Le social : 9 propositions novatrices de GPAU.


Ces derniers jours, les congolais ont été de plus en plus sensibilisés au méfait de l’égoïsme légendaire de nos parlementaires par la presse congolaise et occidentale. L’impérialisme occidental, cette fois-ci comme les autres fois, semble s’être curieusement mué en humanisme. Et pourtant…

Depuis décembre 1999, nous proposons aux congolais, sans que personne n’y prête attention, un passage de la République à une Union d’états indépendants du Congo ou de l’Afrique Centrale, l’UEIC, pour couper l’herbe sous les pieds des hommes véreux que nous avons commis à la gestion de la chose publique, par ignorance, par esprit d’hégémonie clanique, tribale ou segregationiste. Parmis ces hommes, se trouvent en tête des parlementaires qui s’attribuent des salaires d’iniques, de 17 à 21 milles euros par mois, sous la barbe de près de 100 millions de congolais !

Pour nous sortir de la crise qui perdure, pour focaliser nos efforts, dans le domaine du social, comme dans les autres domaines, nous avons formulé des propositions et les avons déposées sur une table non visitée.

Notre proposition à nous est que la tension salariale (salaire maximum/salaire minimum) reste inférieure ou égale à 5 et que le salaire minimum soit supérieur au minimum vital que nous estimons à 1250 €/mois, pour une personne isolée. C’est notre manière d’offrir aux congolais de vivre dans un mimimum de justice sociale et de confort de vie.
Le plus haut salaire net ne doit donc pas dépasser les 6250 €/mois pour une personne isolée.

Puisque notre dernière proposition est d’appliquer une imposition de 57% sur les revenus bruts, les salaires bruts doivent être compris entre 2193 €/mois et 10.965 €/mois pour la personne isolée. Cette imposition novatrice vise à permettre à chaque congolais de maintenir son niveau de vie à la retraite.
Voilà quelques unes de nos propositions, du ressort du social, sur lesquelles les congolais crachent depuis décembre 1999 :

  1. le salaire minimum ;
  2. le salaire maximum ;
  3. la sécurité sociale minimale pour tous.

Nos autres propositions touchant au social sont :

  1. l’obligation scolaire jusque 24 ans ;
  2. l’obligation de travail dès 25 ans ;
  3. la qualification obligatoire de tout travailleur ;
  4. une villa spacieuse et fonctionnelle pour tout ménage ;
  5. l’énergie, l’eau et l’électricité, aux portes de tous les ménages et de toutes les entreprises ;
  6. la priorité aux nationaux en matières d’emploi, à qualifications et expériences égales.

Nos propositions sont innovantes en qu’elles ne demandent aucun endettement extérieur. Le financement des changements à opérer sera à 100% congolais. Parce que :

  1. tout congolais sera au travail au regard de nouveaux chantiers à ouvrir, dans plusieurs secteurs ;
  2. tout salaire sera taxé, à près de 57%, à la source ;
  3. le produits congolais seront de grandes valeurs du fait de la qualification des travailleurs et de la forte hausse des bas salaires ;
  4. une réduction brutale de la corruption et sursaut de patriotisme…

Le démarrage de ce projet attend le reveil de la conscience nationale que réussira à provoquer l’implication des membres de Kongo Ya Sika dans la mobilisation de notre peuple.

A coeur ouvert !


Entre GPAU et un membre de Kongo ya Sika

contact: BONJOUR

contact: COMMENT VOUS ALLEZ

contact: CA FAIT LONGTEMPS

GPAU: En effet !

GPAU: Cela ne nous aide pas à faire utile pour notre nation.

GPAU: J’espère que tu en prends conscience, Contact !

GPAU: Comment vas-tu ? Que fais-tu en ce moment pour le meilleur de la RDC ? Nous cherchons des mains secourantes pour sauver le Congo qui sombre dans le désordre de plus bel !

contact: VRAIMENT NOUS SOMMES DEBORDER PAR LA SITUATION MON CHEF NOUS SOMMES VRAIMENT TRISTE JE PERDUS AUSSI DEUX MEMBRES DE MA FAMILLES LE SAMEDI

GPAU: As-tu la liste des ministres : c’est le même plat que l’on sert aux congolais : assassinats, rebellions, paupérisation du plus grand nombre, décimation de la population.

GPAU: Mes condoléances.

contact: oui je l’ai c’est une mascarade qu’ils ont faite c’est un non évènement pour moi

contact: merci mon vieux

GPAU: Puis-je poster le contenu de la conversation ? Ton nom sera omis, pour la confidentialité du post.

contact: oui

contact: pas de problème

GPAU: Tu t’arrêtes au constat : que proposes-tu pour aller de l’avant ?

contact: nous sommes vraiment nerveux

contact: je suis prêt à tout ce qui peux arriver aujourd’hui

contact: trop c’est trop nous en sommes fatigués vraiment ils doivent quitter le pouvoir

GPAU: Il ne faut pas être prêt à tout : le bonheur comme le malheur ? C’est ce qui fait que l’imposture perdure. Il faut plutôt t’engager dans un projet comme le nôtre pour qu’ensemble nous trouvions comment démonter proprement la machine kanambienne que nous avons mise en place nous-mêmes !

GPAU: Pour être démocratique, convainquons toutes nos populations à rappeler leurs députés pour les sommer de voter une motion de défiance contre Kanambe. Il ne saura alors rien faire contre le peuple ; à moins qu’il ne signe lui-même son transfert à la CPI !

contact: je suis l’un de vos partisan au nord kivu je soutien votre vision de kongo ya sika

contact: et je continue à sensibiliser mes proche pour y adhérer comme moi

GPAU: Si les députés rechigne, nous avons toujours en réserve un canon contre lequel ils ne pourront rien : la désobéissance civile et le boycott total de toute action du régime, dans tout le pays.

contact: alors il faut une mobilisation énorme de la population congolaise parc que actuellement c’est une politique de bouc émissaire qui règne vous parlez on coupe la tête

GPAU: Les kasaïens l’ont fait à l’époque de Mobutu avec les billets du Nouveau Zaïre. Cela ne demande aucune marche, aucune sortie dans la rue, juste vaquer à ses occupations et organiser dans tous les quartiers l’autodéfense contre tout intrus !

GPAU: Il faut organiser des grèves contre tout salaire de misère (<1250 €/mois) ou impayé à temps !

GPAU: Tes deux parents tués l’ont été parce qu’ils parlaient, Contact ?

GPAU: Oui.

GPAU: Il faut une mobilisation énorme : par le bouche à l’oreille, cela peut aller très vite !

contact: ils sont innocents mon cher cultivateurs de naissances

GPAU: Encore une fois, il ne s’agit pas d’inciter à la rébellion ; mais bien de sommer les députés à faire leur travail : démettre Kanambe et tout son pouvoir.

contact: vraiment c’est ce que nous essayons de faire avec nos groupes de pressions

GPAU: S’ils ne peuvent le faire, ce sont eux qu’il faut répudier. Comment ? Par la désobéissance civile, qui est parfaitement légale !!!!

GPAU: Les petits groupes seront vite mater par le régime et nous perdrons des âmes !

contact: oui c’est prévu par la constitution

GPAU: Il faut d’abord, par effet multiplicateur, convaincre, persuader vos relations, de l’ignominie du kanambisme.

GPAU: Au jour convenu, avant 2016, le fruit sera déjà à terre !

contact: nous ne pouvons pas accepter cela des morts chaque jours les militaires faibles qu’ils sont s’en donnent à l’enterrement de mort comme s’ils étaient la croix rouge

GPAU: N’agissez pas en petit groupe, isolé ! Vous serrez, officiellement, selon la république, des fauteurs de troubles, des bandits, de délinquants.

contact: ça sera en groupe et publique

GPAU: J’espère que tu comprends qu’une localité ne suffit pas… Il faut que tout le pays se lève, comme un seul homme. Cela se prépare…

GPAU: Nous devons faire les choses professionnellement.

GPAU: Lumumba, Mobutu et Kabila ne nous a pas appris l’excellence dans la gestion de la chose publique.

contact: oui tout le monde est prêt je vous assure mais aussi cela doit s’observer même à la diaspora congolaise

GPAU: Nous devons nous y attacher, si nous recherchons une paix durable. Autrement, ce sera le bricolage habituel. 2011 est derrière nous. Où sont les ténors de la propagande de l’opposition ? Nous les avions pourtant prévenus de l’échec, en 2006 comme en 2011 ! Et là maintenant, ceux qui veulent aller aux élections en 206, je t’assure qu’ils échoueront encore plus glorieusement qu’en 2006 et 2011 !

GPAU: Tu me dis que tout le monde est prêt. Dis-moi, combien sont-ils et à qu’attendent-ils faire ? Moi, j’affirme que nous sommes TRES LOIN d’être prêts pour une démarche réellement libératrice !

GPAU: Pourquoi ?

GPAU: 1. pas de plan nation de libération qui ait l’adhésion de plus de 50% de notre population

GPAU: 2. pas de leader qui ait un plan – non encore divulgué.

contact: souvenez-vous de la Burkina Faso

GPAU: 3. la pauvreté du plus grand nombre : plus de 98% de la population, selon ce que les ONG, ASBL et coopératives avec lesquelles je suis en contact direct.

contact: on entendra jusqu’à quand le leader nous serons nous même le leader c’est ne pas un leader qui libéré mais la population qui se libère et c’est elle même qui se choix sont leader

GPAU: C’est justement au Burkina Faso que je pense aussi !

GPAU: Où en sont-ils ?

GPAU: Dans quel état était-il au moment du soulèvement ?

GPAU: As-tu bien lu ce qu’ils ont observés et fait observer au sujet de la RDC ?

GPAU: Parlons bien du Burkina Faso, avec intelligence !

GPAU: Ils ont dit, avec raison : c’est en RDC qu’on trouve les moutons !

GPAU: Nous devons nous rendre compte que nous nous laissons avoir nous-mêmes.

GPAU: Moi à Kinshasa, Kanambe ne fera pas 2 semaines au pouvoir !

contact: c’est le même problème qui a poussé le burkinabais à faire fuir leur président la révision constitutionnelle mais ici chez nous il y a beaucoup des choses sur leur quelles nous fondons nous revendications

contact: plusieurs problèmes socioéconomiques

GPAU: Mais pour que je sois là, physiquement ou spirituellement, il faut que j’aie des personnes qui adhère à mes propositions qui sont sur le Net depuis décembre 1999 !

contact: trop c’est trop

GPAU: En effet !

GPAU: Il en sera ainsi tant que nous ne nous résoudrons pas à quitter la REPUBLIQUE ! Cette peste !

GPAU: Dans une union, libre, d’états indépendants du Congo ou de l’Afrique Centrale, tout ce qui se passe là maintenant ne serait pas possible !

GPAU: Chaque peuple du Congo doit s’organiser, comme certains d’entre eux – très peu encore – le font !

GPAU: Nous devons par ailleurs accepter que chaque peuple ait son droit inaliénable à la détermination de son destin.

GPAU: Dire ceci n’est pas dire qu’on se sépare : mais plutôt que nous unissions réellement ; parce que jusqu’ici, ce sont les autres qui nous maintiennent dans une unité fictive ! Les colonisateurs d’abord, les dictateurs ensuite, les imposteurs aujourd’hui.

GPAU: Kamerhe l’a dit à plusieurs reprise : essayer de résoudre les problèmes congolais sans tenir compte des peuples du Congo et vous serez toujours à côté de la plaque !

GPAU: Ce sont les dictateurs qui ont peur des autres et qui cherchent secrètement à dominer les autres.

contact: réveillions nous et sur tout le plan et au niveau international que national nous devons aussi sentir votre mobilisation là ou vous êtes il ne faut pas nous laisser comme ça il faut nous aider vous savez vous même que la diaspora burkinabais a aussi jouer un grand rôle dans la crise burkinabaise il ne suffit pas de nous sensibiliser nous qui sommes ici au pays alors que ceux qui sont à l’étranger ne font absolument rien

GPAU: Les vrais démocrates n’ont pas peur de s’asseoir autour d’une table avec les autres pour décider, par consensus et pas par humiliation, de ce que nous voulons faire du Congo que Lumumba nous a légué !

GPAU: Je viens de te faire des propositions précises que tu ELUDES, EVITES de traiter. Pourquoi ?

GPAU: Que dis-tu d’une préparation de nos peuples, avant d’enclencher l’assaut contre les imposteurs ?

GPAU: Es-tu prêt à participer à un tel projet en préparant un discours à tenir aux amis et un plan de mise en route d’une propagande multi-niveau ?

GPAU: Moi, je ne vois pas comment nous bâtirons du solide sans passer par là !

GPAU: Voilà pourquoi tu m’attends dire qu’avec nos tergiversations, nous en avons pour minimum 20 ans ; mais très probablement 30 ans encore de misère. Cette misère ira croissante. Ce que nous vivons maintenant n’est en réalité que le commencement de la douleur !

contact: c’est cela qui nous manque nous devons faire tout pour que tout sois prêt pour faire un assaut très dur contre ce pouvoir de macchabé de sanguinaires sans éclat

GPAU: Il y aura sous peu une douleur telle que personne ne s’y retrouvera. C’est elle qui provoquera la révolte populaire contre laquelle aucune arme au monde ne pourra résister. Dans 30 ans ! Le temps que la majorité se décide à régler les comptes avec les bandits politiques que nous avons commis nous-mêmes à la gestion de l’État, par paresse, par népotisme…

GPAU: Ce travail demande d’abord, SOUS LA MAIN, une PROPOSITION CLAIRE, à adresser à tous ceux qui se disent aujourd’hui congolais.

contact: nous allons bientôt y parvenir mon vieux ne vous en faites pas il y a une chose qui se prépare ici

GPAU: Nous en avons une qui se résume en : arrêtons avec la république, allons, à pas mesurer, c’est-à-dire, en 5 phases de 10 ans chacune, vers une union d’États indépendants du Congo, ou de l’Afrique Centrale, États à construire sur base de nos affinités culturelles !

GPAU: Cette chose-là, je la connais, les acteurs m’en parle : elle n’est pas la solution à notre problème véritable !

GPAU: Pourquoi ?

GPAU: Parce que :

GPAU: 1. ce qui la prépare ne sont pas transparents et cache donc un projet dont ils ont déjà eux-mêmes honte, dès le départ. Ce projet ne peut être qu’un mauvais. Et en effet, il s’agit d’une autre dictature ! Ne te laisse pas prendre ! Un démocrate ne se cache pas sous la forêt. Il harangue sont peuple pour le convaincre de la valeur et de la force de ses idées. Nos propositions sont mises au grand jour ; parce que nous en connaissons la valeur, de sorte que nous l’opposons à tout celui qui nous demande raison de notre foi ! Les maquisards ne peuvent jamais être des sauveurs, Contact. C’est un principe élémentaire. Réfléchis bien : pourquoi un démocrate se cacherait-il ? Pourquoi aurait-il peur du fusil de l’imposture ?

contact: nous croyons que ça va marcher nous tentons ça s’il n ya de résultats favorable alors nous passerons à une vitesse de croisière

GPAU: 2. ces gens n’ont pas de plan visionnaire pour la RDC ! S’ils en ont un que tu connais, que tu as vu : suis-les. Sinon, arrête aujourd’hui et vient au Projet 2014. Notre plan est là : http://projet2014.com !

GPAU: Depuis combien de temps n’entendons-nous pas ce discours ?

GPAU: Quelles sont les raisons sérieuses qui te font croire que votre plan soit le bon alors qu’un autre congolais – moi en l’occurrence – je ne peux pas le connaître, sauf quand vous serez au pouvoir, en train de couper, illégalement, les têtes au kanambisme et assimilés !

GPAU: Soit raisonnable !

GPAU: Un plan démocrate est nécessairement public et pas caché !

GPAU: Tout ce qui est caché ne nous aidera JAMAIS à faire avancer la RDC vers l’unité, vers la victoire sur la colonisation, la dictature, l’imposture !

contact: nous c’est un projet populaire pour faire échec direct à toute personne de mauvaise intentions pour le peuples congolais

GPAU: Sinon, explique-moi comment cela se passerait.

contact: c’est ne pas un plan machiavélique pour le peuples congolais

GPAU: Vous avez quel pourcentage de congolais derrière vous ?

GPAU: Moi, je sais que l’UDPS peut mobiliser entre 40 et 50% de congolais, si elle veut !

GPAU: Tous les autres ne peuvent pas atteindre 10% !

contact: nous ne sommes contre de ce que vous faites le projet 2014 je l’ai déjà il y a longtemps

GPAU: Même Kamerhe est modeste pour savoir qu’il n’y est pas encore… Lui qui a pourtant, après le PALU, un certain monde derrière lui !

GPAU: Mbusa a du monde aussi ! Mais il sait qu’il n’ait pas encore les 10% des congolais. Que fait-il ? Dit-il le contraire aux gens ?

contact: kamerhe ne peut pas nous envouter dans son plan ; nous savons c’est qu’il est pour ce pays nous ne pouvons pas le suivre

GPAU: Vous avez combien de congolais derrière votre projet (s’il en existe un de précis, de valable) ? Donne-nous le chiffre approximatif ?

GPAU: Je te l’ai dit que je suis au courant !

contact: nous sommes nombreux vieux inutile de vous citer le nom

contact: ou le nombre de personne mais nous sommes vraiment mobilisé

GPAU: Te poses-tu vraiment la question de savoir pourquoi, moi, qui suis au courant, suis formel pour dire que votre démarche ne soit pas la bonne ?

GPAU: Je ne te demande pas de noms et ne t’en demanderai pas. Pourquoi faire ?

contact: comment cela

GPAU: Ce sont les espions et les traitres qui font cela.

GPAU: Pour que tu me comprennes bien, regarde à ceci :

GPAU: Le projet 2014 à moins de 20 participants…

contact : ha bon nous ne sommes pas de traitre à quel mouvement pensez-vous ?

GPAU: 20/73000000, cela fait 0% d’adeptes !

GPAU: Vous, combien de pourcent avez-vous ?

contact: je ne suis pas de ceux-là que vous parlez je suis un membre sympathisant de kongo ya sika

GPAU: Vous avez choisi la bonne direction !

GPAU: Mais, pourquoi est-ce que j’ignore vos filleuls ?

GPAU: Se sont-ils enregistrés ?

GPAU: Je ne vois nulle part leurs dossiers !

contact: JE SUIS LA IL Y A LONGTEMPS JE SUIS VRAIMENT UN DE VOUS TOUS LE DOCUMENTS SONT DANS MES MAINS

GPAU: Pourquoi les thésaurises-tu ?

GPAU: Tu freines le départ de l’imposture…

GPAU: Dans Kongo ya Sika ?

GPAU: Là, tu auras des blâmes, Contact !

GPAU: C’est de la vie de millions de congolais qu’il s’agit, dans Kongo ya Sika. Nous ne pouvons pas traîner pas avec les dossiers des candidats membres…

contact: NON je ne jamais fais cela est d’ailleurs je compte créer une page Facebook sur lequel je vais chaque fois publier mes idées pour faire connaitre à mes amis mes idées

GPAU: Ils ne sont pas membres tant qu’ils ne sont pas inscrits sur notre liste !

GPAU: Et pour être inscrit, il faut un dossier complet !

GPAU: Tu le sais !

contact: je suis inscrit kambale masua contact

GPAU: Tes idées ne sont pas celles de Kongo ya Sika.

contact: comment cela

GPAU: De quoi veux-tu que nous parlions finalement ?

GPAU: Les idées de Kongo ya Sika sont publiées, en temps réel, ici : https://projet2014.com/parti-politique/

contact: je crois que je le possède

GPAU: Tu possèdes quoi ?

L’URL ?

Tu es sensé le connaître avant que tu ne fusses membre !

Tu n’es pas clair. Que veux-tu dire ?

Connais-tu notre devise ? Si oui, écris-la-moi une fois ici ? Je commence à me poser des questions sérieuses sur ton implication dans Kongo ya Sika…

Pour notre cellule de travail, les choses se poste ici http://kongoyamupia.wordpress.com/ et ta production est à zéro, jusque-là !

GPAU: Tu n’es même pas sûr…

GPAU: Voilà pourquoi, je dis que le kanambisme risque de continuer après 2016…

Conclusion

Force est de nous rendre compte que le besoin en formation de nos membres soit urgent. Tant l’ignorance de nos vrais problèmes ; et en conséquence de vraies solutions à ces problèmes, est grande.

Pour que cette formation politique de notre peuple se fasse rapidement, il faut nécessairement recourir à un effet multiplicateur. La formation ne doit pas viser la transmission de la connaissance, de la compétence et du comportement seulement. Elle doit, outre, viser, outre la maîtrise par l’apprenant de nos vrais problèmes et de leurs solutions, la transmission des compétences pédagogiques à l’apprenant. C’est une formation multicouche qui nous sauvera.

Dans le cadre du Projet 2014, comme dans le cadre de notre cellule de travail dans Kongo ya Sika, nous nous mettons tout en œuvre pour aller dans cette direction. Les membres de notre cellule sont invités à se former ou à se faire former de manière à former d’autre.

Imaginons que chacun d’entre nous s’engage à former Q congolais après un temps T. On démontre que la durée de la formation, pour en embrasser tous les N congolais que nous sommes serait :

T.ln(N)/ln(1+Q). Au plus Q est grand et au plus T est court, au plus ce délai sera court. L’analyse mathématique montre qu’il faut surtout agir surtout diminuer T, quitte à augmenter Q au mieux de ses capacités. Ainsi, si chacun forme politiquement 5 filleuls (Q) tous les mois (T), la RDC (N=73.000.000) serait théoriquement complètement conquise en 11 mois, si tous les filleuls formés se mettent à faire de même dès la fin de leur formation ! L’imposture peut donc partir avant fin 2015, puisque la formation politique ne s’adresse qu’au tiers des congolais ! Cela diminue la durée de formation d’une vingtaine de jours.

Cette théorie a des limites évidentes

1. Sur les 5 formés, quelques-uns trahiront : ils ne respecteront pas le contrat ou bien ils ne seront pas convaincu par notre discours, du fait de notre incapacité de persuasion ou du fait de la concurrence qui prêche l’évangile opposé à celui du changement ou encore du fait des options de vie de l’apprenant ;

2. Beaucoup de congolais ne sont pas atteignables, n’ont pas le temps de suivre une formation politique ou ne sont pas en mesure d’assimiler le discours politique à cause de leur âge, de leurs limites intellectuelles, spirituelles, etc.

3. Diminuer T drastiquement, c’est baisser la qualité de la formation et de ce fait compromettre l’engagement des congolais ou diminuer l’efficacité de l’effet multiplicateur et des baisser les capacités des congolais à faire mieux que l’imposture.

Les solutions aux problèmes sont aussi claires

1. S’examiner soi-même, avant de se lancer dans ce projet. Sommes-nous convaincus et convaincants ? Si ce n’est pas le cas : commençons par nous faire réexpliquer le projet, jusqu’à ce que nous soyons nous-même convaincus de sa valeur, de capacité à permettre à la RDC d’aller vers la paix et la prospérité. Avons-nous les capacités pédagogiques requises ? Si ce n’est pas le cas : commençons d’abord par bien nous former ou nous faire former nous-mêmes. En plus, examiner nos prospects à la formation. Il ne faut pas confier des perles aux pourceaux de présentation, à des incirconcis d’esprit, à des barbares de culture personnelle !

2. Vouloir former politiquement une personne mal préparée, c’est gaspiller de l’énergie politique qui pourrait utilement servir à autre chose : diplomatie, projets de proximité, etc. Nous devons apprendre à lire et à écrire, à calculer, à planifier un développement, à tenir un discours politique clair, percutant, à reconnaître ses limites et la valeur des autres, y compris de l’adversaire politique !

3. Notre formation doit se donner du temps. Le temps que l’idéologie et la philosophie politique s’imprègnent bien. Qu’au changement perceptible chez l’apprenant, l’assurance soit totale qu’il transmettra le bon savoir, le bon savoir-faire et le bon savoir-être à ses filleuls. Un suivi est donc nécessaire. Le temps consacré au management de sa structure (l’ensemble de ses filleuls) rajoute au délai de la formation T. C’est la raison pour laquelle, l’imposture, en tout état de cause, ne peut pas partir, définitivement, démocratiquement, en une seconde. Il y a un minimum au délai, qui dépend de notre culture, nous, congolais.

Washington : quelle expérience ?


Que nous preuve multiple nous apporte le malheureux l’évènement de Washington ?  Et pourquoi faut-il vite intégrer Kongo ya Sika pour résoudre proprement ces problèmes ?

  1. Contrairement à ce que plusieurs de nos compatriotes pensent, l’Occident n’est pas un espace de droit non plus.  Il est différent de l’Afrique et préférable à cette dernière sous certains rapports.  Cependant, nous avons aussi, nous, congolais et occidentaux, nos combats, dans nos pays occidentaux, nos secondes patries.  Nous l’avons vu, bon nombre de nos compatriotes ici sont encore enfermés pour longtemps dans le racisme du blanc contre le noir ou dans la xénophobie de l’autochtone contre l’alloctone ou l’immigré.
  2. Les bras tentaculaires de l’esclavagisme, de la coonisation, de la dictature et de l’imposture ont toujours été et restent partout présents ; depuis que le Congo est victime, successivement, de l’esclavage, de la colonisation, de la dictature et de l’imposture.  Ceux qui dorment, restent passifs, ne s’en prendront qu’à eux-mêmes ; si pas eux, leurs progénitures.  La survie de la gente congolaise ne dépend que de nous.  Et jusqu’ici, répétons-le, nous opérons de mauvais choix, malheureusement.
  3. Toute violence en appelle une autre.  Nous devons donc choisir, résolument, de combattre l’imposture kanambienne par les voies de droit.  Ce sera d’autant plus court et au résultat durable, si nous y investissons toute l’énergie que nous gaspillons dans des marches, des sit-in, des protestations publiques, des pétitions et d’autres démarches semblables, mais MAL CIBLES, MAL ADRESSES et fondés sur l’usage de la force physique seule et non fondé sur la la raison d’abord et les muscles, uniquement quand cela s’avère INDISPENSABLE.  Notre stratégie actuelle ne nous mettra pas au-dessus des autres nations dont la barbarie se voient au grand jour.
  4. Dans le cas précis de Washingon, étant donné que savons le faire, investissons dans une action judiciaire contre les coupables en nous déterminant d’aller jusqu’au bout du projet.  La victoire nous obligera nous-mêmes à être respectueux et exigeants par rapport au respect de l’intégrité physique et morale de tout homme, mais de désormais avoir l’assurance d’arriver à arrêter PROPREMENT et SUREMENT tous les acteurs du kanambisme, qui ont commis et continuent à commettre beaucoup de crimes dans notre pays.  Cette façon de faire sera, pour nous, autrement plus efficace que les lumbe lumbe et mwete mwete qui ne nous apportent pas la solution attendue à nos problèmes, jusqu’ici ; solution qu’est la paix et la prospérité pour tous en RDC que propose Kongo ya Sika.
  5. Nous ne pouvons pas poursuivre les criminels de Washington et laisser nos frères croupir sous le joug kanambien en RDC : il est notre devoir que de traduire tous les bandits politiques qui pullulent dans l’espace politique national en justice, jusqu’à avoir gain de cause.  Cette démarche, si elle est déterminée, nous permettra en même temps d’imposer notre marque à la CPI qui pour l’instant se montre pas moins pourrie que les institutions que nous avons malheureusement contruites de nos propres mains depuis 1960, en commettant des hommes véreux à la gestion de la chose publique, à répétion, avec l’espoir, vain et injustifiable, de tirer de la justice de l’injustice…

Nous n’aurons là que répété notre appel commencé depuis décembre 1999, dans le cadre du Projet 2014 et continué avec mes compatriotes membres du parti politique Kongo ya Sika que nous avons créé pour aider ceux qui veulent militer pour une vraie paix et une vaie propérité en RDC.

Projet 2014 n’est pas Kongo ya Sika !


Nous sommes initiateur, gestionnaire et participant au Projet 2014.

Nous sommes également cofondateur du parti politique Kongo ya Sika qui attend d’avoir un membre dans chaque province du Congo pour officiellement rejoindre la plus grande coalition de l’opposition qui est désormais connue.

Pour certain, la confusion est grande. Et pourtant les choses plutôt sont plus simple qu’on ne le croit : le projet « Projet 2014 » et le parti politique « Kongo ya Sika » n’ont aucun lien quelconque à part celui résultant du fait que je me retrouve ici et là-bas. Comme d’ailleurs je suis président et cofondateur de l’ASBL Échanges Afrique-Europe.

La conversation avec mon « Interlocuteur » vous permettra de comprendre la part des choses.

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[27-07-14 21:49:03] GPAU: Il n’y a, théoriquement rien entre Congo ya Sika et le Projet 2014 ! Aucun lien !

[27-07-14 21:49:26] *** Call to Interlocuteur, no answer. ***

[27-07-14 21:50:09] Interlocuteur: problème de connexion mais ça bien marcher un moment

[27-07-14 21:50:32] *** Call from Interlocuteur ***

[27-07-14 21:50:50] *** New voice message, duration 00:03 ***

[27-07-14 21:51:01] GPAU: Ne nous dérange pas pour rien. Ta bande passante n’est pas suffisant !

[27-07-14 21:51:11] *** Call from Interlocuteur ***

[27-07-14 21:51:40] Interlocuteur: c’est dommage, c’est toujours comme ça ici chez nous

[27-07-14 21:51:59] Interlocuteur: pourtant j’ai une clé 3G d’orange

[27-07-14 21:52:13] GPAU: Si tu veux savoir Kongo ya Sika, tu dois aller sous le menu Kongo ya Sika !

[27-07-14 21:52:32] GPAU: Tout ce qui est en dehors de ce menu, n’est pas de Kongo ya Sika !

[27-07-14 21:52:45 | Edited 21:53:10] GPAU: Le blog appartient au Projet 2014 !

[27-07-14 21:52:54] Interlocuteur: en tout cas je passais qu’il y a un lien entre Congo ya Sika et 2014

[27-07-14 21:53:28] GPAU: Nous allons bientôt créer le blog de Kongo ya Sika !

[27-07-14 21:53:39] GPAU: Je te quitte pendant 1 heure.

[27-07-14 21:54:01] GPAU: Je dois être animer mon émission dans 7 minutes !

[27-07-14 21:54:15] GPAU: Tu peux laisser tes questions ici !

[27-07-14 21:54:21] Interlocuteur: ok, à bientôt

[27-07-14 21:55:22] GPAU: C’est vrai : les congolais préfère encore la paresse, la dictature, le monopartisme, le dirigisme, la république : je suis en avance sur mon temps de 50 ans environ, depuis 1976 que je me bat politiquement pour la RDC !

[27-07-14 21:59:22] Interlocuteur: 1. Pourquoi vivez-vous en Europe et non en RDC?

[27-07-14 22:03:54] Interlocuteur: 2. Ne trouvez-vous pas que votre combat politique est presque ignoré pour ne pas dire méconnu des congolais du fait que vous le menez au loin. Contrairement aux autres opposant qui mène leur combat ici sur terrain (Tshitshi, Mosengwo, Nyamwisi, …).  »Muti ya mbali haiuake nyoka »

[27-07-14 22:04:44] Interlocuteur: 3. Est-ce que les congolais vous connaissent? ou vous êtes un héros dans l’ombre?

[27-07-14 22:08:56] Interlocuteur: En tout cas, personnellement, il y a de cela 6 ans presque que Richard Kombi m’a parlé du projet 2014 mais je n’avais jamais soupçonné que c’était un projet de société. Je pensais plutôt à un petit projet de développement que vous vouliez monter en RDC. heureusement, Dieu merci, j’ai pu être en contact avec vous et vous m’avez révelé ce qu’est le projet 2014. Raison pour laquelle je vous demande si les congolais vous connaissent et ont même une idée du projet 2014. Peut-être quelques congolais seulement, très peu d’ailleurs je pari.

[27-07-14 22:11:05] Interlocuteur: 4. Après élaboration du projet 2014, est-que vous viendrez en RDC pour sa concrétisation?

[27-07-14 22:14:09] Interlocuteur: 5. En tant que porteur du projet de société 2014 (qui soit le plus complet et le plus démocratique que le Congo aura jamais connu), quelle responsabilité projeter vous jouer pour le Congo avenir?

[27-07-14 22:16:22] Interlocuteur: Je continu à lire, rubrique par rubrique sur le blog. Merci

[03:03:04 | Edited 03:25:18] GPAU: 1. Parce que je suis plus efficace d’ici que si j’étais au Congo. Tous mes amis qui m’ont quitté sont formels : j’avais raison de leur déconseiller de faire le mauvais pas ! Il y a une autre catégorie de personnes à qui je conseille de rentrer au pays : les médecins par exemple. Il y a une autre catégorie qui commettrait une erreur incommensurable en rentrant en RDC. Où en sont Bemba, Kashala, Rex Kazadi, Mobutu Zanga… Qui ont commis cette erreur à un moment crucial ?

2. Si être prêt résolvais les problèmes, ils le seraient déjà. Pour l’instant, c’est la diaspora qui fait vivre le pays : 9,3 milliards transférés par celui-ci contre 8,9 milliards du budget du gouvernement. C’est donc nous qui nourrissons les congolais, les soignons, les envoyons à l’école et non pas les travailleurs de l’intérieur du pays.

3. Je suis un héros dans l’ombre : toute l’opposition, de la diaspora et de l’intérieur, me connait. Le pouvoir aussi me connait. Toutes les personnes que tu as cité me connaissent personnellement. La question que tu ne te poses pas est : cela étant, pourquoi ne parle-t-il jamais de moi ? Le pouvoir aussi me connait très bien et sait que le jour où les congolais accepteront mes propositions, il se retrouverons quelques mois après, proprement, c’est-à-dire, démocratiquement, en prison, à vie ! Demande à tout celui qui me connait si Ngbanda, Kamerhe, Nyamwisi, Kanambe, Mobutu, Mosengwo, Kengo, Tshisekedi ne me connaissent pas ? À l’affirmative, demande lui pourquoi ni moi ni eux ne parlons de mon projet ailleurs que sur mon site et mon blog depuis décembre 1999 ?

[03:04:51] GPAU: Si les congolais voulais voir la république disparaître et l’union des états indépendants du Congo naître, à ton avis, qui serait aujourd’hui le président de la RDC, 15 ans après le lancement de mon initiative ?

[03:10:32] GPAU: Je ne veux pas être un dictateur copté par l’Occident. Louis Michel, Didier Reynders, Charles Michel sont de mon parti et j’échange avec chacun d’eux régulièrement. Ils savent que je n’ai pas besoin d’un gloriole, mais de la gloire de Dieu. Il agissent en conséquence. Ici, nous ne sommes pas dans la dictature comparable à celle de le RDC. Ici, on respecte le choix de chacun.

C’est dont j’ai besoin c’est que les congolais reconnaissent d’abord que la République contient en elle-même les germes de la dictature ! Qu’ils reconnaissent aussi que seule l’union d’État indépendants du Congo ou de l’Afrique Centrale coupera, définitivement, durablement, l’herbe sous les pieds des dictateurs. Quand ils seront d’accord avec moi, c’est Kanambe lui-même et ses ouailles qui viendront se faire arrêter… Si tu ne me crois pas, continuent à attendre d’entrer dans le bâteau !

[03:11:15] GPAU: Toi et moi, nous mourons, les congolais devenus plus esclaves qu’aujourd’hui !

[03:20:48] GPAU: 4. Après élaboration du projet 2014, est-que vous viendrez en RDC pour sa concrétisation?

Oui !

Il est clairement dit que nous prendrons le pouvoir que le peuple congolais nous aura donné pour un mandat DEMONSTRATIF du caractère viable et durable du projet au cours d’un mandat de 5 ans, avec mon équipe au pouvoir. Je ne dis pas que je serai président ; mais mon équipe tiendra le pouvoir pendant 5 ans AU MAXIMUM. Ensuite, les congolais, ayant vu que le pouvoir peut s’exercer autrement, sauront et voudront faire ce que de droit, qu’ils n’ont pas voulu et qu’ils ne veulent pas encore faire jusqu’à présent.

5. En tant que porteur du projet de société 2014 (qui soit le plus complet et le plus démocratique que le Congo aura jamais connu), quelle responsabilité projeter vous jouer pour le Congo avenir? En tant que INITIATEUR et GESTIONNAIRE du Projet 2014, je garanti qu’il se déroule dans la philosophie initiale : lutte pour la mort de la république au Congo et la naissance de l’union d’États indépendant du Congo ou de l’Afrique Centrale à sa place, dans un processus progressif, bien contrôlé de 5 fois 10 ans ; c’est-à-dire, 50 ans en tout. Si nous commençons en 2016, ce n’est qu’en 2066 que les congolais établirons le bilan final ! Je serai auprès du Seigneur à ce moment-là, Interlocuteur ! Mais ce n’est pas là le plus important. Le plus important, aujourd’hui, c’est, une fois convaincu, de se mettre au travail :

1. élaborer un projet en le testant chemin faisant, sur terrain ;

2. conduire le développement de la RDC par projets et non par de coups de caprices ni de bricolages !

Je m’engage !


Hier encore, certains combattants prétendaient qu’une préparation pour les grands rendez-vous politiques auxquels nos compatriotes de l’intérieur du pays nous forcent de répondre, dont notamment les élections suicidaires de 2016, ne soit pas nécessaire.  Pour eux, seule la préparation d’une révolution populaire compte aujourd’hui.  Parce que, selon leur mode de pensée, logiquement, on ne peut traîter avec une imposture comme avec une dictature.  Tout cependant semble indiquer que la RDC ne soit pas encore prête pour une révolution populaire de masse.  Un soulèvement populaire qui implique plus que la ville de Kinshasa.  Un mouvement de l’ensemble de nos grandes villes : Baraka, Bandundu, Bikoro, Boende, Bukavu, Bumba, Bunia, Buta, Butembo, Beni, Boma, Gbadolite, Goma, Kalemie, Kananga, Kikwit, Kindu, Kisangani, Kinshasa, Kolwezi, Likasi, Lubumbashi, Matadi, Mbandaka, Mbuji-Mayi, Muene-Ditu, Tshikapa, Zongo.

Si l’information ci-dessous devait se confirmer, ils auront tort.  L’opposition est loin d’être prête en ce 28 mai 2014.  La question que nous nous posons au Projet 2014 est : comment racheter le temps à moindre frais ?  Notre démarche qui est cette du travail pour préparer l’avenir n’est pas acceptée par la majorité.  Notre l’Esprit nous l’impose, si nous sommes réellement à son écoute et nous nous lui faison confiance.  Il faut tout préparer.  Aujourd’hui, le besoin d’une préparation est encore plus important que hier.  Les esprits se fatiguent.  Plusieurs tiennent des langages de désespoir et simplistes.  Ils préfèrent des racourcis sans lendemain.  Le risque d’empirer la situation devient plus élevé.

C’est pour cela que nous avons ouvert deux espaces de travail désormais :

le Projet 2014, pour ceux qui n’en veulent pas des partis politiques ; et,

notre parti politique Kongo ya Sika, pour ceux qui voudraient mener un combat politique pur !

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ALLERTE ROUGE VOICIE LE PLANS DU SALAUD RWANDAIS  HYPOLITE KANAMBE SOIT DISANT JOSEPH KABILA POUR RESTE A LA TETE DE LA RDC AU DELA DE 2016  Voici le calendrier électoral
 
• Du 10juin au 09juillet 2014 : Accréditation des observateurs à long terme;
• Du 01 octobre au 20 octobre 2014:
Audit externe du fichier électoral;
• Du 03 au 20 novembre 2014: Examen de l’annexe à la loi électorale portant répartition des sièges;
• Du 10 décembre 2014 au 18 janvier 2015: Convocation de l’électorat et dépôt des candidatures au niveau des bureaux de réception et traitement des candidatures;
• Du 19 au 23 janvier 2015 : Retrait, ajout ou substitution des candidatures;
• Le 13 février 2015: Publication de la liste provisoire des candidatures aux élections des Conseillers des communes et des secteurs/chefferies;
• Du 14 au 24 février 2015: Dépôt des recours en contestation des listes des candidatures et leur traitement auprès et par les tribunaux administratifs;
• Le 25 février 2015: Publication des listes définitives des candidats aux élections des Conseillers des communes et des secteurs/chefferies;
• Du 30 avril au 29 mai 2015 : Accréditation des témoins, des observateurs et des journalistes;
• Du 15 mai au 14juin 2015 : Affichage des listes des électeurs par site de vote et bureau de vote;
• Du 29 mai au 12 juin 2015 : Campagne électorale pour les élections des Conseillers des communes et des secteurs/chefferies;
• Le 14 juin 2015: Jour du scrutin municipal et local; ouverture des bureaux de vote et de dépouillement pour les municipales et locales;
• Le 30 juin 2015 : Annonce des résultats pour les élections des Conseillers des communes et des secteurs/chefferies;
• Du 01 au 08 juillet 2015: Dépôt des recours relatifs au contentieux des élections des Conseillers des communes et des secteurs/chefferies;
• Du 09 juillet au 06 septembre 2015: Traitement des contentieux des élections des Conseillers des communes et des secteurs/chefferies;
• Du 15 juillet au 18 août 2015: Installation des Conseils municipaux et locaux;
• Le 07 septembre 2015 :Publication des résultats définitifs des élections des Conseillers des communes et des secteurs/chefferies;
• Du 05 au 18 juillet 2015: Réception et traitement des candidatures des Conseillers urbains, des Maires, des Bourgmestres et des Chefs de secteur;
• Le 3août2015: Publication des listes provisoires des candidats Conseillers urbains, Maires, Bourgmestres et Chefs de secteur;
• Du 04 au 12 août 2015: Contentieux des candidatures des Conseillers urbains, des Maires, des Bourgmestres et des Chefs de secteur (dépôt et traitement);
• Le 14 août 2015 : Publication de la liste définitive des candidats Conseillers urbains, Bourgmestres et Bourgmestres adjoints, Chefs de secteur et Chefs de secteur adjoints;
• Du 25 au 27 août 2015: Campagne électorale des Conseillers urbains, des Bourgmestres et des Chefs de secteur;
• Le 29 août 2015 : Jour du vote des Conseillers urbains, des Bourgmestres et des Chefs de secteur;
• Du 29 au 30 août 2015 : Agrégation et annonce des résultats provisoires des Conseillers urbains, des Bourgmestres et des Chefs de secteur;
• Du 31 août au 14 septembre 2015 : Recours et contentieux des résultats relatifs à l’élection des Bourgmestres et Bourgmestres adjoints, des Chefs de secteur et leurs adjoints;
• Le 15 septembre 2015 : Proclamation des résultats définitifs des Bourgmestres et Bourgmestres adjoints, des Chefs de secteur et leurs adjoints;
• Le 20 septembre 2015: Investiture des Bourgmestres et Bourgmestres adjoints et des Chefs de secteur et leurs adjoints;
• Du 31 août au 06 novembre 2015
Recours et contentieux des résultats des élections des Conseillers urbains;
• Du 14septembre au 08 octobre 2015 : Installation des Conseils urbains;
• Du 11 au 13 octobre 2015 : Campagne électorale des Maires et Maires adjoints;
• Le 15 octobre 2015: Jour de scrutin des Maires et Maires adjoints;
• Le 15 octobre 2015: Agrégation et annonce des résultats provisoires des Maires et Maires adjoints;
• Du 16 au 30 octobre 2015: Recours et contentieux relatifs a l’élection des Maires et Maires adjoints;
• Le 31 octobre 2015 : Proclamation des résultats définitifs des Maires et Maires adjoints;
• Le 05 novembre 2015: Investiture des Maires et Maires adjoints.
 
Fait à Kinshasa, le 26 mai 2014
Jean-Pierre Kalamba Mulumba
Ngalula

Dispositions urgentes…


2016 approche tandis que l’opposition au régime de Kinshasa reste encore divisée.

A votre avis, quelles sont les 5 dispositions à mettre en place urgemment, dans leur ordre d’importance décroissante, qui nous permettraient d’éviter le drame prévisible d’un troisième échec électoral ?
1.
2.
3.
4.
5.
Nos réponses personnelles à chaud sont :
1. engager nos leaders politiques à se mettre autour d’une table de travail, avec des propositions de solutions complètes au problème des échecs électoraux répétés ; à défaut d’obtempérer, les disqualifier d’office pour les remplacer par des leaders travailleurs ;
2. intégrer la lutte contre l’imposture, la dictature, la colonisation et la médiocrité, individuellement, aux côtés des patriotes jugés crédibles et compétents avec une participation responsable, démocratique et clairement définie à l’avance ;
3. participer activement et volontairement à une étude sérieuse des caractéristiques de l’ennemi du peuple congolais, pour nous assurer de la pertinence des réponses proposées aux problèmes qu’il nous cause ;
4. investir massivement dans des solutions démocratiques en investissant des moyens matériels et immatériels conséquents pour ne pas rater la coche ;
5. exiger des rapports détaillés sur les résultats des initiatives annoncées dans le cadre de la préparation d’une victoire en 2016.

Qui nous écoute, qui adhère ?


Nous avons proposé une sortie propre et durable de toutes nos crises par la préparation d’une bataille finale en 2016, une bataille qui mette tous nos ennemis (colonisateurs, imposteurs, dictateurs, traîtres et médiocres) à genoux, face aux exigences d’un peuple devenu disuasif…

Qui nous écoute ? Qui adhère ? Faut-il alors s’étonner – après – de la victoire de nos ennemis contre nous ?

Pour adhérer au projet : commencer par lire nos statuts, notre reglèment d’ordre intérieur et notre projet de société (https://projet2014.com/parti-politique).  Ensuite, préparer votre cellule de travail et inscrivez-vous et vos filleuls directs comme membres de Congo ya Sika.

Pourquoi et comment construire ma première cellule de travail dans "Kongo ya Sika"


[03-12-13 15:59:31] JS : ça fait un bail Graphèle !  Comment évoluent les évènements là chez vous ?
[17:07:06] JS : bonjour ! Comment avancent les jours ?  Avez-vous rétabli votre connexion Internet ?
[17:07:47] GPAU : Oui !
[17:08:29] GPAU : Je vais au tribunal de paix contre Belgacom qui se joue de mes pieds : il n’a pas encore rétabli mes services.
[17:08:57] GPAU : J’ai donc pris une connexion provisoirement, chez Base.
[17:09:08] JS : Ah ! C’est vrai, ça ?
[17:09:55] GPAU : Je suis même en train de me demander si ce ne sont pas des ennemis politiques qui organisent ces tracasseries…
[17:10:15] GPAU : Dis-moi, JS, que faisons-nous pour notre terroir ?
[17:11:34] GPAU : Il faut que nous mettions la jeunesse aux études et ce qui sont au-delà de 21 ans, qui préfèrent travailler, aidons-les à trouver du travail : un travail qui paie bien !
[17:11:44] JS : suite à votre absence, mes collaborateurs ont commencé à désespérer
(…)
[17:13:29 | Edited 17:14:48] GPAU : Ah non !  Pourquoi ce découragement avant même d’avoir fait quoi que ce soit ?
[17:13:56] JS : non
[17:14:10] GPAU : « L’âme abattue est celle qui mourra ! »  Donne-leur ce conseil précieux pour la vie privée et collective !
(…)
[17:41:21] GPAU : Comme la guerre va continuer de plus bel – à mon avis, il faut se mettre dans les conditions de quitter le pays assez facilement si l’on devait y être obligé.
[17:42:31] GPAU : Si aujourd’hui les choses bardent, tous ces expatriés que vous voyez là emporteront leurs butins (argent, femmes et enfants) et vous laisseront à votre triste sort !
[17:43:31] GPAU : Soyons donc prévenant, Joseph et n’oublions pas les expériences positives et négatives du passé qui peuvent nous servir énormément !
[17:47:08] GPAU : La guerre ne sera pas encore fini tant qu’il y aura des congolais (vrais ou faux) mécontents, parce qu’ils se considèrent ou qu’ils sont réellement brimés, pas écoutés, méprisés, persécutés, déconsidérés…
[17:47:34] GPAU : N’écoutez pas le « Président » de la République, le premier ministre et le président du parlement qui vous trompent tous.
[17:53:21 | Edited 18:19:33] GPAU : Le nombre de fautes politiques qu’ils ont – tous – commises est tel qu’ils ne peuvent plus savoir redresser le pays : il faut absolument, impérativement, d’autres gestionnaires, patriotes, pour mettre le pays sur les rails !
Kongo ya Sika est un cadre politique formel, que nous avons créé avec 4 autres amis, pour nous aider à identifier et mobiliser ces hommes, à les former, à les organiser ; à la condition que vous et moi, congolais, puissions décider une fois pour toutes de nous prendre en charge et de déterminer nous-mêmes notre destin, avec l’aide du seul Dieu juste, vrai, fidèle et fort que je connaisse !
La grande question que d’aucuns, en quête de l’indépendance véritable du Congo, se poseront est : comment Kongo ya Sika attend-il procéder et pourquoi faut-il que le congolais lui fasse confiance, ce nième parti dans l’espace politique congolais ?
[18:22:30] GPAU : Notre réponse se résume en deux points :
(1) Kongo ya Sika n’est pas un parti politique comme les 400 autres.  Pour s’en convaincre : lisez tout simplement ses statuts.  Vous y noterez le degré de patriotisme, d’excellence et de démocratie exigé des membres.  Vous vous convaincrez alors de sa capacité à transformer RADICALEMENT le visage politique du Congo-Kinshasa.
(2) Les membres de Kongo ya Sika ne sont pas des acteurs politiques comme les autres.  Ils sont liés par un engagement politique écrit (le projet de participation) à servir la nation congolaise de la meilleure façon dont ils sont capables ; en toute liberté, indépendance d’esprit et avec un sens de responsabilité rare ailleurs.  La lecture de notre règlement d’ordre intérieur permet de vite s’en rendre compte.  Tous ces membres ne battent pas l’aile en vain : ils sont guidés par un plan précis qui les oblige (1) au résultat, (2) à la démocratie et (3) à l’humanisme.  La lecture de notre projet de société permet de s’en persuader.  Bien plus, tous les membres passent par une formation politique et administrative dans les six premiers mois de leur adhésion, au risque même de se faire éjecter du parti s’ils ne démontrent pas dans les faits de leur engagement à divorcer d’avec la médiocrité.  Enfin, les traitres ne peuvent survivre dans la barque Kongo ya Sika.
Voilà, pourquoi et comment, cher JS, je m’y prends pour construire ma première cellule de travail dans Kongo ya Sika, en sollicitant des congolais comme toi.

https://projet2014.com/parti-politique/