Conférence-débat 20140713


« Comment amener les congolais à s’entendre rapidement pour contrer efficacement et démocratiquement le pouvoir sanguinaire et destructeur de Kinshasa ? »

Fil rouge proposé par Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu

  1. Quels sont les obstacles ?
  2. Quelles sont les opportunités ?
  3. Comment les surmonter les obstacles et exploiter les opportunité ?
  4. Avec quel bénéfice pour nous ?
  1. Quels sont les obstacles ?
    • L’incapacité de nos leaders à se mettre ensemble autour d’un table : UDPS, DC, Apareco, etc.
    • Un pléthore de partis politiques sans idéologie ni programme digne de ce nom et souvent concentrés dans la ville de Kinshasa (1 membre de chaque province). http://fr.wikipedia.org/wiki/Partis_politiques_de_la_R%C3%A9publique_d%C3%A9mocratique_du_Congo
    • Les marches, les rebellions et les sit-in qui ne apportent pas les changements attendus, qui sont organisés sans plans, mais auxquelles nous nous accrochons. https://www.google.be/webhp?sourceid=chrome-instant&ion=1&espv=2&ie=UTF-8#q=les+rebellions+en+rdc
    • Une spiritualité qui mêle des croyances incompatibles : bokoko, christianisime, Islam
      • Un royaume divisé contre lui-même chavirera
      • Une démonstration de notre immaturité
      • La preuve de notre division spirituelle et l’explication de notre division dans les choses temporelles
    • Des niveaux d’instruction très différents qui rendent la communication difficile entre
      • l’intelligentsia qui doit fournir encore plus d’effort pour s’entendre avec l’homme de la rue
      • La base qui n’a pas la même vision du monde que l’intelligentsia qu’elle a formée
    • Un multiplicité de cultures parfois opposées
      • Matriarcat – patriarcat
      • Unitarismes – unionismes
      • Hiérarchisation – Fédération…
      • Dictature – démocratie
    • Une densité de population qui crée pas suffisamment de débats, pas assez contradictions ni de contestations
  2. Quelles sont les opportunités
  3. Comment les surmonter les obstacles et exploiter les opportunité ?
    • Constituer une liste exhaustive de nos problèmes (Appel du Projet 2014 depuis décembre 1999, sans écho favorable substantiel – jusque mai 2014 ).
    • Les analyser soigneusement dans des laboratoires appropriés : sources/origines/causes, conséquences/effets/suites
    • Rechercher les solutions qui conviennent aux congolais en tenant compte de nos cultures, de nos spécificités locales… (Indépendance dans le choix des destinées locales, fédération des ressources dans l’action, séparation du national d’avec le local, élévation du niveau d’instruction – à ne pas confondre avec la scolarité classique…)
    • Élaboration d’une stratégie à mettre en route sans délai, mais avec les précaution d’usage
      • Certaines personnes prennent du temps pour comprendre (Niveau d’instruction, d’éducation, de formation…)
      • Certains risques n’apparaissent ou ne s’observe qu’à la pratique, à l’expérience, à l’action – les imprévus – résoudre collectivement pour s’enrichir mutuellement
      • C’est le projet de société national démocratique, le plus riche, le plus exhaustif dans le traitement des problèmes
      • Se méfier des solution hâtives, des « il n’y qu’à »… des « faisons ceci ou cela d’abord ; on verra le reste après »
  4. Avec quel bénéfice pour nous ?
    • Un projet de société démocratique, le plus complet, le plus fédérateur
    • Une disqualification des dictateurs, des faux gurus
    • Une propulsion de la nation dans tous les secteurs : social, politique, technologie, économie, culture, sécurité…
    • Un attrait qui nous permettra d’engranger :
      • De territoires
      • Des peuples – nos cousins et nos alliés (Bemba, Kamerhe…)
      • Des nations
      • … de lancer les États-Unis d’Afrique

Arracher la vie Eliezer


Qui, avec qui et pourquoi veut arracher la vie à Eliezer Ntambwe ?

Nous l’avions annoncé en mai 2011 : « le pire est à venir », disions-nous !

Quel doit être l’attitude de congolais nés de nouveau ?  Devons-nous sombrer dans la peur ou continuer à avoir Dieu pour partenaire ?

Consultons les Ecritures et nous y trouverons des exemples d’ainés dans la foi en Dieu qui ont bravé des méchants de toutes sortes….

[23:43:39] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: MESSAGE ENVOYER PAR  MONSIEUR ELIEZER NTAMBWE

« Arrêté hier a 21h30 et amené directement a la prison centrale de Makala après l audience d Eugène Diomi ou je ne faisais que mon travail de journaliste,je n ai recouvré ma liberté que cet après midi,ma caméra a été ravit ainsi que mon micro,ma montre cassée et mon téléphone volé.
Dieu merci,je suis sorti avec espoir que rien ne m a été injecté pendant la forte brutalité que j ai connut,si non une source m a informée que je suis visé a cause de ma position dans l exercice de mon boulot pour ma patrie, je ne sais a quel moment ils peuvent décider de m’arracher la vie comme on m a dit sur leur complot.
Merci de votre soutien qui ne fait que me réconforter dans cette période de lutte. »

La colonisation va se renforçant…


Les soldats français pourrons tirer sur les centre-africains qui ne veulent pas obtempérez aux injonctions pouvoir, chez eux, comme sur des bêtes de chasse ! Ces centre-africains qui s’adonnent à des tueries, des viols, probablement des vols aussi et à des enlèvements de leurs propres concitoyens, dans le but illusoire de se faire justice et construire la paix par la force !

En RDC, le régime, le gouvernement et ses FARDC, le parlement, appuyés par les forces de l’ONU, espèrent faire la paix, par la guerre, en neutralisant les « forces négatives » qui leur résistent, qui pillent les populations, violent femmes et hommes, trafiquent les minerais et minéraux du pays, tuent gratuitement, là aussi, nos propres compatriotes et les étrangers qui les manipulent. Ici, comme en République Centre Africaine, les rebelles seront traquer comme des gibiers pour être forcer au silence, eux qui ont fait la pareil des paisibles citoyens parfois, sous prétexte de défende leurs droits.

Les mêmes causes, tout restant égal par ailleurs, produisant les mêmes effets : la perpétuation de la colonisation, de la dictature, de l’imposture et de la médiocrité au Congo continue par le fait de nos mauvais choix. Certains en effet, jour et nuit cherchent plus comment tuer Kanambe plutôt que de trouver comment le traduire démocratiquement en justice, pour qu’il soit jugé, lui et tous ceux qui agissent comme lui. Comme d’autres ont tué Lumumba, Tshombe, Fina, Chebeya, Tungulu, Kabila et bien plus auparavant ; avec comme souci de prendre le pouvoir pour mieux gérer la chose publique, nos partisans de la lutte armée se recherchent sans succès depuis des années. Et pourtant, le Congo est colonisé de plus bel sous nos yeux. Et de plus, il risque de l’être encore plus. En tout cas il le sera plus si notre attitude face à l’imposture et à l’amateurisme des hommes de Kinshasa ne change pas. Personne ne se doute de ce qui se passera. Ou même, personne ne se demande ce qui se passerait après la mort de Kanambe. Personne ne pense à travailler un projet de société nouveau qui mette fin à la colonisation, à l’imposture, à la dictature et à la médiocrité dans la RDC ; proprement et définitivement !

2016, dans ces conditions, si elles se maintiennent, n’apportera pas du neuf. Bien au contraire, c’est le renforcement de la colonisation, de l’imposture, de la médiocrité et de la dictature dans notre pays qui nous attend à coup sûr. Pourquoi ?

Parce que voici bientôt 14 ans que nous invitons à un travail démocratique sur un projet de société qui soit le plus complet et le plus démocratique possible. Personne ne répond positivement, mais en même temps, tous disent aimer la RDC.

Ceux qui prônent la lutte armée pour faire la paix et l’ordre, n’arrivent pas à organiser l’offensive dont nous les avons toujours prévenu qu’il n’est ni logique ni facile à organiser. La peur du combat démocratique, du face à face politique avec les ennemis de notre pays, fait que tout le monde sombre dans des rêves qui perdurent… Il faut être déshonnête pour ne pas le reconnaître et laisser le pays aller ainsi à sa ruine prochaine. À cette allure, 2016 va connaître une autre victoire du régime de Kinshasa. Victorieux, il nous assujettira de plus bel et nous n’aurons plus rien à dire ni à faire pour le bien de notre progéniture dans ce vaste territoire où nous sommes nés. Si en effet, ce régime n’avait pas l’espoir, s’il n’avait pas la conviction de gagner en 2016, il ne s’inscrirait pas dans la logique de la rencontre de demain à Paris ; mais il prendrait plutôt le temps de faire sa valise… Il n’aurait pas été à Kampala non plus. Il n’organiserait pas, dans son laboratoire, ce gouvernement de la concertation nationale qui apportera que désolation au Congo, s’il réussit à se mettre en place. En effet, comment des assassins des congolais pourraient-il construire une société de paix, la justice, le travail ? D’où leur viendrait le sursaut de civilité, de moralité ? Comment en effet les rebelles d’hier vivront-ils avec les congolais, dans les mêmes quartiers, après avoir commis autant de crimes, de viols, de vols, de fraudes ?

Intégrer Kongo ya Sika est pour nous la seule façon adulte d’aborder le problème congolais avec sérénité et assurance. C’est garantir qu’un jour nous gagnions enfin le combat contre nos égoïsmes, nos turpitudes, nos paresses, nos trahisons, nos tribalismes ! C’est préparer la prise démocratique du pouvoir en 2016. C’est nous nous donner l’avantage d’avoir le droit de revendiquer la justice dans le pays. C’est nous accorder le droit à la paix et au progrès. C’est conjurer définitivement la colonisation, l’imposture et la médiocrité de notre pays pour laisser place à l’indépendance des esprits et des ventres. C’est nous donner la possibilité d’exiger de nous-mêmes l’excellence, la perfection, pour le bien-être de tous, mieux, du plus grand nombre.

Agir autrement, quand on a compris tout ceci, devient une irresponsabilité, une trahison de plus de la nation congolaise.

Que Dieu bénisse le Congo-Kinshasa.

Supprimer la colonisation et l’imposture au Congo : est-ce encore possible ?


Plus important que tout : agissons vite pour que la colonisation et l’imposture ne continuent pas à enfoncer leurs racines destructrices au Congo !

Leur ravage continue de plus bel du fait de nos distractions qui ne s’arrêtent pas.
La semaine prochaine, je vous invite à une rencontre à Bruxelles à un lieu et une heure qui vous seront communiqués en fonction du nombre des personnes qui exprimeront le désir de participer.
Annoncez votre participation au +32486741704 ; et préparer une intervention orale éventuelle de 5 minutes maximum en introduction aux échanges.
Thème du jour : « Supprimer la colonisation et l’imposture au Congo : est-ce encore possible ? »

Mise en garde de la Tanzanie


Tembos Yotama

Eugene Buingo
Voici deux paragraphes que je retiens du discours de Jakaya Kikwete, le président de la Tanzanie:
– “Ujumbe wetu mkubwa wa leo ni kwamba tuko tayari wakati wote na, saa yeyote kuilinda nchi yetu na mipaka yake. Hatuna nchi nyingine. Hivyo, kamwe hatuwezi kumruhusu yeyote kuicheza nchi yetu, ama kuichezea ama kuimega nchi hii. Kama tulivyoshughulika na Amin naye tutashughulika naye vivyo hivyo.”
– « yeyote ambaye atajaribu kuchezea usalama na mipaka ya Tanzania atakiona cha mtema kuni ».

Projet2014

Chers compatriotes congolais, et NOUS, que disons-nous ?

Allons-nous laisser les irresponsables, les traîtres, les colonisateurs, les dictateurs et les imposteurs nous pourrir la vie et compromettre l’avenir de notre descendance ?

Si votre réponse est NON, nous vous engageons à participer à la préparation de l’arrestation de l’imposture et de la trahison au plus tard en 2016 !

Adressez-nous votre curriculum vitae détaillé et votre proposition de participation claire sachant que l’objectif est de nous attacher les 50% au moins de l’électorat d’ici fin 2014 !

Avec Dieu, nous vaincrons !

Droits de l’homme: l’Equateur propose d’aider les USA


Décidemment, l’Amérique Latine a sa façon de défendre son indépendance, sa souveraineté.  C’est le tour de l’Equateur de dire aux américains qu’ils n’aient pas le monopole de leçon à donner aux autres pays de la terre.  Cette façon de faire lui réussit-elle et comment pouvons-nous le voir ?

La question qui se pose est : quel est l’état réel du respect des droits de l’homme en Equateur et aux Etats-Unis et comment le savons-nous ?

Plus utilement encore, quel est l’état du respect des droits de l’homme en RDC et que faisons-nous pour son amélioration ?  2016 approche et les partis politiques ne bougent pas.  Ceux de l’opposition particulièrement, pendant que le pouvoir prépare bien ses cartouches…

A Projet 2014, nous affirmons que le non respect des droits de l’homme en RDC est principalement la conséquence directe de nos malheureux choix politique depuis les années 60 et particulièrement de l’adoption de la République comme modèle d’organisation de la politique dans notre pays fortement multiculturelle et d’origine coloniale.

C’est pourquoi, nous proposons à tous ceux qui croient comme nous en la nécessité d’un changement d’attitudes de notre part et en celle d’un passage de la république vers une union d’états indépendants au Congo, de ce joindre à nous, pour forcer la dictature, l’imposture et le colonialisme à la capitulation ; de peur que nous ne les écrasions de force ; parce que, contre la volonté de notre Dieu et de notre peuple, il n’est aucune force qui ne puisse résister !

Droits de l’homme: l’Equateur propose d’aider les USA.

La traîtrise est-elle africaine ?


La traîtrise est-elle africaine ?  Par plusieurs fois en effet, nous constatons que l’africain trahit son propre frère africain.  A la traîte des esclave, nos chefs noirs se firent les complices des arabes et des occidentaux.  Pendant la colinisation, plusieurs colonisés se virent tuées des mains des colonisées au service des colonisateurs.  Aujourd’hui, nos dictateurs sont à la soldes des pays néocolonisateurs et nos peuples sont poussés à l’exil.  Forcés à l’exil, pour laisser place à des pilleurs qui exploitent la crédulité de nos peuples ignorants.  Les récentes situations en Afrique Centrale sont interpellantes.

Les seleka ont été poussés au désespoir. Cela ne justifie pas qu’ils se livrent, eux aussi, à la tuerie, à l’arbitraire. Ils commencent de ce fait leur règne avec une mauvaise note. Ils ne sauront pas organiser une justice digne de ce nom. Parce qu’ils devraient alors commencer par se juger eux-mêmes pour les personnes mortes innocemment, sur les champs de bataille et ailleurs, par le fait de leur démarche. Ils ne sauront pas non plus organiser l’économie. Parce qu’ils doivent désormais payer les dettes des pays amis qui les ont aidés à prendre le pouvoir, les mains ensanglantées. Et tout cela, avant de ne penser à nos frères centrafricains, etc. Ces frères qu’ils se sont préparés à aller tuer !

Quant aux sud-africains, ils viennent de se trahir et de trahir l’Afrique. En s’engageant dans une lutte où les ennemis ne sont pas des non-africains, mais des africains, c’est une choix de trahison qu’ils firent. Leur cupidité les a donc amenés à sacrifier des centrafricains au profit d’étrangers. C’est moche que cette nouvelle traîtrise de l’homme africain par l’africain lui-même. C’est comme si l’esclavage, la colonisation, la dictature et l’imposture ne suffisaient pas encore sur notre continent !

La réalité est pourtant qu’au Nord, comme au Sud, les citoyens se laissent mener au supplice par leurs propres frères.  Par ces hommes qu’on appelle politiciens.