1.000.000 ha ?


C’est le projet que les congolais aiment le moins ; à se fier aux statistiques fournies.

[9/18, 11:03] Asbl Échanges Avec Extérieur: Il est très intéressant d’assister aux départs des « amis ».

Il sera plus rentable de participer à leur retour.

Vous qui croyez en ce projet : investissez-vous.

L’objectif est connu.
La stratégie à mettre en place ne  demande plus qu’un cadre.

Personnellement, je n’attends qu’un binôme pour commencer, dans ce cadre.

L’axe que je connais le mieux, c’est Butembo-Aru ou Butembo-Mahagi-Port ; ou alors, Kisangani-Aru ou Kisangani-Mahagi-Port.

Rappelons qu’il consiste à créer des couloirs de 8 km de largeur de champs et d’industrie alimentaire. 4 km de part et d’autre d’un axe routier donné. Objectif : donner du poids à l’agriculture congolaise. Nous, nous y croirons toujours.  Pourquoi ?

Maîtriser ces axes, c’est contrôler nos :

  1. Agriculture.
  2. Foresterie.
  3. Routes.
  4. Habitat.
  5. Énergie.
  6. Culture.
  7. Transport.
  8. Commerce.
  9. Minerais.
  10. Minéraux.
  11. Faune.
  12. Pharmacopée.
  13. Minorités.
  14. Chômeurs.
  15. Salaires.
  16. Sécurité alimentaire.

Etc.

Ce projet est conçu pour les amoureux du développement local, endogène, intégré et intégral. Ce sont les vrais hommes d’affaires. Ce sont aussi les chômeurs à la recherche de l’emploi ou en situation de création d’emplois. Ce sont les riches qui voudraient conserver leur avantage pécunier. Ce sont les pauvres qui refusent de rester à la traîne ou esclaves. Ce projet restera, demeurera donc incontournable en matière de développement local, national et planétaire. Il sera un divorce sans regret d’avec la manière archaïque d’entrevoir le développement. Il s’agit ici d’apprendre et de travailler tout le temps que l’on est valide, en visant l’excellence.

On peut commencer avec des collations de 100 €/mois/ménage (papa et maman). Mais, viser des salaires de 6.500 €/ménage à termes. Pour y arriver, il faut impérativement combiner le travail avec l’éducation. Nos paysans doivent travailler 4 heures par jour aux champs. Ils doivent aussi s’instruire, se former, s’éduquer et se faire coacher pendant 4 autres heures par jour. Cela garantira un développement harmonieux, sûr et durable.

Éviter de sombrer dans l’injustice sociale et l’esclavagisme, demande de prendre quelques dispositions. Tous les acteurs sociaux doivent participer effectivement à la gestion du projet. Le volet éducation du projet garantit ce résultat. La collaboration et la transparence permet également d’instaurer un climat de confiance, dès le départ, jusqu’à la clôture du projet. À la fin de chaque saison culturale, redistribuer les dividendes du projet équitablement permet de s’assurer d’une continuité paisible. De saison en saison, l’engagement ne fait alors que s’accroître et la rentabilité du projet également.

Notre expérience dans l’Ituri, permet de fournir quelques repères dans cette province. Il faut partir pratiquement d’une situation où tout le monde commence avec une collation. 10 €/mois pour chaque année d’études validée, par exemple. 60 €/mois pour un certifié du primaire. 120 €/mois pour un diplômé du secondaire ; et, 180 €/mois pour celui qui a validé 6 années d’études post-secondaire. Mais en même temps, éviter de sombrer dans les erreurs du passé. Il y a lieu de viser l’objectif d’un minimum de 3.250 €/mois dans les 24 mois d’un travail acharner. Pour ce faire, il convient de s’imposer une discipline de valorisation des salaires. Lier le salaire de chaque saison culturale à la performance des acteurs sur la saison. Ce qui veut dire, redistribuer le bénéfice net entre tous les acteurs en fin de saison. Cette manière de faire raffermira la confiance, créera de l’émulation et poussera à l’excellence.

Pour participer à ce projet, je pose ma candidature

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Mon fils et la politique.


Mon fils voudrait savoir comment se lancer en politique intelligemment, sans trop s'exposer,  dans un pays où il n'est pas facile de s'occuper de la cité ou de la nation sans risquer sa vie.
Dans notre groupe WhatsApp se trouve la livraison ci-dessous, complétée par un audio d'une quarantaine de minutes.
Cela pourrait donner des idées au politicien en herbe.

On va s’y prendre par quel moyen ?
Une feuille et un crayon suffisent.

Comment ?
Nos téléphones suffisent amplement.
Des goupes de 4 ou 5 personnes sont conseillés. Une formation au travail en équipe est indispensable pour être rentable, tout comme la conviction !

Quand ?
Quand nous voudrons conquérir notre indépendance, notre liberté. Toi, tu as l’avantage de connaître quand ton père a choisi d’agir : ce groupe commence à apprendre, qu’en 1976, j’ai choisi de m’investir dans la politique de mon pays et que depuis, je n’ai pas arrêté de travailler, comme dans les coulisses, pour certains, mais au grand jour, pour d’autres qui me connaissent.

Par qui ?
L’histoire du Congo est réalisée par ceux qui habitent le pays principalement. Mes aussi par beaucoup d’acteurs vivant à l’étranger. Tu le sais. Ta question me choque quelque peu : elle insinue pour moi que tu rappelles la colonisation, la servitude, le paternalisme, l’esclavagisme. Elle a un relent de parasitisme politique…

Et si l’on y arrivait ?
Si tu te juges incompétent, incapable, ignorant ou indiscipliné, commence par te former (compétences, capacités), t’instruire (connaissances, savoir) et t’éduquer (caractère, personnalité). Dresse un programme pour cela. Des ressources existent pour parvenir aux objectifs que tu te seras fixés.

Quels dangers nous guettent ?
La politique n’est pas une aventure. Nous vous laissons un audio ci-haut dans lequel nous exposons en vrac quelques points tirés de notre expérience. ☝🏿

Des erreurs en plus…


Dialogue de Nairobi avec les groupes armés : une nouvelle œuvre de déconstruction de notre grande nation, la RDC. Sommes-nous toujours condamnés à perdre ?

Aujourd’hui je suis de nouveau déçu de constater que nous jouons à l’imbécile à Nairobi en accueillant des groupes armés dont nous savons qu’ils sont constitués des éléments rwandais et burundais, sinon des rwandophones, activistes de l’expansion rwandaise en RDC. J’ai comme l’impression que la majorité des groupes armés… des autochtones ne répondent pas présent à cette rencontre.

Dès le début du mandat de l’actuel Président de la République, j’avais encouragé la ministre d’État aux affaires étrangères de l’époque d’envisager toutes les voies diplomatiques afin d’obtenir la tenue des dialogues politiques entre le Rwanda et ses groupes armés qui opèrent en RDC (FDLR, RNC, NGUMINOS etc.), le Burundi et ses groupes armés (FOREBU et de la RED- TABARA etc.) [et l’Uganda et ses groupes armés (ADF, NALU, etc.)]. Et nous disposions de deux opportunités contextuelles majeures qu’il fallait mettre à profit : d’abord la rupture des relations diplomatiques entre le Rwanda et l’Uganda d’une part, et d’autre part entre le Burundi et le Rwanda. Cette isolation du Rwanda devrait nous être profitable. Et enfin, la présidence congolaise de l’Union Africaine.

Malheureusement pour la première opportunité rien n’avait été fait, les gens jubilaient encore pour la conquête ethnique du pouvoir, et pour la deuxième opportunité, la RDC avait curieusement focalisé son mandat sur la culture et la masculinité positive, au lieu de se focaliser sur des questions existentielles de notre nation.

Point n’est besoin de rappeler que toutes les violences armées qui secouent la partie orientale du pays sont essentiellement des guerres par procuration, bien que camouflées sous des revendication communautaristes des populations non-autochtones, qui sans ethnie, revendiquent brutalement une certaine souveraineté coutumière et un quelconque pouvoir sur des terres appartenant aux autochtones. Atmosphère cyclique qui n’a toujours eu qu’un seul perdant à coup sûr : la RDC.

En l’absence de la volonté politique d’en découdre militairement, les populations comme les Ba Nande , les Bembes et les autres sont celles qui, en servant de bouclier anti-balkanisation du Grand Kivu et la cession de leurs territoires, sont aujourd’hui victimes du vrai génocide.

Diplomatiquement , tout en sachant que la diplomatie Britanique ne nous arrange pas depuis un temps , la RDC peut profiter de la tenue du sommet des pays du commonwealth envisagé à Kigali en Juin pour demander à ces Etats Anglophones d’exiger au Rwanda de tenir un dialogue politique avec les groupes armés Rwandais opérant en RDC.

Militairement et cela dans un premier temps, mobiliser et déployer au front oriental les unités armées issues du MLC et du RCD/KML ayant intégré les Forces Armées de la RDC. Et exclure l’idée d’une force régionale.

Et enfin je réitère mon inquiétude sur la présence des forces armées de défense du Rwanda en Centre-Afrique dans le cadre des casques bleus de la MINUSCA dirigée par une Rwandaise. Nous veillerons à ce que le Rwanda ne serve de cette mission pour implémenter sa stratégie d’encerclement de la RDC.

Ambassadeur Arthur Omar Kayumba.

https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=411618610966877&id=100063562252104


Un dialogue un urgent n’a pas encore eu lieu : celui à avoir avec le congolais.

Que voulons-nous ? Quelle attitude souhaiterions-nous prendre, en tant que nation, vis-à-vis des groupes armés dont plusieurs sont des émanations des choix de nos peuples, alliés ou pas à des peuples frères ?

La politique gouvernementale est-elle en phase avec les désirs de nos peuples pour être viable et à soutenir ?

Existe-il des voies alternatives plus efficientes pour la résolution de l’insécurité dans notre pays ?

Qu’est-ce qui expliquerait les échecs politiques cumulés depuis 1960 dont nous n’aurions pas encore tenu compte dans le passé ou dont ne tiendrions pas compte aujourd’hui ?

Qui sont capables de conduire un mouvement qui provoque le changement indispesable, nécessaire ou utile ; et comment les promouvoir de manière efficiente ?

Le Nord : honte, chute ou déclin ?


Dieu parle : tantôt d’une manière, tantôt d’une autre.

Le lien ci-dessous renvoie à un propos interlant pour nous qui formons le Nord. Pour le Sud, c’est une instruction et une opportunité à saisir pour éviter les erreurs du Nord.

https://fb.watch/bO9l5f7UnD/

Ce n’est pas par la guerre que l’on peut aller vers la paix, quand bien même on serait plus puissant économiquement, démographiquement, militairement. Les grands, les sages, savent que la paix s’obtient par une négociation entre des hommes responsables, matures, humanistes, bienveillants, intelligents, pieux…
Nous occidentaux devons ne pas arrêter de travailler vite et bien ni continuer à sombrer dans l’arrogance.
Cela vaut pour la Russie aussi qui se perd en investissant dans la barbarie.
Dieu, en effet, résistera encore et toujours aux orgeilleux et fera grâce aux humbles !
Pour s’en convaincre, suivons attentivement la suite de cette guerre fratricide, honteuse, qui fait la honte du Nord.