.315 USD. Ces montant, il convient de le souligner, vient s’ajouter à l’enveloppe que le Gouvernement alloue mensuellement aux écoles pour leur fonctionnement.

Prenant la parole à cette occasion, devant des dizaines des notabilités tant scolaires que civiles et religieuses de de Kenge, Maker Mwangu a souligner que cette tranche devra impérativement servir à la préparation matérielle et pédagogique de la rentreé scolaire 2013-2014, prévue pour le 02 août 2013. Par contre, il a averti que le ministère de l’Epsp ne pourra tolérer qu’une école primaire éligible à ces frais perçoive des frais supplémentaire auprès des parents d’élèves. Parce que, a-t-il noté, le paiement des frais de fonctionnement aux écoles primaires vise la réduction progressive des frais supportés par les parents d’élèves pour la scolarisation de leurs enfants dans le cadre de la mise en œuvre de la gratuité de l’enseignement primaire, telle que consacrée par la Constitution de la République en son article 43. Conscient des difficultés que pourraient rencontrer certains territoires bien identifiés à cause du manque des institutions bancaires pour payer les salaires des enseignants, le ministres a confirmé la décision déjà prise de confier la paie dans ces territoires à la Caritas Congo ASBL pour réduire le retard.

Objectif : Universalisation de l’enseignement fondamental pour tout jeune congolais

Expliquant les visées du gouvernement, le ministre de l’Epsp a constaté que le but recherché par cette politique est la réduction, et à terme, la suppression des frais qui constituent pour les parents un obstacle majeur à la scolarisation des enfants congolais. Ainsi, on permettra d’accroitre l’accès à l’école à tous les jeunes, tout en améliorant la qualité de l’enseignement et l’universalisation de l’enseignement primaire. A l’endroit du Secope et des écoles ciblées, il a recommandé le respect strict des principes de gestion contenus le «Manuel de procédures». Ce respect évitera, a-t-il enfin souligné, au gouvernement d’avoir à rembourser l’argent utilisé en dehors de toute procédure de gestion de la Banque mondiale. La cérémonie s’est clôturée par la remise des dictionnaires à ces écoles, instruments qui sont appelés, selon le ministre, à contribuer grandement à l’amélioration de la qualité de l’enseignement.

Auparavant, le coordonnateur du PARSE, Simon Kayoyo, a dit sa satisfaction de pouvoir continuer le payement des frais de fonctionnement qui a connu un temps mort après la libération en fin octobre 2012, de la première tranche semestrielle de la dernière année scolaire 2012-2013, suite à certaines contraintes d’ordre administratif. Il a relevé que l’activité du jour visait à « faciliter l’accès et favoriser l’égalité des chances à l’école primaire ». Il a aussi insisté sur la nécessité d’atteinte des objectifs visés en veillant sur la bonne gestion des frais mis à la disposition des gestionnaires et directeurs d’écoles primaires ainsi que des comités scolaires de parents.

SAKAZ