Entre GPAU et un membre de Kongo ya Sika
contact: BONJOUR
contact: COMMENT VOUS ALLEZ
contact: CA FAIT LONGTEMPS
GPAU: En effet !
GPAU: Cela ne nous aide pas à faire utile pour notre nation.
GPAU: J’espère que tu en prends conscience, Contact !
GPAU: Comment vas-tu ? Que fais-tu en ce moment pour le meilleur de la RDC ? Nous cherchons des mains secourantes pour sauver le Congo qui sombre dans le désordre de plus bel !
contact: VRAIMENT NOUS SOMMES DEBORDER PAR LA SITUATION MON CHEF NOUS SOMMES VRAIMENT TRISTE JE PERDUS AUSSI DEUX MEMBRES DE MA FAMILLES LE SAMEDI
GPAU: As-tu la liste des ministres : c’est le même plat que l’on sert aux congolais : assassinats, rebellions, paupérisation du plus grand nombre, décimation de la population.
GPAU: Mes condoléances.
contact: oui je l’ai c’est une mascarade qu’ils ont faite c’est un non évènement pour moi
contact: merci mon vieux
GPAU: Puis-je poster le contenu de la conversation ? Ton nom sera omis, pour la confidentialité du post.
contact: oui
contact: pas de problème
GPAU: Tu t’arrêtes au constat : que proposes-tu pour aller de l’avant ?
contact: nous sommes vraiment nerveux
contact: je suis prêt à tout ce qui peux arriver aujourd’hui
contact: trop c’est trop nous en sommes fatigués vraiment ils doivent quitter le pouvoir
GPAU: Il ne faut pas être prêt à tout : le bonheur comme le malheur ? C’est ce qui fait que l’imposture perdure. Il faut plutôt t’engager dans un projet comme le nôtre pour qu’ensemble nous trouvions comment démonter proprement la machine kanambienne que nous avons mise en place nous-mêmes !
GPAU: Pour être démocratique, convainquons toutes nos populations à rappeler leurs députés pour les sommer de voter une motion de défiance contre Kanambe. Il ne saura alors rien faire contre le peuple ; à moins qu’il ne signe lui-même son transfert à la CPI !
contact: je suis l’un de vos partisan au nord kivu je soutien votre vision de kongo ya sika
contact: et je continue à sensibiliser mes proche pour y adhérer comme moi
GPAU: Si les députés rechigne, nous avons toujours en réserve un canon contre lequel ils ne pourront rien : la désobéissance civile et le boycott total de toute action du régime, dans tout le pays.
contact: alors il faut une mobilisation énorme de la population congolaise parc que actuellement c’est une politique de bouc émissaire qui règne vous parlez on coupe la tête
GPAU: Les kasaïens l’ont fait à l’époque de Mobutu avec les billets du Nouveau Zaïre. Cela ne demande aucune marche, aucune sortie dans la rue, juste vaquer à ses occupations et organiser dans tous les quartiers l’autodéfense contre tout intrus !
GPAU: Il faut organiser des grèves contre tout salaire de misère (<1250 €/mois) ou impayé à temps !
GPAU: Tes deux parents tués l’ont été parce qu’ils parlaient, Contact ?
GPAU: Oui.
GPAU: Il faut une mobilisation énorme : par le bouche à l’oreille, cela peut aller très vite !
contact: ils sont innocents mon cher cultivateurs de naissances
GPAU: Encore une fois, il ne s’agit pas d’inciter à la rébellion ; mais bien de sommer les députés à faire leur travail : démettre Kanambe et tout son pouvoir.
contact: vraiment c’est ce que nous essayons de faire avec nos groupes de pressions
GPAU: S’ils ne peuvent le faire, ce sont eux qu’il faut répudier. Comment ? Par la désobéissance civile, qui est parfaitement légale !!!!
GPAU: Les petits groupes seront vite mater par le régime et nous perdrons des âmes !
contact: oui c’est prévu par la constitution
GPAU: Il faut d’abord, par effet multiplicateur, convaincre, persuader vos relations, de l’ignominie du kanambisme.
GPAU: Au jour convenu, avant 2016, le fruit sera déjà à terre !
contact: nous ne pouvons pas accepter cela des morts chaque jours les militaires faibles qu’ils sont s’en donnent à l’enterrement de mort comme s’ils étaient la croix rouge
GPAU: N’agissez pas en petit groupe, isolé ! Vous serrez, officiellement, selon la république, des fauteurs de troubles, des bandits, de délinquants.
contact: ça sera en groupe et publique
GPAU: J’espère que tu comprends qu’une localité ne suffit pas… Il faut que tout le pays se lève, comme un seul homme. Cela se prépare…
GPAU: Nous devons faire les choses professionnellement.
GPAU: Lumumba, Mobutu et Kabila ne nous a pas appris l’excellence dans la gestion de la chose publique.
contact: oui tout le monde est prêt je vous assure mais aussi cela doit s’observer même à la diaspora congolaise
GPAU: Nous devons nous y attacher, si nous recherchons une paix durable. Autrement, ce sera le bricolage habituel. 2011 est derrière nous. Où sont les ténors de la propagande de l’opposition ? Nous les avions pourtant prévenus de l’échec, en 2006 comme en 2011 ! Et là maintenant, ceux qui veulent aller aux élections en 206, je t’assure qu’ils échoueront encore plus glorieusement qu’en 2006 et 2011 !
GPAU: Tu me dis que tout le monde est prêt. Dis-moi, combien sont-ils et à qu’attendent-ils faire ? Moi, j’affirme que nous sommes TRES LOIN d’être prêts pour une démarche réellement libératrice !
GPAU: Pourquoi ?
GPAU: 1. pas de plan nation de libération qui ait l’adhésion de plus de 50% de notre population
GPAU: 2. pas de leader qui ait un plan – non encore divulgué.
contact: souvenez-vous de la Burkina Faso
GPAU: 3. la pauvreté du plus grand nombre : plus de 98% de la population, selon ce que les ONG, ASBL et coopératives avec lesquelles je suis en contact direct.
contact: on entendra jusqu’à quand le leader nous serons nous même le leader c’est ne pas un leader qui libéré mais la population qui se libère et c’est elle même qui se choix sont leader
GPAU: C’est justement au Burkina Faso que je pense aussi !
GPAU: Où en sont-ils ?
GPAU: Dans quel état était-il au moment du soulèvement ?
GPAU: As-tu bien lu ce qu’ils ont observés et fait observer au sujet de la RDC ?
GPAU: Parlons bien du Burkina Faso, avec intelligence !
GPAU: Ils ont dit, avec raison : c’est en RDC qu’on trouve les moutons !
GPAU: Nous devons nous rendre compte que nous nous laissons avoir nous-mêmes.
GPAU: Moi à Kinshasa, Kanambe ne fera pas 2 semaines au pouvoir !
contact: c’est le même problème qui a poussé le burkinabais à faire fuir leur président la révision constitutionnelle mais ici chez nous il y a beaucoup des choses sur leur quelles nous fondons nous revendications
contact: plusieurs problèmes socioéconomiques
GPAU: Mais pour que je sois là, physiquement ou spirituellement, il faut que j’aie des personnes qui adhère à mes propositions qui sont sur le Net depuis décembre 1999 !
contact: trop c’est trop
GPAU: En effet !
GPAU: Il en sera ainsi tant que nous ne nous résoudrons pas à quitter la REPUBLIQUE ! Cette peste !
GPAU: Dans une union, libre, d’états indépendants du Congo ou de l’Afrique Centrale, tout ce qui se passe là maintenant ne serait pas possible !
GPAU: Chaque peuple du Congo doit s’organiser, comme certains d’entre eux – très peu encore – le font !
GPAU: Nous devons par ailleurs accepter que chaque peuple ait son droit inaliénable à la détermination de son destin.
GPAU: Dire ceci n’est pas dire qu’on se sépare : mais plutôt que nous unissions réellement ; parce que jusqu’ici, ce sont les autres qui nous maintiennent dans une unité fictive ! Les colonisateurs d’abord, les dictateurs ensuite, les imposteurs aujourd’hui.
GPAU: Kamerhe l’a dit à plusieurs reprise : essayer de résoudre les problèmes congolais sans tenir compte des peuples du Congo et vous serez toujours à côté de la plaque !
GPAU: Ce sont les dictateurs qui ont peur des autres et qui cherchent secrètement à dominer les autres.
contact: réveillions nous et sur tout le plan et au niveau international que national nous devons aussi sentir votre mobilisation là ou vous êtes il ne faut pas nous laisser comme ça il faut nous aider vous savez vous même que la diaspora burkinabais a aussi jouer un grand rôle dans la crise burkinabaise il ne suffit pas de nous sensibiliser nous qui sommes ici au pays alors que ceux qui sont à l’étranger ne font absolument rien
GPAU: Les vrais démocrates n’ont pas peur de s’asseoir autour d’une table avec les autres pour décider, par consensus et pas par humiliation, de ce que nous voulons faire du Congo que Lumumba nous a légué !
GPAU: Je viens de te faire des propositions précises que tu ELUDES, EVITES de traiter. Pourquoi ?
GPAU: Que dis-tu d’une préparation de nos peuples, avant d’enclencher l’assaut contre les imposteurs ?
GPAU: Es-tu prêt à participer à un tel projet en préparant un discours à tenir aux amis et un plan de mise en route d’une propagande multi-niveau ?
GPAU: Moi, je ne vois pas comment nous bâtirons du solide sans passer par là !
GPAU: Voilà pourquoi tu m’attends dire qu’avec nos tergiversations, nous en avons pour minimum 20 ans ; mais très probablement 30 ans encore de misère. Cette misère ira croissante. Ce que nous vivons maintenant n’est en réalité que le commencement de la douleur !
contact: c’est cela qui nous manque nous devons faire tout pour que tout sois prêt pour faire un assaut très dur contre ce pouvoir de macchabé de sanguinaires sans éclat
GPAU: Il y aura sous peu une douleur telle que personne ne s’y retrouvera. C’est elle qui provoquera la révolte populaire contre laquelle aucune arme au monde ne pourra résister. Dans 30 ans ! Le temps que la majorité se décide à régler les comptes avec les bandits politiques que nous avons commis nous-mêmes à la gestion de l’État, par paresse, par népotisme…
GPAU: Ce travail demande d’abord, SOUS LA MAIN, une PROPOSITION CLAIRE, à adresser à tous ceux qui se disent aujourd’hui congolais.
contact: nous allons bientôt y parvenir mon vieux ne vous en faites pas il y a une chose qui se prépare ici
GPAU: Nous en avons une qui se résume en : arrêtons avec la république, allons, à pas mesurer, c’est-à-dire, en 5 phases de 10 ans chacune, vers une union d’États indépendants du Congo, ou de l’Afrique Centrale, États à construire sur base de nos affinités culturelles !
GPAU: Cette chose-là, je la connais, les acteurs m’en parle : elle n’est pas la solution à notre problème véritable !
GPAU: Pourquoi ?
GPAU: Parce que :
GPAU: 1. ce qui la prépare ne sont pas transparents et cache donc un projet dont ils ont déjà eux-mêmes honte, dès le départ. Ce projet ne peut être qu’un mauvais. Et en effet, il s’agit d’une autre dictature ! Ne te laisse pas prendre ! Un démocrate ne se cache pas sous la forêt. Il harangue sont peuple pour le convaincre de la valeur et de la force de ses idées. Nos propositions sont mises au grand jour ; parce que nous en connaissons la valeur, de sorte que nous l’opposons à tout celui qui nous demande raison de notre foi ! Les maquisards ne peuvent jamais être des sauveurs, Contact. C’est un principe élémentaire. Réfléchis bien : pourquoi un démocrate se cacherait-il ? Pourquoi aurait-il peur du fusil de l’imposture ?
contact: nous croyons que ça va marcher nous tentons ça s’il n ya de résultats favorable alors nous passerons à une vitesse de croisière
GPAU: 2. ces gens n’ont pas de plan visionnaire pour la RDC ! S’ils en ont un que tu connais, que tu as vu : suis-les. Sinon, arrête aujourd’hui et vient au Projet 2014. Notre plan est là : http://projet2014.com !
GPAU: Depuis combien de temps n’entendons-nous pas ce discours ?
GPAU: Quelles sont les raisons sérieuses qui te font croire que votre plan soit le bon alors qu’un autre congolais – moi en l’occurrence – je ne peux pas le connaître, sauf quand vous serez au pouvoir, en train de couper, illégalement, les têtes au kanambisme et assimilés !
GPAU: Soit raisonnable !
GPAU: Un plan démocrate est nécessairement public et pas caché !
GPAU: Tout ce qui est caché ne nous aidera JAMAIS à faire avancer la RDC vers l’unité, vers la victoire sur la colonisation, la dictature, l’imposture !
contact: nous c’est un projet populaire pour faire échec direct à toute personne de mauvaise intentions pour le peuples congolais
GPAU: Sinon, explique-moi comment cela se passerait.
contact: c’est ne pas un plan machiavélique pour le peuples congolais
GPAU: Vous avez quel pourcentage de congolais derrière vous ?
GPAU: Moi, je sais que l’UDPS peut mobiliser entre 40 et 50% de congolais, si elle veut !
GPAU: Tous les autres ne peuvent pas atteindre 10% !
contact: nous ne sommes contre de ce que vous faites le projet 2014 je l’ai déjà il y a longtemps
GPAU: Même Kamerhe est modeste pour savoir qu’il n’y est pas encore… Lui qui a pourtant, après le PALU, un certain monde derrière lui !
GPAU: Mbusa a du monde aussi ! Mais il sait qu’il n’ait pas encore les 10% des congolais. Que fait-il ? Dit-il le contraire aux gens ?
contact: kamerhe ne peut pas nous envouter dans son plan ; nous savons c’est qu’il est pour ce pays nous ne pouvons pas le suivre
GPAU: Vous avez combien de congolais derrière votre projet (s’il en existe un de précis, de valable) ? Donne-nous le chiffre approximatif ?
GPAU: Je te l’ai dit que je suis au courant !
contact: nous sommes nombreux vieux inutile de vous citer le nom
contact: ou le nombre de personne mais nous sommes vraiment mobilisé
GPAU: Te poses-tu vraiment la question de savoir pourquoi, moi, qui suis au courant, suis formel pour dire que votre démarche ne soit pas la bonne ?
GPAU: Je ne te demande pas de noms et ne t’en demanderai pas. Pourquoi faire ?
contact: comment cela
GPAU: Ce sont les espions et les traitres qui font cela.
GPAU: Pour que tu me comprennes bien, regarde à ceci :
GPAU: Le projet 2014 à moins de 20 participants…
contact : ha bon nous ne sommes pas de traitre à quel mouvement pensez-vous ?
GPAU: 20/73000000, cela fait 0% d’adeptes !
GPAU: Vous, combien de pourcent avez-vous ?
contact: je ne suis pas de ceux-là que vous parlez je suis un membre sympathisant de kongo ya sika
GPAU: Vous avez choisi la bonne direction !
GPAU: Mais, pourquoi est-ce que j’ignore vos filleuls ?
GPAU: Se sont-ils enregistrés ?
GPAU: Je ne vois nulle part leurs dossiers !
contact: JE SUIS LA IL Y A LONGTEMPS JE SUIS VRAIMENT UN DE VOUS TOUS LE DOCUMENTS SONT DANS MES MAINS
GPAU: Pourquoi les thésaurises-tu ?
GPAU: Tu freines le départ de l’imposture…
GPAU: Dans Kongo ya Sika ?
GPAU: Là, tu auras des blâmes, Contact !
GPAU: C’est de la vie de millions de congolais qu’il s’agit, dans Kongo ya Sika. Nous ne pouvons pas traîner pas avec les dossiers des candidats membres…
contact: NON je ne jamais fais cela est d’ailleurs je compte créer une page Facebook sur lequel je vais chaque fois publier mes idées pour faire connaitre à mes amis mes idées
GPAU: Ils ne sont pas membres tant qu’ils ne sont pas inscrits sur notre liste !
GPAU: Et pour être inscrit, il faut un dossier complet !
GPAU: Tu le sais !
contact: je suis inscrit kambale masua contact
GPAU: Tes idées ne sont pas celles de Kongo ya Sika.
contact: comment cela
GPAU: De quoi veux-tu que nous parlions finalement ?
GPAU: Les idées de Kongo ya Sika sont publiées, en temps réel, ici : https://projet2014.com/parti-politique/
contact: je crois que je le possède
GPAU: Tu possèdes quoi ?
L’URL ?
Tu es sensé le connaître avant que tu ne fusses membre !
Tu n’es pas clair. Que veux-tu dire ?
Connais-tu notre devise ? Si oui, écris-la-moi une fois ici ? Je commence à me poser des questions sérieuses sur ton implication dans Kongo ya Sika…
Pour notre cellule de travail, les choses se poste ici http://kongoyamupia.wordpress.com/ et ta production est à zéro, jusque-là !
GPAU: Tu n’es même pas sûr…
GPAU: Voilà pourquoi, je dis que le kanambisme risque de continuer après 2016…
Conclusion
Force est de nous rendre compte que le besoin en formation de nos membres soit urgent. Tant l’ignorance de nos vrais problèmes ; et en conséquence de vraies solutions à ces problèmes, est grande.
Pour que cette formation politique de notre peuple se fasse rapidement, il faut nécessairement recourir à un effet multiplicateur. La formation ne doit pas viser la transmission de la connaissance, de la compétence et du comportement seulement. Elle doit, outre, viser, outre la maîtrise par l’apprenant de nos vrais problèmes et de leurs solutions, la transmission des compétences pédagogiques à l’apprenant. C’est une formation multicouche qui nous sauvera.
Dans le cadre du Projet 2014, comme dans le cadre de notre cellule de travail dans Kongo ya Sika, nous nous mettons tout en œuvre pour aller dans cette direction. Les membres de notre cellule sont invités à se former ou à se faire former de manière à former d’autre.
Imaginons que chacun d’entre nous s’engage à former Q congolais après un temps T. On démontre que la durée de la formation, pour en embrasser tous les N congolais que nous sommes serait :
T.ln(N)/ln(1+Q). Au plus Q est grand et au plus T est court, au plus ce délai sera court. L’analyse mathématique montre qu’il faut surtout agir surtout diminuer T, quitte à augmenter Q au mieux de ses capacités. Ainsi, si chacun forme politiquement 5 filleuls (Q) tous les mois (T), la RDC (N=73.000.000) serait théoriquement complètement conquise en 11 mois, si tous les filleuls formés se mettent à faire de même dès la fin de leur formation ! L’imposture peut donc partir avant fin 2015, puisque la formation politique ne s’adresse qu’au tiers des congolais ! Cela diminue la durée de formation d’une vingtaine de jours.
Cette théorie a des limites évidentes
1. Sur les 5 formés, quelques-uns trahiront : ils ne respecteront pas le contrat ou bien ils ne seront pas convaincu par notre discours, du fait de notre incapacité de persuasion ou du fait de la concurrence qui prêche l’évangile opposé à celui du changement ou encore du fait des options de vie de l’apprenant ;
2. Beaucoup de congolais ne sont pas atteignables, n’ont pas le temps de suivre une formation politique ou ne sont pas en mesure d’assimiler le discours politique à cause de leur âge, de leurs limites intellectuelles, spirituelles, etc.
3. Diminuer T drastiquement, c’est baisser la qualité de la formation et de ce fait compromettre l’engagement des congolais ou diminuer l’efficacité de l’effet multiplicateur et des baisser les capacités des congolais à faire mieux que l’imposture.
Les solutions aux problèmes sont aussi claires
1. S’examiner soi-même, avant de se lancer dans ce projet. Sommes-nous convaincus et convaincants ? Si ce n’est pas le cas : commençons par nous faire réexpliquer le projet, jusqu’à ce que nous soyons nous-même convaincus de sa valeur, de capacité à permettre à la RDC d’aller vers la paix et la prospérité. Avons-nous les capacités pédagogiques requises ? Si ce n’est pas le cas : commençons d’abord par bien nous former ou nous faire former nous-mêmes. En plus, examiner nos prospects à la formation. Il ne faut pas confier des perles aux pourceaux de présentation, à des incirconcis d’esprit, à des barbares de culture personnelle !
2. Vouloir former politiquement une personne mal préparée, c’est gaspiller de l’énergie politique qui pourrait utilement servir à autre chose : diplomatie, projets de proximité, etc. Nous devons apprendre à lire et à écrire, à calculer, à planifier un développement, à tenir un discours politique clair, percutant, à reconnaître ses limites et la valeur des autres, y compris de l’adversaire politique !
3. Notre formation doit se donner du temps. Le temps que l’idéologie et la philosophie politique s’imprègnent bien. Qu’au changement perceptible chez l’apprenant, l’assurance soit totale qu’il transmettra le bon savoir, le bon savoir-faire et le bon savoir-être à ses filleuls. Un suivi est donc nécessaire. Le temps consacré au management de sa structure (l’ensemble de ses filleuls) rajoute au délai de la formation T. C’est la raison pour laquelle, l’imposture, en tout état de cause, ne peut pas partir, définitivement, démocratiquement, en une seconde. Il y a un minimum au délai, qui dépend de notre culture, nous, congolais.
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