Notre ennemi compatissant !


[15:32:17] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: Les événements se sont accélérés dans le conflit qui oppose les deux factions rivales du M23. Son ancien président, Jean-Marie Runiga, a été arrêté au Rwanda. Bosco Ntaganda serait toujours en fuite dans le parc des Virunga avec une trentaine d’hommes.
ans la guerre intestine qui fait rage entre les courants de la rébellion M23, les partisans de Sultani Makenga ont pris l’ascendant sur le général Bosco Ntaganda. Les pro-Makenga contrôlent désormais de la localité de Kibumba (à 30 km de Goma), obligeant les proches de Ntaganda à fuir vers le Rwanda voisin.
Selon les informations dont Afrikarabia disposent ce samedi matin, l’ancien responsable politique du M23 destitué par Sultani Makenga, Jean-Marie Runiga, a été arrêté au Rwanda. Baudouin Ngaruye, un proche de Ntaganda et de Runiga a été “désarmé” à la frontière rwandaise. Le Lieutenant-colonel Muhire a également été arrêté à Gisenyi, au Rwanda. Concernant, Bosco Ntaganda, recherché par la Cour pénal internationale (CPI), peu d’informations fiables sont actuellement disponibles. L’attaque de Kibumba par les troupes de Makenga, l’a obligé à fuir dans le parc des Virunga, avec 200 de ses hommes. L’aile Makenga affirme que Ntaganda ne disposerait plus “que d’une trentaine de militaires“. Le colonel Innocent Zimurinda serait toujours aux côtés de Bosco Ntaganda dans sa fuite.
[15:40:12] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: UN SALAUD RWANDAIS PARLE LE PROBLEME DE LA RDC DOMMAGE AU SONT DES VRAIE CONGOLAIS  QUELLE ENVOUTEMENT ??? http://www.youtube.com/watch?v=-QzVCqkN3ms

[23:34:49] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Nos compatriotes sont esseulés de toutes parts et ne savent pas se réfugier dans une autre contrée du Congo : Ituri, Sud-Kivu, Maniema, Katanga…
[23:35:26] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Oui, il y en a qui ont fui à ces lieux là…  Personne ne voudrais nous en parler ?
[23:35:42] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Comment pouvons-nous faire pour laver cette honte ?
[23:35:55] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Nous fuyons chez nos ennemis ?
[23:36:38] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Les ennemis sont-ils si compatissants à notre égard ou sommes-nous des envoutés perpétuels ?
[23:37:08] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: 73 000 000 millions n’arrivent toujours pas à en finir avec l’imposture ?
[23:37:21] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Où est le président élu et que fait-il ?

Ntaganda, Runiga, Makenga


Ntaganda, Runiga, Makenga : qui gagnent ?

(Dun contact Skype)
Les événements se sont accélérés dans le conflit qui oppose les deux factions rivales du M23. Son ancien président, Jean-Marie Runiga, a été arrêté au Rwanda. Bosco Ntaganda serait toujours en fuite dans le parc des Virunga avec une trentaine d’hommes.

Dans la guerre intestine qui fait rage entre les courants de la rébellion M23, les partisans de Sultani Makenga ont pris l’ascendant sur le général Bosco Ntaganda. Les pro-Makenga contrôlent désormais de la localité de Kibumba (à 30 km de Goma), obligeant les proches de Ntaganda à fuir vers le Rwanda voisin.

L’ancien responsable politique du M23 destitué par Sultani Makenga, Jean-Marie Runiga, a été arrêté au Rwanda. Baudouin Ngaruye, un proche de Ntaganda et de Runiga a été “désarmé” à la frontière rwandaise. Il aurait affirmé n’avoir “aucun lien avec Ntangada”, recherché par la Cour pénal internationale (CPI). Le Lieutenant-colonel Muhire a également été arrêté à Gisenyi, au Rwanda. Concernant, Bosco Ntaganda, peu d’informations fiables sont actuellement disponibles. L’attaque de Kibumba par les troupes de Makenga, l’a obligé à fuir dans le parc des Virunga, avec 200 de ses hommes. L’aile Makenga affirme que Ntaganda ne disposerait plus “que d’une trentaine de militaires”. Le colonel Innocent Zimurinda serait toujours aux côtés de Bosco Ntaganda dans sa fuite.

Naître de nouveau avant qu’il ne soit 2016 ?


Lisez la suite et dites-nous si vous ne pensez autre chose en déposant votre commentaire ici à l’attention des congolais du Net.

Le Projet 2014 est la seule solution que les congolais n’aient pas encore essayée.  En effet, tous les politiciens de l’espace politique congolais se plantent.  Nous expliquons que c’est parce qu’aucun d’entre eux n’a le souci d’associer, le souverain primaire à la gestion de la chose publique comme il se doit.

Hypocrites pour la plupart, ils tentent comment être aux commandes pour subjuguer les autres congolais plutôt que pour redresser la barque.  Dieu, dans sa toute-puissance les confond un à un.  Kasavubu, Mobutu et Kabila ont tout simplement échoué par défaut de démocratie dans leur stratégie.

Le Projet 2014 est la solution que tout le monde rejette faute de ne perdre sa place : il s’agit ici d’hommes qui recherche la restitution, à tout prix, AUX PEUPLES du Congo, de la RDC, de leur indépendance perdu depuis la colonisation et même plutôt, depuis l’esclavagisme arabe.  Cette solution, qui demande beaucoup de civisme ; civisme que s’interdisent ceux qui ont soit les mains pleines de sang congolais et étranger soit le cœur vide d’amour pour la patrie soit la tête vide de vision et soit les mains vides de compétences, est celle qui obligera tous nos politiciens à respecter nos peuples.

Analyser les acteurs en présence sur la scène politique congolaise et constatez par vous-même combien nous avons commis l’erreur de commettre des hommes véreux, des traîtres, à la gestion de la chose publique.

Nous congolais, faute de nous décider à corriger nos turpitudes, fuyons en avant en rejettant sur des imposteurs seuls la cause de nos misères, oubliant qu’avant l’impostures, nous dansions dans les stades et sur les routes – ce que certains d’entre nous continuent d’ailleurs à faire – plutôt que d’aller travailler dans les usines, les champs et les écoles.

Un changement de mentalités, d’attitudes et de comportements est nécessaire !  C’est la nouvelle naissance, sans laquelle je ne vois aucun congolais d’aimer véritablement le Congo, l’Afrique et la planète Terre.  Qui veut naître de nouveau avant qu’il ne soit 2016 ?

[15:58:16 | Édité par Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu, 16:15:35] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: Le passé de Sultani Makenga mis au découvert!
Nord-Kivu/M23 : Des militaires rebelles contraints de se battre par peur d’être assassinés
http://www.7sur7.cd/index.php?option=com_content&view=article&id=43640%3Anord-kivum23–des-militaires-rebelles-contraints-de-se-battre-par-peur-detre-assassines-&catid=21%3Aobservateur
Nord-Kivu/M23 : Des militaires rebelles contraints de se battre par peur d’être assassinés
JEUDI, 14 MARS 2013 12:34
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Alors que sur les champs de bataille, les deux groupes rivaux, déploient tout leur arsenal pour faire plier l’adversaire, dans les deux camps, la peur et la terreur prend de l’ampleur. A Kibumba, désormais quartier général du président Jean Marie Runiga, déchu par Sultani Makenga, 26 militaires rebelles ont été froidement abattus par le Général Ntaganda. Leur seul péché, vouloir fuir le rang de cette rébellion.
Que s’est-t-il passé ?
Lundi aux petites heures du matin, dans l’un des campements des rebelles Ntagandistes à Kibumba, un petit groupe de militaires se concertent en catimini. Ses jeunes rebelles, décident de prendre le large et d’abandonner la guerre sous commandement de Bosco Ntaganda, un officier recherché par la Cour Pénale Internationale. Malheur à eux, car quelques instants après, l’affaire s’ébruite. Mis au parfum, Bosco descend illico, ‘’Kalachnikov à la main, il rafale de sang froid et massacre mes collègues ‘’, a déclaré sous anonymat un soldat. Les corps des 26  victimes tombés sur le champ traînent d’abord par terre, pour servir d’exemple, affirme la même source.  Avant d’être mis en terre dans la soirée, dans une fosse commune, sur ordre du Général Ntaganda, très visible dans la zone.
Des sources administratives à Munigi, territoire de Nyiragongo, à une dizaine de kilomètres de Kibumba, rapportent qu’un ‘’ vent de terreur s’est bel et bien installé dans la cité de Kibumba et ses environs ‘’. Des commerçants qui font des navettes sur cet axe Goma-Butembo en passant par Kibumba, rapportent que  ‘’ la population agricole de Kibumba reconnue pour sa chaleur lors de la vente de ses produits vivriers aux passants, ne réserve plus la même ambiance d’accueil aux visiteurs de passage ‘’, preuve d’une peur bleue qui gagne cette population depuis l’arrivée, dans ce coin, de Bosco Ntaganda.
Des officiers rwandais toujours présents à Kibumba
Des soldats encore fidèles à Ntaganda attestent fièrement que « des officiers rwandais causent régulièrement avec Ntaganda au téléphone ». ‘’ Presque chaque jour, des officiers rwandais viennent discuter avec nos chefs, mais nous ne savons pas de quoi ils parlent ‘’, explique un officier rebelle originaire du terriotoire de Rutshuru. Et un autre soldat d’ajouter sous anonymat  ‘’ il arrive que des officiers RDF (Rwanda Defense Forces) partagent à manger et à boire avec Ntaganda, sans gêne ‘’. Bosco Ntaganda bénéficierait toujours du soutien du général James Kabarebe, ministre rwandais de la Défense au moment où Paul Kagame, président rwandais aurait déjà souscrit à l’Accord-cadre d’Addis-Abeba qui interdit aux Etats de la région, toute tentative de déstabilisation des voisins. C’est au nom de ce principe, a-t-on appris des autorités gouvernementales de la RDC, que l’armée congolaise qui venait d’investir certaines localités abandonnées par le M23 (Rutshuru, Kiwanja, Rubare,…), les a, par la suite abandonnées, après y avoir chassé les forces négatives (Fdlr et miliciens autochtones Mai Mai).
Ce massacre du 04 mars 2013 intervient au moment où, l’aile de Makenga qui a destitué Runiga, principal chef politique du M23 occasionnant des affrontements violents à Tchanzu entre les deux factions dissidentes, s’active à honorer les engagements des pays membres de la Cirgl à Addis-Abeba où un accord-cadre a été signé le 24 février 2013. Dans un communiqué officiel, Makenga a déclaré son intention de vouloir traquer Ntaganda, l’arrêter et le déférer devant la CPI qui le recherche pour des crimes commis notamment en Ituri et au Nord-Kivu. Le 04 septembre 2012, la CPI avait demandé à la République Démocratique du Congo d’arrêter Ntaganda et de le remettre à la cour. Cette juridiction demandait à cet effet à la RDC d’assurer la sécurité de l’incriminé jusqu’à sa livraison au greffe de la CPI. Le fugitif Bosco Ntaganda aurait pris l’option de se battre jusqu’à la dernière goutte de son sang, pour échapper à la justice internationale.
James Kabarebe protecteur de Ntaganda ?
Surnommé «Terminator», Ntaganda est visé depuis 2006 par un mandat d’arrêt de la CPI pour enrôlement d’enfants quand il était dans une milice au début des années 2000. Les membres de l’ancienne rébellion du Congrès national pour la défense du peuple (CNDP), dont l’ex-général Ntaganda était le chef d’état-major, avaient été intégrés dans l’armée en 2009 après un accord de paix avec Kinshasa. Mais ce haut-gradé, commanditaire du M23 « continue d’être impliqué dans des violations graves des droits humains, notamment des meurtres, des violences sexuelles, des actes de torture et toujours le recrutement d’enfants soldats «, estiment les organisations internationales, dont la FIDH, Human Rights Watch et Amnesty International. En 2012, plus de 140 organisations congolaises et internationales ont appelé les Etats-Unis à soutenir la RDC pour arrêter Bosco Ntaganda accusé de soutenir une mutinerie dans l’est congolais.
Le groupe d’experts de l’ONU sur la RDC a, à son tour, affirmé disposer de preuves du soutien de trois des plus hauts responsables rwandais de la Défense à la mutinerie congolaise du M23, qui opère dans le Nord-Kivu, province frontalière du Rwanda. Les noms du ministre de la Défense, James Kabarebe, de son directeur de cabinet, Charles Kayonga et du conseiller militaire du président Paul Kagamé, Jacques Nziza, ont été cités. James Kabarebe est « en contact permanent avec le M23 », avaient affirmé les experts, qui accusent l’armée rwandaise d’avoir pénétré en territoire congolais pour renforcer les positions des rebelles, d’avoir apporté un soutien logistique à ces derniers et d’avoir assuré à leur leader présumé, Bosco Ntaganda, un passage sûr au Rwanda. Le Rwanda a déjà été accusé par la Monusco et l’ONG Human Rights Watch de soutenir la mutinerie du M23, mais l’a démenti à plusieurs reprises. La mutinerie avait débuté avec les velléités d’arrestation par Kinshasa de Bosco Ntanganda, jusque-là général de l’armée congolaise, ancien membre de l’armée rwandaise, ancien leader de l’ex-rébellion du CNDP, et faisant l’objet d’un mandat de la CPI.
Les faucons du M23 épinglés par les experts des Nations Unies
Il s’agit de Sultani Makenga. En outre, le recrutement et l’utilisation d’enfants, des violations attribuées à Makenga comprennent son implication dans le massacre de Kiwanja du 4 au 5 novembre 2008, lorsque les troupes du CNDP avaient exécuté au moins 67 civils – principalement des jeunes garçons de Kiwanja, au Nord-Kivu, et le massacre de Muramba /Nord-Kivu de mars 2007 où les troupes des FARDC (ex-Brigade Bravo) avaient exécuté au moins 14 civils Hutu et Nande. Le colonel Baudouin Ngaruye est lui aussi impliqué dans les exactions et les exécutions perpétrées contre les civils. En outre, mis à part le recrutement et l’utilisation des enfants, il est accusé de violation des droits humains dont le massacre de Shalio/Nord-Kivu du 27 au 30 avril 2009, lorsque les FARDC ( dominés fortement par des militaires ex-CNDP) avaient massacré au moins 139 réfugiés hutus, FDLR et leurs dépendants. Parmi les victimes, il y avait au moins 40 femmes, dont la plupart avaient été violées et mutilées.
Le colonel Innocent..
[16:19:51] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao:  La RDC une nouvelle fois au dernier rang de l’indice de développement humain du PNUD

KINSHASA – La République démocratique du Congo (RDC) arrive une nouvelle fois au 186e et dernier rang -avec le Niger- du classement de l’indice de développement humain publié chaque année par le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), malgré quelques améliorations.

Selon le PNUD, qui a confié à l’Université d’Oxford son étude locale sur la pauvreté, 87,7% de la population vivant en RDC est en dessous du seuil de pauvreté, fixé à 1,25 dollar par jour.

Près des trois quarts des 68 millions de Congolais (74%) vivent en dessous du seuil de pauvreté multidimensionnel qui tient compte de l’accès aux soins, de la santé et de l’alimentation.

Les améliorations sont pourtant marquantes, a expliqué à l’AFP Florence Marchal, chargée de communication pour le PNUD.

Entre 2000 et 2012, l’espérance de vie est passée de 45,7 ans à 48,7 ans, la durée moyenne de scolarisation de 4,4 ans à 8,5 ans et le revenu par habitant a crû de 34,6%, passant de 237 à 319 dollars par habitant et par an.

La méthode statistique utilisée –abandonnée par les autres pays– semble en fait avoir nui à son classement, explique-t-on au PNUD.

Lors du dernier classement du même genre effectué en 2011, la RDC était également dernière.

La Norvège, l’Australie et les Etats-unis d’Amérique se classent aux premières places de cet indice qui prend en compte notamment l’espérance de vie à la naissance, la durée moyenne de scolarisation et le niveau de vie par habitant.

La France est 20e de ce classement qui n’inclut pas tous les pays, certains ayant refusé de communiquer leurs statistiques, comme la Principauté de Monaco, et d’autres n’ayant pu le faire, comme la Somalie.

(©AFP / 15 mars 2013 16h10)
[16:23:27] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: C’est pour cela que je ne comprends pas encore pourquoi la diaspora ne peux pas expliquer à nos frères de l’intérieur que la solution aux problèmes congolais c’est le Projet 2014 ?
[16:23:44 | Modifié (16:25:07)] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Comment pourrait-il en être autrement ?
Sans rencontre des politiciens congolais aux mains propres autour d’une table de travail, comment le Congo pourra-t-il s’en sortire ?
[16:24:01] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: C’est confirmé par le PNUD : IDH 2013, la RDC 186me sur 186 Etats

Le PNUD (Programme des Nations Unies pour le Développement) a confirmé
hier jeudi 14 mars le classement de l’Indice de Développement Humain
2013, dont Le Phare s’est fait l’écho dans son édition du mercredi 13
mars 2013. Comme signalé dans nos colonnes, la République Démocratique
du Congo occupe effectivement, pour la deuxième consécutive, la
dernière place, soit 186me sur 186 pays, au même titre que le Niger.
Il convient de signaler que les statistiques rendues publiques par cet
organisme du système des Nations-Unies découlent de ‘l’observation de
plusieurs paramètres, notamment l’Education, l’Intégration Sociale,
les Flux commerciaux internationaux des biens et services,
l’Innovation et la Technologie, l’Environnement, l’Evolution de la
population.
A l’analyste de différents tableaux dressés à la lumière des
paramètres sociaux ayant un impact direct sur le développement humain,
il appert que la RDC et le Niger se partagent jalousement la dernière
place de la classe. La situation inquiète et étonne à la fois, dans la
mesure où, à la différence de nombreux Etats d’Afrique et d’ailleurs,
le Congo démocratique réunit le potentiel humain, économique,
géologique, énergétique, écologique,… pour s’imposer comme un pays
émergent, à défaut d’être une puissance économique et industrielle.
Paradoxalement, en dépit de ses scandaleuses ressources naturelles,
notre pays accuse un indice de développement humain le plus faible de
la planète. En d’autres termes, en 2012 comme en 2013, la RDC affiche
les statistiques les plus faibles en matières d’éducation, de santé,
d’intégration sociale, d’échanges des biens et services avec
l’extérieur, de production agricole et industrielle, d’innovations
techniques et technologiques, de protection de l’environnement, de
contrôle de la population.
Les Congolais non surpris
Pour le commun des Congolais, il ne s’agit vraiment pas d’une
surprise de voir leur pays se retrouver, pendant deux années
successives, au bas de l’échelle du développement humain au plan
mondial. Lorsque l’on jette un regard sur les dysfonctionnements du
système éducatif national, avec des structures d’accueil non-conformes
aux besoins de l’enfant congolais pour la formation pré-scolaire,
scolaire et universitaire, la clochardisation des enseignants, le
monnayage des cotes scolaires et académiques, le manque de manuels, de
matériels didactiques, de laboratoires et de bibliothèque, l’on ne
peut que s’incliner devant le verdict du Pnud.
   Dans un pays où il n’existe pas de politique de logements sociaux, où
les soins de santé primaires se limitent aux slogans, où les
médicaments se vendent dans la rue comme des cacahuètes, où les gens
meurent dans leurs maisons par manque de moyens, où les charlatans et
les tradipraticiens sont devenus les maîtres du domaine sanitaire,
l’on peut qu’aligner des taux de mortalité les plus élevés de la
planète. Dépotoir alimentaire et pharmaceutique, la RDC a mauvaise
réputation au plan de la qualité des biens de consommation courante.
En matière de démographie, les Congolais ignorent le nombre exact de
citoyens qu’héberge leur pays, car le dernier recensement
administratif remonte à 1984. Depuis lors, chaque gouvernement en
place livre des statistiques des populations sans fondement
administratif ou scientifique. L’on parle aujourd’hui de plus de 70
millions d’habitants en RDC sans que personne ne soit en mesure de le
démontrer scientifiquement ou administrativement. Plusieurs
générations de Congolais vivent aujourd’hui sans cartes d’identités.
Dans un environnement social où le taux de chômage des personnes de
tous les âges dépasse les 80%, où la plupart de ménages ont du mal à
assurer à leurs membres l’unique repas quotidien, occuper le dernier
rang mondial comme pays pauvre rentre dans l’ordre normal des choses.
En matière d’infrastructures de base, tout le monde constate qu’en
dehors de quelques routes reliant Kinshasa au Bas-Congo et au
Bandundu, les autres provinces du pays sont enclavées. Les rares
routes inter-provinciales réhabilitées entre 2006 et 2011 sont
redevenues impraticables.
   Les compatriotes du Congo profond continuent
d’attendre, depuis des décennies, les liaisons routières et
ferroviaires entre le Bandundu et l’Equateur, les deux Kasai, le
Katanga, le Maniema, l’Equateur et la Province Orientale, etc.
Le fleuve Congo et ses affluents, qui auraient dû être transformés en
«autoroutes» naturelles, n’en finissent pas d’endeuiller le pays avec
des naufrages à répétition, en raison du déficit de dragage et de
balisage de leurs cours, mais aussi de la présence de «cercueils»
flottants.

Les liaisons aériennes offrent les mêmes spectacles de «fula-fula»
aériens et d’aéroports d’une autre époque.

L’industrialisation du pays s’est arrêtée voici des décennies, au
point que le pays importe l’essentiel de ses produits alimentaires et
manufacturés. L’agriculture, décrétée priorité des priorités dans les
discours, reste l’affaire d’une poignée de paysans et fermiers qui
pratiquent des cultures de subsistance, dont les faibles quantités
moisissent dans les greniers, faute de moyens d’évacuation.
Le pouvoir d’achat du Congolais est quasiment nul, mais ce dernier
réussit, au quotidien, l’exploit de survivre avec moins d’un dollar de
revenu.

La pollution de l’environnement n’a pratiquement pas de parade. Les
essences forestières congolaises sont pillées sans vergogne. La RDC,
pointée comme l’espoir du monde pour la régulation des climats et de
l’écho système, risque de ne pas tenir ses engagements, à longue
échéance.

Au lieu d’innover aux plans techniques et technologiques, les
Congolais s’offrent comme les meilleurs consommateurs des technologies
importées. La recherche scientifique bat de l’aile, et son abandon
par les pouvoirs publics fait fuir les cerveaux chaque année.
Le classement 2013 du développement humain a pris curieusement en
compte, un paramètre comme celui d’Etat fort, dynamique et
responsable, où la bonne gouvernance permet la pleine exploitation des
ressources naturelles et autres, la création des richesses et leur
distribution, de manière équitable au plus grand nombre. La réduction
sensible des inégalités sociales constitue un des critères
d’appréciation du développement. Hélas, tout cela fait malheureusement
défaut en territoire congolais.

En un mot comme en cent, le Congo démocratique mérite amplement les
mauvaises notes lui décernées par le PNUD ces deux dernières années.
Ceux qui diffusent des chiffres mirobolants sur le taux de croissance,
le taux d’inflation, le taux de desserte en eau et électricité, le
taux d’accès aux soins de santé primaire, le taux de scolarisation,
l’amélioration du climat des affaires, la lutte contre la pauvreté,
les infrastructures de base, la modernisation de l’agriculture
devraient expliquer aux Congolaises et Congolais la descente aux
enfers attestée par les experts du Pnud.

Triste révélation ?


Est-ce là une triste révélation ou plutôt une idée qui relève de la paranoïa et surtout, comment le savoir ?
Nous diffusons ici bas la livraison de Tembos Yotama sur notre mur Facebook.
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Tembos Yotama
Alerte ! RDC : Triste révélation
L’une de nos sources suffisamment informée, renseigne que :
« Le Rwanda a déjà, fabriquer 4000 hommes uniquement des Hutu, dans le camps Mirha/Rwanda, qui joueront le rôle des FDLR à la Frontière et qui après vont chaque fois causer mort d’hommes au nom de la RDC et qui seront utilisés comme outils de plaidoyer auprès de la communauté international qu’ils sont en danger; hier les militaires de MAKENGA , hier 01/03/2013, dans le territoire de Nyiragongo ont donné 30 armes de marque AK47 aux groupes de faux FDLR de Mandevu;
Wangebhe mwaalawetu »
Dossier à suivre
tembosyotama@gmail.com
+243 997799020
Combattant de la liberté et du changement.

Kitshanga


Nous l’avions annoncé : https://projet2014.com/2013/02/23/terreur-et-desolation/.  Cependant, dans notre orgueil, personne n’a encore répondu correctement, comme le souligne Wassy Kambale, dans se livraison du jour.

En réalité, le pire que nous annoncions est là, depuis l’évènement d’Addis-Abeba.  Nous, congolais, nous sommes montrés incapables de l’arrêter.  Nous nous sommes refusés d’écouter tous les avertissements clairs des fils du Dieu vivant, vrai et aimant.  C’est dommage !

Nous avons également également à tout congolais vivant dans un pays ennemi du Congo de s’en retirer calmément et à son aise : tout indique que ces pays passerons bientôt par le jugement divin, si nous ne nous y trompons pas.  Rappelons-nous que ceci n’est pas à prendre comme une prophétie : nous analysons les faits, nous déduisons ce que sera le futur sur base de la connaissance que nous avons sur la manière d’agir de Dieu.  Nous pouvons nous tromper cette fois, même si jusqu’ici, toutes nos prédictions se sont accomplies point par point.

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Wassy Kambale

Les premières photos que je reçois des affrontements depuis le début de cette semaine à Kitshanga. Il y a seulement un mois que j’ai été dans cette cité, et quand je suis revenu à Goma, j’ai ecris un article qui se concluait par: La guerre n’est pas encore finie, et la vie des nombreuses populations demeure menacée.

C’est tout ce que j’avais retenu de ce voyage.

 

 

Les nouvelles des Kivu…


L’affrontement vient d’eclater au niveau de Kilima-Nyoka entre les deux factions, d’une part, du Col. Innocent ZIMUNDA, fidèle au général Baudouin et au président ; et d’autre part, le Col. MBONEZA fidele au generale MAKENGA, ce col voulait traverse la zone sous controle du col Zim Zim et joindre Makenga sur la colline de Chanzu la ou il s’est retranché depuis une semaine deja

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[3:19:59 PM] CA : ce matin voi la declaration de Makenga
VOICI CE QU’EST LE M23 REMODELE SANS JM RUGIGA,SULTANI MAKENGA SEUL ROI

VOICI LE GOUVERNEMENT SANS J.M RUNIGA

• Chef du haut commandement militaire : Colonel SULTANI MAKENGA
• Secrétaire exécutif : M. François RUCOGOZA TUYIHIMBAZE
• Département des affaires politiques et administration du territoire : M. SENDUGU MUSEVENI
• Département des relations extérieures et de la coopération régionale : Me René ABANDI MUNYARUGERERO
• Département des affaires sociales et humanitaires : Dr Alexis KASANZU
• Département des Finances, Budget et Ressources naturelles : M. Justin GASHEMA
• Département de l’Agriculture, Pêche et Elevage : M. Déogratias NZABIRINDA NTAMBARA
• Département de la Justice et des droits humains : Me Antoine MAHAMBA KASIWA
• Département de la Réconciliation et de l’Unité Nationale : M. Jean Serge KAMBASU NGEVE
• Département de Rapatriement des réfugiés et réinsertion des déplacés internes : M. Benjamin MBONIMPA
• Département du Tourisme, Environnement et Conservation de la Nature : Prof Stanislas BALEKE
• Département de la Jeunesse, Sport et Loisirs : M. Ali MUSAGARA
[3:21:45 PM] christian akili: apres deux heures voici ce qui viendra
[3:21:59 PM] christian akili: LE COLONEL SERAPHIN MIRINDI
REAGI A LA DESTITUTION DE J.M RUNIGA
ET DESAVOUE
SULTANI MAKENGA

… Dans une Interview exclusive sur Radio KIVU1, Seraphin Mirindi est sans équivoque :
« La décision de destitution du Président du M23 par le Général Sultani Makenda est une décision unilatérale qui ne concerne que Makenga lui-même. Nous comme membres du Haut-Commandement militaire du M23 qui avons travaillé avec Makenga, nous avons toujours demandé une concertation interne qu’il a refusé. Nous accusions déjà Makenga de 4 griefs.
Un, Il s’est beaucoup ingéré dans l’organisation politique du M23 et nous l’accusions d’usurpation du pouvoir.
De deux, le général Makenga a détourné beaucoup d’argent de notre armée. Nous avions voulu initié un audit afin qu’il s’en explique. Il a signé sur beaucoup de bons de sortie d’argent et nous voulions savoir l’utilité de tout ce montant car nos soldats meurent de faim.
De trois il ne veut pas réunir toute l’armée du M2 autour de lui car il se contente seulement d’un groupe qui est sous son autorité.
De quatre nous avons des preuves qu’il a été soudoyé par le Président Joseph Kabila pour nous désorganiser et mettre fin au dialogue de Kampala que nous suivons bien.
C’est quand Sultani Makenga a su que nous allions lui demander tout ceci qu’il s’est précipité pour publier son communiqué de destitution du chef du M23 afin de faire semblant comme si c’est lui qui aime notre mouvement et veut son essor. Nous appelons cela une fuite en avant.
Nous comme armée nous décidons de rester avec le Bishop Runiga qui est notre Président. En suite notre armée se décide de n’est plus obéir aux ordres de Sultani Makenga jusqu’à nouvelle ordre et que tout soit clarifié. Troisièmement nous attendons une réunion extraordinaire entre politiciens et militaires du M23 afin de savoir quelle position prendre et suivre.
Afin moi qui était G5 de l’armée du M23 je viens d’être promu Porte–Parole de l’armée du M23.
RADIO KIVU1 : Ou est monsieur Jean-Marie RUNIGA ?
S.MIRINDI : Il est ici en mission. Il visite la population et son armée et sa police. L’administrateur du territoire (de KIBUMBA) est avec nous ici, le secrétaire général de la police et nous qui l’accompagnons sommes ensemble. Nous n’obéissons pas aux décisions personnelles de Sultani Makenga.
-RADIO KIVU1 :Pouvons-nous dire qu’il y a deux armées au M23 et deux porte-parole ?
-Moi je parle comme militaire. Je suis dans l’armée du M23.Je deviens porte-parole militaire car même Vianey Kazarama est devenu indiscipliné et il n’a plus le droit de nous engager sans notre consentement.
[3:23:22 PM] christian akili: c’est apres qu’il ya eu affrontement  au niveau de kilima-nyoka
[3:39:39 PM] GPAU : Voilà qui confirme ce que nous vous disions.
Le M23 non plus, n’est pas la solution !
La meilleure solution au problème congolais aujourd’hui est la participation au Projet 2014 ou à un projet congolais similaire, à trouver !

[3:43:53 PM] CA : le projet 2014 est bien mais il ya un autre problème qui nécessite une solution pour que le projet 2014 soit efficace c’est le problème de leadership au congo,

[3:44:17 PM] CA : Kanambe est un frein a tout ce que vous pouvez entreprendre

[3:47:38 PM] GPAU: Relis ce que tu viens d’écrire !

[3:47:48 PM] GPAU: Que veux-tu dire au juste ?

[3:51:38 PM] CA : j’ai viens de lire, je veux dire que pour le développement du congo, aujourd’hui c’est le gouvernement en place qui est un frein a tout développement

[3:51:55 PM] GPAU: Comment vois-tu la question ou le problème du leadership au Congo résolu en dehors du Projet 2014 ou d’un autre projet similaire ?

As-tu déjà trouvé un autre projet similaire ?

Ou alors tu tu attends la « communauté internationale » intervenir pour résoudre « le problème de leadership au congo » ?

[3:52:33 PM] GPAU: Désolé, CA. Nous savons tout cela depuis 1960 !

[3:52:56 PM] GPAU: Si ce n’est qu’aujourd’hui que tu le découvre, alors, tu es très en retard.

[3:55:23 PM] GPAU: Pour nous, il a toujours été question de chercher la solution à notre manque de civisme. Et notre analyse est très simple. Tout le monde aujourd’hui est irresponsable. Nous n’avons pas construit le Congo. C’est la Belgique et les autres métropoles qui ont créé la RDC. Depuis l’indépendance de 1960, nous ne nous sommes pas encore assis pour décider, librement, de ce que nous voudrions faire de cette portion de terre appelée Congo-Kinshasa ou RDC.

[3:55:40 PM] GPAU: La conséquence en est que personne ne soit redevable à personne.

[3:56:04 PM] CA : c’est ne pas a la communauté Internationale d’intervenir pour résoudre, car comme vous le dites depuis 1960, alors quand on doit faire une chose deux fois de la même manière et s’attendre a un résultat différent ce qu’en a perdu la tête, ce qui reste a faire c’est le projet 2014

[3:56:13 PM] GPAU: Le Projet 2014 est le seul projet que je connaisse, qui propose la solution du problème congolais à sa source !

[3:57:06 PM] GPAU: Nous demandons que tous ceux qui aiment le Congo se dépouillent de leurs orgueils suicidaires pour venir autour de la table de démocratie, construire notre Congo à nous congolais !

[3:57:52 PM] GPAU: Si personne ne répond, nous comprenons par là qu’il y a des congolais qui veulent continuer à coloniser des congolais comme eux !

[3:58:26 PM] GPAU: Tant qu’il en sera ainsi, CA, notre Dieu est vivant, la pérégrination dans le désert du sous-développement continuera !

[3:59:08 PM] GPAU: A l’histoire, tu sauras que ce que je dis, je le tiens de celui qui a la Terre dans la paume de sa main !

[4:00:25 PM] GPAU: CA, tu fouis ma question. Si ce n’est pas à la communauté internationale d’intervenir, toi, CA, que fais-tu pour que le congolais comprenne que c’est à lui de se mettre autour de cette table à laquelle nous convions tous les congolais ?

[4:00:41 PM] GPAU: Autrement, comment puis-je savoir que tu aimes le Congo ?

[4:01:09 PM] GPAU: Demain, nos fils lira ce qui est écrit ici et analyseront ta réponse concrète à l’appel !

[4:01:16 PM] GPAU: Bonne journée, CA

[4:01:35 PM] CA : merci
[4:03:20 PM] CA : c’est   vraie nous devons nous mettre autour d’une table
[4:03:41 PM] CA : Bonne journee aussi

Sortez du milieu d’elle mon peuple !


    Aujourd’hui

    « (…) sortez du milieu d’elle, mon peuple »
    (La Bible)

    Comment le congolais sage gérera-t-il la situation qui prévaut à l’Est du Congo ? Face à des peuples qui choisissent les voies du diable, volontairement – puisque plusieurs fois avertis sans changement d’attitude – que faire pour être chrétien, libéral, démocrate, sage, intelligent ?

    clip_image00116:22

    GPAU

    l’information passe en temps réel ici :https://projet2014.wordpress.com

    Tu vas très bien pendant qu’une bombe aurait éclatée dans ta ville, selon Audace Bwira de Goma sur place ?

    Anselme Nguru Wasingya ne confirme pas l’information et traîne à la vérifier…

    clip_image001[1]16:28

    FS

    C’est faux. Seulement nous sommes dans une psychose des rumeurs et tractes stipulant que les m23 vont occuper la ville cette nuit.ca va à Bruxelles?

    16:32

    GPAU

    A Bruxelles, la majorité des congolais veulent en finir avec Joseph Hyppolite Kanambe.

    16:33

    GPAU

    Certains proposent qu’il soit tué ; d’autres propose qu’il soit arrêté pour être jugé démocratiquement ! Toutes les batteries sont en marche pour le débouter, mais comme tu le sais, le congolais parle depuis le 30 juin 1960, sans être à même de restituer à nos peuples leur indépendance !

    16:35

    GPAU

    Tu dis que c’est faux ; pourtant, selon Anselme les femmes des militaires ont quitté hier pour une destination qu’il ne spécifie pas… Et que ce matin, elles seraient revenues…

    Tu infirmes cela aussi ?

    clip_image001[2]16:49

    FS

    Papa, les choses qui se passent ici au nord kivu sont horribles. Nous ne parlons plus. Nous sommes vraiment fatigues, heureux pour vous qui êtes a l’étranger

    16:55

    GPAU

    C’est une des raisons pour laquelle notre malheur continue.

    Il faut que chacun décide de s’élever contre tout ce qui est mal : vol, pillage, tuerie, empoisonnement, viol, etc.

    Sinon, ne nous plaignons pas.

    Ce n’est pas à la communauté internationale ni au CIRGL de nous délivrer de nos soufrance.

    Goma a toujours été une des rares villes congolaise de vols à mains armées, depuis les années 60 !

    Il n’est pas étonnant que le malheur s’abatte sur elle…

    Les gens se foutent de tout dans Goma !

    Ils ne pensent même pas au Nyiragongo…

    Mais comme la conséquence du péché est la mort, nos gomatraciens vos continuer à mourir faute de connaissance de lois qui gouvernent le monde temporel et le monde non-temporel !

    Le Projet 2014 propose qu’autour d’une table, nous apprenions comment participer à l’amélioration de notre destin, de celui de nos enfants.

    Toi personnellement, maman, quel est ton engagement ?

    clip_image001[3]17:13

    FS

    Ce que vs dites est vrai papa, même si l’on s’engageait a l’amélioration du destin, dans quel pays !! Pas de boulot, droit de l’homme bafoue…c’est horrible

    17:14

    GPAU

    Tout cela, Florence, est le résultat de notre investissement.

    Qu’avons-nous fait entre 65 et 97, si ce n’est pas danser et boire dans les stades ?

    Cela se paie, Florence ! Nous les disions à nos compatriotes depuis 1976 !

    Plusieurs étudiants votaient vert : la majorité d’ailleurs !

    17:17

    GPAU

    Pendant que par trois fois nous n’avons pas pu voter à nos risques et péril parce que nous réclamions les bulletins rouges que le MPR ne voulait pas nous remettre ou qu’il n’apportait pas dans les bureaux de vote tout simplement, sûr, très sûr même, de sa victoire ; puisque le congolais avait choisi la voie de la trahison de la nation !

    17:21

    GPAU

    Dieu est vivant, Florence. Tant que nous ne corrigerons pas cette traîtrise de la nation, je ne vois pas comment nous mériterions la paix et la prospérité.
    Des individualités s’enrichissent et s’enrichiront encore sur le dos du congolais, tant que nous ne serons pas majoritaires à renoncer à Satan et ses suppôts humains que nous avons commis à la gestion de la RDC.

    17:22

    GPAU

    Notre Projet 2014 est une invitation de divorcer d’avec ses hommes-là en les disqualifiant démocratiquement.

    Et si le peuple congolais préfère les méchants : j’ai une conseil pour toi et les tiens : sortez du milieu de ce peuple !

    Je peux aider dans un cas, comme dans l’autre !

La division du Kivu était-elle nécessaire ?


Le Nord-Kivu est le théatre  de “guerres” atroces depuis les années 90.  Beaucoup de rebelles trouvent dans cette province le champ de bataille.  D’aucuns recherchent les explications à ce phénomène.  Quelques congolais et étrangers ont tenter des explications.  Peu d’enquêteurs consultent les populations locales pour connaître leurs perceptions, leurs explications des guerres qui se succèdent dans la région.  En revanche, beaucoup d’entre eux ont fait parler les rebelles et quelques personnalités en vue dans la sphère politique congolaise et internationale.  Leurs réponses, pour la plupart ne convainquent pas : les prédictions sont visiblement faussées et les prédictions sur l’avenir sécuritaire de la région sont fausses.

Le congolais lui-même, le kivutien en particulier devrait prendre en main la restitution correcte de l’histoire des Kivu.  L’âme kivutienne a besoin d’être entendue pour mieux saisir les besoins, problèmes et motivations locales et les mettre en rapport avec les motivations et objectifs du monde extérieur qui influence le cours de évènements dans la région.

Commençant par une série de questions basiques, nous pensons pouvoir contribuer et faire participer les deux Kivu de manière à dissiper les illusions dans lesquelles vivent beaucoup de congolais mal instruit de l’âme kivutienne, de ses rêves véritables.  Il ne s’agit pas pour nous d’apporter une nouvelle ni prioritairement ni nécessairement, mais il s’agit plutôt d’analyser celle qui est déjà disponible, pour dégager les pistes d’une solution durable et robuste aux conflits qui ont lieu dans la région.  Il faut combler en même temps les lacunes informationnelles, corriger les erreurs, enrichir la connaissance par d’autres informations déductibles de celles dont nous disposons déjà.

Quand est-ce que le Kivu fut-il divisé en Nord-Kivu, Sud-Kivu et Maniema ?

Qui opéra cette division ?

Pourquoi opéra-t-on cette division de la province ?

Que pensent les anciens kivutiens de cette division ?

Que pense les congolais non-kivutiens de cette division du Kivu ?

Quelles leçons pouvons-nous tirer de cette division ?

Quelle application pouvons-nous en faire des divisions en attentes ?

Sécurisation de Butembo


La ville de Butembo, comme les autres villes du Congo-Kinshasa, vit dans une insécurité permanante.  La situation ici est cependant plus précaire et plus grave qu’ailleurs.  Comment comprendre les origines de cette situation et trouver des solutions efficaces au problème d’insécurité auquel la ville est confrontée ; choses que les bubolais n’ont pas encore réussi à réaliser jusqu’ici ?  Est-il possible d’agir autrement et avec un succès qui soit garanti dans les meilleurs delais – six à douze mois ?

Nous reprenons ci-dessous le communiqué de presse de la coordination de la société civile de la ville de Butembo en rapport avec avec son projet de sécurisation de cette ville.

Sous forme de notes de fin de document, nous avons inséré le résultat de notre analyse du document au titre d’une contribution à un projet de sécurisation de la ville de Butembo que nous proposons à la coordination de commencer par concevoir et mettre sur papier.  Pour y arriver nous suggérons un travail collaboratif avec, l’association à but non lucratif Echanges Afrique-Europe de Bruxelles (EAE ASBL, http://eae-asbl.blogspot.be

Nous croyons en effet que cette façon de faire permet aux parties prenantes de mieux voir ce qu’il y a à réaliser et d’évaluer en temps réel les progrès accomplis et d’ainsi mieux comprendre les causes des échecs du passé.

Vous pouvez télécharger cette page sous forme d’un ficher word ici : http://users.skynet.be/bs245857/2014/contributions/graphelepalukuatokauwekomu/butembo_securisation.doc.

(Graphèle) Paluku-Atoka Uwekomu – Projet 2014 – Bruxelles

———————————————————————————————————————————–

COORDINATION URBAINE DE LA SOCIETE CIVILE

4, avenue Lubero
Commune Kimemi

VILLE DE BUTEMBO

REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO

Tél. : + 243(0)998385137

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COMUNIQUE DE PRESSE N° 003/SOCIV/BUTEMBO/2012 RELATIF A LA SITUATION SECURITAIRE EN VILLE DE BUTEMBO

La ville de Butembo et ses environs respirent depuis environs un mois une insécurité injustifiée[i]. Celle – ci est l’œuvre des hommes en armes non autrement identifiés[ii] vêtus en tenue militaire.

Après plusieurs cas de cambriolage, de meurtre, de vol à mains armées, etc., la société civile tire la sonnette d’alarme[iii] au regard des violations des droits humains dont les premières victimes sont les paisibles[iv] populations.

Jusque là plusieurs cas[v] endéans un mois, viennent d’être inventoriés par les chercheurs de la société civile sur toute l’étendue de la ville de Butembo.

Bien plus, les autorités sont presque toutes débordées[vi] parce qu’aucun résultat des enquêtes n’a été présenté à la paisible population.

Au regard de la constitution congolaise, la mission régalienne de la police réside dans la sécurité publique, la sécurité des personnes et de leurs biens, du maintien et du rétablissement de l’ordre publique ainsi que la protection rapprochée[vii] des hautes autorités.

D’un côté, l’on crie manque du carburant, de l’autre l’on affirme la disponibilité[viii]. Ce jeu[ix] de ping-pong ne rassure pas les pauvres populations de Butembo mais plutôt, les plonge dans un désarroi au regard de sa sécurité.

Ainsi donc, la société civile urbaine de Butembo appelle[x] au réveil de la conscience de toutes les forces vives de Butembo ainsi qu’à la mobilisation de tous les jeunes dans de tous les quartiers de Butembo et ses environs[xi]. Cette mobilisation consiste à la prise des mesures draconiennes[xii] visant la recherche de la sécurité en ville de Butembo.

Pour la société civile, toutes les batteries[xiii] doivent être mises en marche dans la recherche de notre propre sécurité, les autorités[xiv] ayant prouvé leurs limites[xv]. C’est à ce titre que :

– Le sifflet doit être la première arme d’alerte pour s’informer mutuellement d’une éventuelle incursion chez un voisin.

– L’appui de la police en fournitures nécessaires pour l’intervention rapide dont notamment ; le carburant, les unités, etc.

– Que les opérateurs économiques[xvi] réunis au sein de la Fédération des Entreprises du Congo, FEC, en sigle, une des structures de la société civile, s’investissent dans la recherche des solutions matérielles pour l’éradication de l’insécurité.

Au regard du nombre de cas que viennent d’inventoriés les activistes de la société civile, l’urgence s’impose.

Lorsque, toutes ces mesures seront respectées à la lettre, nous pensons respirer un calumet de paix.

Et donc ensemble, sécurisons[xvii] notre ville, pour le bien être de tous !

Ainsi, fait à Butembo, le 20 octobre 2012

Pour la Société civile Urbaine de Butembo

Me Fabrice TSONGO KAKURUSI

Vice – Président


[i] Quelles sont à ce jour les dispositions prises par la population de Butembo pour assurer sa sécurité ?

Une évaluation de la stratégie éventuelle est-elle disponible ? Quelles sont les failles relevées et quels correctifs ont été appliqués ? Si une telle stratégie n’existe pas, il faut considérer la population de Butembo comme responsable de son insécurité, parce que celle-ci se construit. La grille ci-dessous peut aider à mettre au point un début de solution.

Problème Description détaillé Origines, sources, causes Conséquences, suites, effets Solutions possibles Solutions retenues
Vols          
Viols          
Assassinats          
Chômage          
Ignorance          

[ii] Cette expression est devenue monnaie courante dans nos documents. Personne ne se rend compte qu’elle traduit notre incapacité à enquêter sur les faits que nous vivons, de gérer ce qui nous arrive. Il serait intéressant que nous arrivions à savoir pourquoi, après autant d’années, nous demeurons incapables d’identifier ceux qui nous violent, nous volent, nous pillent quand bien même nous savons par ailleurs que certains sont des fils de Butembo même ? Plusieurs faits passés ont permis d’établir que parmi les bandits se trouvent des bubolais pur sang !

[iii] Cette sonnette d’alarme que nous tirons, c’est pour que qui nous entende et pour que qui nous vienne au secours ? La MONUC est là, les FARDC sont aussi là ! Pourquoi est-ce que la misère continue ?

[iv] Notre population ne doit pas se contenter d’être paisibles. Elle se doit aussi rechercher activement une solution à l’insécurité que nous vivons. Le Projet 2014 peut aider dans la mobilisation de la population autour d’un projet de sécurisation de la ville de Butembo. Le tableau ci-dessous peut nous permettre de commencer un travail structuré et évaluable dans les 6 prochains mois. Le tableau suivant permet de construire une stratégie propre, claire, évaluable. Il y a lieu d’ajouter de lignes supplémentaires en fonction des ambitions de la ville de Butembo. Pourquoi ne pas créer un cadre de travail de fond dans le cade de la coordination urbaine de la société civile ? Est-ce de Kinshasa et de la communauté internationale que notre population croit être en devoir d’attendre une solution ?

Idéal : Sécurité

Buts Objectifs Activités Ressources Coûts Observations
Plus de vol          
Plus de viol          
Plus d’assassinat          
Plus de chômage          
Plus d’ignorance          

[v] Nous pouvons aider à gérer et à publier, en ligne et en temps réel, les résultats des travaux. La mobilisation des ressources intérieures à la ville et extérieures à la ville

[vi] Il serait utile de rendre publique la liste des initiatives concrètes prises par les autorités de la ville de Butembo pour le soumettre à l’examen des spécialistes, dans l’ordre chronologique, dans le cadre de la lutte contre l’insécurité. Tout laisse en effet penser que ces initiatives soient soit inadaptées et à tout le moins inefficaces jusqu’ici.

Date

Initiative publique

Objectif fixé

Résultat obtenu

Evaluation de l’initiative

         
         
         

[vii] Si nous voulons être démocratiques, il faut revoir cette conception de la police. Il est insultant pour le peuple que la mission régalienne et explicite de la police incluse la protection rapprochée des autorités sans une protection rapprochée de la population qui est sensé la payer ! Avec une telle mentalité coloniale, il ne faut pas s’étonner que nos autorités nous subjuguent, nous assassinent, nous volent, nous violent en bandits institutionnels !

[viii] L’ignorance, l’incompétence et la sous-information de notre population participent grandement à la perpétuation de l’insécurité dans nos localités du Congo. Il nous faut donc les combattre pour atteindre l’objectif de pacification de nos cités. L’enseignement, la formation, l’information doivent faire l’objet de notre dispositif.

[ix] Si nous pensons sécuriser Butembo en JOUANT au ping-pong avec nos autorités, nous nous trompons. Notre population doit se convaincre que la sécurisation de la ville passe par une lutte sans merci contre le vol, le viol, le chômage, l’ignorance, l’incompétence, l’irresponsabilité.

[x] Qui est-ce que la société civile bubolaise appelle au réveil ? Un tableau comme celui-ci peut permettre de rendre compte des interventions engagées et des résultats obtenus et de comprendre le réveil ou le sommeil des bubolais.

Appelé

Cause

Contexte

Réaction

Analyse de la réaction

         
         
         

[xi] Pour réussir cette activité de sensibilisation des acteurs potentiels de la paix dans la ville de Butembo, nous vous proposons de concevoir un projet spécifique (pacification de la ville de Butembo). Nous pouvons y aller ensemble, avec le concours d’EAE ASBL et de l’administration locale. La présence de l’EAE ASBL peut avoir non seulement l’avantage d’apporter une expertise supplémentaire, mais aussi de changer le climat psychologique et politique de l’exécution du projet. De notre côté, nous aurons contribué à jeter un nouveau pont dans le domaine de la politique.

[xii] Les mesures à prendre sont celles susceptibles d’arrêter les vols, les viols, les tueries, le chômage, l’ignorance dans la ville de Butembo. Elles doivent être permettre de supprimer les causes « premières » de l’insécurité chez le bubolais. Elles doivent se rapporter au tableau d’analyse de l’insécurité dans Butembo dont nous avons proposé un modèle ci-avant.

[xiii] Vous faites allusion aux ressources à mobiliser dans le projet de sécurisation de la ville de Butembo. Le deuxième tableau, situé dans la note iv, permet de procéder par un inventaire le plus complet possible des ressources requises et d’évaluer le coût du projet de sécurisation de la ville de Butembo mis au point.

[xiv] Un groupe n’a que les chefs qu’il mérite. Si les gestionnaires de la chose publique bubolaise sont incompétents ou méchants, il nous revient de nous poser la question de savoir comment nous les avons commis à leurs fonctions respectives ou comment nous les avons laissés prendre autorité sur nous. Tout ceci apparaîtra dans l’analyse des causes, des origines, des sources de l’insécurité dans Butembo (Cfr. tableau repris dans la note i).

[xv] Connaître exactement, précisément les limites de nos autorités et les alternatives à ces limites est ce qui doit apparaître dans notre analyse du projet. Cette connaissance nous permettra de déterminer les profils des leaders susceptibles de nous conduire vers une solution adaptée au problème de l’insécurité dans la ville de Butembo. Sinon, nous sombrerons dans des schémas de tâtonnement qui épuise, nous font perdre des âmes et des militants pour la cause de la sécurité dans la ville de Butembo.

[xvi] Les premières personnes qui sont dans le devoir de s’investir dans la sécurisation de la ville de Butembo sont toutes les personnes qui se sentent mal en présence du vol, du viol, du meurtre, du chômage et de l’ignorance dans la ville. Une analyse appropriée peut permettre de savoir quels sont les groupes sensibles, indifférents ou opposés à la cause de la sécurité dans la ville de Butembo.

Notons qu’il est erroné de penser que tout le monde dans Butembo travaille pour la cause de la sécurité de cette ville. Seule une analyse fine et une observation attentive peut permettre de déterminer les motivations de différentes parties prenantes par rapport à la cause de la sécurité dans la ville de Butembo.

Sur la première ligne, reprendre les parties prenantes de la sécurisation de la ville de Butembo. Dans les autres cases, indiquer pourquoi une partie prenante particulière (en-tête de colonne) adopte la position consignée dans la première colonne de la ligne correspondante (en-tête de ligne).

Parties prenantes

pp1 pp2 pp3 pp4 pp5 pp6 pp7

Très sensibles

             

Sensibles

             

Peu sensibles

             

Indifférents

             

Peu opposés

             

Opposés

             

Très opposés

             

[xvii] Travailler par projet écrit permet à tous les acteurs d’avoir à porter de la main d’un plan de travail et d’évaluer les progrès accomplis pour s’investir encore plus ou pour corriger les erreurs de conception que contiendrait le projet de sécurisation de la ville de Butembo.