1.000.000 ha : un projet inutile, sans lendemain ?


Nous y croyons

Nous recherchons des personnes qui croient en la création des couloirs agricoles de 8 km de largeur autour de toutes nos routes – 4 km à gauche et 4 km à droite – de toute route, pour créer une industrie agricole à 100% congolais et de la plus haute technologie, en commençant avec la houe, mais en visant une agriculture robotisée. Des personnes prêtes à cultiver, à financer ou à gérer les projets.

Nous proposons de commencer avec l’axe Butembo-Eringeti, Eringeti-Mahagi-Port et Ngote-Aru ; pour participer à la pacification, sans armes, de l’Est.

À l’Ouest, nous retenons Kinshasa-Bandundu Kinshasa-Matadi.

Parler du projet aux autochtones que vous connaissez ; qui désirent aller dans la direction de notre indépendance agricole et de l’enrichissement de nos paysans agriculteurs, pour faciliter la pacification véritable du pays que notre gouvernement a difficile à gérer avec ses amis étrangers.

Ceux qui quittent la communauté 1.000.000 ha : qui sont-ils, véritablement ?


Nous enregistrons soigneusement ceux qui quittent cette communauté et qui prouvent qu’ils n’ont jamais vraiment aimé le Congo. Autrement, pourquoi quitteraiennt-ils une communauté de ceux qui recherchent l’indépendance agricole du pays et l’enrichissement de nos paysans par eux-mêmes,  sans les armes ?

Sous nos regards hébétés…


Et si ChatGPT avait raison… Nous avons produit un article partant des informations que nous fournit ChatGPT.

« Merci pour ta précision sur l’or. Voici une synthèse stratégique pour t’aider à intégrer cette filière dans ton manifeste et ton projet de souveraineté économique. »

L’or congolais : Peut-il être un levier stratégique pour la souveraineté du Congo ? Pour en avoir une idée, lisez la suite.

Données clés

– Réserves estimées : 2 000 tonnes d’or en RDC, soit une valeur de plus de 121 milliards USD.  [Il faudrait plutôt dire 121 milliards seulement !  En effet, ce n’est même pas assez pour faire vivre les Congolais correctement pendant 1 mois !]

– Production industrielle : dominée par la mine de Kibali (Barrick Gold, AngloGold Ashanti, État congolais). 762 000 onces (23 tonnes) ont été produites en 2023 par cette mine.

– Production artisanale : en forte croissance. Elle est passée de 38 kg/mois en 2022 à 475 kg/mois en 2023 grâce à Primera Gold.  [Ces chiffres sont à prendre sur des pincettes.  Beaucoup d’or traverse les frontières frauduleusement. Les propriétaires de la terre n’ont aucun contrôle sur ce qui se passer sur leur sol.]

– Transformation locale : une première raffinerie d’or a été installée à Bukavu. Elle a une capacité de 100 à 200 kg/jour, mais son agrément a été suspendu en 2023. Et pour cause ? Le non-respect des obligations sociales.

Complément d’information

[Nous avons cherché à connaître ce qu’étaient ces obligations sociales en consultant ChatGPT.  Voici ce qui l’en aurait été.

Sources d’informations

Selon les sources officielles évoquant l’arrêté ministériel du 24 juillet 2023 signé par la ministre des Mines Antoinette N’Samba Kalambayi, la société Congo Gold Raffinerie à Bukavu a vu son agrément suspendu pour avoir manqué au non‑respect de ses obligations sociales, notamment :

lL’absence d’élaboration d’un cahier des charges sur les responsabilités sociétales. Malgré une mise en demeure donnait six mois à l’entreprise pour se conformer. Cette dernière n’avait pas soumis de document essentiel exprès ou en complice (radiookapi.net) ?

  • Plus précisément, l’arrêté précise que Congo Gold Raffinerie n’a pas respecté ses « obligations sociales. Notamment, celles relatives à l’élaboration du cahier des charges des responsabilités sociétales » (laprunelleverte.com).  [Qui devrait, logiquement, élaborer le cahier de charge et pourquoi ?]

En résumé

Le manquement principal concernait l’absence de formalisation d’un engagement social clair et documenté, comme requis par la réglementation. Ce document vise à définir les contributions attendues de l’entreprise envers les communautés locales (emplois, santé, éducation, environnement, etc.), et son non‑établissement a été jugé suffisant pour justifier le retrait de l’agrément.

]

Enjeux et menaces

– Contrebande massive : plusieurs tonnes d’or échappent chaque mois au contrôle de l’État, alimentant une économie parallèle.

– Conflits armés : des groupes comme le M23 exploitent illégalement des mines d’or, parfois avec le soutien de puissances étrangères.

– Faible transformation locale : la quasi-totalité de l’or est exportée brut, sans valeur ajoutée.

Opportunités à saisir

– Créer une filière aurifère congolaise intégrée : de l’extraction artisanale à la transformation locale.

– Renforcer la traçabilité : via des coopératives, des plateformes numériques et des partenariats avec des raffineries éthiques.  [Ce n’est pas la numérisation qui apporte de la transparence.  Plusieurs projets de numérisation ont été des catastrophes en RDC.  Numérisation de la paie des fonctionnaires de l’État par exemple.  La traçabilité peut se faire à l’aide des cahiers lignés !]

– Mobiliser la diaspora : pour investir dans des unités de transformation, des bijouteries, ou des circuits de vente certifiés.

– Plaidoyer international : pour exiger la transparence des chaînes d’approvisionnement (ex. : or congolais dans les bijoux européens).

À quoi devrions-nous plutôt penser le plus rapidement possible et comment ?

– « L’or du Congo ne doit plus enrichir les autres. »

– « De la mine à la bijouterie : l’or congolais, valeur ajoutée congolaise. »

– « Pas un gramme d’or sans justice, sans propriétaire, sans transformation et commercialisation locales. »

– « L’or du peuple ne doit plus financer les ennemis du Congo. »

Ne pas vouloir changer de fusil d’épaule nous tuera.

Les hommes que nous avons commis à la gestion de notre or, de notre État, par népotisme, nous mènent bien. Ils nous conduisent où il fallait s’y attendre. L’épuisement, possible, pure et simple, de nos ressources, sous nos regards hébétés.

Inspirer…


Proposer, ne suffit pas !

Ceux qui réussissent,  inspirent plus, convainquent : quoi de plus normal, de plus humain…

Si le Projet 2014 faisait des députés, ministres ou gouverneurs,  depuis 1999, il aurait sans diute déjà atteind l’objectif de 3.000 participants et de 50% de ministres inspirés par le projet.

Vous inscrire, c’est ici-même : https://projet2014.com/inscription.

Bunia, dans l’Ituri.


Coacher un Iturien : est-ce possible ?  À quel coût ?  Quelles niches exploiter et comment ?

GPAU

  1. Prends un papier et un stylo. Notes 20 besoins non satisfaits des ménages de ta localité.
  2. Envoie-moi une photo de la liste ; une photo prise à l’extérieur, après avoir nettoyer l’objectif de ta caméra.
  3. Nous ne manquerons pas de trouver jusqu’à quatre opportunités d’affaires dans cette liste.

De cette façons nous pouvons lancer un projet légitime dans ta localité.

D’autres localités en profiterons.

1.000.000 ha : sera-ce possible sans résilience ?


Qu’est-ce qu’est la résilience ? Pourquoi devons-nous la cultiver ?  Quel est le rapport à « 1.000.000 ha » ?

La résilience est la capacité d’une personne à surmonter les difficultés, les épreuves et les traumatismes de la vie, tout en retrouvant un état de bien-être. C’est un mélange de force intérieure, d’adaptabilité et de persévérance qui permet de rebondir face aux adversités. Elle ne signifie pas seulement « supporter » ou « endurer », mais plutôt de « revenir plus fort » après une période difficile.

La résilience peut être développée et renforcée à travers différentes stratégies, telles que :

  1. Maintenir des relations positives : Avoir un réseau de soutien solide peut aider à traverser des moments difficiles.
  2. Cultiver une attitude positive : Adopter une perspective optimiste peut contribuer à voir les problèmes sous un angle différent et à trouver des solutions créatives.
  3. Développer des compétences de résolution de problèmes : Être capable d’aborder les défis de manière proactive et logique.
  4. Gérer le stress : Apprendre des techniques de gestion du stress, comme la méditation, la respiration profonde, ou le sport.
  5. Fixer des objectifs réalistes : Savoir se fixer des objectifs atteignables et célébrer les petites victoires en chemin.
  6. Se débarrasser de la fausse religion : en finir avec la simplicité, la complaisance, la naïveté, la paresse physique, intellectuelle et sprituelle, la méchanceté suicidaire ; la malice l’obscurantisme, le snobisme, le mensonge béat, l’adoubement, déshumanisants et dégradants.

La résilience n’est pas une caractéristique, une qualité, innées que certaines personnes peuvent avoir et d’autres non. C’est une compétence, un avantage, que tout le monde peut cultiver et développer au fil du temps, volontairement, par l’exercice.


Dans le projet 1.000.000 ha, à billions de dollars annuels à terme, la résilience est plus qu’importante, pour remporter la bataille.

Les éternelles questions…


Deux questions récurrentes nous ont été encore une fois posées dans notre groupe Telegram.

  1. Ce projet 2014 ne s’est toujours pas encore réalisé ?

Avez-vous déjà lu ce qu’est le Projet 2014 ou avez-vous déjà participez à une conférence du Projet 2014 ?

Il n’y a rien de caché au Projet 2014. Tout ce qu’il faut savoir sur ledit projet se trouve sur son portail, celui-ci.

  1. Que faut-il faire pour que ce projet soit visible en province de son initiateur ?
  • Apporter 50 pages de propositions originales par trimestre, sur le portail ; ou bien, tester les propositions contenu sur le portail, sur terrain, dans son terroir. Deux contributeurs formels dans le Grand Nord kivutien et un seul dans l’Ituri.
  • Commencer par des projets tels que 1.000.000 ha pour dégager nos grands axes routiers des rebelles (Eringeti-Aru, Ngote-Mahagi-Port, Komanda-Nia-Nia et autres), Finances pour avoir nos propres banques et assurances, Énergie pour avoir notre propre eau et électricité aux portes des ménages et des entreprises, etc. Vous pouvez avantageusement vous porter candidats membres des structures à mettre en place. La levée de fonds sera très facile quand la population se trouvera devant des structures animées par des hommes faits, des patriotes avérés et compétents.
  • Donner du poids à nos structures existantes. Dans le Grand Nord kivutien, une coopérative agricole et une coopérative minière du Nord-Kivu viennent de nous contacter la semaine dernière en quête de financement de projets visionnaires (plusieurs milliers de billions de dollars par projet), pour le lancement des unités agroalimentaires – pour la première – et dans la maîtrise des mines – pour la seconde. La surprise est que des partenaires extérieurs au Congo se soient manifestés déjà en moins d’une seule semaine ; mais que dans la RDC, nous n’avons personne qui pense à mobiliser des fonds ! 1.000 CDF/congolais, c’est déjà 0,1 billions de CDF sur la table ! C’est aussi qu’il ait une carence endémique de compétences, de la ressource humaine.
  • Instruire, former et éduquer rapidement et sérieusement pour combler les nombreuses lacunes en ressources humaines. Cela peut rapidement se faire dans la structure les centres de formations et de conférences de l’EAE ASBL, par exemple, en réduisant par le fait même le chômage et l’insécurité dans le pays.

Développement : simple ou complexe…


Le développement du Congo ne consiste pas à verser pas dans des jérémiades : nous le regretterions. Mettonss-nous du côté de ceux qui agissent, suivant les voies de Dieu et ne suivons les sentiments des humains, les voies de nos pères qui nous ont plongés dans la malédiction présente !

Ce que nous oublions de dénoncer et d’éviter, ce sont les dégâts créés par nos orgies mal pensées de nos rencontres fraternelles, les limites patentes de l’école napoléonienne qui déconnecte nos enfants de nous, leurs parents et leur apprend n’importe quoi, hors de notre contrôle.

Les téléphones, mal utilisés par les pauvres, les simplistes, les complaisants, les danseurs, les plaintifs, mais premiers juisseurs de la vie,  sont effectivement un problème qui a une solution, comme les autres vicissitudes de la vie.  Une de mes filles a trouvé son astuce à elle : du matin au soir, sur son lieu de travail, elle est injoignable, même par son père.

Les méthodes communistes…


[6/14, 08:25] JBKM

C’est confirmé uganda inasaporti M23.


[6/14, 10:17] GPU

On ne contruit plus un pays de la sorte !  Nos jeunes ont besoin d’être instruits, formés et éduqués, conseillés, avant de se mettre au service de la nation utilement.

Sinon, ce sont d’autres congolais que nous perdrons !

[6/14, 10:23] GPAU

Ile swali, ni ya kweli ? Ikiwa hivyo, faida ni ya nani na kwa nini ?

[6/14, 10:44] DD

Il veut, lui aussi, tourner la saison intitulée « chute de palais de la nation » ? Peut-être il va finir ce que son prédécesseur n’a pas pu achever ; mais ses amis, qui l’ont précédé, croupissent déjà à N’dolo.

[6/14, 10:57] GPAU

Mon fils, que suggères-tu par là, pour avancer le pays ?

[6/14, 10:59] DD

C’est tout un système qui est pourri. Que fera une goutte d’eau dans un océan ?

DD2

Il dit quoi, même, celui-ci ?

Réécoute-le, DD ; tu finiras par comprendre son propos !

Le plus important est la suggestion que tu as pour de tels compatriotes ; pour avancer le pays ?

GPAU

Nous, nous ne croyons pas aux méthodes des communistes, depuis notre tendre enfance, où nous égrenons leurs inefficatés. Nous proposons à nos jeunes de s’instruire, de se former et de s’éduquer correctement, avant de se lancer dans des projets de développement du Congo.

Sinon, nous continuerons à souffrir de notre simplicité, de notre légèreté, de notre médiocrité !

Yangambi brûle.


Date, heure et contexte de l’événement ?
Auteurs des actes ?
Le mobile ?
La motivation ?
Conséquences à courtes et longues échéances ?
Capacités d’intervention des yangambiens et du reste des préjudiciés ?
Autorités, mesures prises ?

À Kisangani, non loin de Yangambi, nous avons fermé notre succursale de l’EAE ASBL, où nous souhaitions installer notre centre de publication de supports de formation (Centre de Nouvelles Technologies de l’Information et des Communications : CNTIC) et d’enseignement (Institut des Technologies de Pointe : ITP) de l’EAE ASBL, ainsi que notre Centre de Collecte, de Traitement et de Diffusion de Données (CCTDD ou C²TD²), à cause de l’indifférence des indifférence des bénéficiaires directs de cette initiative.

Yangambi sera construit un jour par les yangambiens qui aujourd’hui ont laissé dépérir leur cité et détruire des locaux que l’on nous présente, sans plus de précision. Jadis, cette localité était renommée dans le domaine de la recherche agronomique ; aujourd’hui, elle est oubliée du monde entier.

Une initiative est en gestation à Kisangani, qui, si elle est suivie à Yangambi, permettra de rapidement construire un Yangambi nouveau, prospère, durable !

Territoire de Beni (Oïcha) : Appel à participation.


Chers habitants de tu territoire de Beni (Oicha), dans le but de continuer à développer notre habitat, notre agriculture et nos mines, EAE ASBL vous propose la valorisation de 4 km de part et d’autre de la route Butembo-Eringeti en y développant une agriculture industrielle et des villas pour tous les ménages. Près de 25.000 ha de champs coopératifs pour combattre :

  1. La pauvreté (apporter la richesse matérielle, financière, morale, spirituelle…) ;
  2. La colonisation (promouvoir les fils du terroir) ;
  3. L’esclavagisme (assurer des salaires justes).

Au programme :

  1. Appropriation de nos terres.
  2. Cultures vivrières et industrielles contrôlées par les autochtones.
  3. Valorisation du travail professionnalisme.
  4. Promotion de l’unité et de l’humanité…
  5. Organisation et contrôle des activités minières dans notre terroir.