Mener la foule…


Un homme politique patriote, responsable, mûr, ne se laisse pas mener par le peuple.  Il l’écoute, intelligemment et sagement.  Mais c’est lui, qui par son génie, au demeurant, définitivement, mène le peuple, la foule…

C’est pour cela que nous devons faire très attention à nous lancer dans la politique, avant de n’avoir vérifier, nous-mêmes, notre maturité politique !

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[15:26:14] Romy Luyindula: L’actuelle constitution a ete elabore en Belgique pour asservir les Congolais.  J’ai dis: C’est une charte d’occupation et on a que faire avec cette chartre.
[15:43:15] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Qu’a-t-on à faire à la place ?
[15:48:53] Romy Luyindula: La resistance pour chasser les occupants
[15:55:18] Romy Luyindula: Nous ne pouvons pas marcher au rythme des occupants.
[15:55:29] Romy Luyindula: Chassons-les
[16:18:45] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Comment ?
[16:21:23 | Edited 16:23:04] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Les rébellions, plutôt que de les chasser, se sont retrouver en train, elles aussi, de voler, piller, violer, égorger ; exactement, comme les occupants…
Nos hommes politiques de l’opposition ont très difficile à organiser une offensive politique sérieuse contre le kanambisme.
Notre armée, accepte chaque jour à servir la cause de l’occupant.
Quelle est ton analyse et quelle est ta proposition en terme de stratégie claire, démocratique et réaliste.
[16:23:55] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Nous avons proposé au peuple la disqualification des hommes véreux que nous avons commis à la gestion de la chose publique.
[16:26:24 | Edited 16:28:19] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Le peuple ne sait pas m’écouter, puisque, pour ne pas exposer des vies humaines, j’utilise des canaux très limités.  Nos autres frères de l’opposition faisant tout pour que mes idées, chrétiennes, capitalistes et démocratiques n’atteignent pas leurs fiefs ; de peur que le peuple n’y adhère et abandonne la voie d’une lutte armée qui ne fonctionne pas et qui ne fonctionnera pas ; c’est-à-dire, n’apportera pas, en tout état de cause, une paix durable.
[16:39:45] Dieu-Benit lespatriote: Mr Grafele excuse moi de vous dire que dans le Congo actuel il ni y’a pas de proposition en terme démocratique ou réaliste .  L’imposture qui règne dans la pays ne partiras jamais démocratiquement. Pour cela que tous les vrais fils du pays se mobilise est trouve une solution en terme de rébellion,coup d’état, soulèvement populaire pour chasse les occupant . Car dans soit disant l’armée il y’a des infiltré . Celui qui veux la paix prépare la guerre
[17:09:44] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Dieu-Benit,
Pourquoi t’excuses-tu d’abord ?
N’est-ce pas un devoir civique pour toi et pour moi que d’apporter sur cette table virtuelle de travail les preuves de nos allégations ?
D’un point de vue historique, au Congo, personne n’a encore démontré qu’une lutte démocratique ne nous permettra pas de venir à bout de l’imposture.  A moins que je sois dans l’ignorance d’une partie essentielle de notre histoire.
Deuxièmement, l’histoire du Congo, montre, en revanche, que tous ceux qui ont prétendu, jusqu’ici, que nous arriverions à bout de l’imposture par les armes, ont menti siciemment ou se sont glorieusement trompés.  Explore, à nouveau, les thèses lumumbistes, mobutistes, kabilistes (et kanambistes) !
Pour approcher la question, rigoureusement, étudions les causes des échecs.  Etant donné surtout que plusieurs nous avertir de ces échecs, mais que nous ne les écoutassions pas.
[17:12:17] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Dieu-Benit,
Tu sais avec moi – et c’est notre devoir de l’apprendre à notre jeunesse – que tous ces trois quatre régimes commirent et commettent le même péché ou presque.
Les trois premiers mentir aux congolais.
Le quatrième use des stratagèmes de toute sorte pour cammoufler sa vraie motivation : tuer le Congo.
[17:13:01] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Les lumumbistes, les mobutistes et les kabilistes ont mentis aux congolais quant à la manière de développer notre pays.
[17:14:33] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: L’indépendance de Lumumba n’était qu’une proposition de voir les colonialistes céder la place à d’autres dictateurs, à d’autres escrocs politiques indiscutables – expression que j’emprunte à Kwebe Kimpele.
[17:17:08] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: En 1960, tout comme aujourd’hui d’ailleurs, qui pouvait honnêtement promettre aux congolais, honnêtement, de rouler en bus, de prendre l’avion, d’aller à l’école, à l’hôpital gratuitement et de circuler dans tout le pays sans laisser-passer, sans compromettre la spoliation de nos moeurs et causer ainsi la déchéance du congolais ?
[17:18:08] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Inutile dire la suite…
Je présume que tu connais la monstruosité du mensonge mobutiste et de la démagogie kabiliste.
[17:19:34] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Plus près de nous, un ingénieur civil, qui veut développer la RDC avec 9 milliards de dollars, tu veux me dire qu’il se trompe tout simplement ?  Qu’il commet une erreur, humaine, de calcul ?
[17:20:13] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Quel est cet universitaire qui peut honnêtement prétendre qu’un état de droit se construire avec la lutte armée ?
[17:20:29] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Où est-ce que cela s’est-il jamais fait ?
[17:21:27] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Nous avons été à l’école et nous savons la vérité à ce sujet : l’arbitraire ne produit que le désordre, la rébellion, l’ignominie d’un peuple !
[17:21:53] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: C’est le courage politique, la justice qui hisse les peuples.
[17:22:52] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Il est donc notre devoir d’instruire correctement, de manière responsable : nous devons combattre Kabila démocratiquement.  Sinon, nous sommes pire que lui et cela se verra une fois que nous serons au pouvoir.
[17:23:22] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Preuves historiques congolaises ?
[17:25:54] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Comment ont été les territoires gérés par le RCD, le MLC, l’UPC et les autres ?
Pourquoi est-ce que ces territoires n’ont pas fait long feu ?
Leurs « créateurs », ne prétendaient-ils tous rechercher la démocratie et le progrès ?
N’ont-ils pas tous menti aux congolais sciemment ?
Ils ont tous connus Lumumba et son échec, Mobutu et son échec, et certains, Kabila et son échec.
[17:27:15] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Non, Dieu-Benit, c’est prouvé, par l’histoire que la violence n’appelle qu’une autre violence.  La tuerie n’appelle qu’une autre tuerie et que la discipline n’impose qu’une autre discipline.
[17:29:13] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Voillà, en résumé, la thèse que nous défendons dans notre parti : il faut absolument que le congolais se résolve à choisir la voie de la vraie de l’indépendance, de la vraie démocratie : la lutte politique. Ce sont les niais, les paresseux et les véreux qui proposent la guerre sans donner l’exemple en se mettant au front.
[17:31:18] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Nous sommes au front de la lutte politique et nous vous invitons tous à venir nous appuyer.
L’UDPS avait raison : la lutte devait être politique.  Elle se trompe en suivant la foule.  La responsabilité politique nous impose de garder le cap et de ne pas nous laisser tirer par une foule.
Un politicien responsable mène la foule.  Ce n’est pas la foule qui le mène.

[17:42:56] Dieu-Benit lespatriote: Mr. Graphèle pour rapidement intervenir je dirais non ce faut à ta façon de dire que c’est prouve par l’histoire que la violence appelle une autre violence ou la tuerie appelle une autre tuerie. Je sais pas ou tu vie, mais une chose est sur est certain que si vous vivez ici en Europe ou Amérique vous n’allez pas mes dire les contraire que ce grâce aux tuerie est violence que ce pays sont telle qu’elle sont aujourd’hui. Si ce faux prouve les moi
[17:47:18] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Dommage pour toi, Dieu-Benit : je vis en Belgique !
Je constate que tu n’arrives pas à trouver le contre-exemple.  J’ai étayé mes thèses, sans aller dans les détails, commençant par les Ecritures, terminant pas Kanambe.
Donne l’exemple de ton pays occidental qui a fait la paix, la démocratie, avec la guerre.
Je suis ici, je vois des formes de dictature qui n’existait au Congo !
Arrêtons de tromper nos compatriotes.
Où vois-tu une république faire la démocratie ici en Occident ?
Moi, toutes les république que j’étudie ici en Europe, je les vois subjuguer leurs peuples comme la RDC de tous les régimes confondus !
[17:47:39 | Edited 17:48:05] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Plusieurs me sont témoins et l’ont écrit sur nos fora !
[17:50:54] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: La république contient en elle-même le germe de la dictature : il ne faut pas aller à l’école pour le comprendre. Investir, inutilement, un président, des pouvoirs dont il n’a pas besoin pour présider à la destinée de sa nation, c’est déjà en soit une trahison, Dieu-Benit.
Dieu ne nous a-t-il pas toujours déconseiller d’appeler qui que ce soit « père » ?  Or, la république, c’est en soit, une appelation tacite, du président : « père » !
[17:52:27] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Lis les discours de Matat Ponyo ou des officiels de n’importe quel république, africaine, occidentale ou orientale et dis-moi que j’ai tort : je ne te répondrais pas ; je comprendrai que nous ne sommes pas nés sous le même enseigne !
[17:52:33] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: (rofl)
[17:52:44] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: 😦

Attention : ce n’est pas pour cela que l’on sort des poisons ou des kalashnikovs !
J’attends, sans doute, le peuple aussi, des arguments plus convainquants, Dieu-Benit !

[18:01:56] Dieu-Benit lespatriote: Je fait partir de ce congolais qui n’a pas pus apprendre l’histoire de son pays à cause de la mal gouvernance, la manipulation politique des nos ancien dirigeant par les occidentaux est la manque du patriotisme que notre pays ce trouve dans cette fausse
[18:05:03] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Je peux le comprendre !
[18:06:59] Dieu-Benit lespatriote: Comme toi, moi aussi je n’approfondisse pas mes idée mais tu a du mal à mes comprendre, on parle de la violence comme tu la bien soulevé dans ton argument
[18:07:48] Dieu-Benit lespatriote: La violence peut être une solution dans certain cas comme notre pays
[18:10:03] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Lis ce que le lumumbisme, le mobutisme, le kabilisme et la kanambisme prétendent !
Cela se trouve dans des livres, sur le net.  Tu verras toi-même combient la supercherie est grande.
Attention, dans toute les époques, il y a eu des congolais qui ont veillé.  Certains, pour leur civisme, ont été massacrés par les esclavagistes d’abord.  Les colonialistes, dictateurs, les imposteurs – la les acceptions courants de ces termes – sont venus par la suite.
Ce n’est pas aujourd’hui que nous combattons.
C’est depuis 1976 que nous avons commencer le combat contre tout ce qui avilit le congolais ; ayant nous même grandi au pied de ceux qui ont commencé le combat avant nous, bien avant l’indépendance même !
[18:12:10] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: La révolution populaire est une forme de violence : démocratique.
Quand j’invite les congolais à rappeler les députés qu’ils ont nommés et qui abîment notre nation, je ne leur demandent pas d’y aller à genou : mais bien débout, comme souverain primaire, le vrai !
[18:13:00] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Quand je demande à nos parlementaires d’interpeller JHK, ce n’est pas en lui faisant de courbettes, mais bien en l’invitant à la barre pour répondre de ces actes !
[18:14:20] Dieu-Benit lespatriote: Peut tu participer un jour dans notre émission sur la radio lobiko? Comme ça on pourras avoir les temps de discute,
[18:14:51] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Je ne prêche pas la soumission, mais la liberté, la dignité.
Et crois-moi, la liberté, la dignité, le travail auquel j’invite les congolais qui veulent comprendre et agir, n’est pas de la molesse : cela demande d’être physiquement, moralement et spirituellement fort.
[18:15:21] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Sinon, pourquoi dirais-je que nous DEVONS tenir le torreau par ses cornes pour les renverser ??????
[18:15:49] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Dieu RESISTE aux orgueilleux.
[18:16:28] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Ce sont les « faiblards » – qui s’ignorent, très souvent – qui rentrent en brousse, pour chasser leur bourreau !
[18:17:39] Dieu-Benit lespatriote: La je partage ta thèse
[18:17:53] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Ce que je dis est que nous devons affronter Kanambe de face.
Il n’est pas ce que nous croyons qu’il serait. Tous les dictateurs sont des peureux.  Sinon, pourquoi porterait-il un revolver aux réunions du conseils des ministres ?
[18:21:38] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Si tu partage ma thèse, vient avec moi et prendre Kanambe et ses ouailles pour les jeter en prison !
Nous serons justes en faisant ainsi et les méchants reconnaîtrons que ce sont eux, qui saccagent la terre, qui seront, définitivement détruits.  En attendant notre délivrance finale, de ce corps de corruption, Dieu dressera un table garnie, POUR NOUS, en face de nos ennemis.
Si cela tarde, c’est parce que le congolais a abandonné Dieu, pour ses divinités : des amulettes, des gurus inopérants !

CFD20140724


Notre conférence débat : texte introductif

« Parti politique : comment faire des membres utiles et satisfaits ? »

Pourquoi traiter de cette question ?

Comment faire des membres ?

  1. Pourquoi traiter de cette question ?
  • Le parti politique vise à participer à l’exercice du pouvoir au sein de l’état
    Pas pour le doux yeux des citoyens – mais pour répondre aux attentes de la population
    Pas pour le bon plaisir des membres – l’enrichissement personne sans préoccupation de l’avenir de la masse
  • Pour accorder au peuple de jouir des bienfaits de son projet de société et de l’apprécier au résultat
    Il faut l’avoir, ce projet de société – quels sont nos partis politiques qui présentent des projets de société dignes de ce nom
    • Un projet de société congolais c’est
      • une situation insatisfaisante pour le peuple congolais
      • une solution acceptée par le peuple congolais
      • une évaluation positive du peuple congolais
    • Il doit être une réponse aux attentes de la population, appréciée par celle-ci
      • quelles sont les attentes de notre population ? La paix, le progrès de l’ensemble des congolais
      • Quelles sont les réponses proposées par nos partis politique ?
        • Où les trouve-t-on
        • Quelle critique en fait-on : où sont les débats sociaux autour des projets ? Dictature, imposture…
        • Où sont les amendements ? Médiocrités, irresponsabilités… Ne pas nous exclure
      • Quels sont les résultats obtenus sur terrain ? Concrets, mesurables, évaluables, palpables (au temporel, comme au spirituel)
  • Pour permettre à ses membres de toucher le dividendes du travail accompli en élaborant, en proposant et en conduisant un projet de société plus proche des désidératas du peuple
    • Un parti politique responsable élabore un projet de société
    • Il propose le projet de société élaboré et enregistre la réaction de son groupe-cible : le peuple (congolais en l’occurrence)
    • Il conduit le projet de société d’une main de maître quand le peuple lui en donne le feu vert via les mécanisme « électoraux »
    • Il évalue continuellement l’impact de son intervention, avec le peuple, pour améliorer dynamiquement SON projet de société
  • Pour réussir sa mission, le parti politique, dans une démocratie, a besoin d’électeurs : d’un maximum d’électeurs – modalités d’accès au pouvoir
    • Dans la phase d’élaboration du projet de société – définition de la problématique – de l’attente populaire – de l’objectif national – de la stratégie de développement
    • Dans la phase de promotion du projet de société : propagande électorale – marché de dupes ? Dans quelles conditions ?
    • Dans la phase de l’exercice du pouvoir : – la collaboration – la gestion de l’opposition – l’adhésion des autres partis (Plateformes, coalitions, synergies, concessions, transactions…)
  • C’est pour cela qu’il adapte dynamiquement et avec responsabilité son projet de société pour rencontrer les besoins du peuple, sans pour autant trahir sa doctrine
    • Un parti sans doctrine n’est pas sûr pour ses membres, pour le peuple, pour les partenaires
    • Un parti rigide n’est pas de la terre : c’est une dictature, une manipulation, une ruine pour un peuple (la pensée unique, l’abus du pouvoir, les meurtres politiques, la perte de la mission de vue…)
  • Un projet de société est un projet de développement national, intégral, idéalement démocratique, le plus complet possible
    • Un projet de société est un projet comme tout autre
      • Il part d’un groupe-cible (les congolais) en situation insatisfaisante (trahison, esclavagisme, colonisation, dictature, imposture, tripatouillage, médiocrité, insécurité, pauvreté, guerres…)
      • Il se fonde sur une vision du monde, des attentes, une motivation, d’un idéal, des buts, des objectifs…
      • Il représente un engagement, une stratégie faite d’actions à mener pour obtenir un changement de la situation vécue, une mobilisation de ressources de toutes sortes (intégralité, multisectorialité, globalité), une planification, une évaluation-correction permanente (conduite adaptative)
    • L’entreprise, le groupe-cible, est la nation
    • L’objectif est le développement national intégral – le caractère national – la complétude, la multisectorialité/polyvalence, globalité
  1. Les grandes tentations
    1. La tentation du clientélisme, le confort de la paresse
      1. On ne dispose pas d’un projet de société, mais on veut être au pouvoir à tout prix, pour être le dominateur, le maître, l’exploiteur – notre appauvrissement culturel
      2. Quelques pots de vins, T-shirt, képis, cartes de membre, badges, concerts enivrants et envoutants, quelques incantations magiques/superstitieuses/spiritualistes<spirituels>… – la corruption qui nous place en tête du palmarès de la corruption
      3. Une argumentation ségrégationniste, séparatiste, confusionniste, à volonté <> irresponsables, sentimentale – le caractère éphémère de nos succès…
    2. La tentation de la démagogie
      1. A défaut de mériter une place sur l’échiquier politique, tenant à la gloire imméritée, on se décide d’user du mensonge public
        1. La politique c’est mentir – un emprunt servile de l’occidental ? Avec une perte de notre identité culturelle – de la justice au droit.
        2. La politique c’est tuer le véritable, l’ennemi – la décimation de notre peuple qui continue jusqu’aujourd’hui, au pouvoir comme dans l’opposition, où la majorité vit l’illusion de la victoire par la lutte armée (opposition) ou par la terreur (pouvoir)
      2. L’expérience est que le peuple aime les séducteurs
        1. Comme une prostituée aime l’homme « chic, choc, chèque » des années 70 et 80 – corruption jusqu’à la moelle de l’État
        2. Parce qu’ils sont les plus nombreux et les plus riches – le royaume de Satan – le monde est voué à ce dernier, pour un temps – Erreur spirituelle aux conséquences temporelle graves pour les générations passées, présentes et futures…
        3. La culture de l’immédiateté : ne pas rater son train, demain s’occupera de lui-même, nos enfants se prendront en charge <l’iniquité des pères sur les enfants, les petits-enfants, les arrière-petits-enfants… jusqu’à la quatrième génération> – l’appauvrissement du plus grand nombre, dont la prima curia, le pprd a besoin pour survivre et les sacrificateurs du bokokisme et des ordres mystiques ont besoin pour avoir des offrandes…
      3. 54 ans d’expérience
        1. Le lumumbisme et les écoles, les bus, les avions, les hôpitaux gratuits ; le travail, l’électricité, l’eau offerts par l’État…
        2. Le mobutisme et son parti-état qui règlerait tous les dix fléaux identifiés par le comité central…
        3. Le kabilisme et sa salutation populaire en coups-de-têtes et son ndombolo qui n’ont pas réglé les problèmes, mais qui ont plutôt frustré plus d’un lingalaphones <la revanche des swahiliphones> – bipartition ou tripartition politique et culturelle du pays <> balkanisation du pays ; regarder à ce qui se passe dans nos radios
        4. Le kanambisme et l’extériorité de sa sécurité qui amène une grande famille dans un gouffre : la revanche des combattants et résistants qui fulminent de rancœurs, dans leur humiliation ; le retour en force, tout prochain, de la diaspourie… – luttes intestines
        5. Le kagamisme – le « tutawatawala na silaha » qui invite à une prochaine vengeance des 6 à 12 millions de morts congolais… – coexistence conflictuelle
    3. La tentation de la dictature, de la tricherie, d’un coup d’État
      1. Le pouvoir qui corrompt :
        1. On s’enrichit
        2. On domine et on commande
      2. On est béni de l’extérieur
        1. Pillages du pays : ressources naturelles, ressources humaines, culturelles et autres
        2. Maintien des populations dans l’ignorance et de ce fait dans la dictature et l’imposture
  2. Comment faire des membres ?
    1. Introduction
      1. Ne pas perdre de vu l’objectif : faire des électeurs convaincus et convaincants
      2. Connaître les difficultés et les mérites
      3. Connaître les capacités et les aptitudes à développer
    2. Connaître les difficultés et mérites du travail de recrutement
      1. Que combattons-nous
        1. La trahison
        2. L’esclavagisme
        3. La colonisation
        4. La dictature
        5. L’imposture
        6. La médiocrité
      2. La trahison
        1. De nos aïeux
        2. De nos parents
        3. De nous-mêmes
          1. Démission
          2. Mauvaise foi, méchanceté
        4. De nos enfants, de notre progéniture
          1. Que leur apprenons-nous
          2. Comment les éduquons-nous
            1. L’acculturation – diaspora uniquement ?
            2. Les valeurs ou le nationalisme étroit ? Lesquelles, comment les connaître…
      3. L’esclavagisme
        1. Qu’il nous viennent de l’extérieur
        2. Ou de l’intérieur de la RDC – les anciennes inimitiés entre nos familles, nos patriarchies, nos clans, nos tribus, nos tribus, nos langues, nos cultures nos régions
      4. La colonisation
        1. Du belge
        2. De l’occident
        3. De l’Africain
        4. Du congolais
      5. La dictature
        1. Des étrangers – imposteurs
        2. Des nationaux – milices, unitaristes, gurus des formations et partis politiques, nos églises, de nos enseignants
      6. L’imposture
        1. Différence = la non congolité de l’esclavagiste, du dictateur
        2. Ressemblance = motivations, fondement idéologique… exploitation, volonté de domination, d’hégémonie, de suprématie immérité <suprématie économique dans la jungle mondiale : la loi du plus fort…>
      7. La médiocrité
        1. La paresse – le choix de la facilité, le mépris d’autrui
        2. Les limites – nous sommes des êtres limités, matériellement et spirituellement <les excuses faciles>
        3. L’ignorance <mon peuple se meurt, faute de connaissance : qui connaît nos vrais intérêts ? n’y a-t-il que les intérêts nationaux ? Comment concilier l’inconciliable ?>
    3. Connaître les capacités à développer et bénéfices <objectifs, limites apparentes>
      1. Capacités dialectiques
        1. Une argumentation
        2. Une patience humaniste
        3. Une loyauté vis-à-vis de tous
          1. La famille
          2. La patriarchie
          3. Le clan
          4. La tribu
          5. L’ethnie
          6. La nation
          7. L’État
      2. Des capacités spirituelles exceptionnelles
        1. La composante spirituelle ou mystique du pouvoir
        2. L’exercice spirituel nécessaire
        3. Les séminaires, congrès ou l’école du parti
        4. Un endoctrinement ou une initiation ?
      3. Des capacités professionnelles solides
        1. La formation professionnelle <> la politique est-elle une profession ?
          1. Savoir concevoir un projet de société
          2. Savoir le conduire
          3. Savoir l’évaluer
          4. Savoir le promouvoir
        2. L’éducation : une éthique, une culture politique…
          1. Que peut-on dire/taire ? Qu’est-on en droit de dire/taire ? Que ferait-on bien de dire/taire ?
          2. Comment manager les membres et le peuple ? Quelles relations, quels rapports à autrui, quels jugements de valeurs, quelle attitude
        3. L’instruction : une connaissance de l’histoire, mais aussi des technologies, des techniques et des outils de la science politique
          1. Tout le monde peut-il faire la politique ?
            1. S’occuper de la gestion de la chose publique
            2. Parler gestion de la chose publique
            3. Parler de la gestion de la chose publique
          2. À quelle condition ?
            1. Se former
            2. S’éduquer
            3. S’instruire
              1. Où ?
              2. Comment ?
              3. Sur quoi ?
              4. Quand ?
    4. Concrètement : appliquer les connaissances, tirer profit des opportunités, contourner ou renverser les obstacles
      1. Se préparer – mais ne pas trop tarder à mettre la main à la patte
        1. Les ressources – matérielles, immatérielles
        2. La stratégie – objectifs, échéances, actions, évaluations, alternatives, publicité
      2. Dresser la liste des prospects – tête-à-tête, téléphone, sms, email, audio, vidéo (Skype, talk-fusion, )
      3. Commencer par les proches – faire attention aux pièges du clientélisme et du népotisme
      4. Jouer sur la puissance du travail en réseau (multiniveau) pour continuer le travail – cf. Marketing de réseau, réseau sociaux
      5. Avoir le regard sur le tableau de bord – réduire la surface de contrôle, accroître l’efficacité…
      6. Ne pas négliger la propagande… Éviter le piège de la satisfaction facile, même quand on approcherait les 100% de la population derrière soi ! – cas de l’UDPS et du PALU
      7. Éviter la compromission, reconnaître son positionnement dans l’espace politique et participer à sa purification !
      8. Ne jamais trahir sa patrie – par qui et pour qui on fait la politique

Camp Tshatshi


Que nous réservent les mois à venir ? Est-ce le début de l’apocalypse que nous prédisions ? Combien de temps faudra-t-il encore attendre et pourquoi ?

Le pouvoir de Kinshasa continue à être la cause de la mort de plusieurs congolais et de plusieurs étrangers qui vivent sur notre territoire.

Pendant que celui-ci prétend en avoir fini avec la guerre à l’Est, force est de se rendre compte que, comme nous l’avion annonce en mai 2011, le pire est encore à venir. Mars 2012, nos prédictions ont commencé à se réaliser et nous avons fait observer que ce ne fût là que les commencements des douleurs. Hier, nous sources parlent de 7, 15 voire 25 morts dans la capitale de notre pays.

Et encore une fois, Kinshasa ne peut pas continuer à tromper notre peuple indéfiniment ni impunément, contrairement à ce qui se passe pour l’instant. Au plus le gouvernement de Matata mentira aux congolais, au plus l’étau se resserrera autour le régime de Kanambe, qui est la source première de tous ces morts, en subira les conséquences. Pourquoi ?

Parce que Dieu résiste aux orgueilleux et à ceux qui ont les coups roides. Tout indique que le régime qui trône à Kinshasa sait que les congolais sont décidés à aller jusqu’au bout de cette bataille qui finira probablement par la mort tragique des tenants du régime. Le soutien de la Russie, de la Corée du Nord ou encore des autres états satellites de la Russie ne pourra rien contre la volonté d’un peuple qui veut son indépendance. Ceci, quand bien même l’opposition reste encore très désorganisée, très divisée, sans leaders de grande carrure.

Il n’y a que deux choix qui s’offrent aujourd’hui à l’imposture : se rendre et ainsi permettre à l’Afrique Centrale d’aller vers la paix ou se suicider et ainsi retarder l’avènement de la paix dans tous nos pays de l’Afrique Centrale. Fort heureusement, tous les acteurs kinois de la crise connaissent ceci ; même si jusqu’ici, le commerce de dupes continue.

Si Kinshasa se rend, une partie et une partie seulement de nos maux sera résolue. Le doute sur la nationalité du prochain président élu, qui succédera forcement à l’imposture, sera levé et cela à lui seul apaisera beaucoup d’esprits surchauffés. Cependant, l’âge du président élu étant très avancé, la question de la paix après 2016 se posera inéluctablement. Parce que, malgré nos appels à la concertation autour d’une table de travail, l’opposition demeure très mal préparée pour nous proposer un leader capable et acceptable pour tous les congolais, après Tshisekedi qui n’aura logiquement plus la force de briguer, raisonnablement, un autre mandat politique tout en garantissant la paix dans le pays.

La division des congolais sur la manière de résoudre la question rwandaise est profonde. La majorité veut la guerre, mais n’a visiblement pas la capacité de l’organiser et encore moins d’en vaincre une seule. Cette guerre, si elle a lieu, nous savons qu’elle ne sera qu’elle ne renverra la paix qu’à plus tard. Parce qu’elle invitera d’autres congolais à entrer dans l’opposition. Une minorité dans l’opposition voit juste : propose une résolution politique et durable des conflits. Cependant, cette minorité ne travaille pas assez pour obtenir l’adhésion de la base à son projet par une propagande conséquente.

Seule, Kongo ya Sika propose un schéma clair, démocratique pour aller vers la paix en RDC et dans toute la région des Grands Lacs. Nous proposons en effet d’abord et avant tout une stratégie à projets et démocratique. Nos cellules de travail sont de véritable cellule de base d’apprentissage d’une démocratie sans trucage ni hypocrisie. Aucun sujet n’est tabou et rien n’est à remettre à plus tard tant qu’il tient à cœur quelques congolais.


Source : http://www.aa.com.tr/fr/news/363010–rdc-des-assaillants-attaquent-le-camp-militaire-tshatshi-a-kinshasa

AA/Kinshasa/BILETSHI Raoul 

Des tirs nourris ont été entendus, mardi après-midi, à Kinshasa, aux abords du camp militaire Tshatshi, siège du ministère congolais de la Défense, a annoncé le porte-parole du gouvernement, Lambert Mende qui promet de communiquer le bilan des affrontements dans la soirée de mardi. 

« Un groupe d’assaillants manifestement mal intentionné, a tenté d’entrer cet après-midi, dans l’enceinte du camp militaire Tshatshi (Etat-Major des Forces armées de la République démocratique du Congo) en tirant sur les positions de gardes qui veillent sur les lieux » a indiqué Mende, qui s’exprimait au cours d’un point de presse.

« Les malfrats avaient des pistolets et des machettes. Nos forces de défense et sécurité ont cependant rapidement réagi en ripostant et les assaillants ont été très vite maîtrisés » a affirmé le porte-parole.

Concernant l’identité des assaillants, Mende a déclaré attendre un rapport des services spécialisés.

«Nous sommes en train de les identifier. Nous attendons un rapport d’un moment à l’autre ou d’un jour à l’autre », a déclaré le ministre.

«   A l’heure qu’il est (16h locale) nous n’avons pas encore de bilan des affrontements », a fait savoir le ministre des Médias qui a déclaré cependant qu’il y a « eu des arrestations ».

« Nos services nous feront le rapport et nous communiquerons tous les détails dans la soirée », a promis le porte-parole qui a également appelé la population à garder son calme.

Suite à ces tirs, tous les commerces, les banques et bureaux du centre-ville de Kinshasa ont rapidement fermé et des chars se sont tassés sur les principales voies d’accès qui mènent au camp, a constaté un correspondant d’Anadolu.

Si le calme est revenu au centre-ville, des véhicules de police continuent d’effectuer leur ronde, appelant, à travers des mégaphones, la population à ne pas céder à la panique.  

Le trafic du transport en commun, quant à lui, a repris peu à peu.

Le camp Tshatshi, ainsi que le siège de la radiotélévision nationale congolaise (RTNC) et l’aéroport de N’djili avait déjà été l’objet d’une attaque, le 30 décembre 2013 dernier. Le bilan officiel faisait alors état de 52 morts chez les assaillants et 3 morts dans les rangs des forces de sécurité congolaise.

Conférence-débat 20072014


Comment et pourquoi les ONG, ASBL, coopératives et églises ne développeront-elles pas la RDC dans les 5 à 10 prochaines années ?

Texte introductif

https://onedrive.live.com/edit.aspx?id=documents&resid=4639CBC0032178F9!1844&cid=4639CBC0032178F9&app=OneNote&&wd=target%28%2F%2FRadio.one%7C8edad80e-5c7c-4913-9053-dc4497f579d6%2FDimanche%2020%20juillet%202014%7Cae2636b8-a00e-4b1e-b0fd-4fe6ca6bfbf8%2F%29

(Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu, Projet 2014)

Commençons par dire que beaucoup de choses sont faites en RDC par les églises catholiques, protestantes, musulmanes, kimbanguistes et jéhovismes, depuis plusieurs décennies :

  1. Éducation religieuse de la jeunesse
  2. Œuvres sociales dans les localités
  3. Services publiques : enseignement, santé communautaire, agriculture, pisciculture, élevage, foresterie, artisanat, imprimeries, librairies…

Cependant, aucune de ces organisations, à notre connaissance, n’a apporté une industrie de taille aux congolais. Cela est regrettable. Même pas quelques milliards de dollars par an ne sont consacrés au peuple affamé et décimé. Sachant que le budget annuel du Congo, selon nous, ne devrait pas être inférieur à 950 milliards de dollars par an. Nous partons d’une base de 73 millions d’habitants, d’une moyenne de 6 habitants par ménages et d’un revenu moyen net de 2500 $/ménage/mois. Le gouvernement congolais ne sait pas hausser ce budget à plus de 8,9 milliards de dollars en 2014 : http://radiookapi.net/economie/2014/01/22/rdc-lassemblee-nationale-vote-le-budget-2014-revu-la-hausse/#.U8vpt_mSweo !

Pour certaines d’entre elles, c’est le principe de séparation du temporel d’avec le spirituel qui expliquerait cela. Ce principe est cependant vite contredit par ces mêmes certaines de ces églises quand elles courent derrière les subsides et d’autres facilités fiscales pour faire leurs propres business.

Il faut cependant reconnaître que le gouvernement ne laisse pas toujours aux à ces ONG, ASBL, églises et coopératives, la possibilité de faire mieux. Depuis 1960, chaque gouvernement, il a peur que son incompétence ne soit davantage mis à nu et que le régime qui le soutien ne tombe. Dans certains cas, l’État a détruit l’œuvre des églises pour (dans le but de) asseoir sa dictature, de faire le lit de la dictature et de l’imposture.

Pendant ce temps, la diaspora mobilise des sommes appréciables pour subvenir aux besoins de nos frères qui vivent à l’intérieur de la RDC. Pour la plupart, des compatriotes qui ne savent pas comment fuir la médiocrité, la dictature, l’imposture et la colonisation ; ni comment combattre ces fléaux qui ruinent notre nation. 9,3 milliards de dollars transférés en RDC en 2009 (http://www.mbokamosika.com/article-la-rdc-a-re-u-de-sa-diaspora-9-3-milliards-usd-via-western-union-113456408.html) ferait bien plus si la diaspora organisait ce transfert autrement : avec sagesse et intelligence, comme le souligne d’ailleurs Angelo Mobateli dans l’article cité ici.

Le mémoire de Maluxes Malumbe M’mangwa, de 2012, sur la question montre bien, qu’au Congo de Lumumba, l’impact des interventions de l’État, des entreprises et des organisations congolaises ci-haut citées, sur le développement du congolais est minime (http://www.memoireonline.com/01/13/6696/Les-ASBL-et-la-problematique-de-developpement-socioeconomique-du-territoire-de-Fizi-en-RDC.html). Il nous présente des chiffres alarmants dont 60 à 94% de taux d’incidence de la pauvreté dans notre pays, suivant les contrées concernées… La province de l’Equateur étant, hélas, des moins bien parties dans cette affaire.

Avant d’en arriver à notre pronostic, notons que les secteurs dans lesquels les organisations incriminées dans cette conférence, sont mal définis : le social, la santé, l’éducation, à l’exclusion quasi totale de tout ce qui est économique, industriel, scientifique, technologique, stratégique. À la base : un mauvais départ du Congo avec les lumumbistes, relayés par les mobutistes, les kabilistes et les kanambistes. Ils passent leurs temps à faire au peuple congolais – qui les suit – que les grands moyens de production ne doivent être que du ressort de l’État, qui, seul, serait capable de mobiliser de grands investissements dans le pays ! Tout cependant montre que c’est le privé et l’associatif, qui pourront sortir le Congo du gouffre : l’État étant incapable de sortir de son erreur en moins de 20 à 30 ans.

La parenté et la mysticité, pointé du doigt comme étant la prison de l’Africain, par le Professeur Kayemba Ntamba de l’UNIKIN dans les années 80 déjà, ne permet pas notre État à changer de mentalité de facilement. Cela, d’autant plus qu’aujourd’hui, le contact de l’Etat avec la masse est très lâche et il faudra du temps avant que le pays reparti – par quelque miracle que ce soit – ce dernier puisse rétablir le lien nécessaire pour obtenir une participation aux projets de développement endogène du pays. Les ASBL, ONG, coopératives et églises en revanche gardent quelques contacts significatifs avec la masse. Les partis politiques n’apparaissent qu’aux élections et s’en vont ensuite massacrer, violer, piller, notre peuple.

Plus grave, notre expérience, dans le cadre du projet 2014, de l’EAE ASBL et de Kongo ya Sika, montre clairement qu’il nous faut former, aiguiser les compétence avant d’espérer commencer un développement digne de ce nom en RDC. Nous avons cru que tout pouvait aller très vite, que le pays avait plus de diplômés qu’en 1960, mais aujourd’hui nous sommes dans la désillusion : le décollage du Congo attend de nous un travail de fond. Une révolution culturelle comme diraient les marxistes-léninistes pour mettre notre peuple au travail manuel et intellectuel qui seul libérera la RDC de l’emprise de la colonisation, de la dictature, de l’imposture et de la médiocrité. Nos amis personnels qui sont rentrés travailler sur terrain, à l’intérieur du pays sont tous formels : il manque non seulement de compétences lorsqu’il faut considérer les besoins en projets de développement, mais bien plus que cela, il manque la mentalité convenable. La culture de l’immédiateté, de la cupidité, de la paresse, tant physique qu’intellectuelle, est profondément ancrée dans le pays. Les acteurs du développement auront du temps, d’une génération pour former (compétences – 5 à 6 ans pour avoir les fruits), pour mobiliser massivement à l’intérieur (moralité – 25 à 30, le temps d’une génération, qui démontre les bienfaits du capitalisme aux congolais conquis par le socialisme).

Aujourd’hui, toute la RDC, comme beaucoup de nations à problème dans le monde dit civilisé, est plongée dans une mentalité socialiste : les grands changements, le congolais l’attend de l’État qui ne saura pas l’impulser demain. Dans l’espace politique pourri, personne n’est encore prêt à nous aider à faire un premier pas vers la remise en question de nos habitudes en matières de développement.

Voici un ou deux mois que les diplômés congolais commence à comprendre leur erreur : avoir laisser des incompétents diriger le pays pendant 54 ans déjà. Décidés à prendre la position qui doit être la leur, ces diplômés, il est vrai, commencent à s’organiser. Les défis à relever sont immenses :

  1. Le manque d’expérience politique chez la plupart à combattre par l’exercice ;
  2. Le manque d’une cohésion national à effacer ;
  3. La jalousie des vétérans de la politique à gérer avec intelligence et sagesse ;
  4. La masse à conquérir à distance – imposture oblige – pour pouvoir la former ;
  5. La gestion d’une démocratie que le pays n’a pas encore connue
  6. Etc.

Voilà qui nous amène, nous faisant très optimistes, à affirmer que : les ONG, les ASBL, les coopératives et les églises du Congo ne sauront pas participer significativement au développement intégral de la RDC dans les 5 à 10 prochaines années. Cependant, une machine, un mécanique viennent de se mettre en route qui permettront au Congo à entre dans le tunnel à l’horizon 2020.

Goma ou toute la RDC


Les dernières nouvelles qui nous parviennent de Goma montrent que nous avons raison dans notre analyse, dans le cadre du Projet 2014.

Une république, au Congo dit de Lumumba, n’apportera jamais une solution valable, définitive aux problèmes.  L’imposture organise, à sa manière et pendant que le parlement la laisse faire, un contrôle des étrangers en séjour illégal à Goma pendant qu’il y en a plein à Kinshasa et dans les autres villes et localités du Congo-Kinshasa.

Il faut craindre que la motivation soit celle que nous connaissons depuis l’époque moleliste : ruiner l’Est avec des expéditions des bandits politiques, militaires, policiers !

Si Goma ne se lève pas pour se défendre, je crains fortement que la saignée continue dans la plus grande et totale impunité.

Le remède pour nous est unique : disqualifier les hommes véreux que Goma a commis à la défense de ses intérêts à Kinshasa ; les parlementaires tant nationaux que provinciaux.  Aucun d’eux en effet ne prend ses responsabilité en main.  Dans notre exil, sans une base agissante et pesante, nous ne pouvons pas influer significativement sur la condition du congolais en général et du gomatracien en particulier.

Un effort est déployer par nous pour mobiliser la base et demande le soutien de tout congolais qui croit à la valeur notre combat : enterrer la république en RDC pour la remplacer par une union d’Etats indépendants du Congo ou de l’Afrique Centrale en vue de couper, définitivement, l’herbe sous les pieds des colonisateurs, des dictateurs, des imposteurs, des traitres et des médiocres.

Ci-dessous, notre réponse à Kabe, qui partage avec nous le même combat : l’indépendance véritable du congolais !

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Kabe,

Souvent le problème de l’étranger provient d’une mauvaise gestion des citoyens par les hôtes !  Dans nos pays d’Afrique, il n’est pas faut de trouver excuses ou explications dans les velléités colonialistes de l’Occident.  De l’Egypte de Joseph, le juif, à la RDC d’Hyppolite Kanambe, c’est le même phénomène : jalousie des hôtes majoritaire, maltraitance pour les visiteurs, départ forcé des visiteurs, misère derrière, retour en pompe et en colonisateurs…  C’est en caricaturant.  Ceci n’est pas une fatalité, mais c’est l’histoire !  Que veut la RDC ?  Comment le savoir, pourquoi et quand ?

La majorité des congolais pointent le Rwanda comme notre premier ennemi.  Nous sommes de la frange, très minoritaire, qui soutien que le vrai problème soit notre démission quasi totale ou notre incompétence managériale criante.

La RDC n’est pas le seul pays à souffrir de ses turpitudes.  La Belgique est aujourd’hui en face d’un gros problème : comment gérer les étrangers et les immigrés ?  En Belgique, nos gouvernements ne s’en sortent pas depuis les 26 ans que je suis dans le pays.  Parce qu’ils adoptent des politiques déraisonnables, sciemment dans la gestion des immigrants et des émigrants !  Au Congo, les congolais n’ont pas encore su mettre en place une politique efficace contre l’esclavage, la colonisation, l’imposture et la médiocrité.

Les résultats sont les mêmes.

Dans le cas, particulier, de Goma, la réflexion semble être très simpliste.

  1. Plusieurs congolais sont dans les pays frontaliers du Congo avec des pièces d’identités de ces pays-là ; et inversement, plusieurs de nos voisins sont sur notre territoire avec nos pièces d’identités.
  2. Pendant ce même temps, n’oublions pas que plusieurs de nos compatriotes sont en exil, victimes de l’usurpation de notre nationalité par une bande d’escrocs politiques et de rebelles que nous laissons tenir la destinée de notre pays.
  3. Goma n’est pas la seule ville congolaise où des étrangers séjournent “en toute illégalité” ou plutôt dans un désordre administratif le plus total.  Cette ville (1,2 millions d’habitants ?) n’est même pas la plus importante, démographiquement parlant qui soit le siège d’un tel phénomène.  La ville de Kinshasa (8-12 millions d’habitants !) pullule, depuis toujours de pas mal d’étrangers en séjour parfaitement illégal ; et ce, depuis les années 60 !

Si la réflexion est simpliste, la motivation aussi n’est pas claire.  La plupart d’opérations organisées par Kinshasa, à l’Est en général et à Goma en particulier, sont dictées par des volontés de nuire : aller piller la ville, puis la laisser plus misérable que jamais !  Les gomatraciens doivent donc s’assurer que la présente opérations ne visent pas tout simplement l’enrichissement du pouvoir fantoche que nous décrions tout en affaiblissant l’opposition qui recherche sa disqualification, pour les uns, démocratiquement, pour les autres, par les armes.

Comme toujours, il ne se passera pas de semaine avant que nous ne sachions les vrais mobiles de ceux qui enquêtes à Goma, sans enquêter dans le reste du pays, où le pays est parfois plus miné qu’à Goma !

From: Lutala Kabe

Sent: Wednesday, July 16, 2014 12:16 AM

To: Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu

Subject: FW: [Congokin-tribune] Goma: début du contrôle de permis séjour pour étrangers

Avec c’est-ci le Kongo  a sur son etandu des milliers d’étrangers. Mais ils les laissent faire.


Date: Tue, 15 Jul 2014 13:17:31 -0400
To: congokin-tribune@congokingroupes.com
Subject: [Congokin-tribune] Goma: début du contrôle de permis séjour pour étrangers
From: congokin-tribune@congokingroupes.com

publié il y a 5 heures, 36 minutes, | Dernière mise à jour le 15 juillet, 2014 à 12:39

Une vue aérienne de la ville de Goma, 26/06/2009.

Une vue aérienne de la ville de Goma, 26/06/2009.

La police des étrangers de la Direction générale des migrations (DGM) a lancé mardi 15 juillet à Goma (Nord-Kivu) l’opération de contrôle des permis de séjour pour les étrangers, particulièrement les ressortissants des pays de la région des Grands Lacs. Ceux d’entre eux qui étudient ou travaillent en RDC et ne possèdent pas encore ce document, seront soumis au payement des amendes, préviennent les responsables de la DGM.
La plupart des étrangers concernés, pour le moment, par cette opération sont des Rwandais, déjà identifiés et leurs lieux de travail connus, indiquent les responsables de la Direction générale des migrations. Mais l’opération devra s’étendre à d’autres étrangers, assurent ces mêmes responsables.
Ainsi, la  police des étrangers, appuyée par celle des frontières, va passer à chaque endroit où travaillent ces étrangers pour le contrôle des permis de séjour. Ceux qui ne seront pas en règle seront soumis, dès ce mercredi, au payement des amendes allant de 100 à 150 dollars américains, avisent les responsables de la DGM.
Cette opération risque cependant de connaître quelques difficultés, ont fait savoir d’autres sources, expliquant que certains Rwandais possèdent à la fois les pièces d’identité rwandaise et congolaise. Une fois sur le sol congolais, ils se servent des cartes d’identité congolaise, ce qui risque de semer de la confusion.
Au moins quatorze mille étrangers traversent quotidiennement la frontière congolo-rwandaise, pour la RDC, à partir du poste appelé ”Petite barrière”. Parmi eux, au moins six mille Rwandais travaillent ou étudient au Congo.
D’autre part, au niveau du post frontalier dit” Grande barrière”, ce sont plus de mille Rwandais travailleurs et étudiants qui traversent quotidiennement.

Mambo
Roaming around the continents.

_______________________________________________ Congokin-tribune mailing list Congokin-tribune@congokingroupes.com http://congokingroupes.com/mailman/listinfo/congokin-tribune_congokingroupes.com

Un ingénieur civil en souffrance pour un ignare présumé


Date: fri, 11 jul 2014 15:44:14 +0100

To: lepolitiquecongordc@yahoogroupes.fr; congo@yahoogroupes.fr; congo-uni@yahoogroupes.fr; congovista@yahoogroupes.fr; congocitizen@yahoogroupes.fr; congocultures@yahoogroupes.fr; congokin-tribune@congokingroupes.com

Subject: re: [congokin-tribune] [lepolitiquecongordc] forum des as : minaku – diaspora congolaise : fausses rumeurs sur les incidents

From: congokin-tribune@congokingroupes.com

Minable, minaku se fait damer les pions à la 40ème session de l’apf à ottawa.

La 40ieme session de l’assemblée parlementaire de la francophonie a été un cauchemar pour la dizaine de députés congolais conduits par aubain minaku, le président de la chambre basse du parlement de la rd-congo. Alors que les pprd du canada pensaient garder secret cette visite, un accueil clandestin sera réservé à la délégation à l’aéroport d’ottawa. De montréal, des gros bras sont appelés à la rescousse, entre autre un ancien garde de werrason resté comme réfugié au canada. Sont visibles aussi dans le comité d’accueil, tout le bandundu tribal du pays de la feuille d’érable. Tout autour, aucun opposant, communément appelé combattant. Le cœur net, minaku et sa délégation ont bien cru que le terrain est conquis. Bien au contraire, la stratégie choisie par les opposants faisait plus appel au cerveau qu’au muscle, à l’efficacité qu’au grand nombre.

Est-ce le PPRD qui assure les contacts au Canada entre APF et le parlement congolais ?

Stratégie avant-gardiste

Déjà dans l’hémicycle sis wellington street à ottawa, aucun parlementaire ne souhaite s’afficher avec les rd-congolais. Vendredi matin, la bombe est tombée. Le bureau de l’honorable andrée champagne, présidente internationale du parlement canadien, est saisi par un mémo qui dépeint sans ménagement les turpitudes de minaku et consorts. Honorable champagne n’est pas la seule à le recevoir… la quarantaine de parlementaires canadiens membres de l’apf, non seulement ont le mémo sur leurs bureaux, mais reçoivent des coups de fil de leurs électeurs d’origine congolaise au sujet de la présence des imposteurs venus de la rd-congo.

Lorsque, le jeudi 3 juillet dans la soirée, minaku et sa suite débarquent à l’hôtel laurier, à un jeu de pierre du parlement canadien, où se tenaient les assises de la 40ème session de l’apf, ils trouvent toutes les portes diplomatiques fermées. Une seulement question lui est posée, selon les sources indiscrètes, « est-il vrai que lors de l’adoption du calendrier parlementaire du 24 mars 2014 au palais du peuple de kinshasa, vous avez adopté notamment la révision de la constitution, du code électoral ainsi que du recensement des électeurs ? » qui pis est, le mémo lui est présenté. Cela a eu un effet de bombe.

Très vite, le patron de la chambre basse du palais du peuple de kinshasa fait le rappel des troupes. Les pprd canada doivent organiser une rencontre avec des associations de la diaspora pour arrêter l’hémorragie. La date et le lieu sont choisis : samedi 6 juillet à 18h 30 à l’ambassade congolaise, 18 rue range, à ottawa.

Cependant, les pprd ont du mal à mobiliser. Le président de la communauté congolaise d’ottawa-gatineau, une association supposément apolitique, tente de mobiliser. Il se prend très mal. Il vient tout juste d’arriver à ottawa, de provenance de sherbrooke. Il ne connait presque personne et prend les uns pour les autres. Qu’il alerte par mégarde les opposants. Finalement, la salle est remplie par les membres du pprd et de l’unc… bref, du pareil au même. Et minaku s’est vu, sans le savoir, prêcher devant des convertis. A cœur ouvert, il s’est adressé à la foule présente dans la salle. Minaku a dit être très choqué par ce mémo et souhaitait que les questions soulevées soient traitées en famille.

La sueur froide dans un été canadien très chaud.

Au sortir de l’ambassade, minaku est rassuré que la bombe est désamorcée. Il ignore qu’il a été dribblé par ses propres poulains. Aucun « combattant », ni membre d’un vrai parti politique de l’opposition n’était présent. Le dimanche, il circule même dans la ville et serait reçu chez un cadre influant de l’unc canada, ressortissant de la même province que lui.

Lundi matin 07 à l’ouverture officielle de la 40ème session de l’apf, l’agitation est totale dans le hall de l’hôtel château laurier. Une délégation des initiateurs du mémo débarque. Le carnet chargé. Tête-à-tête avec une telle ou telle autre autorité de la francophonie ou d’un pays membre. Remise du mémo à main propre à abdou diouf et aux autres délégations africaines. Échange de carte de visite avec les chefs de délégations de partout dans le monde. Dans l’entre-temps l’agitation était à son comble dans le camp de parlementaires congolais. Visiblement très embarrassé, un envoyé de minaku tentera d’inviter les pétitionnaires à un face-à-face avec son chef. Le refus est catégorique.

Il est 17h 00, la salle commence à se vider, mais minaku et ses députés restés coller sur leurs chaises. Le nombre de fois que son mouchoir de poche avait à passer sur son front traduisait non seulement sa peur, mais aussi l’humiliation de se faire voler la vedette par des opposants.

Devant le château laurier, les autocars sont déjà prêts pour conduire les invités à la cérémonie de décoration de l’ordre de la pléiade qui se tenait au musée canadien de l’histoire. Au pied des autocars, une autre délégation des opposants attendait les parlementaires de l’apf, calicots à la main. On pouvait lire : « parlementaires de la rd-congo, ne touchez pas à la constitution », « parlementaires de la rd-congo, nommés et non élus », « le canada dit non à la présence des parlementaires criminels de la rd-congo sur son sol », etc.

Après plusieurs heures, minaku se décida de se lever de sa chaise. Comme une souris dans une habitation à chats, il se déplaça d’un poteau à un autre, en prenant soin de se dissimiler soigneusement. Mais le dernier poteau du hall de l’hôtel qui donne à la sortie est à plus de 10 mètres de la porte. Et pourtant le hall est truffé des lobbyistes opposants et combattants qui socialisent avec les parlementaires d’autres pays. Vite, minaku se fait intercepter, remis à l’ordre devant ses compères et, sans autres formes de procès, il ne sauva le peu de dignité qui lui restait qu’en prenant le large.

Paranoïa, un psy est requis

Depuis lundi soir, minaku s’est fait lui-même son propre prisonnier. Il n’est plus sorti de l’hôtel et évite tout face-à-face avec les parlementaires d’autres pays. Toute personne noire qui s’approche de lui, lui fait une peur bleue. Au bar de l’hôtel où il est descendu mardi matin pour prendre son déjeuné, même les serveurs ne comprennent rien du tout. Le très puissant président de la chambre basse du parlement s’est cloîtré à la dernière table qui donne à l’escalier qui mène aux toilettes. De là, lui et sa garde de fortune peuvent tout voir sans être vu. Et lorsqu’un noir tente d’aller au petit coin en empruntant la voie proche de minaku, les ex-gros bras de werrason, encadré par un des frères du musicien réfugié politique à montréal, l’interpellent. Ces agissements finiront par agacer les clients du prestigieux hôtel de la capitale nationale canadienne, qu’un travailleur noir de l’hôtel finira pour dire à minaku et sa suite que s’ils souffraient de la paranoïa, le c…

Comment est-ce qu’un congolais qui écrit si bien la langue de voltaire peut-il laisser son pays ployer sous un joug étranger ? Comment est-ce qu’un congolais ingénieur civil peut-il supporter l’ignominie pour Joseph Hypolithe Kanambe, qui n’aurait pas été à l’école à ce que prétendent certains d’entre nous ? Il y a problème dans la république. Voilà pourquoi je propose au peuple congolais de mener le combat qui consiste à transformer la république en une union d’états indépendants du Congo.

Mulenge encore ?


[02:22:26] onghana: C’est du grand n’importe quoi !! Il n’existe aucun document, de source ethnologique ou historique, pouvant attester de la présence des Banyamulenge, faussement qualifiés de « Tutsis installés depuis le XVIIIe siècle sur les hauts plateaux dominant la plaine de la Ruzizi ». En d’autres termes, il n’existe pas de Tutsis congolais. C’est un lamentable déni historique puisqu’il présuppose que ce peuple de pasteurs nomades était présent en ces lieux avant le 26 février 1885 c’est-à-dire, avant la reconnaissance des titres de propriété brandis par le délégué du roi Léopold 2  (il s’était agi du baron de Lambermont) devant les yeux des 14 délégués des puissances métropolitaines européennes  à la conférence internationale de Berlin et qui débouchèrent sur la création de l’EIC, Etat indépendant du Congo.  Sur la carte  ethnographique de l’EIC datant de la même époque ainsi que sur la liste des royaumes, des empires, des communautés traditionnelles  et des propriétaires terriens bantous dont les territoires furent annexés à l’issue d’une guerre de conquête menée par le Gallois Henry Morton Stanley, puis fusionnés pour constituer la superficie de l’EIC ne figure aucune appellation ethnique relative ni aux Tutsis, ni aux Banyamulenge.  Les Tutsis, de même que les Hutus, constituent la population du Rwanda et du Burundi, deux Etats ayant existé plus de deux cents ans avant la naissance de l’EIC et devenus ensuite des colonies allemandes, également avant l’EIC. Vous me suivez ?   Ayant perdu la 1ère Guerre mondiale, l’Allemagne perdit en même temps toutes ses possessions coloniales africaines, notamment le Rwanda, le Burundi, le Tanganyika (actuelle Tanzanie), mais aussi la Namibie (anciennement Sud-Ouest africain), sans oublier le Togo et le Cameroun.  A part le Rwanda et le Burundi qui furent placés sous le mandat de la Belgique en 1919 par la SDN, Société des Nations et ancêtre de l’ONU, toutes les autres colonies africaines de l’Allemagne furent partagées entre ses vainqueurs, en particulier entre la France et l’Angleterre. Tous les peuples, toutes les ethnies vivant depuis les temps immémoriaux à l’intérieur des frontières du pays dénommé Congo depuis février 1885 portent le même nom que celui du territoire sur lequel ils vivent et qui est également homonyme de leur langue. Il s’agit de trois, parmi les autres critères, qui caractérisent la nationalité congolaise. Vu ? Par conséquent, il n’existe pas de Banyamulenge au Congo parce que le « kinyamulenge » n’est pas une langue parlée dans ce  pays. Même constat pour les Tutsis congolais parce que le « kitutsi » est également  inconnu au Congo.  Vous devriez retourner à l’école et recommencer le cycle d’enseignement secondaire. Le procédé consistant à associer une nationalité, ici la congolaise,  à une appartenance ethnique, autrement dit le Tutsi,  dénote la répugnante mauvaise foi intellectuelle des Tutsis et autres banyamulenge.  On ne parle pas de Batetela congolais comme on ne dit jamais « Wallons belges ». Lorsqu’on est Tetela, on est forcément congolais. Lorsqu’on est Wallon, on est forcément Belge. Il s’agit d’autant de pléonasmes. Des expressions comme « Andalous espagnols », Bretons ou Normands français, Toscans italiens,  Ecossais anglais , etc. traduisent tout simplement la profonde ignorance du locuteur qui se risquerait à les employer. Cela semble être votre cas et de celui des personnes ainsi que des sources que vous citez.  Toutes les ressources en mensonge, en affabulation, en imposture et en contrevérités sont déployées depuis une vingtaine d’années par les Tutsis pour se faire passer pour des Congolais.  L’heure de vérité va bientôt sonner pour qu’ils soient tous confondus. Ils seront alors expulsés du Congo, de gré ou de force, avec de grands coups de pied dans le derrière. Peuple de pasteurs nomades descendus des hauts plateaux d’Abyssinie au 17e siècle jusque dans la région des grands lacs africains, les Tutsis cultivent le mensonge comme ils élèvent leurs troupeaux de zébus.  Dans le même temps, depuis septembre 1996, ils commettent au Congo, sous couvert de milices extrémistes armées faussement présentées comme des rébellions congolaises, des crimes et des atrocités qui crient vengeance au ciel.   Les tueries de Mutarule qui constitue le prétexte de votre déplorable laïus se situent dans le prolongement d’innombrables  massacres perpétrés au Congo, particulièrement dans les provinces du Nord et du Sud Kivu frontalières du Rwanda et du Burundi . Quant aux ONG étrangères et surtout aux experts occidentaux opérant au Congo, il s’agit en réalité d’une engeance d’imposteurs et d’une bande d’espions qui ne connaissent absolument rien du Congo ni des Bantous congolais.    Qu’il s’agisse de Kris Berwouts, de Martin Koebler et de tous les autres envoyés spéciaux  de Barack Obama  et de l’ONU qui défilent au Congo, personne parmi ces individus ne connait ce pays. Du reste, ils ne parlent ni ne comprennent aucune des langues en usage chez les bantous congolais, y compris le français qui est pourtant un idiome occidental.,  Je répète: les jours concédés au mensonge et à la confusion arrivent maintenant à leur terme; de même que le temps accordé aux assassins, aux violeurs et aux auteurs de mutilations sexuelles.  Les uns et les autres, de même que leurs complices,  devront bientôt être convoqués devant le tribunal de la justice pour répondre de leurs méfaits.  Quant à vous qui répondez à l’identifiant « mikelumumba 2 », qui que vous soyez, un Tutsi rwandais ou un Muntu originaire du Congo, je vous demande d’arrêter de prendre les Congolais pour des naïfs, de jouer au porte parole des ONG et des experts occidentaux, tous ignorants et complices des crimes commis au Congo,  en  répandant des propos mensongers destinés à semer la confusion et dont le but non avoué consiste à  nous faire prendre des vessies pour des lanternes. Comme tous les autres criminels Tutsis qui occupent le Congo, depuis Joseph Kabila jusqu’à Bizima Karaha, en passant par Azarias Ruberwa et Charles Bisengimana, Moustapha Mukiza, Ngiramakenga et autre Ngirabatware, , attendez-vous être emporté par la tempête qui s’apprête à souffler sur l’immense territoire congolais. A bon entendeur, salut !!
[03:00:26] Lutu S.O.: Belle le,con d´histoire. Bravoooooooooooooo. A bon entendeur salut.
[13:36:50] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Onghana n’est pas de l’Est et méconnait sa propre histoire de bantou.  Je peux le parier, sur mon honneur, me tenant à la lecture de son texte bourré de sentimentalité ; comme si le Congo se construirait de mensonge tribaliste.
Qui habite Mulenge, depuis quand, comment et pourquoi ?
D’où viennent ces hommes ?  Si du moins ils existent ?
Moi, je suis de l’Est (natif de Rethy et ressortissant de Bunia) et je connais un peu de cette histoire des mulenge, telle qu’elle se trouve dans des documents disponibles sur le net et tel que mes oncles nande, bantous du Nord-Kivu, me la racontent, sans cette frivolité qui caractérise la plupart d’intervention de personnes qui n’ont pas vu ni vécu avec les mulenge.
J’ai l’avantage d’être congolais de père nilotique et de mère bantoue, eux-même congolais purs de sang.
Ce que je propose, dans le cadre du Projet 2014, en rapport avec cette histoire des mulenge, ce de ne pas verser dans les mensonges, mais de restituer la vraie histoire des mulenge pour nous aider à savoir si devons les nier et les effacer de notre histoire ou si nous  devons les reconnaître pour ce qu’ils sont et les figer dans notre histoire.
Pour mes frères congolais qui voudraient s’informer avant de s’exprimer, merci de partir des lectures des textes basiques que l’on peut trouver en cliquant sur le lien suivant : https://www.google.be/webhp?sourceid=chrome-instant&ion=1&espv=2&ie=UTF-8#q=qui%20sont%20les%20mulenge%20ou%20le%20banyamulenge
Après cette lecture attentive et critique, nous pouvons plus valablement parler des mulenge (en français), ou des banyamulenge (dans les langues bantoues) et éviter de sombrer dans un tribalisme et un racisme qui ne nous avancet pas, mais nous déshonorent, dans le combat contre l’imposture, la colonisation, la dictature et la trahison.

Ce que les congolais se disent sur Skype


Ce que les congolais se disent sur Skype nous permet de mesurer la maturation politque de notre peuple.

Quelles questions nous préoccupent ?  De quelles manières y apportons-nous des réponses ?  Quels changements obtenons dans notre quotidien ?  Y aurait-il autre chose à faire ?

Les discussions suivantes permettent de se faire une idée de notre destin, nous, congolais.

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[01-07-14 11:50:34] lumumbaheros:  La pensée se  matérialise en « paroles de lumière » qui, par-delà les différences d’origine ou de culture, interpellent en chacun de nous une identique humaniser, nous aident à revenir à la racine commune de tout être humain, a trouver le chemin de la paix intérieure, à ensemencer notre propre réalisation, a regarder les autres comme nous-même.

https://www.youtube.com/watch?v=CMAEFkkzytQ
[01-07-14 16:34:12] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: LES NOIRS NOUS AVONS DES PROBLEMES SUIVEZ CA SVP        http://www.youtube.com/watch?v=17m8OnHC7dQ&feature=player_detailpage
[01-07-14 16:49:07] kinsala.jules: http://www.radiopeuplekongo.com/quisommesnous.aspx
[01-07-14 17:32:03] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: BREAKING NEWS  L’un des chefs de bande de la maffia françafrique est en garde à vue. Il faut que la justice remonte la filière jusqu’en Afrique pour nous débarrasser de tous ces voyous.
[01-07-14 18:58:53] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: BREAKING NEWS  RDC : l’Eglise catholique appelle à une vraie transition démocratique

KINSHASA – L’Eglise catholique a souhaité mardi que l’élection présidentielle prévue pour 2016 en République démocratique du Congo (RDC) soit l’occasion d’une transition véritablement démocratique et a exhorté le rwandais hypolite kanambe soit disant- Joseph Kabila à s’effacer du pouvoir à cette date.

Les évêques du pays appellent également la population congolaise à faire preuve de vigilance pour s’opposer par tous les moyens légaux et pacifiques à toute tentative de modification des articles verrouillés de la constitution, indique un communiqué de la Conférence épiscopale nationale du Congo (Cenco).

La constitution de 2006 stipule que le président de la République est élu au suffrage universel pour un mandat de cinq ans renouvelable une seule fois. Cette disposition est verrouillée par l’article 220, selon lequel le principe du suffrage universel et le nombre et la durée des mandats du président de la République (…) ne peuvent faire l’objet d’aucune révision constitutionnelle.

En 2016,  le rwandais hypolite kanambe soit disant -joseph. Kabila arrivera au terme de son deuxième mandat.

Ce que dit la Constitution est clair, a déclaré le porte-parole de la CENCO, l’abbé Léonard Santedi, lors d’une conférence de presse, et donc les évêques disent cinq ans renouvelables une fois, c’est tout, pour nous (ce qu’il faut) c’est respecter la Constitution.

Le message de la Cenco publié à l’issue d’une assemblée plénière des évêques va plus loin et désapprouve également toute sorte d’initiative qui, sans modifier directement l’article 220, viserait à le vider de son contenu essentiel, alors que celui-ci a été conçu pour assurer la stabilité du pays et garantir la nature de l’Etat congolais, qui est une république et non une monarchie.

Le gouvernement a annoncé début juin son intention de déposer un projet de révision constitutionnelle afin d’organiser l’élection des députés provinciaux en 2015 au scrutin indirect alors que, constitutionnellement, cette consultation doit avoir lieu au scrutin direct.

Les évêques, qui avaient déjà mis en garde en février contre une telle manoeuvre, critiquent cette décision qui, estiment-ils, privera le peuple de son droit de désigner ses gouvernants.le rwandais hypolite kanambe

Joseph Kabila est arrivé à la tête du Congo en 2001 par succession monarchique à la mort de soit disant sont père, Laurent Désiré Kabila, qui avait chassé du pouvoir par les armes le marechal Mobutu Sese Seko en 1997.

Elu président en 2006 à l’issue des premières élections libres depuis l’indépendance du pays en 1960, il s’est maintenu à la tête de l’Etat en 2011 par force à l’issue d’élections à la légitimité contestée par la communauté internationale et l’opposition.

Cette dernière soupçonne le rwandais hypolite kanambe soit disant -joseph-. Kabila d’être prêt à tout pour se maintenir au pouvoir au-delà de 2016 et de vouloir profiter de la procédure de révision constitutionnelle annoncée pour y arriver, d’une manière ou d’une autre.

Le gouvernement dénonce régulièrement ces vues comme relevant du procès d’intention.

L’Eglise catholique, dont les fidèles représentent 40% de la population congolaise, est une voix critique du pouvoir depuis le marechal   Mobutu. Elle a été un des moteurs du processus de démocratisation du début de la décennie 1990.

(©AFP / 01 juillet 2014 17h34)
[01-07-14 19:05:40] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: https://drive.google.com/file/d/0B_qWXB9IX9sFM2EyMm5CUXA5X1E/edit?usp=sharing
https://drive.google.com/file/d/0B_qWXB9IX9sFNDV5aUhxZDlvTUU/edit?usp=sharing
https://drive.google.com/file/d/0B_qWXB9IX9sFQXhSbDdUMHNabnc/edit?usp=sharing
https://drive.google.com/file/d/0B_qWXB9IX9sFSGtQUTNIdGVpdm8/edit?usp=sharing
https://drive.google.com/file/d/0B_qWXB9IX9sFVjRVb3FZQ3BvU0U/edit?usp=sharing
https://drive.google.com/file/d/0B_qWXB9IX9sFVzV1WWlERUNTN0E/edit?usp=sharing
https://drive.google.com/file/d/0B_qWXB9IX9sFWHpJNWpFUDdTN1U/edit?usp=sharing
https://drive.google.com/file/d/0B_qWXB9IX9sFWWJrZk8xT2J1QVU/edit?usp=sharing
https://drive.google.com/file/d/0B_qWXB9IX9sFZmk3V3g0MEI5UWM/edit?usp=sharing
https://drive.google.com/file/d/0B_qWXB9IX9sFa1JEczc0bUpyTlU/edit?usp=sharing
https://drive.google.com/file/d/0B_qWXB9IX9sFamJ6NmMtYUhzTDQ/edit?usp=sharing
https://drive.google.com/file/d/0B_qWXB9IX9sFbVo3SXJlOHBzNW8/edit?usp=sharing
https://drive.google.com/file/d/0B_qWXB9IX9sFcE96SG9yai0zRG8/edit?usp=sharing
https://drive.google.com/file/d/0B_qWXB9IX9sFcnVhX1ZFR0xCYWs/edit?usp=sharing
https://drive.google.com/file/d/0B_qWXB9IX9sFdUM0M3R1aVhJVE0/edit?usp=sharing
https://drive.google.com/file/d/0B_qWXB9IX9sFeDFnQ3k1T0xEUmc/edit?usp=sharing
[01-07-14 22:36:36] Lutu S.O.: bo landaka lisusu eglise catholique te tant que ba ko lakisa biso ba resultat ya election te mpe ba bengani malu-malu na molongo ya ba sango te.
[01-07-14 22:36:56] ANDERSON COMBATTANT – Radio NousLesCombattants: SUJET DU JOUR : SOMMES-NOUS UN PAYS INDEPENDANT ?
[01-07-14 22:37:16] Lutu S.O.: ok
[01-07-14 22:58:07] Misezuel: Emission azali Deja koleka ndeko Anderson?
[01-07-14 22:59:48] ANDERSON COMBATTANT – Radio NousLesCombattants: OUI NDEKO NA NGAI
[01-07-14 22:59:58] ANDERSON COMBATTANT – Radio NousLesCombattants: TOZALI DIRECT
[01-07-14 23:01:01] Misezuel: Ok, nakokota
[01-07-14 23:02:40] ANDERSON COMBATTANT – Radio NousLesCombattants: OK YAKA KOYANOLA BA NDEKO
[01-07-14 23:04:16] Lutu S.O.: ok, na zo benga na radio
[01-07-14 23:04:57] ANDERSON COMBATTANT – Radio NousLesCombattants: OK NDEKO
[01-07-14 23:05:16] Lutu S.O.: mutu a zo yamba te ndeko anderson
[01-07-14 23:05:44] ANDERSON COMBATTANT – Radio NousLesCombattants: NAYEBISA NDEKO LAMI
[01-07-14 23:05:57] Lutu S.O.: matondo
[01-07-14 23:42:55] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: France : l’avocat de l’ex-président Nicolas Sarkozy inculpé

Paris – L’avocat de l’ex-président français Nicolas Sarkozy, Thierry Herzog, a été inculpé mardi soir dans une enquête ouverte notamment pour trafic d’influence, a annoncé son avocat.

L’ancien chef de l’Etat devait également être présenté aux juges dans la soirée en vue d’une possible inculpation (mise en examen).

Me Herzog est mis en examen pour les faits que vous connaissez et que nous contestons. Aucun élément matériel ne vient en appui de ces accusations, a déclaré à la presse Me Paul-Albert Iweins, sans expliciter les chefs de poursuites retenus.

Ces faits ne reposent que sur des écoutes que nous contestons et dont la légalité sera fortement combattue, a encore déclaré l’avocat.

Je crois que c’est la première fois en France certainement, et peut-être dans le monde, qu’on essaie d’utiliser une écoute entre un avocat et son confesseur naturel (…) Nous allons nous battre!, a-t-il lancé.

Thierry Herzog est libre. Il reste l’avocat de Nicolas Sarkozy avec lequel il n’a aucune interdiction de correspondre, a également précisé Me Iweins.

L’avocat général à la Cour de cassation, Gilbert Azibert, a, lui aussi, été inculpé mardi soir , notamment pour trafic d’influence, a indiqué à l’AFP son avocat Me José Allegrini.

Les juges d’instruction cherchent à établir si l’ancien chef de l’Etat (2007-2012) a essayé d’obtenir des informations couvertes par le secret auprès de M. Azibert sur une décision de justice le concernant, en échange de la promesse d’une intervention pour un poste de prestige à Monaco.

La Cour de cassation devait alors se prononcer sur la saisie dans l’affaire de la milliardaire Lilliane Bettencourt des agendas de Nicolas Sarkozy, susceptibles d’intéresser les juges enquêtant sur d’autres dossiers. Dans le dossier Bettencourt, Nicolas Sarkozy avait été inculpé avant de bénéficier d’un non-lieu.

Autre soupçon qui pèse sur Nicolas Sarkozy: avoir été informé de manière illicite de son placement sur écoute par des juges enquêtant sur les accusations, pour l’heure non étayées, d’un financement par la Libye de Mouammar Kadhafi de sa campagne victorieuse de 2007.

(©AFP / 01 juillet 2014 23h16)
[01-07-14 23:45:05] ANDERSON COMBATTANT – Radio NousLesCombattants: TOZA DIRECT NA NGONGA OYO NA RADIO. BALANDA BISO PE SOKI OZALI NA MAKANISI BENGA NDEKO :
TELEPHONE : 0033 9 70 40 34 74, ETATS-UNIS : 240 293-2033
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SUJET DU JOUR : SOMMES-NOUS UN PAYS INDEPENDANT ?
TOYA KOPESA PE KOKABOLA MAKANISI NA BISO NA BANDEKO. INGETA !!!

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[00:28:53] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao:
ALERTE!

NOUS VENONS D’APPRENDRE QUE LE ZACHARIE BABABAZWEZWE ARRIVE CE MATIN 5H30, A ROISSY CHARLES DE GAULLE, A BORD D’UN RÉGULIER D’AIR FRANCE PROVENANT DE KINSHASA.

NOUS INVITONS TOUS LES COMBATTANTS RÉSISTANTS PATRIOTES PRÉSENTS QUI SONT DANS LA RÉGION PARISIENNE, A ETRE A L’AÉROPORT POUR UN ACCUEIL CHALEUREUX A NOTRE BABAZWEZWE, SELON LES COMBATTANTS.

N’OUBLIONS SURTOUT PAS D’APPORTER DES FLEURS ET CADEAUX POUR L’ILLUSTRE, AFIN DE LUI TÉMOIGNER NOTRE GRATITUDE, AU NOM DE 10 MILLIONS DE MORTS KONGOLAIS.

LE TOUT DOIT SE FAIRE AVEC DOUCEUR ET TENDRESSE DE MANIÈRE A CE QUE BABAZWEZWE NE PUISSE JAMAIS OUBLIER CET ACCUEIL DIGNE DE SON RANG.
[00:38:58] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: BREAKING NEWS  C’est seulement chez nous au Congo RDC que l’on peut assister à ce spectacle ridicule. La société civile en RDC est devenue un tremplin pour accéder au pouvoir. Aujourd’hui, il existe deux sociétés civiles, la nouvelle société civile dirigée par Tshombela et la société civile du peuple dirigée par Martin Kavunja. Ce dernier ( Kavunja ) réclame la sortie immédiate du gouvernement des concertations nationales dans lequel il doit figurer comme ministre, faute de quoi, il paralysera la rentrée scolaire. Kie kie kie il y a certains individus qui se prennent pour le nombril de la terre.
[00:59:19] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: BREAKING NEWS La CPI instrumentalisée par le regime du salaud rwandais hypolite kanachiens soit disant joseph kabila

En effet, le 20 novembre 2013, la CPI avait délivré un mandat d’arrêt à l’encontre de Jean-Pierre Bemba Gombo, Aimé Kilolo Musamba, Jean-Jacques Mangenda Kabongo, Fidèle Babala Wandu et Narcisse Arido pour des atteintes présumées à l’administration de la justice internationale dans le contexte de l’affaire Le Procureur c. Jean-Pierre Bemba Gombo.

Aimé Kilolo Musamba et Fidèle Babala Wandu ont été transférés au quartier pénitentiaire de la CPI le 25 novembre 2013.

La première comparution d’Aimé Kilolo Musamba, de Fidèle Babala Wandu, et de Jean-Pierre Bemba Gombo a eu lieu le 27 novembre 2013. Après son arrestation, Jean-Jacques Mangenda Kabongo a été transféré au quartier pénitentiaire de la Cour le 4 décembre 2013, et il a comparu pour la première fois devant la Cour le 5 décembre 2013.

Narcisse Arido a été transféré au quartier pénitentiaire de la Cour le 18 mars 2014 et a comparu pour la première fois devant la Cour le 20 mars 2014.

Le 30 juin 2014, le procureur devra déposer les documents contenant les charges contre Jean-Pierre Bemba et ses 4 coaccusés dans cette seconde affaire de subornation des témoins et falsification des éléments des preuves.

Le 31 juillet les deux parties devront commenter les dites charges ainsi que la liste des éléments des preuves intruduites par le bureau du procureur.

Le 7 août 2014, le bureau du procureur déposera ses analyses et le 14 août les équipes de la défense remettront leurs observations.

La décision sur la confirmation des charges dans cette affaire sera rendue par écrit par le juge unique en octobre de cette année.

Entre temps , les demandes de mises en liberté provisoire des inculpés introduites en décembre 2013 ont toutes été refusées en février 2014 pour des raisons diverses mais, notre étonnement , est de constater l’acharnement du gouvernement congolais dans le dossier de l’honorable Fidèle Babala.

A deux reprises, le procureur général de la République Démocratique du Congo a émis des avis défavorables quant à la mise en liberté provisoire du secrétaire général adjoint du MLC et élu de la Tshangu au prétexte que son retour à Kinshasa représenterait une entorse à la stabilité politique et la paix sociale en RDC.

De toute évidence, l’absence d’objectivité des autorités judiciaires congolaises dans le traitement de la requete de mise en liberté provisoire de fidèle Babala eclate au grand jour et les congolais épris de justice ont des raisons de craindre à une tentative de manipulation de la Cour Pénale Internationale par le gouvernement congolais.
[14:06:29] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu:

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Investissons-nous à forcer nos leaders politiques de l’opposition à se rencontrer au sommet pour convenir de ce que nous voulons réellement faire de notre Congo et de la manière dont nous voulons nous y prendre tous, dans l’ordre, l’attente et la concorde.
Les expéditions punitives extra-légales contre des individualités, qui il est vrai, ont des comptes à rendre à la nation, nous divisent, nous congolais, plus qu’elles ne nous unissent.  Elles ne sont donc pas les solutions appropriées aux problèmes que nous avons à résoudre : débouter la médiocrité, la trahison, l’imposture et la colonisation du Congo.

On ne guérira par la malaria avec de la teinture d’iode, chers compatriotes !  Si vous l’avez compris et que nous n’avez pas changer d’attitude, tout en étant combattant, de nom seulement, vous n’aurez pas l’excuse au jour où les congolais se décidéront de juger ceux qui n’ont rien fait pour sauver la nation !

J’accuse !


Je nous accuse, nous, opposition au régime fantôche de Kinshasa, particulièrement la diaspora et l’intelligentia congolaises, d’être irresponables.  Et pour cause ?

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[25-06-14 19:02:01] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: BREAKING NEWS ALLERTE ROUGE message envoyer depuis  bukavu NGAI BIBCHE KAMITATU NA FANDI NA BUKAVU NA YEBI KAMERHE BIEN NA BANA NA YE BIEN PE NA TANGA NA MWANA NA YE MOKO KOMBO NA YE BAMI KAMERHE.mwana MOSUSU MWANA ya KAMERHE  YA MOBALI KOMBO NA YE PATRICK KAMERHE . KAMERHE AZALI BURUNDAIS AZALI CONGOLAIS TE .BISO BA TU YA KIVU TOYEBI BIEN KE KAMERHE AZALI BURUNDAIS A 1000% TOTIKA KO SOUTENIR YE PONA AZALI BURUNDAIS A 1000%.NA HYPOLITE KANAMBE KANAMBE  BAZALI BA ETRANGER NA MBOKA NA BISO.APRES KAMERHE SOKI ALINGI KOSALA REUNION ABENGI BANA YA ISTA YA IPN.CAMPUS. AZO FUTA BANGO 5  $  a  chacun PONA KOTONDISA  ba reunion NA YE AYEBI KE BA CONGOLAIS BA LINGI YE TE na HYPOLITE KANAMBE BAZALI BA ETRANGER NA RDC
[25-06-14 23:48:07] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: BREAKING NEWS ALLERTE ROUGE    SELON NOS SOURCES DANS L’ENTOURAGE LE PLUS PROCHE D ‘AUBIN MINAKU LE SALAUD RWANDAIS HYPOLITE KANACHIENS SOIT DISANT-.
JOSEPH KABILA ,MAITRE NKULU ,MAITRE MBUYU,LEON KENGO WA DONDO ,AUBIN MINAKU ET L’ABBE MALU MALU ONT DEJA TROUVE LA FORMULE DE LA CONSERVATION DU POUVOIR PAR LES PRO KABILA.
CETTE FORMULE CONSISTE A REVISER LA CONSTITUTION DE MANIERE A CE QUE LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE SOIT ELU AU SUFFRAGE INDIRECT NON PAS DIRECTEMENT PAR LE PEUPLE. UN POSTE DE VICE PRESIDENT SERA CREE. IL Y AURA AUSSI DES NOUVELLES NOMINATIONS ET MISES EN PLACE, D’ICI 2015,AU SEIN DE L’ARMEE ,DE LA POLICE ET DES SERVICES DES RENSEIGNEMENTS. LA DIPLOMATIE FERA AUSSI L’OBJET DES CHAMBARDEMENTS IMPORTANTS.

AUBIN MINAKU SERA ELU PRESIDENT DE LA RDC AU SEGOND TOUR ,IL EN EST DE MEME DU RENARD POLITIQUE, LEON KENGO, QUI LUI VA S’OFFRIR LE POSTE DU VICE PRESIDENT DE LA RDC.

ZOE KABILA SERA NOMME MINISTRE DE LA DEFENCE ,AINSI QUE HYPOLITE KANAMBE SOIT DISANT- JOSEPH KABILA SERA PRESENT SANS Y ETRE.

IL FAUT SIGNALER QUE MINAKU SERA UN FIGURANT A LA TETE DU PAYS,LEON KENGO SERA LE VRAI LEADER DANS L’OMBRE DE LA RDC.
CETTE FORMULE REFLETE LA VRAIE CHARPENTE DU POUVOIR KABILISTE QUI A POUR NOYAU UNE ALLIANCE NON DECLAREE ENTRE UNE FRANGE DES CADRES POLITICO-MILITAIRES KATANGAIS ET TUTSIS FLANQUES DES QUELQUES ACTEURS POLITIQUES ORIGINAIRES DES AUTRES ETHNIES DE LA RDC.

CETTE INFORMATION NOUS L’AVONS VERIFIEE ET DECOUPEE AU PRES D’UNE AUTRE SOURCE TRES PROCHE DU DIRECTEUR DE CABINET DU SALAUD RWANDAIS HYPOLITE KANACHIENS SOIT DISANT- JOSEPH KABILA MR. BEYA SIKU.m
[09:34:45] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu:
Si tout cela est vrai (Où sont les preuves matérielles de ces allégations ?  Il devrait y en avoir une quelque part, pourtant, à la lecture ATTENTIVE de la livraison ci-dessus !), c’est que nous, opposition congolaise, sommes tout aussi incompétents et dangereux pour la RDC que le pouvoir que nous décrions.
En effet, nous sommes capables d’avoir des informations aussi stratégiques, mais nous sommes incapables de déjouer ces stratagèmes bourré d’erreurs stratégiques, toute grossières ?  Nous connaîtrions en effet très bien les futurs acteurs, leur agenda ne nous est pas caché…  Malgré cela, nous ne répondons pas à l’appel du Projet 2014 à une rencontre de travail le samedi 28 juin prochain, mais, à la place et comme à l’accoutumée, nous préférons organiser une manifestation dont nous savons prédire presque à 100% l’inefficacité.  Dans ces conditions, nous, dans le cadre de notre participation au Projet 2014, dans l’hypothèse que cette information-là soit fondée, sommes dans le devoir de considérer tous ceux qui sont au courant, mais qui continuent à commettre les erreurs du passé, malgré nos nombreux avertissements, à tout le moins, comme des irresponsables du progrès de la RDC.
Si tout cela s’avère être faux, il faudra impérativement s’en prendre à ceux de nos compatriotes, combattants ou résistants, qui investissent dans la distraction et font ainsi, jour pour jour,  le lit de l’imposture ; perpétuant par le fait même, notre misère, notre esclavage.  Celui qui nous livre cette information ne peut en effet être responsable s’il s’avère après que son information ne tient qu’à de l’intoxication puérile.

Que proposons-nous pour changer le visage du Congo de juin 2014 ?

  1. Commençons par identifier nos vrais leaders et les promouvoir.  Ce travail doit être engagé dans toutes nos formations à caractère politique.
  2. Engageons-nous à développer notre Etat par projets écrits, qui permettent d’établir formellement les responsabilités et les compétences ; et, facilite la critique.
  3. Notre nouveau parti politique, Kongo ya Sika comme un cadre de travail politique de fond, pour mettre une fois pour toute, la RDC sur la bonne voie : celle de son indépendance véritable.  Vous pouvez tous venir voir ce que nous y abattons comme travail : https://projet2014.com/parti-politique.

Bukavu


Notre pauvre ville de Bukavu fait encore parler d’elle.

Cette ville qui, comme bien d’autres, à l’Est de la RDC, souffre le martyr, est en effet le théatre de beaucoup d’injustice, de beaucoup d’insécurité, de beacoup d’abandon…

Comme si les morts de Bukavu ne suffisaient pas encore, voici encore qu’il en meurt d’autres prisonniers, pour la plupart arrêter, définitivement, pour cause de leur combat politique, éclairé ou pas, contre l’imposture qui sévit dans la RDC.

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Timeline Photos

Crise à l’Est: Evasion de plus de 300 détenus Au moins deux personnes ont été tuées jeudi à l’aube lorsque 301 détenus se sont évadés de la prison centrale de Bukavu, une grande ville dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC), a-t-on appris de source policière. «Nous venons de finir le compte: il y a au total 301 évadés, mais 35 ont déjà été récupérés», a déclaré à l’AFP un policier proche de l’enquête, qui a requis l’anonymat. «Le bilan provisoire jusqu’à ce midi est de deux morts, un civil et un militaire sous-lieutenant, et sept blessés, au nombre desquels trois civils et quatre militaires», a-t-il ajouté. Des voisins de la prison centrale de Bukavu, capitale de la province du Sud-Kivu (est), ont affirmé que c’est à partir de 5 h 30 (23 h 30 mercredi, heure de Montréal) que des coups de feu ont résonné dans et autour de ce centre pénitencier. Vers 6 h (minuit à Montréal), les prisonniers ont réussi à forcer et ouvrir la grande porte, ont-ils ajouté. Le policier a expliqué que les prisonniers se sont évadés après avoir neutralisé les surveillants de la prison. «Ils ont récupéré les armes et ont réussi à ouvrir la porte de la prison», a-t-il précisé. Interrogé par l’AFP, Descartes Mponge, le président de la Société civile du Sud-Kivu (un regroupement d’associations, d’ONG et de syndicats), a affirmé qu’il y avait «au moins 1600 détenus dans cette prison où nous effectuons des visites régulières». Dans la matinée, l’annonce de l’évasion a perturbé les activités des habitants dans les quartiers proches de la prison, où ont été déployés de nombreux policiers et militaires, a constaté un journaliste de l’AFP. «Alors que les enfants préparent les examens, ce réveil par des coups de feu, cela nous inquiète», a déclaré à l’AFP un enseignant qui se rendait au centre d’examen de fin d’études primaires, que les enfants congolais passaient ce jeudi. Dans l’après-midi, le dispositif sécuritaire a été allégé et les activités ont repris. Mais alors que la police poursuivait sa chasse aux évadés, certains habitants semblaient toujours inquiets.

Jack Mushaga