Naître de nouveau avant qu’il ne soit 2016 ?


Lisez la suite et dites-nous si vous ne pensez autre chose en déposant votre commentaire ici à l’attention des congolais du Net.

Le Projet 2014 est la seule solution que les congolais n’aient pas encore essayée.  En effet, tous les politiciens de l’espace politique congolais se plantent.  Nous expliquons que c’est parce qu’aucun d’entre eux n’a le souci d’associer, le souverain primaire à la gestion de la chose publique comme il se doit.

Hypocrites pour la plupart, ils tentent comment être aux commandes pour subjuguer les autres congolais plutôt que pour redresser la barque.  Dieu, dans sa toute-puissance les confond un à un.  Kasavubu, Mobutu et Kabila ont tout simplement échoué par défaut de démocratie dans leur stratégie.

Le Projet 2014 est la solution que tout le monde rejette faute de ne perdre sa place : il s’agit ici d’hommes qui recherche la restitution, à tout prix, AUX PEUPLES du Congo, de la RDC, de leur indépendance perdu depuis la colonisation et même plutôt, depuis l’esclavagisme arabe.  Cette solution, qui demande beaucoup de civisme ; civisme que s’interdisent ceux qui ont soit les mains pleines de sang congolais et étranger soit le cœur vide d’amour pour la patrie soit la tête vide de vision et soit les mains vides de compétences, est celle qui obligera tous nos politiciens à respecter nos peuples.

Analyser les acteurs en présence sur la scène politique congolaise et constatez par vous-même combien nous avons commis l’erreur de commettre des hommes véreux, des traîtres, à la gestion de la chose publique.

Nous congolais, faute de nous décider à corriger nos turpitudes, fuyons en avant en rejettant sur des imposteurs seuls la cause de nos misères, oubliant qu’avant l’impostures, nous dansions dans les stades et sur les routes – ce que certains d’entre nous continuent d’ailleurs à faire – plutôt que d’aller travailler dans les usines, les champs et les écoles.

Un changement de mentalités, d’attitudes et de comportements est nécessaire !  C’est la nouvelle naissance, sans laquelle je ne vois aucun congolais d’aimer véritablement le Congo, l’Afrique et la planète Terre.  Qui veut naître de nouveau avant qu’il ne soit 2016 ?

[15:58:16 | Édité par Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu, 16:15:35] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: Le passé de Sultani Makenga mis au découvert!
Nord-Kivu/M23 : Des militaires rebelles contraints de se battre par peur d’être assassinés
http://www.7sur7.cd/index.php?option=com_content&view=article&id=43640%3Anord-kivum23–des-militaires-rebelles-contraints-de-se-battre-par-peur-detre-assassines-&catid=21%3Aobservateur
Nord-Kivu/M23 : Des militaires rebelles contraints de se battre par peur d’être assassinés
JEUDI, 14 MARS 2013 12:34
0 COMMENTAIRES
Alors que sur les champs de bataille, les deux groupes rivaux, déploient tout leur arsenal pour faire plier l’adversaire, dans les deux camps, la peur et la terreur prend de l’ampleur. A Kibumba, désormais quartier général du président Jean Marie Runiga, déchu par Sultani Makenga, 26 militaires rebelles ont été froidement abattus par le Général Ntaganda. Leur seul péché, vouloir fuir le rang de cette rébellion.
Que s’est-t-il passé ?
Lundi aux petites heures du matin, dans l’un des campements des rebelles Ntagandistes à Kibumba, un petit groupe de militaires se concertent en catimini. Ses jeunes rebelles, décident de prendre le large et d’abandonner la guerre sous commandement de Bosco Ntaganda, un officier recherché par la Cour Pénale Internationale. Malheur à eux, car quelques instants après, l’affaire s’ébruite. Mis au parfum, Bosco descend illico, ‘’Kalachnikov à la main, il rafale de sang froid et massacre mes collègues ‘’, a déclaré sous anonymat un soldat. Les corps des 26  victimes tombés sur le champ traînent d’abord par terre, pour servir d’exemple, affirme la même source.  Avant d’être mis en terre dans la soirée, dans une fosse commune, sur ordre du Général Ntaganda, très visible dans la zone.
Des sources administratives à Munigi, territoire de Nyiragongo, à une dizaine de kilomètres de Kibumba, rapportent qu’un ‘’ vent de terreur s’est bel et bien installé dans la cité de Kibumba et ses environs ‘’. Des commerçants qui font des navettes sur cet axe Goma-Butembo en passant par Kibumba, rapportent que  ‘’ la population agricole de Kibumba reconnue pour sa chaleur lors de la vente de ses produits vivriers aux passants, ne réserve plus la même ambiance d’accueil aux visiteurs de passage ‘’, preuve d’une peur bleue qui gagne cette population depuis l’arrivée, dans ce coin, de Bosco Ntaganda.
Des officiers rwandais toujours présents à Kibumba
Des soldats encore fidèles à Ntaganda attestent fièrement que « des officiers rwandais causent régulièrement avec Ntaganda au téléphone ». ‘’ Presque chaque jour, des officiers rwandais viennent discuter avec nos chefs, mais nous ne savons pas de quoi ils parlent ‘’, explique un officier rebelle originaire du terriotoire de Rutshuru. Et un autre soldat d’ajouter sous anonymat  ‘’ il arrive que des officiers RDF (Rwanda Defense Forces) partagent à manger et à boire avec Ntaganda, sans gêne ‘’. Bosco Ntaganda bénéficierait toujours du soutien du général James Kabarebe, ministre rwandais de la Défense au moment où Paul Kagame, président rwandais aurait déjà souscrit à l’Accord-cadre d’Addis-Abeba qui interdit aux Etats de la région, toute tentative de déstabilisation des voisins. C’est au nom de ce principe, a-t-on appris des autorités gouvernementales de la RDC, que l’armée congolaise qui venait d’investir certaines localités abandonnées par le M23 (Rutshuru, Kiwanja, Rubare,…), les a, par la suite abandonnées, après y avoir chassé les forces négatives (Fdlr et miliciens autochtones Mai Mai).
Ce massacre du 04 mars 2013 intervient au moment où, l’aile de Makenga qui a destitué Runiga, principal chef politique du M23 occasionnant des affrontements violents à Tchanzu entre les deux factions dissidentes, s’active à honorer les engagements des pays membres de la Cirgl à Addis-Abeba où un accord-cadre a été signé le 24 février 2013. Dans un communiqué officiel, Makenga a déclaré son intention de vouloir traquer Ntaganda, l’arrêter et le déférer devant la CPI qui le recherche pour des crimes commis notamment en Ituri et au Nord-Kivu. Le 04 septembre 2012, la CPI avait demandé à la République Démocratique du Congo d’arrêter Ntaganda et de le remettre à la cour. Cette juridiction demandait à cet effet à la RDC d’assurer la sécurité de l’incriminé jusqu’à sa livraison au greffe de la CPI. Le fugitif Bosco Ntaganda aurait pris l’option de se battre jusqu’à la dernière goutte de son sang, pour échapper à la justice internationale.
James Kabarebe protecteur de Ntaganda ?
Surnommé «Terminator», Ntaganda est visé depuis 2006 par un mandat d’arrêt de la CPI pour enrôlement d’enfants quand il était dans une milice au début des années 2000. Les membres de l’ancienne rébellion du Congrès national pour la défense du peuple (CNDP), dont l’ex-général Ntaganda était le chef d’état-major, avaient été intégrés dans l’armée en 2009 après un accord de paix avec Kinshasa. Mais ce haut-gradé, commanditaire du M23 « continue d’être impliqué dans des violations graves des droits humains, notamment des meurtres, des violences sexuelles, des actes de torture et toujours le recrutement d’enfants soldats «, estiment les organisations internationales, dont la FIDH, Human Rights Watch et Amnesty International. En 2012, plus de 140 organisations congolaises et internationales ont appelé les Etats-Unis à soutenir la RDC pour arrêter Bosco Ntaganda accusé de soutenir une mutinerie dans l’est congolais.
Le groupe d’experts de l’ONU sur la RDC a, à son tour, affirmé disposer de preuves du soutien de trois des plus hauts responsables rwandais de la Défense à la mutinerie congolaise du M23, qui opère dans le Nord-Kivu, province frontalière du Rwanda. Les noms du ministre de la Défense, James Kabarebe, de son directeur de cabinet, Charles Kayonga et du conseiller militaire du président Paul Kagamé, Jacques Nziza, ont été cités. James Kabarebe est « en contact permanent avec le M23 », avaient affirmé les experts, qui accusent l’armée rwandaise d’avoir pénétré en territoire congolais pour renforcer les positions des rebelles, d’avoir apporté un soutien logistique à ces derniers et d’avoir assuré à leur leader présumé, Bosco Ntaganda, un passage sûr au Rwanda. Le Rwanda a déjà été accusé par la Monusco et l’ONG Human Rights Watch de soutenir la mutinerie du M23, mais l’a démenti à plusieurs reprises. La mutinerie avait débuté avec les velléités d’arrestation par Kinshasa de Bosco Ntanganda, jusque-là général de l’armée congolaise, ancien membre de l’armée rwandaise, ancien leader de l’ex-rébellion du CNDP, et faisant l’objet d’un mandat de la CPI.
Les faucons du M23 épinglés par les experts des Nations Unies
Il s’agit de Sultani Makenga. En outre, le recrutement et l’utilisation d’enfants, des violations attribuées à Makenga comprennent son implication dans le massacre de Kiwanja du 4 au 5 novembre 2008, lorsque les troupes du CNDP avaient exécuté au moins 67 civils – principalement des jeunes garçons de Kiwanja, au Nord-Kivu, et le massacre de Muramba /Nord-Kivu de mars 2007 où les troupes des FARDC (ex-Brigade Bravo) avaient exécuté au moins 14 civils Hutu et Nande. Le colonel Baudouin Ngaruye est lui aussi impliqué dans les exactions et les exécutions perpétrées contre les civils. En outre, mis à part le recrutement et l’utilisation des enfants, il est accusé de violation des droits humains dont le massacre de Shalio/Nord-Kivu du 27 au 30 avril 2009, lorsque les FARDC ( dominés fortement par des militaires ex-CNDP) avaient massacré au moins 139 réfugiés hutus, FDLR et leurs dépendants. Parmi les victimes, il y avait au moins 40 femmes, dont la plupart avaient été violées et mutilées.
Le colonel Innocent..
[16:19:51] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao:  La RDC une nouvelle fois au dernier rang de l’indice de développement humain du PNUD

KINSHASA – La République démocratique du Congo (RDC) arrive une nouvelle fois au 186e et dernier rang -avec le Niger- du classement de l’indice de développement humain publié chaque année par le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), malgré quelques améliorations.

Selon le PNUD, qui a confié à l’Université d’Oxford son étude locale sur la pauvreté, 87,7% de la population vivant en RDC est en dessous du seuil de pauvreté, fixé à 1,25 dollar par jour.

Près des trois quarts des 68 millions de Congolais (74%) vivent en dessous du seuil de pauvreté multidimensionnel qui tient compte de l’accès aux soins, de la santé et de l’alimentation.

Les améliorations sont pourtant marquantes, a expliqué à l’AFP Florence Marchal, chargée de communication pour le PNUD.

Entre 2000 et 2012, l’espérance de vie est passée de 45,7 ans à 48,7 ans, la durée moyenne de scolarisation de 4,4 ans à 8,5 ans et le revenu par habitant a crû de 34,6%, passant de 237 à 319 dollars par habitant et par an.

La méthode statistique utilisée –abandonnée par les autres pays– semble en fait avoir nui à son classement, explique-t-on au PNUD.

Lors du dernier classement du même genre effectué en 2011, la RDC était également dernière.

La Norvège, l’Australie et les Etats-unis d’Amérique se classent aux premières places de cet indice qui prend en compte notamment l’espérance de vie à la naissance, la durée moyenne de scolarisation et le niveau de vie par habitant.

La France est 20e de ce classement qui n’inclut pas tous les pays, certains ayant refusé de communiquer leurs statistiques, comme la Principauté de Monaco, et d’autres n’ayant pu le faire, comme la Somalie.

(©AFP / 15 mars 2013 16h10)
[16:23:27] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: C’est pour cela que je ne comprends pas encore pourquoi la diaspora ne peux pas expliquer à nos frères de l’intérieur que la solution aux problèmes congolais c’est le Projet 2014 ?
[16:23:44 | Modifié (16:25:07)] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Comment pourrait-il en être autrement ?
Sans rencontre des politiciens congolais aux mains propres autour d’une table de travail, comment le Congo pourra-t-il s’en sortire ?
[16:24:01] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: C’est confirmé par le PNUD : IDH 2013, la RDC 186me sur 186 Etats

Le PNUD (Programme des Nations Unies pour le Développement) a confirmé
hier jeudi 14 mars le classement de l’Indice de Développement Humain
2013, dont Le Phare s’est fait l’écho dans son édition du mercredi 13
mars 2013. Comme signalé dans nos colonnes, la République Démocratique
du Congo occupe effectivement, pour la deuxième consécutive, la
dernière place, soit 186me sur 186 pays, au même titre que le Niger.
Il convient de signaler que les statistiques rendues publiques par cet
organisme du système des Nations-Unies découlent de ‘l’observation de
plusieurs paramètres, notamment l’Education, l’Intégration Sociale,
les Flux commerciaux internationaux des biens et services,
l’Innovation et la Technologie, l’Environnement, l’Evolution de la
population.
A l’analyste de différents tableaux dressés à la lumière des
paramètres sociaux ayant un impact direct sur le développement humain,
il appert que la RDC et le Niger se partagent jalousement la dernière
place de la classe. La situation inquiète et étonne à la fois, dans la
mesure où, à la différence de nombreux Etats d’Afrique et d’ailleurs,
le Congo démocratique réunit le potentiel humain, économique,
géologique, énergétique, écologique,… pour s’imposer comme un pays
émergent, à défaut d’être une puissance économique et industrielle.
Paradoxalement, en dépit de ses scandaleuses ressources naturelles,
notre pays accuse un indice de développement humain le plus faible de
la planète. En d’autres termes, en 2012 comme en 2013, la RDC affiche
les statistiques les plus faibles en matières d’éducation, de santé,
d’intégration sociale, d’échanges des biens et services avec
l’extérieur, de production agricole et industrielle, d’innovations
techniques et technologiques, de protection de l’environnement, de
contrôle de la population.
Les Congolais non surpris
Pour le commun des Congolais, il ne s’agit vraiment pas d’une
surprise de voir leur pays se retrouver, pendant deux années
successives, au bas de l’échelle du développement humain au plan
mondial. Lorsque l’on jette un regard sur les dysfonctionnements du
système éducatif national, avec des structures d’accueil non-conformes
aux besoins de l’enfant congolais pour la formation pré-scolaire,
scolaire et universitaire, la clochardisation des enseignants, le
monnayage des cotes scolaires et académiques, le manque de manuels, de
matériels didactiques, de laboratoires et de bibliothèque, l’on ne
peut que s’incliner devant le verdict du Pnud.
   Dans un pays où il n’existe pas de politique de logements sociaux, où
les soins de santé primaires se limitent aux slogans, où les
médicaments se vendent dans la rue comme des cacahuètes, où les gens
meurent dans leurs maisons par manque de moyens, où les charlatans et
les tradipraticiens sont devenus les maîtres du domaine sanitaire,
l’on peut qu’aligner des taux de mortalité les plus élevés de la
planète. Dépotoir alimentaire et pharmaceutique, la RDC a mauvaise
réputation au plan de la qualité des biens de consommation courante.
En matière de démographie, les Congolais ignorent le nombre exact de
citoyens qu’héberge leur pays, car le dernier recensement
administratif remonte à 1984. Depuis lors, chaque gouvernement en
place livre des statistiques des populations sans fondement
administratif ou scientifique. L’on parle aujourd’hui de plus de 70
millions d’habitants en RDC sans que personne ne soit en mesure de le
démontrer scientifiquement ou administrativement. Plusieurs
générations de Congolais vivent aujourd’hui sans cartes d’identités.
Dans un environnement social où le taux de chômage des personnes de
tous les âges dépasse les 80%, où la plupart de ménages ont du mal à
assurer à leurs membres l’unique repas quotidien, occuper le dernier
rang mondial comme pays pauvre rentre dans l’ordre normal des choses.
En matière d’infrastructures de base, tout le monde constate qu’en
dehors de quelques routes reliant Kinshasa au Bas-Congo et au
Bandundu, les autres provinces du pays sont enclavées. Les rares
routes inter-provinciales réhabilitées entre 2006 et 2011 sont
redevenues impraticables.
   Les compatriotes du Congo profond continuent
d’attendre, depuis des décennies, les liaisons routières et
ferroviaires entre le Bandundu et l’Equateur, les deux Kasai, le
Katanga, le Maniema, l’Equateur et la Province Orientale, etc.
Le fleuve Congo et ses affluents, qui auraient dû être transformés en
«autoroutes» naturelles, n’en finissent pas d’endeuiller le pays avec
des naufrages à répétition, en raison du déficit de dragage et de
balisage de leurs cours, mais aussi de la présence de «cercueils»
flottants.

Les liaisons aériennes offrent les mêmes spectacles de «fula-fula»
aériens et d’aéroports d’une autre époque.

L’industrialisation du pays s’est arrêtée voici des décennies, au
point que le pays importe l’essentiel de ses produits alimentaires et
manufacturés. L’agriculture, décrétée priorité des priorités dans les
discours, reste l’affaire d’une poignée de paysans et fermiers qui
pratiquent des cultures de subsistance, dont les faibles quantités
moisissent dans les greniers, faute de moyens d’évacuation.
Le pouvoir d’achat du Congolais est quasiment nul, mais ce dernier
réussit, au quotidien, l’exploit de survivre avec moins d’un dollar de
revenu.

La pollution de l’environnement n’a pratiquement pas de parade. Les
essences forestières congolaises sont pillées sans vergogne. La RDC,
pointée comme l’espoir du monde pour la régulation des climats et de
l’écho système, risque de ne pas tenir ses engagements, à longue
échéance.

Au lieu d’innover aux plans techniques et technologiques, les
Congolais s’offrent comme les meilleurs consommateurs des technologies
importées. La recherche scientifique bat de l’aile, et son abandon
par les pouvoirs publics fait fuir les cerveaux chaque année.
Le classement 2013 du développement humain a pris curieusement en
compte, un paramètre comme celui d’Etat fort, dynamique et
responsable, où la bonne gouvernance permet la pleine exploitation des
ressources naturelles et autres, la création des richesses et leur
distribution, de manière équitable au plus grand nombre. La réduction
sensible des inégalités sociales constitue un des critères
d’appréciation du développement. Hélas, tout cela fait malheureusement
défaut en territoire congolais.

En un mot comme en cent, le Congo démocratique mérite amplement les
mauvaises notes lui décernées par le PNUD ces deux dernières années.
Ceux qui diffusent des chiffres mirobolants sur le taux de croissance,
le taux d’inflation, le taux de desserte en eau et électricité, le
taux d’accès aux soins de santé primaire, le taux de scolarisation,
l’amélioration du climat des affaires, la lutte contre la pauvreté,
les infrastructures de base, la modernisation de l’agriculture
devraient expliquer aux Congolaises et Congolais la descente aux
enfers attestée par les experts du Pnud.

Le chômage à Goma : notre enquête préliminaire…


Il nous parvient que 92% de personnes valides et en âge de travailler, à Goma, soient au chômage…  Quel drame pour cette ville qui devrait faire la fièreté de la RDC ?  Pendant de ce temps, nous apprenons ce matine, qu’en France, le chômage vienne de grimper à 10,5% de la population en état de travailler.

Ci-après, merci de trouver les résultats d’une enquête préliminaire sur le chômage, dans le cadre de notre projet Coopératives, clôturée hier et menée avec dévouement par notre collaborateur local, Monsieur Anselme Nguru Wasingya .

Une bonne lecture de ce tableau permet de comprendre beaucoup sur le chômage chez les 60 personnes consultées.  Vous remarquerez par exemple les nombre de personnes qui pensent que le travail soit caché !  Notez aussi le nombre de personnes empêchés de travailler par une maladie mentale !  Noter également la contradiction entre la ligne (1.) et (2.) qui traduit probablement la non maîtrise du français par les participants à l’enquête ou tout simplement une contradiction interne dans le chef de ces personnes…  Notons la quasi totalité des participant à cette enquête est D6, G3 ou L2 !

Dans un projet tableau, nous publierons la répartition par niveau d’étude et par spécialité des 60 “chômeurs”.  Notez que pour nous, les handicapés ne sont pas des “chômeurs”…

Tableau 1 : Enquête préliminaire sur le chômage dans la ville de Goma

La colonne Numéro reprend les questions auxquelles il fallait répondre par Oui ou Non !

La colonne Oui reprend les nombres de Oui récoltés tandis que la colonne Non reprend les nombres de Non récoltés.

Total est une colonne de vérification = Oui+Non = nombre de chômeurs consultés dans Goma.

Numéro

Oui

Non

Total

Nom

     

Post-nom

     

Prénom

     

Date de naissance

     

Qualification (ce que j’aime faire et sais faire)

     

Au chômage depuis

     

Je suis au chômage parce que :

     

1.    Je ne veux pas travailler

0

60

60

1.1. Par paresse

0

60

60

1.2. Pour une autre raison

4

56

60

1.3.   Autre.

6

54

60

2.    Je veux travailler, mais

57

3

60

2.1. Je suis empêché de travailler

3

57

60

2.1.1.    Par la maladie

2

58

60

2.1.2.    Par un handicap physique

1

59

60

2.1.2.    Par un handicap mental

7

53

60

2.1.3.    Par les d’études

20

40

60

2.1.4.    Par le manque de moyens nécessaires pour en chercher

46

14

60

2.1.5.    Par le manque de relations, de pistons

34

26

60

2.1.6.    Par les mauvaises conditions de travail

22

38

60

2.1.7.    Autre

21

39

60

2.2. Je ne trouve pas de travail

42

18

60

2.2.1.    Le travail fait défaut

7

53

60

2.2.2.    Le travail est caché

40

20

60

2.2.3.    Autre

17

43

60

2.3. Je trouve du travail mais (le chômage est préférable)

11

49

60

2.3.1.    Le salaire est tout le temps prohibitif

13

47

60

2.3.2.    Les conditions de travail sont tout le temps mauvaises

35

25

60

2.3.3.    Le travail ne correspond pas à ma qualification, à chaque coup

17

43

60

2.3.4.    J’échoue toujours aux tests d’embauche

12

48

60

2.3.5.    Autre

17

43

60

3.    Je ne songe pas à travailler

3

57

60

3.1. Je n’y ai jamais pensé

0

60

60

3.2. On ne m’a jamais parlé du travail

3

57

60

3.3. Je n’en vois pas l’intérêt

5

55

60

3.4. Je n’ai pas besoin du travail

2

58

60

3.5.   Autre

12

48

60

4.    Autre…

28

32

60

4.1. Spécifier :

28

32

60

4.2. Spécifier :

32

28

60

4.3. Autre

29

31

60

Western Union : de 10 à 5 dollars…


La seule réunion organisée par les « combattants » et « résistants » congolais de Bruxelles a suffit à baisser le coût du transfert de 100 $ de Bruxelles à Beni de 10 $ à 4,80$.  C’est une hypothèse de travail à vérifier.  Nous pouvons en conclure que beaucoup de résultats pourraient s’obtenir par une lutte démocratique de plus grande envergure.

En effet, le 5 février dernier, les combattants et résistants de Bruxelles ne sont pas descendus dans la rue.  Ils ont réunis les congolais autour d’une table, démocratiquement, dans la commune d’Ixelles.  Le but était d’examiner, ensemble, comment nous pourrions agir sur ceux qui maintiennent l’imposture de Joseph Hyppolite Kanambe au pouvoir.  Cela contre la volonté des congolais qui reclame encore timidement “la vérité des urnes”.

Or, voici bientôt 14 ans que nous sommes en train d’inviter les congolais à s’asseoir autour d’une table.  Ce concerter pour examiner quoi faire de notre Congo et comment le  comment tenir le taureau par ses cornes avant de le renverser par terre.  Personne ou presque n’a répondu jusqu’à présent.  Les récents articles de ce blog montrent clairement comment les ennemis de la RDC en profite pour tenter de nous décimer et de nous voler davantage.

Si cette hypothèse de travail s’avère correspondre à la réalité, il faudra en conclure que les résolution du forum susindiqués entreneront des grands changements très bientôt dans l’espace économique international.  Il aura suffit d’y penser ; mais cela ne suffit pas.

Nous sommes en effet le 1er mars et les consignes clairs entendus ne sont pas encore là.  Pendant ce temps, comme l’indique nos livraisons ci-dessous, des congolais et étrangers meurent sur notre territoire arbitrairement.  Nous disons que cela est inacceptable.  Notre peuple doit se lever pour prendre en main la direction de notre destinée.  Nous nous sommes proposés.  A une condition : la rédaction en ligne et le test sur terrain, d’un projet de société qui soit le plus démocratique que la RDC ait jamais connu.  Rappelons-le, deux personnes seulement ont tenté une participation…

Que voulons nous faire du Congo que Lumumba et plusieurs autres congolais ont payé du prix de leur sang ?

La division du Kivu était-elle nécessaire ?


Le Nord-Kivu est le théatre  de “guerres” atroces depuis les années 90.  Beaucoup de rebelles trouvent dans cette province le champ de bataille.  D’aucuns recherchent les explications à ce phénomène.  Quelques congolais et étrangers ont tenter des explications.  Peu d’enquêteurs consultent les populations locales pour connaître leurs perceptions, leurs explications des guerres qui se succèdent dans la région.  En revanche, beaucoup d’entre eux ont fait parler les rebelles et quelques personnalités en vue dans la sphère politique congolaise et internationale.  Leurs réponses, pour la plupart ne convainquent pas : les prédictions sont visiblement faussées et les prédictions sur l’avenir sécuritaire de la région sont fausses.

Le congolais lui-même, le kivutien en particulier devrait prendre en main la restitution correcte de l’histoire des Kivu.  L’âme kivutienne a besoin d’être entendue pour mieux saisir les besoins, problèmes et motivations locales et les mettre en rapport avec les motivations et objectifs du monde extérieur qui influence le cours de évènements dans la région.

Commençant par une série de questions basiques, nous pensons pouvoir contribuer et faire participer les deux Kivu de manière à dissiper les illusions dans lesquelles vivent beaucoup de congolais mal instruit de l’âme kivutienne, de ses rêves véritables.  Il ne s’agit pas pour nous d’apporter une nouvelle ni prioritairement ni nécessairement, mais il s’agit plutôt d’analyser celle qui est déjà disponible, pour dégager les pistes d’une solution durable et robuste aux conflits qui ont lieu dans la région.  Il faut combler en même temps les lacunes informationnelles, corriger les erreurs, enrichir la connaissance par d’autres informations déductibles de celles dont nous disposons déjà.

Quand est-ce que le Kivu fut-il divisé en Nord-Kivu, Sud-Kivu et Maniema ?

Qui opéra cette division ?

Pourquoi opéra-t-on cette division de la province ?

Que pensent les anciens kivutiens de cette division ?

Que pense les congolais non-kivutiens de cette division du Kivu ?

Quelles leçons pouvons-nous tirer de cette division ?

Quelle application pouvons-nous en faire des divisions en attentes ?

Quelle politique salariale ?


Projet 2014

Pour nous, la politique salariale doit nous proposer comment réduire la tentions salariale (salaire maximal/salaire minimal)  jusqu’à 4 ; et, comment valoriser le salaire minimum : l’amener à dépasser le minimum vital que nous estimons préliminairement à 1250 $) !

Cette façon de faire est notre manière de traduire notre volonté politique de rompre avec l’injustice et la dépendance.

Une campagne est en route au Projet 2014 pour investir les spécialistes dans l’étude d’une proposition consistante et robuste de la manière de tendre vers ces ambitieux et orginaux objectifs, en espérant que le peuple congolais les acceptent, bien entendu !

******************************************************************************************************

De : congocitizen@yahoogroups.ca [mailto:congocitizen@yahoogroups.ca] De la part de tryphon mabanza
Envoyé : samedi 17 novembre 2012 11:20
À : hinterland1; congocitizen@yahoogroups.ca; CONGORESISTANCE; cri des opprimés
Cc : gouvernement.fr; secr.leterme@skynet.be; info@foundationolangiwosho.net; info@premier.fed.be; Henriette WAMU; zacharie bababasue; kudurakasongo@yahoo.fr; Justine Kasavubu; Ciakudia; JTL; Euphrasie atitung; Nadine mena; nadege966@hotmail.com; melanie nkanku; Yvonne; yvonne ngalula; gertrude kavilako; Maggie B; nkzadio@yahoo.fr; elimananga2
Objet : [congocitizen] CE QUE DOIT ETRE LE SALAIRE DE « KABILA JOSEPH »

Chers fameux députés et politiciens Congolais abstenez-vous de la politique bourgeoise et du ventre. Abandonnez l’autosatisafication et placez l’égalité dans un juste équilibre avec la solidarité. Je connais des enseignants plus intelligents que plus d’un des somnambules et reveurs  députés et « président Congolais ». Ils travaillent pour éduquer les masses et écrire aussi l’histoire du Congo malheureusement ces éminants enseignants ne gagnent que pour leurs salaires moins de $100.00 pendant que les opportunistes députés Congolais exigent le double ou triple de $4.250 comme salaire mensuel.

La meilleure des choses d’ observer c’est de réduire le salaire de :

1. « Joseph KABILA » à $4.999(c’est trop d’ailleurs pour un chef d’état usurpateur du pouvoir et ennemi de son peuple).

2. Ministres Congolais à $4000( un salaire qui d’ailleurs de manière officieuse augmente à cause de la corruption qui est une seconde nature des ministres Congolais) Kiekeiekeiekeie

3.Professeurs des Universités, Médecins, Députés et Sénateurs à $3.000(c’est d’ailleurs trop pour des députés Congolais marionnettes qui somnolent sans cesse pendant les séances plenières).

4. Infirmiers, gouverneurs des provinces et autres cadres et éducateurs à $2000

5.Officiers militaires  à $1.500

6.Enseignant des écoles primaires $ à 1000.

Pour jouir de vos salaires et les trouver consistants, fameux députés et politiciens Congolais au pouvoir, cherchez surtout à maintenir la justice et  l’équilibre sociaux. Veuillez à la stabilité des prix des denrées alimentaires et autres produits sur le marché…L’état Congolais doit être le premier investisseur et opérateur économique efficace pour le Congo avec une force sans merci d’influence sur les autres opérateurs et investisseurs étrangers.

Augmentez vos salaires, chers députés et politiciens Congolais du ventre, c’est une manière de ne combattre que les symptômes de vos misères et non ses causes fondamentales. Ces dernières sont les mêmes pour l’ensemble du peuple Congolais. « Kabila Joseph » mérite-t-il plus de $40.000 mensuel que les présidents des pays riches que la Rd Congo comme la France, Angleterre, Allemagne…?

Tenez compte de la justice sociale qui conseille d’ abandonner l’autosatisfaction et d’agir avec humilité. C’est ça même la boussole pour toute politique responsable.

Le Congo n’est pas la propriété privée des députés et politiciens Congolais comme le MPR de Mobutu (heureuse mémoire) l’a considéré et les mêmes habitudes continuent jusqu’au temps d’aujourd’hui. Faites jouir à tous les congolais les fruits des inombrables richesses naturelles que regorge leur pays.

Le terme naturel signifie, ce qui existe et fonctionne sans l’intervention de l’homme. Ce ne sont pas les Mobutistes ni les Kabilistes ni même les députés et policticiens Congolais qui font exister les richesses de la RdCongo. Pourquoi alors devraient ils seuls en jouir à travers leurs salaires colossaux?

Reduisez vos salaires députés et politiciens Congolais du ventre. Utilisez ces excedents par exemple en instaurant le transport  en commun efficace et moderne afin de faciliter l’évacuation des produits agro-pastoraux d’un endroit à l’autre, de permettre aussi le déplacement sans douleurs et tracasseries des paisibles citoyens : Mobutu a reussi dans ce domaine,mais seulement pour un bref temps.

« En mourrant nous n’emportons aucun bien matériel avec nous »

Tryphon MABANZA

Matata Ponyo Mapon a en réalité peur !


Notre réaction à chaud est entrelacée.

De quoi Matata Ponyo Mapon a-t-il en réalité peur ?


De : congocitizen@yahoogroups.ca [mailto:congocitizen@yahoogroups.ca] De la part de Paly wondo
Envoyé : mardi 6 novembre 2012 18:50
À : lecridesopprimes@yahoogroupes.fr; congovirtuel@yahoogroupes.fr; congo@yahoogroupes.fr; Elite Congo; hinterland1-owner@yahoogroupes.fr; apareco@yahoogroupes.fr; LEPOLITIQUECONGORDC; Grarc Rdc; Owandji Lambert Opula; congo citizen
Cc : yramazani@yahoo.fr; echossondage@yahoo.fr; Yves Kongolo
Objet : [congocitizen] Re: Matata Ponyo s’engage à redorer le social des militaires et des policiers

Angola : le parlement  avait adopté un budget de 45 milliards USD pour l’an 2012

(6 fois plus que le budget 2013 de la RDC =7,5 millards USD = budget de la défense de la Rép. Sud Africaine)

LUANDA (Xinhua). Il y a un an, L’Assemblée nationale angolaise a approuvé jeudi le budget pour 2012 qui s’élève à 4,5 billions de kwanzas angolais (45 milliards USD).

Vendredi 9 décembre 2011 | 04:42 UTC

Le secteur social représente 33,3% du budget, constituant la part du lion dans les dépenses, alors que 19,15% seront consacrés au paiement des dettes, 19,2% à l’administration, 15,4% à la défense et à la sécurité, 10,1% à l’économie. Le budget se base sur un taux de croissance élevé, soit 12,8%, contre 3,4% en 2011, avec un taux d’inflation de 10%.

Selon les chiffres  du «Military Balance 2011» de l’IISS:

  • Le budget alloué à la défense en RDC est passé de 197 millions de dollars américains en 2010 à 222 millions de dollars en 2011.
  • L’Angola, avec une superficie de 1. 246 700 m2 (soit environ la moitié de la RDC) et une population de 18. 931 487 hab (soit  environ 4 fois moins que la RDC), alloue un budget militaire de 3,68 milliards de dollars en 2011, soit presque la moitié du budget « Matata 2012 » et 17 fois le budget militaire de la RDC.

———————————————————————————————————————————–

Projet 2014

< Nous estimons que les congolais sont des hommes comme les autres. De ce fait, partant d’une moyenne de 6 personnes par ménages, nous proposons aux congolais de viser un budget annuel qui représente un strict minimum de 2500 $ par mois et par ménage.

Avec nos 73 millions d’habitants, il faut donc travailler à réaliser un budget d’au moins 365 milliards de dollars par an d’ici 2066, selon nos proposition dans le cadre du Projet 2014 (http://www.paluku.net/2014 et https://projet2014.wordpress.com). Insistons sur le fait que pour nous l’objectif ultime n’est pas 2500$/ménage/mois, mais bien 2,6 fois plus. Le budget à viser n’est donc pas 365 milliards à vrai dire : il nous faut plutôt 949 milliards ! Nous expliquerons en son temps le facteur 2,6 aux congolais quand ils nous aurons accordé leur confiance pour l’amorce d’un envol vers les 365 milliards.

Notre confrère Matata Ponyo Mapon sait que cela est possible : mais pas avec le régime qu’il sert. Nous en concluons qu’il trahit sciemment : ce qui représente une circonstance aggravante, au regard du diplôme que le pays l’a aidé à décrocher. Le peuple congolais, au temps convenable, s’en souviendra.

S’il promet à l’armée des miettes c’est qu’il a appris que nous demandons à chaque ménage congolais de mettre 3,5 dollars par mois dans une cagnotte pour que nous organisions et garantissions, nous, congolais de l’opposition en exil, à chaque militaire et policier 200 $/mois, monnaie sonnante et trébuchante (https://projet2014.wordpress.com/2012/08/25/soldats-congolais-motivs/). Dans ces conditions là, Matata Ponyo Mapon sait ce qui se passera ; et il craint, il prend peur ! La question est : jusque à quand craindront-ils, lui, son patron et ses poulains ? >

———————————————————————————————————————————–

La suite dans l’ouvrage à paraître prochainement:

LES ARMEES AU CONGO : DE LA FORCE PUBLIQUE AUX FARDC

Radioscopie – Enjeux et défis de la refondation d’une Armée Nationale et Républicaine

Si tu ne maîtrises pas l’armée, c’est l’armée qui te maîtrisera. (Jenny Ros)

L’état social et politique d’une nation est toujours en rapport avec la nature et la composition de ses armées.

(Fustel de Coulanges)

Auteur: Jean-Jacques WONDO OMANYUNDU

Matata Ponyo s’engage à redorer le social des militaires et des policiers

Le Premier ministre Matata Ponyo a présenté ce lundi 5 novembre le budget 2013 à l’Assemblée nationale. Il a promis qu’au cours de cet exercice budgétaire, son gouvernement allait combattre les inégalités salariales notamment en faveur des militaires et des policiers. 

« Devant les inégalités salariales  constatées, le gouvernement vient d’entamer une série de mesures pour rationaliser progressivement les rémunérations publiques. Ainsi au cours de l’exercice 2013, le gouvernement se propose de réduire le train de vie des instituions politiques en vue d’opérer une redistribution notamment en faveur de la solde des militaires et des policiers », a déclaré Matata Ponyo.

Le Premier ministre a également proposé de mettre en place la caisse de pension « en vue d’apurer progressivement les arriérés de pension que l’Etat a accumulés et de redorer l’image des personnes qui ont rendu des bons et loyaux services à l’Etat et à la nation congolaise ».

Le budget 2013 est évalué à environ 7,5 milliards de dollars américains alors que celui de 2012 était de 7 milliards de dollars américains.

Les recettes présentées dans ce budget sont en augmentation de 1,3 % par rapport à celles de l’année précédente. Elles proviennent essentiellement de la douane, des impôts, de l’exportation des produits pétroliers et des recettes non fiscales. A cela s’ajoutent les recettes de financement des investissements.

D’autres recettes proviennent des budgets annexes. Il s’agit de recettes propres des universités et instituts supérieurs ainsi que celles des hôpitaux généraux de référence.

Les dernières recettes sont celles des comptes spéciaux.  Elles proviennent des prélèvements obligatoires effectués par différents fonds, offices et entreprises.

(Avec Radio Okapi)

De : Yves Kongolo <ykongolo@yahoo.fr>
À : « lecridesopprimes@yahoogroupes.fr » <lecridesopprimes@yahoogroupes.fr>
Envoyé le : Mardi 6 novembre 2012 10h29
Objet : Re: [lecridesopprimes] Matata Ponyo s’engage à redorer le social des militaires et des policiers

RDC : un budget contre la loi des finances

Au niveau de l’État le principe d’équilibre est obligatoire. Il s’agit d’un équilibre qui s’inscrit dans la loi de finances. Pour assurer le respect de l’équilibre budgétaire il faut une procédure spéciale dite de contrôle budgétaire. Mais la Majorité au pouvoir refuse à ce qu’on s’exerce à ce devoir constitutionnel.

Pour l’honorable Martin Fayulu « il y a une masse énorme qui échappe au trésor public, passe en dehors du budget, des recettes additionnelles non budgétisées ». L’émergence a un coût, on émerge pas en reculant. On ne peut pas prétendre avoir un taux de croissance de 8% et de l’autre coté, présenter un budget avec quelques francs de moins par rapport au budget précédent. Cette croissance c’est pour J. Kabila et ses acolytes ? Il ne faut jamais espérer sortir du gouffre avec un budget pareil. Le pire, ce budget viole les textes réglementaires, la constitution. Nous avons un budget contre la loi des finances, qui ne respecte pas le principe de l’équilibre budgétaire et c’est grave pour une république qui veut être émergente. Il y a des rubriques qui n’apparaissent jamais dans les recettes, toutes les recettes ne sont pas déclarées, une volonté manifeste de tromper et voler le Peuple congolais. En plus, le taux d’exécution est faible, il y a un sérieux problème d’exécution du budget. Raison pour la quelle, nous demandons la réédition des comptes et le compte clos ici est celui de 2011.

Une véritable mafia à la sicilienne s’est organisée  au sommet de l’Etat, dans le gouvernement et toutes les institutions étatiques. Le gouvernement ne tient jamais parole. Le social, les fonctionnaires, les militaires ne sont pas pris en compte. Où est passée la manne de la TVA ? Les recettes des minerais ? Les reliquats des enseignants, militaires… ?

La corruption s’est érigée en mode de gestion et fait échapper au trésor public, une affaire de 18 milliards de francs par an. « Dans un autre pays, ces milliards suffiraient peut être à faire fonctionner l’Etat, payer les fonctionnaires, équiper nos militaires. Pas en RDC. Bon dernier au classement de Transparency Internationnal sur la corruption, la RDC est le pays  de tous les trafics. Il y a des malversations financières dans les douanes, les impôts et au niveau des services administratifs des recettes » ajoute Fayulu. On veut tromper les congolais, ce budget est en réalité un ticket pour « la révolution de la mortalité ».

L’argent du trésor public, c’est pour construire des châteaux dans les quartiers de Kinshasa. Aujourd’hui, nous produisons plus de 100 mille tonnes de cuivre par an, nous enregistrons une augmentation dans le secteur des hydrocarbures…où va tout cet argent ? En principe, on aurait dû avoir une performance évolutive du budget. Les excédents financiers devraient consolider les finances publiques, renforcer la situation monétaire et améliorer notre position dans l’échiquier mondial. Selon les experts, les recettes du pays s’élèveraient à plus de 10 milliards de francs. L’exercice budgétaire devrait se solder par un excédent, mais le budget de Matata le surdoué se solde par un déficit malgré les efforts consentis par le peuple dans le programme du point d’achèvement.

On parle d’un pays émergent, mais on présente un budget contre l’émergence.

Yves Kongolo

De : Pascal Debré MPOKO <pdmpoko@yahoo.fr>
À : « echossondage@yahoo.fr » <echossondage@yahoo.fr>
Cc : BSC <congovirtuel@yahoogroupes.fr>; socv sud kivu <societecivilesk@gmail.com>
Envoyé le : Mardi 6 novembre 2012 10h16
Objet : [lecridesopprimes] Matata Ponyo s’engage à redorer le social des militaires et des policiers

Matata Ponyo s’engage à redorer le social des militaires et des policiers

Le Premier ministre Matata Ponyo a présenté ce lundi 5 novembre le budget 2013 à l’Assemblée nationale. Il a promis qu’au cours de cet exercice budgétaire, son gouvernement allait combattre les inégalités salariales notamment en faveur des militaires et des policiers. 

« Devant les inégalités salariales  constatées, le gouvernement vient d’entamer une série de mesures pour rationaliser progressivement les rémunérations publiques. Ainsi au cours de l’exercice 2013, le gouvernement se propose de réduire le train de vie des instituions politiques en vue d’opérer une redistribution notamment en faveur de la solde des militaires et des policiers », a déclaré Matata Ponyo.

Le Premier ministre a également proposé de mettre en place la caisse de pension « en vue d’apurer progressivement les arriérés de pension que l’Etat a accumulés et de redorer l’image des personnes qui ont rendu des bons et loyaux services à l’Etat et à la nation congolaise ».

Le budget 2013 est évalué à environ 7,5 milliards de dollars américains alors que celui de 2012 était de 7 milliards de dollars américains.

Les recettes présentées dans ce budget sont en augmentation de 1,3 % par rapport à celles de l’année précédente. Elles proviennent essentiellement de la douane, des impôts, de l’exportation des produits pétroliers et des recettes non fiscales. A cela s’ajoutent les recettes de financement des investissements.

D’autres recettes proviennent des budgets annexes. Il s’agit de recettes propres des universités et instituts supérieurs ainsi que celles des hôpitaux généraux de référence.

Les dernières recettes sont celles des comptes spéciaux.  Elles proviennent des prélèvements obligatoires effectués par différents fonds, offices et entreprises.

(Avec Radio Okapi)

Uvira, dans le Sud-Kivu.


L’Uvira n’est pas en reste.  Le désordre règne en maître.  Le gouvernement ne maîtrise rien.  L’opposition ne se prépare pas à maîtriser quelque chose.

Seul, le Projet 2014 invite à travail de fond pour pondre un projet de société qui soit le plus complet et le plus démocratique que la RDC ait jamais eu d’ici fin 2014 !  Le congolais ne réagit pas encore…

Qu’est-ce qui émouvra mon peuple ?  La balkanisation ou l’indépendance des peuples ?

———————————————————————————————————————————-

Mr.Mlle,

Voice quelques preuves sur les infiltrations a partir du Burundi? Un major de l’armees Burundaise a ete abbatu recement dans la plaine de la Rushiji (Ruzizi) Uvira, que fut la reaction du gouvernement Joka? Mende quant a lui, il a tous nier, mais le Burundi a pour ca part admis que son officer de renseignement militaire a trouve la mort dans cette plaine de la ruzizi. les militaires tusti se trouvant au Sud kivu sont des Rwandais …quoi d’autres? Si tu pouvais contacter vos agents del’insecurite (securite) a Uvira, alors tu aura d’autres infos.

Si non, peut tu nous dire pourquoi la population d’Uvira et de Kiliba exige le depart de tous les FARDC en place?

Huruma K. Nashimbi

Uvira/Sud-Kivu : Sécurité

Ville morte à Uvira : 4 civils blessés et un élément des FARDC tabassé

 

 

25 octobre 2012-LDGL

Toutes les activités ont été paralysées dans la cité d’Uvira en territoire d’Uvira, province du Sud-kivu le 23.10.2012 dans la matinée suite à l’appel à une ville morte lancée par la société civile ensemble avec la Fédération des Entreprises du Congo (FEC)/section d’Uvira.

A travers cette action, non seulement celles-ci ont manifesté leur mécontentement face à l’insécurité grandissante caractérisée par les tueries, les enlèvements et autres exactions commises sur les populations dans la cité d’Uvira et dont se rendraient coupables certains éléments des FARDC, mais aussi elles veulent le départ de certains membres du Conseil de sécurité d’Uvira. Ces derniers sont accusés de dormir sur leurs lauriers devant le regain d’insécurité qui sévit dans le territoire d’Uvira.

Autant des mesures sécuritaires avaient été prises par ce dit conseil mais restées lettre morte, autant ses membres ne maîtrisent par les rouages de la situation sécuritaire de cette partie du pays car non autochtones du milieu, renchérit la société civile. Le dernier cas d’insécurité en lisse est l’enlèvement de 5 personnes au quartier Kasenga, en territoire d’Uvira par les présumés FNL du Burundi et emportées dans les collines surplombant ce territoire. Elles ont été libérées deux jours après, renseignent nos informateurs.

Visiblement les agents de l’ordre, militaires et policiers, étaient postés dans des endroits jugés stratégiques de la cité d’Uvira pour tenter de la sécuriser pendant cette journée contre des actes de vandalisme. Ceux-ci étaient visibles dans des coins comme le rond point Kanvinvira, la station GENKI, le pont Mulongwe, dans l’avenue Uvira, le pont Kalemabenge, au port Kalundu et sur la route Mwami, précisent nos sources.

Avant la reprise timide de la circulation et de certaines activités en début d’après midi, des altercations ont été au rendez-vous aux quartiers Mulongwe, Kasenga et Kakombe entre agents de l’ordre et quelques jeunes manifestants à cette occasion. Avant de tabasser à mort un élément des FARDC, les manifestants au quartier Kakombe l’ont ravi son arme récupérée aussitôt par d’autres éléments des FARDC venus à sa rescousse. Pendant que les agents de l’ordre tiraient en l’air pour disperser les manifestants, 4 civils ont été atteints par des balles perdues et conduits immédiatement à l’hôpital général de référence d’Uvira pour des soins appropriés.

Interrogé à ce sujet, le président de la société civile précise avoir décommandé cette action à la veille dans un message radiodiffusé dans certaines chaînes de la cité d’Uvira le 22.10.2012.

Bien plus, certains observateurs renseignent que dans une décision du Conseil de sécurité extraordinaire d’Uvira tenue le 22.10.2012, un appel a été adressé à la population d’Uvira l’invitant à vaquer paisiblement à ses occupations, ce qui visiblement n’a pas été suivi.

Par contre, pour l’administrateur de ce territoire, le mot d’ordre lancé par la société civile et la FEC de paralyser les activités dans la Cité d’Uvira a complètement échoué. Il note, cependant, quelques incidents enregistrés dans la matinée du 23.10.2012 qui ont été maîtrisés quelques temps après par le service de l’ordre, renchérit-il. Il en a profité pour lancer un appel vibrant à sa population de ne plus céder à l’intoxication.

En outre, le conseiller en matières politique, sécuritaire et affaires coutumières du gouverneur de province du Sud-kivu, Me Idesbald BYABUZE Katabaruka, présent dans le milieu a rendu une visite de réconfort aux blessés internés à l’hôpital général de référence d’Uvira et a promis de prendre en charge leurs factures de soins de santé.

Les autorités tant civiles, administratives que politiques sont donc appelées à garantir la paix aux citoyens congolais conformément aux lois de la république en faisant leur cheval de batail la sécurité de personnes et de leurs biens.


2. Sud-Kivu: la population de Kiliba proteste contre l’insécurité

octobre 18, 2012, | Denière mise à jour le 18 octobre, 2012 à 5:46 | sous Actualité, Sécurité, Sud Kivu.

Share on emailEnvoyer par e-mail| Mots clés: FARDC, Insécurité, Uvira

Des commerçants de Kasenga (Uvira, Sud-Kivu) barricadant l'artére  principale  qui mène vers Bukavu et Bujumbura  tôt ce matin (15/06/2011). Radio Okapi

Des commerçants de Kasenga (Uvira, Sud-Kivu) barricadant l’artére principale qui mène vers Bukavu et Bujumbura tôt ce matin (15/06/2011). Radio Okapi

Des barricades ont été érigées ce jeudi 18 octobre depuis le matin dans les rues de Kiliba Kabulimbo, à 15 Km au nord d’Uvira au Sud-Kivu. La population en colère est descendue dans les rues pour dénoncer l’insécurité grandissante dans cette cité. Plusieurs maisons ont été «visitées» par «des militaires incontrôlés», selon les manifestants. Ces derniers demandent le départ, sans condition, de l’unité des Forces armées de la RDC en place.

Selon l’administrateur du territoire d’Uvira, des pourparlers se poursuivaient encore à midi (heures locales) à Kiliba entre les forces de l’ordre et les manifestants pour libérer la route principale de cette cité. Celle-ci est restée bloquée depuis le matin au niveau du pont de Kiliba et à la barrière de Fonds national d’entretien routier (Foner).

Plusieurs habitations ont été attaquées, dont le domicile d’un changeur de monnaie, selon des témoins sur place. Les malfrats ont tiré beaucoup de balles, empêchant ainsi toute intervention avant de s’introduire dans la maison du cambiste.  Ils ont emporté une somme importante d’argent, ont indiqué des témoins, sans autres précisions.

La société civile sur place a déploré le fait que l’incident s’est déroulé à côté de la base des FARDC sans que ces dernières ne soient intervenues. Elle a demandé la relève de l’unité militaire en poste sur place et la restitution de l’argent volé au propriétaire.

D’après des sources militaires du 104e secteur opérationnel des FARDC, un civil soupçonné d’appartenir à ce réseau de malfaiteurs a été arrêté ainsi que deux autres militaires, dont un commandant.

Cette manifestation populaire est survenue quelques jours seulement après l’érection d’autres barricades au niveau de Kawizi pour dénoncer d’autres cas d’insécurité impliquant les FARDC.

Lire aussi sur radiookapi.net :


From: Antonio Rodriguez <antoniorodriguez127@rocketmail.com>
To: « lecridesopprimes@yahoogroupes.fr » <lecridesopprimes@yahoogroupes.fr>; « hinterland1-owner@yahoogroupes.fr » <hinterland1-owner@yahoogroupes.fr>; « CongoElite@yahoogroupes.fr » <CongoElite@yahoogroupes.fr>; « Congo@yahoogroupes.fr » <Congo@yahoogroupes.fr>; « congovirtuel@yahoogroupes.fr » <congovirtuel@yahoogroupes.fr>
Cc: « echossondage@yahoo.fr » <echossondage@yahoo.fr>; « yramazani@yahoo.fr » <yramazani@yahoo.fr>
Sent: Monday, October 29, 2012 10:35:35 AM
Subject: Re: [lecridesopprimes] Re: [congocitizen] Kaka Luigi : NOUVELLES DE BUKAVU et UVIRA

Pourras-tu m’exhiber une seule preuve de ce que tu affirme? J’attends un seul mot de ta part.


De : Huruma NaShimbi <k_huruma@yahoo.ca>
À : « lecridesopprimes@yahoogroupes.fr » <lecridesopprimes@yahoogroupes.fr>; « hinterland.redaction@yahoo.fr » <hinterland.redaction@yahoo.fr>; « Congo-Uni@yahoogroups.com » <Congo-Uni@yahoogroups.com>; kivu avenir <Kivu-Avenir@yahoogroupes.fr>
Envoyé le : Lundi 29 octobre 2012 15h16
Objet : Re: [lecridesopprimes] Re: [congocitizen] Kaka Luigi : NOUVELLES DE BUKAVU et UVIRA

Tu mens mon cher. je connais mieux la region plusque toi.

Bientot les allies de Joka vont mettre le Sud-Kivu a feu et a sang et votre gouverneur controverse Marcelin Kishambo ne fera rien.

Le grand malheur est que ce sont les notres Sud-Kivutiens commes nos freres et soeurs du Nord Kivu qui serrons a leurs tours extermines.

Tu les appels des malfrats et hors la loi et pourtant meme s’ils sont Rwandais et Burundais, ils portent l’uniforme des FARDC et sont payer par la RDC.

Ca fait combien de temps que Joka est au pouvoir avec ses amis du RDC, CNDP, M23 et qui continues a nous extermine???

Il faut se poser la question de savoir pourquoi la population d’Uvira scande des slogans anti Kanambe lors de la derniere manifestation suivie d’une ville morte???

Huruma K. Nashimbi


From: Antonio Rodriguez <antoniorodriguez127@rocketmail.com>

L’armée congolaise à pied d’œuvre pour mettre hors d’état de nuire ces malfrats et hors la loi.


De : Huruma NaShimbi <k_huruma@yahoo.ca>
À : « uvira@yahoogroups.com » <uvira@yahoogroups.com>; « Congo-Uni@yahoogroups.com » <Congo-Uni@yahoogroups.com>; « CongoResistance@yahoogroupes.fr » <CongoResistance@yahoogroupes.fr>; « congocitizen@yahoogroups.ca » <congocitizen@yahoogroups.ca>; kivu avenir <Kivu-Avenir@yahoogroupes.fr>
Envoyé le : Lundi 29 octobre 2012 14h26
Objet : [congocitizen] Kaka Luigi : NOUVELLES DE BUKAVU et UVIRA

Kaka Luigi
NOUVELLES DE BUKAVU et UVIRA
1. Il y a d’abord ce XVI e anniv de l’assassinat de Mgr Munzihirwa, ce grand appôtre et serviteur de Dieu, qui a donné de sa vie pour la verité, l’amour du prochain et la paix. Ce XVI e anniv se célèbre encore une fois, sous les bruits de bottes un peu partout dans le Kivu. Avec, comme en 1996, une insécurité généralisée au sud-kivu; avec des assassinats ciblés en génral et contre tous ceux qui parlent pour la paix, la vérité, l’amour,…
A Uvira
2. Dans la plaine de la Ruzizi? ce qui se vit dans la plaine de la Ruzizi et dans la cité même d’Uvira, constituent des vrais signes annonceurs d’une imminente guerre. Les agresseurs, ne voudraient nullement pas se limiter seulement au Nord-kivu; leur ambition, comme toujours est d’avoir une main mise sur tout le Kivu (le grand Kivu, en général et les nors et sud, en particulier). C’est depuis bien longtemps, que la population de la plaine dénonce des infiltrations des hommes armés venant du Burundi,…à ce jour, ils seraient déjà très nombreux sur les collines de moyens plateaux d’Uvira et n’attendraient que le coup de siflet pour passer à leru sale bésogne.
Les assassinats quotidiens à Uvira, avec leur oprandi vivendi, prouvent en suffisance que ces attaques sont l’oeuvre des agresseurs. Le comble dans tout ça est que l’armée garde toujours en son sein, des militaires ruandais, infiltrés dans les fardc par le biais des opèrations conjoites umoja wetu, amani leo et par le brassage des troupes CNDP…cela est inimaginable. Nombre de régiments déployés dans cette partie, essentiellement constitués des gens issus du CNDP; et pourtant, on sait très bien que tous ces officiers ex CNDP et leurs militaires n’ont jamais coupé le cordon ombilical qui les lie à NTANGANDA et autre MAKENGA SULTANI.
Pour dénoncer tout cela, la socièté civile, appelle à une journée ville morte ce mercredi. Je crains fort que cet appel soit entendu au regard du discrédit qu’incarne l’actuelle socièté civile en RDC en général et au sud-kivu en particulier. Elle n’est plus forte…elle est devenueolitique…

MEMBRES DE LA FAMILLE DU RAÏS


Nous reproduisons copions-collons ci-dessous un email qui nous parvient ce jour de Justicia ASBL,  que nous decouvrons, via africa-t, un groupe discussion de Yahoo!.

Nous vous laissons apprécier par vous même la portée du communiqué de presse.

JUSTICIA a.s.b.l.

Adresse : 1015, avenue Mama Yemo, Commune Lubumbashi.

Tél : : 0998522825 E-mail : justicia.asbl@gmail.com

COMMUNIQUE DE PRESSE N° 007/2012

LES MEMBRES DE LA FAMILLE DU CHEF DE L’ETAT SE CROIENT TOUJOURS AU-DESSUS DE LA LOI

LE GENERAL DIEUDONNE KASONGO DE LA GARDE REPUBLICAINE ARRETE, DETIENT ET TORTURE UN AVOCAT ET DES AGENTS DE L’ETAT EN MISSION DE SERVICE APRES S’ETRE RENDU COUPABLE DE TRAFIC ILLICITE DES MINERAIS AU KATANGA

L’Association de défense des droits humains JUSTICIA a.s.b.l. est vivement préoccupée par l’arrestation arbitraire, détention illégale et actes de torture dont sont victimes Maître Pépé MABWISA, Avocat au Barreau de Lubumbashi et cinq agents de la Brigade anti-fraude de Lubumbashi de la part du Général Dieudonné KASONGO de la Garde Républicaine.

En effet, il nous revient des informations recueillies par les enquêteurs de JUSTICIA a.s.b.l. que ce dimanche 30 septembre 2012, vers 11 heures, à Lubumbashi sur l’avenue Likasi, cinq agents du service de l’anti-fraude ont intercepté un camion à dix roux rempli de substances minérales à destination du Quarter Industriel dans la commune de Kampemba. Ces agents ont ordonné au chauffeur dudit camion de stationner en vue de vérifier les documents couvrant la circulation de ces minerais. Le Général Dieudonné KASONGO de la Garde Républicaine et oncle paternel du Chef de l’Etat Joseph KABILA, qui venait derrière ce camion à bord d’une jeep PRADO, s’interposera et empêchera aux agents de la Brigade Anti-Fraude de procéder au contrôle des documents administratifs requis.

Les cinq agents poursuivront ce camion jusque sur l’avenue Nyanza au Quartier Industriel dans la commune de Kampemba où ces produits devraient être vendus. Mécontent de la présence de ces agents sur le lieu de négoce, le Général Dieudonné KASONGO usera des voies de fait à l’endroit de Monsieur Malarmé KASANDA DIEBA, l’un de ces cinq agents de la Brigade Anti-Fraude. Par la suite, le Général Dieudonné KASONGO administrera un coup de tête aux dents de Monsieur Malarmé, ce qui lui causera une intrusion au niveau de la tête.

Se sentant blessé à la suite de son coup de tête et pour faire obstruction au contrôle de la Brigade Anti-Fraude, le Général Dieudonné KASONGO fera appel aux autres éléments de la Garde Républicaine basés au Camp KIMBEIMBE pour procéder à l’arrestation de ces agents. Ces agents seront ainsi arrêtés et transférés au cachot de la Garde Républicaine au Camp KIMBEIMBE où ils sont torturés suivant les ordres du Général Dieudonné KASONGO.

Consulté par les familles de ces infortunés agents, Maître Pépé MABWISA, Avocat au Barreau de Lubumbashi, s’est rendu au domicile du Général Dieudonné KASONGO vers 10 h 00 du matin de ce Lundi 1er octobre 2012 en vue de savoir le motif d’arrestation de ses clients et éventuellement obtenir leur libération, chose qui a déplu au Général Dieudonné KASONGO qui a considéré cet Avocat comme complice des agents arrêtés et ordonnera son arrestation et sa séquestration dans sa résidence privée située sur l’avenue Songololo au quartier Lido golf, Commune de Lubumbashi où il est l’objet des actes de tortures intenses.

Etant saisi, le barreau de Lubumbashi a dépêché deux membres du Conseil de l’Ordre qui seront à leur tour menacés de mort au moyen d’armes de guerre de la part des éléments de la Garde Républicaine commis à la résidence du Général Dieudonné KASONGO et ils seront obligés de rebrousser chemin pour éviter de perdre leur vie.

JUSTICIA A.s.b.l ne comprend pas ce comportement déviant et surtout cet abus de pouvoir de la part d’un Officier de Haut rang qui n’est pas autorisé, de part sa fonction militaire, à exercer des activités commerciales et par surcroit l’exploitation illicite des minerais.

Pour rappel, JUSTICIA A.s.b.l relève que les membres de la famille biologique du Chef de l’Etat se sont toujours illustrés par ce genre d’actes illégaux et arbitraires sans être interpellés par la justice qui reste impuissante à leur égard.

En considérant la gravité de ces actes, JUSTICIA A.s.b.l recommande :

Au Président de la République Démocratique du Congo

D’interpeller les membres de sa famille biologique au respect des lois de la Républiques et d’éviter de ternir son image en abusant des droits et libertés garantis aux citoyens, surtout ceux des agents et fonctionnaires de l’Etat.

Au Gouvernement Congolais

D’interdire aux militaires et autres fonctionnaires de l’Etat de s’adonner à l’exploitation des minerais conformément aux dispositions du Code minier

A l’Auditeur Général des Forces Armées de la RDC

De diligenter une enquête aux fins d’initier des poursuites contre le Général Dieudonné KASONGO et ses complices pour arrestation et détention arbitraires, actes de torture et trafic illicite des minerais.

Au Conseil de l’Ordre des Avocats du Katanga

De continuer à assurer la protection des avocats dans l’exercice de leur fonction.

– Aux agents de la brigade Anti-fraude et à Maitre Pepe MABWISA

De saisir les instances judiciaires compétentes afin de faire poursuivre le Général Dieudonné KASONGO et ses acolytes.

Fait à Lubumbashi, le 01 octobre 2012

JUSTICIA A.s.b.l.

Qui est responsable ?


—– Mail transféré —–
De : Tembos Yotama <notification+zrdoz61=ldez@facebookmail.com>
À : AUJOURD’HUI ou JAMAIS <367709206602714@groups.facebook.com>
Envoyé le : Samedi 20 octobre 2012 13h12
Objet : [AUJOURD’HUI ou JAMAIS] Butembo : Méfiez-vous des gens qui émergents très…

Tembos Yotama a publié dans AUJOURD’HUI ou JAMAIS

20 octobre 13:12

Butembo : Méfiez-vous des gens qui émergents très rapidement dans leurs affaires !
Il y a environs une semaine qu’un certain GWANZU a été arrêté au quartier KITULU, cellule KISESI avec deux armes toutes neuves neuves.
Tout jeune, le nommé NGWANZU est propriétaire d’une grande boutique dans l’une des galeries de la place.
L’émergence de ce jeune homme étonnait plus d’une personne, car c’était d’une manière exponentielle : dans un laps de temps, il a commencé à rouler carrosse dans des PRADO, construction des maisons à lucarnes….. ! Et plusieurs disaient, voici des garçons qui savent se débrouiller. Ahh, attention… !
Après son arrestation, ce garçon a cité plusieurs autres jeunes garçons membres d’un réseau des malfaiteurs, auteurs des pillages à mains armés dans le KARURUMA et à Butembo, qui seraient aussi jeunes commerçants de Butembo.
Un auteur avait écrit : « derrière toutes les grandes fortunes, il y a toujours des crimes » ! Cette hypothèse s’est vérifiée dans ce cas précis.
Il se fait voir donc que, plusieurs personnes complotent avec l’ennemi contre ses frères ! Quel malheur ?
Il ne faut pas aimer la facilité !
Nous devons manger des sueurs de notre front !
Dossier à Suivre

Kampala III


Kampala III nous apportera-t-il une solution à notre problème d’insécurité à l’Est de la République ?  Le cas échéant, comment sera-ce ?

De : congocitizen@yahoogroups.ca [mailto:congocitizen@yahoogroups.ca] De la part de Sandra Bushiri
Envoyé : samedi 8 septembre 2012 13:43
À : congocitizen@yahoogroups.ca; congovirtuel@yahoogroupes.fr; congo@yahoogroupes.fr; congoelite@yahoogroupes.fr; hinterland1-owner@yahoogroupes.fr
Cc : echossondage@yahoo.fr; yramazani@yahoo.fr
Objet : [congocitizen] SOMMET DE KAMPALA : KAGAME BLOQUE LA PAIX ET TRAHIT LONDRES

SOMMET DE KAMPALA : KAGAME BLOQUE LA PAIX ET TRAHIT LONDRES

Le Président rwandais a décidé de sécher le sommet de Kampala III en préférant se faire représenter par Kabarebe et Mushikiwabo. Objectif : faire commettre à Kinshasa une faute diplomatique qui conduirait à une reconsidération des choses et une redistribution des rôles dans ce conflit. Entre-temps, convaincus d’un nouvel acte contre la paix de la part du Rwanda, des analystes occidentaux interpellent Londres sur sa récente décision de rétablir son aide à ce pays.

Ce sont des Chefs d’Etat et de Gouvernement désabusés qui ont attendu en vain de participer au sommet de la CIRGL qui devait se tenir le vendredi 8 septembre 2012. Le sommet de Kampala aura lieu en vue de finaliser le projet de déploiement d’une force internationale neutre aux frontières entre la RDC et le Rwanda, notamment pour traquer les forces négatives à commencer par le M-23. Alors que le calendrier était arrêté d’avance et que, depuis le début de la semaine, experts puis ministres des pays de la sous-région se réunissaient pour préparer les dossiers, le Président rwandais, Paul Kagamé a décidé de sécher la rencontre des Chefs d’Etat. Ce rendez-vous – le troisième de la série en deux mois – était pourtant calé de longue date pour ce 8 septembre, mais a dû être repoussé au 9 septembre puisque les ministres de la défense n’avaient pas terminé leurs travaux à temps.

C’est dans la foulée que l’on apprendra que Paul Kagamé, qui a participé aux deux précédents sommets, a préféré se faire représenter par ses ministres de la défense, James Kabarebe, et des Affaires étrangères, Louise Mushikiwabo. Selon des sources médiatiques, le président rwandais auraient préféré ne pas se rendre à Kampala parce que la RDC et la Monusco l’accusent d’être le responsable de la nouvelle déstabilisation de l’Est de la RDC.

Pour les observateurs, cependant, cette attitude de Paul Kagamé ne devrait étonner personne, car le président rwandais se trouvait déjà, depuis quelques temps, dans une logique d’enlisement. Plusieurs actes posés par lui-même et ses principaux collaborateurs attestent cette thèse, en effet.

Paul Kagamé : prix Nobel de la conflictualité

La plus grande fut l’interview de James Kabarebe accordée à Colette Breackman. Cet entretien était considéré par tous les spécialistes de la diplomatie comme une provocation, pire un piège visant à faire écrouler tout l’édifice diplomatique érigé, jusqu’à ce jour, pour sortir l’Est de la RDC de ce nouveau bourbier de l’insécurité. Tout, dans les propos du ministre rwandais de la défense, était articulé pour provoquer des incidents diplomatiques à tous les niveaux : avec Kinshasa, avec la Belgique dont Didier Reynders en appelle à des sanctions concertées contre le Rwanda, avec l’ONU et même avec ses pairs de la région des Grands Lacs.

Le deuxième acte, qui découlait du précédent, fut l’annonce, par Kigali, du retrait de ses « soldats » qui, selon ses autorités, se trouvaient sur le sol congolais depuis 2009 dans le cadre de la traque conjointe des FDLR. Une manière, pour Paul Kagamé d’ébranler les convictions internationales sur la version d’agression de la RDC, et de discréditer le Gouvernement congolais aux yeux de sa propre opinion. La finalité, dans cette équipée, était certainement, pour Paul Kagamé, de reprendre l’initiative diplomatique en se faisant maître du processus de paix.

Le dernier acte en date a été celui des experts du Rwanda qui, jeudi dernier, avaient voulu bloquer les discussions sur le profil de la force internationale neutre qui, manifestement, n’arrange les affaires ni de Kigali, ni du M-23. Les experts congolais de la défense ont, en effet, accusé leurs homologues rwandais de refuser l’examen de la proposition des ministres de la Défense sur l’implication des Nations unies et de l’Union africaine dans la force neutre.

Il est connu que le Rwanda n’est pas favorable à la participation de la mission onusienne déployée en RDC dans cette force neutre, comme le proposent certaines personnalités et organisations. D’ailleurs, les ministres de la Défense des pays des Grands lacs avaient déjà décidé, lors de leurs précédentes rencontres, que cette force neutre devrait être placée sous le mandat de l’Union africaine et de l’ONU.

L’estocade manquée de Kampala

Après avoir ainsi placé le décor du chaos politique, Paul Kagamé a ciblé Kampala III comme le théâtre de l’accomplissement de sa démarche. L’homme sait, en effet, qu’en diplomatie, tout se joue sur un mot, un geste ou un rendez-vous sur mille. Après avoir soumis le leadership congolais à un rude exercice d’emmerdement maximum, Paul Kagamé a voulu confronter directement James Kabarebe à Joseph Kabila à l’endroit de qui il avait été plus que désobligeant dans son entretien avec Colette Braeckman. Ce faisant, Paul Kagamé escompte un écart de comportement de la part de Kinshasa et ses autorités afin de boucler son plan de chaos diplomatique visant à faire redistribuer les cartes et les rôles dans ce nouveau conflit.

Seulement, le Rwanda a oublié que l’expérience forme et forge l’homme plus que les études livresques. La récurrence de ses croisades meurtrières a permis à tous les observateurs de cerner les visées et les stratégies de Kigali afin, aujourd’hui, de savoir les déjouer. Depuis le début de ce conflit, en effet, Kinshasa a su se montrer plus qu’exemplaire dans sa croisade diplomatique qui fera certainement école dans les facultés des relations internationales.

Quand Kigali trahit son grand allié britannique

Finalement, on en arrive à s’interroger sur les motivations qui ont été à la base de la décision de la Grande Bretagne de rétablir son aide au Rwanda. Londres a justifié cette décision par le fait que le Rwanda aurait beaucoup fait pour la recherche de la paix en RDC. Une justification qui sonne radicalement faux par rapport au contexte de la décision du Royaume Uni. Laquelle décision est caractérisé par les graves révélations du rapport des Nations Unies sur l’implication du Rwanda dans la crise à l’Est de la RDC. Et jusqu’à ce jour, rien n’a changé à la donne. La preuve c’est que la plupart des diplomates qui avaient assisté à la présentation des moyens de défense du Rwanda au Conseil de sécurité ne les avaient pas trouvés convaincants.

D’aucuns se convainquent que Londres a dû se faire duper par la dernière pichenette de Kigali qui avait voulu présenter ses officiers de renseignements présents en RDC dans le cadre de la « Joint Military Commission » comme des soldats de l’opération « Umoja Wetu » datant de 2009. Mais lorsque le Gouvernement britannique se réveillera sur la supercherie de Kigali, personne ne paiera cher la peau de Paul Kagamé…

Pascal Debré Mpoko