1.000.000 ha : un projet inutile, sans lendemain ?


Nous y croyons

Nous recherchons des personnes qui croient en la création des couloirs agricoles de 8 km de largeur autour de toutes nos routes – 4 km à gauche et 4 km à droite – de toute route, pour créer une industrie agricole à 100% congolais et de la plus haute technologie, en commençant avec la houe, mais en visant une agriculture robotisée. Des personnes prêtes à cultiver, à financer ou à gérer les projets.

Nous proposons de commencer avec l’axe Butembo-Eringeti, Eringeti-Mahagi-Port et Ngote-Aru ; pour participer à la pacification, sans armes, de l’Est.

À l’Ouest, nous retenons Kinshasa-Bandundu Kinshasa-Matadi.

Parler du projet aux autochtones que vous connaissez ; qui désirent aller dans la direction de notre indépendance agricole et de l’enrichissement de nos paysans agriculteurs, pour faciliter la pacification véritable du pays que notre gouvernement a difficile à gérer avec ses amis étrangers.

Ceux qui quittent la communauté 1.000.000 ha : qui sont-ils, véritablement ?


Nous enregistrons soigneusement ceux qui quittent cette communauté et qui prouvent qu’ils n’ont jamais vraiment aimé le Congo. Autrement, pourquoi quitteraiennt-ils une communauté de ceux qui recherchent l’indépendance agricole du pays et l’enrichissement de nos paysans par eux-mêmes,  sans les armes ?

Pourquoi promouvoir le travail en ligne ?


Le travail en ligne prendra du temps à être adopté au Congo. Cependant, pas pour les mêmes raisons qu’en Belgique par exemple.  Au Congo, les réseaux des télécommunications sont déficients. Les bandes passantes sont étroites, le matériel est vétuste. Le personnel est mal formé ou mal payé. L’insécurité ambiante et l’immoralité sont croissantes. En Belgique, la situation est autre. C’est une la résistance au changement qui explique le retard, la lenteur dans le passage au travail en ligne. Une culture conservatiste, une législation surannée, la religion et d’autres facteurs semblables expliquent la résistance au changement. Toutes les attitudes afférentes font obstacle au développement en général. Qu’il soit culturel, social, technologique ou lié au travail en ligne en particulier.

Pourtant, il est clair que travail en ligne soit un puissant moteur de développement. Il implique, en effet, plusieurs modifications positives au niveau individuel et collectif.  Changements culturels, technologiques, sociaux, économiques, politiques…

  1. Une hausse obligatoire du niveau d’instruction, de formation et d’éducation : du citoyen, de la nation.
  2. Un développement technologique des ménages, pour se connecter en RPV (VPN) aux serveurs d’entreprises, à la toile et au nuage.
  3. La création de nouveaux emplois à hautes valeurs, dans les télécoms. Cela implique la gestion du matériel et du logiciel. C’est ici aussi l’accroissement du nombre de techniciens, l’extension de l’industrie du matériel, du logiciel et de la législation.
  4. Une meilleure alimentation des travailleurs, des ménages. Ceux-ci gagnent du temps et peuvent se faire des repas sains et variés en lieu et place de picnics. Dans la ville province de Kinshasa par exemple, le gain de temps peut représenter jusqu’à 5 heures, certains jours.
  5. Une baisse de la pollution due à la reduction de tous les déplacements évitables.
  6. Une meilleure éducation des enfants dans les menages, plutôt que dans les écoles. Avec comme avantage la préservation de notre richesse culturelle, vue la réduction du temps passé dans les installations surannées. Ces espaces en effet, participe à la spoliation de nos cultures, à ne pas y prêter attention.
  7. Augmentation de la paix sociale : Par une réduction des sources de conflits interpersonnels et une meilleure organisation du travail. Surtout, dans les grandes villes, la multiculturalité n’est pas encore maîtrisée par la plupart de nos gouvernants. Le travail en ligne forcera ces derniers à mettre en place des procédures de travail plus sûres, plus pacificatrices.
  8. Accroissement significative du rendement du travail domestique, de bureau, de l’industrie. C’est l’accroissement de la production, de la productivité, de la rentabilité, de la compétitivité. Tout cela, grâce aux technologies de pointe utilisées pour réaliser le travail en ligne.

Le travail en ligne a cependant ses inconvénients.  Selon le Copilot, le travail en ligne offre une grande flexibilité, mais soulève aussi des défis.

  1. Isolement social. Travailler à distance peut réduire les interactions humaines et donner un sentiment de solitude. Nous noterons pourtant que les travaux de bureau conduisent, sous d’autres cieux, à plusieurs cas de surmenage, aux suicides-mêmes.  Et le Congo n’est pas en reste.
  2. Difficulté à maintenir la motivation.  Oui, en l’absence d’un cadre structuré, le travail, qu’il soit en ligne ou sur site, démotivera toujours. Il décevra plus d’un d’entre nous.  C’est donc le manque de maîtrise du management et la religion qui sont à interroger. Si l’objectif est de résoudre la démotivation ; et non pas le travail en ligne. Il peut être plus difficile de rester concentré et productif dans un groupe de grande taille. En tout cas, plus que lorsqu’on travaille en famille disciplinée, dans un groupe restreint. La déconcentration est donc évitable. Dans le travail en ligne ou sur site, cessons de payer le temps de travail. Rémunérons plutôt la quantité et la qualité du produit fourni ou du service rendu.
  3. Problèmes techniques. Nos connexions internet sont instables, nos logiciels défaillants ou mal écrits… Ces obstacles ralentissent drastiquement nos travaux en lignes.  Cela restera un obstacle majeur au travail en ligne dans notre pays. Quand le gouvernement s’occupera de la modernisation de l’infrastructure et de la superstructure des télécoms, tout changera. Le travail en ligne sera de loin avantageux. Il pousse le Congolais à l’excellence. Les succursales de l’EAE ASBL au Congo, par exemple, sont obligée de ne plus accepter que des membres gradués. Il faut en plus que ces derniers soient correctement équipés. Cela nous hisse vers le haut. Tout le monde doit s’instruire, se former, s’éduquer, produire de la valeur, pour rester dans la structure. Avec 3 membres, nous produisons plus que quand nous en avions 85.
  4. Sécurité et confidentialité. Les données échangées en ligne sont plus vulnérables aux cyberattaques. Mon expérience personnelle, en Belgique comme en RDC, est que claire. Les brèches sécuritaires, dans notre bureau virtuel, sont, bien souvent, ouvertes par les membres particuliers. Ceux qui sont inciviques, sans qualification ou sans instruction suffisante.
  5. Frontière floue entre vie professionnelle et vie personnelle. Il peut être compliqué de déconnecter et de séparer les deux sphères. Ce que l’on ne dénonce pas assez, c’est l’absentéisme déguisé, surtout, dans nos administrations. Où, il est vrai, que la séparation entre la profession et le privé n’est pas bien suivie. Le travail en ligne, lorsqu’il paie la production et non pas le temps au travail, est la solution. Il est la solution rapide, élégante et efficace à la question de l’absentéisme déguisé.

Tout celui qui travaille en ligne ou sur site, sait que ces défis soient vite surmontables. Nous savons les balayer par l’instruction, la formation et l’éducation, personnelles et collectives.

Construire à Malende à Butembo…


[20-09-24 20:09] V. K.

Vous pouvez rencontrer les responsables des communautés de l’ITURI et du KIVU et aussi d’autres provinces du Congo. C’est vraiment nécessaire, très important et urgent.
Ne ratez pas cette occasion divine et essayer de rentabiliser votre temps pour la réussite des projets économiques, sociales, diplomatiques et juridiques de nos terroirs du KIVU et de l’ITURI.

J’AI DÉJÀ REÇU DES VAKAMA DE MALENDE BUTEMBO UNE SUPERFICIE DE 200 HECTARES POUR CONSTRUIRE DES QUARTIERS MODERNES ET DES LOGEMENTS DESCENTS.
SI LES GENS ONT PEUR DE KIRUMBA, ALORS ILS PEUVENT CONSTRUIRE LEURS LOGEMENTS MODERNES À MALENDE, À 8 KM DE BUTEMBO.
CE PROJET AMBITIEUX ÉCONOMIQUE MALENDE A AUSSI DES GISEMENTS DE FER ET DE CALCAIRE.
ON PEUT AUSSI CONSTRUIRE UNE MÉTALLURGIE À MALENDE POUR LE FER À BÉTON ET LA CONSTRUCTION DES PONTS MÉTALLIQUES DANS NOS TERROIRS DU KIVU ET DE L’ITURI.

VALENTIN KAMBALE MALINGOTO NDUIKALE, PRÉSIDENT FONDATEUR SOCEDU SARL

Maman ou papa : ton petit commerce est-il viable en RDC ?


!!! EAE ASBL peut t’aider à tenir ta comptabilité pour que tu ne travailles pas en vain ou sur un produit peu rentable, pendant qu’il y a des produits plus utiles sur le marché. Un sms ou un e-mail chaque soir (dépense, recette) ; et chaque fin de semaine, nous te conseillons pour professionnaliser ton commerce !!!

Tu peux commencer seul ! Chaque semaine, additionne toutes tes dépenses (D = achats et tous les autres frais) et toutes tes recettes (R = ventes).

Si, pour la semaine, (R-D)/D > 0,17, c’est que ton affaire est très bonne ! Tu peux, à coup sûr, devenir millionnaire avec elle.

Si, sur la semaine, (R-D)/D < 0,053, c’est que ton affaire n’est pas assez rentable dans le contexte de la RDC d’aujourd’hui : change vite de produit ou de service !

Il faut séparer les dépenses et recettes de différents produits ou services : bananes à part ; poulets, à part ; épinards, à part… Tu pourras ainsi comparer les produits suivant leurs rentabilités.

Le service de l’EAE ASBL est totalement gratuit pour toi : profites-en plutôt !