Ituri : Débout !



Ituri, débout pour sa dignité !
Nous sommes déjà le 30/08/2025 : mais nous dormons encore et toujours !

La paix ne se décrète pas. Elle se construit, elle se protège, elle se défend. Et surtout, elle se mérite.

Aujourd’hui, nous saluons l’appel courageux de Pacifique Ukok, qui nous rappelle que la paix est un choix quotidien. Mais ce choix ne peut être complet sans vérité. Car en Ituri, la vérité est que nos divisions internes ont ouvert la porte à des puissances étrangères qui ne viennent pas en amis.

Les guerres fratricides entre Bales, Alurs, Hemas et autres peuples frères ont fragilisé notre terre. Elles ont permis à des forces extérieures — Ougandaises, islamistes, et autres colonisateurs déguisés — de s’infiltrer, de piller nos ressources, de corrompre nos mœurs, et d’installer un chaos qui ne sert que leurs intérêts.

Ce n’est plus seulement le conflit Hema-Lendu. Ce sont les colonisations silencieuses des Buisha, des Luba, des Tutsi, et l’importation d’un islamisme sectaire qui menace notre identité chrétienne et notre cohésion sociale.

Et que dire de Kinshasa ? Ceux qui y trônent n’ont ni le souci ni la volonté de faire avancer l’Ituri. Ils ont prouvé, par leur silence et leur cupidité, que leur regard sur notre province est celui du prédateur, non du protecteur.

Alors oui, nous soutenons Ukok. Mais nous disons aussi : la paix ne viendra pas sans lucidité. Elle ne viendra pas sans dénonciation. Elle ne viendra pas sans rejet clair de toute manipulation, qu’elle soit tribale, religieuse ou politique.

Ituri doit se réveiller. Ituri doit s’unir. Ituri doit se défendre.

Comme le disait John Tinanzabo : « Ituri c’est mon père, Ituri c’est ma mère. »
Et nous ne laisserons plus personne profaner notre maison.

La paix commence par la vérité. Et la vérité commence ici, maintenant, avec toi et moi.

Laisse ton point de vue, mais surtout, agis avec ceux qui aiment réellement l’Ituri, qui expose leurs vies pour cette province, potentiellement riche, mais proie des méchantsinternes et externes.


Pour JPCID


[8/18, 17:55]

Pour jcpid, la sorcellerie c’est quand Patrick Gasore, le colonel des FARDC qui a péri, avec sa femme, dans le crash d’un aéronef, à une trentaine de kilomètres de Kisangani, en provenance de Lubutu ; [mais] voit son deuil [est] organisé au Rwanda.

Jusqu’à quand Fatshi Béton aura-t-il écouté nos voix avant de [pour] se décider à nettoyer notre armée de tous les officiers généraux et supérieurs issus des mixages et brassages ?

[8/18, 17:58]

Le général Mugisha, commandant des opérations SOKOLA1, a fait tué la population au centre de la ville d’Oïcha, chef-lieu du territoire de Beni.

[8/18 22:44, GPAU]

Quand dans un État le chef s’érige en potentat, il n’y a pas d’illusion à se faire.  C’est que tout espoir de salut, de liberté,  d’indépendance,de progrès, n’est pas encore permis.  C’est lorsque le peuple s’approprie son destin et trace démocratiquement son avenir, que peut commencer la paix, la justice, le travail et le développement véritable, sûr et pérein.

Le peuple qui se libérera du joug colonial actuel est celui qui sauvera le Congo.  Or, pour l’instant,  tous nos peuples, par paresse et parasitisme, ont choisi la voit de l’esclavage, de la colonisation.

RDC : colonisée par l’Amérique


Si les américains viennent, ce sera le début d’une nouvelle colonisation.  L’auteur de ce nouvel esclavage sera le Président de la République, lui-même.  C’est son deal à lui.

Comment le Projet 2014 peut-il nous aider à devenir de plus en plus libres ?  Comment pouvons-nous nous transformer en partenaires et non pas rester des esclaves ?  Nous sommes déjà esclaves de ceux que nous avons élus, librement.

Le début du deal de Donald Trump – Félix Tshisekedi, au regard de notre niveau de développement politique, scientifique, moral, spirituel, économique, technologique, culturel, industriel et social, ne peut être qu’une nouvelle colonisation.  Ce sont les armes qui parleront encore !

Nous instruire, nous former, nous éduquer, NOUS-MÊMES, est la solution.  Cette stratégie, les hommes de Kinshasa n’arrivent pas à l’adopter ni à la mettre en œuvre,  faute de motivation et de capacité.

Nos rencontres du Projet 2014, peuvent rentre possible la mise en route de cette solution peu onéreuse, congolaise, efficace !

EAE ASBL nous offre des formations accessibles et de grande facture, que nous négligeons.

De 20h00 à 20h40 de Bruxelles, tous les jours, sauf les vendredis, une rencontre du Projet 2014 a lieu sur Zoom ou sur Meet.  Nous y exposons et discutons ce que nous proposons POUR NOUS DÉVELOPPER NOUS-MÊMES !

Rejoignez la salle de réunions via votre navigateur internet.

https://us04web.zoom.us/j/79664589726?pwd=ihNbiGnDa7wc6avzMHs8m0jD3ian3m.1

Rejoignez la salle de réunions via application Zoom Workplace.

Identificateur de la réunion : 796 6458 9726
Mot de passe d’accès : cr4HL6

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Pour nous instruire, nous former, et nous éduquer nous-mêmes, nous vous proposons une rencontre avec l’EAE ASBL, où nous sommes administrateur bénévole.

À 20h45 de Bruxelles, tous les soirs, sauf les vendredis, une rencontre de l’EAE ASBL, pour nous instruire, nous former, nous éduquer, et nous professionnaliser est animer par plusieurs intervenants.

Rejoignez EAE ASBL via votre navigateur.

https://us04web.zoom.us/j/79664589726?pwd=ihNbiGnDa7wc6avzMHs8m0jD3ian3m.1

Rejoignez le Centre de Formations et de Conférences en ligne de l’EAE ASBL via votre application Zoom Workplace.

Identificateur : 796 6458 972

Mot de passe : cr4HL6

Congo-Chine : colonisation ou coopération ?


Existe-il un quartier Matonge en Chine ? Existe-il une communauté importante de Congolais en Chine ou pas et pourquoi ? Pourquoi y a-t-il de plus en plus de chinois au Congo et de congolais en Chine ?

Non, il n’y a pas de quartier Matonge en Chine. Le quartier Matonge est un quartier commerçant et associatif africain (principalement congolais) situé à Bruxelles, en Belgique1. Il tire son nom d’un quartier de Kinshasa, la capitale de la République démocratique du Congo1. Il n’y a pas d’information indiquant l’existence d’un quartier similaire en Chine.

Il n’y a pas d’information spécifique sur l’existence d’un quartier majoritairement congolais en Chine. Cependant, il est à noter que la présence de la diaspora congolaise en Chine s’est renforcée et diversifiée au fil des ans1. De nombreux opérateurs privés chinois se sont établis au Congo et, dans leur sillage, nombre de ressortissants de l’empire du Milieu1. Par exemple, un Congolais a partagé son expérience de vie en Chine depuis dix ans2. Cela dit, ces informations ne confirment pas l’existence d’un quartier spécifiquement congolais en Chine.

Ces informations tirées de Bing sont utiles et doivent nous faire réfléchir, dans notre stratégie politique ou démographique.

En effet, toujours suivant Bing :

La population de la Chine continentale a atteint 1,41 milliard d’habitants en 20221. Veuillez noter que ces chiffres peuvent avoir légèrement changé en 2024. Pour obtenir les données les plus récentes, je vous recommande de consulter les dernières statistiques démographiques publiées par des sources fiables comme l’Institut national d’études démographiques ou la Banque mondiale2.

La population actuelle de la République Démocratique du Congo est estimée à environ 104,039,352 habitants en date du samedi 13 janvier 20241. Veuillez noter que ces chiffres peuvent varier légèrement en fonction des sources et du moment de l’année. Pour obtenir les données les plus récentes, je vous recommande de consulter les dernières statistiques démographiques publiées par des sources fiables. Les densités des populations approximatives respectives sont de 149 (Chine) et de 40 (Congo) habitants/km².

C’est dire que les relations entre la Chine et le Congo doivent nous préoccuper au plus haut point. Le marché potentiel est grand en Chine ; mais le Congo doit devenir plus compétitif pour y vendre et non seulement pour en acheter.

C’est dire aussi que la Chine a non seulement un pays à « piller », mais aussi à coloniser, à occuper, tant les hommes politiques qui s’y succèdent au pouvoir brade tout leur avoir : les sous-sol, le sont, la faune, l’aire, l’eau, les lacs et l’océan.

De 2024 à 2028, il faudra donc bien surveiller les mouvements vers la Chine du Président de la République et de nos ministres. Si ce n’est que nous en importer des armes et des articles fabricables au Congo, il faut savoir dire NON à la continuation du néocolonialisme.

Tout ceci ne serait que prétentieux si aucun effort n’est fourni pour accroître la qualification, la technicité du congolais. Instruire, former et éduquer sont donc trois actions à renforcer en RDC pour un jour renverser la vapeur : faire de la colonisation actuelle du congolais par le chinois une réelle coopération sino-congolaise saine que nous appelons depuis belle lurette, depuis l’époque du MNC, puis du MPR.

Ce qui est dit du Congo et de la Chine c’est ce qui doit également être dit du Congo et de l’Occident, du monde arabe, du sud-est asiatique, de l’Amérique latine et de la sphère russe.

Bunagana ou le pays tout entier ?


« Restons dans l’histoire mes soeurs et frères, arrêtons trop la boisson et l’ambiance pensons à nos Petites soeurs et petits frères, travaillons dur l’amour du pays. » (Projet 2014, WhatsApp)

Qu’est-ce que RESTER DANS L’HISTOIRE ?
Qui sont nos frères et nos soeurs ?
Comment et pourquoi penser à ces frères et soeurs ?
Qu’est-ce que l’amour du pays ?
Comment et pourquoi travailler dur l’amour du pays ?

Sans avoir des réponses à ces questions élémentaires, mais essentielles, comment pourrons-nous monter une stratégie qui nous permette de délivrer durablement Bunagana et le Congo tout entier de l’occupation, de la domination étrangère, de l’esclavage ?

Tous nos peuples du Congo vivent dans la colonisation et l’esclavage. Certains, depuis la nuit des temps ; d’autres, depuis quelques siècles ou décennies.
Nous pensons que le premier travail à faire c’est de décoloniser le pays : (1) accepter que chaque peuple ait le droit et le devoir de prendre son destin en main et (2) nous entraider, pour que cette indépendance de nos peuples cesse d’être une démagogie qui suscite des rebellions dans le pays, qui fasse le lit de l’imposture ou de l’occupation dans la sphère politique locale et nationale.

Tout l’Est est occupé, subjugué, exploité par des allochtones ou des étrangers. Les rancoeurs montent contre les colons, les dominateurs, les imposteurs… La division du pays se renforce et est capitalisée par les ennemis de nos peuples, de notre nation.

Et comme nous sommes peu instruits, insuffisamment qualifiés, de plus en plus immoraux, l’ennemi gagne du terrain chaque jour. La ressource humaine n’est pas de qualité.
Nous éduquer nous-mêmes en tant que nation demande que nous nous rencontrions, physiquement et virtuellement, pour définir nos valeurs et la manière de les promouvoir rapidement, démocratiquement.
Très peu d’entre nous acceptent de s’imposer cette discipline. Ce qui demande de notre part une campagne forte d’éducation par toutes les voies disponibles et accessibles : réunions familiales dans les foyers, travaux de groupes en présentiel ou en ligne, chat, messageries électroniques, les MOC, etc.

Dans ce projet, nous vous invitons à nous rejoindre dans ce combat contre nos faiblesses, pour espérer un jour être à même de véritablement secourir Bunagana et bien d’autres localités qui sont dans les griffes de Satan…

Ce que nous ne pouvons pas !


[26/8, 20:55] GPAU :

Nous ne pouvons pas si facilement anéantir un peuple, quelque exécrable qu’il soit, chez lui ! Il est inique de réfléchir de la sorte, dans une nation jeune, d’origine coloniale. Nous ne pouvons plus continuer à tromper les concongolais non plus. Ce qui est dit ci-dessous est un mensonge qui coûtera probablement cher à ses auteurs. Les lendu et alliés et les nande et alliés, se battent, bien ou mal, pour leurs terres. Nous tous qui sommes sur leurs terres, nous gagnerions à rentrer chez nous, planter nos oignons. Cette façon de faire prouvera que nous sommes respectueux d’autrui, civilisé et paisible. Sinon, nos esprits hégémoniques rencontreront le courroux de peuples enragés, furieux.

https://newscongo.news/article/Ituri-Nord-Kivu—Les-operations-conjointes-FARDC-UPDF-prorogees-de-2-mois/3523


[27/8, 07:09] UAJD:

Cher administrateur du groupe, comment as-tu apprécié ou interprété cette publication ?

[27/8, 10:20] GPAU :

Demander l’avis de l’administrateur est une bonne chose. Cependant, cher frère, notre culture alur étant celle de débat et non celle de la pensée unique, quelle est ta propre opinion sur la question, que tu nous cache mal ? Sur laquelle de nos valeurs se fonde ton recours ? Quel est l’objectif de ce recours ?

Frère, je propose depuis longtemps que nous, peuples congolais, rentrions chacun chez soi – là où nous nous sentons le plus à l’aise, pour vaquer au développement de nos terres ancestrales dans la quiétude et ne pas avoir à nous pourrir la vie mutuellement dans notre jeune pays créé par la conférence de Berlin (?) ; et pour fermer la bouche aux lendu et alliés qui nous accusent de les coloniser, de manière particulière, dans notre Ituri.

Certes, la majorité ne partage pas notre point de vue, depuis que nous nous sommes politiquement engager, en 1976. Elle (cette majorité) pense que le Congo soit à nous tous, qu’il nous revienne de vivre où nous voulons, dans le respect de la loi, sans que les autochtones n’aient à nous soumettre au respect de leurs lois, de leurs cultures et politiques locales. Nous retorquons, depuis toujours, qu’il soit dangereux, inacceptable, colonial de penser et de se comporter de la sorte ; parce que personne n’a jamais demander à nos peuples avec qui ils voulaient vivre ni composer ; même si, d’expérience nous reconnaissons aujourd’hui que la volonté supposée, présumée, de plusieurs, de la majorité de concongolais soit de demeurer le Congo créé par les belges et leurs alliés, pour y créer un destin national, jusqu’ici défini par de véritables bandits politiques, plutôt que par nos peuples, directement concernés par tous les choix politiques qui nous sont imposés jusqu’ici, telle la République qui renie à nos royaumes, empires, alliances et autres, le droit à l’existence, tant bien que mal.

Heureusement, le Père restant au contrôle de toute chose, les faits montrent clairement que notre hypothèse de travail soit la négation dangereuse de la volonté affirmée de certains peuples de notre pays d’en dominer d’autres et celle tout aussi affirmée d’autres peuples de se débarrasser de ceux qui tentent de les subjuguer – à leur manière d’apprécier les comportements de leurs voisins. C’est ce que nous vivons en Ituri, dans le Kivu, dans l’Équateur, dans le Katanga, dans le Congo dit central.

C’est dans ce contexte aussi que l’état de siège est, pour nous, une preuve irréfutable, de l’hégémonisme du pouvoir de Kinshasa ; contre lequel nous appelons tout l’Est à livrer une légitime et juste bataille politique et non pas une improductive et déshumanisante rébellion.
Beaucoup de supporters de cet ignoble projet déchantent depuis des mois, mais sont incapables de paisiblement obtenir notre liberté aliénée, face à des lâches ennemis armés qui sévissent à l’Est de la République.

C’est ce qui nous arrive avec la CENI, la République, la MONUSCO, le lingala, les 60% de transferts, que Kinshasa nous impose, mais que plus personne dans le Kibali-Ituri, la Tshopo, les Uélé et les autres province de l’Est, ne sait et n’arrive à arrêter ; dans ce même registre colonial, esclavagiste.

Il est contre productif de vouloir nier des faits. Tant que nous serons dans la minorité politique, nous serons des démons : rien d’étonnant à cela. Ce qui nous fait peur n’est pas le rejet des nôtres, mais le sort lourd et terrible que Lui prononce sur ceux qui, comme nous tous congolais, ont les cous roides.

Paix chez vous tous dont les pieds sont beaux du fait de l’annonce que vous faîtes de la Bonne Nouvelle, par beaux temps, comme par mauvais temps.

Le vol du congolais par VODACOM


Frères congolais,

Voici un de ces chats qui nous fait découvrir combien nous sommes nous mêmes la cause première de notre problème ; à supposer que cette information-ci se confirme.

Qui est le ministre en charge de la fixation des prix des communications en RDC et comment peut-il tolérer un tel vol de son peuple ?  Est-il rwandais, un sang mêlé ou congolais de pur sang ?

Nous avons écrit à Vodacom (https://www.vodacom.cd/ , vodacom@vodacom.cd) pour obtenir confirmation !

Levons-nous et prenons la défense de nos frères congolais, de nos frères humains !

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[17:54:24] KML : ok

[17:54:35] KML : je suis en train de télécharger cela

[17:54:49] KML : je pourrai écouter cela cette nuit

[17:54:51] KML : merci

[17:57:05] GPAU : OK !

[17:57:17] KML : merci encore

[17:57:29] GPAU : Le téléchargement qui dure 1 minutes, chez-vous cela prend des heures ?

[17:57:33] GPAU : C’est cela ?

[17:57:50] KML : comprend que le congo est bizarre

[17:58:13] GPAU : Nous devons changer et nous pouvons changer la situation.

[17:58:20] KML : t que nous devons travailler pour tout améliorer

[17:58:45] GPAU : Vous n’êtes pas assez actifs.

[17:59:08] GPAU : Là, tu es dans un cyber ou chez toi ?

[17:59:09] KML : j’avais effectué un petit déplacement

[17:59:18] KML : chez moi

[17:59:51] GPAU : Tu utilises un modem Wi-Fi USB ou un routeur Wi-Fi ?

[18:00:29] KML : yes un modem routeur wifi

[18:01:30] GPAU : Combien t’a-t-il coûté et à combien revient l’abonnement mensuel ?

[18:03:26] KML : chez vodacom je l’ai acheté à 160$, + 200$ de forfait mensuel que je paye donc 360$ au total pour une bande passante de 250Kbps

[18:03:55] GPAU : Ô là !

[18:03:57] KML : je paye par moi 200$

[18:03:59] GPAU : Quel vol ?

[18:04:09] KML : c’est ca

[18:04:20] GPAU : Tu es où, dans quelle ville finalement ?

[18:04:43] KML : présentement à kin

[18:04:46] KML : et vous

[18:05:10] GPAU : À Goma il y chez Orange des connexions 3G à 45 $/mois !

[18:05:51] GPAU : Vous ne savez pas écrire une pétition à l’adresse du ministre en charge des télécommunications ?

[18:06:03] KML : je crois que le téléchargent est limiter pour quelque giga

[18:06:15] GPAU : Connais-tu d’autres personnes qui sont dans ta conditions ?

[18:06:26] GPAU : Orange n’est pas présent à Kinshasa ?

[18:06:35] KML : Bien sûr !

[18:09:22] GPAU : Lino, pour 74 euros/mois, j’ai le téléphone fixe en illimité, 2 Go de transfert de donné par modem USB, la TV en illimité, l’Internet à 128 Mbps (MEGABITS par seconde) en illimité 365/24 !

[18:09:35] GPAU : Il faut protester contre cette exploitation.

[18:10:19] GPAU : Trouve-moi l’adresse email du ministre de tutelle et je lui écrirai sans indiquer ton nom !

[18:10:19] KML : ah mon Dieu

[18:10:48] KML : toi-même tu sais à propos de notre pays

[18:10:51] GPAU : Je vais mobiliser une action contre ce vol patent de Vodacom…

[18:11:03] KML : je te trouve ça demain

[18:11:10] GPAU : Vous vous laissez faire !

[18:12:17] GPAU : Il n’est pas normal qu’une communication qui ne devrait pas te coûter 20 $/mois coûte dix fois plus !

Arracher la vie Eliezer


Qui, avec qui et pourquoi veut arracher la vie à Eliezer Ntambwe ?

Nous l’avions annoncé en mai 2011 : « le pire est à venir », disions-nous !

Quel doit être l’attitude de congolais nés de nouveau ?  Devons-nous sombrer dans la peur ou continuer à avoir Dieu pour partenaire ?

Consultons les Ecritures et nous y trouverons des exemples d’ainés dans la foi en Dieu qui ont bravé des méchants de toutes sortes….

[23:43:39] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: MESSAGE ENVOYER PAR  MONSIEUR ELIEZER NTAMBWE

« Arrêté hier a 21h30 et amené directement a la prison centrale de Makala après l audience d Eugène Diomi ou je ne faisais que mon travail de journaliste,je n ai recouvré ma liberté que cet après midi,ma caméra a été ravit ainsi que mon micro,ma montre cassée et mon téléphone volé.
Dieu merci,je suis sorti avec espoir que rien ne m a été injecté pendant la forte brutalité que j ai connut,si non une source m a informée que je suis visé a cause de ma position dans l exercice de mon boulot pour ma patrie, je ne sais a quel moment ils peuvent décider de m’arracher la vie comme on m a dit sur leur complot.
Merci de votre soutien qui ne fait que me réconforter dans cette période de lutte. »

S’attaquer au colonialisme ?


S’attaquer au colonialisme préoccupe certains esprits avec raison : le colonialisme est abject et doit être reconnu comme une violation des droits les plus élémentaires des peuples à l’autodétermination de leur destin, comme un véritable crime contre l’humanité quelque qu’en eut été les « bénéfices » pour les colonisés et les colonisateurs.  En RDC, le colonialisme revêt plusieurs facette : le colonialisme occidental, le colonialisme intercongolais, le colonialisme oriental.  Quelque soit ce colonialisme, sa caractéristique première est de nier au congolais le droit à l’humanité.  Cette négation n’est pas qu’extérieur au pays.  Certains congolais voudraient pouvoir dominer le reste du pays, en faire leur marche-pied.  En même temps, des congolais existent qui s’estiment incapables de prendre la responsabilité de leur destin et qui ne demande pas mieux que de la confier à ceux qui savent prendre soin de l’avenir d’une nation, selon leur croyance.  Pendant donc que nous combattons le colonialisme, d’autres la recherche !

Quant à savoir comment s’attaquer à ce mal qui ronge la RDC, depuis les années le 19ème siècle, les congolais restent divisés sur la question, faute d’un forum qui se penche sérieusement, méthodiquement sur la question et qui propose au peuple une solution qui soit la plus acceptable pour le plus grand nombre.  Le temps de léthargie qui résulte de cette irrésolution profite aux néocolonialistes de tout bord qui continuent à assujétir les congolais, comme le prédisait un homme d’Etat belge, à juste titre.

Ceux qui grognent dans leurs chambres tout comme ceux qui crient dans la rue ou qui font retentir des armes dans la forêt n’ont pas encore su nous aider à débouter le colonialisme de ntore pays.  Tous manquent recourent à des méthodes inopérantes, inefficaces ; travaillent dans des structures mal organisées, faute de ne vouloir écouter les conseils multiples que prodiguent les hommes qui aiment véritablement la RDC.

Nous appelons à venir autour d’une table de travail dans le cadre du Projet 2014.  Les égoïsmes, les orgueils, les mégalomanies, les tribalismes, les régionalismes, les séparatismes linguistiques qui caractérisent notre gente congolaise empêchent à plusieurs d’accepter l’offre ; et, le pays continue à patauger.

L’extrait suivant, d’une conversation entre nous et un compatriote en quête d’une solution aux maux que nous cause le colonialisme permet de voir les erreurs à ne pas commettre.

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MON FRERE, EN CE QUI CONCERNE LE DIALOGUE BELGO CONGOLAIS VISANT LA FIN DU NEO-COLONIALISME NOUS NOUS LIMITONS A PARTIR DU COLONIALISME JUSQU’A PRESENT, LA BELGIQUE ETANT LA SEULE RESPONSABLE CONNUE POUR CETTE PERIODE.

Pour bien résoudre un problème, frère, tu sais bien que la meilleure façon de s’y prendre c’est de s’attaquer à la cause première du problème.  C’est dire que nous devons d’abord analyser la cause première du néocolonialisme et sa conséquence.  Notre manque de civisme : nos pères et nos compatriotes qui nous vendent et nous traihissent à répétition, notre pauvreté matérielle et immatérielle : notre incapaticité à mobiliser les ressources nécessaires à l’exécution de nos projets, la méchanceté de l’homme : esclavage, colonialisme, pillage de nos ressources, négation de nos droits)  pour pouvoir mettre en place une structure qui permette de démenteler le néocolonialisme que nous décrions.  Cela demande que nous montions des laboratoires de travail, de production d’idées et de moyens.

EN ADRESSANT LE NEO-COLONIALISME, NOUS VISONS D’ABORD L’AGENT EXTERIEUR DE CE CRIME CELA NOUS PERMETTRA DE CORRIGER AUSSI NOS MANQUEMENTS.

Généralement, pour résoudre un problème, on commence par la source ou bien par le maillon faible du cercle vicieux des conséquences des problèmes.  Le souci premier doit être de réduire le coût du projet, au sens large du terme ; c’est-à-dire, tous les coûts : humains, matériels, immatériels, technologiques, psychologiques, sociaux, culturels, industriels, etc.

SI VOUS TROUVEZ COMMENCER  PAR CORRIGER LE CONGOLAIS D’ABORD ET LAISSER LA BELGIQUE DE COTE, CE SCHEMA COMPROMETTRAI LA RAISON D’ETRE DU DIALOGUE BELGO-CONGOLAIS ENVISAGE COMME LA FONDATION POUR METTRE FIN AU NEO-COLONIALISME(C’EST UN PEU COMME NOUS DIRE DE LAISSER DE COTER CETTE VISION ET NOTRE STRATEGIE MISE EN PLACE POUR Y ARRIVER). SI VOUS VOULEZ COMMENCEZ PAR LE CONGOLAIS, NOUS VOUS SOUHAITONS BONNE CHANCE DANS CE SENS, ET NOUS NE MANQUERONS PAS DE VOUS ASSISTER POUR CELA DES QUE VOUS EN MANIFESTEREZ LE BESOIN. NOUS AVONS UNE AUTRE DEMARCHE POUR CORRIGER LES ERREURS DE NOS COMPATRIOTES.

Pour ce qui est de l’ordre priorité, je crois qu’il ne peut pas se fixer par caprice ni antidémocratiquement, si nous voulons bâtir un pays où chacun se sens responsable d’autrui.  Il convient donc d’examiner plusieurs scénarios de solutions avant d’en choisir un (Une stratégie).  J’ai proposé des jalons dans le Projet 2014.  Je pense qu’il faut commencer par avoir l’homme qu’il faut à la place qu’il faut pour commencer la rédaction de nos projets de développement à courts, moyens et longs termes, en tenant notamment compte des travaux qui existent déjà, qui demandent probablement quelques retouches pour correspondre aux besoins réels de notre nation et non pas aux caprices de ceux qui aujourd’hui s’arrogent le droit de décider à la place du congolais.

MON FRERE, LE CONTENU DE LA LETTRE (OFFRE DE PAIX) EST SURTOUT UNE INTERPELLATION DES HOMMES DE DIEU.

L’Etat congolais actuel est, théoriquement, laïc.  Il faut donc pouvoir obtenir que les congolais acceptent qu’il soit, résolument, démocratiquement, formellement, confessionnel d’abord, avant de traîter ses affaires à la lumière des Ecritures et par le biais des serviteurs de Dieu.  Sinon, là aussi, nous sérions en train de perpetuer la médiocrité qui caractérise aujourd’hui la gestion de la chose publique : Mobutu règne après un coup d’Etat, Kabila s’auto-proclamme Président, Kanambe est désigné président par une bande qui reste inconnu à la majorité de la population congolaise et continue par deux autres mandats sans que personne ne relève ni ne refuse de fonctionner sous ces anomalies et ne sache les arrêter.

Notre démarche dans le Projet 2014 c’est d’inviter autour d’une table de travail démocratique, virtuelle ou matérielle, afin de donner au congolais la responsabilité de mener son pays vers la destiné qu’il a choisi et qu’il sait assumer.

Notre véritable histoire ?


Quelle est notre véritable histoire ?

Quelle est notre véritable nature ?

Quelles en sont les conséquences pour les 20 à 30 prochaines années ?  Quel est notre destin et comment le savoir ?

L’extrait suivant de notre entretien avec Muzadi Kalala permet d’examiner nos positions et d’enrichir le débat sur le comment faire pour délivrer notre pays.

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[20-01-14 02:38:43] Muzadi Kalala: MERCI POUR TES CONSEILS, MON FRERE. CETTE HISTOIRE NOUS APPARTIENT TOUS.
[20-01-14 20:04:16] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Où en sommes-nous ?
[20-01-14 20:05:01] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Nos compatriotes commencent-ils à s’engager dans le projet de lutte contre le néo-colonialisme que tu proposes ?
[20-01-14 20:05:46] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: J’ai proposé un parti politique sur demande des certains compatriotes : personne ne s’engage…
[20-01-14 20:06:56] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Comme je te l’ai dit, je suis prêt pour toute lutte démocratique, humaniste, sans ambages…
[20-01-14 20:21:54] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Moi, je continue à chercher des membres pour notre nouveau parti politique : Kongo ya Sika.  Je ne vois personne arriver ; c’est examen l’expérience que j’ai faite sur 14 ans de travail dans le Projet 2014 !
[20-01-14 20:23:31] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: C’est ce qui me fait penser que jusque 2035-2045, nous ne verront rien de bon commencer en RDC.  La crise ira croissant et c’est elle qui va déclencher une révolte qui fera sursauter nos petits enfants !
[20-01-14 20:26:52] Muzadi Kalala: HUMM! OUI LES COMPATRIOTES SONT INTERESSESPOUR LA LUTTE CONTRE LE NEO-COLONIALISME.
[20-01-14 20:30:29] Muzadi Kalala: NOUS ALLONS TRAVAILLER ENSEMBLE MON FRERE.
[20-01-14 20:31:25] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Quand et comment ?  Je peux déjà avoir une petite idée ?
[20-01-14 20:31:36] Muzadi Kalala: C’EST CA .
[20-01-14 20:37:32] Muzadi Kalala: JE VOUDRAIS T’ENVOYER UNE PREMIERE LETTRE DESTINEE POUR CETTE INITIATIVE. DES QUE TU LA TERMINES, JE T’ENVOIE LES GRANDES LIGNES SUR L’OBJECTIF. ET ON POURRA PARLER DE LA STRATEGIE POUR Y ARRIVER
[20-01-14 20:37:44] *** Muzadi Kalala sent OFFRE DE PAIX.docx ***
[20-01-14 22:47:38] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Ton texte est très bon, de mon point de vue.
[20-01-14 22:48:04] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Cependant, il fait « l’éloge » de la Belgique…
[20-01-14 22:50:09] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: La colonisation du Congo est une affaire, un fait de plusieurs pays et de nous-mêmes que nous devons bien comprendre pour savoir comment la juguler.  Nous sommes colonisés non seulement parce qu’il y a des personnes qui veulent que nous le soyons, mais parce que nous mêmes aussi faisons le lit du colonialisme depuis le début jusque maintenant !
[20-01-14 22:50:52] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Une analyse complète est nécessaire si nous voulons proposer aux congolais une solution complète, robuste, efficace.
[20-01-14 22:51:59] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Pour ce travail, tu pourrais animer un groupe de travail qui critique, complète, corrige le travail que tu as abattu, avant d’aller voir les parties prenantes dans la colonisation du Congo.
[20-01-14 22:52:03] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Bien à toi.
[20-01-14 23:48:11] Muzadi Kalala: 1.MERCI POUR CETTE ANALYSE ET CONSEILS PARMI TANT AUTRES QUE J’AI RECUS. OUI, TU AS RAISON DE DIRE QUE LE NEO-COLONIALISME IMPLIQUE LA COLLABORATION DE NOS COMPATRIOTES. C’EST BIEN QUE TU AS REMARQUE L’ABSENCE DE CE FAIT DANS LA LETTRE « LA NOUVELLE EUROPE ». LE CONTENU DE CETTE LETTRE CONCERNE UNIQUEMENT CEUX QUI ONT AGRESSE LE CONGO (LES COLONS ET NEO-COLONIALISTES). NOS DEFAILLANCES FAISANT QUE L’ETAT DE CHOSE CONTINUE JUSQU’A PRESENT SONT A ADRESSEES SEPAREMENT, LA PREMIERE APPROCHE DANS CE SENS ETANT DE FAIRE COMPRENDRE A LA DIASPORA CONGOLAISE QUE NOUS AVONS A FAIRE AU NEO-COLONIALISME DONT L’ORIGINE SE RETROUVE ICI EN EUROPE OU NOUS VIVONS. AINSI TOUTS NOS EFFORTS ET ENERGIES DOIVENT ETRE CONCENTRES A LA SOURCE DU NEO-COLONIALISME. ET COMME IL S’EST FAIT REMARQUER QUE FINIR CE CRIME NE DEPEND QUE DE NOUS CONGOLAIS EN LA MANIERE DE NOUS ORGANISER LAQUELLE SERA CONSEQUENTE DES CORRECTIONS PORTEES A NOS DEFAILLANCES.
2. IL EST VRAI QUE PLUSIEURS PERSONNES MORALES OU PHYSIQUES SONT IMPLIQUEES DANS CE CRIME (NEO-COLONIALISME),MAIS LA BELGIQUE ETANT LA FACE CONNUE EST LA SEULE CIBLE SUR LAQUELLE NOUS CONCENTRER. LES AUTRES TOMBERONT AVEC ELLE AU MEME MOMENT.
3. QUANT AUX ELOGES A LA BELGIQUE DANS LA LETTRE, IL SERAIT SOUHAITABLE DE M’EN FAIRE PART PARCE QUE JE N’EN VOIS PAS MOI MEME, ET QUE D’AUTRES CRITIQUES QUE J’AI ETE VRAIMENT SEC DANS LA LETTRE.
4. NOUS CONSTITUER DEJA UNE EQUIPE POUR LES CRITIQUENT ET CONSEILS EST UNE BONNE SUGESTION DE TA PART SOULIGNANT AINSI L’OBJET DE NOTRE CONSULTATION A PROPOS DE L’OBJECTIF A ATTEINDRE.
5. LISANT LES LIGNES DANS LA LETTRE, IL Y’A A CONSTATER LES VERSETS BIBLIQUES SANCTIONNANT LES ACTES CARACTERISANT LES CRIMES COMMIS PAR LE COLONIALISME ET LE NEO-COLONIALISME POUR POINTER QUE LES CAUSES DU COLONIALISME ET NEO-COLONIALISME SONT DUES A LA DEFAILLANCE DE LA DIVINITE DE PART ET D’AUTRES DES AGRESSEURS AUSSI QUE DES VICTIMES.

BIEN A TOI.
[00:52:34] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Situer l’origine du colonialisme en Belgique c’est oublier que le colonialisme est venu trouver d’autres crimes : l’esclavagisme et la trahison nègre.
Cette erreur suffit à nous éloigner de la solution au vrai problème.
En clair, si nous n’avions pas laissé nos aïeux nous vendre aux arabes et aux européens, ni l’arabe ni l’européen ne nous auraient asservis.
En clair aussi, si aujourd’hui, nous cessons de nous vendre les uns les autres aux néo-colonisateurs, aucun pays sur cette terre n’osera nous asservir.
L’exemple historique est là : le Japon, la Chine et les autres pays émergeants.
Voilà pourquoi notre analyse est autre : le premier ennemi du congolais à mettre battre : c’est nous mêmes ; c’est disqualifier les hommes véreux que nous avons commis à la gestion de la chose publique pour les remplacer par nos vrais leaders que nous aurons préalablement identifiés et promu au pouvoir.
Or, 14 ans durant, j’invite à cette démarche et constate que jusque là et pendant probablement 20 à 30 ans, le congolais ne veut pas dénoncer son frère, son clan, sa tribu, son ethnie, sa langue, sa région ; parce qu’il pense que cela le laisserait à la merci de son autre compatriote, à l’autre clan, à l’autre tribu, à l’autre ethnie, à l’autre langue, à l’autre région qui cherchent tous, à tort ou à raison, selon lui, à le subjuguer.
Nos religions, nos philosophie et nos partis politiques, celles qui ont remplacé notre « animisme », ne nous aident pas non plus : elles nous abrutissent d’année en année et livre ainsi à la merci de notre ennemi : le mépris de la patrie.
[00:54:55] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Comme tu peux le voir, notre démarche, à nous, dans le Projet 2014, est donc d’inviter à un travail d’examen sérieux, approfondi, de vraies causes de notre dépendance et non pas des causes que certains voudraient que certains considèrent être comme telles sans nous en fournir les démontrations, en l’absence d’un travail démocratique digne de ce nom.
[01:01:11] Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu: Pour nous, c’est donc notre paresse, notre égoïsme, notre déficiit de civisme qui nous tue.
Le vrai combat, qui prendra probablement 20 à 30 ans encore, selon nos estimations, le temps d’une génération pratiquement, doit viser d’abord notre nouvelle naissance.  Ici nous nous rencontrons, à la seule différence que nous, nous n’adressons le commandement de Dieu qu’à ceux qui croient à Lui d’abord !  Or, selon notre observation, les 85% de congolais dits chrétiens, n’en sont que des faux.
Regardez bien : qui tue, qui vole, qui empoisonne aujourd’hui ?  Ne sont-ce pas nos pasteurs, nos prophètes, nos frères en Christ !
La malédiction qui s’abat sur nous ne nous quittera que par une seule chose : la répentence nationale.
Il faut travailler pour son avènement qui prendra du temps ; parce que le congolais que nous sommes a le coup roide ; et, tu le sais, Dieu lui résistera jusqu’au bout !