RDC-EUA : ATTELAGE IMPOSSIBLE


La paix qui nous est promise est un chimère.

Nous ne pouvons pas parler ni paix ni de victoire, pour les raisons que nous résumons ici-bas.

Le Président de la République est décidé à nous réduire à notre plus simple expression.  Particulièrement,  nous de l’Est, influencé par certains Kasaïens hégémonistes, paresseux et racistes, qui se trompent en pensant que le développement de l’Est du Congo, gênerait celui de l’ouest du pays.  Soulignons que ce soit là une frange de Kasaïens,  qui n’ont rien à voir avec des vaillants et brillants Kasaïens qui peinent à raisonner leurs concitoyens provinciaux.  Soulignons aussi que ceci n’a rien à voir avec le tribalisme dit qualifié de luba, par ceux qui ignorent que le Kasaï ne soit pas que luba !

Qui nous protégera contre nos ennemis intérieurs et extérieurs selon le deal avec le Président des EUA ? Comment cela se passera-t-il ?  Dans ce qui nous parvient, pour l’instant, rien n’est dit de notre Ituri.  Nous noterons cette omission !

Si nous voulons la paix dans notre Congo, nous ne devons pas parler que des Tutsi.  Nous devons aussi parler des Lendu.  Et lorsque nous, dans le Projet 2014, parlons des Tutsi et des Lendu, nous parlons bien des Congolais et non pas des Ugandais ou des Rwandais !

Sans réponses convainquantes sur la table, nous multiplierons rébellions. Comme les hommes de Kinshasa ne peuvent se transformer en anges, en raison de leur méchanceté viscérale, affirmée, si l’Amérique nous aime réellement, c’est tout le système diabolique que nous avons instauré à Kinshasa, qu’il devra nous aider à démanteler premièrement.  Sachons en effet, qu’il y a une arme contre laquelle aucune arme ne peut résister : c’est la volonté.

Sinon, ne baissons pas la garde. Venez à nos rencontres du Projet 2014. Nous intégrerons la nouvelle donne politique dans notre stratégie d’indépendance, de libération, de démocratisation. Il faut en effet abattre la République d’abord. C’est le frein à la pacification de notre pays et de ce fait à son développement.

Aujourd’hui,  l’attelage RDC-EUA est un attelage impossible.  Vous nous le direz, dans moins de six mois !

Ituri : encore une erreur monstrueuse !


Extrait de notre groupe WhatsApp.

[3/27, 10:29] DD

TRIBUNE DE LA NOTABILITÉ ITURIENNE


L’arrivée de l’Armée Ougandaise en Ituri : Un Espoir de Paix pour les Déplacés de Fataki et du Territoire de Djugu

Depuis l’arrivée de l’Armée ougandaise (UPDF) dans le territoire de Djugu, et plus particulièrement dans la région de Fataki, de nombreuses voix s’élèvent parmi les déplacés pour exprimer un certain soulagement. Cette intervention est perçue par une grande partie de la population locale comme un espoir pour la fin des souffrances imposées par les groupes armés, notamment la CODECO (Coopérative pour le développement de l’ituri ).

Une Région Martyrisée par les Violences des Groupes Armés

La région de Fataki, autrefois un terrain libre aux milices CODECO, a été le théâtre de massacres perpétrés contre des milliers de déplacés, principalement dans les sites de Djaiba, Lobha et d’autres zones environnantes. Ces atrocités ont plongé la population dans une crise humanitaire sans précédent, avec de nombreux civils forcés de fuir leurs foyers et de vivre dans des conditions précaires.

Les attaques menées par la CODECO ont eu des conséquences dramatiques, notamment pour les communautés Hema et leurs alliés de 5 communautés victimes. Les déplacés, qui avaient trouvé refuge dans ces camps, ont souvent été victimes de nouvelles violences, exacerbant ainsi leur désespoir.

Une Intervention Cruciale de l’UPDF

L’armée ougandaise a récemment renforcé sa présence dans la région de Fataki, avec pour mission de combattre les groupes armés qui déstabilisent la région. L’arrivée de l’UPDF est une réponse directe aux attaques incessantes menées par la CODECO contre les positions militaires, ainsi que contre les civils innocents.

Bien que l’armée ougandaise ait fait face à des résistances violentes, notamment lors des dernières attaques contre ses positions à Fataki, elle a réussi à infliger de lourdes pertes à la CODECO. Ces revers ont engendré une frustration au sein du groupe armé, dont les membres ont de plus en plus de difficultés à maintenir leur emprise sur le territoire.

L’Impact Positif sur la Population Locale

Pour de nombreux déplacés, l’UPDF représente un espoir tangible de sécurité et de stabilité. Les attaques de la CODECO avaient instauré un climat de terreur dans les camps de déplacés, où les civils n’étaient jamais à l’abri de nouvelles offensives. L’arrivée de l’armée ougandaise a permis à certains de respirer un peu, bien que la situation reste fragile.

Si l’UPDF continue d’agir avec détermination et de manière sincère contre les groupes armés, notamment contre la CODECO, un rétablissement de la paix durable dans la région semble désormais possible. La population du territoire de Djugu, qui a tant souffert des violences, nourrit l’espoir que cette intervention marque le début de la fin de la guerre qui déchire la région depuis trop longtemps.

Le Rôle de la Communauté Internationale

Si la présence de l’UPDF est saluée par certains, il est également important de souligner le rôle de la communauté internationale dans la stabilisation de la région. Le soutien humanitaire, la protection des droits des déplacés et la promotion du dialogue entre les communautés sont des éléments essentiels pour reconstruire la confiance et instaurer une paix durable.

Les autorités congolaises doivent également prendre des mesures pour renforcer la sécurité sur le terrain et garantir que les populations locales ne soient plus victimes de violences. De plus, la lutte contre les groupes armés doit être accompagnée d’un processus politique inclusif, qui prenne en compte les préoccupations de toutes les parties prenantes.

Conclusion : Un Futur Proche de Paix ?

Alors que les populations déplacées dans la région de Fataki commencent à apercevoir la lueur d’une paix possible, il est crucial que la lutte contre la CODECO et autres groupes armés se poursuive. La sincérité et la persévérance de l’UPDF dans cette mission sont essentielles pour offrir aux habitants du territoire de Djugu l’opportunité de vivre dans un environnement sécurisé et prospère. Si cette dynamique se poursuit, la paix tant attendue pourrait bien devenir une réalité pour les milliers de déplacés et pour toutes les communautés affectées par ce conflit.
Pour la tribune de la Notabilité ITURIENNE,Ir. Patrick RUVALE.

https://whatsapp.com/channel/0029VahAMQQC1Fu3x9uXKi1i


[3/27, 12:14] GPAU

Cette analyse souffre de beaucoup d’insuffisances aux conséquences graves, si nous ne les relevons pas.

Toute personne humaine épris de paix doit reconnaître que la CODECO est l »expression – maladroite peut-être – d’un désespoir : revendiquer les droits légitimes des Lendu, par la terreur, plutôt que de se battre pour l’établissement d’un état de droit d’abord, avant de revendiquer ses droits par les voies de droit, n’est pas facile, pour un peuple souvent humilié, depuis des siècles.

Voici que le Congo opte pour l’usage de la force pour taire ces Lendu, encore une fois, sur leur terre.

Nous avons proposé deux alternatives pour aller dans la direction d’une paix durable, toutes fondées sur une reconnaissance officielle, préalable, par tous, du droit des Lendu à définir et réaliser leur destin par eux-mêmes.

  1. Redéfinir les frontières du territoire de Djugu pour y inclure toutes les terres des Lendu et de leurs alliés. Ce territoire peut être non connexe, pourvu qu’il inclue toutes les terres reconnues par tous comme appartenant aux Lendu et à leurs éventuels alliés. Cette opération ne demande pas une intervention extérieure à l’Ituri. Elle demande de débarrasser d’abord l’Ituri des djadjambu qui viennent régner sur nous Ituriens en nous divisant de plus bel. Il faudra créer un territoire hema, constitué des terres reconnues par tous comme hema, étant donné que ni les mahagiens, ni les « irumois » ne souhaitent intégrer les Hema, selon nos consultations des notables de deux territoires. Ce nouveau territoire peut lui aussi être non connexe et est facile à dessiner par les Ituriens, sans interférence extérieure. Il faudra enfin clairement convenir que personne ne soit obligé de quitter son territoire, mais que les lois lendu en territoire lendu soit respectées par celui qui choisit d’y vivre ; et que, de même, les lois hema s’applique à tout celui qui choisi librement de vivre sur les terres hema, dans le territoire hema issu de cette partition ou restructuration territoriale.
  2. La seconde alternative que nous proposons et celle de la signature d’un pacte formelle de non belligérance, entre alur et lendu, d’abord, parce que nos consultations montrent que cela soit réalisable et très efficace, comme les autres pactes nilo-soudanais et bantou-soudanais qui fonctionnent à merveille depuis bien avant la colonisation belge jusque ce jour, et qui nous évitent des guerres fratricides évitables. La réussite de ce pacte lendu-alur, nous en sommes persuadés inspirera les Lendu et les Hema, qui ont plus difficiles à se pardonner que les Alur et les Lendu ne soient disposés à le faire.
    Notre proposition n’a jusqu’à présent récolté qu’une vingtaine d’adhérents avec influence, parce que le pouvoir de Kinshasa, contrôler par les lumumbistes, qui craignent le retour sur le plateau national des fils du PNP, qui révéleront aux Congolais leur supercherie.

Les enjeux sont de taille : ouvrons nos yeux ; les bons.

Quant à l’UPDF, elle ne peut pas appoter une solution au problème iturien. Pourquoi ? Parce que, quelque soit ses bonne intentions, le camp de Lendu les soupçonnera, à tort ou à raison, de jouer le jeu de leurs ennemis : les nilothiques et les hamites, quand bien-même, nous le savons de plus en plus, nous soyons en face de cousins, qui se battent, comme au Moyen-Orient.

Violences et les morts en Ituri : depuis quand ?


À la question qu’est-ce qu’est le G5 en Ituri, voici ce que l’on peut lire.

« Le G5 est une association regroupant plusieurs communautés, dont les Hema, dans la province de l’Ituri, en République Démocratique du Congo (RDC). Cette association se considère comme victime des exactions perpétrées par la milice CODECO (Coopérative pour le développement du Congo), qui prétend défendre la communauté Lendu1.

Les conflits inter-ethniques en Ituri, qui opposent principalement les groupes Hema et Lendu, ont causé de nombreuses violences et pertes humaines depuis 20171. Malgré la signature d’accords de paix, les violences continuent, notamment autour des sites miniers1. »

Le Copilot

Quelles sont les communautés qui forment le G5 iturien ? Que signifie le sigle G5 ?

Le même Copilot précise cette fois-ci.

« Le G5 iturien est une coalition de cinq communautés principales de la province de l’Ituri en République Démocratique du Congo. Ces communautés sont :

  1. Hema
  2. Alur
  3. Ndo-Okebo
  4. Nyali
  5. Mambisa

Le sigle G5 signifie simplement “Groupe des 5”, en référence aux cinq communautés qui composent cette coalition. Cette alliance a été formée pour défendre les intérêts communs de ces communautés face aux violences et aux conflits inter-ethniques dans la région. »

En quoi les 5 communautés du G5 sont elle les principales de l’Ituri : en ce numériquement, socialement, culturellement, politiquement, économiquement, spirituellement, industriellement ? Et surtout : pourquoi et comment ?

Est-ce vrai que le G5 ait été créé pour « défendre les intérêts communs de ces communautés face aux violences et aux conflits inter-ethniques dans la région » ou plutôt pour défendre les 5 communautés contres les lendu et leurs alliés précisément, avec qui l’entente n’existe pas vraiment depuis la nuit des temps, de suite de la colonisation des peuples soudanais par les peuples nilotiques ; à ce que nous avons appris de nos aïeux ? À ne pas se dire clairement la vérité, en tombant dans le travers nord-kivutien, dans l’improductive hypocrisie, nous craignons, pour notre part, que nous continuions à sombrer de plus en plus dans la méfiance, dans la violence sans fin, dans l’accumulation continuelle des mensonges et de rancoeurs. Il est étange que Lese, Ngiti, Nyali, Lokele et Nande et Bwisha ne soient pas cités dans cette affaire qui ne fait que grossir le rang des mécontents et des victimes, tous les jours.

Pour nous, le Projet 2014 est la démarche tout indiquée pour aller vers un débalage complet de nos fardeaux, pour le déposer sous le feu du jugement de tous par tous, en hommes reponsables, prévenants.

Enfin, comme nous aimons à le souligner, en 1976, nous resolûmes de rejoindre notre père en politique dans le souci d’aider notre Ituri à éviter l’éclatement, parce qu’ en 1974 déjà, nous vivions dans l’insécurité la plus totale : hommes et femmes empoisonnés ou battus mouraient ou survivaient. En 1994, nous tirions déjà ici la sonnette d’alame : à cause des conflits interethniques…

Peuples ituriens, rentrons à nos amours : apprenons à nous dire la vérité, pour créer la confiance qui nous aidera à nous mettre autour d’une vraie table de conciliation, d’humanisation, pour plus jamais, les ennemis de nos âmes ne continuent à nous subjuger.

Ressusciter le Kibali-Ituri


Réssusciter le Kibali-Ituri peut sécuriser l’Est de la RDC.  Pourquoi le pensons-nous ?

Plusieurs projets de pacification de l’Est du Congo échouent.  Le projet Wazalendo aussi va – plus vite encore – à sa mort prochaine.  Personne ne se pose vraiment la question de savoir pourquoi ces projets échouent.

Né d’un père alur et d’une mère nande, intéressé par le fonctionnement de l’humain depuis mes 10 ans d’âge, j’ai appris à connaître beaucoup de l’âme kibali-iturienne.

De conviction protestante évangélique, moulé dans le capitalisme et l’alurité purs et durs, je ne peux pas, je ne sais pas rester indifférent face aux malheurs que vivent les miens, dans le Kibali-Ituri, que plusieurs trahissent ou spolient !

En effet, le Kibali-Ituri n’est pas quelconque.  Depuis Lumumba en 1960, obnubilé par le communisme, mon terroir a été pris d’assaut par la gauche extrême.  Comme la solidarité africaine et le communisme, sont vite confondables, chez plusieurs, le Kibali-Ituri s’est mis à dépérir, sans que la majorité ne s’en rende compte.

Les premières victimes furent les sorciers, les membres du PNP, Part National du Progrès, honni pour son allégeance au colonisateur belge, blanc.  Ils furent tués par milliers, dépouillés de tous leurs biens.  Quelques-uns trouvèrent leur salut dans l’exil : ma famille vécu 12 mois en Uganda, de 1964 à 1965, pour cela, après 2 ans d’exil de mon père à Kinshasa, de 1960 à 1962.

Il importe de souligner que les auteurs des crimes de cette époque circulent toujours, librement.  Ces hommes, ayant du sang congolais et étrangers sur la main, impénitents, pour la plus part, font tout pour garder le pouvoir, afin de cacher leurs forfaits et de maintenir le Congo sous leur domination.

C’est dommage que les fils des PNP ne sachent pas se lever pour les ester en justice ces premiers bandits politiques, qui font des émules !  Le mal gagne le pays, parce que ces hommes se multiplient.

Dans l’Ituri, les nilotiques que nous fustigeons aujourd’hui, sont des cultivateurs, pêcheurs, chasseurs, éleveurs, d’anciens esclavagistes et colonisateurs, avant les Belges.  Ils se sont, tout naturellement, retrouvés nombreux être du PNP et forment de ce fait les premiers opposants aux régimes des non-nilotiques, révoltés, contre l’esclavage et la colonisation belges, mais aussi, contre les anciens esclavagistes et colonisateurs nilotiques.  Il est donc normal que les Lendu, Bira, Lugwara et autres combattent aujourd’hui les Hema, Alur, Kakwa et leurs cousins respectifs.  Peu voudraient l’expliquer à nos compatriotes, de circonstance !

Dans le Grand-Nord kivutien, les rwandophones, venus dans le cadre de l’esclavage et de la colonisation belge, cultivateurs et fermiers, se sont vite enrichis et se sont mis à discriminer leurs hôtes, qui de leur côté par réaction mêlée de jalousie, ont décidé de se défendre par la force, en versant dans l’arbitraire,  pour certains, soutenu par un régime fantoche de Kinshasa, d’obédience plutôt communiste que socialiste, maquillé en régime libéral,  pour tenter de dribbler l’Occident qui le soutien.  Les nande, enrichis par leurs travaux des champs et leurs commerces et par divers trafics des richesses nationales ont vite provoqué la jalousie de leurs concurrents internes et externes ; et, se retrouvent aujourd’hui combattus du dedans comme du dehors.

La coalition nande-hutu, pour contrer les esclavagistes et colonisateurs tutsi ne fonctionne pas.  Les hutu, du Congo comme du Rwanda, et les autres cousins congolais desdits nande, se considèrent de plus en plus comme dénigrés et discriminés par les riches nande.  Certains, pour cette raison, déboutent les Wazalendo, pour rejoindre le M23 et l’AFC, dans l’espoir de réduire l’hégémonie nande dans le Grand-Nord kivutien, où plusieurs minorités se sentent délaissées, abandonnées à leur triste sort.

Le texte suivant doit donc être lu avec de bonnes lunnettes.  Il traduit le mal-être que le nande gère mal depuis 1960, versant dans la naïveté, l’hypocrisie et la méchanceté des allochtones du Grand-Nord kivutien.  Cette attitude érode toute la confiance dont jouissait jadis le nande.

Aurons-nous contribué à sensibiliser nos oncles tant aimés, cette fois-ci ?  Que la gloire en reviennent au Dieu d’amour que nous confessons avec eux.

[7/8, 08:35] Par grâce: LA VILLE DE BUTEMBO DEMEURE HOSPITALIÈRE DEPUIS DES DÉCENNIES

Que l’ennemi ne vous fasse agiter chers frères et sœurs d’autres communautés inutilement

Les prétendus actes de barbarie; de lapidation, d’égorgement, incendie, des vandalismes qui se seraient passé en ville de Butembo ne se font pas par l’ensemble de la population de ladite ville, plutôt par des infiltrés qui y sont au compte de l’ennemi et qui veulent semer haines et créer des conflits, mésententes contre le peuple Nande vis à vis d’autres tribus avec lesquelles nous vivons en relation d’interdépendance.

Le Mouvement Citoyen Tujenge Amani na Maendeleo, Nzenge Amani, appelle :

  • le peuple bubolais à redoubler la Vigilance vis-à-vis des gens qui posent des actes de barbaries au nom de la communauté qui poussent à salir et ternir l’image du peuple Nande à la face du Monde
  • des communautés voisine, de ne pas tenir rigueur tous les peuples Nande. ce ne pas ce dernier (ce peuple Nande) qui est derrière ces actes ignobles, plutôt l’ennemi veut se créer d’arguments, voulant accuser faussement les Nande envie de salir sa réputation par ces diables qui ne cessent *d’utiliser certaines brebis galeuses de la tribu dans l’objectif d’accomplir sa mission au nom de ce peuple (Nande).
  • les autorités Etatiques de mener des enquêtes afin de démanteler le prétendu réseau de ces ennemis. Sans oublier que l’infraction est individuelle
  • la coordination de la Société civile, Religieuse, association culturelle KYAGHANDA YIRA et autres structures associatives et patronales, chacun à son niveau de s’impliquer dans cette affaire pour décourager ces actes d’assassinat et de xénophobie qui se seraient pratiquer au sein de la tribu ou mieux de la communauté Nande afin de l’étouffer et mettre hors d’état de nuire l’ennemi qui crée haines et confusions, tentant ainsi accomplir sa mission. (Diviser pour mieux régner)

Cordiale bienvenue aux Congolais et étrangers qui veulent fréquenter Butembo à condition que vous soyez à règle avec l’État congolais selon les prescrits de la loi.

Butembo n’es pas tribale, les Nande ne sont pas tribale comme d’autres le croiraient. C’est Seulement l’ennemi qui veut diaboliser Butembo et le peuple Nande afin de ternir leurs images. Au point que ce même ennemi manipule certains inconscients dans la communauté afin de détruire même certains biens privés des membres de la communauté nande. Pendant que la même communauté est indexée, doigtée par d’autres communautés, alors qu’elle est aussi victimes des affres commis de près et de loins par ces mêmes ennemis de la paix.
D’où, c’est la communauté Nande qui est visée par l’ennemi en incitant à la haine les membres d’autres communautés contre les Nande.

Peuple Congolais soyons prudents…!!!

Cellecom TUJENGE AMANI NA MAENDELEO (Nzenge Amani RDC)

[7/8, 09:43] Asbl Échanges Avec Extérieur: La lecture attentive du texte montre bien que nous ayons affaire à des menteurs, des peureux, des hypocrites, des inciviques !

Butembo est une localité nande, qui a été paisible et propre dans le passé, et qui a été spoliée par des allochtones, y admis sans discernement, depuis la nuit des temps. Aujourd’hui, Butembo est un repère d’assassins, de voleurs, de fainéants, de trafiquants, des violents, de démagogues, d’hypocrites, par le fait d’une mixité nocive, dégradante, suicidaire, au nom d’une fausse unité nationale, des dupes.

Taire la vérité, par peur des unitaristes procède de l’incivisme total et de la folie dans lequel le nande verse, comme les autres peuples irresponsables, suicidaires depuis des siècles.

Être alur authentique, c’est être vrai, être franc, courageux, libre, travailleur, défenseur de ses valeurs culturelles.

Que sont les projets nande ? Que sont les Mai-Mai et les Wazalendo adoptés par certains nande aveugles ? Que nous apportent ces projets et pourquoi ; et qu’apportent ces projets aux nande que nous aimions bien et que nous chassons désormais à répétition, avec les autres ituriens ? Que nous ont fait de mal, ces nande ?

En se mêlant à aux méchants, les nande sont en train de perdre leurs valeurs : d’hospitalité, fraternité, esprit de travail, dans la paix !

Ils nous ont coupé les têtes, ils nous ont pillé notre or, ils nous ont envoyé les banyabwisha (Bwisha) et les prostituées, ils nous ont appris la tolérance des méchants…

Ce que nous devons dire et répéter aux nande, par amour pour eux, c’est le devoir qu’ils ont de revenir à leurs valeurs culturelles bradées contre des pacotilles : les faveurs empoisonnées de Kinshasa ! Les nande ont trahi notre alliance kibali-iturienne.

Comment serons-nous amis dans ces conditions ? Vous, nande, RÉVEILLEZ-VOUS et revenez à vos anciens amours !

Provoquons la rage ?


Nous ne pouvons pas si facilement anéantir un peuple, quelque exécrable qu’il soit, chez lui ! Il est inique de réfléchir de la sorte, dans une nation jeune, d’origine coloniale. Nous ne pouvons plus continuer à tromper les concongolais non plus. Ce qui est dit ci-dessous est un mensonge qui coûtera probablement cher à ses auteurs. Les lendu et alliés ainsi que les nande et alliés, se battent, bien ou mal, pour leurs terres. Nous tous qui sommes sur leurs terres, nous gagnerions à rentrer chez nous, planter nos oignons. Cette façon de faire prouvera que nous sommes respectueux d’autrui, civilisé et paisible.

Sinon, nos esprits hégémoniques rencontreront le courroux de peuples enragés, furieux.

Ituri : un peu plus de morts à prévoir désormais !


Certains discours ne passeront plus facilement.
L’armée et la MONUSCO ont peur de perdre leurs manes au Congo.

Les peuples croient plus à l’auto-défense en raison des divergences croissantes en nombre et en importane entre le pouvoir et l’opposition.

Ituri : un nouveau groupe d’auto-défense actif à Djugu « pour combattre la milice CODECO »

Publié le mar, 24/05/2022 – 13:33 | Modifié le mar, 24/05/2022 – 15:21

Un nouveau groupe d’auto-défense opère depuis plus d’une semaine dans la chefferie de Bahema Banywagi, dans le territoire de Djugu (Ituri). Des sources sécuritaires et coutumières renseignent mardi 24 mai à Radio Okapi, que des jeunes de ce coin ont pris la résolution de « protéger leurs familles par le moyen des armes, contre les combattants de la CODECO ». 
Au cours d’une réunion tenue le 13 mai dernier les chefs coutumiers des Bahema Banywagi ont alerté le comité local de sécurité sur ce groupe d’autodéfense dans la localité de Nyamamba à 12 Kilomètres au nord de Tchomia. 
Certains jeunes munis d’AK 47 ont même été aperçus la semaine dernière dans les localités de Nyamamba et Lonyo du coté de mont PLI. 
Le 18 mai dernier, deux instructeurs, qui seraient tous anciens membres de l’armée ougandaise (UPDF) chargés de la formation de cette milice auraient traversé le Lac Albert avec une cargaison d’armes pour rejoindre ces jeunes armés à Nyamamba, affirment les mêmes sources. 
De son côté, le porte-parole de l’armée en Ituri, le Lieutenant Jules Ngongo, condamne l’instrumentalisation de certains jeunes à prendre les armes avec pour motif de se défendre ou de défendre leurs communautés.  
Seules les forces armées de la RDC ont la mission de protéger la population, a-t-il martelé. 
Radio Okapi a tenté en vain de joindre les autorités coutumières de la chefferie de Bahema Banywagi. 

Lire aussi sur radiookapi.net: 

Djugu : 7 personnes tuées lors de l’incursion de la milice CODECO au village Matete

Ituri : la société civile préoccupée par l’escalade de violences à Djugu

Ituri : 5 morts dans les combats entre deux factions de CODECO à Ritsi

Tout indique ici que les hema nord entre eux aussi dans la logique du règlement des conflits par la guerre.
L’armée congolaise ne trompera plus ce groupe ethnique qui voudrait se défendre militairement.
Kinshasa et New York se doivent de réévaluer leurs politiques.
En attendant, un peu plus d’ituriens mourront encore : pourquoi et comment ?

Ituri : pays des fratricides aussi ?


Ce mardi 2 juin, c’est maman Lyly Shaba qu’on enterrait à Kisangani.

Le même jour on apprend du décès d’un autre digne fils de la communauté Ente…

C’est très triste vraiment. Le Seigneur a donné, le Seigneur a repris. RIP !

R.N.

Toutes nos condoléances aux les plus émues aux familles éprouvées !

Que se passe-t-il au juste ? Quelqu’un veut-il décimer les hema à nouveau, en les empoisonnent, comme dans les années 70 ? Ces morts en cascades font en effet penser à des assassinats.

Il ne faut pas se gêner : s’il y a lieu, nous gagnons tous à dénoncer et ester en justice les hommes qui agiraient encore de la sorte. Ce genre de comportements retrogrades et inhumains doivent être combattus par tout iturien et banni chez nous tous qui voulons relever le défi du de l’unité pour le développement de l’Ituri !

Soudanais et nilotiques peuvent vivre la paix ensemble. Cela ne se fera pas tout seul. Les méchants se doivent de se repentir et les victimes feraient mieux de pardonner, dans le cadre d’une courageuse démarche commune de réconciliation entre Ente et Bale ; et leurs alliés respectifs..

Sinon, Kinshasa en profitera, encore et toujours, et nous aidera à nous décimer mutuellement, comme le veulent certains !

GPAU