Obligation scolaire et professionnelle…


Nos parlementaires doivent être titillés. Ils doivent être commandés pour déposer une loi qui rende obligatoire les études pour nos enfants de la RDC jusqu’à l’âge de 24 ans. Cela, dans le but de nous mettre rapidement en avance par rapport aux autres nations qui vieillissent politiquement, culturellement et stratégiquement parlant. Ces pays perdent en vitesse dans le développement spirituel, intellectuel, culturel, scientifique, industriel, technologique, social.

Jusqu’à présent, nos dirigeants ont majoritairement été des jeunes. Sans instruction, sans formation et sans éducation suffisantes, ils ont abîmé le pays hérité de la fausse indépendance proposée par le MNC. Et pour ne pas avoir une opposition forte à leurs régimes fantoches, le MPR, l’AFDL, le PPRD et l’UDPS maintiennent la population dans l’ignorance des lois qui président au fonctionnement du monde visible et invisible. Pour se faire, ils détruisent, chaque jour qui passe, le tissu de notre enseignement. Pour sauver notre nation, nous avons proposé pour notre enseignement : 1° l’obligation scolaire jusque 24 ans, 2° la séparation de la fonction enseignante et de la fonction évaluative des acquis et 3° la quadrimestrialisation de l’enseignement à tous les niveaux : celui dit préscolaire, le primaire, le secondaire, le supérieur, l’universitaire et le post-universitaire.

Jusqu’à présent, personne ne nous suit. Les pouvoirs qui se succèdent à Kinshasa continuent à profiter de la démission des parents qui bien souvent, hélas, n’aiment leurs enfants que du bout des lèvres. Le peuple s’abrutit, la nation en pâtit, les ennemis du Congo en profite pour piller et décimer nos peuples. La gente congolaise risque donc un jour de disparaître, comme le prédit plus ou moins Kwebe Kimpele, cet autre prophète qui prêche dans le désert.

« Dans le système éducatif de la République Démocratique du Congo, la scolarité est obligatoire pendant 6 ans1. [C’est donc une obligation scolaire jusqu’à 12 ans, dans un pays sous-développé à bien sous plusieurs plans !] Cela correspond généralement à l’enseignement primaire. Cependant, il est important de noter que l’application de cette obligation peut varier en fonction de divers facteurs, y compris les ressources disponibles et les conditions locales [Presque nulle part dans le pays, les parents ne sont poursuivis ! Beaucoup d’enfants errent dans les rues et dans les cours des parcelles toutes les journées, sans que les communes ne demandent de comptes aux parents défaillants.]. Pour des informations plus précises et à jour, je vous recommande de consulter les dernières publications du Ministère de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique de la République Démocratique du Congo ou d’autres sources officielles. » Copilot, Microsoft, ce dimanche 21 janvier 2024, 18:20.

Qu’est-il dit de l’application de la loi en cette matière ? Pourquoi plusieurs enfants sont-ils dans les rues ou en situation d’esclaves dans les maisons d’inciviques ? Qui est responsable de cette situation ? Comment le gouvernement congolais de la RDC contrôle-t-il l’application de l’obligation scolaire jusqu’à l’âge de 12 ans et que fait-il des enfants mineurs entre 12 ans et 18 ans ?

« Le contrôle de l’obligation scolaire en République Démocratique du Congo est assuré par plusieurs mécanismes. Voici quelques-uns des principaux mécanismes de contrôle :

  1. Contrôle de l’inscription scolaire des mineurs : Une cellule spécifique est chargée de vérifier que les mineurs bénéficient bien d’une instruction1. Elle vérifie que chaque enfant est inscrit dans une des filières d’enseignement1. Lorsqu’aucune information n’est trouvée sur la manière dont est instruit un mineur, le service prend alors contact avec les parents ou la personne investie de l’autorité parentale1.
  2. Contrôle des salaires des enseignants : Un audit approfondi a porté sur les salaires des enseignants dans les provinces concernées par le projet2. Ces résultats ont fait l’objet d’un contrôle par un organisme indépendant2.
  3. Contrôle de l’achat des manuels scolaires : L’achat des manuels scolaires revient en priorité aux écoles qui le font sous le contrôle et la responsabilité de leurs gestionnaires respectifs, et en concertation permanente avec les parents d’élèves3.

Cependant, il est important de noter que l’application de ces contrôles peut varier en fonction de divers facteurs, y compris les ressources disponibles et les conditions locales. Pour des informations plus précises et à jour, je vous recommande de consulter les dernières publications du Ministère de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique de la République Démocratique du Congo ou d’autres sources officielles. » Copilot, Microsoft, ce dimanche 21 janvier 2024. » Copilot, Microsoft, ce dimanche 21 janvier 2024 à 21:57.

Nous savons très bien que l’esclavagisme, la colonisation, la dictature et le sabotage de l’enseignement, contribuent à accroître l’insécurité dans le pays. Ils contribuent aussi à retarder la prospérité de la majorité et à nous plonger dans l’ignominie, dans le grand déshonneur et dans l’indignité extrême dans lesquelles nous vivons aujourd’hui, partout où nous sommes. Ces maux qui continuent au Congo, qui y sont entretenus par des esclavagistes, des colonialistes et des dictateurs étrangers et nationaux nous poursuivront jusqu’au jour nous nous léverons tous pour dire : « ASSEZ de nous prendre pour ses sous-hommes ! »

Pour proposer et ne pas nous contenter de la critique facile, nous proposons des voies et moyens pour nous sortir de l’auberge.

  1. Dissolution inconditionelle de la CENI pour responsabiliser l’adminidtration publique.
  2. Salaire minimum garanti à tous les plus de 24 ans et ce minimum supérieur au minimum vital ; obligation de travail pour eux tous – ces plus de 24 ans, y compris les handicapés. Mise au travail, par l’administration locale, de ceux qui ne trouvent pas du travail ou de citoyens qui n’arrivent pas à créer du travail par eux-mêmes dans les 12 mois.
  3. Salaire maximum inférieur ou égal à 5 fois le minimum vital, dans le secteur public.
  4. Obligation scolaire jusque 24 ans pour tous les enfants.
  5. Trois ans maximum de moratoire pour chaque travailleur sans qualification validée par l’État, électroniquement, pour se qualifier dans son domaine par une formation à horaire décalé.
  6. Cinq ans maximum de sursis pour chaque administration locale pour adjoindre l’eau potable et l’électicité dans chaque maison de ménage et chaque installation d’entreprise, à ses frais – l’admonistration locale, moyenant des crédits bancaires, qui couvrent les rénovations indispensbles.

Responsabilité et citoyenneté en 2023


Les cartes d’électeurs sont en train d’être émises, pendant que nos concitoyens n’ont toujours pas encore leurs cartes d’identité ! Quelle supercherie qui continue au vu et au su de tout le monde. Personne n’a l’air de s’en offusquer. Pourtant, c’est cette distraction qui nous vaut chaque année qui passe des conflits parfois évitables avec nos propres concitoyens tout comme avec nos voisins proches et lointains.

Si les cartes d’identité en elles-mêmes peuvent ne rien représenter dans une culture particulière, il reste néanmoins important de connaître qui sont nos compatriotes et qui ne sont pas nos compatriotes, avant même de savoir qui peut voter et qui ne peut pas voter.

Notre proposition à nous est que le Congo doit rapidement d’abord se battre pour maîtriser son registre national : la liste de ceux qui sont de notre nationalité et de ceux avec qui nous avons résolus de vivre ensemble, dans la concorde, la fraternité, l’amitié, dans le cadre des collaborations, des coopérations vraies, honnêtes, utiles…

Ce que fait Kinshasa et que nos parlementaires lui permettent de faire est criminel : choisir prochainement, encore une fois et toujours, nos représentants et nos gouvernants, sans les connaître intimément, complètement.

Le Président de la République ainsi que le Parlement, qui ont le devoir de veiller à garantir la bonne conduite de l’État, par le Gouvernement, se doivent de vite inviter le Gouvernement et toute notre administration à commencer par corriger cette faute que perpétue la maintenance d’un intru dans la gestion de la République : la CENI. Cette commission est plus que nocive pour la conduite de la chose publique, depuis qu’elle a été invitée dans notre espace politique.

Dans une pression démocratique forte et déterminée, il devient de plus en plus clair que le Président de la République ainsi que le Parlement, votés ou tolérés, ne fournissent pas d’effort pour comprendre que les cartes d’électeurs sont un frein pour notre marche en avant ou plutôt pour arrêter d’insulter le peuple congolais par leur trahison qui représente, selon nous, un crime de lèse-nation. En effet, beaucoup de sous qui pourraient servir à nourrir, soigner, mettre au travail, nos veufs et éduquer nos orphelins pour les préparer à transformer le Congo en un pays modèle en Afrique, le temps qu’ils retrouvent l’équilibre vital, sont dilapidés dans une CENI qui a déjà semé beaucoup de morts dans le pays, aux nouvelles qui nous parviennent.

Peule congolais, avec l’aide de Dieu, nous avons la capacité d’interpeller, démocratiquement et sans ambages, le Président de la République, ainsi que le Parlement, pour que soit mis fin à l’existence de la CENI dans notre pays, sans autre forme de procès et pour que l’ADMINISTRATION reprenne la gestion saine et transparente de notre registre national et de nos élections. Nous pouvons déjà commencer par signer les pétitions du Projet 2014 ! Ici !

Sans cela, nous seront nous-mêmes, en tant que peuple, la cause de nos déboires et de nos morts ! Prenons en conscience !

Je m’engage !


Hier encore, certains combattants prétendaient qu’une préparation pour les grands rendez-vous politiques auxquels nos compatriotes de l’intérieur du pays nous forcent de répondre, dont notamment les élections suicidaires de 2016, ne soit pas nécessaire.  Pour eux, seule la préparation d’une révolution populaire compte aujourd’hui.  Parce que, selon leur mode de pensée, logiquement, on ne peut traîter avec une imposture comme avec une dictature.  Tout cependant semble indiquer que la RDC ne soit pas encore prête pour une révolution populaire de masse.  Un soulèvement populaire qui implique plus que la ville de Kinshasa.  Un mouvement de l’ensemble de nos grandes villes : Baraka, Bandundu, Bikoro, Boende, Bukavu, Bumba, Bunia, Buta, Butembo, Beni, Boma, Gbadolite, Goma, Kalemie, Kananga, Kikwit, Kindu, Kisangani, Kinshasa, Kolwezi, Likasi, Lubumbashi, Matadi, Mbandaka, Mbuji-Mayi, Muene-Ditu, Tshikapa, Zongo.

Si l’information ci-dessous devait se confirmer, ils auront tort.  L’opposition est loin d’être prête en ce 28 mai 2014.  La question que nous nous posons au Projet 2014 est : comment racheter le temps à moindre frais ?  Notre démarche qui est cette du travail pour préparer l’avenir n’est pas acceptée par la majorité.  Notre l’Esprit nous l’impose, si nous sommes réellement à son écoute et nous nous lui faison confiance.  Il faut tout préparer.  Aujourd’hui, le besoin d’une préparation est encore plus important que hier.  Les esprits se fatiguent.  Plusieurs tiennent des langages de désespoir et simplistes.  Ils préfèrent des racourcis sans lendemain.  Le risque d’empirer la situation devient plus élevé.

C’est pour cela que nous avons ouvert deux espaces de travail désormais :

le Projet 2014, pour ceux qui n’en veulent pas des partis politiques ; et,

notre parti politique Kongo ya Sika, pour ceux qui voudraient mener un combat politique pur !

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ALLERTE ROUGE VOICIE LE PLANS DU SALAUD RWANDAIS  HYPOLITE KANAMBE SOIT DISANT JOSEPH KABILA POUR RESTE A LA TETE DE LA RDC AU DELA DE 2016  Voici le calendrier électoral
 
• Du 10juin au 09juillet 2014 : Accréditation des observateurs à long terme;
• Du 01 octobre au 20 octobre 2014:
Audit externe du fichier électoral;
• Du 03 au 20 novembre 2014: Examen de l’annexe à la loi électorale portant répartition des sièges;
• Du 10 décembre 2014 au 18 janvier 2015: Convocation de l’électorat et dépôt des candidatures au niveau des bureaux de réception et traitement des candidatures;
• Du 19 au 23 janvier 2015 : Retrait, ajout ou substitution des candidatures;
• Le 13 février 2015: Publication de la liste provisoire des candidatures aux élections des Conseillers des communes et des secteurs/chefferies;
• Du 14 au 24 février 2015: Dépôt des recours en contestation des listes des candidatures et leur traitement auprès et par les tribunaux administratifs;
• Le 25 février 2015: Publication des listes définitives des candidats aux élections des Conseillers des communes et des secteurs/chefferies;
• Du 30 avril au 29 mai 2015 : Accréditation des témoins, des observateurs et des journalistes;
• Du 15 mai au 14juin 2015 : Affichage des listes des électeurs par site de vote et bureau de vote;
• Du 29 mai au 12 juin 2015 : Campagne électorale pour les élections des Conseillers des communes et des secteurs/chefferies;
• Le 14 juin 2015: Jour du scrutin municipal et local; ouverture des bureaux de vote et de dépouillement pour les municipales et locales;
• Le 30 juin 2015 : Annonce des résultats pour les élections des Conseillers des communes et des secteurs/chefferies;
• Du 01 au 08 juillet 2015: Dépôt des recours relatifs au contentieux des élections des Conseillers des communes et des secteurs/chefferies;
• Du 09 juillet au 06 septembre 2015: Traitement des contentieux des élections des Conseillers des communes et des secteurs/chefferies;
• Du 15 juillet au 18 août 2015: Installation des Conseils municipaux et locaux;
• Le 07 septembre 2015 :Publication des résultats définitifs des élections des Conseillers des communes et des secteurs/chefferies;
• Du 05 au 18 juillet 2015: Réception et traitement des candidatures des Conseillers urbains, des Maires, des Bourgmestres et des Chefs de secteur;
• Le 3août2015: Publication des listes provisoires des candidats Conseillers urbains, Maires, Bourgmestres et Chefs de secteur;
• Du 04 au 12 août 2015: Contentieux des candidatures des Conseillers urbains, des Maires, des Bourgmestres et des Chefs de secteur (dépôt et traitement);
• Le 14 août 2015 : Publication de la liste définitive des candidats Conseillers urbains, Bourgmestres et Bourgmestres adjoints, Chefs de secteur et Chefs de secteur adjoints;
• Du 25 au 27 août 2015: Campagne électorale des Conseillers urbains, des Bourgmestres et des Chefs de secteur;
• Le 29 août 2015 : Jour du vote des Conseillers urbains, des Bourgmestres et des Chefs de secteur;
• Du 29 au 30 août 2015 : Agrégation et annonce des résultats provisoires des Conseillers urbains, des Bourgmestres et des Chefs de secteur;
• Du 31 août au 14 septembre 2015 : Recours et contentieux des résultats relatifs à l’élection des Bourgmestres et Bourgmestres adjoints, des Chefs de secteur et leurs adjoints;
• Le 15 septembre 2015 : Proclamation des résultats définitifs des Bourgmestres et Bourgmestres adjoints, des Chefs de secteur et leurs adjoints;
• Le 20 septembre 2015: Investiture des Bourgmestres et Bourgmestres adjoints et des Chefs de secteur et leurs adjoints;
• Du 31 août au 06 novembre 2015
Recours et contentieux des résultats des élections des Conseillers urbains;
• Du 14septembre au 08 octobre 2015 : Installation des Conseils urbains;
• Du 11 au 13 octobre 2015 : Campagne électorale des Maires et Maires adjoints;
• Le 15 octobre 2015: Jour de scrutin des Maires et Maires adjoints;
• Le 15 octobre 2015: Agrégation et annonce des résultats provisoires des Maires et Maires adjoints;
• Du 16 au 30 octobre 2015: Recours et contentieux relatifs a l’élection des Maires et Maires adjoints;
• Le 31 octobre 2015 : Proclamation des résultats définitifs des Maires et Maires adjoints;
• Le 05 novembre 2015: Investiture des Maires et Maires adjoints.
 
Fait à Kinshasa, le 26 mai 2014
Jean-Pierre Kalamba Mulumba
Ngalula