Pour JPCID


[8/18, 17:55]

Pour jcpid, la sorcellerie c’est quand Patrick Gasore, le colonel des FARDC qui a péri, avec sa femme, dans le crash d’un aéronef, à une trentaine de kilomètres de Kisangani, en provenance de Lubutu ; [mais] voit son deuil [est] organisé au Rwanda.

Jusqu’à quand Fatshi Béton aura-t-il écouté nos voix avant de [pour] se décider à nettoyer notre armée de tous les officiers généraux et supérieurs issus des mixages et brassages ?

[8/18, 17:58]

Le général Mugisha, commandant des opérations SOKOLA1, a fait tué la population au centre de la ville d’Oïcha, chef-lieu du territoire de Beni.

[8/18 22:44, GPAU]

Quand dans un État le chef s’érige en potentat, il n’y a pas d’illusion à se faire.  C’est que tout espoir de salut, de liberté,  d’indépendance,de progrès, n’est pas encore permis.  C’est lorsque le peuple s’approprie son destin et trace démocratiquement son avenir, que peut commencer la paix, la justice, le travail et le développement véritable, sûr et pérein.

Le peuple qui se libérera du joug colonial actuel est celui qui sauvera le Congo.  Or, pour l’instant,  tous nos peuples, par paresse et parasitisme, ont choisi la voit de l’esclavage, de la colonisation.

Bunagana ou le pays tout entier ?


« Restons dans l’histoire mes soeurs et frères, arrêtons trop la boisson et l’ambiance pensons à nos Petites soeurs et petits frères, travaillons dur l’amour du pays. » (Projet 2014, WhatsApp)

Qu’est-ce que RESTER DANS L’HISTOIRE ?
Qui sont nos frères et nos soeurs ?
Comment et pourquoi penser à ces frères et soeurs ?
Qu’est-ce que l’amour du pays ?
Comment et pourquoi travailler dur l’amour du pays ?

Sans avoir des réponses à ces questions élémentaires, mais essentielles, comment pourrons-nous monter une stratégie qui nous permette de délivrer durablement Bunagana et le Congo tout entier de l’occupation, de la domination étrangère, de l’esclavage ?

Tous nos peuples du Congo vivent dans la colonisation et l’esclavage. Certains, depuis la nuit des temps ; d’autres, depuis quelques siècles ou décennies.
Nous pensons que le premier travail à faire c’est de décoloniser le pays : (1) accepter que chaque peuple ait le droit et le devoir de prendre son destin en main et (2) nous entraider, pour que cette indépendance de nos peuples cesse d’être une démagogie qui suscite des rebellions dans le pays, qui fasse le lit de l’imposture ou de l’occupation dans la sphère politique locale et nationale.

Tout l’Est est occupé, subjugué, exploité par des allochtones ou des étrangers. Les rancoeurs montent contre les colons, les dominateurs, les imposteurs… La division du pays se renforce et est capitalisée par les ennemis de nos peuples, de notre nation.

Et comme nous sommes peu instruits, insuffisamment qualifiés, de plus en plus immoraux, l’ennemi gagne du terrain chaque jour. La ressource humaine n’est pas de qualité.
Nous éduquer nous-mêmes en tant que nation demande que nous nous rencontrions, physiquement et virtuellement, pour définir nos valeurs et la manière de les promouvoir rapidement, démocratiquement.
Très peu d’entre nous acceptent de s’imposer cette discipline. Ce qui demande de notre part une campagne forte d’éducation par toutes les voies disponibles et accessibles : réunions familiales dans les foyers, travaux de groupes en présentiel ou en ligne, chat, messageries électroniques, les MOC, etc.

Dans ce projet, nous vous invitons à nous rejoindre dans ce combat contre nos faiblesses, pour espérer un jour être à même de véritablement secourir Bunagana et bien d’autres localités qui sont dans les griffes de Satan…

CODECO : notre loi colonialiste !


C’est un non sens que de vouloir déloger ou faire taire les Lendu de la CODECO chez eux de force, sans commencer par nous dire contre qui ou contre quoi ils se battent et soigneusement examiner leur cause. Quand bien-même il faille refuser le règlement de nos conflits par des tueries… Le problème est : quel régime est près à faire justice aux peuples occupés et brimés de la RDC ?
Notre Président, notre Gouvernement et notre Parlement ne nous disent pas clairement ce que revendiquent les Lendu ; à cause de leur politique impérialiste. Ils ne nous disent pas non plus ce qu’ils obtenir en combattant la CODECO, chez elle, par les armes.
Parmis les Lendu se trouveraient des Hutu invités qui viudraient aider les Lendu et alliés dans leur combat contre les Hema et alliés qui les occuperaient ; avant que ces Lendu et Hutu se liguent pour combattre Kagame (Tutsi et alliés) et Museveni (Ganda ou Baganda et alliés) victorieusement, selon leur prétendu plan.
Si cela est vrai, il faut revoir notre loi, colonialiste, qui autorise tout congolais à s’installer n’importe où sur le territoire national sans demander de compte aux autochtones et qui nie de ce fait même à nos peuples le droit de disposer du sol de leurs aïeux comme ils l’attendent, loi qui prône la colonisation des congolais par les Congolais !
Cette même loi impérialiste, colonialiste est en train de retirer des villes à leurs propriétaires pour les confier à des allochtones qui les occupent majoritairement.
Notre analyse est de dire que cette loi soit un des obstacles légaux à la pacification de la RDC.
En effet, il commence à devenir de plus en plus difficile de reprocher à nos compatriotes d’inviter leur cousins ou alliés de circonstance à venir les aider dans leur combat contre ceux qui les occupent !
Il faut craindre que les Hema et alliés n’invite bientôt leurs cousins et alliés – s’ils ne l’ont pas encore fait – à venir les aider à contrer leurs ennemis Lendu et leurs alliés.
Pour éviter l’escalade de la guerre en Ituri, commençons par :

  1. Forcer Kinshasa à arrêter l’état de siège, inconditionnellement !
  2. Nous, peuples de l’Est, forçons les parties belligérantes à se mettre autour d’une table pour obtenir le respect mutuel entre nous et pour régler nos comptes restés ouverts !
  3. Débutons de notre Est tous ceux qui nous spolient, colonisent et nous pillent depuis la nuit des temps, depuis la période lumubienne.
  4. Négocions avec l’ouest le démantèlement de la République ; avec laquelle une paix est impossible au Congo.

Cette démarche, aujourd’hui, ne peut être conduite que par le projet 2014. Plusieurs congolais commencent à l’admettre, TIDEMENT !

Oublions vite les tripatouillages de 2023 et concentrons-nous sur le démantèlement de l’imposture, de la médiocrité et de la dictature d’abord ! Tous nos ennemis ont peur de ce plan que nous foulons au pied depuis décembre 1999.

Arracher la vie Eliezer


Qui, avec qui et pourquoi veut arracher la vie à Eliezer Ntambwe ?

Nous l’avions annoncé en mai 2011 : « le pire est à venir », disions-nous !

Quel doit être l’attitude de congolais nés de nouveau ?  Devons-nous sombrer dans la peur ou continuer à avoir Dieu pour partenaire ?

Consultons les Ecritures et nous y trouverons des exemples d’ainés dans la foi en Dieu qui ont bravé des méchants de toutes sortes….

[23:43:39] GENERAL-KAWELE -KATA -MOTO – Seba Siao: MESSAGE ENVOYER PAR  MONSIEUR ELIEZER NTAMBWE

« Arrêté hier a 21h30 et amené directement a la prison centrale de Makala après l audience d Eugène Diomi ou je ne faisais que mon travail de journaliste,je n ai recouvré ma liberté que cet après midi,ma caméra a été ravit ainsi que mon micro,ma montre cassée et mon téléphone volé.
Dieu merci,je suis sorti avec espoir que rien ne m a été injecté pendant la forte brutalité que j ai connut,si non une source m a informée que je suis visé a cause de ma position dans l exercice de mon boulot pour ma patrie, je ne sais a quel moment ils peuvent décider de m’arracher la vie comme on m a dit sur leur complot.
Merci de votre soutien qui ne fait que me réconforter dans cette période de lutte. »

S’attaquer au colonialisme ?


S’attaquer au colonialisme préoccupe certains esprits avec raison : le colonialisme est abject et doit être reconnu comme une violation des droits les plus élémentaires des peuples à l’autodétermination de leur destin, comme un véritable crime contre l’humanité quelque qu’en eut été les « bénéfices » pour les colonisés et les colonisateurs.  En RDC, le colonialisme revêt plusieurs facette : le colonialisme occidental, le colonialisme intercongolais, le colonialisme oriental.  Quelque soit ce colonialisme, sa caractéristique première est de nier au congolais le droit à l’humanité.  Cette négation n’est pas qu’extérieur au pays.  Certains congolais voudraient pouvoir dominer le reste du pays, en faire leur marche-pied.  En même temps, des congolais existent qui s’estiment incapables de prendre la responsabilité de leur destin et qui ne demande pas mieux que de la confier à ceux qui savent prendre soin de l’avenir d’une nation, selon leur croyance.  Pendant donc que nous combattons le colonialisme, d’autres la recherche !

Quant à savoir comment s’attaquer à ce mal qui ronge la RDC, depuis les années le 19ème siècle, les congolais restent divisés sur la question, faute d’un forum qui se penche sérieusement, méthodiquement sur la question et qui propose au peuple une solution qui soit la plus acceptable pour le plus grand nombre.  Le temps de léthargie qui résulte de cette irrésolution profite aux néocolonialistes de tout bord qui continuent à assujétir les congolais, comme le prédisait un homme d’Etat belge, à juste titre.

Ceux qui grognent dans leurs chambres tout comme ceux qui crient dans la rue ou qui font retentir des armes dans la forêt n’ont pas encore su nous aider à débouter le colonialisme de ntore pays.  Tous manquent recourent à des méthodes inopérantes, inefficaces ; travaillent dans des structures mal organisées, faute de ne vouloir écouter les conseils multiples que prodiguent les hommes qui aiment véritablement la RDC.

Nous appelons à venir autour d’une table de travail dans le cadre du Projet 2014.  Les égoïsmes, les orgueils, les mégalomanies, les tribalismes, les régionalismes, les séparatismes linguistiques qui caractérisent notre gente congolaise empêchent à plusieurs d’accepter l’offre ; et, le pays continue à patauger.

L’extrait suivant, d’une conversation entre nous et un compatriote en quête d’une solution aux maux que nous cause le colonialisme permet de voir les erreurs à ne pas commettre.

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MON FRERE, EN CE QUI CONCERNE LE DIALOGUE BELGO CONGOLAIS VISANT LA FIN DU NEO-COLONIALISME NOUS NOUS LIMITONS A PARTIR DU COLONIALISME JUSQU’A PRESENT, LA BELGIQUE ETANT LA SEULE RESPONSABLE CONNUE POUR CETTE PERIODE.

Pour bien résoudre un problème, frère, tu sais bien que la meilleure façon de s’y prendre c’est de s’attaquer à la cause première du problème.  C’est dire que nous devons d’abord analyser la cause première du néocolonialisme et sa conséquence.  Notre manque de civisme : nos pères et nos compatriotes qui nous vendent et nous traihissent à répétition, notre pauvreté matérielle et immatérielle : notre incapaticité à mobiliser les ressources nécessaires à l’exécution de nos projets, la méchanceté de l’homme : esclavage, colonialisme, pillage de nos ressources, négation de nos droits)  pour pouvoir mettre en place une structure qui permette de démenteler le néocolonialisme que nous décrions.  Cela demande que nous montions des laboratoires de travail, de production d’idées et de moyens.

EN ADRESSANT LE NEO-COLONIALISME, NOUS VISONS D’ABORD L’AGENT EXTERIEUR DE CE CRIME CELA NOUS PERMETTRA DE CORRIGER AUSSI NOS MANQUEMENTS.

Généralement, pour résoudre un problème, on commence par la source ou bien par le maillon faible du cercle vicieux des conséquences des problèmes.  Le souci premier doit être de réduire le coût du projet, au sens large du terme ; c’est-à-dire, tous les coûts : humains, matériels, immatériels, technologiques, psychologiques, sociaux, culturels, industriels, etc.

SI VOUS TROUVEZ COMMENCER  PAR CORRIGER LE CONGOLAIS D’ABORD ET LAISSER LA BELGIQUE DE COTE, CE SCHEMA COMPROMETTRAI LA RAISON D’ETRE DU DIALOGUE BELGO-CONGOLAIS ENVISAGE COMME LA FONDATION POUR METTRE FIN AU NEO-COLONIALISME(C’EST UN PEU COMME NOUS DIRE DE LAISSER DE COTER CETTE VISION ET NOTRE STRATEGIE MISE EN PLACE POUR Y ARRIVER). SI VOUS VOULEZ COMMENCEZ PAR LE CONGOLAIS, NOUS VOUS SOUHAITONS BONNE CHANCE DANS CE SENS, ET NOUS NE MANQUERONS PAS DE VOUS ASSISTER POUR CELA DES QUE VOUS EN MANIFESTEREZ LE BESOIN. NOUS AVONS UNE AUTRE DEMARCHE POUR CORRIGER LES ERREURS DE NOS COMPATRIOTES.

Pour ce qui est de l’ordre priorité, je crois qu’il ne peut pas se fixer par caprice ni antidémocratiquement, si nous voulons bâtir un pays où chacun se sens responsable d’autrui.  Il convient donc d’examiner plusieurs scénarios de solutions avant d’en choisir un (Une stratégie).  J’ai proposé des jalons dans le Projet 2014.  Je pense qu’il faut commencer par avoir l’homme qu’il faut à la place qu’il faut pour commencer la rédaction de nos projets de développement à courts, moyens et longs termes, en tenant notamment compte des travaux qui existent déjà, qui demandent probablement quelques retouches pour correspondre aux besoins réels de notre nation et non pas aux caprices de ceux qui aujourd’hui s’arrogent le droit de décider à la place du congolais.

MON FRERE, LE CONTENU DE LA LETTRE (OFFRE DE PAIX) EST SURTOUT UNE INTERPELLATION DES HOMMES DE DIEU.

L’Etat congolais actuel est, théoriquement, laïc.  Il faut donc pouvoir obtenir que les congolais acceptent qu’il soit, résolument, démocratiquement, formellement, confessionnel d’abord, avant de traîter ses affaires à la lumière des Ecritures et par le biais des serviteurs de Dieu.  Sinon, là aussi, nous sérions en train de perpetuer la médiocrité qui caractérise aujourd’hui la gestion de la chose publique : Mobutu règne après un coup d’Etat, Kabila s’auto-proclamme Président, Kanambe est désigné président par une bande qui reste inconnu à la majorité de la population congolaise et continue par deux autres mandats sans que personne ne relève ni ne refuse de fonctionner sous ces anomalies et ne sache les arrêter.

Notre démarche dans le Projet 2014 c’est d’inviter autour d’une table de travail démocratique, virtuelle ou matérielle, afin de donner au congolais la responsabilité de mener son pays vers la destiné qu’il a choisi et qu’il sait assumer.