BIENTÔT : LA CONFUSION


[06/10 05:59] DD : RDC

Mesures de Réciprocité entre Goma et Kinshasa :

Est – ce le pays rentre dans sa phase décisive de la balkanisation sous l’ère du président Félix tshilombo ?

Depuis plusieurs mois, le regime de Kinshasa ne reconnaît pas les actes posés sur différents documents par les dirigeants de l’AFC/ M23 en faveur de la population sous leur contrôle.

Aujourd’hui, l’AFC/ M23 prend la même décision contre les actes de Kinshasa.

Voici les faits :

L’ AFC / M23 Impose le visa pour arriver dans les territoires sous son contrôle.

Tous les congolais qui ne vivent pas dans les territoires administrés par les rebelles désormais seront considérés comme des étrangers.

En outre, l’AFC/M23 ne reconnaît plus les documents administratifs venant de Kinshasa.

Désormais pour se rendre à Goma, Bukavu et consorts, il faut avoir un titre de séjour.

Une police de frontières est créée, loin de l’administration de Kinshasa.

Une situation qui doit inquiéter le gouvernement congolais qui doit œuvrer rapidement à la récupération de ces territoires par tous les moyens possibles.

Soit par une guerre totale, soit par le dialogue et négociations.

C’est la situation chaotique qui prévaut en RDC sous le régime de Monsieur Félix tshilombo depuis presque quatre ans aujourd’hui.

Une partie du nationale échappe à la souveraineté nationale depuis plusieurs années. Il faut dialoguer pour mettre fin à cette situation.

Très sérieux, cette situation chaotique persiste et personne ne voit ce danger.

Si c’est une guerre totale qui pourra mettre fin à cette situation il faut que Kinshasa se lance dans cette guerre. Et si c’est le dialogue et négociations qui pourront reconquérir pacifiquement cette partie du pays que Kinshasa s’engage normalement.

Presque quatre ans que cette situation chaotique et de confusion totale persiste, c’est trop.
Il faut y mettre fin.

Noir sur blanc, c’est une véritable consommation de la balkanisation de la RDC.

Si réellement le Congo restera un et indivisible, c’est le moment
prendre une décision courageuse pour mettre fin à cette balkanisation qui dure depuis le 13 juin 2022 jusqu’à ce jour.

À suivre…

IZ tetela le grand avertisseur


[06/10 09:21] GPAU : Vous soulevez des questions fondamentales — à la fois juridiques, politiques et humanitaires — sur la souveraineté de l’État congolais, sur l’évolution du conflit à l’Est de la RDC, et sur l’idée de « balkanisation ». Je vais structurer la réponse en trois volets :

  1. État des faits confirmés et limites des preuves
  2. Implications politiques & risques de « balkanisation »
  3. Perceptions et réactions des populations locales

  1. État des faits : ce que confirment les sources (et ce qui reste incertain)

Voici ce que les sources crédibles — médias, rapports de l’ONU, analyses — confirment à ce jour :

Ce qui est attesté

Le groupe AFC/M23 (Alliance Fleuve Congo / M23) a entrepris des efforts de construction d’un appareil administratif parallèle dans les zones qu’il contrôle (provinces du Nord-Kivu, Sud-Kivu, zones gagnées récemment). Cela inclut des nominations à des postes civils hauts et moyens dans les bureaux de l’administration locale.

Le gouvernement congolais (Kinshasa) a annoncé ne plus reconnaître certains documents émis dans les zones contrôlées par l’AFC/M23, notamment ceux délivrés par la Direction générale des migrations (DGM).

En réaction, l’AFC/M23 déclare qu’il ne reconnaîtra plus les documents émis par Kinshasa dans ses zones de contrôle, en invoquant un principe de réciprocité.

L’AFC/M23 impose désormais des conditions (visa, titres de séjour) pour que des personnes (y compris des Congolais) venant des zones contrôlées par l’État puissent accéder aux territoires qu’il administre.

Le poste frontalier entre Goma (RDC) et Rubavu (Rwanda), appelé la “Grande Barrière”, connaît des horaires d’ouverture fixés par les autorités de fait dans la zone contrôlée par le M23.

Les postes-frontières entre zones contrôlées par le M23 et les pays frontaliers (Ouganda notamment) ont été réouverts dans certaines localités (Bunagana, Ishasha), dans les territoires sous contrôle rebelle.

L’étendue géographique du contrôle exercé par le M23/AFC a considérablement augmenté en 2025, y compris la prise de Goma, Bukavu et d’autres localités, posant des défis majeurs à l’autorité de l’État congolais.

Ce qui n’est pas encore solidement prouvé ou reste controversé

La mise en place d’un système complet de frontières internes (fortifiées, contrôlées militairement comme une frontière d’État) n’apparaît pas, dans les sources ouvertes, comme totalement formalisée ou universellement appliquée dans toutes les zones contrôlées par l’AFC/M23. Certaines mesures semblent plus symboliques ou sélectives selon les zones.

Le caractère exclusif : dire que tous les documents de Kinshasa sont systématiquement annulés dans les zones rebelles n’est pas toujours confirmé dans chaque territoire — cela peut varier selon les secteurs ou les niveaux de contrôle.

Le support international de telles mesures (reconnaissance de facto par des États tiers) est très limité : la communauté internationale et les organismes onusiens continuent à reconnaître le gouvernement central comme l’autorité légitime de la RDC.

Le fait que ces actions traduisent une “phase décisive de balkanisation” est une interprétation politique, pas un constat juridique universel. Beaucoup dépendra de l’évolution du conflit, des négociations, de la capacité de Kinshasa à reprendre le contrôle — ou à faire revenir certaines zones dans le giron de l’État central.

Le niveau d’acceptation ou de résistance des populations locales n’est souvent que partiellement documenté, et pas uniformisé.

Conclusion provisoire : les faits que vous évoquez (non reconnaissance de documents, imposition de titres de séjour, conditions de circulation) sont en grande partie corroborés par des sources journalistiques récentes. Toutefois, la mise en œuvre en tant que “frontières internes permanentes” reste partielle selon les territoires. On est bien au-delà d’un simple délitement de l’autorité centrale — mais pas encore dans un État éclaté totalement formel (du moins, formellement reconnu).


  1. Balkanisation : un risque réel — et les conditions d’un retour

Ce qu’on entend par “balkanisation”

Le terme “balkanisation” renvoie ici à la fragmentation d’un État en entités politiques distinctes, souvent issues de divisions ethniques, régionales ou idéologiques, avec des autorités de fait qui gèrent de façon autonome leur territoire, et sans reconnaissance mutuelle entre elles (ni avec le centre).

Dans ce contexte congolais, cela signifierait que le pays se “découpe” progressivement en zones où Kinshasa n’a plus de contrôle effectif, et où des administrations rivales prennent la relève.

Facteurs qui favorisent la balkanisation

Voici quelques facteurs qui rendent ce scénario plausible — ou partiellement en cours — dans l’Est de la RDC :

Contrôle militaire effectif : le M23/AFC contrôle militairement une portion significative du territoire, ce qui lui donne l’outil coercitif nécessaire pour imposer des institutions de facto.

Administration parallèle : la mise en place d’une bureaucratie (justice, police, délivrance de laissez-passer, nominations officielles) dans ces zones rend le retrait de l’autorité centrale progressif.

Ressources économiques : les zones de l’Est sont riches en minerais (coltan, étain, or, etc.). Le contrôle de ces ressources donne aux autorités rebelles une autonomie financière.

Affaiblissement de l’État central : des difficultés sécuritaires, logistiques, et politiques peuvent limiter la capacité de l’État congolais à intervenir efficacement partout.

Soutien extérieur et réseaux transfrontaliers : le M23 est souvent accusé d’être soutenu (directement ou indirectement) par des États voisins, notamment le Rwanda, ce qui renforce sa capacité à agir de manière quasi “souveraine” dans les zones qu’il contrôle.

Conditions pour que le pays rebascule dans l’unité

Pour empêcher ou inverser ce processus de fragmentation, plusieurs leviers seraient nécessaires :

  1. Réaffirmation militaire — l’État central doit recouvrer, par la force ou par des opérations militaires, les zones contrôlées par les rebelles, ou au moins neutraliser l’autorité rebelle dans certains lieux.
  2. Dialogue et intégration — amorcer une négociation politique crédible, permettre la réintégration des autorités locales dans le cadre de la RDC (garanties constitutionnelles, autonomie contrôlée) ; l’accord de principe signé récemment entre l’État et le M23 est ce genre d’initiative.
  3. Légitimité institutionnelle — que la population accepte d’être administrée par Kinshasa, que les documents officiels du gouvernement soient fonctionnels et reconnus (par les partenaires internationaux, ONG, etc.).
  4. Ressources & infrastructures — reconstruire les infrastructures (routes, écoles, hôpitaux), assurer le retour des services publics (santé, justice, éducation) pour rendre l’État central compétitif face à l’administration rebelle locale.
  5. Appui international — la communauté internationale peut imposer des sanctions ou appuyer des mécanismes de paix, mais plus largement tenir l’État comme interlocuteur légitime.
  6. Gestion des rivalités internes — éviter que l’État central lui-même ne soit paralysé par des conflits internes, la corruption ou la faiblesse institutionnelle.

En bref : la “phase décisive de balkanisation” peut être une formule politique forte, mais c’est un chemin semé d’obstacles, et pas encore une fatalité. L’issue dépendra beaucoup des choix — militaires et diplomatiques — du gouvernement congolais et de ses partenaires.


  1. Que pensent (et vivent) les populations locales ?

Les populations vivant dans les territoires sous contrôle de l’AFC/M23 sont au cœur de cette “réalité contestée”. Leur regard est crucial, et les témoignages sont variés. On observe les tendances suivantes :

Expériences matérielles et quotidiennes

Beaucoup de citoyens vivent une double contrainte : ils doivent composer à la fois avec les réalités de l’autorité rebelle (perceptions de sécurité, taxes, “services”), et l’attachement symbolique ou légal au gouvernement central (nationalité, droits civils).

Certains habitants rapportent que, depuis la prise de Goma et d’autres villes, l’économie est paralysée : les banques sont fermées ou en panne, les marchés fonctionnent en mode “troqué” ou via des systèmes alternatifs, les chaînes de ravitaillement sont perturbées.

Dans des zones de contestation ou de conflit, la peur, l’angoisse sécuritaire, les déplacements forcés demeurent des réalités constantes — certains habitants fuient vers d’autres régions ou restent déplacés.

Certains perçoivent dans les autorités rebelles une proximité locale, ou du moins une administration à portée concrète, alors que l’État central paraît lointain ou absent.

Opinions et attitudes politiques

Parmi des groupes de la société civile (ONG locales, mouvements citoyens comme LUCHA), beaucoup dénoncent ces mesures comme des signes de fracture de l’unité nationale, de “balkanisation de fait”. Par exemple, Stewart Muhindo (mouvement citoyen LUCHA) critique le fait qu’il y ait deux types de documents de voyage pour le même citoyen selon le territoire.

D’autres peuvent estimer — selon leur appartenance ethnique, leur expérience historique ou leur proximité avec les autorités locales — que l’administration rebelle leur offre une certaine stabilité ou protection qu’ils n’avaient pas auparavant.

Dans les discussions informelles, certains citoyens craignent que ces mesures n’érigent un “mur invisible” entre “Congo de l’Est” et “Congo de l’Ouest”, si la situation se radicalise.

Limitations dans les données

Il y a un déficit d’enquêtes d’opinion rigoureuses dans les zones sous conflit, ce qui rend difficile une vision complète et nuancée des attitudes populaires.

Beaucoup de témoignages sont relayés par des médias ou ONG, parfois partis pris selon les sources ; il faut les croiser avec prudence.

Le contexte sécuritaire complique le recueil d’informations libres et impartiales.


En conclusion

Oui, les mesures que vous décrivez (reconnaissance des documents, titres de séjour, contrôle de circulation) sont largement corroborés par des sources récentes.

Ces mesures montrent clairement un glissement vers une souveraineté de facto dans certaines zones du pays — l’affirmation par l’AFC/M23 de sa propre autorité administrative.

Mais on n’est pas encore dans une “balkanisation complète” officiellement reconnue : l’État congolais continue d’être considéré internationalement comme l’autorité légitime de l’ensemble du pays, et certaines zones demeurent contestées.

La clé sera de voir si Kinshasa reprend le contrôle par la force ou le dialogue, et si les populations locales acceptent ou résistent à cette administration parallèle.

Le “moment décisif” est sans doute arrivé : soit la RDC s’engage dans une reconquête — physique ou symbolique —, soit elle pourrait perdre progressivement l’emprise sur certaines régions.

Si vous le souhaitez, je peux vous produire une chronologie documentée des mesures de non-reconnaissance entre Kinshasa et l’AFC/M23, ou une carte des zones de contrôle actuelles avec analyse des risques de fragmentation. Voulez-vous cela ?


Que je sache, l’AFC/M23 n’attend pas balkaniser le Congo, mais plutôt « libérer » le Congo de la dictature kinoise.

Vouloir « imposer » l’autorité de Kinshasa sur les Banyarwandas et alliés, nous maintiendra en guerre pour longtemps.

La solution humaine, élégante est celle que propose le Projet 2014 depuis décembre 1999 : la passage volontaire et démocratique de la République vers une Union Libre d’États Indépendants du Congo, ou même de l’Afrique. Tant que Kinshasa fera le gros dos, tant que l’AFC/M23 perdra son temps à négocier avec Kinshasa, plutôt que de structurer le territoire qu’il occupe, mieux que ne le fait Kinshasa, nous continuerons à mourir pour rien !

Nous sommes différents, mais nous ne vivrons plus en paix ensemble de force, comme le veulent Kinshasa et Goma : impossible ! C’est ce que essaient, tentent de réaliser, de perpétuer l’UDPS, l’AFC et le M23 : le règne de la dictature. Nous savons pourtant qu’ils ne sont pas les seuls : CODECO, Zaïre et autres ne font que se multiplier. Nos peuples reclament, tous, leur indépendance : légitimement !

Les méchants, qui veulent dominer leurs frères humains, rencontreront Dieu lui-même : celui à qui nous nous adressont pour que ces méchants, ces iniques, soient confondus.

Est : Dictature, esclavage, pillage, tueries…


Je pense que les occidentaux soutiendront l’AFC, le M23, le Rwanda et leurs alliés.

Renseignements pris, la majorité à l’Est soutient son bourreau, le régime de Kinshasa.  Cependant, pour quelques raisons, le dévolu de l’Occident tombera  probablement ou est déjà tombé sur l’AFC/M23, plutôt que sur l’UDPS.

  • Elle est plus instruite et plus structurée que l’UDPS qui, par défiance, traite avec la Russie, pays « adversaire » de l’Occident.
  • Elle rentre dans l’ancien plan de l’AFDL, que d’aucuns présentent vainement comme un plan de balkanisation du Congo, mais qui convenait, aux yeux de l’Occident et de certains d’entre nous,  qui la considèrons plutôt comme un plan d’indépendance véritable des peuples du Congo.  Une indépendance ratée depuis la colonisation leur imposée par certains hégémonistes et pilleurs, Banundois, Équatoriens, Kivutiens, puis Kasaïens, qui se cachent mal.
  • L’AFC revient probablement avec l’anglais qui convient le plus au monde anglosaxon et à une frange de l’intelligentsia de l’Est.
  • Elle est le seul outil disponible, à cette heure, aux yeux de certains, pour « démocratiquement » forcer Kinshasa à arrêter sa malice, sa dictature, son esclavage, et son pillage de l’Est.

La fatigue et la corruption politiques se sont installées de plus belle.  La colonisation interne et externe en a profité.  L’Orient et le Nord en profitent pour prendre place dans ce Congo américano-europeen.  Des matières premières industrielles importantes s’y trouvent.  Elles peuvent être exploitées sans rien payées, aux usurpateurs congolais chargés de culpabilité, incapables de défendre le peuple qu’il asservit, pour vivre sa joie.  Il convient de ne pas laisser l’Amérique et l’Europe continuer à être les seuls maîtres, les seuls pilleurs de la jungle, dans cette République bannière lumumbienne. Les inimitiés anciennes entre les peuples sont revenues en surface, mettant en évidence un tribalisme qui n’a toujours pas encore été résolu.

La terreur s’agrandit.  La peur gagne les esprits.  L’exil vide le pays des patriotes déçus par l’immoralité entretenue par la fausse religion, les hégémonismes, les complexés divers, les égoïstes légendaires.

[12/16, 00:51] : Il semble que Kagame ait boycotté la rencontre de Luanda, parce que Tshisekedi refuse de négocier avec le M23 !


[12/16, 00:54] : Sommet de Luanda : Paul Kagame y a-t-il été ?
Le sommet de la paix prévu à Luanda entre le Rwanda et la République démocratique du Congo a été annulé. Paul Kagame, le président rwandais, devait y participer, mais en raison de divergences et d’une impasse dans les négociations, la réunion n’a pas eu lieu.

Lubero : Le M23-RDF renforce ses capacités militaires avec un char de combat et intensifie ses attaques contre les FARDC et les Wazalendo SUIVEZ CE LIEN POUR VOIR LA VIDÉO. Source : WhatsApp.

RDC

Écoutez lorsque un incompétent défend son échec avec beaucoup du courage sans honte.  Source : WhatsApp

Le PM français censuré.

Michel Barnier s’en sort pl…

Merde!! La retrraite volee d’un tortionaire typique de l’ouest globale. Voila d’ou sort l’astuce de voler chez les tortionaires vautours a l’image du vautour itinerant pretendu president de la RDC. Vraiment une realite qui choque l’esprit. Cela m’aneme a dire que nous sommes obliges de concevoir et introduire une loi dans nos constitutions en Afrique intitule: Tout politicien africain doit etre poursouivi pour vol cache dans des paradis fiscaux apres son mandat de service au peuple.

Source : WhatsApp, tel que reçu.

Chiguel Maïga dévoile tout : Les coulisses d…

De la sagesse de l’ex premier ministre MALIEN jaillie la lumiere pour toutes les couches de la societe maliene: « Ne discute JAMAI les affaires du Mali en dehors du Mali. Le malien qui s’engage dans cela est un agent double et UN TRAITRE a la nation. » Cela montre les congolais de la RDC qui s’engagent dans des dialogues, accords etc en dehors de la RDC sont des agents doubles et les plus grands TRAITRES de la RDC. Voila la definition de la classe politique congolaise pourrie.

Source : WhatsApp

TikTok : Amelda Dany

Suivez ce lien pour regarder.

Source : WhatsApp

RCA-TCHAD : RELATIONS DIPLOMATIQUES

La sagesse africaine longtemps oubliee nous revient petit a petit.

[12/16, 01:31] : https://youtu.be/Ma-ViMK-Q9o?si=lykBVZg1Nv1ojMnQ


[12/16, 01:31] : https://youtu.be/_bIn4CT2yJE?si=UmqvGqGssxA4jIYc


[12/16, 01:31]  La colonisation est assidument un cancer impossible a traiter. je m’interroge a haute voix. Pourquoi une bonne partie des pays africains s’acharnent tjrs a s’attacher
a l’occident tortionaire?! Apres six siecles: esclavage, colonisation, imperimalisme des genocide un peu partout! Quel manque de reflexion chez les africains? sommes nous aussi betes?! Triste!

https://youtu.be/OKwMfstbJqg?si=iiC4VX32_M0qTmZH
[12/16, 01:31]  https://youtu.be/_kW2LmmXxpk?si=mDiAeNLxwxnb_3te

Goma, tombé ou pas, qu’est ce qui changera ?

[1/30, 11:17] Asbl Échanges Avec Extérieur: RDC, VOICI LES ACCORDS QUE KABILA AVAIT SIGNÉ AVEC KAGAME QUE Félix Antoine Tshisekedi NE VEUT PAS APPLIQUER.

À Son Article Premier de l’Accord de 2013 Entre le Régime de KINSHASA et le Terroristes Rat🐀-ndais du #M23, le Président KABILA avait Accepté de Parachever Tous les Points Ressortis de l’Accord de 2009 avec le #CNDP du Rwandais #Laurent_Nkunda, Voici ce dit Accord de 2009 :

♦️ Le Gouvernement Accepte de céder 43% des Postes de Commandement Militaire au Nord-Kivu et 39% des Postes de Commandement Militaire au SUD-KIVU à la Seule Communauté #TUTSI,

♦️ Le Gouvernement Accepte la Création d’une Nouvelle Police de Frontière Sous le Commandement des Rat🐀ndais du #M23 Enfin de les Protéger,

♦️ Le Gouvernement accepte de décréter la Partie Est du Pays (NORD-KIVU, SUD-KIVU, ITURI, HAUT-UELÉ, MANIEMA et TANGANYIKA) Comme étant une Zone Sinistrée et Bénéficiera d’un statut d’Administration Particulière, d’une Autonomie Fiscale et Financière et d’un Concept sécuritaire Particulier Sous la


[1/30, 11:59] GPAU

Le Gouvernement, le Parlement et le Président ne s’en sortiront pas.

Ils veulent servir Dieu et Mammon et nous, peuple congolais, ne les arrêtons pas, dans cette folie collective.

Nous sommes en guerre, contre les Tutsi, parce que Mze les avaient trompés et qu’ils soutiennent le M23 pour contrer les Hutu du FDLR que nous gardons armés chez nous.

Les M23 se battent pour la survie des Tutsi congolais et pour débouter la dictature, l’esclavage, le pillage de nos ressources que nous impose de Kinshasa soutenu par quelques racistes bantous qui ne savent rien des enjeux politiques à l’Est du Congo.

Le peuple que nous sommes, oublie que se sont les FARDC, la PNC, les faux Wazalendo et leurs alliers étrangers qui nous pillent, dilapident nos richesses, pour se mzintenir au pouvoir et soumettre le Congo tout entier, et s’éviter les condamnations de leurs crimes cumulés depuis 1960 jusque ce jour.

Les 85% de faux chrétiens rejoignent cette cohorte. C’est pour cela que Dieu nous résistera, jusqu’à ce que nous débarrassions le Palais de la Nation des fétiches dont nous l’encombrons.

Voyons si Dieu peut changer !

La raison du plus fort…


Maître KABALU signe

WhatsApp, 24 janvier 2025.

Situation à 16h30, heure de Lubumbashi

  1. Il est important de noter que Goma n’est pas tombée, d’ici peu la ville sera entièrement sous contrôle de nos FARDC.
  2. Des affrontements se déroulent entre l’unité spéciale des Tigres des FARDC et les forces rwandaises (RDF) à la borne 12.
  3. Parallèlement, à Gisenyi, des échanges de tirs ont eu lieu entre l’unité spéciale des Guépards des FARDC et les RDF.
  4. Si Goma avait été totalement capturée, le communiqué des M23 aurait déjà été annoncé.
  5. À ce jour, nous notons un silence radio du côté du M23, qui n’a pas encore confirmé sa prise de contrôle sur la ville de Goma. En conclusion, la détermination reste forte et nous continuerons à nous battre jusqu’à la dernière goutte de sang.

GPAU cogite

Ce qui pourrait réjouir, c’est la présence de Guépards à Gisenyi. Chez l’ennemi, pour le dissuader de promener dans notre pays comme s’il était chez lui.
En revanche, combattre nos concitoyens de l’AFC et du M23 nous semble être une trahison de notre unité, nous Congolais. Ceci, quand bien-même ils seraient supportés par des pays tiers. Dans ces pays tiers se trouvent par aillieurs nos cousins à nous tous, à protéger. Rappelons que l’AFC et le M23 sont des Congolais, qui ne partagent pas le mode de gestion de Kinshasa. Nous sommes nombreux à nous en plaindre ; sans souscrire à la rébellion. Nous, de l’Ituri et du Nord-Kivu, sommes en désaccord total avec Kinshasa. Que reprochons-nous à ce régime comme aux précédents ?

  1. La spoliation de nos moeurs.
  2. Le pillage de nos ressources.
  3. Un état de siège injustifié et demandé par nos populations.
  4. La présence de MONUC sur nos terres sans notre invitation.

Quant à ceux qui ne tiennent que le langage de la force, ils feraient mieux de se raviser. En effet, beaucoup, dans l’AFC et dans le M23, nous tiennent aussi le même discours. Se battre, jusqu’à la dernière goutte de sang. Dans un tel cas de figure, le plus fort gagnera. Ce sera Kinshasa ou l’AFC/M23. Quelque soit le gagnant, sa victoire durera durera combien de temps ? Le plus triste dans l’histoire est apparaît désormais au grand jour. Nous n’avons plus de leçon à donner aux Rwandais. Parce que nous les combattons avec les FDLR dans nos rangs. Pendant longtemps, nous les avons gardés armés, sur notre territoire, à ce que nous apprenons, mais qui doit être vérifié.

Il apparaît donc qu’une solution propre existe. De bonne fois, chaque partie désarme les rebelles des pays frontaliers, réfugiés sur son territoire. Chaque pays fait respecter ses frontières, avec le soutiens des ses amis.

La raison du plus fort sera-t-elle la meilleure ici aussi ? Quelle Dieu confessons-nous ?

Qui veut comprendre et comment ?


On ne comprend plus rien. La Monusco était en train de combattre les terroristes du M23/AFC, aux côtés des FARDC. Comment se fait-il que la même Monusco soit en train de désarmer les FARDC ? Au lieu de désarmer les rebelles, ils désarmes leurs ennemis ?

On ne comprend plus rien.

Qui ne comprend rien ? Pourquoi ne comprend-il plus rien ? Avec quelle conséquence pour lui et pour l’humanité ?

Nous, peuple congolais, sommes très lents à comprendre. C’est bien avant la colonisation que nous ne comprenions déjà rien. Nous vendions nos enfants aux arabes, sans le moindre souci. Même à la colonisation, nous ne comprenions pas. La traitrise ignoble, confier le sort de nos peuples aux colonisateurs, ne nous disait rien.

Jusqu’aujourd’hui, nous sommes encore nombreux à ne pas avoir compris. Que nous n’ayons qu’une indépendance de nom. Et qu’avant l’indépendance de 1960 et après cette indépendance, notre reste pour l’instant la même.

Nous ne connaissons même pas encore la mission de la MONUSCO dans notre patrie. Qui nous a jamais décortiquer le contrat qui lie la RDC à l’ONU dans l’affaire MONUSCO ?

Pourquoi ne venez-vous pas à nos rencontres du Projet 2014 ? De 20h00 à 20h40, sous Zoom, venez écouter des Congolais avertis, sur des questions qui nous chiffonnent. Quitter notre ignorance, notre incompétence et notre indiscipline, nous permettra de ne plus commettre les erreurs du passé.

Venez donc en tant que conférencier, orateur, modérateur de travaux en groupe. Vous nous aiderez à hisser notre niveau intellectuel, professionnel et moral, pour l’avancement du Congo-Kinshasa. C’est alors seulement que nous créerons la surprise, que nous laverons notre honte.

L’AFC et le M23 sont des rebelles congolais, contre le régime de Kinshasa, soutenus par plusieurs pays étrangers. Tout comme l’UDPS est une dictature, une imposture, soutenues par plusieurs pays étrangers. Pour nous, les uns comme les autres sont comme la peste et le choléra au Congo. La rébellion et la dictature sont deux maux qui gangrènent notre pays !

Que le Dieu créateur des cieux et de la terre nous aide dans notre démarche. Elle qui vise à faire comprendre cette donne, nous tous, idolâtres, fainéants et traîtres.

Notre Père céleste et nous !


[1/7, 07:10] Par grâce

Projet 2014 – WhatsApp

MESSAGE FORT AUX FARDC

Militaires FARDC n’ont pas droit à l’erreur face à la guerre contre les M23.
La population reconnaît la supériorité de la force motrice des FARDC.
Si les FARDC pourraient céder les zones sous son contrôle aux mains des ennemis, la population comprendra que c’est de manière volontaire de la part des FARDC.

La population Nord-Kivucienne souhaite voir les FARDC éliminer l’ennemi qui n’a plus d’ailleurs la force. Boustez hors du sol congolais ces hors la loi.
Laissez ceux qui font les défections le faire car ils sont fatigués de garder leur hypocrisie dans les rangs de FARDC (les masques tombent)
Pas question d’explication…!!!

« NE JAMAIS TRAHIR LE CONGO »🇨🇩 »

Cellcom NZ. AM.


[1/7, 12:50] GPAU

Nous n’avons jamais gagné une seule guerre par nous-mêmes dans le passé : pourquoi ?

En 2025, qu’avons-nous acquis de nouveau, pour gagner une guerre contre les M23, l’AFC et alliés ?

Il est inique et incensé de faire semblant de combattre nos compatriotes, nos propres frères, rebellés contre le régime esclavagiste, colonisateur et meurtrier de Kinshasa ; au motif qu’ils soient asupportés par nos voisins, nos cousins. Qui pis est, par la force, par les armes, après avoir appelés frères, ces voisins, ces cousins !

Nous, peuple congolais, devons corriger notre erreur : avoir toujours élus, porté au pouvoir, des assoiffés de glorioles, d’argent, de domination de nos peuples, des népotites de tout genre.

Sachons que ce soient pas tous les congolais qui dorment. Kinshasa berne les traîtres : ceux qui n’ont aucun souci de la vie, du bonheur des congolais. Qui sont les premiers assassins du congolais ? Ne sont-ce pas les FARDC et leurs associés Wazalenfo ?

Qui pille, vole, viole, terrorise, appauvrit, colonise, esclavagise, subjugue à Kinshasa, dans le Kasaï et ailleurs ? Sont-ce nos voisins, les M23, l’AFC ou leurs alliés ?

Arrêtons de nous tromper nous-mêmes : corrigeons nos propres fautes, avant de nous attaquer aux vrais défis de notre temps !

Notre Père céleste ne se réjouira jamais de notre méchanceté, de notre fausseté, de notre paresse !

Ce qui se passerait à l’Est


[12/19, 09:03] DD.

Les villages sur la route Goma – Butembo sous control par Les rebelle M23 -RDF

Monigi
Kibati
Buhumba
Kibumba
Rugari
Rumangabo
Katale
Kalengera
Rubare
Rutshuru
Kiwanja
Kahunga
Mabenga
Bushendo
Maymoto
Rwindi
Kanyabayonga
Kayna
Kirumba
Mighobwe
Bwatsinge
Kaseghe
Matembe
Vutsorovya
Alimbongo
Mambasa
Ndoluma
Kitsombiro
Bikara
Katondi

2: ça reste
Lubero
Kimbulu
Musyenene
Ndando
Kyambogho
Butembo

Question tutaweza tena kubatosha mwahii mingini?


[12/19, 09:52] GPAU

Que disent les habitants de ces localités de la gestion de leurs localités par les rebelles de la coalition AFC, M23, RDF et autres ?

Nangaa : Entre nous et un fils de l’Ituri.


Ci-dessous notre conversion avec un fils de l’Ituri sur le phénomène Nangaa.

Certaines choses sont dites qui peuvent aider à comprendre l’âme des Ituriens, des populations de l’Est de la RDC, quand bien-même l’échantillon ne fait pas les statistiques. Lisons, plutôt…

Un fils de l’Ituri :

La cours militaire de la Gombe : voici la liste des co-accusés de Corneille Nangaa.

GPAU :

Que pense-tu du phénomène Nangaa ?  Que pense le Haut-Congo de lui ?

Un fils de l’Ituri :

Il est un traitre.

GPAU :

Pourquoi est-il traitre, à ton avis ?

Un fils de l’Ituri :

À cause de sa soif du pouvoir.

GPAU :

Lui pourrait dire qu’il a la volonté de libérer un peuple meurtri !  Ce qui est bien louable.  Non ?  Que lui retoquerais-tu ?

Un fils de l’Ituri :

L’erreur qu’il a commise ; c’est-à-dire, de rejoindre Kigali.

GPAU :

Je partage ton point de vue.  Quoi qu’il arrive, il devrait rester auprès des siens ; se battre avec eux et ne pas courir vers des étrangers qui dans son pays, qui sont par ailleurs ressentis considérés, par la majorité, comme des ennemis du congolais, à tort ou à raison !

C’est ce que nous allons lui envoyer comme message, en tant que Haut-Congolais, nilo-soudanais ; en espérant ainsi toucher son cœur au-delà de son intelligence.  S’il nous écoute, nous l’aurons gagné à la cause de l’amour des siens.  S’il ne nous écoute pas, Dieu, qui connais les cœurs tranchera.

Un fils de l’Ituri :

Aller demander de la force à l’extérieure c’est un signe de faiblesse.

S’il voulait revendiquer la démocratie, ce n’est pas de cette façon-là qu’il devrait le faire. Cela a prouvé en suffisance qu’il ne soit pas des nôtres. Il a l’idéologie et la force de réunir, mais il a mal procédé.

GPAU :

1. Quelle est son idéologie ?  Où est-elle documentée, pour que nous l’examinions calmement et prenions position pour ou contre lui ?

2. En quoi vois-tu en lui la force de réunir ?  L’impression que j’ai est qu’il ait des émules, à l’Est ; et, des opposants, partout.

Un fils de l’Ituri :

Dans cette vidéo-ci par exemple !

Kanyabayonga : est-ce la victoire du M23 et de l’AFC ?


Kanyabayonga tombé, est-ce la victoire du M23 et de l’AFC sur les FRDC et Wazalendo ?

Non ! Parce qu’une rébellion ne peut avoir le denier mot. Dieu l’utilise pour instruire son le peuple congolais, au coup roide. Après quoi, la rébellion sera elle aussi détruite, parce qu’elle est une œuvre inique, elle aussi.

https://www.lemonde.fr/afrique/article/2024/06/29/en-rdc-la-rebellion-du-m23-s-empare-d-une-ville-strategique-dans-l-est_6245418_3212.html