Le M23 ou plutôt tous les rebelles ?


[4/26, 00:28] PLT

𝐔𝐑𝐆𝐄𝐍𝐓.

𝐋𝐞𝐬 𝐭𝐞𝐫𝐫𝐨𝐫𝐢𝐬𝐭𝐞𝐬 𝐌𝟐𝟑 𝐯𝐢𝐞𝐧𝐧𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞 𝐪𝐮𝐢𝐭𝐭𝐞𝐫 𝐊𝐚𝐛𝐚𝐭𝐢 …
𝐃𝐨𝐧𝐜 𝐢𝐥 𝐪𝐮𝐢𝐭𝐭𝐞 𝐝𝐞́𝐣𝐚̀ 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐞 𝐜𝐚𝐧𝐭𝐨𝐧𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 , 𝐢𝐥 𝐲 𝐚𝐮𝐫𝐚 𝐝𝐞𝐬 𝐢𝐝𝐞𝐧𝐭𝐢𝐟𝐢𝐜𝐚𝐭𝐢𝐨̂𝐧 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐞 𝐩𝐫𝐞́-𝐜𝐚𝐧𝐭𝐨𝐧𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐞𝐭 𝐚𝐩𝐫𝐞̀𝐬 𝐜’𝐞𝐬𝐭 𝐥𝐞 𝐜𝐚𝐧𝐭𝐨𝐧𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭

𝐈𝐥𝐬 𝐫𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞𝐧𝐭 𝐯𝐞𝐫𝐬 𝐆𝐨𝐦𝐚 𝐞𝐭 𝐁𝐮𝐤𝐚𝐯𝐮 𝐞𝐭 𝐚𝐩𝐫𝐞̀𝐬 𝐜’𝐞𝐬𝐭 𝐥𝐞 𝐤𝐢𝐧𝐝𝐮 , 𝐨𝐧 𝐬𝐞𝐫𝐚 𝐞́𝐭𝐨𝐧𝐧𝐞́ 𝐝𝐞 𝐯𝐨𝐢𝐫 𝐪𝐮𝐞 𝟒𝟎𝟎𝟎 𝐩𝐞𝐫𝐬𝐨𝐧𝐧𝐞𝐬 , 𝐥𝐞𝐬 𝐑𝐰𝐚𝐧𝐝𝐚𝐢𝐬 𝐯𝐨𝐧𝐭 𝐬𝐨𝐫𝐭𝐢𝐫.

[4/26, 14:10] GPAU

Voyons voir, frère.
Nos hommes politiques ne sont pas sincères.
Laisser tomber le M23, l’Occident, pour tout celui qui réfléchit sperficiellement, c’est génocider les Tutsi du Rwanda et du Burundi, ou alors, les forcer à un exil massif – ce qui est une lourde resposabilité. Quel sera le sort de ceux qui ne sauront pas laisser la place aux Hutu ? Comment se comporteront les Hutu une fois au pouvoir, après autant d’années de errance, de génocide et d’humiliation, partout dans le monde ?

Nos pays du CPGL sont-ils prêts à gérer un aussi grand changement ? Le Congo est-il capable de jouer le rôle de locomotive ? Comment s’y prendrait-il ?

Devons-nous parler du M23 ou plutôt de tous les rebelles ?  Le relent raciste de certains discours se cache mal et irrite les lecteurs, génère de nouvelles divisions, alimentent les haines, accroît l’insécurité de tous.  Cela compromet l’avenir de notre progéniture et hypothèque la paix dans le monde.

Il convient d’y penser !

Ituri : encore une erreur monstrueuse !


Extrait de notre groupe WhatsApp.

[3/27, 10:29] DD

TRIBUNE DE LA NOTABILITÉ ITURIENNE


L’arrivée de l’Armée Ougandaise en Ituri : Un Espoir de Paix pour les Déplacés de Fataki et du Territoire de Djugu

Depuis l’arrivée de l’Armée ougandaise (UPDF) dans le territoire de Djugu, et plus particulièrement dans la région de Fataki, de nombreuses voix s’élèvent parmi les déplacés pour exprimer un certain soulagement. Cette intervention est perçue par une grande partie de la population locale comme un espoir pour la fin des souffrances imposées par les groupes armés, notamment la CODECO (Coopérative pour le développement de l’ituri ).

Une Région Martyrisée par les Violences des Groupes Armés

La région de Fataki, autrefois un terrain libre aux milices CODECO, a été le théâtre de massacres perpétrés contre des milliers de déplacés, principalement dans les sites de Djaiba, Lobha et d’autres zones environnantes. Ces atrocités ont plongé la population dans une crise humanitaire sans précédent, avec de nombreux civils forcés de fuir leurs foyers et de vivre dans des conditions précaires.

Les attaques menées par la CODECO ont eu des conséquences dramatiques, notamment pour les communautés Hema et leurs alliés de 5 communautés victimes. Les déplacés, qui avaient trouvé refuge dans ces camps, ont souvent été victimes de nouvelles violences, exacerbant ainsi leur désespoir.

Une Intervention Cruciale de l’UPDF

L’armée ougandaise a récemment renforcé sa présence dans la région de Fataki, avec pour mission de combattre les groupes armés qui déstabilisent la région. L’arrivée de l’UPDF est une réponse directe aux attaques incessantes menées par la CODECO contre les positions militaires, ainsi que contre les civils innocents.

Bien que l’armée ougandaise ait fait face à des résistances violentes, notamment lors des dernières attaques contre ses positions à Fataki, elle a réussi à infliger de lourdes pertes à la CODECO. Ces revers ont engendré une frustration au sein du groupe armé, dont les membres ont de plus en plus de difficultés à maintenir leur emprise sur le territoire.

L’Impact Positif sur la Population Locale

Pour de nombreux déplacés, l’UPDF représente un espoir tangible de sécurité et de stabilité. Les attaques de la CODECO avaient instauré un climat de terreur dans les camps de déplacés, où les civils n’étaient jamais à l’abri de nouvelles offensives. L’arrivée de l’armée ougandaise a permis à certains de respirer un peu, bien que la situation reste fragile.

Si l’UPDF continue d’agir avec détermination et de manière sincère contre les groupes armés, notamment contre la CODECO, un rétablissement de la paix durable dans la région semble désormais possible. La population du territoire de Djugu, qui a tant souffert des violences, nourrit l’espoir que cette intervention marque le début de la fin de la guerre qui déchire la région depuis trop longtemps.

Le Rôle de la Communauté Internationale

Si la présence de l’UPDF est saluée par certains, il est également important de souligner le rôle de la communauté internationale dans la stabilisation de la région. Le soutien humanitaire, la protection des droits des déplacés et la promotion du dialogue entre les communautés sont des éléments essentiels pour reconstruire la confiance et instaurer une paix durable.

Les autorités congolaises doivent également prendre des mesures pour renforcer la sécurité sur le terrain et garantir que les populations locales ne soient plus victimes de violences. De plus, la lutte contre les groupes armés doit être accompagnée d’un processus politique inclusif, qui prenne en compte les préoccupations de toutes les parties prenantes.

Conclusion : Un Futur Proche de Paix ?

Alors que les populations déplacées dans la région de Fataki commencent à apercevoir la lueur d’une paix possible, il est crucial que la lutte contre la CODECO et autres groupes armés se poursuive. La sincérité et la persévérance de l’UPDF dans cette mission sont essentielles pour offrir aux habitants du territoire de Djugu l’opportunité de vivre dans un environnement sécurisé et prospère. Si cette dynamique se poursuit, la paix tant attendue pourrait bien devenir une réalité pour les milliers de déplacés et pour toutes les communautés affectées par ce conflit.
Pour la tribune de la Notabilité ITURIENNE,Ir. Patrick RUVALE.

https://whatsapp.com/channel/0029VahAMQQC1Fu3x9uXKi1i


[3/27, 12:14] GPAU

Cette analyse souffre de beaucoup d’insuffisances aux conséquences graves, si nous ne les relevons pas.

Toute personne humaine épris de paix doit reconnaître que la CODECO est l »expression – maladroite peut-être – d’un désespoir : revendiquer les droits légitimes des Lendu, par la terreur, plutôt que de se battre pour l’établissement d’un état de droit d’abord, avant de revendiquer ses droits par les voies de droit, n’est pas facile, pour un peuple souvent humilié, depuis des siècles.

Voici que le Congo opte pour l’usage de la force pour taire ces Lendu, encore une fois, sur leur terre.

Nous avons proposé deux alternatives pour aller dans la direction d’une paix durable, toutes fondées sur une reconnaissance officielle, préalable, par tous, du droit des Lendu à définir et réaliser leur destin par eux-mêmes.

  1. Redéfinir les frontières du territoire de Djugu pour y inclure toutes les terres des Lendu et de leurs alliés. Ce territoire peut être non connexe, pourvu qu’il inclue toutes les terres reconnues par tous comme appartenant aux Lendu et à leurs éventuels alliés. Cette opération ne demande pas une intervention extérieure à l’Ituri. Elle demande de débarrasser d’abord l’Ituri des djadjambu qui viennent régner sur nous Ituriens en nous divisant de plus bel. Il faudra créer un territoire hema, constitué des terres reconnues par tous comme hema, étant donné que ni les mahagiens, ni les « irumois » ne souhaitent intégrer les Hema, selon nos consultations des notables de deux territoires. Ce nouveau territoire peut lui aussi être non connexe et est facile à dessiner par les Ituriens, sans interférence extérieure. Il faudra enfin clairement convenir que personne ne soit obligé de quitter son territoire, mais que les lois lendu en territoire lendu soit respectées par celui qui choisit d’y vivre ; et que, de même, les lois hema s’applique à tout celui qui choisi librement de vivre sur les terres hema, dans le territoire hema issu de cette partition ou restructuration territoriale.
  2. La seconde alternative que nous proposons et celle de la signature d’un pacte formelle de non belligérance, entre alur et lendu, d’abord, parce que nos consultations montrent que cela soit réalisable et très efficace, comme les autres pactes nilo-soudanais et bantou-soudanais qui fonctionnent à merveille depuis bien avant la colonisation belge jusque ce jour, et qui nous évitent des guerres fratricides évitables. La réussite de ce pacte lendu-alur, nous en sommes persuadés inspirera les Lendu et les Hema, qui ont plus difficiles à se pardonner que les Alur et les Lendu ne soient disposés à le faire.
    Notre proposition n’a jusqu’à présent récolté qu’une vingtaine d’adhérents avec influence, parce que le pouvoir de Kinshasa, contrôler par les lumumbistes, qui craignent le retour sur le plateau national des fils du PNP, qui révéleront aux Congolais leur supercherie.

Les enjeux sont de taille : ouvrons nos yeux ; les bons.

Quant à l’UPDF, elle ne peut pas appoter une solution au problème iturien. Pourquoi ? Parce que, quelque soit ses bonne intentions, le camp de Lendu les soupçonnera, à tort ou à raison, de jouer le jeu de leurs ennemis : les nilothiques et les hamites, quand bien-même, nous le savons de plus en plus, nous soyons en face de cousins, qui se battent, comme au Moyen-Orient.

Ituri…


À vérifier !  Du Grand-Nord kivutien.

Nous vivons la peur ici.  Hier soir, il y a eu crépitement de balles à l’hôpital général de référence d’Oïcha.  Des jeunes ont manifesté leur colère suite aux 8 corps[, des personnes] qui ont été massacrés hier à Ndalya (province d’Ituri).  Ces corps ont été déposés à la morgue de l’hôpital d’Oïcha.  In jeune manifestant a été touché par balle, à sa jambe. Selon l’infirmier la situation de la victime n’est à craintre [la vie de la victime n’est pas en danger].

NDLR

Le gouvernement de Judith Suminwa a du pain sur la planche, pour trèslongtemps encore.

Les rêveries de la dictature et de l’amateurisme politique…


ITURI : 600 COMBATTANTS DU GROUPE ARMÉ ZAÏRE DÉPOSENT LES ARMES ET REJOIGNENT LE P-DDRCS

Un tournant significatif dans la pacification de la province de l’Ituri a été marqué ce mercredi 15 janvier 2025 à Mabanga, dans la chefferie de Mambisa, territoire de Djugu. Six cents ex-combattants, anciens membres du groupe armé Auto-défense (Zaïre) dirigé par le Général autoproclamé Maki Baraka Amos, ont officiellement rejoint le Programme de Désarmement, Démobilisation, Relèvement Communautaire et Stabilisation (P-DDRCS).

Ces combattants ont remis 85 armes de type AK 47, une mitrailleuse PKM, un lance-roquettes RPG-7, plusieurs roquettes, des centaines de munitions et divers autres effets militaires.

La cérémonie de remise de ces armes s’est déroulée en présence d’une délégation mixte venue de Bunia, composée notamment de Flory Kitoko MANIANGA, coordinateur provincial intérimaire du P-DDRCS ITURI , Esther Maturu, Coordonnateur provincial chargé de l’administration et finance, le chef d’antenne du P-DDRCS Djugu Honoré KAKHWA CHERIMANI, du commandant de la 32ème région militaire le Général Major Hurbain TAMBUKA, ainsi que des chefs coutumiers, la société civile et des partenaires internationaux tels que la MONUSCO, l’UNICEF et des acteurs de stabilisation.

Dans son mot de circonstance Flory KITOKO MANIANCA a exprimé sa reconnaissance avant de préciser que cet acte est un paris gagné pour le P-DDRCS en ITURI.
De son côté, Jean Marie Nganjole, porte-parole du groupe armé d’Auto-défense, a appelé les autres groupes armés à suivre cet exemple avant d’adresser plusieurs recommandations au gouvernement congolais et à la MONUSCO.

L’événement a suscité une vive satisfaction au sein des communautés locales. Pkari Dieudonné, chef du secteur de Walendu Pitsi, a salué cet acte comme étant un geste patriotique

Le désarmement mobile intervient après une série d’initiatives de sensibilisation menées par le P-DDRCS depuis le lancement de son programme en Ituri en juin 2022.

Cette remise massive d’armes témoigne de l’efficacité des efforts conjoints du P-DDRCS et de ses partenaires pour ramener la paix dans une région longtemps marquée par des conflits armés. Les autorités espèrent que cet acte déclenchera une dynamique positive et incitera d’autres groupes armés à déposer les armes. Avec ce pas franchi, l’Ituri pourrait se rapprocher un peu plus d’un avenir stable et pacifié.

Cellule de communication du P-DDRCS ITURI

https://x.com/pddrcs_ituri/status/1879612224534429998?t=6iasRPxzqOr_EYRumx-Qyg&s=19 djuguactualite@gmail.comhttps

GPAU

Voyons, maintenant, encore.  Que fera Kinshasa de ces compatriotes et pourquoi ?

Jérémiades kivutiennes laçantes !


Suivez la vidéo suivante. Nous saluons au passage la qualité artistique de œuvre.

Soulignons cependant que les jérémiades n’ont jamais aider un peuple à se libérer, à se délivrer, à acquérir son indépendance. Multiplier des plaintes, c’est le vice des fainéants, ceux qui sont encore dans l’ignorance des lois politiques, des lois spirituelles. Nous mourons, faute de connaissance. Nous versons dans la distraction, dans des orgies et des idolâtries qui ne produisent et qui produiront encore et toujours notre ignominie, notre dépérissement, notre fatigue, notre désappointement, notre confusion…

Contrairement à ce que nous faisons :

  • mettons-nous au travail rentable : 16 heures par jour pour tout majeur, toute personne de plus de 18 ans ;
  • combattons toute forme d’ignorance en ouvrant des salles classes, physiques et virtuelles, partout où se trouvent des Congolais, pour apprendre à connaître qui nous sommes, ce pourquoi nous sommes sur terre, ce que nous voulons et comment nous entendons nous réaliser ;
  • dans le Kivu particulièrement, arrêtons nos orgies qui ne nous avancent pas : nos musiques inutiles, nos fêtes distrayantes, nos prières inefficaces, nos danses avilissantes, nos marches de couards, nos dénonciations agaçantes, nos accusations puériles, nos projets improductifs en termes de développement personnel, collectif et durable ;
  • plus que nos buildings et nos trafics des richesses kivutiennes et voisines, produisons de la science, de la culture, de la technologie, de la production, du commerce, de la consommation, de grande facture, pour imposer le respect de nos congénères humains, de nos compatriotes congolais, de voisins des pays limitrophes – dont nous nous plaignons d’être nos bourreaux ;
  • évaluons nos progrès, notre développement en temps réel, dans le cadre d’un observatoire conçu par nous-mêmes, pour nous-mêmes !
    Savourez en réfléchissant à ce que vous faîtes, l’oeuvre de nos artistes en cliquant sur ce lien.

Ressusciter le Kibali-Ituri


Réssusciter le Kibali-Ituri peut sécuriser l’Est de la RDC.  Pourquoi le pensons-nous ?

Plusieurs projets de pacification de l’Est du Congo échouent.  Le projet Wazalendo aussi va – plus vite encore – à sa mort prochaine.  Personne ne se pose vraiment la question de savoir pourquoi ces projets échouent.

Né d’un père alur et d’une mère nande, intéressé par le fonctionnement de l’humain depuis mes 10 ans d’âge, j’ai appris à connaître beaucoup de l’âme kibali-iturienne.

De conviction protestante évangélique, moulé dans le capitalisme et l’alurité purs et durs, je ne peux pas, je ne sais pas rester indifférent face aux malheurs que vivent les miens, dans le Kibali-Ituri, que plusieurs trahissent ou spolient !

En effet, le Kibali-Ituri n’est pas quelconque.  Depuis Lumumba en 1960, obnubilé par le communisme, mon terroir a été pris d’assaut par la gauche extrême.  Comme la solidarité africaine et le communisme, sont vite confondables, chez plusieurs, le Kibali-Ituri s’est mis à dépérir, sans que la majorité ne s’en rende compte.

Les premières victimes furent les sorciers, les membres du PNP, Part National du Progrès, honni pour son allégeance au colonisateur belge, blanc.  Ils furent tués par milliers, dépouillés de tous leurs biens.  Quelques-uns trouvèrent leur salut dans l’exil : ma famille vécu 12 mois en Uganda, de 1964 à 1965, pour cela, après 2 ans d’exil de mon père à Kinshasa, de 1960 à 1962.

Il importe de souligner que les auteurs des crimes de cette époque circulent toujours, librement.  Ces hommes, ayant du sang congolais et étrangers sur la main, impénitents, pour la plus part, font tout pour garder le pouvoir, afin de cacher leurs forfaits et de maintenir le Congo sous leur domination.

C’est dommage que les fils des PNP ne sachent pas se lever pour les ester en justice ces premiers bandits politiques, qui font des émules !  Le mal gagne le pays, parce que ces hommes se multiplient.

Dans l’Ituri, les nilotiques que nous fustigeons aujourd’hui, sont des cultivateurs, pêcheurs, chasseurs, éleveurs, d’anciens esclavagistes et colonisateurs, avant les Belges.  Ils se sont, tout naturellement, retrouvés nombreux être du PNP et forment de ce fait les premiers opposants aux régimes des non-nilotiques, révoltés, contre l’esclavage et la colonisation belges, mais aussi, contre les anciens esclavagistes et colonisateurs nilotiques.  Il est donc normal que les Lendu, Bira, Lugwara et autres combattent aujourd’hui les Hema, Alur, Kakwa et leurs cousins respectifs.  Peu voudraient l’expliquer à nos compatriotes, de circonstance !

Dans le Grand-Nord kivutien, les rwandophones, venus dans le cadre de l’esclavage et de la colonisation belge, cultivateurs et fermiers, se sont vite enrichis et se sont mis à discriminer leurs hôtes, qui de leur côté par réaction mêlée de jalousie, ont décidé de se défendre par la force, en versant dans l’arbitraire,  pour certains, soutenu par un régime fantoche de Kinshasa, d’obédience plutôt communiste que socialiste, maquillé en régime libéral,  pour tenter de dribbler l’Occident qui le soutien.  Les nande, enrichis par leurs travaux des champs et leurs commerces et par divers trafics des richesses nationales ont vite provoqué la jalousie de leurs concurrents internes et externes ; et, se retrouvent aujourd’hui combattus du dedans comme du dehors.

La coalition nande-hutu, pour contrer les esclavagistes et colonisateurs tutsi ne fonctionne pas.  Les hutu, du Congo comme du Rwanda, et les autres cousins congolais desdits nande, se considèrent de plus en plus comme dénigrés et discriminés par les riches nande.  Certains, pour cette raison, déboutent les Wazalendo, pour rejoindre le M23 et l’AFC, dans l’espoir de réduire l’hégémonie nande dans le Grand-Nord kivutien, où plusieurs minorités se sentent délaissées, abandonnées à leur triste sort.

Le texte suivant doit donc être lu avec de bonnes lunnettes.  Il traduit le mal-être que le nande gère mal depuis 1960, versant dans la naïveté, l’hypocrisie et la méchanceté des allochtones du Grand-Nord kivutien.  Cette attitude érode toute la confiance dont jouissait jadis le nande.

Aurons-nous contribué à sensibiliser nos oncles tant aimés, cette fois-ci ?  Que la gloire en reviennent au Dieu d’amour que nous confessons avec eux.

[7/8, 08:35] Par grâce: LA VILLE DE BUTEMBO DEMEURE HOSPITALIÈRE DEPUIS DES DÉCENNIES

Que l’ennemi ne vous fasse agiter chers frères et sœurs d’autres communautés inutilement

Les prétendus actes de barbarie; de lapidation, d’égorgement, incendie, des vandalismes qui se seraient passé en ville de Butembo ne se font pas par l’ensemble de la population de ladite ville, plutôt par des infiltrés qui y sont au compte de l’ennemi et qui veulent semer haines et créer des conflits, mésententes contre le peuple Nande vis à vis d’autres tribus avec lesquelles nous vivons en relation d’interdépendance.

Le Mouvement Citoyen Tujenge Amani na Maendeleo, Nzenge Amani, appelle :

  • le peuple bubolais à redoubler la Vigilance vis-à-vis des gens qui posent des actes de barbaries au nom de la communauté qui poussent à salir et ternir l’image du peuple Nande à la face du Monde
  • des communautés voisine, de ne pas tenir rigueur tous les peuples Nande. ce ne pas ce dernier (ce peuple Nande) qui est derrière ces actes ignobles, plutôt l’ennemi veut se créer d’arguments, voulant accuser faussement les Nande envie de salir sa réputation par ces diables qui ne cessent *d’utiliser certaines brebis galeuses de la tribu dans l’objectif d’accomplir sa mission au nom de ce peuple (Nande).
  • les autorités Etatiques de mener des enquêtes afin de démanteler le prétendu réseau de ces ennemis. Sans oublier que l’infraction est individuelle
  • la coordination de la Société civile, Religieuse, association culturelle KYAGHANDA YIRA et autres structures associatives et patronales, chacun à son niveau de s’impliquer dans cette affaire pour décourager ces actes d’assassinat et de xénophobie qui se seraient pratiquer au sein de la tribu ou mieux de la communauté Nande afin de l’étouffer et mettre hors d’état de nuire l’ennemi qui crée haines et confusions, tentant ainsi accomplir sa mission. (Diviser pour mieux régner)

Cordiale bienvenue aux Congolais et étrangers qui veulent fréquenter Butembo à condition que vous soyez à règle avec l’État congolais selon les prescrits de la loi.

Butembo n’es pas tribale, les Nande ne sont pas tribale comme d’autres le croiraient. C’est Seulement l’ennemi qui veut diaboliser Butembo et le peuple Nande afin de ternir leurs images. Au point que ce même ennemi manipule certains inconscients dans la communauté afin de détruire même certains biens privés des membres de la communauté nande. Pendant que la même communauté est indexée, doigtée par d’autres communautés, alors qu’elle est aussi victimes des affres commis de près et de loins par ces mêmes ennemis de la paix.
D’où, c’est la communauté Nande qui est visée par l’ennemi en incitant à la haine les membres d’autres communautés contre les Nande.

Peuple Congolais soyons prudents…!!!

Cellecom TUJENGE AMANI NA MAENDELEO (Nzenge Amani RDC)

[7/8, 09:43] Asbl Échanges Avec Extérieur: La lecture attentive du texte montre bien que nous ayons affaire à des menteurs, des peureux, des hypocrites, des inciviques !

Butembo est une localité nande, qui a été paisible et propre dans le passé, et qui a été spoliée par des allochtones, y admis sans discernement, depuis la nuit des temps. Aujourd’hui, Butembo est un repère d’assassins, de voleurs, de fainéants, de trafiquants, des violents, de démagogues, d’hypocrites, par le fait d’une mixité nocive, dégradante, suicidaire, au nom d’une fausse unité nationale, des dupes.

Taire la vérité, par peur des unitaristes procède de l’incivisme total et de la folie dans lequel le nande verse, comme les autres peuples irresponsables, suicidaires depuis des siècles.

Être alur authentique, c’est être vrai, être franc, courageux, libre, travailleur, défenseur de ses valeurs culturelles.

Que sont les projets nande ? Que sont les Mai-Mai et les Wazalendo adoptés par certains nande aveugles ? Que nous apportent ces projets et pourquoi ; et qu’apportent ces projets aux nande que nous aimions bien et que nous chassons désormais à répétition, avec les autres ituriens ? Que nous ont fait de mal, ces nande ?

En se mêlant à aux méchants, les nande sont en train de perdre leurs valeurs : d’hospitalité, fraternité, esprit de travail, dans la paix !

Ils nous ont coupé les têtes, ils nous ont pillé notre or, ils nous ont envoyé les banyabwisha (Bwisha) et les prostituées, ils nous ont appris la tolérance des méchants…

Ce que nous devons dire et répéter aux nande, par amour pour eux, c’est le devoir qu’ils ont de revenir à leurs valeurs culturelles bradées contre des pacotilles : les faveurs empoisonnées de Kinshasa ! Les nande ont trahi notre alliance kibali-iturienne.

Comment serons-nous amis dans ces conditions ? Vous, nande, RÉVEILLEZ-VOUS et revenez à vos anciens amours !

Kanyabayonga : est-ce la victoire du M23 et de l’AFC ?


Kanyabayonga tombé, est-ce la victoire du M23 et de l’AFC sur les FRDC et Wazalendo ?

Non ! Parce qu’une rébellion ne peut avoir le denier mot. Dieu l’utilise pour instruire son le peuple congolais, au coup roide. Après quoi, la rébellion sera elle aussi détruite, parce qu’elle est une œuvre inique, elle aussi.

https://www.lemonde.fr/afrique/article/2024/06/29/en-rdc-la-rebellion-du-m23-s-empare-d-une-ville-strategique-dans-l-est_6245418_3212.html

Oïcha : quoi et pourquoi ?


MASSACRE DE LA POPULATION CIVILE DU DIOCESE DE BUTEMBO-BENI
TERRITOIRE DE BENI


N° DATE ET JOUR DE L’INCIDENT : 23 /05/2024
NOMBRE DE VICTIME : 4 morts

OBSERVATION

  • Plusieurs personnes portées disparues,
  • plusieurs maisons incendiées et
  • plusieurs biens de la population pillés.
  • Une femme d’un militaire FARDC tuée par les ADF/NALU à Mayimoya, à plus ou moins 8 km de la paroisse Saint-Esprit d’Oïcha, dans le secteur de Beni-Mbau, territoire de Beni.

Les ADF ont commencé par massacrés la paisible population à 2 heures du matin, pendant qu’il pleuvait sur la localité.

COMMENTAIRES

Il convient de signaler que les massacres de la population civile a pris une grande ampleur dans le territoire de Beni, dans le diocèse de Butembo –Beni.
On se rappellera que le village de Mayimoya, où s’est passé l’incident, se trouve dans le territoire de Beni dans le diocèse de Butembo-Beni, au sein paroisse Saint–Esprit d’Oïcha dans le groupement de Batangi-Mbau, à plus ou moins 8 kilomètres d’Oïcha.

La persistance des massacres s’explique par le fait de l’infiltration généralisée de l’armée, de la police et de la population par des ennemis venant de l’extérieur. Les populations sont massacrées sous l’œil impuissant de notre armée qui n’intervient qu’après le passage des massacreurs. Ainsi la pauvreté gagne du terrain dans Oïcha et ses environs.
Photo : télécharger le document PDF
Fait à Oïcha, le 23/05/2024
MOISE KYAVUMBA, le Chargé des Pygmées
dans le projet « Ferme-école NINO BAGLIERI ».

Qui enlève nos commerçants et pourquoi ?


Urgent, urgent, urgent ; le nommé MUMBERE SHABANI alias Malento opérateur économique de cantine vient d’être enlevé par des inconnus en bord d’une voiture alors qu’il était dans sa boutique au centre de cantine. Ces kidnappeurs non identifiés ont emprunté la route cantine – Malese-Mabalako-Kyatsaba- Béni. Nous venons d’apprendre qu’ils viennent de dépasser Mabalako en direction de KYATSABA a 19h20.
Nous en appelons à la mobilisation générale de tous pour arrêter ces criminels de grand chemin qui sont en route et qui n’ont que deux voies de sorties soit Beni ou Mangina . Alerte général, nous demandons aux responsables des barrières routiers de rendre un service louable a la nation.
Me MUTSUNGA BIN SIKWAYA. Appuyé par la Cellule de communication NZENGE AMANI RDC

Voilà à quoi devait aboutir l’état d’urgence que nous n’arrivons pas à démonter ; comme je nous avais prévenu.
Comment allons-nous retrouver ce Mumbere Shabani ?
Qui était ses ennemis ?
Que lui reprochaient-ils ?
Où se situent-ils d’ordinaire ?
Qu’est-ce qui peut être fait pour dissuader ses ennemis à lui faire du tort ?
Nous sommes capables de voir la voiture qui le transporte (Mabalako en direction de Kyatsaba) sans être en mesure de l’arrêter, sans avoir été capable de l’empêcher de quitter (Cantine) alors que les messages on l’air de bien circuler entre nous ?
Une plainte est-elle déjà déposée contre X ?
Cette voiture ne portait aucune plaque ? Si oui, qu’elle était le numéro sur la plaque au moment de l’enlèvement ?
Comment est-il sorti de sa boutique ? De bon gré ou violenté ? Où était sa famille et ses proches ? Qu’ont-ils fait pour tenter d’empêcher cet énième enlèvement dans notre pays ?

Ce fait est-il documenté pour servir un jour en justice ?

Lundi 16 avril


Une quarantaine de personnes seraient encore tuées en Ituri cette semaine.
Cetains, trouvent encore utile d’inviter, de convier la population iturienne à une descente dans les rues : pour protester, dénoncer la CODECO, semeuse de la désolation et le gouvernement, complice de la CODECO, selon la pensée des hôtes de la manifestation.

Qui en veut à l'Ituri et pourquoi ? Comment, quand et pourquoi en finir avec l'insécurité dans la région ?
Qui nous écoutera là-dessus ?

Nous l'avions déjà dit et répété : la solution au problème iturien sera iturienne et ne viendra pas d'ailleurs !

[15/4, 22:22] QUICONQUE NE SERA PAS DANS LA RUE SERA TRAITE COMME LE TUEUR DES ITURIENS DIXIT


[16/4, 18:14] Un peuple a les chefs qu’il mérite.
Si nous sommes manipulables, c’est que nous ne nous aimons pas assez. Si nos administrateurs nous trahissent, c’est que nous élisons des hommes véreux à la tête de nos institutions.
Si Dieu n’écoute pas nos prières depuis l’esclavage arabe jusque aujourd’hui en passant par la colonisation européenne, c’est parce que nous sommes des sous-hommes.
Nous passons notre temps à adorer la créature plutôt que le Créateur.
Nos orgies des dimanches ne sont pas des cultes rendus à Dieu ; mais à Satan et ses suppôts humains. Sinon, pourquoi sommes-nous divisés, égocentristes, tout le temps dans la confusion, ennemis des enfants et prohètes de Dieu ?