Ne s’en sortira pas !


Quoi que nous fassions, Kinshasa ne s’en sortira pas.

Il n’a pas un plan démocratique pour pacifier le pays.  Celui qui nous est présenté est léger, irresponsable, colonialiste, dicatorial, sectaire, inacceptable,  conflictuel.  Sans ambition, il aliène et appauvrit notre pays.

Une analyse fine des problèmes qui se posent, de leurs origines réelles, des conséquences subies et à venir, n’est pas produite.  La probité morale des acteurs est contestée, à tous les niveaux.  Le pouvoir, l’opposition et le peuple sont démissionnaires.  La ressource humaine de qualité  nous manque cruellement.  Que faut-il faire ?

Commencer par qualifier les acteurs politiques : le Pouvoir, le Gouvernement,  le Parlement, le Congolais.  Il n’est pas normal que des militaires gèrent l »État ; que des gradués ou licenciés animent des équipes des docteurs ; que des voleurs et assassins commandent des hommes intègres !

Pour ne pas tomber dans les travers de nos prédécesseurs, dans Kongo Ya Sika, nous tenons désormais à qualifier chaque membre.  Être capable de concevoir, d’analyser, de conduire, d’évaluer, de redresser, d’animer un projet politique, sera désormais indispensable pour rester dans notre structure à nous.  Le combat contre la médiocrité sera intensifié et nous permettra de nous mettre au-dessus de la mêlée.

Des personnes déclarés comme des ADF auraient massacré 4 personnes, incendié 6 maisons, blessé 1 personne, enlevé plusieurs personnes, incendié une moto  et une kiosque contenant l’essence.  Tout cela s’est passé à Kokola, à plus ou moins 15 km d’Oïcha.  La population y vit la peur, jusque ce jour.  Comment résoudre rapidement, efficacement, définitivement ce problème, en minimisant les dépenses ?  Voici un exercice politique à confier à un candidat membre de notre mouvement, sachant qu’il est originaire d’Ikongo Wasa, près de Mbandaka.

Kinshasa est incapable de proposer une solution à ce problème.  Ses acteurs doivent, pour la plupart, répondre des crimes commises de contre la nation congolaise, restées impunies ou cachées jusqu’ici, en étant aux commandes des institutions de l’État.

Cette erreure est nationale.  C’est a tout Congolais de se lever pour la corriger.