Kanambe choisit la mort après 2016 !


Voici un texte que je trouve bien écrit et qu’il nous vaut la peine de lire.

Notons cependant que l’auteur ne discute pas assez la sociologie du congolais.

1960, par la démagogie, le MNC réussit à prendre démocratiquement le pouvoir, mais échoue.

1965, par la force, Mobutu subjugue les congolais et meurt à l’étranger.

1997, par la ruse, Kabila s’autoproclame président et finit par être assassiné.

2001, après un assassinat « politique », Kanambe prend le pouvoir et va vers sa mort certaine, s’il ne se repent.

Tout cela se passe sous le nez et avec le concours du congolais que nous sommes.

2016 est à deux pas de nous.

Qu’est-ce qui a changé dans nos attitudes, dans nos méthodes de travail, dans nos réflexes, qui autoriserait un ESPOIR de sortie du tunnel ?

Si nous devions, par grâce divine, sortir de notre « ornière » ou plutôt de notre « zone de confort », qui prendra valablement la direction du pays ?

Répondre à ces deux questions avec lucidité, compétude et responsabilité, c’est être réellement congolais patriote.

Pour nous, cette observation ajoutée, tout semble indiquer que Kanambe ait choisi la mort, à l’instar de ses prédécesseurs,  après 2016.

Le peuple, lui, dans sa majorité, souhaite tantôt son retour en Tanzanie, tantôt sa condamnation judiciaire, tantôt sa mort, avant 2016, sans savoir exactement ni précisément, pourquoi ni comment, ces évènements devraient avoir lieu.  Sommes-nous responsables en prenant de telles attitudes ?


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Sent: vendredi 19 décembre 2014 11:51
To: (…)
Subject: [Kivu-Avenir] Le président Kabila arrivera-t-il à la fin de son mandat ? – DESC

Le président Joseph Kabila arrivera-t-il à la fin de son mandat ?

Par Jérôme Ziambi Kengawe (avec la collaboration de JJ Wondo)

 

J Kabila état de la nation 2014

Le scénario Burkinabé peut-il se dérouler au Congo Kinshasa…les experts du Congo, en général, doutent de cette possibilité en évoquant plusieurs arguments dont, le plus évoqué ou repris, est la différence contextuelle entre les deux pays. En ignorant, le désir mimétique[1] chez les jeunes qui pourrait servir de dynamique à l’expansion et à l’accélération de ce mouvement dans d’autres pays concernés. Ce soulèvement a envoyé un message à tous les jeunes de l’Afrique que le changement est possible. Malgré le silence des média Congolais, une réaction totalement anachronique, les dirigeants Congolais ne savent-ils pas que l’internet et les réseaux sociaux permettent l’internationalisation et le sentiment d’appartenance à une même génération et à un même continent partageant les mêmes soucis.

Tous les présidents africains animés par la tentation de prolonger le nombre de mandats présidentiels au-delà de ce que les constitutions respectives de leurs pays limitaient, avaient les yeux tournés vers le Burkina qui leur servaient de « laboratoire ». Il en était, particulièrement, du Congo Kinshasa qui avait envoyé une délégation au Burkina afin de suivre le déroulement de la modification de la constitution afin d’en tirer des leçons. Malgré les dénégations des concernés, des preuves existent et qui attestent la présence de Monsieur André Atundu, cadre de la majorité présidentielle congolaise, à Ouagadougou, le jour de l’insurrection.

Ce mouvement a réveillé la conscience des africains

Quelques parallélismes contextuels

Les deux régimes se ressemblent par rapport à quelques faits, comme la manière de l’accession au pouvoir, les deux présidents sont arrivés au pouvoir grâce aux assassinats de leurs prédécesseurs qui étaient, d’ailleurs, tous les deux leurs proches[2].

Les deux présidents, tant Kabila que Compaoré, privilégient le « silence » comme moyen de communication. Malgré des marches, des sit-in, des manifestations et des grèves depuis 2011, Compaoré ne s’est presque jamais exprimé et ne s’est presque jamais adressé à son peuple. Il partage cette similitude avec Kabila, qui, depuis 13 ans qu’il dirige le Congo, ses interviews et ses interventions concernant des drames que vivent les Congolais peuvent se compter sur quelques doigts. Ces deux présidents ne s’expriment que par contrainte. Tant Blaise Compaoré que Joseph Kabila sont dans leur tour d’ivoire, alors que le pouvoir leur échappe à petite dose.

Soulignons, également, l’extrême jeunesse[3] de la population de deux pays, en particulier celui du Burkina Faso dont on connait la contribution décisive au renversement du régime de Compaoré. En effet, on ne va jamais au combat avec des vieux.

Par rapport à la société civile, et particulièrement, l’église catholique, le parallélisme est frappant. L’arrivée à la tête de l’archevêché d’Ouagadougou du Mgr Philippe Ouédraogo en 2009 a bouleversé la relation qu’entretenaient le régime et l’église. Cet archevêque a conduit l’église à prendre ses distances[4] par rapport au pouvoir de Compaoré. Il en est de même avec la R.D.C., où le divorce entre le pouvoir de Kabila et l’église Catholique[5] est consommé depuis longtemps. Le Cardinal Laurent Monsengwo Pasinya, comme l’était son prédécesseur, le cardinal Frédéric Etsou Nzabi Bamungwabi, lui ont été toujours opposés, faisant de cette institution, la seule vraie opposition organisée au Congo.

Enfin, nous ne pouvons éviter de citer d’autres maux qui rongent l’Afrique et qu’on retrouve avec acuité au Congo-Kinshasa: la corruption, le népotisme, le chômage, la pauvreté, l’analphabétisme, la dictature, les violations massives des droits humains, les tricheries aux élections, des armées fragmentées, etc.

La démocratie est à la politique ce qu’est le médicament à la médecine. Si Au Burkina-Faso, on a trouvé le remède contre certains maux dont souffre l’Afrique. Pourquoi ne pas l’utiliser et pourquoi ne soignerait-il pas les mêmes souffrances ailleurs ?

En bref, le contexte est semblable et le scénario burkinabé est envisageable au Congo car les ingrédients[6] sont identiques dont celui particulièrement de la volonté de rester indéfiniment au pouvoir. Cependant, cela dépendra des recettes que proposera le régime congolais dans le menu qui sera présenté au peuple.

Utiliser de quels artifices pour rester ?

Comme contre la rébellion du M23, le président Kabila avait préconisé l’usage de trois moyens pour les combattre à savoir le politique, le diplomatique et le militaire. En fait, il peut oublier, en partie, les deux premiers, son camp politique, tout comme l’opposition d’ailleurs, étant divisés à ce sujet. En fait, la coalition des différentes couches sociales et politiques qui sera formée contre toute révision constitutionnelle et toute velléité de prolonger la durée de son mandat au-delà des textes prévus par la constitution, lui barrera certainement, la route. Cela se traduit donc par l’absence d’une cohésion ou consensus national venant en appui au premier moyen qu’il préconise.

Du point de vue diplomatique, depuis les élections chaotiques de 2011 et son élection, dans des conditions frauduleuses, à la magistrature suprême, ses habituels alliés occidentaux[7] lui ont fait savoir que toute volonté de s’accrocher au pouvoir par quels que moyens que soient, équivaudrait à un coup de force. Nous savons combien leur soutien est essentiel à son régime qui est en sursis depuis 3 ans.

Il ne reste plus que la solution militaire, dont plusieurs signaux nous annoncent qu’elle serait la clé de voute….

Pour lire la suite, allez sur : Défense & Sécurité du Congo – Wondo » Exclusif : Le président Joseph Kabila arrivera-t-il à la fin de son mandat ? – Jérome Ziambi K.

Jean-Jacques Wondo

Malu Malu : plus que clair !


Malu Malu a beaucoup dit.  Pour une fois, il me surprend.

http://www.lavdc.net/portail/abbe-malumalu-en-tant-que-citoyen-je-souhaite-que-la-constitution-de-la-rdc-soit-respectee/

Ne risquent-elles pas de retarder l’organisation de la présidentielle ?

Pour le moment non. En revanche, pour les élections des députés nationaux, le législateur a introduit dans la loi organique une disposition selon laquelle le recensement administratif doit être fait préalablement à la tenue du scrutin. Très tôt, sans ambages et en toute transparence, la Ceni a attiré l’attention des responsables politiques sur ce problème. Ils ne peuvent pas dire qu’ils ne savent pas.

C’est nous qui soulignons !
Qu’aurons-nous en 2016, chers naïfs ou malicieux concitoyens qui courrez après des élections que vous ne savez pas organisez ?

Que pensez-vous du débat sur une éventuelle révision de la Constitution ?

Concernant les articles verrouillés de la Constitution, personne n’a pris l’initiative de leur révision. Tout le reste n’est que spéculation.

C’est un débat légitime, mais il ne doit pas se transformer en procès d’intention. Il faut arrêter d’agiter la population, d’écrire des livres sur le sujet… En tant que citoyen, je souhaite que la Constitution soit respectée et je note que pour l’instant, concernant les articles verrouillés [portant notamment sur la limitation du nombre de mandats présidentiels], personne n’a pris l’initiative de leur révision. Tout le reste n’est que spéculation.

C’est encore nous qui soulignons !
Malu Malu nous dis son voeu en tant que citoyen.  Il ne nous garatit rien quant à son rôle de président de la CENI.  Qu’aurons-nous  donc d’ici 2016 ?  Où est l’opposition capable de nous offrir la victoire sur l’imposture dans ces conditions ?  A deux ans des élections, les tenors de l’opposition démontrent par leurs prestations et attitudes qu’ils ne seront pas en mesure de faire mieux que Mbemba ni Tshisekedi…  Nous, dans le cadre du Projet 2014, prédisons, de ce fait, un échec cuisant…  A moins qu’un miracle n’ait lieu !

Jeune Afrique : La Conférence épiscopale nationale du Congo s’était prononcée contre la désignation d’un membre du clergé catholique à la tête de la Ceni. N’avez-vous pas violé sa « consigne » ?

Apollinaire Malumalu : Je n’ai jamais été candidat à ce poste. Je suis revenu à la Ceni parce que j’ai été choisi par les confessions religieuses, l’une des composantes de la société civile chargées de désigner l’un de ses membres. Les huit confessions devaient élire la personnalité la plus compétente pour les représenter, sur des critères bien définis. J’ai obtenu 7 voix sur 8, le suffrage de l’Église catholique étant le seul à ne pas se porter sur moi. Cela dit, je reste prêtre diocésain. Il appartenait à l’évêque [du Nord-Kivu] de décider si je pouvais être membre de la Ceni ou pas. Après s’être concerté avec ses pairs, il a accepté.

Quant à sa responsabilité, c’est encore nous qui le soulignons !
Malu Malu n’est pas capable de dire non à Joseph Hypolithe Kanambe qu’il s’empresse de venir sauver, mais il est naturellement capable de dire non à son chef hiérarchique.  Si du moins nous en tenons aux propos de cet entretien.

Conclusion

Pour une troisième fois, nous pouvons le dire, aujourd’hui, deux ans plutôt, que la RDC soit encore une fois mal partie, est, pour nous, plus qu’une conviction…  Le salut du congolais ne se trouve plus que dans une seule chose : arrêter nos traîtées.

Nous ne comprenons pas…


Oui, j’ai toujours reçu les copies de tous les messages que tu m’envoie, merci bien. Ce qui se passe à Beni ville et territoire, nous ne comprenons absolument rien : les carneurs tuent à masse le jour et la nuit, des fois près de camps militaires et de la monusco, sans être appréhendés.

Qu’est-ce que nous ne comprenons pas ?

En mai 2011, ne nous ai-je pas écrit que le pire était à venir ?

Pourquoi nous refusons-nous de réfléchir sérieusement à les problèmes pour en avoir une pleine compréhension afin de mieux entrevoir leurs solutions définitives ?

Vous êtes administrateur de la chose publique. Avez-vous une base de connaissances sur votre juridiction et des projets sur papier pour juguler les maux ?

Qui attendons-nous venir résoudre pour nous les problèmes ?

LTM, ma compréhension est que nous sommes-nous mêmes les auteurs de nos malheurs. Notre paresse est ce qui nous enferme dans l’abîme !

M23 : congolais ?


KANAMBE PREPARE DE METTRE LA RDC A FEUX EST A SANG  Ouganda: un millier d’ex-rebelles congolais s’échappent de leur camp

[Source : http://www.rtl.be/info/monde/international/ouganda-un-millier-d-ex-rebelles-congolais-du-m23-s-echappent-de-leur-camp-684949.aspx]

Kampala – Un millier d’ex-rebelles congolais du M23 se sont échappés mardi de leur camp en Ouganda lors d’une opération de rapatriement en République démocratique du Congo (RDC), a annoncé l’armée ougandaise, tandis que 120 ont bien été transférés vers leur pays.

Un millier de rebelles du M23 se sont échappés du camp de Bihanga, à quelque 300 km au sud-ouest de Kampala, expliquant craindre pour leur sécurité s’ils étaient rapatriés en RDC, a déclaré le porte-parole de l’armée ougandaise, le lieutenant-colonel Paddy Ankunda, sur le compte Twitter de l’armée.

Le gouvernement recherche désormais les rebelles du M23 qui ont échappé au rapatriement, a-t-il ajouté.

L’opération, qui avait démarré tôt mardi matin, s’est heurtée à l’opposition de nombreux ex-combattants, le président du M23 affirmant que certains d’entre eux avaient été blessés par balles par les soldats ougandais.

En revanche, 120 ex-miliciens ont embarqué dans un avion à l’aéroport international d’Entebbe, à une trentaine de km de la capitale ougandaise, a constaté un journaliste de l’AFP. L’avion a ensuite décollé à destination de la RDC voisine.

Il y en a 120 qui sont en route pour Kinshasa, a confirmé à l’AFP François Muamba, coordonnateur du Mécanisme national de suivi (MNS), un organisme congolais chargé du dossier.

Quelque 1.300 ex-combattants du M23 étaient cantonnés dans le camp de Bihanga depuis la défaite de cette rébellion congolaise fin 2013.

(©AFP / 16 décembre 2014 21h48)

Le secret…


AVEC DE TELLES PRISE DE POSITION, LES MASQUES SONT EN TRAIN DE TOMBER, LES KABILISTES DE LA DIASPORA COMMENCENT A SE DEVOILER D’EUX-MEME


Si c’est un secret, pourquoi une telle publication alors ? D’autre part Jean Claude Muyambo, ayant déclaré depuis belle lurette son désaccord et publiquement, je ne vois pas pourquoi il aurait été admis à participer à une réunion secrete. A partir du moment où une réunion regroupe 5 personnes, elle n’est plus secrete. Louis Michel, il ne s’occupe plus des problemes de RDC.

Le 16 décembre 2014 09:45, Arthur Kalombo via Congokin-tribune <congokin-tribune@congokingroupes.com> a écrit :

LA VERITE DERRIERE LE GOUVERNEMENT ET LE DISCOURS DE KABILA

Chers Congolais de part en part,

Reveillez-vous, la maison est en feu!

De source sure du pouvoir americain, un complot contre la Republique Democratique du Congo ourdi de la Belgique par Louis Michel et qui a abouti a la configuration du gouvernement appele Matata II, vient d’etre devoile par les informateurs americains au courant de tout ce qui se trame au Congo par le pouvoir d’occupation.

Dernierement, une reunion, dirigee par Jeanette Kabila et le General Olenga avait convie le Tout Katanga politique proche du pouvoir a une rencontre secrete a laquelle Jean Claude Muyambo avait egalement participe. Les seules absences, l’ancien Ministre de l’Interieur Muyej empeche et Katumbi Moise en convalescence en Europe.

Deux points a l’ordre du jour:

1. Comment forcer le passage de la revision constitutionnelle?

2. Que faire en cas d’echec pour se cramponner au pouoir?

Apres avoir ecoute l’introduction par les maitres de seans, a la surprise totale de Jeanette Kabila et le General de pacotille Olenga, l’assistance va opposer un non categorique non sans faire remarquer que cette histoire de la revision constitutionnelle etait dangereuse dans la mesure que le seul Katanga ne peut pas representer tous les Congolais de differentes provinces. Depuis l’independance, operation dans laquelle les Ne Kongo ont joue une grande part de responsabilites et d’autres provinces egalement, il etait hors question de penser garder le pouvoir avec le concours du seul Katanga.

C’est alors que la carte Louis Michel va etre jetee sur la table. D’apres ce Belge ne a Kisangani et qui se pose comme un ennemi jure des Congolais, il faut jouer la diplomatie. Etant donne que les lobbies sont repertories et leurs avoirs controles, il faut abandonner cette piste pour adopter celle de l’utilisation des diplomates plus discrete.

En effet, un diplomate n’est pas controle financierement par le gouvernement du pays d’accueil et peut disposer d’un budget hors de vue et l’utiliser a sa facon. La trouvaille est que Kabila devra renflouer les caisses de son ambassadeur aux Nations Unies a New York , un certain Ignace Kata pour financer les diplomates des pays membres du Conseil de Securite ayant le droit de veto.

Ce financement sera destine a creer des relations intimes avec le pouvoir au Congo pour enteriner les propositions selon lesquelles la CENI, dans la situation actuelle, serait dans l’incapacite d’organiser les elections et qu’il faudrait laisser Kabila au pouvoir afin de lui permettre de faire le travail. Mais ces propositions viendraient des ambassadeurs des pays les plus opposes a Kabila comme la France, des Etats-Unis, d’Angleterre et bien d’autres. Les milieux diplomatiques contactes a Kinshasa ont confirme l’information en ajoutant que le plan est tres avance. Ils ont donne un example, a titre illustratif, que le Chili qui est membre du Conseil de Securite peut etre convaincu par son ambassadeur a l’ONU de travailler pour Kabila et la transaction passerait inapercue.

Louis Michel a promis de mettre a contribution l’ambassadeur de Belgique a l’ONU pour travailler les ambassadeurs de France et des Etats-Unis particulierement. L’ennui pour Louis Michel en est que l’Amerique n’est pas la Belgique et que tout se sait en Amerique. Il ne s’attendait pas a ce que son plan soit devoile par les services americains.

D’ores et deja, la Maison Blanche a deja pris ses dispositions pour opposer un veto en cas ou une resolution serait sur la table pour laisser Kabila aller au-dela son mandat constitutionnel.

Selon Luis Michel, la mission de certains ministres comme Boshab est de mater toute oppositiondes Congolais en mettant la securite et la police entre ses mains. On peut dire que le formateur de Matata II doit etre ce Belge devenu a pain in the as des Congolais, Louis Michel. On comprend des lors pourquoi dans son discours a la Nation, Kabila parlait de doter la CENI  des lois qui lui permettent de faire le travail comme s’il n’y avait deja pas de loi electorale!

Pendant ce temps que font les opposants congolais? J’avais ecrit un jour que l’Occident avait deja decide de la fin du regime ou des regimes dictatoriaux en Afrique pour adopter une formule, celle de traiter avec le consentement des populations. Autrement dit avoir des regimes acceptes par la volonte populaire. J’avais ajoute qu’il appartenait aux Congolais de prendre le bras pendant qu’on leur presentait le doigt. Nombreux sont ceux qui sont restes ancres a leurs croyances de voir l’Occident rester sur ses positions en oubliant que tout evoluait tout comme la politique internationale.

Les effets de ce changement de politique internationale comme il y a pres d’une vingtaine d’annees, la Perestroika avait bouleverse le monde en emportant beaucoup de regimes qui ne s’etaient pas prepares a l’evolution inexorable du monde politique.

Nous y sommes aujourd’hui. Les sceptiques qui avaient sous estime les declarations des emissaires americains et onusiens, des resolutions du Conseil de Securite etc…les qualifiants des maneuvres dilatoires, les effets sont la et les opposants congolais sont pris au depourvu parce qu’ils se distraient mutuellement pendant que l’occupation etait concentree sur quelque chose de plus cinique comme dirait notre compatriote Kayenga Nsudi.

Les Congolais devraient se convaincre que l’Occident sera toujours la sur leur chemin. L’Occident nous empeche de jouir de nos richesses que Kabila distribue comme St Nicolas pendant que le peuple est miserable. On ne pourra rien faire de consistant si le peuple n’est pas canalise dans une meme direction. Ce peuple dont l’Occident a litteralement peur de voir se soulever et mettre en peril leurs interets au Congo ne fera rien si l’opposition de s’entend pas.

Il est imperatif que la vraie opposistion ne joue pas le jeu de faux opposants qui ont la mission de distraire les vrais en les infiltrants et en jouant aux opposants alors qu’ils font le jeu du pouvoir. Lire les revelations sur Lambert Ngoi, la grosse gueule de l’internet qui vient d’etre deballe par Gbanda Honore.

Les Congolais font du surplace parce que les NDOKI comme avait chante Franco,  » Keba bandoki basili te »  sont dans le noir en train de traiter avec les ennemis du peuple congolais. On les voit meme sur l’internet rejetant toute verite que les autres portent a la connaissance du public.

Nous sommes a la croisee des chemins ou les opposants, les vrais, devront demontrer leur determination et surtout leur capacite professionnelle. La demeure est sinistree et nous avons besoin des hommes et des femmes exceptionnels pour changer la situation. Le plus dur sera la reconversion des collabos congolais, corrompus jusque dans la moelle epiniere.

Lisez et faites lire a grande echelle en y ajoutant vos commentaires. L’information est confidentielle et ne demandez pas de vous citer les sources bien qu’elles soient connues. On ne vous les donnera pas car, nous ne pouvons pas nous permettre de faire taire nos informateurs et manquer d’autres informations sur le developpement des evenements.

C’est a prendre ou a laisser. Vous voulez les considerer comme acceptables, Ok. sinon, vous ne les lisez meme pas et on en parle plus.

Kalombo Kabengu

Mort naturelle ou provoquée ?


Le gouverneur de l’Equateur, Louis Alphonse Koyagialo, est décédé dimanche 14 décembre en Afrique du Sud où il suivait des soins depuis plusieurs mois. Le porte-parole du gouvernement congolais, Lambert Mende, l’a annoncé sur Radio Okapi..

« Malheureusement, je dois confirmer le décès du gouverneur Koyagialo en Afrique du Sud aujourd’hui. Nous sommes ravagés par cette triste nouvelle. Le gouverneur Koyagialo comme homme politique et comme administrateur était l’un des meilleurs d’entre nous. C’est quelqu’un que j’ai fréquenté, que j’ai appris à connaître. C’est une très triste nouvelle pour ce pays », a déclaré Lambert Mende.

Au sujet du programme des funérailles, il a dit attendre que la famille du défunt et le gouvernement le publient.

La maladie l’éloigne de sa province

Élu gouverneur de l’Equateur en juin 2013, Louis Alphonse Koyagialo a souvent été éloigné de sa province à cause des problèmes de santé.

Il quitte l’Equateur pour la première en septembre 2013 pour se faire soigner à Kinshasa et en Afrique du Sud. Il y rentre en mars 2014.

De nombreuses personnes viennent l’accueillir à sa descente d’avion à Mbandaka.

A (re)Lire: Equateur: le gouverneur Koyagialo de retour à Mbandaka

Mais il n’y reste pas longtemps.

Quelques semaines après, il est obligé de quitter l’Equateur pour se faire soigner. Il ne rentrera pas cette fois-ci pour diriger cette province à la tête de laquelle il a été porté en 2013.

Long parcours dans la territoriale

Louis Koyagialo né à Yakoma le 23 mars 1947. Il est licencié en Droit de l’Université de Lovanium [aujourd’hui Université de Kinshasa, Unikin]. En 1972, il travaille comme conseiller juridique à l’Office national de logement (ONL). Il rejoint l’année suivante le ministère des Affaires sociales.

Réputé pour son expertise dans la territoriale, carrière qu’il embrasse en 1979, d’abord comme directeur de région au Katanga (appelé alors Shaba), Louis Alphonse Koyagialo devient ensuite commissaire sous régional de Likasi (1980 – 1982), puis commissaire urbain de Lubumbashi jusqu’en 1985.

Il devient ensuite vice-gouverneur du Kasaï-Oriental et du Kivu. Entre 1986 et 1990, Louis Alphonse Koyagialo occupe le poste de gouverneur du Katanga.

Gouvernement

Cadre de la Majorité présidentielle, Louis Koyagialo est nommé vice-Premier ministre et ministre des Postes et Nouvelles technologies de communication du gouvernement Muzito III en 2011.

En mars 2012, il est nommé Premier ministre intérimaire de la RDC en remplacement d’Adolphe Muzito, élu député.

radiookapi.net

QUI ETAIT KOYAGIALO NGBASE TE GERENGBO ?

QUI EST LOUIS ALPHONSE KOYAGIALO ?
Louis Alphonse Koyagialo Ngbase te Gerengbo est un politicien congolais. Il est Premier ministre par intérim de la République démocratique du Congo du 7 mars 1 au 9 mai 2012. Il était le vice-Premier ministre et ministre des Postes et Nouvelles technologies de communication du gouvernement Muzito III depuis septembre 2011.
Koyagialo provient de la même partie de l’Equateur Province de président Mobutu Sese Seko. [2] Sous Mobutu, Koyagialo a été gouverneur de la province du Shaba (rebaptisé depuis que la province du Katanga) de 1986 à 1990. [3] [4]

En Avril 2006, il a publié un livre décrivant le massacre des étudiants à l’Université de Lubumbashi. Le livre prétend que seul un étudiant est connu pour avoir trouvé la mort. [5] Il s’agit de la position officielle du gouvernement. D’autres sources donnent des estimations divergentes du nombre d’étudiants qui sont morts, avec Amnesty International suggère que le chiffre est entre 50 et 150.
Koyagialo a été nommé Secrétaire général par intérim de cartel politique du président Joseph Kabila. Dans un remaniement mineur a annoncé le 11 Septembre 2011, il a été nommé vice-premier ministre et ministre des PTT. [2] Le 14 Octobre 2011, il a visité le siège de la Commission électorale nationale indépendante, CENI, de signer le Code de conduite pour le haut -élections à venir au nom de Joseph Kabila, qui n’a pas assisté en

wikipedia.org

Lu pour vous par Yves malou Papa2Bebe
[03:12:03] Banduenga Pauline Muabenga – Fixe: https://kinshasamakambo.files.wordpress.com/2014/12/koya-2.jpg?w=849&h=638

Meka kososola !


Uta skypiste moko…

ALERTE****ALERTE****ALERTE***
Moyen naloba na lopoto eza te… Bandeko oyo nyonso bavandaka na Belgique pe baza na mikanda ya mboka oyo te… Kobanda mokolo ya lobi te na mokolo ya tuku mibale ya sanza eza koya, bakoluka bino bisika nyonso po na kokanga bino…bozala ekenge na ba bus, bo keba na ba esika oyo bato basangani ebele… Soki esika ovandaka eyebani na bakolo mboka, meka kokende epayi ya ba ndeko to ba masta…Mbala oyo Mbila akotambola ye moko te, akozala na bato oyo basalaka na esika bayambaka ba paya na ba ngunda mbala ya liboso…. Ezali Liseki te… Bo prévenir balobeli bino na mibeko…..Bozala Ekenge pe Nzambe abatela bino

Formation et qualification du congolais…


Suivez ce dimanche, 14 déc 2014 de 22h30 à 23h30 de Bruxelles, votre émission préférée « Conférence-débat » animée par Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu en direct sur Channel 2 – Softkens Radio. Clickez ici: http://softkens.com/diaspora.htm et pour participer par Skype, appeler uwekomu.

Thème: « formation » ou de la « qualification » de notre population!  La médiocrité de la plupart de nos acteurs du développement est dû, définitivement, à leur sous qualification, dans le sens positif du terme !

Investir dans la ressource humaine


Par GPAU

Projet 2014 – Bruxelles – Belgique

Introduction

La crise frappe partout : dans l’UE tout comme dans tout l’Afrique.  Mais que signifie-t-elle et comment devons-nous la vivre, dans notre vision capitaliste ?  La crise contient-elle le germe de sa solution ?

La crise c’est de l’appauvrissement total, dans tous les aspects de la vie de la collectivité, de la nation, de l’humanité.  Mais, dans le capitalisme, une crise est toujours une opportunité pour ceux qui savent prendre des initiatives.  Une crise profite à ceux qui savent répondre adéquatement aux besoins multiples, mais non satisfaits ; car, définitivement c’est cela la crise : l’incapacité d’une société à satisfaire les besoins de ses membres.

Pratiquement, qu’est-ce que cela donne ?  Nous nous servirons de la conversation suivante qui est plus parlante qu’un exposé académique.  C’est terre-à-terre, mais c’est cela une des solutions : investir dans la ressource humaine, en période de crise.  Tout le monde peut le faire : individus, entreprise et États.

Bonjour mon vieux, quelles sont les conditions pour être éligible a cette formation de gestion des projets que vous organisez à partir de demain ?

Comment ?

[18-02-13 17:36:21] GPAU : Avoir une connexion Internet haut-débit.

Avoir Skype et, idéalement, TeamViewer installés sur sa machine.

Disposer Internet Explorer, du papier, un crayon et une gomme, un système audio avec casque à microphone et écouteurs !

Être disponible le 20, 21, 22, et 23 de 22h à 23 h de Bruxelles.

[18-02-13 17:36:44] GPAU : Avoir une bonne connaissance du français.

[20-02-13 02:53:46] GPAU : Non.

[20-02-13 02:54:19] GPAU : Pas encore.  Cela viendra peut-être dans quelques 6 mois…

[20-02-13 15:32:18] RMB : Je veux attendre les six mois

[20-02-13 23:04:54] GPAU : Très bien…  Mais, il y a des cours gratuits sur le Net !

[06-06-13 09:45:18] RMB : Bonjour mon vieux. Je veux juste savoir sur l’évolution de mon dossier d’octroi d’argent pour les études de mon deuxième cycle. Puis-je espérer ? Merci, bon travail et bonne journée.

[09-08-13 23:21:27] RMB : Bonsoir mon vieux, je commence avec mon deuxième cycle au mois d’octobre, prière m’aider si possible avec une machine laptop qui pourra m’aider à réaliser mes travaux. Merci pour votre réponse svp.

[30-08-13 23:19:15] *** (^)

It’s RMB’s birthday today.

Give the gift of birthday calls to mobiles and landlines with a Skype Gift Card. ***

[05-02-14 12:59:03] RMB : bjr mon vieux, j’avais ému une demande qui n’avait pas trouvé de suite, je ne sais pourquoi, c’est lui d’un laptop

[30-08-14 23:11:00] *** (^)

It’s RMB’s birthday today.

Give the gift of birthday calls to mobiles and landlines with a Skype Gift Card. ***

[12:43:27] RMB : RMB a envoyé une photo.

https://fbcdn-sphotos-h-a.akamaihd.net/hphotos-ak-xpa1/v/t34.0-12/10818943_771319156256036_1717500451_n.jpg?oh=ca3071a719ede9fe40ad348d115ea3ef&oe=548CE8FE&__gda__=1418529502_59e8438db03d11572f185783bb15a85d

[12:43:37] RMB : Bjr et bonne fête de Noel mon vieux

[12:47:39] GPAU : Merci, Rachid !

[12:47:45] GPAU : Quelles sont les nouvelles ?

[12:47:51] RMB : merci mon vieux

[12:48:03] GPAU : C’est rare de t’avoir ici !

[12:48:04] RMB : Moyennement bonne mon vieux

[12:48:23] GPAU : Que fais-tu actuellement ?

[12:49:02] GPAU : N’y aurait-il pas quelque chose à faire ensemble ?

[12:49:18] GPAU : Je t’écris de Skype.

[12:49:23] RMB : Présentement rien, le cours que vous donnez en ligne, je peux vouloir le suivre, mais il n’y a pas moyen, comment faire ?

[12:49:48] GPAU : Il y a toujours une solution !

[12:49:58] GPAU : Es-tu chrétien ?

[12:50:14] GPAU : Si oui, comment peux-tu dire que tu n’aies pas de moyen ?

[12:50:38] RMB : Oui, de la communauté Baptiste au centre de l’Afrique, CBCA en sigle

[12:50:53] GPAU : Le fils du créateur des cieux et de la terre ne peux pas être au dépourvu !

[12:51:01] GPAU : En plus !

[12:51:43] GPAU : Tu as besoin de quoi payer des formations en ligne ou d’une connexion Internet pour cette fin ?

[12:51:53] RMB : et plus quoi ? Mon vieux

[12:51:56] GPAU : Que te manque-t-il exactement ?

[12:52:41] GPAU : À quoi te servirait cette formation en ligne ?

[12:53:16] GPAU : ???

[12:53:41] GPAU : Tu es là ou pas ?

[12:54:12] GPAU : Es-tu là ou pas, Rachid ?

[12:54:28] RMB : Par exemple celle de gestion des projets, elle peut m’aider à trouver un boulot

[12:55:10] RMB : et surtout avoir plus des connaissances sur la conception et gestion d’un projet de développement

[12:55:18] GPAU : Y a-t-il un boulot où l’on te demande des compétences en gestion des projets ?

[12:55:26] GPAU : Où précisément ?

[12:56:02] GPAU : Parce que si c’est le cas, tu me mets en contact avec le futur patron et tu auras la formation immédiatement !

[12:56:29] RMB : Oui, dans une organisation locale financé par Unicef dans la protection des enfants (EAFGA)

[12:56:31] GPAU : Je sais comment je vais faire payer ta formation par le futur patron !

[12:57:48] RMB : Oui merci d’avance, mais notre connexion ne nous arrange pas aussi pour la faire en ligne

[12:57:53] GPAU : Envoie-moi dans palukuatoka@msn.com les coordonnées du patron de l’EAFGA et ton CV, et moi je vais tout faire pour que tu aies la formation.

[12:58:27] GPAU : Connais-tu un endroit où l’on a une bonne connexion dans la ville ?

[12:59:37] GPAU : Une connexion qui permette de télécharger des fichiers rapidement ?

[12:59:55] RMB : Oui, dans un cyber café qu’on appelle TROPICAL

[13:01:42] GPAU : Envoie aussi les coordonnées de tropical (email) et je ferai tout pour que tu es accès à cette connexion, à condition que l’EAFGA se dise prête à te prendre une fois formée !

[13:02:24] GPAU : Tu vois que tu tournes en rond parce que tu pries mal ou peut-être même pas pour tes besoins ?

[13:03:38] GPAU : Fais ce que je viens de te dire et dans quelques mois, je garanti que tu seras chez l’EAFGA en train de gérer des projets, professionnellement !

[13:04:07] GPAU : 1. coordonnées complète du responsable de l’EAFGA

[13:04:27] GPAU : Dès qu’il sera d’accord pour te prendre après formation :

[13:04:46] GPAU : 2. coordonnées complètes de Tropical

[13:06:46] GPAU : Ta formation prendra 50 heures de théorie et 200 heures de travaux personnels à remettre !  En tout 250 heures !  Nous trouverons une solution avec l’EAFGA pour que ta formation soit payée par toi-même en coupant à la source les frais sur tes 24 premiers mois de travail !

[13:06:55] GPAU : Est-ce que cette formule te convient ?

[13:07:59] GPAU : Si le remboursement mensuel sur 24 mois pèse trop, tu rembourseras sur 36 mois ; si cela pèse peut, tu rembourseras sur 12 mois !

[13:08:14] GPAU : Est-ce que cela te convient ou pas ?

[13:11:04] RMB : Merci. Pour l’organisation, elle s’appelle CEEVCO=Centre d’encadrement des enfants vulnérables au Congo et EAFGA=Enfants Associés aux Forces et Groupes Armés. Je veux d’abord le contacter et vous faire la suite dans peu de temps. La formation en soit peut couter combien dans sa globalité.

[13:12:59] GPAU : 250 heures coûteront 750 $ en tout !

[13:13:13] GPAU : Tu auras 50 heures de vidéo.

[13:15:02] RMB : Merci pour les informations, je veux vous faire la suite mon vieux et je vous rassure que suis très ravis de cette précision. Alors après formation, il y aura un brevet de fin de formation ?

[13:17:22] GPAU : Une fois que tu auras remis ET corrigé tous tes devoirs pratiques à moi et à l’institution (CEEVCO+EAFGA), tu recevras un certificat en bonne et due forme de l’EAE ASBL attestant de tes compétences dans les matières étudiées et appliquées chez CEEVCO+EAFGA !

[13:19:18] GPAU : A partir de 5 personnes, le coût de la formation baisse : (3000/nombre)$/apprenant où nombre et le nombre d’apprenants !

[13:20:09] GPAU : Par exemple, si vous êtes un groupe de 5 apprenants, vous payerez chacun 3000/5=600$ au lieu de 750$ !

[13:20:54] GPAU : Si vous êtes 10 à suivre la formation, vous payerez, 3000/10=300$ chacun !

[13:21:03] RMB : Merci pour la précision, je serais en contact avec la personne dès ce lundi.

[13:21:09] GPAU : Comment trouves-tu cela ?

[13:21:26] GPAU : Très bien !

[13:21:35] GPAU : Avons-nous bien travaillé ?

[13:22:05] GPAU : Dieu pourvoie-t-il à nos besoin réellement ?

[13:23:04] RMB : la procédure est bonne, Dieu pourvoit effectivement à nos besoins et j’en suis convaincu.

[13:24:13] GPAU : Bonne journée, Rachid.  Fais-cela et tu verras que ce n’est pas la main de Dieu qui est courte : c’est la foi en lui qui fait cruellement défaut sur terre.

[13:25:04] RMB : Merci, j’ai la foi en lui, je vais le faire, bonne journée aussi mon vieux.

A coeur ouvert !


Entre GPAU et un membre de Kongo ya Sika

contact: BONJOUR

contact: COMMENT VOUS ALLEZ

contact: CA FAIT LONGTEMPS

GPAU: En effet !

GPAU: Cela ne nous aide pas à faire utile pour notre nation.

GPAU: J’espère que tu en prends conscience, Contact !

GPAU: Comment vas-tu ? Que fais-tu en ce moment pour le meilleur de la RDC ? Nous cherchons des mains secourantes pour sauver le Congo qui sombre dans le désordre de plus bel !

contact: VRAIMENT NOUS SOMMES DEBORDER PAR LA SITUATION MON CHEF NOUS SOMMES VRAIMENT TRISTE JE PERDUS AUSSI DEUX MEMBRES DE MA FAMILLES LE SAMEDI

GPAU: As-tu la liste des ministres : c’est le même plat que l’on sert aux congolais : assassinats, rebellions, paupérisation du plus grand nombre, décimation de la population.

GPAU: Mes condoléances.

contact: oui je l’ai c’est une mascarade qu’ils ont faite c’est un non évènement pour moi

contact: merci mon vieux

GPAU: Puis-je poster le contenu de la conversation ? Ton nom sera omis, pour la confidentialité du post.

contact: oui

contact: pas de problème

GPAU: Tu t’arrêtes au constat : que proposes-tu pour aller de l’avant ?

contact: nous sommes vraiment nerveux

contact: je suis prêt à tout ce qui peux arriver aujourd’hui

contact: trop c’est trop nous en sommes fatigués vraiment ils doivent quitter le pouvoir

GPAU: Il ne faut pas être prêt à tout : le bonheur comme le malheur ? C’est ce qui fait que l’imposture perdure. Il faut plutôt t’engager dans un projet comme le nôtre pour qu’ensemble nous trouvions comment démonter proprement la machine kanambienne que nous avons mise en place nous-mêmes !

GPAU: Pour être démocratique, convainquons toutes nos populations à rappeler leurs députés pour les sommer de voter une motion de défiance contre Kanambe. Il ne saura alors rien faire contre le peuple ; à moins qu’il ne signe lui-même son transfert à la CPI !

contact: je suis l’un de vos partisan au nord kivu je soutien votre vision de kongo ya sika

contact: et je continue à sensibiliser mes proche pour y adhérer comme moi

GPAU: Si les députés rechigne, nous avons toujours en réserve un canon contre lequel ils ne pourront rien : la désobéissance civile et le boycott total de toute action du régime, dans tout le pays.

contact: alors il faut une mobilisation énorme de la population congolaise parc que actuellement c’est une politique de bouc émissaire qui règne vous parlez on coupe la tête

GPAU: Les kasaïens l’ont fait à l’époque de Mobutu avec les billets du Nouveau Zaïre. Cela ne demande aucune marche, aucune sortie dans la rue, juste vaquer à ses occupations et organiser dans tous les quartiers l’autodéfense contre tout intrus !

GPAU: Il faut organiser des grèves contre tout salaire de misère (<1250 €/mois) ou impayé à temps !

GPAU: Tes deux parents tués l’ont été parce qu’ils parlaient, Contact ?

GPAU: Oui.

GPAU: Il faut une mobilisation énorme : par le bouche à l’oreille, cela peut aller très vite !

contact: ils sont innocents mon cher cultivateurs de naissances

GPAU: Encore une fois, il ne s’agit pas d’inciter à la rébellion ; mais bien de sommer les députés à faire leur travail : démettre Kanambe et tout son pouvoir.

contact: vraiment c’est ce que nous essayons de faire avec nos groupes de pressions

GPAU: S’ils ne peuvent le faire, ce sont eux qu’il faut répudier. Comment ? Par la désobéissance civile, qui est parfaitement légale !!!!

GPAU: Les petits groupes seront vite mater par le régime et nous perdrons des âmes !

contact: oui c’est prévu par la constitution

GPAU: Il faut d’abord, par effet multiplicateur, convaincre, persuader vos relations, de l’ignominie du kanambisme.

GPAU: Au jour convenu, avant 2016, le fruit sera déjà à terre !

contact: nous ne pouvons pas accepter cela des morts chaque jours les militaires faibles qu’ils sont s’en donnent à l’enterrement de mort comme s’ils étaient la croix rouge

GPAU: N’agissez pas en petit groupe, isolé ! Vous serrez, officiellement, selon la république, des fauteurs de troubles, des bandits, de délinquants.

contact: ça sera en groupe et publique

GPAU: J’espère que tu comprends qu’une localité ne suffit pas… Il faut que tout le pays se lève, comme un seul homme. Cela se prépare…

GPAU: Nous devons faire les choses professionnellement.

GPAU: Lumumba, Mobutu et Kabila ne nous a pas appris l’excellence dans la gestion de la chose publique.

contact: oui tout le monde est prêt je vous assure mais aussi cela doit s’observer même à la diaspora congolaise

GPAU: Nous devons nous y attacher, si nous recherchons une paix durable. Autrement, ce sera le bricolage habituel. 2011 est derrière nous. Où sont les ténors de la propagande de l’opposition ? Nous les avions pourtant prévenus de l’échec, en 2006 comme en 2011 ! Et là maintenant, ceux qui veulent aller aux élections en 206, je t’assure qu’ils échoueront encore plus glorieusement qu’en 2006 et 2011 !

GPAU: Tu me dis que tout le monde est prêt. Dis-moi, combien sont-ils et à qu’attendent-ils faire ? Moi, j’affirme que nous sommes TRES LOIN d’être prêts pour une démarche réellement libératrice !

GPAU: Pourquoi ?

GPAU: 1. pas de plan nation de libération qui ait l’adhésion de plus de 50% de notre population

GPAU: 2. pas de leader qui ait un plan – non encore divulgué.

contact: souvenez-vous de la Burkina Faso

GPAU: 3. la pauvreté du plus grand nombre : plus de 98% de la population, selon ce que les ONG, ASBL et coopératives avec lesquelles je suis en contact direct.

contact: on entendra jusqu’à quand le leader nous serons nous même le leader c’est ne pas un leader qui libéré mais la population qui se libère et c’est elle même qui se choix sont leader

GPAU: C’est justement au Burkina Faso que je pense aussi !

GPAU: Où en sont-ils ?

GPAU: Dans quel état était-il au moment du soulèvement ?

GPAU: As-tu bien lu ce qu’ils ont observés et fait observer au sujet de la RDC ?

GPAU: Parlons bien du Burkina Faso, avec intelligence !

GPAU: Ils ont dit, avec raison : c’est en RDC qu’on trouve les moutons !

GPAU: Nous devons nous rendre compte que nous nous laissons avoir nous-mêmes.

GPAU: Moi à Kinshasa, Kanambe ne fera pas 2 semaines au pouvoir !

contact: c’est le même problème qui a poussé le burkinabais à faire fuir leur président la révision constitutionnelle mais ici chez nous il y a beaucoup des choses sur leur quelles nous fondons nous revendications

contact: plusieurs problèmes socioéconomiques

GPAU: Mais pour que je sois là, physiquement ou spirituellement, il faut que j’aie des personnes qui adhère à mes propositions qui sont sur le Net depuis décembre 1999 !

contact: trop c’est trop

GPAU: En effet !

GPAU: Il en sera ainsi tant que nous ne nous résoudrons pas à quitter la REPUBLIQUE ! Cette peste !

GPAU: Dans une union, libre, d’états indépendants du Congo ou de l’Afrique Centrale, tout ce qui se passe là maintenant ne serait pas possible !

GPAU: Chaque peuple du Congo doit s’organiser, comme certains d’entre eux – très peu encore – le font !

GPAU: Nous devons par ailleurs accepter que chaque peuple ait son droit inaliénable à la détermination de son destin.

GPAU: Dire ceci n’est pas dire qu’on se sépare : mais plutôt que nous unissions réellement ; parce que jusqu’ici, ce sont les autres qui nous maintiennent dans une unité fictive ! Les colonisateurs d’abord, les dictateurs ensuite, les imposteurs aujourd’hui.

GPAU: Kamerhe l’a dit à plusieurs reprise : essayer de résoudre les problèmes congolais sans tenir compte des peuples du Congo et vous serez toujours à côté de la plaque !

GPAU: Ce sont les dictateurs qui ont peur des autres et qui cherchent secrètement à dominer les autres.

contact: réveillions nous et sur tout le plan et au niveau international que national nous devons aussi sentir votre mobilisation là ou vous êtes il ne faut pas nous laisser comme ça il faut nous aider vous savez vous même que la diaspora burkinabais a aussi jouer un grand rôle dans la crise burkinabaise il ne suffit pas de nous sensibiliser nous qui sommes ici au pays alors que ceux qui sont à l’étranger ne font absolument rien

GPAU: Les vrais démocrates n’ont pas peur de s’asseoir autour d’une table avec les autres pour décider, par consensus et pas par humiliation, de ce que nous voulons faire du Congo que Lumumba nous a légué !

GPAU: Je viens de te faire des propositions précises que tu ELUDES, EVITES de traiter. Pourquoi ?

GPAU: Que dis-tu d’une préparation de nos peuples, avant d’enclencher l’assaut contre les imposteurs ?

GPAU: Es-tu prêt à participer à un tel projet en préparant un discours à tenir aux amis et un plan de mise en route d’une propagande multi-niveau ?

GPAU: Moi, je ne vois pas comment nous bâtirons du solide sans passer par là !

GPAU: Voilà pourquoi tu m’attends dire qu’avec nos tergiversations, nous en avons pour minimum 20 ans ; mais très probablement 30 ans encore de misère. Cette misère ira croissante. Ce que nous vivons maintenant n’est en réalité que le commencement de la douleur !

contact: c’est cela qui nous manque nous devons faire tout pour que tout sois prêt pour faire un assaut très dur contre ce pouvoir de macchabé de sanguinaires sans éclat

GPAU: Il y aura sous peu une douleur telle que personne ne s’y retrouvera. C’est elle qui provoquera la révolte populaire contre laquelle aucune arme au monde ne pourra résister. Dans 30 ans ! Le temps que la majorité se décide à régler les comptes avec les bandits politiques que nous avons commis nous-mêmes à la gestion de l’État, par paresse, par népotisme…

GPAU: Ce travail demande d’abord, SOUS LA MAIN, une PROPOSITION CLAIRE, à adresser à tous ceux qui se disent aujourd’hui congolais.

contact: nous allons bientôt y parvenir mon vieux ne vous en faites pas il y a une chose qui se prépare ici

GPAU: Nous en avons une qui se résume en : arrêtons avec la république, allons, à pas mesurer, c’est-à-dire, en 5 phases de 10 ans chacune, vers une union d’États indépendants du Congo, ou de l’Afrique Centrale, États à construire sur base de nos affinités culturelles !

GPAU: Cette chose-là, je la connais, les acteurs m’en parle : elle n’est pas la solution à notre problème véritable !

GPAU: Pourquoi ?

GPAU: Parce que :

GPAU: 1. ce qui la prépare ne sont pas transparents et cache donc un projet dont ils ont déjà eux-mêmes honte, dès le départ. Ce projet ne peut être qu’un mauvais. Et en effet, il s’agit d’une autre dictature ! Ne te laisse pas prendre ! Un démocrate ne se cache pas sous la forêt. Il harangue sont peuple pour le convaincre de la valeur et de la force de ses idées. Nos propositions sont mises au grand jour ; parce que nous en connaissons la valeur, de sorte que nous l’opposons à tout celui qui nous demande raison de notre foi ! Les maquisards ne peuvent jamais être des sauveurs, Contact. C’est un principe élémentaire. Réfléchis bien : pourquoi un démocrate se cacherait-il ? Pourquoi aurait-il peur du fusil de l’imposture ?

contact: nous croyons que ça va marcher nous tentons ça s’il n ya de résultats favorable alors nous passerons à une vitesse de croisière

GPAU: 2. ces gens n’ont pas de plan visionnaire pour la RDC ! S’ils en ont un que tu connais, que tu as vu : suis-les. Sinon, arrête aujourd’hui et vient au Projet 2014. Notre plan est là : http://projet2014.com !

GPAU: Depuis combien de temps n’entendons-nous pas ce discours ?

GPAU: Quelles sont les raisons sérieuses qui te font croire que votre plan soit le bon alors qu’un autre congolais – moi en l’occurrence – je ne peux pas le connaître, sauf quand vous serez au pouvoir, en train de couper, illégalement, les têtes au kanambisme et assimilés !

GPAU: Soit raisonnable !

GPAU: Un plan démocrate est nécessairement public et pas caché !

GPAU: Tout ce qui est caché ne nous aidera JAMAIS à faire avancer la RDC vers l’unité, vers la victoire sur la colonisation, la dictature, l’imposture !

contact: nous c’est un projet populaire pour faire échec direct à toute personne de mauvaise intentions pour le peuples congolais

GPAU: Sinon, explique-moi comment cela se passerait.

contact: c’est ne pas un plan machiavélique pour le peuples congolais

GPAU: Vous avez quel pourcentage de congolais derrière vous ?

GPAU: Moi, je sais que l’UDPS peut mobiliser entre 40 et 50% de congolais, si elle veut !

GPAU: Tous les autres ne peuvent pas atteindre 10% !

contact: nous ne sommes contre de ce que vous faites le projet 2014 je l’ai déjà il y a longtemps

GPAU: Même Kamerhe est modeste pour savoir qu’il n’y est pas encore… Lui qui a pourtant, après le PALU, un certain monde derrière lui !

GPAU: Mbusa a du monde aussi ! Mais il sait qu’il n’ait pas encore les 10% des congolais. Que fait-il ? Dit-il le contraire aux gens ?

contact: kamerhe ne peut pas nous envouter dans son plan ; nous savons c’est qu’il est pour ce pays nous ne pouvons pas le suivre

GPAU: Vous avez combien de congolais derrière votre projet (s’il en existe un de précis, de valable) ? Donne-nous le chiffre approximatif ?

GPAU: Je te l’ai dit que je suis au courant !

contact: nous sommes nombreux vieux inutile de vous citer le nom

contact: ou le nombre de personne mais nous sommes vraiment mobilisé

GPAU: Te poses-tu vraiment la question de savoir pourquoi, moi, qui suis au courant, suis formel pour dire que votre démarche ne soit pas la bonne ?

GPAU: Je ne te demande pas de noms et ne t’en demanderai pas. Pourquoi faire ?

contact: comment cela

GPAU: Ce sont les espions et les traitres qui font cela.

GPAU: Pour que tu me comprennes bien, regarde à ceci :

GPAU: Le projet 2014 à moins de 20 participants…

contact : ha bon nous ne sommes pas de traitre à quel mouvement pensez-vous ?

GPAU: 20/73000000, cela fait 0% d’adeptes !

GPAU: Vous, combien de pourcent avez-vous ?

contact: je ne suis pas de ceux-là que vous parlez je suis un membre sympathisant de kongo ya sika

GPAU: Vous avez choisi la bonne direction !

GPAU: Mais, pourquoi est-ce que j’ignore vos filleuls ?

GPAU: Se sont-ils enregistrés ?

GPAU: Je ne vois nulle part leurs dossiers !

contact: JE SUIS LA IL Y A LONGTEMPS JE SUIS VRAIMENT UN DE VOUS TOUS LE DOCUMENTS SONT DANS MES MAINS

GPAU: Pourquoi les thésaurises-tu ?

GPAU: Tu freines le départ de l’imposture…

GPAU: Dans Kongo ya Sika ?

GPAU: Là, tu auras des blâmes, Contact !

GPAU: C’est de la vie de millions de congolais qu’il s’agit, dans Kongo ya Sika. Nous ne pouvons pas traîner pas avec les dossiers des candidats membres…

contact: NON je ne jamais fais cela est d’ailleurs je compte créer une page Facebook sur lequel je vais chaque fois publier mes idées pour faire connaitre à mes amis mes idées

GPAU: Ils ne sont pas membres tant qu’ils ne sont pas inscrits sur notre liste !

GPAU: Et pour être inscrit, il faut un dossier complet !

GPAU: Tu le sais !

contact: je suis inscrit kambale masua contact

GPAU: Tes idées ne sont pas celles de Kongo ya Sika.

contact: comment cela

GPAU: De quoi veux-tu que nous parlions finalement ?

GPAU: Les idées de Kongo ya Sika sont publiées, en temps réel, ici : https://projet2014.com/parti-politique/

contact: je crois que je le possède

GPAU: Tu possèdes quoi ?

L’URL ?

Tu es sensé le connaître avant que tu ne fusses membre !

Tu n’es pas clair. Que veux-tu dire ?

Connais-tu notre devise ? Si oui, écris-la-moi une fois ici ? Je commence à me poser des questions sérieuses sur ton implication dans Kongo ya Sika…

Pour notre cellule de travail, les choses se poste ici http://kongoyamupia.wordpress.com/ et ta production est à zéro, jusque-là !

GPAU: Tu n’es même pas sûr…

GPAU: Voilà pourquoi, je dis que le kanambisme risque de continuer après 2016…

Conclusion

Force est de nous rendre compte que le besoin en formation de nos membres soit urgent. Tant l’ignorance de nos vrais problèmes ; et en conséquence de vraies solutions à ces problèmes, est grande.

Pour que cette formation politique de notre peuple se fasse rapidement, il faut nécessairement recourir à un effet multiplicateur. La formation ne doit pas viser la transmission de la connaissance, de la compétence et du comportement seulement. Elle doit, outre, viser, outre la maîtrise par l’apprenant de nos vrais problèmes et de leurs solutions, la transmission des compétences pédagogiques à l’apprenant. C’est une formation multicouche qui nous sauvera.

Dans le cadre du Projet 2014, comme dans le cadre de notre cellule de travail dans Kongo ya Sika, nous nous mettons tout en œuvre pour aller dans cette direction. Les membres de notre cellule sont invités à se former ou à se faire former de manière à former d’autre.

Imaginons que chacun d’entre nous s’engage à former Q congolais après un temps T. On démontre que la durée de la formation, pour en embrasser tous les N congolais que nous sommes serait :

T.ln(N)/ln(1+Q). Au plus Q est grand et au plus T est court, au plus ce délai sera court. L’analyse mathématique montre qu’il faut surtout agir surtout diminuer T, quitte à augmenter Q au mieux de ses capacités. Ainsi, si chacun forme politiquement 5 filleuls (Q) tous les mois (T), la RDC (N=73.000.000) serait théoriquement complètement conquise en 11 mois, si tous les filleuls formés se mettent à faire de même dès la fin de leur formation ! L’imposture peut donc partir avant fin 2015, puisque la formation politique ne s’adresse qu’au tiers des congolais ! Cela diminue la durée de formation d’une vingtaine de jours.

Cette théorie a des limites évidentes

1. Sur les 5 formés, quelques-uns trahiront : ils ne respecteront pas le contrat ou bien ils ne seront pas convaincu par notre discours, du fait de notre incapacité de persuasion ou du fait de la concurrence qui prêche l’évangile opposé à celui du changement ou encore du fait des options de vie de l’apprenant ;

2. Beaucoup de congolais ne sont pas atteignables, n’ont pas le temps de suivre une formation politique ou ne sont pas en mesure d’assimiler le discours politique à cause de leur âge, de leurs limites intellectuelles, spirituelles, etc.

3. Diminuer T drastiquement, c’est baisser la qualité de la formation et de ce fait compromettre l’engagement des congolais ou diminuer l’efficacité de l’effet multiplicateur et des baisser les capacités des congolais à faire mieux que l’imposture.

Les solutions aux problèmes sont aussi claires

1. S’examiner soi-même, avant de se lancer dans ce projet. Sommes-nous convaincus et convaincants ? Si ce n’est pas le cas : commençons par nous faire réexpliquer le projet, jusqu’à ce que nous soyons nous-même convaincus de sa valeur, de capacité à permettre à la RDC d’aller vers la paix et la prospérité. Avons-nous les capacités pédagogiques requises ? Si ce n’est pas le cas : commençons d’abord par bien nous former ou nous faire former nous-mêmes. En plus, examiner nos prospects à la formation. Il ne faut pas confier des perles aux pourceaux de présentation, à des incirconcis d’esprit, à des barbares de culture personnelle !

2. Vouloir former politiquement une personne mal préparée, c’est gaspiller de l’énergie politique qui pourrait utilement servir à autre chose : diplomatie, projets de proximité, etc. Nous devons apprendre à lire et à écrire, à calculer, à planifier un développement, à tenir un discours politique clair, percutant, à reconnaître ses limites et la valeur des autres, y compris de l’adversaire politique !

3. Notre formation doit se donner du temps. Le temps que l’idéologie et la philosophie politique s’imprègnent bien. Qu’au changement perceptible chez l’apprenant, l’assurance soit totale qu’il transmettra le bon savoir, le bon savoir-faire et le bon savoir-être à ses filleuls. Un suivi est donc nécessaire. Le temps consacré au management de sa structure (l’ensemble de ses filleuls) rajoute au délai de la formation T. C’est la raison pour laquelle, l’imposture, en tout état de cause, ne peut pas partir, définitivement, démocratiquement, en une seconde. Il y a un minimum au délai, qui dépend de notre culture, nous, congolais.