Soupçon, intox ou vérité macabre ?


Avant et après le 30/06/1960, des congolais meurent sans que les auteurs de leurs morts ne soient inquiétés.  Les bandits politiques continuent donc à tuer, dans cette impunité persistante et grandissante.

La conclusion est donc claire : soupçon, intox ou vérité, cela ne change rien sur le fondamental.  La Bible dit ceci : « malheur à ceux par qui les scandales arrivent ».  Dans le cas de la RDC, c’est par le pouvoir, le gouvernement et le parlement en place que cela l’est.  Le malheur est donc promis, définitivement, pour ceux qui participent, d’une manière ou d’une autre, pour que, sur base de soupçon, d’intox ou de vérité, les scandales se multiplient.

Eloignons-nous de ces hommes, dénonçons et répudions ces hommes, que nous avons commis à la gestion de la chose publique !

http://cctgovrdc.com/web/2014/12/03/attention-alerte-rouge-au-canada-et-dans-toute-la-diaspora-congolaise-ca-sent-la-mort-sur-vos-portes/

"Attaques barbariques"


Que disent Bin et autres Kabilistes durs-a-cuir sur l’incapacite de J Kabila de proteger ne serait-ce qu’une frange de la population a haut risque d’attaques barbariques? Ils sont prets a delier leurs langues pour nous parler economie , preferant abdiquer leur responsabilite de veiller sur la population.  Quelle honte !

AL

On Thursday, October 30, 2014 4:41 PM, Lumona1— via Congokin-tribune <congokin-tribune@congokingroupes.com> wrote:

RDC: 14 personnes tuées dans la nuit dans l’est

30/10/2014 à 20:42 | AFP

RDC: 14 personnes tuées dans la nuit dans l'est

RDC: 14 personnes tuées dans la nuit dans l’est © AFP

Quatorze personnes ont été tuées dans une attaque menée dans la nuit de mercredi à jeudi dans le territoire de Beni, dans l’est de la République démocratique du Congo, où près de 100 civils ont péri en octobre dans des tueries, a annoncé jeudi une ONG locale.

Après une « incursion des ADF (rebelles ougandais de l’Alliance des forces démocratiques alliées) dans la localité de Kampi ya Chui (. . . ) le bilan est lourd: 14 personnes massacrées à la machette », a annoncé Teddy Kataliko, président de la Société civile du territoire de Beni. Les autorités n’ont pas confirmé ce bilan, annonçant simplement que l’attaque a fait « des morts ».

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"SON ARABIE SAUDITE"


Nous ne l’aurons pas dit assez : ni Médine ni aucun autre endroit sur la terre n’est la solution à notre problème.
Au Projet 2014, nous continuons à croire que la vraie solution passe par les 2 étapes inévitables que sont :
1ère étape : l’identification nos vrais leaders et leur promotion ;
2ème étape : sous leur conduite, l’enclenchement d’un développement par projets qui commencera par la disqualification des hommes véreux que nous avons erronément commis à la gestion de la chose publique et que nous n’arrivons pas à démenteler parce que nous nous y prenons mal.
Pour vous en convaincre, lisez, entre les lignes, la livraison de Magloire Paluku et jugez par vous-mêmes.
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Magloire Paluku (https://www.facebook.com/mapalvav)
A ajouté 3 nouvelles photos.
4 h
BENI SAMEDI 14H…BAHATI BARIK MUBARAK : UN ADF MADE IN GOMA
IL A ETE RECRUTÉ POUR ALLER AUX ETUDES A MEDINE MAIS SON ARABIE SAUDITE S’ EST ARRÊTÉE DANS LA FORÊT DU TERRITOIRE DE BENI.NE A MUJA DANS LE TERRITOIRE DE NYIRAGONGO, IL AFFIRME AVOIR RECU UNE FORMATION TERRORISTE RESIDUELLE.
IL S’ ETAIT INFILTRÉ DANS LA VILLE DE BENI AFIN D’Y OPÉRER AVEC DES ATTENTATS AU MARCHE CENTRAL ET AILLEURS.  C’EST SON GROUPE QUI AVAIT TUÉ UN AGENT DE LA MONUSCO A BENI, LANCE DES OPERATIONS CONTRE UN CONVOI DES CASQUES BLEUS ET CONTINU A SEMER DE L’INSECURITE. IL EST MEME MARIÉ A UNE FEMME DE BENI.
EN CONVERSATION EXCLUSIVE AVEC RADIO KIVU1, CET ELEMENT ADF AUX ARRETS CONFIRME TOUT CE QUE LES SERVICES DE SECURITE LUI REPROCHE.

Désordre parfait à Butembo


Tembos YotamaButembo-Souvenir

Hier, à 16:40 ·

va joooo, leo 10/10/2014, ili kuwa combat ya danzee entre police na motard ju ya ba casque, paka bulo haikukua bibo///

« Les gars !  Aujourd’hui, le 10/10/2014, il y a eu un grand affrontement entre la police et les motards à causes des casques [?], au point qu’il y ait pas eu du travail à Bubo [Butembo].

Pasteur Nkosi et combattants…


Entre le Pasteur Nkosi et les combattants, l’incident semble clos, à s’en tenir au document ci-dessous.  Le pasteur Nkosi sort gagnant de l’affaire qui l’opposait à l’opposition au régime kinois en général et aux combattants et résitants en particulier : pourquoi et comment ?  Que faut-il en conclure et en apprendre ?

Qui perd et qui gagne dans cette partie qui aura durée quelques semaines et qui aura connu une fermeture forcée d’une église et des blessés graves ?

Il est une chose que les négociateurs n’ont pas dit : s’ils attendnt vivrent désormais en compatriotes ; comment attendent-ils combattre l’imposture de Kinshasa ?  Ce silence, selon nous en dit long…

Ceux qui ont du discernement auront déjà compris les conséquences à tirer de ces négociations dont nous ne savont ni les tenants ni les aboutissants véritables, sinon qu’une menac policière qui semble s’imposer aux combattants à Londres.  Qu’en sera-t-il ailleurs ?

S’il en est ainsi, quelle forme prendre demain le combat et la résistance à Londres et pourquoi ?  Pouvons-nous en tirer des leçons utiles pour nous quête d’indépendance ?

Escalade de violences ?


A Londres, la situation sécuritaire se dégrade pour les congolais.

Pourquoi et comment ?

[16:39:32] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: BREAKING NEWS URGENT STOP VIOLENCES :LES JOURNALISTE COMBATTANTS DE LA RESISTANCE

EUGENE EKANGA  et sa femme ont été mortellement poignardé aujourd’hui dans leur maison au sud de Londres par quatre individus cagoule et nous condamnons avec force cette violence gratuite dans notre Communauté à Londres.

LA VIOLENCE EST LE PREMIER REFUGE DE L’INCOMPETENCE
[19:06:27] *** marlyspembele can’t be added until they accept your contact request. ***
[20:06:14] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: LOBI NA EGLISE YA PASTEUR NKOSI  NA LONDRE EZALAKI SOMO SOMO SUIVEZ CA       http://www.youtube.com/watch?v=l8-jo4nHE0U

Congo-Angola


Congo-Angola : quel futur ?

Quelle politique adoptent les hommes de Kinshasa et pourquoi ?  Personne ne veut répondre à la question.  Le posting de Jeanpy A. Lukamba interpelle, comme à nouveau, sur la question congolo-angolaise.

Serait-ce parce que la réponse est claire comme l’eau de roche ?

Posté par Jeanpy A. Lukamba à 7h57 (Groupe Skype)

Des éléments de l’armée régulière angolaise ont fait des incursions dans la localité de Tampa, située dans le territoire de Songololo au Bas-Congo pour procéder à la destruction des champs de chanvre. Le cri de cœur des activistes de la Société Civile de cette province opérant dans ce territoire a eu comme effet immédiat de remuer le couteau dans la plaie des Congolais qui assistent ridiculisés, scandalisés et impuissants face à ces incessantes et régulières incursions de l’armée angolaise sur leur territoire pour y poser des actes de violence, sans que les autorités politiques et militaires de ce pays ne lèvent le moindre petit doigt.

Partageant plus de deux mille kilomètres des frontières avec le voisin du Sud-Ouest, la RDC a toujours souffert des incursions de l’armée régulière angolaise sous n’importe quel prétexte. Tantôt, pour pourchasser des éléments des mouvements de résistance du FLEC-FLAC revendiquant l’indépendance de l’Enclave de Cabinda, tantôt, pour des missions punitives contre des bandes des voyous accusés d’avoir commis des vols en Angola et qui se seraient réfugiés en RDC. Ces diverses incursions s’accompagnent toujours des actes de violence gratuite perpétrés sur les populations locales civiles non armées, notamment des destructions méchantes des villages, des exécutions sommaires ou des tortures inhumaines de tous ceux qui auraient été accusés d’avoir hébergé ou complices des éléments du FLEC-FLAC, des confiscations des biens meubles des villageois, etc. On dénombre même des victimes parmi les autorités administratives locales ayant tenté d’opposer une résistance à ces assaillants.

En effet, il ne se passe pas un trimestre sans que l’on assiste à des incursions de l’armée angolaise sur le territoire congolais. La localité de Tshela qui charrie une page importante de l’histoire de ce pays pour avoir vu naitre le tout premier chef de l’Etat feu Joseph KASAVUBU a été occupée pendant plus d’une semaine par des troupes de l’armée angolaise pourchassant des éléments des mouvements FLEC-FLAC. Avant de se retirer calmement comme si de rien n’était. On rappelle l’épisode tragi-comique du conflit des bornes frontalières dans le territoire de Kahemba qui a été au cœur des débats fort passionnés à la chambre basse et qui se sont clôturés en eau de boudin sans que l’on sache exactement le véritable emplacement de ces bornes des frontières. On ne compte plus des expulsions des ressortissants congolais dans des conditions infrahumaines, notamment des tueries, des viols massifs, des confiscations des biens meubles. Et comme à l’accoutumé, les autorités politiques, administratives, judiciaires et sécuritaires se terrent toujours dans un mutisme complice. Aucune protestation officielle, notamment  le rappel de notre ambassadeur accrédité à Luanda, aucun acte de réciprocité sur des sujets angolais résidant irrégulièrement en RDC pour rappeler aux autorités angolaises que cela n’arrive pas qu’aux Congolais.

Ces incursions dans la localité de Tampa devraient en principe interpeller Kinshasa pour prendre le devant en menant des enquêtes pour identifier les propriétaires de ces champs de chanvre. Avant de procéder publiquement à leur destruction pour que cela ne se répète plus jamais. La lutte contre le trafic des stupéfiants, notamment la drogue et surtout le chanvre, rentre dans le cadre de la guerre implacable contre le terrorisme international. Cela va de la traque des trafiquants jusqu’au contrôle rigoureux des comptes bancaires pour dénicher les mouvements des narcodollars.

C’est probablement parce que les autorités de Kinshasa sont occupées à autre chose qu’à l’essentiel que les Angolais qui connaissent les conséquences néfastes de ce trafic des stupéfiants sur la jeunesse et les éléments des mouvements armés irréguliers qu’ils sont venus faire le ménage sur notre territoire. Une façon de rappeler à Kinshasa le principe cher de la guerre préventive pour se prémunir contre une éventuelle menace.

En clair, les Angolais sont venus administrer aux autorités de Kinshasa une leçon de bonne gouvernance, de gestion de la chose publique et particulièrement de la sécurité des personnes et leurs biens. Faut-il en rire ou en pleurer ? Les deux à la fois, car il est inconcevable que des éléments d’une armée étrangère viennent détruire des champs de chanvre sur le territoire national sans que cela ne réveille les autorités du pays. C’est triste.

Police !


La police a été la cible de beaucoup de critique à Bruxelles (Belgique) depuis le week-end dernier.  Qu’en est-il de la police de Limete à Kinshasa (République Démocratique du Congo) ?  Cela étant, à qui confier les étrangers en séjour illégal ?  Peut-on raisonnablement renvoyer des illégaux vers la RDC !  Comment sauver les vies en danger ?

[20:45:22] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: BREAKING NEWS RDC : La Police Congolaise au Cœur d’u réseau de trafic d’organes humains.

C’est un véritable film d’horreur qui se déroule dans les cachots de Kinshasa, particulièrement ceux de la Police –Echangeur/Limeté. Des détenus sont abattus comme des animaux, les cœurs, foies, et autres organes emportés. Certains policiers au sein de l’unité d’intervention de la Police Echangeur/limete ont délié leurs langues : « c’est qui se passe ici est inhumain, sur ordre du général, le Major Kasonga exécuté chaque jour à partir de 23 heures, les détenus. Ils sont attachés par des cordes, c’est avec une grosse barre de fer, que ces gens là sont achevés. Ensuite leurs corps sont coupés en morceaux pour une destination inconnue ». Notre équipe a aussi recueillie des témoignages de certains détenus dans les cachots de Limete Echangeur : « la nuit, le major Kasongo ordonne à ses éléments d’augmenter le volume de sonorisation de musique. C’est sous les décibels des chansons COUPER –DECALLER que ces jeunes sont exécutés. Leurs corps sont ensuite charcutés, la suite on ignore ». Certains corps ont été découverts, mutilés et dépourvus des organes génitaux, très convoités par les trafiquants d’organes. c’est d’ailleurs l’une des raisons du renforcement de sécurité au Beach Ngobila.

L’Interpol, les organisations criminelles internationales ont repéré depuis un certain temps à Kinshasa, la montée de ce trafic. . Des humains sont vendus comme pièces détachées pour répondre à la demande de riches malades en attente de transplantations d’organes. Dans les différents cachots de Kinhsasa, Mabanga à Ndjili, Kilo Maze 300 à l’IPKIN, Commissariat Général, Limete /Echangeur, les autorités policières maintiennent en détention, en garde pendant des semaines les potentiels candidats au trafic d’organes humains.

Un rapport de 628 pages de la CPI contre le Général Kanyama.

On parle de quelques 628 pages de rapport d’enquêtes préliminaire élaboré par les agents de la CPI, présents à Kinshasa depuis plusieurs semaines. Ces enquêteurs, accompagnés des membres des organisations des droits de l’homme (ASADHO, RENADHOC, VSV, Les amis de Nelson Mandela) vont auditionner ce lundi 17 février certains officiers de la Police Nationale Congolaise-Ville de Kinshasa. L’un de ces officiers, le Major Kasongo serait déjà aux arrêts pour enlèvement, disparitions et assassinats de détenus, les nuits du 10- 11 -12 13 février dans le cachot de la Police/Échangeur –Limete.
 
Plusieurs Chefs d’accusations contre le Général KANYAMA CISHIKU, matricule 33512/A et ses coïnculpés :

– Colonel NAWEJ PALANGA Elvis, matricule 14911/A
– Majorl KASONGO MPIANA
– Colonel SAÏDI MATHE
– Colonel KILUKU Petit Jean
– Colonel NINA Mardoché
– Colonel KALENGA Thierry
– Colonel Francis LUKESO

Ces officiers de la Police Nationale sont accusés des Chefs de : Homicides volontaires et involontaires, destruction des biens publics et privés, vol et recel de vol, coups et blessures volontaires, violations des domiciles, enlèvement et séquestration des personnes, exécutions extrajudiciaires, dissimulation des corps.

Dans un communiqué conjoint publié hier mercredi 27 novembre 2013, la Monusco et l’Unicef avaient dénoncé les exécutions sommaires et extrajudiciaires contre des jeunes et enfants délinquants à Kinshasa, communément appelés  » Kuluna  » par les forces de défense et de sécurité. Ces deux agences des Nations Unies affirmaient avoir reçu des rapports préoccupants faisant état de disparations et d’assassinats de jeunes et d’enfants dans certaines communes de Kinshasa.