1.000.000 ha : un projet inutile, sans lendemain ?


Nous y croyons

Nous recherchons des personnes qui croient en la création des couloirs agricoles de 8 km de largeur autour de toutes nos routes – 4 km à gauche et 4 km à droite – de toute route, pour créer une industrie agricole à 100% congolais et de la plus haute technologie, en commençant avec la houe, mais en visant une agriculture robotisée. Des personnes prêtes à cultiver, à financer ou à gérer les projets.

Nous proposons de commencer avec l’axe Butembo-Eringeti, Eringeti-Mahagi-Port et Ngote-Aru ; pour participer à la pacification, sans armes, de l’Est.

À l’Ouest, nous retenons Kinshasa-Bandundu Kinshasa-Matadi.

Parler du projet aux autochtones que vous connaissez ; qui désirent aller dans la direction de notre indépendance agricole et de l’enrichissement de nos paysans agriculteurs, pour faciliter la pacification véritable du pays que notre gouvernement a difficile à gérer avec ses amis étrangers.

Ceux qui quittent la communauté 1.000.000 ha : qui sont-ils, véritablement ?


Nous enregistrons soigneusement ceux qui quittent cette communauté et qui prouvent qu’ils n’ont jamais vraiment aimé le Congo. Autrement, pourquoi quitteraiennt-ils une communauté de ceux qui recherchent l’indépendance agricole du pays et l’enrichissement de nos paysans par eux-mêmes,  sans les armes ?

Sous nos regards hébétés…


Et si ChatGPT avait raison… Nous avons produit un article partant des informations que nous fournit ChatGPT.

« Merci pour ta précision sur l’or. Voici une synthèse stratégique pour t’aider à intégrer cette filière dans ton manifeste et ton projet de souveraineté économique. »

L’or congolais : Peut-il être un levier stratégique pour la souveraineté du Congo ? Pour en avoir une idée, lisez la suite.

Données clés

– Réserves estimées : 2 000 tonnes d’or en RDC, soit une valeur de plus de 121 milliards USD.  [Il faudrait plutôt dire 121 milliards seulement !  En effet, ce n’est même pas assez pour faire vivre les Congolais correctement pendant 1 mois !]

– Production industrielle : dominée par la mine de Kibali (Barrick Gold, AngloGold Ashanti, État congolais). 762 000 onces (23 tonnes) ont été produites en 2023 par cette mine.

– Production artisanale : en forte croissance. Elle est passée de 38 kg/mois en 2022 à 475 kg/mois en 2023 grâce à Primera Gold.  [Ces chiffres sont à prendre sur des pincettes.  Beaucoup d’or traverse les frontières frauduleusement. Les propriétaires de la terre n’ont aucun contrôle sur ce qui se passer sur leur sol.]

– Transformation locale : une première raffinerie d’or a été installée à Bukavu. Elle a une capacité de 100 à 200 kg/jour, mais son agrément a été suspendu en 2023. Et pour cause ? Le non-respect des obligations sociales.

Complément d’information

[Nous avons cherché à connaître ce qu’étaient ces obligations sociales en consultant ChatGPT.  Voici ce qui l’en aurait été.

Sources d’informations

Selon les sources officielles évoquant l’arrêté ministériel du 24 juillet 2023 signé par la ministre des Mines Antoinette N’Samba Kalambayi, la société Congo Gold Raffinerie à Bukavu a vu son agrément suspendu pour avoir manqué au non‑respect de ses obligations sociales, notamment :

lL’absence d’élaboration d’un cahier des charges sur les responsabilités sociétales. Malgré une mise en demeure donnait six mois à l’entreprise pour se conformer. Cette dernière n’avait pas soumis de document essentiel exprès ou en complice (radiookapi.net) ?

  • Plus précisément, l’arrêté précise que Congo Gold Raffinerie n’a pas respecté ses « obligations sociales. Notamment, celles relatives à l’élaboration du cahier des charges des responsabilités sociétales » (laprunelleverte.com).  [Qui devrait, logiquement, élaborer le cahier de charge et pourquoi ?]

En résumé

Le manquement principal concernait l’absence de formalisation d’un engagement social clair et documenté, comme requis par la réglementation. Ce document vise à définir les contributions attendues de l’entreprise envers les communautés locales (emplois, santé, éducation, environnement, etc.), et son non‑établissement a été jugé suffisant pour justifier le retrait de l’agrément.

]

Enjeux et menaces

– Contrebande massive : plusieurs tonnes d’or échappent chaque mois au contrôle de l’État, alimentant une économie parallèle.

– Conflits armés : des groupes comme le M23 exploitent illégalement des mines d’or, parfois avec le soutien de puissances étrangères.

– Faible transformation locale : la quasi-totalité de l’or est exportée brut, sans valeur ajoutée.

Opportunités à saisir

– Créer une filière aurifère congolaise intégrée : de l’extraction artisanale à la transformation locale.

– Renforcer la traçabilité : via des coopératives, des plateformes numériques et des partenariats avec des raffineries éthiques.  [Ce n’est pas la numérisation qui apporte de la transparence.  Plusieurs projets de numérisation ont été des catastrophes en RDC.  Numérisation de la paie des fonctionnaires de l’État par exemple.  La traçabilité peut se faire à l’aide des cahiers lignés !]

– Mobiliser la diaspora : pour investir dans des unités de transformation, des bijouteries, ou des circuits de vente certifiés.

– Plaidoyer international : pour exiger la transparence des chaînes d’approvisionnement (ex. : or congolais dans les bijoux européens).

À quoi devrions-nous plutôt penser le plus rapidement possible et comment ?

– « L’or du Congo ne doit plus enrichir les autres. »

– « De la mine à la bijouterie : l’or congolais, valeur ajoutée congolaise. »

– « Pas un gramme d’or sans justice, sans propriétaire, sans transformation et commercialisation locales. »

– « L’or du peuple ne doit plus financer les ennemis du Congo. »

Ne pas vouloir changer de fusil d’épaule nous tuera.

Les hommes que nous avons commis à la gestion de notre or, de notre État, par népotisme, nous mènent bien. Ils nous conduisent où il fallait s’y attendre. L’épuisement, possible, pure et simple, de nos ressources, sous nos regards hébétés.

Inspirer…


Proposer, ne suffit pas !

Ceux qui réussissent,  inspirent plus, convainquent : quoi de plus normal, de plus humain…

Si le Projet 2014 faisait des députés, ministres ou gouverneurs,  depuis 1999, il aurait sans diute déjà atteind l’objectif de 3.000 participants et de 50% de ministres inspirés par le projet.

Vous inscrire, c’est ici-même : https://projet2014.com/inscription.

La pauvreté continuera !


À la question de savoir « quels sont les objectifs du millénaire de développement », les OMD, qui n’ont pas été atteints et ceux qui l’on été et pourquoi, voici la réponse que fournit le Copilot. Elle doit nous faire réfléchir, avant même que nous n’entrions dans des documents plus descriptifs des détails des réponses fournies.

Dans le cas de notre pays, nous pouvons également affirmer que la pauvreté continuera, parce qu’aucun gouvernement n’ose se fixer des objectifs SMART, définir une stratégie efficiente pour les poursuivre ni mobiliser les ressources nécessaires pour réussir les projets ; exactement comme ce le fut des OMD.

« Les Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) étaient huit objectifs définis lors du Sommet du Millénaire en 2000, où les dirigeants de 189 États Membres se sont engagés à réduire l’extrême pauvreté et à construire un monde plus sûr, plus prospère et plus équitable d’ici à 20151. Voici un aperçu des progrès réalisés :

  1. Réduire l’extrême pauvreté et la faim : La cible de réduction de moitié de l’extrême pauvreté dans le monde a été atteinte. Cependant, la faim persiste dans certaines régions.
  2. Assurer l’éducation primaire pour tous : Des progrès ont été réalisés, mais des défis subsistent, notamment en matière d’accès à l’éducation pour tous les enfants.
  3. Promouvoir l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes : Des avancées ont été faites, mais les inégalités persistent dans de nombreux domaines.
  4. Réduire la mortalité infantile : Des progrès manifestes ont été réalisés dans la réduction de la mortalité infantile, mais des efforts supplémentaires sont nécessaires.
  5. Améliorer la santé maternelle : Des progrès ont été réalisés, mais la mortalité maternelle reste un défi majeur.
  6. Combattre le VIH/sida, le paludisme et d’autres maladies : Des traitements ont été étendus, mais ces maladies continuent de menacer la santé mondiale.
  7. Assurer un environnement durable : Des développements encourageants ont eu lieu, mais la protection de l’environnement reste un enjeu crucial.
  8. Mettre en place un partenariat mondial pour le développement : Des progrès ont été réalisés, mais il reste des inégalités dans la coopération internationale2.

En somme, bien que des succès aient été enregistrés, certains objectifs n’ont pas été pleinement atteints. Les raisons varient, mais elles incluent des défis structurels, des inégalités persistantes et des priorités politiques divergentes34. Le développement durable reste un objectif essentiel pour l’avenir, et les efforts se poursuivent au-delà de 20151. »

La faiblesse de tout ce qui nous est présenté se trouve dans le caractère non SMART des objectifs et dans la non implication suffisante des bénéficiaires des projets. Dans le cadre du projet 2014, nous voulons objectiver tous nos objectifs en définissant des indicateurs de performance quantitatifs et des valeurs visées claires pour toutes toutes les parties prenantes aux projets. Cette façon de faire permet d’exclure la démagogie, de clarifier les objectifs pour tous et de facilier l’évaluation en temps réel des projets.

La méthode de travail consiste à définir pour chaque objectif de développement :

  1. L’indicateur de performance.
  2. L’unité de mesure utilisée.
  3. La valeur ciblée à l’échéance.
  4. L’échéance.

L’enrichissement – la pauvreté.

L’égalité des sexes – l’inégalité des sexes.

L’autonomisation des femmes – la dépendance des femmes.

La santé maternelle – la mortalité marternelle.

Le VIH/SIDA – la déficience immunitaire.

L’éradication de la malaria – le paludisme.

Les protection sanitaires – les autres maladies.

L’environnement durable – l’environnement dégradée.

Le partenariat mondial pour le développement – l’impérialisme.

Territoire de Beni (Oïcha) : Appel à participation.


Chers habitants de tu territoire de Beni (Oicha), dans le but de continuer à développer notre habitat, notre agriculture et nos mines, EAE ASBL vous propose la valorisation de 4 km de part et d’autre de la route Butembo-Eringeti en y développant une agriculture industrielle et des villas pour tous les ménages. Près de 25.000 ha de champs coopératifs pour combattre :

  1. La pauvreté (apporter la richesse matérielle, financière, morale, spirituelle…) ;
  2. La colonisation (promouvoir les fils du terroir) ;
  3. L’esclavagisme (assurer des salaires justes).

Au programme :

  1. Appropriation de nos terres.
  2. Cultures vivrières et industrielles contrôlées par les autochtones.
  3. Valorisation du travail professionnalisme.
  4. Promotion de l’unité et de l’humanité…
  5. Organisation et contrôle des activités minières dans notre terroir.

Kikwit est mort !


Kikwit: les enseignants menacent de boycotter la rentrée scolaire | Radio Okapi

http://radiookapi.net

Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu

La ville de Kikwit est MORTE.  Ceux qui connaissent la géolitique congolaise savent pourquoi et comment.  A la fin des années 80, nous avons visité la ville en déliquescence.  Aujourd’hui, faute de n’avoir combattu, à part l’opération « Bandundu décendez », cet autre combat mal conçu, nos jeunes de Kikwit, tout comme leurs pères, son réduits à leur plus simple expression : il n’ont plus aucun pouvoir.  D’autant plus que le PALU les a, lui aussi, vendus…

Depuis que le mobutisme a résolu de mettre la ville de Kikwit à genou – pour une raison que la jeunesse ignore, très souvent – et que cette ville n’a pas résolu de prendre sa propre défence, rien ne peut y aller dans la bonne direction !
Venant après le pas PALU, qui a déçu plus d’un dans le Bandundu, Kongo ya Sika est le parti politique qui peut redonner à Kikwit sa belle image de jadis par un soutien démocratique du combat pour l’indépendance des peuples opprimés du Bandundu, comme aux autres peuples de notre Congo qui sont mis sous le joug de l’imposture que nous laissons trôner à Kinshasa.
La menace des enseignants, sans capacité ni force politiques de dissuasion, n’apportera pas une solution durable aux problèmes.
Notre proposition est de commencer par la disqualification démocratique de tous les hommes véreux que nous avons commis à la gestion de la chose publique et la qualification de nos vrais leaders pour un Congo véritablement nouveau : le pouvoir de nos peuples récouvré.

Diaspora et économie congolaise


Parlant du développement économique de la RDC et de ce que la diaspora congolaise peut y apporter, il faut penser à la production, au stockage, au transport, à la transformation, à la commercialisation et à la consommation des biens et services dans la RDC même.  Pourquoi ?

Vivant à l’étranger, la diaspora produit à l’extérieur de la RDC, difficilement, à cause du chômage dans les pays d’accueil, surtout dans l’Europe continentale, et des difficultés liées à la reconnaissance des diplômes congolais. Une frange importante de nos compatriotes arrive en occident sans diplôme du supérieur ; surtout parmi les femmes. Ces congolais sous-qualifiés sont contraints de se rabattre sur des travaux manuels, peu rémunérés.  Et même avec des diplômes de graduat, de licence voire même de doctorat en main, plusieurs de nos compatriotes sont contraints à subir l’exploitation économique ; comme certains autochtones d’ailleurs.

Les productions des congolais de la diaspora sont déclarées dans leurs pays d’accueil et ne sont donc pas comptées comme production de la RDC. Quelques rares émigrés du Congo ont des affaires indépendantes, des entreprises, parfois florissantes, dans leurs pays d’accueil. Leur succès n’est pas, lui non plus à porter sur le compte de la RDC. Il est donc difficile de contribuer à l’avancement de l’économie congolaise de cette façon-là.

La contribution de la diaspora à l’économie congolaise est difficilement évaluable, sinon que via les sociétés de fret, aérien ou maritime, et celles de transfert d’argent vers ou de la RDC, dont les congolais ne s’occupent pas encore assez de connaître les activités dans les détails. Les sommes transférées vers la RDC ne sont que très rarement investies dans des entreprises de production. En général, ces transferts servent plutôt à acheter des médicaments pour soigner des malades graves, à subvenir aux frais de mariages ou d’enterrements, à assurer la scolarité des enfants aux parents appauvris par les irresponsables du progrès de la RDC que sont les hommes véreux et sans compétence managériale qui se succèdent au pouvoir à Kinshasa, ou à construire des maisons d’accueil – villas – ou des maison qui permettent de préparer leurs prochains retours au pays, après leur pension en Europe.  Ce qui est une erreur dont nous traiterons plus tard…

Pourtant, la diaspora congolaise peut beaucoup faire pour participer plus intelligemment à l’essor de l’économie de notre chère Congo. Elle peut, combattre, avec succès, la colonisation qui sévit dans le pays et qui le ruine par le pillage des ressources, non seulement naturelles, mais aussi non-naturelles, que signifie cette colonisation. L’engagement de la diaspora sur le front de la production intérieure de la RDC est ce à quoi il faut s’attaquer. Plutôt que d’investir dans des entreprises pesantes de production, de stockage, de transport, de transformation ou de commercialisation et même de consommation de produits et services à l’intérieur du Congo, de manière à accroître le PIB de la RDC, la diaspora se dépense jusqu’ici à perpétuer la culture de la dépendance et ne promeut pas la culture du seul travail bien accompli, qui libère.

La meilleure façon d’aider nos frères du Congo est, ce nous semble, de les aider à créer des entreprises pesantes, à initier des projets de développement local et national robustes. Monter des sociétés viables pour qu’ils aient de l’emploi bien rémunéré et soient ainsi à même de combattre leurs ignorances, leurs incompétences, leurs déficits d’éducation politique. Ce faisant, notre peuple deviendrait fort et politiquement dans les conditions de conjurer la colonisation, la dictature, l’imposture, la trahison, la médiocrité. C’est du fruit de leur travail que nos frères du Congo pourraient alors s’acquitter de leurs obligations : se nourrir, s’instruire, se soigner, se loger, s’équiper. Et non pas se servir de l’argent obtenu sans effort pour survivre et ne jamais apprendre à travailler pour l’avenir de la nation. La situation actuelle favorise la paresse et n’aide pas le pays à aller de l’avant.

Il y a plus. Pour que la diaspora congolaise crée des entreprises pesantes au Congo, elle doit s’organiser. Elle doit fédérer ses ressources. Elle doit quitter son clanisme, son tribalisme son régionalisme pour s’investir dans un esprit capitaliste qui transcende les appartenances familiales, claniques, tribales, ethniques, raciales, régionales, d’origine ; pour s’investir sur la base des intérêts économiques de la RDC. Le bénéfice en terme de construction de l’unité de la nation sera donc énorme et garanti.

Concrètement, plusieurs congolais montent des affaires individuelles à quelques dizaines de milliers d’Euros. Avec ces affaires, ils ne peuvent pas engager de travailleur, mais ils doivent se contenter des services, très souvent mal rendus, des cousins ou cousines, des parents, ou bien, des fils ou filles. À se regrouper par localités, par territoires, par districts, par provinces ou au niveau national, par secteurs économiques, par convictions politico-économiques, les mêmes congolais de la diaspora, pourraient, sans accroissement de leurs mises, monter des affaires à quelques centaines de milliers, millions, dizaines de millions voire-même centaines de millions d’Euros. Dans tous ces cas de figure, ils seraient obligés de créer des emplois qui responsabilisent les leurs qui seraient invités à les occuper suivant des critères stricts fixés par la législation du travail, pour gagner leur vie de la sueur de leurs fronts. Personne ne serait quémandeur ou exploiteur de l’autre. Les colonialistes seraient obligés de céder la place aux fils du pays, progressivement et inéluctablement. Les dictateurs se trouveraient face à des lobbies forts, qui ne supporteraient pas leur existence et les nettoieraient de notre espace politique. Les traîtres actuels ne sauraient plus exister. Obligés de travailler comme les autres, le niveau d’instruction de notre population s’accroitrait rapidement, quelques soient les plans machiavéliques des occidentaux, actuellement dénoncés par la plupart d’entre nous.  Les médiocres se verraient obligés de se former pour échapper à la disette, à la mort, dans une société qui deviendra de plus en plus capitaliste ; s’éloignant du communautarisme négatif actuel.

Voilà, rapidement décrit une stratégie pour aller de l’avant, pour accroître l’impact des initiatives de la diaspora sur l’économie de notre cher pays. C’est pour cela que dans le Projet 2014, nous adoptons pour principe de troquer travail, service quelconque, contre tout à argent envoyer ou envoyé au Congo. Cela nous permet de faire la pédagogie du développement responsable, de contribuer au changement des mentalités, nécessaire, progressivement. Parallèlement, nous encourageons les communautés locales à fédérer leurs ressources pour devenir compétitives un jour face aux géants qui envahissent l’espace économique congolais.  C’est notre projet Coopératives.

GPAU

+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

From: congocitizen@yahoogroups.ca [mailto:congocitizen@yahoogroups.ca] On Behalf Of RDPC
Sent: lundi 20 janvier 2014 13:14
To: congocitizen@yahoogroups.ca; Hinterland1
Subject: [congocitizen] La diaspora dans le développement économique de la RD Congo

Quels choix pratiques, au profit de la République Démocratique du Congo, par rapport au patriotisme et aux actions politiques de ses émigrants ? Cette interrogation dépasse, à n’en pas douter, la simple approche propre à la diaspora et aux stratégies, ainsi qu’aux initiatives que celle-ci peut impulser de manière efficace par son engagement patriotique.

Il ne s’agit pas du tout question de monter une faction de la population contre une autre, ni de donner tort aux uns et raison aux autres, ni d’ailleurs d’attiser le feu. Mais il est plutôt question d’essayer de relever les faiblesses dans les relations entre la diaspora et le gouvernement, pour pouvoir valoriser et matérialiser davantage les atouts susceptibles de contribuer à l’émergence d’une République Démocratique du Congo solide, sur le plan étatique, et performante, du point de vie socio-économique.

Les inconvénients

L’exclusion d’une certaine catégorie des Congolais du processus électoral, sous prétexte qu’ils vivent en dehors du territoire national, ne cesse de détériorer le rapport entre le gouvernement et ses citoyens ayant émigré. Cette attitude est contraire aux dispositifs constitutionnels – tels que les articles 5 alinéa 3, 12, 50 et 66 – favorables aux droits humains, aux libertés fondamentales, aux devoirs du citoyen et de l’État.

Par ailleurs, sur le plan légal, l’existence du conflit entre les articles 10 et 72 de la Constitution, et le 1er alinéa de l’article 4 de la loi du 12 novembre 2004 relative à la nationalité congolaise, ne cesse d’empoisonner les rapports entre les Congolais de la diaspora et les gouvernants. En effet, les alinéas 3 de l’article 10 et 1er de l’article 72 de la Constitution du 18 février 2006 évoquent le caractère inaliénable de la nationalité congolaise d’origine, tandis que le 1er alinéa de l’article 4 de la loi du 12 novembre 2004 fixe la perte de la nationalité congolaise à l’acquisition de la nationalité étrangère par toute personne de nationalité congolaise.

Deux constats s’imposent à première vue. Primo, il est injuste que les Congolais de l’étranger concernés à la fois par le jus sanguinis et le jus soli puissent perdre la nationalité congolaise d’origine du fait de détenir une citoyenneté étrangère. Secundo, la terre en République Démocratique du Congo appartient aux tribus. Or, personne ne reniera les membres de sa famille parce qu’ils ont acquis une citoyenneté étrangère. Ainsi risque-t-on de s’exposer à des conflits fonciers, au cas où on leur contesterait injustement la nationalité congolaise.

Force est de constater également que l’insécurité à travers le territoire national ne facilite guère la libre-circulation des biens, des personnes et des capitaux, facteur indispensable au développement économique, à la liberté d’entreprendre et d’investir.

Sur le plan des infrastructures, l’enclavement du pays et le déséquilibre territorial, la carence des routes et des outils de communication constituent un handicap considérable quant à l’essor de l’emploi et au développement des activités commerciales. Enfin, la diaspora congolaise, qui plus est variée, n’est pas a minima structurée [lire la suite].

Gaspard-Hubert Lonsi Koko

© Jolpress

Les miettes pour la RDC


Le défi technologique à affronter est énorme en RDC, pendant que les ingénieurs civils s’y font rares si l’on tient compte des projets à concevoir ou à conduire.

L’espace politique étant pourri, il devient difficile d’espérer tant que rien n’est décidé au niveau personnel et collectif pour préparer le grand changement souhaitable, mais pas encore souhaité.

Que dire dans ce contexte de l’accident ferroviaire du Katanga ?

++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

[28-04-14 16:24:57] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: De vielles locomotives abandonnées en Australie et déclassées en Afrique du sud rachetées pour tuer les congolais. 
Dans un communiqué conjoint daté du 24Avril 2014,

les organisations de la société civile du Katanga membres de la plateforme pour la promotion et la défense des Droits Economiques Sociaux et Culturels (DESC/RDC) se disent préoccupées par les conséquences résultant de l’accident du train marchandise appartenant à la Société Nationale de Chemin de fer du Congo(SNCC) et accusent l’Etat Congolais, la SNCC et ses partenaires d’être responsables des accidents ferroviaires à répétition au Katanga, causant des pertes en vies humaines et matérielles. Les organisations membres de la plateforme DESC /RDC, dont font partis, Action Citoyenne pour la Bonne Gouvernance ACBG, Centre de Formation et de Promotion de la gouvernance dans le secteur minier CFPG, Centre pour la Justice et la Réconciliation, C.J.R, Humanisme et Droits Humains, HDH., Justicia ASBL, Observatoire Congolais des Minerais Radioactifs, O.M.R.A.C, Nouvelle Dynamique Syndicale, N.D.S accusent l’Etat congolais d’avoir failli à sa mission et le rend responsable de cette situation, par manque d’une politique en matière de transport.
 
Pour rappel, en date du mardi 22Avril 2014 aux environ de 10H00, un train de marchandise de la SNCC en provenance de Kamina, au Katanga et qui se rendait à Mwene-ditu, au Kasaï Occidental, a déraillé. Cet accident est survenu à plus ou moins 7 Km du village Katongola et à plus ou moins 47 Km de la ville de Kamina.
 
Des vieilleries pour tuer les Congolais
 
Selon ces organisations, ce déraillement est survenu à la suite d’un emballement de la locomotive, suite à un excès de vitesse et à la conduite en état d’ivresse du machiniste. Pourtant cette locomotive est l’une de celles acquises par le gouvernement congolais et qui avaient été réceptionnées pompeusement par le Premier ministre, Matata Ponyo à Lubumbashi au courant de l’année 2013.
 
Avec cet accident, ces Ongd se rendent compte que ces locomotives n’étaient pas neuves, mais bien des veilles qui avaient déjà été utilisées en Australie en 1962, puis en Afrique du Sud où elles étaient déclassées. A ce jour le bilan des victimes fait état de plus ou moins 350 personnes décédées sur place et plus ou moins 161 blessées. Parmi les morts, on a dénombré des policiers et des militaires des FARDC, des élèves qui revenaient de vacances, des athlètes et des commerçants.
 
Plusieurs personnes blessées ont succombé par manque d’une intervention d’urgence appropriée. Trois jours après cet accident, des corps sont encore dans les décombres ou coincés sous les wagons, déplorent les signataires de ce communiqué conjoint. Ces organisations de la société civile du Katanga signalent que l’achat des locomotives vétustes, leur manque d’entretien, le mauvais état de la voie ferrée et l’absence de motivation des travailleurs qui totalisent plus de 98 mois sans salaire sont parmi les causes de cet accident mortel. Cet accident est survenu alors que la SNCC a signé u contrat avec société Sud africaine du nom de Vecturis pour l’entretient de la voie ferrée et des locomotives. Elles regrettent de constater que Kinshasa tente de minimiser cet incident en divulguant des chiffres des personnes décédées et des blessées ainsi des circonstances inexactes de son déroulement pour échapper à ses responsabilités. C’est ainsi que ces organisations membres du DESC/ RDC recommandent à Kinshasa de communiquer à la population le chiffre exact des victimes et de diligenter une enquête mixte gouvernement, assemblée nationale et société civile pour élucider les causes et déterminer les responsabilités dans le déroulement de cet accident. Action Citoyenne pour la Bonne Gouvernance ACBG, Centre de Formation et de Promotion de la gouvernance dans le secteur minier CFPG, Centre pour la Justice et la Réconciliation, C.J.R, Humanisme et Droits Humains, HDH., Justicia ASBL, Observatoire Congolais des Minerais Radioactifs, O.M.R.A.C, Nouvelle Dynamique Syndicale, N.D.S exigent révocation du Comité de gestion et le Conseil d’Administration de la SNCC pour mauvaise gestion.
Elles exhortent Kinshasa à décréter un deuil national pour honorer les victimes et indemniser les victimes. Les organisations de la société civile sont priées d’organiser les victimes dans une association pour une action judiciaire contre l’Etat Congolais, la SNCC, le président du Conseil d’Administration de la SNCC et la Banque mondiale.
 
La VSV s’interroge
 
Pour la VSV, cet énième déraillement de train au Katanga avec plusieurs pertes en vies humaines relance avec acuité la problématique non seulement de la gestion de la SNCC en RD Congo mais également celle de la vétusté des locomotives de cette dernière. Pour la VSV, Kinshasa se trouve interpellé et doit en principe tirer les leçons des drames macabres survenus en prenant des mesures efficientes et appropriées concernant le fonctionnement et la gestion de la SNCC, pour sécuriser effectivement les voyageurs et les biens en vue d’éviter dans l’avenir de tels incidents.
 
Il convient de relever que depuis le début de l’année 2013, où des dizaines des personnes ont trouvé la mort suite au déraillement de train dans la province du Katanga, aucune mesure n’est prise pour éviter ce genre de drame. La VSV invite Kinshasa à accélérer l’enquête initiée à ce sujet pour faire la lumière sur ce énième accident macabre en vue d’établir les responsabilités et sanctionner les personnes mises en cause, et ce, conformément à la loi. L’ONGDH invite également Kinshasa à assurer une prise en charge effective des victimes et indemniser ces dernières et/ou leurs familles pour les préjudices subis. Enfin, la VSV exhorte le gouvernement Matata à sanctionner rigoureusement les responsables impliqués dans la gestion calamiteuse de la SNCC et les mettre hors d’état de nuire en prenant des dispositions qui s’imposent pour garantir effectivement la sécurité des voyageurs et des biens par voie ferroviaire et autres voies de communication.

Les dettes et l’EAE ASBL


[01:38:30] Belothi: Néolibéralisme et conséquences
Etats-Unis: la ville de Detroit se déclare en faillite
[01:39:14] Belothi: Les autorités de Detroit (Etat du Michigan) ont annoncé la mise en faillite de la ville en raison de l’impossibilité de rembourser de 18,5 milliards de dollars de dettes, rapporte jeudi USA Today.
« Je prends cette décision difficile afin que les habitants de Detroit aient accès aux services publics les plus élémentaires et pour que Detroit reparte sur des bases financières solides, qui lui permettront de croître à l’avenir », a annoncé Rick Snyder, gouverneur de l’Etat du Michigan, dans un communiqué.
La banqueroute était devenue inévitable après l’échec des négociations avec les créanciers. La municipalité avait en outre renoncé en juin à des remboursements liés à sa dette pour un montant de 40 millions de dollars.
« Motor City », ancien berceau de l’industrie automobile américaine, traverse une crise profonde. La ville a perdu la moitié de sa population en 60 ans et un quart de ses habitants depuis 2000. Près de 40.000 maisons sont vides, et 36% des habitants vivent en dessous du seuil de pauvreté.
Detroit est au premier rang des villes américaines de plus de 200.000 habitants pour les crimes violents. La municipalité n’est pas en mesure d’assurer l’éclairage public dans certains quartiers.
Detroit devient ainsi la plus grande ville des Etats-Unis à se mettre en faillite.
***********************  GPAU, Projet 2014, Bruxelles **************************
[11:19:20] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Intéressant de voir que la RDC cherche le salut à l’extérieur pendant que des villes américaines tombent en faillite !
[11:20:08] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: La mauvaise gestion de la chose publique n’est donc pas le propre de la RDC, mais est un phénomène fréquent dans le monde entier.
[11:20:31] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: La ville de Bruxelles, ma ville, n’est pas non plus des plus confortables…
[11:21:18] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Toutes les localités qui veulent avancer doivent déployer des efforts pour se maintenir au-dessus des lots : sans quoi, la déchéance vient au galot !
[11:21:53] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Voilà pourquoi, dans le cadre du projet EAE ASBL ( http://eaeasbl.wordpress.com, http://eae-asbl.blogspot.be ), nous proposons aux localités des collaborations utiles pour éviter l’endettement :
[11:22:09] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: électrifier avec les ressources locales ;
[11:22:28] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: distribuer de l’eau avec les ressources locales ;
[11:23:27] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: assurer une connexion Internet haut-débit pour l’ensemble de la population avec des fonds levés localement ;
[11:23:50] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: former dans les nouvelles technoogies de l’information et des communications avec des moyens locaux !
[11:24:16] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Cette façon de faire permet d’éviter des dettes qui ne sont souvent pas nécessaires du tout !

Au plus tôt cette collaboration commence, au plus tôt votre localité bénéficiera des services insupçonnés dans les 5 à 40 ans à venir, en fonction de la taille du projet.

Aussi étonnant que cela paraîsse…


Sondages

Le Premier ministre Matata Ponyo se réjouit du bilan social de son gouvernement, évoquant notamment la création d’emplois, la relance de l’agriculture, la construction des écoles et une nouvelle compagnie de transport. Pensez-vous que l’action du gouvernement est:

  • Devrait être améliorée (46%, 447 Votes)
  • N’est pas satisfaisante (44%, 429 Votes)
  • Satisfaisante (10%, 91 Votes)

Votes au total: 967

Source : http://radiookapi.net/actualite/2013/06/18/21-etudiants-congolais-arretes-en-inde/