M23 : congolais ?


KANAMBE PREPARE DE METTRE LA RDC A FEUX EST A SANG  Ouganda: un millier d’ex-rebelles congolais s’échappent de leur camp

[Source : http://www.rtl.be/info/monde/international/ouganda-un-millier-d-ex-rebelles-congolais-du-m23-s-echappent-de-leur-camp-684949.aspx]

Kampala – Un millier d’ex-rebelles congolais du M23 se sont échappés mardi de leur camp en Ouganda lors d’une opération de rapatriement en République démocratique du Congo (RDC), a annoncé l’armée ougandaise, tandis que 120 ont bien été transférés vers leur pays.

Un millier de rebelles du M23 se sont échappés du camp de Bihanga, à quelque 300 km au sud-ouest de Kampala, expliquant craindre pour leur sécurité s’ils étaient rapatriés en RDC, a déclaré le porte-parole de l’armée ougandaise, le lieutenant-colonel Paddy Ankunda, sur le compte Twitter de l’armée.

Le gouvernement recherche désormais les rebelles du M23 qui ont échappé au rapatriement, a-t-il ajouté.

L’opération, qui avait démarré tôt mardi matin, s’est heurtée à l’opposition de nombreux ex-combattants, le président du M23 affirmant que certains d’entre eux avaient été blessés par balles par les soldats ougandais.

En revanche, 120 ex-miliciens ont embarqué dans un avion à l’aéroport international d’Entebbe, à une trentaine de km de la capitale ougandaise, a constaté un journaliste de l’AFP. L’avion a ensuite décollé à destination de la RDC voisine.

Il y en a 120 qui sont en route pour Kinshasa, a confirmé à l’AFP François Muamba, coordonnateur du Mécanisme national de suivi (MNS), un organisme congolais chargé du dossier.

Quelque 1.300 ex-combattants du M23 étaient cantonnés dans le camp de Bihanga depuis la défaite de cette rébellion congolaise fin 2013.

(©AFP / 16 décembre 2014 21h48)

Le secret…


AVEC DE TELLES PRISE DE POSITION, LES MASQUES SONT EN TRAIN DE TOMBER, LES KABILISTES DE LA DIASPORA COMMENCENT A SE DEVOILER D’EUX-MEME


Si c’est un secret, pourquoi une telle publication alors ? D’autre part Jean Claude Muyambo, ayant déclaré depuis belle lurette son désaccord et publiquement, je ne vois pas pourquoi il aurait été admis à participer à une réunion secrete. A partir du moment où une réunion regroupe 5 personnes, elle n’est plus secrete. Louis Michel, il ne s’occupe plus des problemes de RDC.

Le 16 décembre 2014 09:45, Arthur Kalombo via Congokin-tribune <congokin-tribune@congokingroupes.com> a écrit :

LA VERITE DERRIERE LE GOUVERNEMENT ET LE DISCOURS DE KABILA

Chers Congolais de part en part,

Reveillez-vous, la maison est en feu!

De source sure du pouvoir americain, un complot contre la Republique Democratique du Congo ourdi de la Belgique par Louis Michel et qui a abouti a la configuration du gouvernement appele Matata II, vient d’etre devoile par les informateurs americains au courant de tout ce qui se trame au Congo par le pouvoir d’occupation.

Dernierement, une reunion, dirigee par Jeanette Kabila et le General Olenga avait convie le Tout Katanga politique proche du pouvoir a une rencontre secrete a laquelle Jean Claude Muyambo avait egalement participe. Les seules absences, l’ancien Ministre de l’Interieur Muyej empeche et Katumbi Moise en convalescence en Europe.

Deux points a l’ordre du jour:

1. Comment forcer le passage de la revision constitutionnelle?

2. Que faire en cas d’echec pour se cramponner au pouoir?

Apres avoir ecoute l’introduction par les maitres de seans, a la surprise totale de Jeanette Kabila et le General de pacotille Olenga, l’assistance va opposer un non categorique non sans faire remarquer que cette histoire de la revision constitutionnelle etait dangereuse dans la mesure que le seul Katanga ne peut pas representer tous les Congolais de differentes provinces. Depuis l’independance, operation dans laquelle les Ne Kongo ont joue une grande part de responsabilites et d’autres provinces egalement, il etait hors question de penser garder le pouvoir avec le concours du seul Katanga.

C’est alors que la carte Louis Michel va etre jetee sur la table. D’apres ce Belge ne a Kisangani et qui se pose comme un ennemi jure des Congolais, il faut jouer la diplomatie. Etant donne que les lobbies sont repertories et leurs avoirs controles, il faut abandonner cette piste pour adopter celle de l’utilisation des diplomates plus discrete.

En effet, un diplomate n’est pas controle financierement par le gouvernement du pays d’accueil et peut disposer d’un budget hors de vue et l’utiliser a sa facon. La trouvaille est que Kabila devra renflouer les caisses de son ambassadeur aux Nations Unies a New York , un certain Ignace Kata pour financer les diplomates des pays membres du Conseil de Securite ayant le droit de veto.

Ce financement sera destine a creer des relations intimes avec le pouvoir au Congo pour enteriner les propositions selon lesquelles la CENI, dans la situation actuelle, serait dans l’incapacite d’organiser les elections et qu’il faudrait laisser Kabila au pouvoir afin de lui permettre de faire le travail. Mais ces propositions viendraient des ambassadeurs des pays les plus opposes a Kabila comme la France, des Etats-Unis, d’Angleterre et bien d’autres. Les milieux diplomatiques contactes a Kinshasa ont confirme l’information en ajoutant que le plan est tres avance. Ils ont donne un example, a titre illustratif, que le Chili qui est membre du Conseil de Securite peut etre convaincu par son ambassadeur a l’ONU de travailler pour Kabila et la transaction passerait inapercue.

Louis Michel a promis de mettre a contribution l’ambassadeur de Belgique a l’ONU pour travailler les ambassadeurs de France et des Etats-Unis particulierement. L’ennui pour Louis Michel en est que l’Amerique n’est pas la Belgique et que tout se sait en Amerique. Il ne s’attendait pas a ce que son plan soit devoile par les services americains.

D’ores et deja, la Maison Blanche a deja pris ses dispositions pour opposer un veto en cas ou une resolution serait sur la table pour laisser Kabila aller au-dela son mandat constitutionnel.

Selon Luis Michel, la mission de certains ministres comme Boshab est de mater toute oppositiondes Congolais en mettant la securite et la police entre ses mains. On peut dire que le formateur de Matata II doit etre ce Belge devenu a pain in the as des Congolais, Louis Michel. On comprend des lors pourquoi dans son discours a la Nation, Kabila parlait de doter la CENI  des lois qui lui permettent de faire le travail comme s’il n’y avait deja pas de loi electorale!

Pendant ce temps que font les opposants congolais? J’avais ecrit un jour que l’Occident avait deja decide de la fin du regime ou des regimes dictatoriaux en Afrique pour adopter une formule, celle de traiter avec le consentement des populations. Autrement dit avoir des regimes acceptes par la volonte populaire. J’avais ajoute qu’il appartenait aux Congolais de prendre le bras pendant qu’on leur presentait le doigt. Nombreux sont ceux qui sont restes ancres a leurs croyances de voir l’Occident rester sur ses positions en oubliant que tout evoluait tout comme la politique internationale.

Les effets de ce changement de politique internationale comme il y a pres d’une vingtaine d’annees, la Perestroika avait bouleverse le monde en emportant beaucoup de regimes qui ne s’etaient pas prepares a l’evolution inexorable du monde politique.

Nous y sommes aujourd’hui. Les sceptiques qui avaient sous estime les declarations des emissaires americains et onusiens, des resolutions du Conseil de Securite etc…les qualifiants des maneuvres dilatoires, les effets sont la et les opposants congolais sont pris au depourvu parce qu’ils se distraient mutuellement pendant que l’occupation etait concentree sur quelque chose de plus cinique comme dirait notre compatriote Kayenga Nsudi.

Les Congolais devraient se convaincre que l’Occident sera toujours la sur leur chemin. L’Occident nous empeche de jouir de nos richesses que Kabila distribue comme St Nicolas pendant que le peuple est miserable. On ne pourra rien faire de consistant si le peuple n’est pas canalise dans une meme direction. Ce peuple dont l’Occident a litteralement peur de voir se soulever et mettre en peril leurs interets au Congo ne fera rien si l’opposition de s’entend pas.

Il est imperatif que la vraie opposistion ne joue pas le jeu de faux opposants qui ont la mission de distraire les vrais en les infiltrants et en jouant aux opposants alors qu’ils font le jeu du pouvoir. Lire les revelations sur Lambert Ngoi, la grosse gueule de l’internet qui vient d’etre deballe par Gbanda Honore.

Les Congolais font du surplace parce que les NDOKI comme avait chante Franco,  » Keba bandoki basili te »  sont dans le noir en train de traiter avec les ennemis du peuple congolais. On les voit meme sur l’internet rejetant toute verite que les autres portent a la connaissance du public.

Nous sommes a la croisee des chemins ou les opposants, les vrais, devront demontrer leur determination et surtout leur capacite professionnelle. La demeure est sinistree et nous avons besoin des hommes et des femmes exceptionnels pour changer la situation. Le plus dur sera la reconversion des collabos congolais, corrompus jusque dans la moelle epiniere.

Lisez et faites lire a grande echelle en y ajoutant vos commentaires. L’information est confidentielle et ne demandez pas de vous citer les sources bien qu’elles soient connues. On ne vous les donnera pas car, nous ne pouvons pas nous permettre de faire taire nos informateurs et manquer d’autres informations sur le developpement des evenements.

C’est a prendre ou a laisser. Vous voulez les considerer comme acceptables, Ok. sinon, vous ne les lisez meme pas et on en parle plus.

Kalombo Kabengu

Mort naturelle ou provoquée ?


Le gouverneur de l’Equateur, Louis Alphonse Koyagialo, est décédé dimanche 14 décembre en Afrique du Sud où il suivait des soins depuis plusieurs mois. Le porte-parole du gouvernement congolais, Lambert Mende, l’a annoncé sur Radio Okapi..

« Malheureusement, je dois confirmer le décès du gouverneur Koyagialo en Afrique du Sud aujourd’hui. Nous sommes ravagés par cette triste nouvelle. Le gouverneur Koyagialo comme homme politique et comme administrateur était l’un des meilleurs d’entre nous. C’est quelqu’un que j’ai fréquenté, que j’ai appris à connaître. C’est une très triste nouvelle pour ce pays », a déclaré Lambert Mende.

Au sujet du programme des funérailles, il a dit attendre que la famille du défunt et le gouvernement le publient.

La maladie l’éloigne de sa province

Élu gouverneur de l’Equateur en juin 2013, Louis Alphonse Koyagialo a souvent été éloigné de sa province à cause des problèmes de santé.

Il quitte l’Equateur pour la première en septembre 2013 pour se faire soigner à Kinshasa et en Afrique du Sud. Il y rentre en mars 2014.

De nombreuses personnes viennent l’accueillir à sa descente d’avion à Mbandaka.

A (re)Lire: Equateur: le gouverneur Koyagialo de retour à Mbandaka

Mais il n’y reste pas longtemps.

Quelques semaines après, il est obligé de quitter l’Equateur pour se faire soigner. Il ne rentrera pas cette fois-ci pour diriger cette province à la tête de laquelle il a été porté en 2013.

Long parcours dans la territoriale

Louis Koyagialo né à Yakoma le 23 mars 1947. Il est licencié en Droit de l’Université de Lovanium [aujourd’hui Université de Kinshasa, Unikin]. En 1972, il travaille comme conseiller juridique à l’Office national de logement (ONL). Il rejoint l’année suivante le ministère des Affaires sociales.

Réputé pour son expertise dans la territoriale, carrière qu’il embrasse en 1979, d’abord comme directeur de région au Katanga (appelé alors Shaba), Louis Alphonse Koyagialo devient ensuite commissaire sous régional de Likasi (1980 – 1982), puis commissaire urbain de Lubumbashi jusqu’en 1985.

Il devient ensuite vice-gouverneur du Kasaï-Oriental et du Kivu. Entre 1986 et 1990, Louis Alphonse Koyagialo occupe le poste de gouverneur du Katanga.

Gouvernement

Cadre de la Majorité présidentielle, Louis Koyagialo est nommé vice-Premier ministre et ministre des Postes et Nouvelles technologies de communication du gouvernement Muzito III en 2011.

En mars 2012, il est nommé Premier ministre intérimaire de la RDC en remplacement d’Adolphe Muzito, élu député.

radiookapi.net

QUI ETAIT KOYAGIALO NGBASE TE GERENGBO ?

QUI EST LOUIS ALPHONSE KOYAGIALO ?
Louis Alphonse Koyagialo Ngbase te Gerengbo est un politicien congolais. Il est Premier ministre par intérim de la République démocratique du Congo du 7 mars 1 au 9 mai 2012. Il était le vice-Premier ministre et ministre des Postes et Nouvelles technologies de communication du gouvernement Muzito III depuis septembre 2011.
Koyagialo provient de la même partie de l’Equateur Province de président Mobutu Sese Seko. [2] Sous Mobutu, Koyagialo a été gouverneur de la province du Shaba (rebaptisé depuis que la province du Katanga) de 1986 à 1990. [3] [4]

En Avril 2006, il a publié un livre décrivant le massacre des étudiants à l’Université de Lubumbashi. Le livre prétend que seul un étudiant est connu pour avoir trouvé la mort. [5] Il s’agit de la position officielle du gouvernement. D’autres sources donnent des estimations divergentes du nombre d’étudiants qui sont morts, avec Amnesty International suggère que le chiffre est entre 50 et 150.
Koyagialo a été nommé Secrétaire général par intérim de cartel politique du président Joseph Kabila. Dans un remaniement mineur a annoncé le 11 Septembre 2011, il a été nommé vice-premier ministre et ministre des PTT. [2] Le 14 Octobre 2011, il a visité le siège de la Commission électorale nationale indépendante, CENI, de signer le Code de conduite pour le haut -élections à venir au nom de Joseph Kabila, qui n’a pas assisté en

wikipedia.org

Lu pour vous par Yves malou Papa2Bebe
[03:12:03] Banduenga Pauline Muabenga – Fixe: https://kinshasamakambo.files.wordpress.com/2014/12/koya-2.jpg?w=849&h=638

Meka kososola !


Uta skypiste moko…

ALERTE****ALERTE****ALERTE***
Moyen naloba na lopoto eza te… Bandeko oyo nyonso bavandaka na Belgique pe baza na mikanda ya mboka oyo te… Kobanda mokolo ya lobi te na mokolo ya tuku mibale ya sanza eza koya, bakoluka bino bisika nyonso po na kokanga bino…bozala ekenge na ba bus, bo keba na ba esika oyo bato basangani ebele… Soki esika ovandaka eyebani na bakolo mboka, meka kokende epayi ya ba ndeko to ba masta…Mbala oyo Mbila akotambola ye moko te, akozala na bato oyo basalaka na esika bayambaka ba paya na ba ngunda mbala ya liboso…. Ezali Liseki te… Bo prévenir balobeli bino na mibeko…..Bozala Ekenge pe Nzambe abatela bino

Où est le salut ?


L’un des obstacles majeur à la réussite des projets de l’opposition congolaise est sa pauvreté.  La pauvreté du plus grand nombre d’entre nous. Une pauvreté tout aussi bien spirituelle, matérielle, sociale, technologique que financière. Cette pauvreté a de graves conséquences pour la vie de notre nation.

Très peu d’opposants en effet peuvent organiser une campagne électorale par leurs propres moyens.  Très peu d’entre eux peuvent mobiliser la base correctement avant les élections, faute de disposer des ressources nécessaires et suffisantes. Que ces ressources soient spirituelles, matérielles, sociales, technologiques, financières ou autres.  Des hommes capables d’organiser une campagne de propagande professionnelle, à impact, font défaut. Ceux qui sont disponibles sont eux-mêmes beaucoup plus engagés dans le but de se trouver de quoi vivre que pour défendre la démocratie ou l’avènement d’un État de droit. L’argent pour supporter les frais à engager, n’est pas à la portée de la plupart d’entre nous.  C’est donc dire que, d’ici 2016, très peu d’entre nous pourraient logiquement, sérieusement et valablement, proposer aux congolais l’indépendance progressive du Congo.  À moins de créer, rapidement et correctement, une synergie au sein de l’opposition. Une plateforme qui nous permette d’être libres de notre pensée ou idéologie et libres dans son action ou intervention auprès de nos bases respectives.

Dans le Projet 2014, nous travaillons sur la question de la mobilisation des ressources nécessaires pour mener une lutte politique digne, démocratique, efficace ; afin de garantir des résultats durables.  Les résultats viennent très lentement. Nous attendions 3000 participants au Projet 2014 d’ici le 31 décembre 2014. Tout indique cependant que nous ne serons probablement pas plus de 20 participants au projet.  Or, pour nous engager valablement et utilement dans la plus grande plate-forme de l’opposition en 2016, nous souhaiterions avoir sur nos listes au moins 5% de l’électorat. Nous pourrons ainsi prétendre à au moins un poste ministériel.

Pendant ce temps, le congolais aujourd’hui croit plus qu’aux solutions qu’il est incapable de mettre en œuvre et qui pour la plupart ne peuvent garantir au congolais un bonheur futur. Ce sont les coups d’état, les rébellions, les assassinats politiques, les interventions miraculeuses de Dieu que par ailleurs l’on ne craint pas, l’anarchie, etc.  Les échecs du passé ne lui apprennent rien jusqu’ici à cause de son orgueil et d’un manque de travail d’organisation, de planification et d’évaluation de notre lutte commune contre l’esclavagisme, la colonisation, la dictature, l’imposture, la trahison et la médiocrité dans la gestion de la chose publique.

La question que plusieurs patriotes se posent aujourd’hui est : que faire pour s’en sortir ? Qui mobilisera les patriotes convenablement, professionnellement, pourquoi et comment ? Face à un pouvoir sanguinaire, comment s’investir en prenant des risques mesurés et en amorçant des projets à impact ? Nos réponses à ces différentes questions se déduisent de notre analyse ci-dessus.

(1) Pour nous en sortir, nous devons nous mettre au travail. Un travail bien structuré et intensifié pour mettre, démocratiquement, hors d’état de nuire, l’imposture et tous les maux que nous en héritons.

(2) Seul un projet visant et exigeant l’excellence de ses participants, tel le Projet 2014, permettra à la RDC de sortir de son bourbier où l’a mis le MNC, le MPR, l’AFDL et le PPRD. Tous les autres projets ne contribueront à l’affermissement du régime de Kinshasa, comme cela l’est jusqu’à présent et risque de l’être en 2016 ; si du moins, rien ne change dans notre manière de penser et de travailler le changement.

(3) Derrière le PPRD se trouvent des principautés, des forces occultes, mais aussi des hommes méchants que nous voyons et que nous touchons. Le conseil biblique est simple, mais efficace : quitter Babylone la Grande et éloignez-vous de tels hommes ; qui, se disant frères, démontrent par les fruits qu’ils produisent, qu’ils ne sont pas des nôtres, qu’ils ne sont pas nés de nouveau !

L’anglais aussi…


Le régime de Kinshasa s’est décidé de modifier la constitution en arguant que ce soit une volonté populaire de le faire.

L’anglais fera-t-elle aussi son entrée dans cette constitution congolaise, au côté du français, du lingala, du swahili, du kikongo et du tshiluba, comme s’en rejouiraient, probablement, la majorité des congolais de l’Est de la RDC et l’anglophonie ?

Celui que nous ne reconnaissons pas comme notre président, ne l’a-t-il pas annoncé autrement que par son apparent divorce d’avec le français au seuil de ce sommet ?  Est-ce là aussi un autre spèctre, une autre ombre de Yoweri Museveni et de Paul Kagame ?

L’avenir nous le dira.

Le vol du congolais par VODACOM


Frères congolais,

Voici un de ces chats qui nous fait découvrir combien nous sommes nous mêmes la cause première de notre problème ; à supposer que cette information-ci se confirme.

Qui est le ministre en charge de la fixation des prix des communications en RDC et comment peut-il tolérer un tel vol de son peuple ?  Est-il rwandais, un sang mêlé ou congolais de pur sang ?

Nous avons écrit à Vodacom (https://www.vodacom.cd/ , vodacom@vodacom.cd) pour obtenir confirmation !

Levons-nous et prenons la défense de nos frères congolais, de nos frères humains !

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[17:54:24] KML : ok

[17:54:35] KML : je suis en train de télécharger cela

[17:54:49] KML : je pourrai écouter cela cette nuit

[17:54:51] KML : merci

[17:57:05] GPAU : OK !

[17:57:17] KML : merci encore

[17:57:29] GPAU : Le téléchargement qui dure 1 minutes, chez-vous cela prend des heures ?

[17:57:33] GPAU : C’est cela ?

[17:57:50] KML : comprend que le congo est bizarre

[17:58:13] GPAU : Nous devons changer et nous pouvons changer la situation.

[17:58:20] KML : t que nous devons travailler pour tout améliorer

[17:58:45] GPAU : Vous n’êtes pas assez actifs.

[17:59:08] GPAU : Là, tu es dans un cyber ou chez toi ?

[17:59:09] KML : j’avais effectué un petit déplacement

[17:59:18] KML : chez moi

[17:59:51] GPAU : Tu utilises un modem Wi-Fi USB ou un routeur Wi-Fi ?

[18:00:29] KML : yes un modem routeur wifi

[18:01:30] GPAU : Combien t’a-t-il coûté et à combien revient l’abonnement mensuel ?

[18:03:26] KML : chez vodacom je l’ai acheté à 160$, + 200$ de forfait mensuel que je paye donc 360$ au total pour une bande passante de 250Kbps

[18:03:55] GPAU : Ô là !

[18:03:57] KML : je paye par moi 200$

[18:03:59] GPAU : Quel vol ?

[18:04:09] KML : c’est ca

[18:04:20] GPAU : Tu es où, dans quelle ville finalement ?

[18:04:43] KML : présentement à kin

[18:04:46] KML : et vous

[18:05:10] GPAU : À Goma il y chez Orange des connexions 3G à 45 $/mois !

[18:05:51] GPAU : Vous ne savez pas écrire une pétition à l’adresse du ministre en charge des télécommunications ?

[18:06:03] KML : je crois que le téléchargent est limiter pour quelque giga

[18:06:15] GPAU : Connais-tu d’autres personnes qui sont dans ta conditions ?

[18:06:26] GPAU : Orange n’est pas présent à Kinshasa ?

[18:06:35] KML : Bien sûr !

[18:09:22] GPAU : Lino, pour 74 euros/mois, j’ai le téléphone fixe en illimité, 2 Go de transfert de donné par modem USB, la TV en illimité, l’Internet à 128 Mbps (MEGABITS par seconde) en illimité 365/24 !

[18:09:35] GPAU : Il faut protester contre cette exploitation.

[18:10:19] GPAU : Trouve-moi l’adresse email du ministre de tutelle et je lui écrirai sans indiquer ton nom !

[18:10:19] KML : ah mon Dieu

[18:10:48] KML : toi-même tu sais à propos de notre pays

[18:10:51] GPAU : Je vais mobiliser une action contre ce vol patent de Vodacom…

[18:11:03] KML : je te trouve ça demain

[18:11:10] GPAU : Vous vous laissez faire !

[18:12:17] GPAU : Il n’est pas normal qu’une communication qui ne devrait pas te coûter 20 $/mois coûte dix fois plus !

FDLR dans l’Orientale puis dans l’Equateur…


BREAKING NEWS ALLERTE ROUGE  le rwandais hypolite kanambe soit disant-«Joseph Kabila» avec ses freres rwandais-, mille quatre cents combattants des FDLR (Forces démocratiques pour la libération du Rwanda) – qui ont accepté de déposer les armes – accompagnés de quatre mille deux cents membres de leurs familles vont être transférés, des provinces du Nord et Sud Kivu, à Kisangani (Province Orientale) avant leur installation «provisoire» à Irebu, tout près de Bikoro, dans la province de l’Equateur. Cette question qui touche à la sécurité nationale n’a pas fait l’objet de délibération du Conseil des ministres. Elle n’a pas non plus été évoquée par les deux chambres du Parlement. A preuve, les protestations des parlementaires de la Province Orientale et de l’Equateur. L’éloignement de ces opposants au régime de Paul Kagame des frontières de leur pays a le mérite de «démasquer» un rwandais a la personne de  «Kabila», qui fait de moins en moins mystère de sa loyauté vis-à-vis de sont pays natal le  Rwanda que du Congo-Kinshasa qui lui a sorti du néant et tout donné. Le cas sous examen n’est pas le premier du genre. 

«Contrairement aux apparences, Joseph Kabila est un trouillard. Il a une peur bleue de son mentor Paul Kagame. La preuve a été faite le 30 juin 2010 lorsque le démarrage de la parade militaire à Kinshasa a été retardée de plusieurs heures parce que Paul Kagame avait quitté Kigali avec deux heures de retard». L’homme qui parle est un diplomate d’un pays occidental en poste à Kinshasa. Il ajoute : «Joseph Kabila n’a pas oublié qu’il a foulé le sol du Kivu, en octobre 1996, en qualité d’aide de camp et de chauffeur du colonel James Kabarebe, l’actuel ministre de la Défense du Rwanda. Les dirigeants rwandais exercent du chantage sur lui. Fidèle vis-à-vis de ses mentors rwandais, Joseph Kabila n’a pas oublié les services lui rendus par certains leaders des FDLR d’où les atermoiements actuels». A en croire ce diplomate, c’est encore «la peur» qui aurait incité le «raïs» à convoquer les ambassadeurs le 31 mai pour dénoncer les «ingérences». «Kabila Kabange avait péter les plombs ce samedi 31 mai».

Selon le général Abdallah Wafy, représentant spécial adjoint du secrétaire général de l’Onu en charge des opérations dans la partie orientale du Congo, les 1400 miliciens Hutus rwandais «ayant accepté de déposer les armes» arriveront «prochainement» à Kisangani au lieu-dit «Centre technique de Bataillons». Il semble que «Boyoma» ne sera qu’un lieu de «transit». La prochaine destination – finale ? – serait la localité d’Irebu, à l’Equateur en attendant de trouver un « pays d’accueil ». «C’est à croire que le chemin le plus court pour aller des provinces du Kivu vers le Rwanda passe par Kisangani et Mbandaka», s’enrage un activiste de la société civile joint au téléphone mardi à Kisangani.

A Kinshasa, le général Wafy a indiqué l’itinéraire : Walungu-Bukavu (Sud-Kivu), puis Kisangani (Province Orientale) et Irebu via Mbandaka (Equateur). A partir de cette dernière province, «on» va leur chercher un hypothétique pays d’accueil. Motif de cette errance : Paul Kagame rechigne à voir l’ombre d’un «Interahamwe» aux frontières de son pays. Le Congo-Kinshasa est-il en passe de se transformer en réceptacle des tous les flibustiers et autres pistoleros de l’Afrique centrale?

Selon des indiscrétions dans la capitale congolaise, la décision de délocaliser les éléments des FDLR n’a jamais fait l’objet d’un débat au cours des rares réunions de Conseil des ministres. Au palais du peuple, siège du Parlement, personne n’a souvenance d’une discussion en plénière ou en commission sur cette question afin d’apprécier les avantages et les inconvénients. «Politiquement irresponsable, Joseph Kabila a toujours été le véritable conducteur de la politique de la nation usurpant une prérogative du premier ministre sans rendre compte à la représentation nationale», commente un député national de la majorité présidentielle. L’homme a requis l’anonymat. Et d’ajouter : «Il est inacceptable que le chef de l’Etat exerce un pouvoir sans contrôle ni limite. Il décide impunément sur tout avec une sorte de gouvernement parallèle qui se trouve à la Présidence. La raison est simple : la grande majorité des députés et sénateurs sont ses obligés». «La délocalisation des FDLR à Kisangani et à Irebu ne répond à aucun intérêt national», souligne-t-il.

Réactions

Lundi 14 juillet, le comité des députés nationaux de la Province Orientale ont fustigé le transit de ces miliciens dans leur région en invoquant des «raisons de sécurité». Président de ce comité, Valentin Senga, membre de la mouvance kabiliste, a été sans équivoque : «Nous refusons catégoriquement le transit et la localisation des éléments FDLR sur toute l’étendue de la Province Orientale».

Notons que des bandes armées nationales et étrangères imposent leur loi dans certaines localités des districts du Bas et Haut-Uélé. C’est le cas des Mbororo et ADF-Nalu. Sans omettre les combattants fidèles au fameux « Cobra Matata » et ceux de l’ex-chef milicien Paul Sadala, alias « Morgan », exécuté en avril dernier par les FARDC. Pour les députés de la Province Orientale, les éléments des FDLR doivent être rapatriés «vers leur pays le Rwanda». Seront-ils entendus ? Rien n’est moins sûr dans cette Assemblée nationale truffée de caudataires prompts à exhiber la danse pour plaire au «raïs».

La même réprobation prévaut dans les milieux des élus de l’Equateur. Ceux-ci avaient donné de la voix dès le mardi 10 juin. C’était au Palais du Peuple. Ici aussi, les députés nationaux craignent une exacerbation de l’insécurité. «L’opinion tant nationale qu’international n’ignore pas les atrocités commises par ce mouvement politico-militaire à l’Est du pays. A ce point de vue, la décision du gouvernement relative à cette relocalisation n’est pas réfléchie», déclarait le président du caucus des députés de l’Equateur, Nicolas Akpanza. «Les réfugiés centrafricains se trouvent nombreux sur le sol de notre province, avec des conséquences négatives sur la vie des autochtones, la précarité de la situation de la province suite au dossier des insurgés Enyele, les récents expulsés du Congo Brazzaville sont pour la plupart des ressortissant de l’Equateur» expliquait-il. Même son de cloche dans les milieux des activistes de la société civile.

Des indiscrétions dans les milieux kabilistes de la capitale laissent entendre que depuis le renversement de François Bozizé par les rebelles de la Séléka, la famille de l’ex-dictateur a trouvé refuge à Kinshasa. «Les Bozizé résideraient au quartier Ma Campagne», confie une source. Il semblerait que Bozizé serait «à tu et à toi» avec François Beya, le patron de la DGM (Direction générale des migrations). Selon la même source, Bozize qui rumine l’ambition de redevenir «calife à la place du calife» à Bangui aurait des contacts réguliers avec Lévy Yakete, le leader de la milice chrétienne Anti-Balaka via un de ses proches qui ferait des vas-et-viens entre Kinshasa et Zongo. D’aucuns parlent d’un certain « Zambrota » qui se baladent au grand jour avec des membres des « services » congolais.

«Joseph Kabila» au service de la sécurité du Rwanda

Les faits parlent d’eux-mêmes. En 2005, le gouvernement de transition « 1+4 » dominé par « les hommes du président  » avait signé un accord à Rome avec des dirigeants des FDLR. Cette convention donnait aux miliciens Hutus rwandais le choix entre «l’installation définitive» – inimaginable! – dans une des régions congolaises ou le «rapatriement volontaire» au Rwanda. Les rapatriements volontaires ont été rarissimes. Paul Kagame et les « manitous » de son régime s’évertuaient à promettre des bosses et des plaies aux candidats au retour.

En mai 2010, l’opinion tant nationale qu’internationale apprenait avec stupéfaction le transfert de cinquante-quatre éléments des FDLR et des membres de leurs familles – soit au total 164 personnes – de Goma à Kisenge au Katanga. Qui a pris cette décision ? L’auteur de cette initiative intempestive est un certain Daniel Mulunda Ngoy Nyanga, président d’une obscure l’association dénommée «Parec» (Programme national pour la paix et la reconstruction). L’homme a pour signe particulier d’être le «gourou» de «Joseph Kabila». A l’époque, le ministre de la Communication et presse en l’occurrence Lambert Mende Omalanga de déclarer : «Ce transfert fait partie d’un vaste programme du gouvernement congolais qui va aboutir au retour de ces FDLR dans leur pays d’origine». «Il n’y a aucune menace pour la sécurité des populations», ajoutait-il. Quid de l’exécution de ce « vaste programme »?

En juin 2011, la presse flamande rapportait qu’à la demande de Paul Kagame, «Joseph Kabila» a entamé des pourparlers avec les leaders Hutu des FDLR. A l’ordre du jour, le transfert des combattants de ce mouvement des environs de Walikale et Masisi au Kivu vers la province du Maniema et leur désarmement. L’objectif, une fois de plus, consiste à éloigner ces opposants armés des frontières de leur pays d’origine. Les négociations étaient conduites, côté congolais, par …un officier belge nommé Jean-Pierre Breyne. Un proche au socialiste francophone André Flahaut. Breyne était assisté de Jean-Luc Kuye Ndondo, président de la Commission vérité et réconciliation, et de Père Minani. Les FDLR, eux, étaient représentés par le général Gaston Iyamuremye aka Ramuri. Les «négociations» se sont terminées en «eau de boudin», comme disent les Belges. Iyamuremye aurait posé trois conditions : le versement d’un montant oscillant entre 250 000 et un millions $ US promis à Rome en 2005 ; des négociations directes entre Paul Kagame et la milice hutue et l’arrêt de toute attaque contre les miliciens. L’homme fort de Kigali y opposa une fin de non-recevoir.

Après avoir échoué au Maniema, « Joseph Kabila » récidive dans la Province Orientale et à l’Equateur. Question : Que mijotent cet individu – au passé jalousement gardé – et les «durs» de son régime? Voudraient-ils «allumer le feu» – avant de «dégager» ? – au Sud (Ba Kata Katanga), au Nord-Est (FDLR, la nébuleuse Maï Maï, Mbororo, ADF, LRA), à l’Ouest (FDLR et Anti-Balaka) ? Pure spéculation ? Assurément pas !

L’actuel locataire du Palais de la nation est plus au service des intérêts sécuritaires du Rwanda de son mentor Paul Kagame et de sa propre survie politique. Il n’a que faire de la sécurité des personnes et des biens au Congo-Kinshasa. Il n’y a plus de doute : le Congo dit démocratique est dirigé par un imposteur. Depuis treize ans.

UDPS et UNC


Frères,
C’est très urgent !
J’apprends à l’instant même que l’UDPS et l’UNC se sont coalisées pour prendre le pouvoir et nous imposer une union des peuples du grands lacs ou plutôt une communauté des Etats des Grands Lacs qui comprendrait le Burundi, le Rwanda, la RDC et l’Ouganda.  Ce serait le prix à payer pour avoir le départ de Kanambe et Kamerhe comme président au Congo, proprement.
Je ne crois pas en la valeur de cette coalition et je propose que nous fassions tout ce qui est de notre possible pour :
1° avertir les congolais de cette superchérie, si l’information que je viens d’avoir devait se confirmer
En effet, par le temps qui court, une telle communauté nous envera dans une autre insécurité de taille.  Pensez à tous les règlements de compte qui vont s’en suivre, avec Kamerhe comme président, lui, dont la congolité suscite pas mal de polémique dans le chef de nombreux congolais, avec raison, plusieurs points demeurant sombre dans son dossier !
2° proposer aux congolais une porte de sortie de cette prison dans laquelle la prétendue coalition UDPS-UNC voudrait nous maintenir, sciemment ou inconsciemment !
C’est urgent !  Nous devons faire la course contre la montre, avec Dieu à nos côtés, la victoire sera totale.
De 22 à 23 heures de Bruxelles, je vous convient nombreux (appeler « uwekomu » sous Skype) à une conférence-débat sur le thème :
« Et si c’était vrai que l’UNC et l’UDPS se coalisent contre le peuple congolais ? »
L’information vient de me tomber sur la table et je commence une campagne ce soir contre ce qui pourrait être, pour la RDC, un autre recul, une autre colonisation en plus.  Dès ce soir, Dieu voulant !

Beni : 10 fléaux.


Résultats de notre enquête dans la ville de Beni.

Nous avons demandé à 60 personnes, dans la ville, quels étaient les 10 problèmes majeurs de la ville, classés par ordre d’acuité décroissante.

Voici ce que les 60 considèrent comme étant les problèmes les plus cruciaux !  Les 60 sont donc plus préoccupés par :

  1. le chômage ;
  2. les bas salaires ;
  3. l’insécurité ;
  4. l’enseignement ;
  5. les conflits fonciers.

En sommant insécurité et guerre, l’insécurité arrive en deuxième position après le chômage.  Cependant, si l’on sommait en même temps la pauvreté et les bas salaires, la question salariale garderait sa deuxième position, avant l’insécurité et la guerre.

Le salaire, l’insécurité, l’enseignement (bas niveau et corruption), ainsi que les conflits fonciers sont les quatre autres problèmes qui taraudent l’esprit des beninois.

Problème Un Deux NbUn NbDeux
chômage chômage   13 0
salaire insignifiant salaire   9 0
Insécurité insécurité   7 0
pauvreté pauvreté   4 0
bas niveau de l’enseignement universitaire enseignement université 4 2
Basse qualité de l’enseignement enseignement   4 0
conflit familial famille   4 0
guerres guerre   4 0
Manque de moyen pour assurer la scolarité pauvreté   4 0
pauvreté pauvreté   4 0
conflit foncier terre   3 0
Corruption en milieu universitaire université corruption 2 1
manque d’infrastructure de base infrastructure   2 0
manque d’investissement finances   2 0
retard dans la réalisation des infrastructures infrastructure   2 0
hausse coûts de dédouanement douane prix 1 1
logement logement   1 0
Manque de maris célibat   1 0
manque de soin de santé de qualité santé   1 0
Manque d’une justice de qualité justice   1 0
qualité de nos prisons prisons   1 0
Réciprocité réciprocité   1 0