GPAU Appelle les Ituriens à passer aux actes !



🕊️ Appel à l’action des peuples d’Ituri – Août 2025

Frères et sœurs Lendus, Hemas, Alurs, et alliés,

Nous connaissons nos douleurs. Nous connaissons nos histoires. Nous connaissons les humiliations, les injustices, les violences, les manipulations. Et surtout, nous savons que personne ne viendra réparer à notre place ce qui a été brisé.

Alors, aujourd’hui, nous nous parlons entre nous. Sans intermédiaires. Sans masques. Sans peur.

Nous, enfants d’Ituri, portons en nous les cicatrices de conflits anciens — mais aussi la force de les dépasser. Il est temps de prendre en main notre destin, de refuser les récits qui nous divisent, et de reconstruire ensemble ce que la haine a détruit.

✊ Ce que nous devons faire, maintenant :

  • Reconnaître les torts, sans chercher à les minimiser ni à les justifier.
  • Écouter les récits de l’autre, même s’ils nous dérangent, car c’est là que commence la guérison.
  • Restituer ce qui a été pris injustement, là où c’est possible, et réparer là où ça ne l’est pas.
  • Refuser la vengeance, car elle ne fait que prolonger la souffrance.
  • Créer des espaces de dialogue communautaire, sans ingérence extérieure, où la parole est libre et respectée.
  • Protéger nos enfants de la haine, en leur transmettant des valeurs de dignité, de vérité et de solidarité.

🛑 Ce que nous devons cesser immédiatement :

  • La stigmatisation des groupes entiers pour les actes de quelques-uns.
  • L’instrumentalisation de nos douleurs par des intérêts étrangers.
  • La justification des violences par les blessures du passé.

La paix ne viendra pas des ONG, ni des gouvernements, ni des experts. Elle viendra de nous. De notre courage à dire : Assez ! De notre volonté à bâtir ensemble, malgré tout.

Nous ne sommes pas condamnés à nous haïr. Nous sommes capables de nous relever. Et c’est à nous de le prouver, par des actes concrets, dès aujourd’hui.

Ituri ne guérira pas sans ses enfants. Et nous sommes ces enfants.

Avec détermination et vérité,
Les protagonistes d’Ituri, unis pour la paix.


La croisée des chemins pour l’Ituri


[4/20, 17:34] CALEBE BAHATI MUSWA: INFO INTROSPECTIVE.
MOBILISATION GÉNÉRALE.

FATSHI BÉTON ! NOUS VOUS PRIONS SON EXCELLENCE, LE COMMANDANT SUPRÊME, AVEC TOUT LE RESPECT VOUS DÉFÉRENT DE BIEN VOULOIR DONNER L’ORDRE À NOS FARDC ET NOS WAZALENDOS DE LANCER LES OFFENSIVES TANT TENDUES POUR EN ENFIN FINIR UNE FOIS POUR TOUTE AVEC MONSIEUR JOSEPH KABILA KABANGE, LE SENATEUR À VIE ET TOUS SES COMPLICES DU M23-AFC-RDF QUI ENDEUILLENT NOS COMPATRIOTES À L’EST CAR TROP C’EST TROP. AU LIEU DE CONDAMNER LE M23, IL AVAIT PLUTÔT DÉCLARÉ À LA PRESSE QUE LE M23 EST L’ASPIRATION DU PEUPLE, ON SE DEMANDE JUSQU’À PRÉSENT S’IL S’AGIT DE QUEL PEUPLE.

LE VRAI GÉNITEUR S’EST AFFICHÉ OFFICIELLEMENT À GOMA, L’HEURE EST VENUE POUR FAIRE PAYER À KABILA POUR TOUS LES CRIMES DE GUERRE ET CONTRE L’HUMANITÉ QU’IL COMMET DANS NOTRE PAYS DÉLIBÉRÉMENT SANS ÊTRE POURSUIVI ET TRADUIT EN JUSTICE. PAR CONTRE NOUS DEMANDONS À SON EXCELLENCE MONSIEUR LE VICE-PREMIER MINISTRE DE L’INTÉRIEUR ET DE LA SÉCURITÉ, JACQMIN SHABANI, À RETIRER L’AGRÉMENT DU PARTI POLITIQUE INSURRECTIONNEL, PPRD SUR TOUTE L’ÉTENDUE DE LA RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO.

NUL N’EST AU DESSUS DE LA LOI, LA LOI EST DURE MAIS C’EST LA LOI, DURA LEX SED LEX/NO ONE IS ABOVE THE LAW, THE LAW IS HARSH BUT IT IS THE LAW.

DÉBOUT CONGOLAIS! L’HEURE EST TRÈS GRAVE.

NB: NOUS REMERCIONS TRÈS SINCÈREMENT NOS DEUX EXCELLENCES, VICE-PREMIER MINISTRE DE L’INTÉRIEUR, JACQMIN SHABANI ET DE LA JUSTICE ET GARDE DES SCEAUX, CONSTANT MUTAMBA, D’AVOIR AGI DILIGEMMENT CONTRE LE SENATEUR À VIE, JOSEPH KABILA KABANGE ET SON PARTI POLITIQUE, PPRD.

Votre humble Communicateur Patriote, DI LUSALA TSHUMBU. Fait à Kinshasa, le 20/04/2025.


[4/20, 18:09] GPAU :

Frères,

Voilà comment notre compatriotes Tshumbu veut encore nous distraire, nous prend pour des bébés !

Il y a des signes qui ne trompent pas. Pourquoi nous écrit-il en majuscules ? Voilà comment ces hommes nous considèrent…

Si le Congo tout entier, 120 millions d’âmes, n’en voulait pas des rebelles, quels qu’ils soient, seraient-ils encorent là ?

Dans l’Ituri, n’y a-t-il personne qui soit capable de gouverner, loyalement, pour le compte du Président de la République ?

La réalité est que celui-ci nous prend pour son marche-pied – parce que nous le lui permettons.

Si demain, l’Ituri donne 2.500.000 voix au Projet 2014 ou à Kongo Ya Sika, moi je vous promets que ces blagues seront oubliées dans tout le pays.

Le Président de la République laisse des irresponsables le conduire à une mort ignominieuse, alors que tous les jours, nous l’avertissons, tant il confesse le nom de notre Seigneur Jésus.

Vous, mes frères Ituriens, libre à vous de choisir : le retour de l’état de siège que vous vivez ou l’indépendance de nos peuples de l’Irturi.

Ituri : encore une erreur monstrueuse !


Extrait de notre groupe WhatsApp.

[3/27, 10:29] DD

TRIBUNE DE LA NOTABILITÉ ITURIENNE


L’arrivée de l’Armée Ougandaise en Ituri : Un Espoir de Paix pour les Déplacés de Fataki et du Territoire de Djugu

Depuis l’arrivée de l’Armée ougandaise (UPDF) dans le territoire de Djugu, et plus particulièrement dans la région de Fataki, de nombreuses voix s’élèvent parmi les déplacés pour exprimer un certain soulagement. Cette intervention est perçue par une grande partie de la population locale comme un espoir pour la fin des souffrances imposées par les groupes armés, notamment la CODECO (Coopérative pour le développement de l’ituri ).

Une Région Martyrisée par les Violences des Groupes Armés

La région de Fataki, autrefois un terrain libre aux milices CODECO, a été le théâtre de massacres perpétrés contre des milliers de déplacés, principalement dans les sites de Djaiba, Lobha et d’autres zones environnantes. Ces atrocités ont plongé la population dans une crise humanitaire sans précédent, avec de nombreux civils forcés de fuir leurs foyers et de vivre dans des conditions précaires.

Les attaques menées par la CODECO ont eu des conséquences dramatiques, notamment pour les communautés Hema et leurs alliés de 5 communautés victimes. Les déplacés, qui avaient trouvé refuge dans ces camps, ont souvent été victimes de nouvelles violences, exacerbant ainsi leur désespoir.

Une Intervention Cruciale de l’UPDF

L’armée ougandaise a récemment renforcé sa présence dans la région de Fataki, avec pour mission de combattre les groupes armés qui déstabilisent la région. L’arrivée de l’UPDF est une réponse directe aux attaques incessantes menées par la CODECO contre les positions militaires, ainsi que contre les civils innocents.

Bien que l’armée ougandaise ait fait face à des résistances violentes, notamment lors des dernières attaques contre ses positions à Fataki, elle a réussi à infliger de lourdes pertes à la CODECO. Ces revers ont engendré une frustration au sein du groupe armé, dont les membres ont de plus en plus de difficultés à maintenir leur emprise sur le territoire.

L’Impact Positif sur la Population Locale

Pour de nombreux déplacés, l’UPDF représente un espoir tangible de sécurité et de stabilité. Les attaques de la CODECO avaient instauré un climat de terreur dans les camps de déplacés, où les civils n’étaient jamais à l’abri de nouvelles offensives. L’arrivée de l’armée ougandaise a permis à certains de respirer un peu, bien que la situation reste fragile.

Si l’UPDF continue d’agir avec détermination et de manière sincère contre les groupes armés, notamment contre la CODECO, un rétablissement de la paix durable dans la région semble désormais possible. La population du territoire de Djugu, qui a tant souffert des violences, nourrit l’espoir que cette intervention marque le début de la fin de la guerre qui déchire la région depuis trop longtemps.

Le Rôle de la Communauté Internationale

Si la présence de l’UPDF est saluée par certains, il est également important de souligner le rôle de la communauté internationale dans la stabilisation de la région. Le soutien humanitaire, la protection des droits des déplacés et la promotion du dialogue entre les communautés sont des éléments essentiels pour reconstruire la confiance et instaurer une paix durable.

Les autorités congolaises doivent également prendre des mesures pour renforcer la sécurité sur le terrain et garantir que les populations locales ne soient plus victimes de violences. De plus, la lutte contre les groupes armés doit être accompagnée d’un processus politique inclusif, qui prenne en compte les préoccupations de toutes les parties prenantes.

Conclusion : Un Futur Proche de Paix ?

Alors que les populations déplacées dans la région de Fataki commencent à apercevoir la lueur d’une paix possible, il est crucial que la lutte contre la CODECO et autres groupes armés se poursuive. La sincérité et la persévérance de l’UPDF dans cette mission sont essentielles pour offrir aux habitants du territoire de Djugu l’opportunité de vivre dans un environnement sécurisé et prospère. Si cette dynamique se poursuit, la paix tant attendue pourrait bien devenir une réalité pour les milliers de déplacés et pour toutes les communautés affectées par ce conflit.
Pour la tribune de la Notabilité ITURIENNE,Ir. Patrick RUVALE.

https://whatsapp.com/channel/0029VahAMQQC1Fu3x9uXKi1i


[3/27, 12:14] GPAU

Cette analyse souffre de beaucoup d’insuffisances aux conséquences graves, si nous ne les relevons pas.

Toute personne humaine épris de paix doit reconnaître que la CODECO est l »expression – maladroite peut-être – d’un désespoir : revendiquer les droits légitimes des Lendu, par la terreur, plutôt que de se battre pour l’établissement d’un état de droit d’abord, avant de revendiquer ses droits par les voies de droit, n’est pas facile, pour un peuple souvent humilié, depuis des siècles.

Voici que le Congo opte pour l’usage de la force pour taire ces Lendu, encore une fois, sur leur terre.

Nous avons proposé deux alternatives pour aller dans la direction d’une paix durable, toutes fondées sur une reconnaissance officielle, préalable, par tous, du droit des Lendu à définir et réaliser leur destin par eux-mêmes.

  1. Redéfinir les frontières du territoire de Djugu pour y inclure toutes les terres des Lendu et de leurs alliés. Ce territoire peut être non connexe, pourvu qu’il inclue toutes les terres reconnues par tous comme appartenant aux Lendu et à leurs éventuels alliés. Cette opération ne demande pas une intervention extérieure à l’Ituri. Elle demande de débarrasser d’abord l’Ituri des djadjambu qui viennent régner sur nous Ituriens en nous divisant de plus bel. Il faudra créer un territoire hema, constitué des terres reconnues par tous comme hema, étant donné que ni les mahagiens, ni les « irumois » ne souhaitent intégrer les Hema, selon nos consultations des notables de deux territoires. Ce nouveau territoire peut lui aussi être non connexe et est facile à dessiner par les Ituriens, sans interférence extérieure. Il faudra enfin clairement convenir que personne ne soit obligé de quitter son territoire, mais que les lois lendu en territoire lendu soit respectées par celui qui choisit d’y vivre ; et que, de même, les lois hema s’applique à tout celui qui choisi librement de vivre sur les terres hema, dans le territoire hema issu de cette partition ou restructuration territoriale.
  2. La seconde alternative que nous proposons et celle de la signature d’un pacte formelle de non belligérance, entre alur et lendu, d’abord, parce que nos consultations montrent que cela soit réalisable et très efficace, comme les autres pactes nilo-soudanais et bantou-soudanais qui fonctionnent à merveille depuis bien avant la colonisation belge jusque ce jour, et qui nous évitent des guerres fratricides évitables. La réussite de ce pacte lendu-alur, nous en sommes persuadés inspirera les Lendu et les Hema, qui ont plus difficiles à se pardonner que les Alur et les Lendu ne soient disposés à le faire.
    Notre proposition n’a jusqu’à présent récolté qu’une vingtaine d’adhérents avec influence, parce que le pouvoir de Kinshasa, contrôler par les lumumbistes, qui craignent le retour sur le plateau national des fils du PNP, qui révéleront aux Congolais leur supercherie.

Les enjeux sont de taille : ouvrons nos yeux ; les bons.

Quant à l’UPDF, elle ne peut pas appoter une solution au problème iturien. Pourquoi ? Parce que, quelque soit ses bonne intentions, le camp de Lendu les soupçonnera, à tort ou à raison, de jouer le jeu de leurs ennemis : les nilothiques et les hamites, quand bien-même, nous le savons de plus en plus, nous soyons en face de cousins, qui se battent, comme au Moyen-Orient.

Ituri…


À vérifier !  Du Grand-Nord kivutien.

Nous vivons la peur ici.  Hier soir, il y a eu crépitement de balles à l’hôpital général de référence d’Oïcha.  Des jeunes ont manifesté leur colère suite aux 8 corps[, des personnes] qui ont été massacrés hier à Ndalya (province d’Ituri).  Ces corps ont été déposés à la morgue de l’hôpital d’Oïcha.  In jeune manifestant a été touché par balle, à sa jambe. Selon l’infirmier la situation de la victime n’est à craintre [la vie de la victime n’est pas en danger].

NDLR

Le gouvernement de Judith Suminwa a du pain sur la planche, pour trèslongtemps encore.

Les rêveries de la dictature et de l’amateurisme politique…


ITURI : 600 COMBATTANTS DU GROUPE ARMÉ ZAÏRE DÉPOSENT LES ARMES ET REJOIGNENT LE P-DDRCS

Un tournant significatif dans la pacification de la province de l’Ituri a été marqué ce mercredi 15 janvier 2025 à Mabanga, dans la chefferie de Mambisa, territoire de Djugu. Six cents ex-combattants, anciens membres du groupe armé Auto-défense (Zaïre) dirigé par le Général autoproclamé Maki Baraka Amos, ont officiellement rejoint le Programme de Désarmement, Démobilisation, Relèvement Communautaire et Stabilisation (P-DDRCS).

Ces combattants ont remis 85 armes de type AK 47, une mitrailleuse PKM, un lance-roquettes RPG-7, plusieurs roquettes, des centaines de munitions et divers autres effets militaires.

La cérémonie de remise de ces armes s’est déroulée en présence d’une délégation mixte venue de Bunia, composée notamment de Flory Kitoko MANIANGA, coordinateur provincial intérimaire du P-DDRCS ITURI , Esther Maturu, Coordonnateur provincial chargé de l’administration et finance, le chef d’antenne du P-DDRCS Djugu Honoré KAKHWA CHERIMANI, du commandant de la 32ème région militaire le Général Major Hurbain TAMBUKA, ainsi que des chefs coutumiers, la société civile et des partenaires internationaux tels que la MONUSCO, l’UNICEF et des acteurs de stabilisation.

Dans son mot de circonstance Flory KITOKO MANIANCA a exprimé sa reconnaissance avant de préciser que cet acte est un paris gagné pour le P-DDRCS en ITURI.
De son côté, Jean Marie Nganjole, porte-parole du groupe armé d’Auto-défense, a appelé les autres groupes armés à suivre cet exemple avant d’adresser plusieurs recommandations au gouvernement congolais et à la MONUSCO.

L’événement a suscité une vive satisfaction au sein des communautés locales. Pkari Dieudonné, chef du secteur de Walendu Pitsi, a salué cet acte comme étant un geste patriotique

Le désarmement mobile intervient après une série d’initiatives de sensibilisation menées par le P-DDRCS depuis le lancement de son programme en Ituri en juin 2022.

Cette remise massive d’armes témoigne de l’efficacité des efforts conjoints du P-DDRCS et de ses partenaires pour ramener la paix dans une région longtemps marquée par des conflits armés. Les autorités espèrent que cet acte déclenchera une dynamique positive et incitera d’autres groupes armés à déposer les armes. Avec ce pas franchi, l’Ituri pourrait se rapprocher un peu plus d’un avenir stable et pacifié.

Cellule de communication du P-DDRCS ITURI

https://x.com/pddrcs_ituri/status/1879612224534429998?t=6iasRPxzqOr_EYRumx-Qyg&s=19 djuguactualite@gmail.comhttps

GPAU

Voyons, maintenant, encore.  Que fera Kinshasa de ces compatriotes et pourquoi ?

Appel à la levée de l’État de siège en Ituri et Nord-Kivu


Après la mission effectuée par Cheffe de gouvernement congolais, au Nord-Kivu et en Ituri, deux provinces sous état de siège, voici mon point de vue.

Madame la Première ministre, vous et votre équipe déployée dans les 2 provinces citées ci-haut, pour évaluer ce régime spécial décrété par le Chef de l’Etat, commandant suprême, en date du 03 mai 2023, dans son ordonnance numéro 21/015 de cette même date. Nous voulons vous rappeler par notre message qu’en date du 14 août 2023 au palais de la nation le Chef de l’Etat avait fait l’ouverture solennelle de la table ronde sur l’évaluation de l’Etat de siège; où toutes les couches de la province de l’Ituri et celle du Nord-Kivu ont été représentés. Lors de ces assises toutes les parties prenantes ont été unanimes pour la levée pure et simple de ce régime qui est vouer en échec dans nos deux provinces. Si aujourd’hui, nous nous retrouvons dans le quatre murs de la prison centrale de Bunia, où jusqu’à ce jour nous avions passé 9 mois, seulement parceque nous avions aussi soutenu de notre part l’idée de la délégation de deux provinces envoyées à Kinshasa pour la table ronde. Lors de cette table ronde toutes les deux parties ont été unanimes pour la levée de ce régime.
Excellence, cette même idée a été soutenue, lors de votre mission dans nos deux provinces où toutes les langues étaient soudées pour dire non à la requalification de l’Etat de siège mais plutôt à sa levée pure et simple car ce régime a été cuisant(lamentablement voué en échec). Madame la Première ministre et votre délégation, nous vous suggérons de fournir les vraies doléances de toutes les parties prenantes consultées lors de votre mission effectuée en Ituri et au Nord-Kivu où vous aviez entendue ces parties, nous vous demandons de faire la volonté da la population souveraine.
En faisant ainsi, vous allez faire la volonté de la population de deux provinces sous état de siège qui ne jure que sur la levée de ce régime spécial.
Merci pour tout, car nous nous espérons une suite favorable après votre mission.

Pour vous,
Me Augustin KURATABO MUSUBI

AKSANTE SANA

Acteur politico-social et leader d’opinion, depuis sa cellule de la prison centrale de Bunia.


Suivez attentivement l’Hon MBINTULE MITONO qui met à défi la demande d’une nouvelle prorogation de l’État de Siège au Nord-Kivu et en Ituri au niveau de la plénière de l’Assemblée Nationale et il plaide ouvertement pour la fin de ce régime exceptionnel.

Soutien plus à ce Vaillant Député qui fait honneur de tous nos concitoyens.


Pendant que nous voulons la fin de l’état de siège, lui, croit utile d’enquêter !

Voilà comment nous nous enfermons nous-mêmes dans l’esclavage, la colonisation, la dictature.

Plus grave, il ose tenter de laver l’auteur illégal de cet état de siège et ceux qui lui permettent de nous subjuguer.

Non ! L’honorable Mbidule ne nous avance pas : il nous recule, il nous trahit, plutôt, au grand jour.  Ce que nous lui demandons de défendre, c’est la fin inconditionnelle et immédiate de la dictature ; et  le respect du kibali-iturien.

Nous savons nous occuper de notre terroir nous-mêmes.

Ituri : sentiments ou caprices ?


Voici ce que l’on peut lire dans un groupe WhatsApp iturien.

Il ne faut dès lors pas s’étonner que cette région du monde reste parmi des plus insécurisées de la RDC. Avec les groupes armés tels que CODECO, Zaïre, Chini ya Kilima, FPRI et autres, l’Ituri, après le Nord et le Sud Kivu, est en proie à un des désastres humanitaires le plus marquant du 21ème siècle.

[10-08-24 04:50] Par grâce:

Allô, allô… GOUVERNEMENT, FARDC ET TOUT CITOYEN CONGOLAIS.

Il est déplorable de voir l’observation du CESSEZ-LE-FEU par les militaires loyalistes pendant que les M23 récupèrent des contrées de manière rapide, les unes après les autres sans aucune offensive ni sans être inquiété par qui que ce soit.

Les dirigeants, dans le Gouvernement et les commandants dans les FARDC, doivent dire ce qui est claire au peuple.

Néanmoins le peuple soutient toujours les forces de défense loyalistes jusqu’au sacrifice suprême.

La lecture de cet article nous a inspiré les lignes suivantes.

[10-08-24 14:43] GPAU

Est-il responsable et sérieux de soutenir, dans l’Ituri, une armée commandée par des ennemis de l’Ituri, quand on aime sa province ?

« Les dirigeants dans le Gouvernement et des commandants des FARDC doivent dire ce qui est claire au peuple. »

Ce comportement du peuple iturien, cette trahison continuelle de notre terroir, a commencé bien avant 1960, pour ne pas parler des trahisons d’avant l’esclavage arabe et la colonisation européenne. Est-il possible, dans l’état actuel du pays, de dire utilement la vérité au peuple iturien ? Cette vérité dite au peuple lui apporterait quoi qu’il ignorerait ? Le peuple iturien demande-il réellement d’être informé sur quoi quoi que se soit qui touche à son destin ? Si du moins il en aurait un ! Quand, où et comment cela se passerait-il ?

« Néanmoins le peuple soutient toujours les forces de défense loyalistes jusqu’au sacrifice suprême. »

Ce peuple que nous sommes, défend-il réellement les intérêts de l’Ituri et ceux de la République Démocratique du Congo ? En 1960, le peuple iturien embrassait le lumumbisme ; en 1964, le molelisme ; en 1965, le mobutisme ; en 1997, le kabilisme ; et en 2011, l’udpsisme. Quel objectif, quel destin, quel avenir a jamais poursuivi et rechercher l’iturien ?

Quelles sont les conséquences à tirer du constat.

  1. L’Ituri manque une âme, de peuples qui soient débout.
  2. L’Ituri manque de leaders valables.
  3. L’intelligentsia iturienne est irresponsable et mourra de son égoïsme et de son ingratitude.
  4. Si le Projet 2014 ne titille pas les peuples et les cerveaux ituriens, l’Ituri mourra comme le reste de la RDC.

Violences et les morts en Ituri : depuis quand ?


À la question qu’est-ce qu’est le G5 en Ituri, voici ce que l’on peut lire.

« Le G5 est une association regroupant plusieurs communautés, dont les Hema, dans la province de l’Ituri, en République Démocratique du Congo (RDC). Cette association se considère comme victime des exactions perpétrées par la milice CODECO (Coopérative pour le développement du Congo), qui prétend défendre la communauté Lendu1.

Les conflits inter-ethniques en Ituri, qui opposent principalement les groupes Hema et Lendu, ont causé de nombreuses violences et pertes humaines depuis 20171. Malgré la signature d’accords de paix, les violences continuent, notamment autour des sites miniers1. »

Le Copilot

Quelles sont les communautés qui forment le G5 iturien ? Que signifie le sigle G5 ?

Le même Copilot précise cette fois-ci.

« Le G5 iturien est une coalition de cinq communautés principales de la province de l’Ituri en République Démocratique du Congo. Ces communautés sont :

  1. Hema
  2. Alur
  3. Ndo-Okebo
  4. Nyali
  5. Mambisa

Le sigle G5 signifie simplement “Groupe des 5”, en référence aux cinq communautés qui composent cette coalition. Cette alliance a été formée pour défendre les intérêts communs de ces communautés face aux violences et aux conflits inter-ethniques dans la région. »

En quoi les 5 communautés du G5 sont elle les principales de l’Ituri : en ce numériquement, socialement, culturellement, politiquement, économiquement, spirituellement, industriellement ? Et surtout : pourquoi et comment ?

Est-ce vrai que le G5 ait été créé pour « défendre les intérêts communs de ces communautés face aux violences et aux conflits inter-ethniques dans la région » ou plutôt pour défendre les 5 communautés contres les lendu et leurs alliés précisément, avec qui l’entente n’existe pas vraiment depuis la nuit des temps, de suite de la colonisation des peuples soudanais par les peuples nilotiques ; à ce que nous avons appris de nos aïeux ? À ne pas se dire clairement la vérité, en tombant dans le travers nord-kivutien, dans l’improductive hypocrisie, nous craignons, pour notre part, que nous continuions à sombrer de plus en plus dans la méfiance, dans la violence sans fin, dans l’accumulation continuelle des mensonges et de rancoeurs. Il est étange que Lese, Ngiti, Nyali, Lokele et Nande et Bwisha ne soient pas cités dans cette affaire qui ne fait que grossir le rang des mécontents et des victimes, tous les jours.

Pour nous, le Projet 2014 est la démarche tout indiquée pour aller vers un débalage complet de nos fardeaux, pour le déposer sous le feu du jugement de tous par tous, en hommes reponsables, prévenants.

Enfin, comme nous aimons à le souligner, en 1976, nous resolûmes de rejoindre notre père en politique dans le souci d’aider notre Ituri à éviter l’éclatement, parce qu’ en 1974 déjà, nous vivions dans l’insécurité la plus totale : hommes et femmes empoisonnés ou battus mouraient ou survivaient. En 1994, nous tirions déjà ici la sonnette d’alame : à cause des conflits interethniques…

Peuples ituriens, rentrons à nos amours : apprenons à nous dire la vérité, pour créer la confiance qui nous aidera à nous mettre autour d’une vraie table de conciliation, d’humanisation, pour plus jamais, les ennemis de nos âmes ne continuent à nous subjuger.

Ressusciter le Kibali-Ituri


Réssusciter le Kibali-Ituri peut sécuriser l’Est de la RDC.  Pourquoi le pensons-nous ?

Plusieurs projets de pacification de l’Est du Congo échouent.  Le projet Wazalendo aussi va – plus vite encore – à sa mort prochaine.  Personne ne se pose vraiment la question de savoir pourquoi ces projets échouent.

Né d’un père alur et d’une mère nande, intéressé par le fonctionnement de l’humain depuis mes 10 ans d’âge, j’ai appris à connaître beaucoup de l’âme kibali-iturienne.

De conviction protestante évangélique, moulé dans le capitalisme et l’alurité purs et durs, je ne peux pas, je ne sais pas rester indifférent face aux malheurs que vivent les miens, dans le Kibali-Ituri, que plusieurs trahissent ou spolient !

En effet, le Kibali-Ituri n’est pas quelconque.  Depuis Lumumba en 1960, obnubilé par le communisme, mon terroir a été pris d’assaut par la gauche extrême.  Comme la solidarité africaine et le communisme, sont vite confondables, chez plusieurs, le Kibali-Ituri s’est mis à dépérir, sans que la majorité ne s’en rende compte.

Les premières victimes furent les sorciers, les membres du PNP, Part National du Progrès, honni pour son allégeance au colonisateur belge, blanc.  Ils furent tués par milliers, dépouillés de tous leurs biens.  Quelques-uns trouvèrent leur salut dans l’exil : ma famille vécu 12 mois en Uganda, de 1964 à 1965, pour cela, après 2 ans d’exil de mon père à Kinshasa, de 1960 à 1962.

Il importe de souligner que les auteurs des crimes de cette époque circulent toujours, librement.  Ces hommes, ayant du sang congolais et étrangers sur la main, impénitents, pour la plus part, font tout pour garder le pouvoir, afin de cacher leurs forfaits et de maintenir le Congo sous leur domination.

C’est dommage que les fils des PNP ne sachent pas se lever pour les ester en justice ces premiers bandits politiques, qui font des émules !  Le mal gagne le pays, parce que ces hommes se multiplient.

Dans l’Ituri, les nilotiques que nous fustigeons aujourd’hui, sont des cultivateurs, pêcheurs, chasseurs, éleveurs, d’anciens esclavagistes et colonisateurs, avant les Belges.  Ils se sont, tout naturellement, retrouvés nombreux être du PNP et forment de ce fait les premiers opposants aux régimes des non-nilotiques, révoltés, contre l’esclavage et la colonisation belges, mais aussi, contre les anciens esclavagistes et colonisateurs nilotiques.  Il est donc normal que les Lendu, Bira, Lugwara et autres combattent aujourd’hui les Hema, Alur, Kakwa et leurs cousins respectifs.  Peu voudraient l’expliquer à nos compatriotes, de circonstance !

Dans le Grand-Nord kivutien, les rwandophones, venus dans le cadre de l’esclavage et de la colonisation belge, cultivateurs et fermiers, se sont vite enrichis et se sont mis à discriminer leurs hôtes, qui de leur côté par réaction mêlée de jalousie, ont décidé de se défendre par la force, en versant dans l’arbitraire,  pour certains, soutenu par un régime fantoche de Kinshasa, d’obédience plutôt communiste que socialiste, maquillé en régime libéral,  pour tenter de dribbler l’Occident qui le soutien.  Les nande, enrichis par leurs travaux des champs et leurs commerces et par divers trafics des richesses nationales ont vite provoqué la jalousie de leurs concurrents internes et externes ; et, se retrouvent aujourd’hui combattus du dedans comme du dehors.

La coalition nande-hutu, pour contrer les esclavagistes et colonisateurs tutsi ne fonctionne pas.  Les hutu, du Congo comme du Rwanda, et les autres cousins congolais desdits nande, se considèrent de plus en plus comme dénigrés et discriminés par les riches nande.  Certains, pour cette raison, déboutent les Wazalendo, pour rejoindre le M23 et l’AFC, dans l’espoir de réduire l’hégémonie nande dans le Grand-Nord kivutien, où plusieurs minorités se sentent délaissées, abandonnées à leur triste sort.

Le texte suivant doit donc être lu avec de bonnes lunnettes.  Il traduit le mal-être que le nande gère mal depuis 1960, versant dans la naïveté, l’hypocrisie et la méchanceté des allochtones du Grand-Nord kivutien.  Cette attitude érode toute la confiance dont jouissait jadis le nande.

Aurons-nous contribué à sensibiliser nos oncles tant aimés, cette fois-ci ?  Que la gloire en reviennent au Dieu d’amour que nous confessons avec eux.

[7/8, 08:35] Par grâce: LA VILLE DE BUTEMBO DEMEURE HOSPITALIÈRE DEPUIS DES DÉCENNIES

Que l’ennemi ne vous fasse agiter chers frères et sœurs d’autres communautés inutilement

Les prétendus actes de barbarie; de lapidation, d’égorgement, incendie, des vandalismes qui se seraient passé en ville de Butembo ne se font pas par l’ensemble de la population de ladite ville, plutôt par des infiltrés qui y sont au compte de l’ennemi et qui veulent semer haines et créer des conflits, mésententes contre le peuple Nande vis à vis d’autres tribus avec lesquelles nous vivons en relation d’interdépendance.

Le Mouvement Citoyen Tujenge Amani na Maendeleo, Nzenge Amani, appelle :

  • le peuple bubolais à redoubler la Vigilance vis-à-vis des gens qui posent des actes de barbaries au nom de la communauté qui poussent à salir et ternir l’image du peuple Nande à la face du Monde
  • des communautés voisine, de ne pas tenir rigueur tous les peuples Nande. ce ne pas ce dernier (ce peuple Nande) qui est derrière ces actes ignobles, plutôt l’ennemi veut se créer d’arguments, voulant accuser faussement les Nande envie de salir sa réputation par ces diables qui ne cessent *d’utiliser certaines brebis galeuses de la tribu dans l’objectif d’accomplir sa mission au nom de ce peuple (Nande).
  • les autorités Etatiques de mener des enquêtes afin de démanteler le prétendu réseau de ces ennemis. Sans oublier que l’infraction est individuelle
  • la coordination de la Société civile, Religieuse, association culturelle KYAGHANDA YIRA et autres structures associatives et patronales, chacun à son niveau de s’impliquer dans cette affaire pour décourager ces actes d’assassinat et de xénophobie qui se seraient pratiquer au sein de la tribu ou mieux de la communauté Nande afin de l’étouffer et mettre hors d’état de nuire l’ennemi qui crée haines et confusions, tentant ainsi accomplir sa mission. (Diviser pour mieux régner)

Cordiale bienvenue aux Congolais et étrangers qui veulent fréquenter Butembo à condition que vous soyez à règle avec l’État congolais selon les prescrits de la loi.

Butembo n’es pas tribale, les Nande ne sont pas tribale comme d’autres le croiraient. C’est Seulement l’ennemi qui veut diaboliser Butembo et le peuple Nande afin de ternir leurs images. Au point que ce même ennemi manipule certains inconscients dans la communauté afin de détruire même certains biens privés des membres de la communauté nande. Pendant que la même communauté est indexée, doigtée par d’autres communautés, alors qu’elle est aussi victimes des affres commis de près et de loins par ces mêmes ennemis de la paix.
D’où, c’est la communauté Nande qui est visée par l’ennemi en incitant à la haine les membres d’autres communautés contre les Nande.

Peuple Congolais soyons prudents…!!!

Cellecom TUJENGE AMANI NA MAENDELEO (Nzenge Amani RDC)

[7/8, 09:43] Asbl Échanges Avec Extérieur: La lecture attentive du texte montre bien que nous ayons affaire à des menteurs, des peureux, des hypocrites, des inciviques !

Butembo est une localité nande, qui a été paisible et propre dans le passé, et qui a été spoliée par des allochtones, y admis sans discernement, depuis la nuit des temps. Aujourd’hui, Butembo est un repère d’assassins, de voleurs, de fainéants, de trafiquants, des violents, de démagogues, d’hypocrites, par le fait d’une mixité nocive, dégradante, suicidaire, au nom d’une fausse unité nationale, des dupes.

Taire la vérité, par peur des unitaristes procède de l’incivisme total et de la folie dans lequel le nande verse, comme les autres peuples irresponsables, suicidaires depuis des siècles.

Être alur authentique, c’est être vrai, être franc, courageux, libre, travailleur, défenseur de ses valeurs culturelles.

Que sont les projets nande ? Que sont les Mai-Mai et les Wazalendo adoptés par certains nande aveugles ? Que nous apportent ces projets et pourquoi ; et qu’apportent ces projets aux nande que nous aimions bien et que nous chassons désormais à répétition, avec les autres ituriens ? Que nous ont fait de mal, ces nande ?

En se mêlant à aux méchants, les nande sont en train de perdre leurs valeurs : d’hospitalité, fraternité, esprit de travail, dans la paix !

Ils nous ont coupé les têtes, ils nous ont pillé notre or, ils nous ont envoyé les banyabwisha (Bwisha) et les prostituées, ils nous ont appris la tolérance des méchants…

Ce que nous devons dire et répéter aux nande, par amour pour eux, c’est le devoir qu’ils ont de revenir à leurs valeurs culturelles bradées contre des pacotilles : les faveurs empoisonnées de Kinshasa ! Les nande ont trahi notre alliance kibali-iturienne.

Comment serons-nous amis dans ces conditions ? Vous, nande, RÉVEILLEZ-VOUS et revenez à vos anciens amours !