Étiquette : Beni
Qui enlève nos commerçants et pourquoi ?
Urgent, urgent, urgent ; le nommé MUMBERE SHABANI alias Malento opérateur économique de cantine vient d’être enlevé par des inconnus en bord d’une voiture alors qu’il était dans sa boutique au centre de cantine. Ces kidnappeurs non identifiés ont emprunté la route cantine – Malese-Mabalako-Kyatsaba- Béni. Nous venons d’apprendre qu’ils viennent de dépasser Mabalako en direction de KYATSABA a 19h20.
Nous en appelons à la mobilisation générale de tous pour arrêter ces criminels de grand chemin qui sont en route et qui n’ont que deux voies de sorties soit Beni ou Mangina . Alerte général, nous demandons aux responsables des barrières routiers de rendre un service louable a la nation.
Me MUTSUNGA BIN SIKWAYA. Appuyé par la Cellule de communication NZENGE AMANI RDC
Voilà à quoi devait aboutir l’état d’urgence que nous n’arrivons pas à démonter ; comme je nous avais prévenu.
Comment allons-nous retrouver ce Mumbere Shabani ?
Qui était ses ennemis ?
Que lui reprochaient-ils ?
Où se situent-ils d’ordinaire ?
Qu’est-ce qui peut être fait pour dissuader ses ennemis à lui faire du tort ?
Nous sommes capables de voir la voiture qui le transporte (Mabalako en direction de Kyatsaba) sans être en mesure de l’arrêter, sans avoir été capable de l’empêcher de quitter (Cantine) alors que les messages on l’air de bien circuler entre nous ?
Une plainte est-elle déjà déposée contre X ?
Cette voiture ne portait aucune plaque ? Si oui, qu’elle était le numéro sur la plaque au moment de l’enlèvement ?
Comment est-il sorti de sa boutique ? De bon gré ou violenté ? Où était sa famille et ses proches ? Qu’ont-ils fait pour tenter d’empêcher cet énième enlèvement dans notre pays ?
Ce fait est-il documenté pour servir un jour en justice ?
Territoire de Beni (Oïcha) : Appel à participation.
Chers habitants de tu territoire de Beni (Oicha), dans le but de continuer à développer notre habitat, notre agriculture et nos mines, EAE ASBL vous propose la valorisation de 4 km de part et d’autre de la route Butembo-Eringeti en y développant une agriculture industrielle et des villas pour tous les ménages. Près de 25.000 ha de champs coopératifs pour combattre :
- La pauvreté (apporter la richesse matérielle, financière, morale, spirituelle…) ;
- La colonisation (promouvoir les fils du terroir) ;
- L’esclavagisme (assurer des salaires justes).
Au programme :
- Appropriation de nos terres.
- Cultures vivrières et industrielles contrôlées par les autochtones.
- Valorisation du travail professionnalisme.
- Promotion de l’unité et de l’humanité…
- Organisation et contrôle des activités minières dans notre terroir.
Beni : de 2019 à 2023…
Près de 1000 personnes blessées par armes au cours des différents événements violents dans la région de Beni, ont déjà été prises en charge à l’Hôpital Général de Référence de Beni, dans de bonnes conditions sous l’appui du Comité International de la Croix rouge (CICR), depuis 2019. La révélation est du Docteur Fikiri Franck, Médecin Directeur de cette structure au cours de la cérémonie de la remise définitive du pavillon de prise en charge des patients blessés par armes. La cérémonie s’est déroulée en présence de plusieurs autorités sanitaires et administratives.
Roger KAKULIRAHI Kambale, nous en dit plus dans un audio.
BENI : MOUVEMENTS CITOYENS ET GROUPES DE PRESSIONS
SYNERGIE DES MOUVEMENTS CITOYENS ET GROUPES DE PRESSIONS DE BENI
COMMUNIQUÉ OFFICIEL NUMÉRO 001/ MC-GP/ BENI/2022
Chaque année depuis 2014 plus de 1000 congolais sont tués à Beni et Ituri par les rebelles ADF et autres groupes armés.
En dépit d’efforts fournis par le gouvernement congolais à travers les multiples opérations militaires, cette situation tragique est loin d’être éradiquée.
Le comble en est que même sous l’état de siège instauré dans les provinces du Nord-Kivu et Ituri depuis le mois de Mai dernier, la situation demeure statique dans les deux provinces.
En seulement 8 mois d’état de siège, au-moins 2000 personnes dont les femmes et les enfants ont été exécutés par les rebelles ADF au Nord-Kivu et en Ituri , cela sans mentionner le banditisme urbain qui a atteint son paroxysme dans les grandes agglomérations de la province.
Aussi, plusieurs cas d’oppression, de restriction des libertés ainsi que de violations des droits humains ont été enregistrés pendant cette période de l’état de siège, une mesure sensée accompagner le rétablissement de la paix dans la région.
Consécutivement à l’allure des choses, les manifestations ont repris à Beni le 24 janvier 2022, sous l’égide de la synergie des mouvements citoyens et groupes de pression afin de décrier cette insécurité grandissante et persistante mais également demander la levée de l’état de siège, une mesure qui a montré ses limites.
Fâcheusement, le premier jour de ces manifestations, un agent de la police nationale congolaise n’a pas hésité de tirer sur notre camarade Mumbere USHINDI, un jeune non armé qui manifestait pacifiquement pour le rétablissement de la paix à Beni.
Ce meurtre bien organisé a été commis par un des éléments commis à la garde rapprochée du maire de la ville le commissaire Supérieur principal Narcisse Muteba Kashale après que celui-ci et lecommandant PNC ville Monsieur Sebastien, aient proférés des menaces de mort à tous les citoyens qui oseraient adhérer aux manifestations anti insécurité.
Ces propos tenus par le maire et le commandant ville de la PNC nous ont permis de confirmer la mauvaise volonté et l’incivisme notoire des ces individus qui sont sensés protéger le peuple. Une raison de plus pour nous d’exiger la levée de l’état de siège qui est en effet une colonisation réincarnée.
Eu égard ce qui précède, la synergie des mouvements citoyens et groupes de pressions exige ce qui suit:
- La levée immédiate de l’état de siège et le couvre-feu de 19h instauré en décembre dernier, le rétablissement des administrations civiles ainsi que le renforcement des opérations militaires d’envergure en cours que nous soutenons tout cœur.
- La présence à Beni de tous les députés nationaux et provinciaux élus de la ville et du territoire de Beni.
N.B: Tous ces députés sont appelés à se présenter à Beni au plus tard le Lundi 7 Février prochain, où ils auront à rencontrer toutes les couches de la jeunesse de Beni au stade de football situé au quartier Kangaimbi à 15 heures.
Un député qui s’hasardera à boycotter ce cris d’alarme de ses électeurs pourra alors rester à Kin ou à Goma pour toujours car leurs électeurs meurent chaque jour des ADF et de la PNC.
Nous sommes vos électeurs et on a besoin de vous ici pendant ce moment dure.
- En ce qui concerne l’assassinat du jeune Mumbere USHINDI notre camarade, nous annonçons le début d’une poursuite judiciaire contre le maire de la ville ainsi que le commandant ville de la PNC, et leur demandons humblement démissionné de leurs fonctions avant le 14 février pour qu’ils aillent répondre de leur crime odieux, le cas contraire nous useront de notre pouvoir en tant que peuple de les faire partir dans la non-violence
Il est inadmissible de prétendre diriger une population et la tué au même moment
On arrête pas un peuple en colère ! - Exigeons l’acquittement sans condition de nos camarades de lutte défenseurs des droits humains et d’autres compatriotes arrêtés arbitrairement pendant cette fameuse période de l’état de siège.
- Nous appelons tous nos compatriotes du Nord-Kivu et de l’Ituri à travers leurs structures citoyennes de nous emboîter les pas en appelant les députés et sénateurs dans leurs basses respectives pour qu’ils expliquent pourquoi ont-ils habilité le gouvernement à proroger l’état de siège et pourquoi ils prorogent l’état de siège malgré son résultat mitigé
Seule la lutte libère, personne ne pourra libérer BENI si c’est ne que nous.
Fait à Beni le 3 Février 2022.
Pour la synergie des mouvements citoyens et groupes de pression.
Cellule de communication
+243973704235
Source : notre groupe WhatsApp.
Le Président découvre ses amis ?
Le Président a été embobiné. Comment saura-t-il contrôler ce qu’il n’a pas pu réaliser pendant ses voyages inutilement budgétivores ?
Cette histoire ressemble à celles des prédécesseurs du Président Tshisekedi. Le peuple savait tout ce qui se passait dans leurs maisons ; mais eux, feignaient ne rien savoir des actes de leurs barbouzes !
Au moins, Tshisekedi sait bien désormais ; et ce, par lui-même, qui sont ceux qui le tuent à petit feu ! Il a l’Esprit de Dieu en lui. Soyons donc tranquille. De son obéissance à Dieu dépend le salut de son âme !
Tansmis tel que reçu
Mes sincères félicitations aux forces vives de Beni qui ont le temps de se décharger et à dire la réalité au chef de l’Etat congolais Antoine Félix Tshilombo,
Le chef de l’Etat reconnaît qu’il y a une magouille au sein de fardc, il ajoute en disant 21000 militaires c’est un chiffre fantôme que se servent certains généraux et officiers supérieurs pour justifier un montant colossal décaissé par le gouvernement pour faciliter les opérations, un nombre fictif imaginaire par l’Etat major général des fardc, il promet faire un contrôle physique de toutes les unités engagées dans les opérations sokola l pour se rendre compte de la réalité ou non de 21000 militaires, les militaires décédés et les déserteurs jusqu’à présent sont toujours comptabilisés comme s’ils étaient actifs dans leurs unités et les commandants s’enrichissent des reliquats à leurs noms, le comité urbain de sécurité cachait le président la réalité, le même comité urbain lors du sit in des écoliers et élèves à la mairie pour réclamer la présence du président de la république à cause de la recrudescence de l’insécurité dans cette partie du pays a crié à la manipulation des enfants par les adultes et l’infiltration des écoliers et élèves par les Maï-Maï, Dieu merci les enfants ont été représentés par un élève éloquent qui a convaincu le président par son discours détail incriminant le comité de sécurité urbain de les avoir brutalement délogés en violation de droit de l’homme causant ainsi des de blessures aux élèves, heureusement les écoliers et élèves intelligents qu’ils sont ils sont remis au président un support intuitif « un flash » contenant toutes les données et la façon dont les forces de sécurité s’étaient comportées à des véritables criminels.
Les gens parleront !
Prof William Kakule
Oui à quel soulèvement populaire ?
[30/3, 15:07] Paluku-Atoka Uwekomu: Communiqué important
Le soulèvement populaire du 31 Mars 2021 demande donc à tous de respecter le protocole pour la réussite totale de la révolution populaire congolaise par la désobéissance civile et Le soulèvement populaire.
Ce protocole est sur la page Facebook de Valentin Kambale
Pour toute contribution financière allons sur la page Facebook de Valentin Kambale.
IL faut paralyser les activités de deux grandes villes de BENI ET BUTEMBO pendant 100 jours.
PAS de taxes
PAS de commerce
Pas de voiture qui circulent quotidiennement
Pas D’ÉCOLES PRIMAIRES SECONDAIRES ET UNIVERSITAIRES
Pas de négociation avec la monusco.
Demandez à Félix Tshisekedi de venir installer son gouvernement à BENI et l’état major de Fardc jusqu’à la fin du Génocide BENI LUBERO.
Vive la résistance
La patrie ou la mort
[30/3, 15:22] Paluku-Atoka Uwekomu: Où est l’erreur, toujours la même ?
- l’absence d’un projet, d’un plan démocratique du groupe cible ;
- la malheureuse adresse à un ennemi, bien connu, pour avoir du secours, plutôt qu’aux amis éprouvés ;
- le choix, l’appel étrange de la mort et l’invocation ou l’évocation d’une patrie deliquescente, esclavagiste, colonialiste !
Oui ! Un soulèvement populaire est nécessaire depuis 1960, pour nous débarrasser du Lumumbisme et sa démagogie.
Oui ! La MONUSCO et le tshisekedisme, avec sa traîtrise, doivent partir.
Pour cela, il faut agir autrement : avec sagesse et intelligence ; et non pas pris par une colère mal maîtrisée. Sinon, ce sont des morts en plus que nous ferons, nous tous qui refusons de nous arrêter de danser, de boire, de nous soulager, pendant que nos frères meurent comme des charognes.
