Cybercafés/Goma


Feuille de route pour le démarrage du projet Cybercafés/Goma

Tableau 1 Tâches et résultats entendus

Ordre

Tâches

Résultats entendus

Remarques, observations

1.

Identification des institutions d’enseignement intéressées

Trois institutions d’enseignement intéressées (Dénomination, nombre d’élèves ou d’étudiants, nombre du personnel enseignant et administratif, Nom, prénom, téléphone et adresse email du responsable)

Prendre si possible trois points équidistants dans la ville pour assurer un déplacement possible d’autres écoles vers les 3 laboratoires d’informatique. Tenir compte des labos existants.

2.

Obtenir 3 devis de chacun des 3 meilleurs fournisseurs de services Internet de la ville

Pour chacune des institutions et chacun des fournisseurs obtenir un devis qui fournit les coûts des installations et le coût d’une année d’abonnement. La connexion doit être de de la toute dernière technologie disponible, un DSL sans limitation de volume de données ni disponibilité en temps ! Fournir les coordonnées de l’entreprise et du responsable.

 

3.

Créer un compte pour la gestion financière du projet

Un compte auprès d’une institution bancaire pour EAE ASBL

 

4.

Calculer la rentabilité du projet

Rentabilité économique, sociale, politique, culturelle, technologique, scientifique, industrielle

 

5.

Négocier et réunir la participation des parents aux frais

Un montant total des participations dans chaque institution, par enfant ou par famille (à suggérer).

 

6.

Négocier une participation de l’administration locale

Quartier

Commune

Ville

 

7.

Négocier une participation de la population locale

Le quartier

La commune

La ville

 

8.

Négocier une participation des opérateurs économiques locaux

Commerçants

Autres hommes d’affaires

 

9.

Rechercher un éventuel don, crédit ou subside

RDC

Belgique

UE

 

Tableau 2 3 institutions choisies pour le projet-pilote

Dénomination

Apprenants

Personnel

Prénom

Nom

Post-nom

Téléphone

Email

               
               
               

Tableau 3 3 meilleurs fournisseurs de services Internet

Dénomination

Rue

Numéro

Quartier

Commune

Nom

Prénom

Téléphone

Fax

Email

                   
                   
                   

Tableau 4 : Coût en dollars de l’installation complète et d’un abonnement de 12 mois. Total = …$

Fournisseurs

Institution 1

Institution 2

Institution 3

Sous-totaux

Coûts

Installation

Abonnement

Installation

Abonnement

Installation

Abonnement

 

Fournisseur 1

             

Fournisseur 2

             

Fournisseur 3

             

Tableau 5 : Participations locales aux frais en dollars. Total = … $

Participations

Institution 1

Institution 2

Institution 3

Sous-totaux

Parents

       

Quartier

       

Commune

       

Ville

       

Opérateurs

       

Dons

       

Subsides

       

Crédits

       

Le Nord-Kivu enfermé…


Le Nord-Kivu est enfermé dans sa peur !

DT

COMMENT ALLEZ-VOUS ?

GPAU

Mal.

DT

Qu’est ce qui ne va pas ? Ou êtes-vous actuellement ? Moi je suis à Goma.

GPAU

Vous êtes à l’aise à Goma ?

Je suis à Bruxelles !

DT

Non mon cher. Ici le peuple vit dans l’inquiétude et la peur d’un possible combat si Kampala ne produit pas une solution au problème. depuis quand êtes-vous là?

DT

Hello !

GPAU

Es-tu encore là ?

Nous ne résoudrons malheureusement rien avec la peur !

GPAU

L’inquiétude de notre peuple est injustifiée ; surtout dans le Nord-Kivu où nous avons de fortes attaches et que nous avertissons officiellement (http://www.paluku.net) depuis décembre 1997 !

L’expérience des 16 dernières années de notre combat politique est que le congolais en général et le nord-kivutien en particulier ne sont pas encore décidés à prendre leur avenir en main. Il est donc tôt d’espérer une amélioration de la condition du congolais.

Le génie de l’animation politique est celui qui trouvera comment émouvoir notre peuple pour le mettre en marche contre la trahison et la médiocrité.

24 heures après…


“L’officier militaire s’est toutefois dit «solidaire» et «compatissant» face à cette population qui, selon lui, avaient bien accueilli les FARDC à leur arrivée à Nord-Kivu: les FARDC se retirent de Rutshuru, le M23 se redéploieRutshuru.”

Naïveté !

Les populations du Nord-Kivu se refuse de voir où se trouve leur vrai salut !

Voyons, si en dehors du projet 2014, elles pourraient trouver mieux pour une approche salvatrice efficace, qui nous conduise vers une vraie et durable paix.

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[17:54:41] christian akili: Vingt-quatre heures après avoir repris le contrôle des localités abandonnées par les rebelles du M23 à Rutshuru, l’armée congolaise s’est retirée, dimanche 3 mars, de ce territoire du Nord-Kivu. Les Forces armées de la RDC (FARDC) affirment avoir obéi à un ordre hiérarchique. Des témoins rapportent que les rebelles du M23 ont commencé à revenir dans ce territoire. De son côté, la société civile demande au Gouvernement de tenir ses promesses faites, relatives à la sécurisation de la population locale.

Selon plusieurs témoins, l’armée a commencé à se retirer vers minuit, heure locale, à partir de Rubare, à 4 Km de Rutshuru centre, sur la route allant vers Bunagana.

Les FARDC se sont ensuite retirées de Kalengera et Kako, à l’ouest, Rutshuru-centre et Kiwanja, au nord, puis Nyongera, au nord-est.

Deux heures plus tard, vers 3 heures du matin, à la surprise de la population, le M23 a commencé à redéployer ses troupes à partir de Rubare, puis sur l’axe Mabenga- Rwindi, rapportent les mêmes sources.

Le porte-parole du M23 a confirmé que les rebelles se redéploient sur leurs anciennes positions abandonnés vendredi dernier.

«Inadmissible », estime la société civile

La société civile du Nord-Kivu a jugé inadmissible ce retrait de l’armée du territoire de Rutshuru, alors que le porte-parole du gouvernement, Lambert Mende, avait affirmé que les FARDC étaient revenues restaurer l’autorité de l’Etat dans ces localités longtemps occupées par les rebelles

Pour Omar Kavota, porte-parole de cette structure, «il en va de la dignité du gouvernement congolais de trouver une réponse immédiate pour que sa parole d’honneur, ses promesses, rassurant la population, soient respectées».

«On était déjà très satisfait des déclarations du porte-parole du Gouvernement, qui annonçait que les FARDC étaient en train de restaurer l’autorité de l’Etat. Ces propos viennent d’être contredits par une réalité triste. C’est inadmissible parce que le porte-parole du Gouvernement a rassuré la population. Il a envoyé des messages de réconfort à cette population, qui saluaient la présence et le retour des FARDC», a-t-il affirmé.

« Nous ne sommes pas des rebelles »

Confirmant le retrait de l’armée des positions qu’elle avait investies quelques heures plus tôt dans le Rutshuru, le porte-parole des FARDC au Nord-Kivu, le lieutenant Colonel Olivier Hamuli, a déclaré qu’il s’agissait d’obéir à un ordre hiérarchique.

«Nous, nous ne sommes pas des rebelles. Nous sommes une armée républicaine, et nous sommes soumis à l’autorité politico-administrative. On s’est retiré sur ordre de la hiérarchie. Et nous nous inclinons devant cette instruction», a-t-il affirmé.

L’officier militaire s’est toutefois dit «solidaire» et «compatissant» face à cette population qui, selon lui, avaient bien accueilli les FARDC à leur arrivée à Nord-Kivu: les FARDC se retirent de Rutshuru, le M23 se redéploieRutshuru.

Vendredi 1er mars dans la soirée, les militaires congolais avaient repris le contrôle de plusieurs localités du territoire de Rutshuru abandonnées par les rebelles du M23 qui les occupaient depuis plusieurs mois.

Dans un communiqué vendredi 1er mars, le M23 avait annoncé son retrait de ces localités pour « éviter la confrontation des forces dans les grandes agglomérations et la mise en danger des vies humaines ».

Selon le mouvement rebelle, les localités de Mabenga, Kitagoma, Kiwanja, Rutshuru-centre et Rugari sont assiégées par une coalition armée, composée de militaires congolais, de rebelles rwandais des FDLR, et de miliciens Maï-Maï, qu’il accuse de commettre des exactions à l’encontre des populations civiles.

Réagissant à ce communiqué, le porte-parole du gouvernement congolais, Lambert Mende, avait indiqué que c’est à l’armée congolaise d’assurer la sécurité des populations civiles et non au M23.

Un sit-in peut-il servir ?


  • Nguru Wasingya Anselme

    SIT-IN DE GOMA (RDC) SUSPENDU/ TÉMOIGNAGE FASCINANT D’UN MANIFESTANT
    « Goma, 7h30, la Police GMI revient sur le lieu de la manifestation avec deux jeeps 4X4 policiers (armés jusqu’aux dents). Les élements de Cette unité de GMI ont menacé de tirer. Ils ont quitté leur véhicule avec brutalité, ils étaient à quarante à peu près. Ils nous ont escortés jusqu’à la Paroisse Carmel avant nous de nous proposer d’aller à la mairie mais curieusement ils nous amener au bureau de la Police P2 où on a subi des intimidations. 5 minutes après, ils nous ramenés au siège de l’assemblée Provinciale du Nord-Kivu; oùn ous avons rencontré le vice président de l’assemblée provinciale, le maire de la ville, le commandant ville de la PNC, le responsable de la TRAMINCO (société de construction de la voirie) et le président de la société civile ville de Goma. Prenant la Parole, le responsable de la TRANMINCO a affirmé que la semaine prochaine les travaux d’asphaltage démarreront sans faute sur l’ensemble de la voirie (10,5km) ensuite le plan d’exécution des travaux sera remis aux élus du Nord-Kivu. Le Président de la société civile? Ville de Goma, Gautier, s’exprimant à son tour a tenu a rappelé aux parties concernés que la date butoir des travaux d’asphaltage est fixée au 28.03.2013. Le Maire de ville (Kundos) a instruit le commandant ville de la Police d’interpeller le Major Malumba qui nous a supplicier et saisi nos biens hier dans la soirée. « 

Kiwanja et Rutsuru


Le pire que nous annoncions est là.

Les kibali-ituriens se souviendront que nous avons, en février 2012, ajourné notre tournée dont la destination finale était Kiwanja et Rutshuru.  Parce que nos sources indiquaient que cette contrée-là serait le théatre d’atrocités inommables.  L’objectif des miliciens dénoncé alors était tout simple : (1) survivre et (2) ne pas laisser Kinshasa dormir sur ses lauriers.  Il est difficile de démontrer aujourd’hui qu’il en soit autrement.  L’ennui est qu’il sera difficile, sans l’engagement d’un projet comme le Projet 2014, d’obtenir que change la mentalité à la base de toutes ces guerres auxquelles nous assistons.  Vous l’aurez noté, il n’y a rien sur le lendemain ici.

Aujourd’hui, nous vivons les faits avec vous.  Si la population de Kiwanja et Rutshuru se réjouit, c’est parce que sa mémoire est courte.  Elle voit la trève du moment.  Elle oublie que le commandement supprême de la FARDC reste jusqu’ici entre les mains de l’imposture.  Et elle renie, sans s’en rendre compte, son choix de novembre 2011.  C’est bien dommage et c’est ce qui contribuera au prolongement de notre souffrance, nous congolais.  Côté FARDC, la logique est la même : comment faire survivre l’imposture dans un environnement de plus en plus hostile à cette dernière ?

Demain, les FARDC pilleront, comme à l’accoutumée, nos populations ; qui elles, oublieront sans doute encore !  Nous, dans le cadre du Projet 2014, devons chercher à savoir de quoi demain sera fait.  Il nous faut bien un régime démocratique, un président élu, aimé, responsable et capable de mobiliser le peuple congolais autour d’un projet visionnaire après avoir résolu une fois pour toute l’imposture qui nous décime et nous distrait.

Pour l’heure, nous nous rendons compte que les gens, les membres de nos partis politiques et de nos milices, recherches plus leurs intérêts personnels et se foute de la survivance des populations de Kiwanja et de Rutshuru.

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[19:24:11] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: BREAKING NEWS IMBROGLIO APRES COMBATS ENTRE LES M23

La cité de Rutshuru depuis la matinée de ce samedi 2 Mars 2013 vibrait à l’ambiance de l’entrée triomphale des FARDC. La population qui vivait avec des rebelles du M23 depuis 9 mois était rangée tout au long de la route, les femmes débordant de joie ont étalé leurs pagnes pour accueillir les militaires qui sont venus de Mabenga.

A Bunagana le M23 aile Sultani Makenga, après avoir tué le major Rwakineza proche du Général Bosco Ntaganda et Jean Marie Runiga ont entonné des chansons disant vouloir envoyer Ntaganda à La Haye. Amani Kabash, porte-parole adjoint du M23 de Makenga a  confirmé ces informations sur Radio Kivu1. Il a ajouté que le trio Ntaganda-Runiga-Ngaruye avait pris la direction du parc national des Virunga pour fuir les hommes de Makenga.  Sur Kivu1, toujours, un communiqué de l’aile Runiga a été lu qui destituait Sultani Makenga du commandement de l’armée du M23.

A Kampala c’est le porte-parole du M23 de Sultani Makenga qui a annoncé que les tractations étaient encours afin que les FARDC se retirent de Rutchuru mais celles-ci, mal grès la médiation de la Monusco elles n’ont pas obtemperé. Sultani Makenga a donné quelques heures aux FARDC de vider les zones  désertées par les militaires fidèles à Runiga et Ntaganda dans Kiwanja et Rutchuru sinon il va les attaquer.

Kitshanga


Nous l’avions annoncé : https://projet2014.com/2013/02/23/terreur-et-desolation/.  Cependant, dans notre orgueil, personne n’a encore répondu correctement, comme le souligne Wassy Kambale, dans se livraison du jour.

En réalité, le pire que nous annoncions est là, depuis l’évènement d’Addis-Abeba.  Nous, congolais, nous sommes montrés incapables de l’arrêter.  Nous nous sommes refusés d’écouter tous les avertissements clairs des fils du Dieu vivant, vrai et aimant.  C’est dommage !

Nous avons également également à tout congolais vivant dans un pays ennemi du Congo de s’en retirer calmément et à son aise : tout indique que ces pays passerons bientôt par le jugement divin, si nous ne nous y trompons pas.  Rappelons-nous que ceci n’est pas à prendre comme une prophétie : nous analysons les faits, nous déduisons ce que sera le futur sur base de la connaissance que nous avons sur la manière d’agir de Dieu.  Nous pouvons nous tromper cette fois, même si jusqu’ici, toutes nos prédictions se sont accomplies point par point.

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Wassy Kambale

Les premières photos que je reçois des affrontements depuis le début de cette semaine à Kitshanga. Il y a seulement un mois que j’ai été dans cette cité, et quand je suis revenu à Goma, j’ai ecris un article qui se concluait par: La guerre n’est pas encore finie, et la vie des nombreuses populations demeure menacée.

C’est tout ce que j’avais retenu de ce voyage.

 

 

Les nouvelles des Kivu…


L’affrontement vient d’eclater au niveau de Kilima-Nyoka entre les deux factions, d’une part, du Col. Innocent ZIMUNDA, fidèle au général Baudouin et au président ; et d’autre part, le Col. MBONEZA fidele au generale MAKENGA, ce col voulait traverse la zone sous controle du col Zim Zim et joindre Makenga sur la colline de Chanzu la ou il s’est retranché depuis une semaine deja

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[3:19:59 PM] CA : ce matin voi la declaration de Makenga
VOICI CE QU’EST LE M23 REMODELE SANS JM RUGIGA,SULTANI MAKENGA SEUL ROI

VOICI LE GOUVERNEMENT SANS J.M RUNIGA

• Chef du haut commandement militaire : Colonel SULTANI MAKENGA
• Secrétaire exécutif : M. François RUCOGOZA TUYIHIMBAZE
• Département des affaires politiques et administration du territoire : M. SENDUGU MUSEVENI
• Département des relations extérieures et de la coopération régionale : Me René ABANDI MUNYARUGERERO
• Département des affaires sociales et humanitaires : Dr Alexis KASANZU
• Département des Finances, Budget et Ressources naturelles : M. Justin GASHEMA
• Département de l’Agriculture, Pêche et Elevage : M. Déogratias NZABIRINDA NTAMBARA
• Département de la Justice et des droits humains : Me Antoine MAHAMBA KASIWA
• Département de la Réconciliation et de l’Unité Nationale : M. Jean Serge KAMBASU NGEVE
• Département de Rapatriement des réfugiés et réinsertion des déplacés internes : M. Benjamin MBONIMPA
• Département du Tourisme, Environnement et Conservation de la Nature : Prof Stanislas BALEKE
• Département de la Jeunesse, Sport et Loisirs : M. Ali MUSAGARA
[3:21:45 PM] christian akili: apres deux heures voici ce qui viendra
[3:21:59 PM] christian akili: LE COLONEL SERAPHIN MIRINDI
REAGI A LA DESTITUTION DE J.M RUNIGA
ET DESAVOUE
SULTANI MAKENGA

… Dans une Interview exclusive sur Radio KIVU1, Seraphin Mirindi est sans équivoque :
« La décision de destitution du Président du M23 par le Général Sultani Makenda est une décision unilatérale qui ne concerne que Makenga lui-même. Nous comme membres du Haut-Commandement militaire du M23 qui avons travaillé avec Makenga, nous avons toujours demandé une concertation interne qu’il a refusé. Nous accusions déjà Makenga de 4 griefs.
Un, Il s’est beaucoup ingéré dans l’organisation politique du M23 et nous l’accusions d’usurpation du pouvoir.
De deux, le général Makenga a détourné beaucoup d’argent de notre armée. Nous avions voulu initié un audit afin qu’il s’en explique. Il a signé sur beaucoup de bons de sortie d’argent et nous voulions savoir l’utilité de tout ce montant car nos soldats meurent de faim.
De trois il ne veut pas réunir toute l’armée du M2 autour de lui car il se contente seulement d’un groupe qui est sous son autorité.
De quatre nous avons des preuves qu’il a été soudoyé par le Président Joseph Kabila pour nous désorganiser et mettre fin au dialogue de Kampala que nous suivons bien.
C’est quand Sultani Makenga a su que nous allions lui demander tout ceci qu’il s’est précipité pour publier son communiqué de destitution du chef du M23 afin de faire semblant comme si c’est lui qui aime notre mouvement et veut son essor. Nous appelons cela une fuite en avant.
Nous comme armée nous décidons de rester avec le Bishop Runiga qui est notre Président. En suite notre armée se décide de n’est plus obéir aux ordres de Sultani Makenga jusqu’à nouvelle ordre et que tout soit clarifié. Troisièmement nous attendons une réunion extraordinaire entre politiciens et militaires du M23 afin de savoir quelle position prendre et suivre.
Afin moi qui était G5 de l’armée du M23 je viens d’être promu Porte–Parole de l’armée du M23.
RADIO KIVU1 : Ou est monsieur Jean-Marie RUNIGA ?
S.MIRINDI : Il est ici en mission. Il visite la population et son armée et sa police. L’administrateur du territoire (de KIBUMBA) est avec nous ici, le secrétaire général de la police et nous qui l’accompagnons sommes ensemble. Nous n’obéissons pas aux décisions personnelles de Sultani Makenga.
-RADIO KIVU1 :Pouvons-nous dire qu’il y a deux armées au M23 et deux porte-parole ?
-Moi je parle comme militaire. Je suis dans l’armée du M23.Je deviens porte-parole militaire car même Vianey Kazarama est devenu indiscipliné et il n’a plus le droit de nous engager sans notre consentement.
[3:23:22 PM] christian akili: c’est apres qu’il ya eu affrontement  au niveau de kilima-nyoka
[3:39:39 PM] GPAU : Voilà qui confirme ce que nous vous disions.
Le M23 non plus, n’est pas la solution !
La meilleure solution au problème congolais aujourd’hui est la participation au Projet 2014 ou à un projet congolais similaire, à trouver !

[3:43:53 PM] CA : le projet 2014 est bien mais il ya un autre problème qui nécessite une solution pour que le projet 2014 soit efficace c’est le problème de leadership au congo,

[3:44:17 PM] CA : Kanambe est un frein a tout ce que vous pouvez entreprendre

[3:47:38 PM] GPAU: Relis ce que tu viens d’écrire !

[3:47:48 PM] GPAU: Que veux-tu dire au juste ?

[3:51:38 PM] CA : j’ai viens de lire, je veux dire que pour le développement du congo, aujourd’hui c’est le gouvernement en place qui est un frein a tout développement

[3:51:55 PM] GPAU: Comment vois-tu la question ou le problème du leadership au Congo résolu en dehors du Projet 2014 ou d’un autre projet similaire ?

As-tu déjà trouvé un autre projet similaire ?

Ou alors tu tu attends la « communauté internationale » intervenir pour résoudre « le problème de leadership au congo » ?

[3:52:33 PM] GPAU: Désolé, CA. Nous savons tout cela depuis 1960 !

[3:52:56 PM] GPAU: Si ce n’est qu’aujourd’hui que tu le découvre, alors, tu es très en retard.

[3:55:23 PM] GPAU: Pour nous, il a toujours été question de chercher la solution à notre manque de civisme. Et notre analyse est très simple. Tout le monde aujourd’hui est irresponsable. Nous n’avons pas construit le Congo. C’est la Belgique et les autres métropoles qui ont créé la RDC. Depuis l’indépendance de 1960, nous ne nous sommes pas encore assis pour décider, librement, de ce que nous voudrions faire de cette portion de terre appelée Congo-Kinshasa ou RDC.

[3:55:40 PM] GPAU: La conséquence en est que personne ne soit redevable à personne.

[3:56:04 PM] CA : c’est ne pas a la communauté Internationale d’intervenir pour résoudre, car comme vous le dites depuis 1960, alors quand on doit faire une chose deux fois de la même manière et s’attendre a un résultat différent ce qu’en a perdu la tête, ce qui reste a faire c’est le projet 2014

[3:56:13 PM] GPAU: Le Projet 2014 est le seul projet que je connaisse, qui propose la solution du problème congolais à sa source !

[3:57:06 PM] GPAU: Nous demandons que tous ceux qui aiment le Congo se dépouillent de leurs orgueils suicidaires pour venir autour de la table de démocratie, construire notre Congo à nous congolais !

[3:57:52 PM] GPAU: Si personne ne répond, nous comprenons par là qu’il y a des congolais qui veulent continuer à coloniser des congolais comme eux !

[3:58:26 PM] GPAU: Tant qu’il en sera ainsi, CA, notre Dieu est vivant, la pérégrination dans le désert du sous-développement continuera !

[3:59:08 PM] GPAU: A l’histoire, tu sauras que ce que je dis, je le tiens de celui qui a la Terre dans la paume de sa main !

[4:00:25 PM] GPAU: CA, tu fouis ma question. Si ce n’est pas à la communauté internationale d’intervenir, toi, CA, que fais-tu pour que le congolais comprenne que c’est à lui de se mettre autour de cette table à laquelle nous convions tous les congolais ?

[4:00:41 PM] GPAU: Autrement, comment puis-je savoir que tu aimes le Congo ?

[4:01:09 PM] GPAU: Demain, nos fils lira ce qui est écrit ici et analyseront ta réponse concrète à l’appel !

[4:01:16 PM] GPAU: Bonne journée, CA

[4:01:35 PM] CA : merci
[4:03:20 PM] CA : c’est   vraie nous devons nous mettre autour d’une table
[4:03:41 PM] CA : Bonne journee aussi

Kasindi, Beni-Komanda, Oicha, Virunga…


[8:54:27 AM] DK: Cette nuit, un motard a été tué par à Kasindi à la frontière avec l’Uganda

[8:57:42 AM] DK: Aussi, plus de contact Beni-Komanda par route suite au pont de Mont Hoyo qui est coupé, un camion de marque ACTROS d’un commerçant de Butembo est tombé dedans alors qu’il voulait traverser

[8:59:02 AM] DK: il y a des informations qui circulent que cette nuit à Oicha il y a eu des tirs de balle, pas encore eu des précisions sur la cause; la suite vous l’aurez

[9:00:27 AM] DK: Dans le parc de Virunga du coté Kyavinyonge et Karuruma l’on signale l’entrée des hommes armés en provenance de l’Uganda, en uniforme et bien armée

[9:01:25 AM] DK: Information confirmé par la société civile du coin

[12:08:14 PM] GPAU: Merci beaucoup pour ces informations qui nous permettent de suivre au jour le jour ce qui se passe dans notre terroir et d’ainsi mieux connaître comment nous pourrions aider.

[12:08:27 PM] GPAU: A très bientôt !

Se défendre : comment ?


Comment Butembo peut-il se défendre contre les tueurs à gage, les bandits de droit commun et contre la violence du régime de Kanambe, du gouvernement de Matata et du parlement de Minaku ?

Y a-t-il encore d’autres façons de combattre qui soient plus efficaces et moins coûteuses en vies humaines ?

Qui nous pousse chaque fois à l’erreur stratégique de manière à accroître nos pertes et à avantager l’ennemi de Butembo ?

Comment et pourquoi emprunter un chemin qui surprenne l’ennemi quand bien-même il nous lit ?

Combien faut-il être pour commencer avec une garantie du résultat ?

  • Tembos Yotama A travers la structure « Véranda MUTSANGA », les jeunes se donnent à traquer les bandits pour les mettre or d’état de nuire, pour éviter que « l’histoire leur demande ce qu’ils ont fait quand les assassins tuaient les habitants jours et nuit comme des mouches ».

  • Nguru Wasingya Anselme Ca fait mal au coeur

    et avec ca on veut organiser la CAN 2019 en RDC

  • Asani Longhe Courage . Même de loin , nous vous soutenons .

  • Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu Une telle structure n’est pas assez pesante pour faire face au mal. Les sbires du régime, du gouvernement et du parlement de Kinshasa vont mettre tous les moyens en oeuvre pour essayer de l’étouffer dans l’oeuf.
    Voici notre proposition :
    1. identifier d’abord les vrais leaders de Butembo et les promouvoir ;
    2. sous leur houlette, nettoyer l’espace politique bubolais et si possible, nord-kivutien, démocratiquement ;
    3. engager le développement intégral du bubolais (sur le plan sécuritaire et sur tous les autres plans) sur base des projets écrits et acceptés par la mojorité des bubolais
    Cette démarche demande du temps pour produire ses effets (6 mois maximum) et se structurer correctement. Avec comme bénéfice d’élaguer la troupe de traîtres, paresseux et des incompétents pour ne garder que des hommes efficaces : forts, intelligents, sages, déterminés.  Et, plus important que tout cela ; Kanambe sera arrêté avec tous les siens, proprement ; parce que notre détermination suscitera inévitablement des levés de boucliers ailleurs dans la RDC et la diaspora qui cherchent comment tenir le toreau par ses cornes pour le renverser !
    Essayons pendant 6 mois, sans broncher, et je vous garantis que vous serez étonnés, surppris du résultat.  Vous regretterez d’avoir investi dans des marches et manifestations suicidaires.
    Nous le disons avec assurance pour que nous évitions d’autres morts sans bénéfice, regrettables, évitables.  Nous le disons parce que l’ennemi n’a plus de pouvoir contre un schéma chrétien contre lequel il n’a aucun pouvoir.  Nous avons confiance parce que Dieu nous a montrer entre 89 et 93 que cette méthode marche.  Dans un groupe de moins de 10 personnes, soutenus par le seul Dieu vivant et vrai, et au bout d’une année d’une démarche stratégique silencieuse, mais déterminée, nous avons permis à plus de 8000 boursiers congolais du monde entier, sauf 11, d’avoir les arriérés de 23 mois de leur bourse que le mobutisme tenait à s’approprier.
    Si les gens mourraient pendant que Butembo avance : ce serait louable. Ici, les gens meurent et les riches bubolais creusent le fossé entre eux et le « bas-peuple », avec la bénédiction du kanambisme !  Si vous croyez que c’et inacceptable : tester notre approche, après avoir dicerné et acquis la conviction que Dieu est avec nous !  Autrement, continuer d’autres essais : nous vous garantissons que les démons en connaissent les faiblesses…

Le Kivu : province du sang.


http://anselmewasingya.wordpress.com/2013/01/07/nord-kivu-province-du-sang-3/comment-page-1/#comment-2

Merci, Anselme.

Un travail énorme doit être effectué par les kivutiens pour mieux comprendre pourquoi, comment, par qui, par quoi, pour qui, avec qui et avec quoi, où et quand le Kivu (grand ou du nord ?) est la province du sang.

Y a-t-il des candidats ?

Nous en cherchons depuis décembre 1999.  Nous n’en avons rencontrés que 5 à 10 au maximum qui s’intéressent à une réelle réponse à ces questions jusqu’à ce jour.  Il nous semble pourtant que les réponses à ces question permettront à nous kivutiens de mieux nous prendre en charge.  Non seulement à mieux nous prendre en charge, mais aussi à ne pas rajouter au sang qui coule sous nos pieds.  Ce sang qui nous attriste et nous endeuille tous ; du moins d’apparence !

Jusque quand ?

D’aucuns nous demandent jusque quand nous pensons que le sang coulera encore au Kivu ?

La réponse à la question est facile, contrairement à ce que plusieurs pensent.  Le sang ne coule pas au Kivu aujourd’hui et n’est pas le fait de l’imposture kanambienne seulement.  Le Congo, depuis son indépendance a connu deux villes meurtrières d’abord.  Entendez par là, deux villes à vols à mains armées : Goma et Lubumbashi (Elisabethville).  Kinshasa (Léopoldville), Kisangani et les autres grandes villes du Congo leur emboîteront le pas après, à l’époque mobutienne déjà.

Dans la ville de Goma, depuis Mobutu déjà, les voleurs nocturnes pouvaient casser les portes du voisin à l’aide d’un cric, charger leur camion des biens de la maison visée, avant de disparaitre dans la nature…  Aujourd’hui, Butembo et Beni ne sont pas loin d’atteindre cet “état d’esprit”.

Les coupeurs de têtes, dans le Kibali-Ituri, envahir le Nord-Kivu d’abord, l’Ituri ensuite, si notre mémoire ne nous trahit pas.  Nous apprîmes ensuite que leurs bases arrière étaient en Uganda et au Rwanda…  Nous sommes en plein mobutisme et le kanambisme ne peut même pas encore être envisager !

Plusieurs autres faits similaires sont faits semblables sont énumérables qui montrent, clairement et indiscutablement, que l’état d’esprit, les moeurs, les attitudes et les comportements qui en résultent, dans le Nord-Kivu, ont préparé le sang qui coule sous nos pied, dans ce pays, géographiquement beaucoup, mais moralement corrompu depuis longtemps déjà !

Notre propos est centre sur le Nord-Kivu, notre terroir.  Si nous pointions notre caméra sur d’autres contrées particulières du Congo, nous retrouverions les mêmes types d’évolutions regrettables.

Tant que le mal n’est pas traîté à sa racine – ce que Julien Paluku et ses collaborateurs ne font pas ou ne savent pas faire, comment le changement peut-il être possible ?  Si un éveil brusque se produisait aujourd’hui, combien de temps faudra-t-il pour que les choses changent radicalement ?  Avec Idi Amin Dada, le banditisme à main armée disparu de Kampala en mois de 4 mois.  Combien de temps survécu-t-il et pourquoi ?  Qu’advint-il après son éviction ?  Des Idi Amin Dada, dans le Nord-Kivu, seraient-ils possibles, viables, convénables et viabales ?  Sans l’esprit d’Idi Amin Dada, combien de temps le changement d’une mentalité des années 60 pourrait-il prende ?  Un demi-siècle après, la situation s’est empirer.  On saccage de jour et plus nécessairement de nuit.  On tir à bout portant de jour et plus nécessairement à 2 heures du matin…

La réponse à la question est facile !

Le Projet 2014

Contrairement à ce que d’aucuns pensent, des tentatives pour résoudre la violence dans le Nord-Kivu ont eu lieu dans le passé lointin.

Les politiciens essayèrent.  Sans succès.  La liste de leurs noms n’est pas longue : Denis Paluku , Enoch Mbusa Muvingi, Antipas Mbusa Nyamwisi, Julien Paluku Kahongya, etc.  Ils essayèrent, ils essaient encore, sans succès jusque-là.  Pourquoi ?

Dans le cadre de notre participation au Projet 2014, notre analyse est que la volonté politique existe de voir les problèmes du Nord-Kivu résolus.  En revanche, la volonté de les résoudre démocratiquement n’est pas vérifiée.  Chez tous les acteurs.  Tout le monde succombe encore aux tentations hégémonistes.  Dans ces conditions nous pouvons affirmer que l’entrée même dans le tunnel n’a pas encore eu lieu.  Il n’y a donc pas encore lieu que l’on parler d’une sortie du tunnel !  Notre invitation autour d’un table, pour l’entrée dans le tunnel est crainte.  Pourquoi ?

Elle signifie une répentance que personne ne veut encore envisager, elle signifie aussi une sincérité qui n’est pas encore dans les agendas des parties prenantes au projet de construction du Nord-Kivu, projet qui d’ailleurs n’existe tout simplement pas.  Ce qui est dommage !

Ce schéma demande du travail personnel, collectif (provincial), mais aussi national et international pour aboutir plus facilement.

Il commence par la rédaction d’un projet de société pour le Nord-Kivu pour ses 100 prochaines années, elle passe par la mobilisation des ressources nécessaires à l’exécution dudit projet, avant d’entrevoir une exécution du projet qui soit réellement bénéfique pour nos peuples et qui n’assèche pas le sang du Kivu, mais lui donne un sens acceptable pour le plus grand nombre.

https://projet2014.wordpress.com

http://palukuatoka.wordpress.com

http://eae-asbl.blogspot.be

http://www.paluku.net/2014

sont les lieux où nous proposons des réponses concrètes, non seulement au problème nord-kivutien, mais aussi aux problèmes de la RDC et de l’Afrique, dans leur rapport aux intérêts européens.