La libération…


TABLE DES MATIERES

Révolution ou humanisme ?


Qu’il est bien difficile de mobiliser la masse autour d’un projet national de libération. La difficulté est d’autant plus grande que la nation que l’on défend soit une nation en gestation et issue d’un colonisation. Le patriotisme est encore à apprendre. La gestion de la chose publique l’échelle multi-tribale est encore une nouveauté. Nous nous devons apprendre à concilier les intérêts de nos patriarchies, de nos clans, de nos tribus, de nos ethnies et de nos races, de nos peuples d’une part avec celles de notre nation d’autre part. Le peuple est muselé, totalement trahi par ses parlementaires, ses policiers, ses militaires ? Qui est à la base de cette déchéance du congolais ? Comment renverser la vapeur et pourquoi ? Y a-t-il de l’aide disponible ?
Voici un courageux, de longue date, à l’en croire : son discours devient révolutionnaire. De la vérité pure, mêlée à de la rancœur, de la haine ; de la raison jouxtant la fausseté !
Oui en effet, il faut se lever contre la dictature, l’imposture, l’esclavage, la spoliation de nos mœurs… Non, effet, ce n’est pas aux ennemis du Congo nous apprendre l’humanisme, mais à nous de leur apprendre qu’on perd à égorger et à empoisonner ses semblables, ses frères humains.

Notre possible HRW


Nous passons notre temps à confier à d’autres du travail que nous pourrions mieux réaliser.  Dresser objectivement et professionnellement les statistiques de nos vivants, morts, blessés, emprisonnés, empoisonnés, brutalisés, volés, violés et autres, nous permettre d’avoir des données justes, plus complètes et sérieuses.  Confier ce travail à d’autres nous prive du travail que nous payons par la subtilité du néocolonialisme.  Il faut y penser sérieusement…

[15:26, 12/22/2016] +243 991 103 378: Human Rights Watch a mis un numéro spécial pour dénoncer les violations de droit de l’homme. Tel:+19172130939.
Veuillez passer le message a nos frères et sœurs.

[02:38, 12/23/2016] +32 486 74 17 04: Dénoncer ?  Et après ?  Quel secours concret sera fourni aux victimes ? C’est HRW qui endors nos frères à l’Est en leur conseillant de compter sur des politiciens véreux, traîtres et incompétents au lieu d’apprendre aux populations leurs droits et obligations et la manière d’en tirer partie dans un contexte d’imposture. Soyons raisonnables dans ce que nous pouvons accepter. HRW est là par la bénédiction d’un pouvoir sanguinaire : il ne peut qu’être sanguinaire lui-même !  Réfléchissez bien et vous arriverez à la bonne conclusion.  Quand y sera sur invitation du peuple, les relations de HRW au gouvernement et au peuple seront autres et un tel numéro deviendra une opportunité d’accès au secours d’un ami.  Pour l’instant, Kabila tue et que fait la HRW ?  Du reporting, les statistiques de nos morts, sans nous apprendre à le faire par nous même ; parce que sinon, elle croit qu’elle serait inutile ; ce qui n’est qu’une erreur !  Travaillons à notre indépendance.  Nous pouvons organiser nous-même les statistiques de nos morts, de nos blessés, de nos disparus, de nos concitoyens appréhendés et emprisonnés par la police, l’armée ou les services de renseignement de l’imposture aux fins des procès à venir.  Au Projet 2014, ce sont les volontaires qui manquent parce que nous ne voulons pas investir dans un tel projet.  Notre est : qui paie la HRW si ce n’est pas nous-mêmes par voies détournées ?

Badibanga : Odimba signe…


Le Professeur Augustin Odimba aurait signé : Son Excellence Samy Badibanga ne serait pas diplômé d’un quelconque institut supérieur des sciences humaines de Genève.  Selon le Prof. Odimba, un tel institut n’existerait même pas au terme de ses recherches.  Qui alors mentirait aux Congolais, sciemment ou inconsciemment ?  Notre premier ministre est-il donc un autre imposteur ?  Comment devons-nous l’appeler exactement ?  Est-il le naturalisé belge Sambady Badibanga Ntita, né à Kinshasa (Congo) le 12 septembre 1962 ou quelqu’un d’autre ?  Quoi qu’il en soit, la manière dont son gouvernement prolonge les tueries, n’en dit-elle pas long sur l’incongruité de sa présence à la primature ?  Nous vous passons qui nous parvient d’un contact Skype sur le premier ministre déjà assassin…

À propos de la biographie de Samy Badibanga.
Mes chers compatriotes,
Je me permets de corriger une fausse information concernant la biographie de notre nouveau Premier ministre Sammy Badibanga: il affirme malhonnêtement qu’il avait étudié à l’institut supérieur des sciences humaines de Genève ( 1986) ; l’institut dont il est question n’existe nulle part à Genève et dans toute la Suisse.
De 1980 – 1989, dans le canton de Genève, voici la liste des instituts supérieurs:
1. Institut universitaire de hautes études internationales.
Les anciens diplômes congolais de cet institut sont:
– Bulaluete Mbwembo, prof. à l’unikin.
– Mutombo Kanyana, consultant à Genève.
– Menga Roger Julien, ambassadeur du Congo- Brazzaville
– Mavungu ne nzita, ancien ambassadeur du Congo RDC, auprès de l’U.E.

2. Institut universitaire d’études du développement.
Les diplômés congolais:
– Ntumba Bakajika ( certificat ),
– Kilola Gayombo-Mvaka ( diplômé ),
– Lukombo Nzatuzola joao Baptista ( diplômé ),
– Mabuya Ndumba ( diplômé ),
Tshingeji Mulopo ( diplômé ),
– Kazadi Ngoi tshikala ( diplômé ),
– Mabuya Ndumbu ( certificat ),
– Owandjalo Welo Okitawato ( diplômé ), prof. Unikin.
3. Institut universitaire d’études européennes.
– Nzita Na Nzita ( certificat ),
– Kabeya Lutonga Philippe ( diplômé ),
– Odimba Omakoko Augustin ( diplômé ),
– Durao Barroso José Manuel ( diplômé ),futur président de la Commission européenne.
Mes chers compatriotes,
Monsieur Sammy Badibanga doit présenter au peuple congolais une biographie crédible.
Mes sources sont: les Dies Academicus de l’Université de Genève de : 1984, 1985,1986, 1987, 1988.
Mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose..!
Prof. Augustin Odimba

Proximus qui vole ?


Au voleur !  Proximus qui vole ?  Il y a 10 ans, je donnerais mes doigts à couper à celui qui prétendrait cela…  Seulement, 2006 n’est pas n’est pas 2016.  Il s’est beaucoup passé de choses dans la maison (Belgacom) Proximus…

Vous êtes client Proximus, comme moi ?  Faîtes très attention !  Vous remettez un matériel au siège de la société situé sur le Boulevard du Roi Albert II 27 – B-1030 Bruxelles, pour une raison quelconque, si l’on refuse de vous remettre un accusé de réception, appelez la police et ne perdez pas votre temps.  C’est la jungle par ici.

Du jamais vu dans mon pays, depuis les 27 ans que je suis client Belgacom d’abord, Proximus.  La nouveauté : je la vie depuis 2008.  Des factures opaques, des plaintes traitées avec une légèreté déconcertante, des commerciaux sans respect aucun pour les clients…  Des services qui se font attendre, des travaux qui sont abandonnés en plein milieu…  C’est la foire parfaite.

Si vous connaissez un meilleur fournisseur, qui a une meilleure bande passante et une meilleure continuité du service : merci du service à me rendre.  Conseillez-le-moi sur mon numéro : +32 486 741 704.  D’avance, je vous dit : grand merci, pour votre geste citoyen !

Les morts enterrent leurs morts ?


Le gouvernement Congolais a annoncé ce mercredi un bilan officiel de 22 morts sur toute l’étendue de pays. La police nationale Congolaise qui a annoncé ce bilan a fait état d’au moins 275 arrestations.

Pourquoi cet échec ?


L’opposition est en train de perdre au Congo, quoi qu’on dise, sous les regards réjouis des hommes fiers de Kabila.  On observe cependant des fissures apparaître dans le système.  La division naît au sein de la police et de l’armée.  La MONUSCO commence à avoir peur d’être mise à la porte de force par la population en colère.  L’heure devrait être au bilan-correction des actions du 19/12/2016, mais très peu y pense dans une vision stratégique.

Pourquoi cet échec ?  Que faire pour corriger le tir ?  Quelle participation peut encore offrir la diaspora et les congolais de l’intérieur à la lutte contre l’imposture ?  Que proposons-nous de neuf, dans le cadre du Projet 2014.

[20:34, 12/19/2016] Kambale Kaisavira: RDC: KINSHASA LE 19 12 2016 KABILA YEBELA CHANTÉ PAR LE ÉTUDIANTS DE L’UNIKIN 360pwww.youtube.com
[20:34, 12/19/2016] Kambale Kaisavira: https://youtu.be/gkf8RWIhrX0
[21:24, 12/19/2016] Kambale Kaisavira: #ByeByeKabila La situation à Lubumbashi dégénère le tunnel reliant la ville de Lubumbashi et le Quartier Bel air serait en feu
[23:10, 12/19/2016] Kambale Kaisavira: Flash.

Concert des sifflets, couvercle des marmites, cris (akeyi, akeyi … mandat esili …) actuellement à Kin.
[19:35, 12/20/2016] Kambale Kaisavira: Match ebandi kobaluka MONUSCO accompagne la population Kabila yebela. Partagez la page et aimez svp
La police tire contre la police a Kintambo.les forces de l’ordre commencent a changer des camps,d’autres se dirigent vers la RTNC.les diplomats se reunissent en Urgence pour faire le constat de la vacance du pouvoir.Gouvernement de Badibanga non reconnu.Tshisekedi a lancé l’appel a la Nation de se prendre en charge,Joseph Kabila est sous haute trahison,et n’est plus président de la Republique.la révolution en marche. 0:45
[19:45, 12/20/2016] Kambale Kaisavira: Human rights watch a mis un numero special pour denoncer les violations de droit de l’homme. Tel:+19172130939.
Veuillez passer le message a nos freres et soeurs
[19:52, 12/20/2016] Kambale Kaisavira: DISCOURS DE TSHISEKEDI

En ce jour du 20 Décembre 2016 , Mr Joseph Kabila a donc épuisé son segond et dernier mandat à la tête de la RDC. IL a perdu sa légalité et sa légitimité à tête du pays eu égard des dispositions de l’article 5 alinéa 1 , article 70 alinéa 1 et article 220 alinéa 1 de la constitution ainsi que les normes les plus élémentaires de tous régime démocratique.

En dépit de tous nos efforts pour trouver par un dialogue inclusif un compromis politique pouvant nous permettre de régenter de manière concensuelle cette période de crise afin de permettre à la nation d’aller dans le délai le plus bref possible aux élections, Mr Kabila a décidé de demeurer néanmoins au pouvoir par défis.

De force et de constater que Mr Kabila sera ainsi coupable de parjure ayant commis une violation intentionnelle de la constitution de la république constitutive de la haute trahison.

Par conséquence à partir du 20 décembre 2016 , Mr Kabila ne pourra plus engagé la RDC quant à l’extérieur et à l’intérieur du pays. C’est pourquoi je lance un appel solennel d’abord au peuple congolais à ne pas reconnaître l’autorité du reste illégal et illégitime de Joseph Kabila et à résister pacifiquement au coup d’état qui est ainsi accompli avec la bénédiction de la cour constutionnelle, aux partenaires extérieurs ainsi qu’à la communauté internationale à ne plus traiter avec Mr Joseph Kabila au nom de la RDC.

Soucieux de donner aux ultimes négociations en cours sous la médiation de la CENCO, j’autorise à la délégation de rassemblement à poursuuvre les travaux selon le calendrier fixé selon les évêques. Car à l’issue de ces assises un compromis sera trouvé pour la gestion du pays pendant la période de transition.

A toute fin utile, j’invite notre peuple à rester toujours vigilant et mobilisé et prêt à répondre massivement aux actions pacifique que le rassemblement pourra unitier conformément à l’article 64 et aux lois de la RDC pour mettre fin à la forfaiture et à la trahison perpétrer par Joseph Kabila.

VIVE LA RDC, JE VOUS REMERCIE.✌ ÉTIENNE TSHISEKEDI
[11:25, 12/21/2016] Kambale Kaisavira: Human Rights Watch a maintenant confirmé qu’au moins 26 personnes ont été tués par les forces de sécurité lors des manifestations aujourd’hui à Kinshasa, Lubumbashi, Matadi et Boma. Nous continuons à vérifier d’autres allégations crédibles. https://twitter.com/ida_sawyer/status/811337951284264960
[11:38, 12/21/2016] Kambale Kaisavira: Cette analyse de Monsieur Kaveh Hammersmith me paraît logique :

Primo : les deux Kivu sont convoités par le régime de Kigali. En effet, la démographie suicidaire du Rwanda – idem pour le Burundi voisin – annihile toute politique de développement. Concrètement, cela signifie que la majorité de la population restera pauvre et rurale. Deuxio : ce qui se passe dans l’Est du Congo depuis 1996 n’est ni plus ni moins qu’un nettoyage ethnique dans lequel les populations congolaises de souche sont atrocement violentées, violées, massacrées, chassées de leurs terres ancestrales par la ribambelle de rebellions tutsies pilotées par Kigali. On parle d’au minimum 3 millions de morts. Les zones dépeuplées sont aussitôt occupées par des populations en provenance du Rwanda au vu et au su de la Monusco, des autorités de Kinshasa. Les pauvres paysans congolais ne peuvent compter que sur eux-mêmes pour protéger leurs communautés, leurs terres et leurs richesses. A noter que les deux Kivu sont la région du Congo où la pression démographique sur les terres est la plus forte de RDC. Tertio : le sous-sol des Kivu regorge d’importantes ressources (tantale, niobium, méthane, pétrole, cobalt, or, tungstène, étain) qui intéressent les firmes occidentales, chinoises etc. Quarto : la Belgique en tant que puissance tutélaire sur le « Ruanda-Urundi » avait exporté dans les années 1930 à travers la MIB (Mission d’Immigration des Banyrwanda) – et de manière illégale – des populations du Rwanda vers le Kivu (vide d’hommes) et en y donnant des terres congolaises et en y créant des chefferies artificielles au bénéfice de ces nouveaux venus. C’est ce qui explique la surreprésentation de ces populations rwandophones dans le Masisi et Rutshuru par exemple. Et que ces populations – du fait d’une démographie galopante – ont largement débordé des zones qui leur furent attribuées par l’autorité belge et empiètent sur les zones des populations congolaises de souche. En somme, une bombe à retardement. Quinto : les Kivu ont servi de refuge aux Rwandais, Burundais qui fuyaient l’agitation politique (génocide) de leurs pays depuis la fin des années 1950, rejoint également par de nombreux de leurs compatriotes qui entrèrent et continuent d’entrer de manière frauduleuse du fait de l’absence d’un Etat congolais. Sexto : le Congo Kinshasa paie la facture du génocide de 1994 au Rwanda alors qu’il n’a rien avoir dans les problèmes de vivre ensemble des Hutus et des Tutsis. Et puis, l’appareil administratif, sécuritaire et militaire de la RDC est massivement infiltré par des Rwandais à commencer par l’imposteur qui sert de président à ce pays. Infiltration cautionnée par la Communauté internationale qui exigea très souvent de négocier et d’intégrer les « rebelles » [Rwandais] dans la vie politique et militaire du Congo. Ces individusont tissé un réseau de prédation et d’évaporation des recettes en lien avec le « Congo Desk » de l’armée rwandaise çàd le régime de Kigali.Pauvre Congo. Toutefois, j’entretiens l’espoir de voir la jeunesse de ce magnifique pays faire son grand soir afin de poser les jalons d’un Etat de droit qui n’a jamais existé depuis 1885, un Etat soucieux du bien être de sa population d’abord.
[20:14, 12/21/2016] Kambale Kaisavira: 20 jeunes de la LUCHA arrêtés à Goma en plein action #ByebyeKabila:

1. Oswald kulimushi
2. André batundi
3. Rodrigue kyamwami
4. Alvin bendera
5. Gloire mwanzavalere
6. Amitié muhindo
7. William bahati
8. Pascal muhindo
9. Hercule biringetse
10. Paulin mahamba
11. Patrick djuma
12. Shimi bahati
13. Mubalama kitungu
14. Rebecca kabuo
15. Parfait muhani
16. Luc nkulula
17. Juvin kombi
18. Claudia chuma
19. Espoir Muyisa
20. Antipas Mumbere
[20:24, 12/21/2016] Kambale Kaisavira: Images d’arrestation des membres de la lucha

Notre analyse et synthèse à chaud
[10:46, 12/22/2016] +32 486 74 17 04:

1. Où en sommes-nous avec tout cela, Kambale ?
2. C’est encore Kabila qui garde le dessus, pour l’instant et les policiers continuent à le soutenir : pourquoi ?
3. Nous, congolais de la diaspora, comment pouvons-nous soutenir les nôtres plus efficacement ?
Nos réponses sont claires et demeurent :
1. Kabila continue à tuer, à brimer, à brutaliser et probablement à empoisonner : impunément et sciemment.  Il continue à présider aux destinées du Congo par défi, pour se conserver en vie et maître de la situation.
2. Parce que nous ne préparons pas nos offensives : qu’elles soient politiques ou psycho-sociales.  Nous n’avons toujours pas encore un projet de société clair et accepté de tous les congolais.  L’opposition est aussi médiocre que le pouvoir.  La population est très insuffisamment instruite et unie.
3. Organiser les « troupes » :
– inviter la population à soutenir plutôt des actions politiques en se mettant derrière les leaders qui initierons des actions judiciaires, diplomatiques contre les dictateurs et leurs sbires.  Abandonner les marches, les sit-ins, les lettres ouvertes, les pétitions et autres, qui resterons improductifs, tant que nous seront sous une dictature cruelle, au profit des actions judiciaires à tous les niveaux : national, africain, international.
– Financer ces interventions à fond jusqu’à l’établissement d’un état de droit.
– Engager la classe politique à préparer le changement qu’il faudra opérer après la disqualification du régime josephiste : organisation sociale, administrative, politique, économique, industrielle, commerciale, culturelle, etc. Pour ne pas avoir encore une fois de mauvaises surprises.  Recommander aux partis politiques de soutenir l’initiative et de s’organiser en plateforme ou de fusionner autour d’idéologies claires et pertinentes.
– Soutenir entrepreneuriat dans les villages pour permettre au congolais de maîtriser le capital – compris dans son sens large – et d’être en mesure de contrer et dissuader les velléités dictatoriales du pouvoir et de l’opposition.
– Traiter soigneusement le changement hypocrite d’attitude de la MONUSCO en l’invitant formellement à quitter le pays, tout comme tous les autres occupants qui se sont invités au Congo.
– Favoriser un retour intelligent et programmer de la crème dans le pays avec des missions précises et évaluées.
– Avoir une œil bien ouvert sur les conditions sanitaires et éducationnelles de toute la population et non plus des enfants seulement.

Policiers et militaires…


Depuis 1960, policiers et militaires congolais d’une part ; et, civils congolais d’autre part, n’arrêtent pas à se considérer comme des ennemis.  Au Congo, pendant près de 28 ans, rencontrer un policier ou un militaire, quelque intensément noir qu’il fût, n’était pas mon souhait ; sauf dans quelques situations particulières, quand ils parlaient la langue de mon père ou celle de ma mère, notamment…  Cela attriste, agace, énerve même plusieurs d’entre nous !  Depuis que je suis dans le pays de ceux qui ont fouetté ou fait fouetter mes aïeux, dans le pays des colons belges, cela m’attriste, m’agace et m’énerve encore plus de voir que la présence d’un policier, même le plus blanc que je rencontre et même celui qui parle la langue du Nord de mon pays, me rassure, me calme ; dans la plupart de cas en tout cas, pour ne pas dire dans tous les cas, quant à ce qui me concerne, depuis que je suis dans le pays, depuis 28 ans déjà passés.

Grrrrrrrrrrr!  Ne nous énervons pas !  Hier, j’ai vu plusieurs femmes, toutes, blanches de peau, aux mains drôlement ligotées : à l’aide d’attaches en plastique, d’électriciens, à la Porte de Namur, étant au volant…  J’ai pu comprendre à nouveau ce que j’explique à mes enfants, noirs de peau, blanches de culture, dans un pays originellement et traditionnellement de blancs : je ne suis qu’un privilégié !

Quel est le problème ?  Est-ce celui d’un mauvais traitement, d’un solde de misère ?  D’une formation bâclée ?  D’un abus de pouvoir ou d’autorité ? D’une complicité ou d’une compromission d’un grand nombre ?

Comment sortir les policiers et les militaires du drame qu’ils vivent, comme tous nos autres compatriotes épris de paix et de progrès, mais subjugués par les hommes forts de Kinshasa ?  Si une solution existe, pourquoi alors souffrons-nous depuis 1960 ?  Pourquoi continuons-nous à prétendre que le sort de l’armée soit bel et bien améliorable sans emprunt extérieur ?  Notre rêve peut-il devenir réalité à des conditions humainement raisonnable ?

Écoutons notre colonel cagoulé, sans nous demander pourquoi il l’est.  Répondons nous-mêmes, congolais et ensuite, aux questions posées ci-dessus – si du moins les réponses à ces questions nous tiennent à cœur.

Oyo mboka nini ?


Qu’est devenu notre pays ?  Pouvons-nous encore en attendre quelque chose de bon et pourquoi ?  Voici ce qu’en pense KLL, notre contact qui vit le pays du dedans et non pas du dehors comme nous autres, la « diaspourie »…

[05:16, 12/15/2016] KLL : Vous avez raison papa Atoka il n’ y a personne fiable ici au Congo pour être président. Car tous sont des aventuriers.

Mende vient d’informer que tout les coups de sifflés, les bruit des casseroles entendus vers 00h00 ont été des manifestations de joie de la population pour le nouveau gouvernement et que tout les tires des militaires sont juste une manifestation de leur réjouissance, ce n’est pas du tout contre la population.

🙉ba ndeko n’a nga oyo eza mboka nini ?

Amis ou étrangers ?


Comme à l’accoutumée, les congolais vont pouvoir compter leurs amis et les étrangers qui résident en RDC.

Ces amis-étrangers vont devoir prendre le large, ont pris le large et le prenne encore : laissant les congolais s’entre-tuer entre eux.  Ce n’est pas nécessairement une façon de dire, laisser cette espèce maudite disparaître par sélection naturelle, mais cela le pourrait être…

De direct.cd, cité par PMB :

« Les étrangers fuient la Kinshasa à l’approche du 19 décembre! L’aéroport international de N’djili est plein à craquer depuis la matinée du vendredi 16 décembre, où des dizaines de personnes, plus souvent des étrangers quittent la capitale co… ».

Je pense que c’est un signe que les marines ne sont pas là pour les sécuriser plus que pour s’occuper du sort de Kabila qui s’est permis de toucher au rubicond à plusieurs reprises !
Si nous sommes dans le bon, il faut craindre Kabila ne soit capturé et envoyé à la CPI, tôt ou tard ; ou alors, qu’il soit tout simplement tué brutalement, par vengeance.