Pourquoi une nouvelle armée, fédérale ?


[25/7, 07:40] René Baraka Timolo: Pourquoi une armée fédérale ?
[25/7, 09:01] G. Paluku Atoka Uwekomu: Réfléchissons aux conditions de protection de notre territoire national, René.
Quelles sont-elles et pourquoi ?
Si nous sommes dans la confusion, utilisons les cartes heuristiques : seuls ou dans des groupes de 3 à 5 personnes.
Nous tomberons sur l’armée fédérale, je pense !

Une armée décolonisée ?


Faut-il ou pas soutenir les FARDC qui vont aux front, sacrifiés par le pouvoir, le gouvernement et le parlement ?

En effet, nos soldats sont mêlés aux ennemis, sont commandés par des étrangers, des personnes réputées ennemies du Congo… Ils (nos soldats) perçoivent des soldes d’esclaves, ne recoivent ni l’instruction ni la formation ni l’éducation ni les équipements auxquelles ils ont droit pour défendre la nation… Ils participes aux assassinats, aux vols, aux viols, aux pillages de nos ressources, aux brutalités contre nos concitoyens, faute d’évoluer dans une démocratie…

Soutenir notre armée est, pour nous, autre chose que les pousser à la traîtrise et au suicide aveugle. C’est obtenir qu’ils soient respectables et respectés, dissuasifs, efficaces, aimés du peuple.

Leur solde doit être, inconditionnellement, hissée : comme tous les salaires dans le pays. d’ailleurs !

L’armée doit maîtrisée le français et nos langues vernaculaires et ne pas continuer à imposer le lingala aux non-lingalaphones, manquant du respect pour nos cultures respectives plutôt que de les défendre !

Nous livrons ci-dessous notre discussion partielle de la question dans un groupe WhatsApp ; dans le souci d’œuvrer pour une unité vraie de notre Congo.

Frère,
Si les brutalités, les viols, les vols, les tracasseries, les tueries commises par nos FARDC et notre PNC, partout dans le pays, vous plaisent, suivez-les. Nous ne vous suivrons pas. Et sachez que bien que minoritaires, le pays nous appartient à nous tous. Si vous décidez de nous ignorer, volontairement, parce que vous êtes la majorité, comme le firent les lumumbistes que vous copiez, Dieu combattra pour nous qui recusons l’injustice, d’où qu’elle vienne ! Et nous verrons la suite.
Quant à nous, en effet, nous ne serons pas avec une armée commandée, en majorité, par des traîtres, des meutriers, des soulards, des étrangers, des ennemis du Congo, en son sein ; une armée qui impose le lingala à tous au mépris de nos langues à nous autres, non-lingalaphones, une armée considérée comme un fourre-tout, comme un repère aux rebelles et aux drogués, une armée esclavagisée…
Nous insistons pour que le Parlement commande au Gouvernement de moderniser, de professionnaliser, de décoloniser notre armée.

Sans cela, comment serons-nous protéger par elle ?

Réformer les FARDC ?


Tel que tiré d’un groupe WhatsApp.

Si Fatshi veut réformer les FARDC, il doit d’abord démobiliser les officiers affairistes, détourneurs des soldes des soldats. Après la démobilisation, un audit doit être organiser pour qu’ils justifient la source de leur richesse. Après, il peut recruter des jeunes. Sans céla, les jeunes seront toujours sacrifiés. https://t.co/dbMgxJ4FJ7

Le Nord : honte, chute ou déclin ?


Dieu parle : tantôt d’une manière, tantôt d’une autre.

Le lien ci-dessous renvoie à un propos interlant pour nous qui formons le Nord. Pour le Sud, c’est une instruction et une opportunité à saisir pour éviter les erreurs du Nord.

https://fb.watch/bO9l5f7UnD/

Ce n’est pas par la guerre que l’on peut aller vers la paix, quand bien même on serait plus puissant économiquement, démographiquement, militairement. Les grands, les sages, savent que la paix s’obtient par une négociation entre des hommes responsables, matures, humanistes, bienveillants, intelligents, pieux…
Nous occidentaux devons ne pas arrêter de travailler vite et bien ni continuer à sombrer dans l’arrogance.
Cela vaut pour la Russie aussi qui se perd en investissant dans la barbarie.
Dieu, en effet, résistera encore et toujours aux orgeilleux et fera grâce aux humbles !
Pour s’en convaincre, suivons attentivement la suite de cette guerre fratricide, honteuse, qui fait la honte du Nord.

Armée et médiocrité…


[03-10-14 17:59:49] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: Malgré sa suspension et des soupçons de haute trahison qui pèsent sur lui après la chute de Goma, Amisi a continué de bénéficier, sans être inquiété, de la protection du président Kabila du fait sans doute de bons liens qu’il entretient avec celle qu’une certaine opinion présente comme étant la mère biologique du président, Sifa Mahanya. A ce jour, aucune action judiciaire n’a été initiée à l’encontre du général Amisi. L’auditorat militaire ne peut pas l’auditionner au motif qu’aucun magistrat n’a le grade équivalent à celui du général-major Amisi pour pouvoir le juger. Une situation similaire à celui du général John Numbi dans l’affaire Chebeya. Selon les dispositions de la loi portant statut du militaire, les accusations qui pèsent sur le général Amisi relèvent de haute trahison et sont passibles de la peine de mort au regard de l’article 128 du code pénal militaire[17].

C’est ainsi qu’à la surprise générale de l’opinion publique nationale et internationale, le Conseil supérieur de la Défense, présidée par Joseph Kabila, vient de le laver de tout soupçon. Et pourtant aucune instruction judiciaire transparente, indépendante et crédible n’a été menée à sa charge ou sa décharge. Après avoir brillamment échoué dans sa tentative de créer une cohésion nationale autour de sa personne à la suite des concertations en vue de se donner une légitimité devant éventuellement lui permettre de bénéficier d’un large consensus national en faveur d’un troisième mandat consécutif, tout porte à croire que la réhabilitation de Tango Four entrerait dans une stratégie alternative de cohésion négative que Joseph Kabila mettrait en place lorsqu’il faudra affronter les contestataires dans son plan de se maintenir ad vitam aeternam au pouvoir en RDC.

Pourtant la haute hiérarchie militaire des FARDC a reconnu la trahison de certains officiers

Après la défaite de Novembre 2012, face à la pression populaire croissante, l’état-major-général des FARDC a organisé du 04 au 16 février 2013, une session (3ème) du séminaire sur la réforme des FARDC. Ce séminaire, qui a réuni 113 officiers supérieurs et généraux issus de toutes les régions militaires, des commandements, zones et secteurs opérationnels et de différents états-majors des forces armées, a porté sur l’analyse des causes des contre-performances des FARDC lors des opérations à l’est de la RD Congo en 2012. Le rapport de synthèse élaboré à cet effet a énuméré les causes profondes de la défaillance des FARDC à Goma en novembre 2012, parmi lesquels les faits suivants (Les détails de ce rapport sont à lire dans notre ouvrage à paraître) dont certains qualifiés de haute trahison : Planification : insuffisante à tous les niveaux (stratégiques, opérationnelles et tactiques) ; Délais d’intervention et de renfort trop larges ; Pas de relève (sure des unités) ; Prélèvements illicites et dispersion des forces. Conduite de la bataille : Pas de coordination efficace durant les actions ; Découragement dans la prise d’initiative au combat par les autorités ; Intervention récidivée des ordres de trêve et cessez-le-feu à chaque fois que les troupes amies sont en position avantageuse. Commandement et Contrôle des unités au Combat : Désorganisation totale du commandement ; Complaisance dans les désignations des cadres de commandement (favoritisme, népotisme, tribalisme et clientélisme – Connotation politique de l’avancement – Distribution fantaisiste et discriminatoire des grades ) ; Incompétence et insuffisance de formation militaire de beaucoup de cadres de commandement (illettrés, pas ou peu formés, troupes peu ou pas du tout formées) ; Commandements parallèles (multiplicité des centres de commandement) ; Amalgame des structures et dysfonctionnement des multiples chaines de commandement (ordres contradictoires, refus d’ordres) ; Détournements, affairisme, trafic d’influence, fraude, braconnage, etc.) ; Trahisons, déloyauté, suspicions et manque de crédibilité. Discipline : Insubordination impunie (refus de mutation) ; Non-respect de la voie hiérarchique. Malgré ce réquisitoire de l’autoévaluation de l’armée, personne n’a été sanctionnée.

Lutter contre l’impunité est la seule réponse crédible que Kabila peut donner aux Congolais

En juillet 2013, les médias ont largement salué la volonté de Kabila de prendre la réforme des FARDC en main lors de la publication de la loi portant statut du militaire des FARDC. Une loi essentielle à la modernisation des FARDC. Cette loi établit notamment le régime disciplinaire du militaire, nécessaire pour un pays confronté quasi en permanence, depuis son indépendance, à des mutineries, des rébellions, aux graves problèmes d’indiscipline et aux infractions liées aux crimes de guerre et violations de divers droits humains par les hommes en armes, particulièrement durant ces deux dernières décennies.

Cependant, à titre d’exemple, la loi dans son article 240 sanctionne au Point 9 : « le fait pour l‘officier ou sous-officier de présider ou d’être membre d’une association sportive civile ou autre association à caractère politique ou tribal ». Le cas du général Gabriel Amisi dit « Tango Four », l’ancien chef d’état-major de l’armée de terre continue à exercer cumulativement ses fonctions de président des clubs de football Maniema Union et AS Vita Club de Kinshasa, tout en étant repris dans le cadre organique des FARDC.

On peut également noter le point 10 de ladite loi qui sanctionne : « le fait de piller et/ou de se mutiner». Ce point constitue une base de légale d’une grande importance pour traiter le cas le cas des mutins du M23 et d’autres rébellions qui écument à l’est de la RDC. A la place, le régime Kabila, a choisi la voie de l’impunité en amnistiant principalement les ex-combattants et cadres du M23.

DESC est convaincue que la cohésion nationale ne peut se faire dans l’impunité. Il n’ y aura pas de véritable réconciliation en RDC sans justice. Aussi, DESC soutient l’initiative de l’ONU de voir une enquête judiciaire indépendante et crédible être diligentée contre tous les soupçons de crimes imputés à Gabriel Amisi. A l’instar l’enquête concernant l’assassinat odieux du Colonel Mamadou Ndala, rangée dans les tiroirs, DESC se dit prédisposée à offrir son expertise et ses services pour permettre à la justice de mener une enquête indépendante, en signe de respect des victimes présumées des forfaitures imputées à Amisi Tango Four.

La réhabilitation sans aucune autre forme de procès de Gabriel Amisi, le boucher de l’est du Congo, par Kabila et sa nomination comme commandant de la 1ère zone de défense est un mauvais signal donné par Kabila qui au lieu de privilégier la cohésion nationale également au niveau de l’armée où certaines frustrations et plaies du passé ne sont loin de se cicatriser. Le président congolais opte plutôt pour une cohésion négative autour de sapersonne dans le cadre d’une éventuelle perspective apocalyptique de sa fin de mandat en 2016. Pour y arriver, il ne peut que compter sur la cinquième colonne rwandaise infiltrée dans les services de sécurité congolais et quelques naïfs katangais de service de la GR, ANR et Démiap auxquels se joignent des « intellos » antipatriotiques, du ventre creux comme Boshab, Kin Kiey, Mende, Minaku, etc.
[03-10-14 18:14:24] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: LA PAROLE DE CHARLES BLE GOUDE SUIVEZ CA SVP http://www.youtube.com/watch?list=UU183T5VoMh5wISSdKPaMgRw&v=2GzgaBqV9hU&feature=player_embedded