La MONUSCO est-elle complice ?


C’est ce qu’on pourrait penser en lisant ceci.

Quelle seront les réactions de la présidence de la République, du gouvernement et du parlement ?

Les congolais intelligents en tireront de nouvelles leçons.

« Au même moment, je vous informe que la Monusco a installé sa base à Mukoko, sur le chemin menant vers Kasuku. C’est pourquoi, aujourd’hui, nous assistons à des incursions des ADF à Tenambo le dimanche, et hier à Kekelibo ; dans la même localité de Bakila Tenambo. »

Assurance obsèques


Plusieurs familles sont frappées par le deuil.  C’est le moment que certains membres de ces communautés se rappellent qu’eux aussi soient mortels.  Tout cela, devant des cercueils.

Une assurance obsèques ne vous tue pas avant le temps !  C’est la pauvreté, en revanche.  Votre famille nucléaire,  votre patriarchie,  votre clan, votre tribu, votre ethnie, votre alliance, votre peuple, votre confédération, peuvent organiser, leurs assurances obsèques,  sans le concours de l’État.

Cette forme de solidarité permet, aussi, d’apprendre à fédérer les ressources de la communauté, pour combattre la pauvreté plus facilement, pour faire face aux dépenses occasionnée par une mort, sereinement, par une assurance obsèques.

Dans une nation moderne, civilisée,  l’assurance obsèques devrait devrait être obligatoire, dans tout ménage,  dans toute famille.  Au Congo, nous proposons une assurance globale obligatoire pour tous.  Elle devrait inclure la responsabilité civile, l’accident, la maladie, l’invalidité, la perte de revenue involontaire, l’incendie, les obsèques, les véhicules.

Aujourd’hui, il ne faut pas attendre Kinshasa pour organiser son assurance.  Dans le projet EAE ASBL, nous pouvons vous aider à organiser votre propre assurance.  Ce conseil est, totalement, gratuit pour vous.

Jérémiades kivutiennes laçantes !


Suivez la vidéo suivante. Nous saluons au passage la qualité artistique de œuvre.

Soulignons cependant que les jérémiades n’ont jamais aider un peuple à se libérer, à se délivrer, à acquérir son indépendance. Multiplier des plaintes, c’est le vice des fainéants, ceux qui sont encore dans l’ignorance des lois politiques, des lois spirituelles. Nous mourons, faute de connaissance. Nous versons dans la distraction, dans des orgies et des idolâtries qui ne produisent et qui produiront encore et toujours notre ignominie, notre dépérissement, notre fatigue, notre désappointement, notre confusion…

Contrairement à ce que nous faisons :

  • mettons-nous au travail rentable : 16 heures par jour pour tout majeur, toute personne de plus de 18 ans ;
  • combattons toute forme d’ignorance en ouvrant des salles classes, physiques et virtuelles, partout où se trouvent des Congolais, pour apprendre à connaître qui nous sommes, ce pourquoi nous sommes sur terre, ce que nous voulons et comment nous entendons nous réaliser ;
  • dans le Kivu particulièrement, arrêtons nos orgies qui ne nous avancent pas : nos musiques inutiles, nos fêtes distrayantes, nos prières inefficaces, nos danses avilissantes, nos marches de couards, nos dénonciations agaçantes, nos accusations puériles, nos projets improductifs en termes de développement personnel, collectif et durable ;
  • plus que nos buildings et nos trafics des richesses kivutiennes et voisines, produisons de la science, de la culture, de la technologie, de la production, du commerce, de la consommation, de grande facture, pour imposer le respect de nos congénères humains, de nos compatriotes congolais, de voisins des pays limitrophes – dont nous nous plaignons d’être nos bourreaux ;
  • évaluons nos progrès, notre développement en temps réel, dans le cadre d’un observatoire conçu par nous-mêmes, pour nous-mêmes !
    Savourez en réfléchissant à ce que vous faîtes, l’oeuvre de nos artistes en cliquant sur ce lien.

Le social : 9 propositions novatrices de GPAU.


Ces derniers jours, les congolais ont été de plus en plus sensibilisés au méfait de l’égoïsme légendaire de nos parlementaires par la presse congolaise et occidentale. L’impérialisme occidental, cette fois-ci comme les autres fois, semble s’être curieusement mué en humanisme. Et pourtant…

Depuis décembre 1999, nous proposons aux congolais, sans que personne n’y prête attention, un passage de la République à une Union d’états indépendants du Congo ou de l’Afrique Centrale, l’UEIC, pour couper l’herbe sous les pieds des hommes véreux que nous avons commis à la gestion de la chose publique, par ignorance, par esprit d’hégémonie clanique, tribale ou segregationiste. Parmis ces hommes, se trouvent en tête des parlementaires qui s’attribuent des salaires d’iniques, de 17 à 21 milles euros par mois, sous la barbe de près de 100 millions de congolais !

Pour nous sortir de la crise qui perdure, pour focaliser nos efforts, dans le domaine du social, comme dans les autres domaines, nous avons formulé des propositions et les avons déposées sur une table non visitée.

Notre proposition à nous est que la tension salariale (salaire maximum/salaire minimum) reste inférieure ou égale à 5 et que le salaire minimum soit supérieur au minimum vital que nous estimons à 1250 €/mois, pour une personne isolée. C’est notre manière d’offrir aux congolais de vivre dans un mimimum de justice sociale et de confort de vie.
Le plus haut salaire net ne doit donc pas dépasser les 6250 €/mois pour une personne isolée.

Puisque notre dernière proposition est d’appliquer une imposition de 57% sur les revenus bruts, les salaires bruts doivent être compris entre 2193 €/mois et 10.965 €/mois pour la personne isolée. Cette imposition novatrice vise à permettre à chaque congolais de maintenir son niveau de vie à la retraite.
Voilà quelques unes de nos propositions, du ressort du social, sur lesquelles les congolais crachent depuis décembre 1999 :

  1. le salaire minimum ;
  2. le salaire maximum ;
  3. la sécurité sociale minimale pour tous.

Nos autres propositions touchant au social sont :

  1. l’obligation scolaire jusque 24 ans ;
  2. l’obligation de travail dès 25 ans ;
  3. la qualification obligatoire de tout travailleur ;
  4. une villa spacieuse et fonctionnelle pour tout ménage ;
  5. l’énergie, l’eau et l’électricité, aux portes de tous les ménages et de toutes les entreprises ;
  6. la priorité aux nationaux en matières d’emploi, à qualifications et expériences égales.

Nos propositions sont innovantes en qu’elles ne demandent aucun endettement extérieur. Le financement des changements à opérer sera à 100% congolais. Parce que :

  1. tout congolais sera au travail au regard de nouveaux chantiers à ouvrir, dans plusieurs secteurs ;
  2. tout salaire sera taxé, à près de 57%, à la source ;
  3. le produits congolais seront de grandes valeurs du fait de la qualification des travailleurs et de la forte hausse des bas salaires ;
  4. une réduction brutale de la corruption et sursaut de patriotisme…

Le démarrage de ce projet attend le reveil de la conscience nationale que réussira à provoquer l’implication des membres de Kongo Ya Sika dans la mobilisation de notre peuple.

Une pension pour tous ?


Une pension pour tous, c’est ce que nous proposons à la RDC et… À la Belgique. Pourquoi et comment ? À quel coût ?

Par exemple : quelle sécurité sociale et comment la démarrer chez vous, demain, en attendant que Kinshasa se soumettent à nos peuples ?
Nous avons en projet :

  1. Travail obigatoire après 25 ans, jusque 65 ans au plus tôt, avec un salaire supérieur au minimum vital. Et… Souscription obligatoire d’une assurance pension, après 25 ans.
  2. Cotisation pour l’assurance pension : 33,33% au moins du salaire brut.
  3. 1ère garantie : dernier salaire (à 65 ans) maintenu jusque 85 ans au moins ! C’est-à-dire : maintient voire même augmentation du niveau de vie après 65 ans. Avec ou sans travail.
  4. 2ème garantie : liberté de travailler, jusqu’à sa mort, après 65 ans : sans prélèvement des 33,33% de la pension !

Que deviendront alors nos cotisations ? Qui les gérera ? Et comment ? Tels sont thèmes qui suivrons…