Dictature et avenir des Congolais : Urgence d’une réflexion, d’une action.


Voici un autre pavé dans la marre : de source jusqu’ici inconnue. Cette TSHOF TV se faisant introuvable…

Comme les fils de Satan ne peuvent jamais être plus intelligents, nous sommes prévenus par eux-mêmes, dans leurs fourberies. Ils essaient, en lançant quelques intox.

L’arbre sera reconnu par ses fruits. La dictature ne sera jamais bonne, comme certains voudraient que nous l’admettions, pour satisfaire leurs bas instincts. Elle demeurera abjecte, inaccepte pour tous ceux qui aiment réellement notre Congo et ses fils.

Nous devons apprendre à dire non à ceux qui voudraient nous prendre tous pour des bêtes, comme le firent certains avant eux. Cela demande de notre part beaucoup de courage, de sagesse, d’intelligence, de détermination, de travail, de veil, de vigilence.

Suivez la vidéo ici pour vous imprégner de ce qui se prépare.

De la capacité de nous Congolais discerner dépendra notre lendemain.
Plusieurs décisions ici nous parraissent intéressantes, mais sont servies sur un plat empoisonnée. Un plat de dictature.

  • La réduction du nombre des partis politiques à deux.
  • La révision du découpage territorial.
  • La suppression du Parlement bicaméral.
  • Le droit au recouvrement de la nationalité perdue par certains congolais.

En revanche, le décor est macabre :

  • Le dictat de A à Z, d’entrée de jeu.
  • La colonisation des toutes les provinces et l’accaparement de leurs terres et de leurs destins.
  • Le culte pour le Président de la République.
  • La négation de notre humanité et la réduction de tout congolais au stade de l’animal à soumettre par lâcheté.

L’insécurité croîtra de plus bel :

  • Des nouvelles rébellions s’annonceront déjà demain, probablement, spontanément.
  • Une nouvelle vague d’exil saignera sans doute encore le pays.
  • Les rapaces s’accapareront du pays et la dépéceront à souhait.
  • L’injustice sociale s’est déjà renforcée dehors.

Si les choses devaient se passer comme annoncé dans cette vidéo, il faudra une intervention angélique pour arrêter le couroux des congolais épris de respect du congolais et de paix pour nos peuples.

Je ne suis pas d’accord !


« Je ne suis pas d’accord avec le pouvoir qui est là, non plus qu’avec ceux là qui nous exterminent à la machette, nous qui sommes innocents.

Tu n’as pas vue les manifestations dans les deux Kivu ?  Les autres provinces, bougent-elles pour se mettre aux côtés des Kivutiens ? »

De tels messages nous parviennent à longeur de journée.  Mais, à chaque élections, nous voyons les mêmes dirigeants réélus, reconduits, plébicités par ceux qui font semblant de gémir et qui sont en même temps, au front, la proie de l’ennemi.

Kinshasa accuse le Rwanda d’agression, de génocide et de pillage des ressources minières et minérales du Congo.

Des rebelles disent livrer la guerre contre le régime fantoche, dictatorial, incapable et traître de Kinshasa et trouve appui chez les voisins proches et lointins.

La population, habituée à la mendicité, à l’attentisme, à la danse, à la beuverie, au tribalisme et à la fausse religion, verse dans des jérémiades, dans la fuite devant l’ennemi, dans le pillage de son propre pays, dans l’exil et dans son abrutissement.

Divisés, sans foi ni scrupule, héritier d’un empire colonial, le Congo se retrouve dans l’ignominie face à ses ennemis de plus en plus nombreux et puissants, mais mal connus de lui.

Nos peuples veulent la paix, l’unité et la prospérité, mais n’en connaissent pas les natures ni les exigences et n’en accepte pas les conditions.

Le pays est vendu aux étrangers.   Les enfants sont mal éduqués.  La paresse physique, intellectuelle et spirituelle ; la démission, la compromission et la trahison, sont le mode de vie national.  La division, le clivage se retrouvent à tous les niveaux.  La niaiserie et l’hypocrisie côtoient l’indifférence, la méchanceté et la sauvagerie.

Dans cette jungle, dans cette fournaise, quelques rarissimes chrétiens, brillent, dans la sombre nuit, comme des lampes placées sur des chandeliers.

C’est pour ce reste, que bientôt, dans deux ou trois générations,  une soixantaine ou nonantaine d’années d’ici,  Dieu interviendra, par compassion, pour le salut de notre peuple qui verse et versera encore dans l’idolâtrie, pour un temps !  C’est alors que nos méchants ennemis, ploieront les genoux, regretteront d’avoir touché à la prunelle de leur Créateur.

Il faudra en effet que nos petits-fils se lèvent et crient à Dieu, pour que celui-ci soufle sur le pays.