La présence de Kabila : Craintes et espoirs au Congo


Kabila ne briguerait pas le pouvoir en RDC

Pourquoi alors parler encore de lui ? Voici une autre réflexion, à chaud, sur la présence et le discours attribué à Joseph Kabila.

Considérons certaines analyses ; telles celle celles générées par des outils d’IA comme ChatGPT.  Selon elles, le discours attribué à Joseph Kabila mérite d’être pris avec précaution. Il s’agit de l’allocution qui aurait été prononcé à Goma, le 2 juillet 2025. Il ne serait ni vérifié, ni relayé par des sources dites officielles.  Cela dit, le débat qu’il suscite, lui, est bien utile. Pour tout esprit en quête de vérité, de paix, de prospérité, cette discussion peut être une aide à la réflexion.

Car qu’on l’aime ou qu’on le redoute, une chose est claire : Kabila fait encore parler de lui. Sa présence à l’Est dérange, inquiète, ou rassure, selon la classe politique dont on est proche. Et cela en dit long sur l’état de la République.

Pour beaucoup de Congolais de l’Est, ce n’est pas tant l’homme qui intrigue, mais le vide laissé derrière lui. Un vide sécuritaire, institutionnel, symbolique.  Un vide que Kinshasa peine à combler.  Alors, quand un ancien président réapparaît, dans une région longtemps oubliée, cela secoue. Cela suscite des interrogations, cela réveille des espoirs chez certains… Et des peurs chez d’autres.  Il y a là, en effet, un vide. Une lacune que Kinshasa n’a pas été capable de combler. Un manque qu’il ne sera pas en mesure d’assouvir ; faute d’en posséder les moyens.

Peurs fondées ?

Oui. Si la présence d’un ex-chef d’État alimente les rumeurs de partition, c’est bien parce que la République se délite.  Parce que l’Est du Congo souffre, isolé, meurtri, trahi. Parce que lorsque le centre abandonne ses marges, les marges se réorganisent. Et parfois, avec les moyens du bord ; tandis que souvent, avec des acteurs ambigus.

Mais ces craintes sont aussi le fruit d’une gestion catastrophique du pouvoir actuel. Et, des pouvoirs qui ont précédé ce dernier.  Militarisation sans stratégie, accords opaques, mépris des réalités locales et du vœu populaire. L’absence d’un État crédible et juste, donne à un discours fort une dimension et une apparence politiques. Quand bien-même celui-ci serait trouble.

Alors, que pensons-nous, nous, fils de l’Est ?

Nous voyons la faillite d’un système hypercentralisé, fondamentalement colonial, esclavagiste et dictatorial.  Un système politique qui n’a jamais intégré l’Est. Sinon que comme un réservoir de minerais, un théâtre de guerre, ou une zone tampon, périphérique.  Nous voyons aussi la nécessité urgente de repenser l’unité du Congo : pas en théorie, mais en actes.  Une nécessité de créer un Congo nouveau, indépendant.  Un Congo qui n’ait rien à voir avec la vision lumumbiste du pouvoir et de l’État.

L’unité ne viendra pas d’un slogan, selon nous.

Elle viendra :

  • d’un contrat social totalement réécrit par tous les Congolais, par nos royaumes et nos empires, reconnus souverains ;
  • d’un dialogue franc avec les communautés blessées, les peuples jusqu’ici reniés ;
  • d’une autonomie réelle de chaque État issu de ce contrat social national, où les états libres et indépendant se gèrent eux-mêmes, avec le souci de transformer leur unité factice du moment en une réelle union d’États indépendants, libres, unis, prospères ;
  • et d’un leadership honnête, ancré, courageux, qui ne joue pas la carte des divisions ethniques ni des complicités régionales hégémonistes.
Créera-t-on un jour une unité du Congo ?

Une unité du Congo, de l’Afrique Centrale, ou de l’Afrique tout entière ? Cette démarche que propose le Projet 2014 n’est-il pas un leure ?

Oui — si nous la voulons vraiment, l’unité du Congo reste possible, mais demandera encore du temps.  Nous ne retrouverons pas une unité qui n’a jamais existée : nous la créerons de nos mains.  Mais pas en récitant les discours de Léopoldville ou de l’OUA.  Cette unité ne passera par une décentralisation intelligente, une mémoire réhabilitée, une justice restaurée.  L’unité ne se décrète pas. Elle se mérite.  Cette unité sera l’œuvre d’hommes résolus à s’humaniser ; à glorifier leur Créateur, à honorer la gente humaine.  Et pour cela, il faut du courage. Le courage d’écouter ceux qui n’ont jamais eu voix au chapitre. Le courage d’admettre nos erreurs collectives.  Et le courage de tourner le dos à ceux qui veulent faire du Congo un butin, et non une nation. Que ces hommes viennent de l’Est ou de l’Ouest, du Nord ou du Sud. L’instruction, la formation, l’éducation et l’implication de nos peuples, dans le projet d’unité nationale, demande plus ou moins 20 ans. Or, elles ne sont pas encore commencées !

Mourir opposant solitaire !


Oui !  Il vaut mieux que je meure opposant éternel !  Pour l’amour de mon Créateur et pour le nom de mon père que je ne veut pas salir.

[23-03-25 23:12] JN

Kinshasa joue l’hypocrisie dans les affaires de l’Ituri et du Nord Kivu depuis imposition de l’état de siège qui était juste pour préparer la balkanisation de la République Démocratique du Congo.


[23-03-25 23:22] GPAU

Quelles preuves as-tu, personnellement, de ton affirmation ?
Nous voulons avoir des analyses objectives, pour ne pas nous tromper ni tromper notre base.


[23-03-25 23:38] JN

Si les gouvernements provinciaux fonctionnait il n’y aura pas tout ces désordres dans la gestion de ces deux provinces c’est pour dire que l’état des sièges était juste pour étouffer le soulèvement populaire dans ces deux provinces. Et surtout pour signer des accords avec les Rwanda et l’Ouganda sans la délibération du gouvernement provincial.

[24-03-25 00:06] GPAU

Pourquoi esquive-tu ma question ?
Tu la trouves impertinente ?
Avec des « SI », on peut construire des châteaux en Espagne dit-on en français.
Pourquoi est-ce que nos provinces dysfonctionnent ? Pouvions-nous le prévoir ces dysfonctionnements ? Si oui, avons-nous pris les dispositions nécessaires pour prévenir les misères qui sont nôtres aujourd’hui ? Sinon, pouvons-nous obtenir que notre futur devienne prévisible ? Sommes-nous disposés à prendre notre destin en main ?

[24-03-25 00:09] JN

Tant que l’est dépendra de Kinshasa nous ne pouvons pas avoir des solutions pour les problèmes de l’Est.

Deux mentalités qui ne se mariera jamais.

Le problème de l’Est c’est Kinshasa plus quelques fils de l’Est

Il faut une révolution pour se libérer de cette marginalisation

[24-03-25 00:19] GPAU

Oui !  Il vaut mieux que je meure opposant éternel !  Pour l’amour de mon Créateur et pour le nom de mon père que je ne veut pas salir.

[23-03-25 23:12] JN

Kinshasa joue l’hypocrisie dans les affaires de l’Ituri et Nord Kivu depuis imposition de l’état de siège qui était juste pour préparer la balkanisation de la République Démocratique du Congo.

[23-03-25 23:22] GPAU

Quelles preuves as-tu, personnellement, de ton affirmation ?
Nous voulons avoir des analyses objectives, pour ne pas nous tromper ni tromper notre base.

[23-03-25 23:38] JN

Si les gouvernements provinciaux fonctionnait il n’y aura pas tout ces désordres dans la gestion de ces deux provinces c’est pour dire que l’état des sièges était juste pour étouffer le soulèvement populaire dans ces deux provinces. Et surtout pour signer des accords avec les Rwanda et l’Ouganda sans la délibération du gouvernement provincial.

[24-03-25 00:06] GPAU

Pourquoi esquive-tu ma question ?
Tu la trouves impertinente ?
Avec des « SI », on peut construire des châteaux en Espagne dit-on en français.
Pourquoi est-ce que nos provinces dysfonctionnent ? Pouvions-nous le prévoir ces dysfonctionnements ? Si oui, avons-nous pris les dispositions nécessaires pour prévenir les misères qui sont nôtres aujourd’hui ? Sinon, pouvons-nous obtenir que notre futur devienne prévisible ? Sommes-nous disposés à prendre notre destin en main ?

[24-03-25 00:09] JN

Tant que l’est dépendra de Kinshasa nous ne pouvons pas avoir des solutions pour les problèmes de l’Est.

Deux mentalités qui ne se mariera jamais.

Le problème de l’Est c’est Kinshasa plus quelques fils de l’Est.

Il faut une révolution pour se libérer de cette marginalisation

[24-03-25 00:19] GPAU

Je dois constater, avec tristesse, que même toi, tu ne sois pas prêt à prendre les choses en main. Là où tu pourrais pourtant le faire.

Nos provinces dysfonctionnent parce que nous n’avons pas aligné les bonnes personne aux bons postes. Cela n’est pas possible avec une République. Dans cette forme d’organisation, les provinces sont dirigés par des gouverneurs. Or, ces hommes sont des valets du Président de la République. Ils sont commis à la défense de la position de leur chef et non pas au service de la population. Un système démocratique permettrait d’aligner des hommes compétents aux fonctions dont le pays a réellement besoin. Il n’est pas possible à mettre en place dans une République. Dans celle-ci, en effet, le pouvoir est inutilement concentré entre les mains d’une personne humaine, qui connait ses limites. Quand on y ajoute le tribalisme ambiant, cela donne et conduira toujours à la déception que nous connaissons. C’est la raison pour laquelle je suis persuadé que nous ne connaîtrons jamais une indépendance véritable au Congo-Kinshasa. Tant que nous resterons organisés en une République, nous serons donc toujours dans le statut quo. Le mécontentement, la division, l’insécurité, la contreperformance économique, culturelle et politique ; la colonisation, l’esclavagisme et la dictature nous accompagneront.

C’est la raison pour laquelle j’invite tous les Ituriens, tous les Congolais, à se mettre ensemble. Je les convie autour d’une table de travail. Oeuvrer à trouver comment supprimer, une fois pour toute, tout relent d’une République, de notre pays. Ce projet nous aidera à avoir l’indépendance de tous nos ethnies, toutes nos tribus, tous nos clans, toutes nos patriarchies. Avec cette indépendance, nous aurons la paix véritable dans le pays. La conséquence sera la possibilité ,pour chaque peuple travailleur, d’éradiquer la pauvreté, de congédier l’insécurité de ses terres.

Propose nous une voie qui nous même à cette révolution. Celle qui fasse que l’Est ne subisse plus le dictat de Kinshasa. Moi, je suis candidat pour la matérialisation d’un tel projet. Une initiative qui nous libérer du joug de Kinshasa, totalement et définitivement. Nos peuples arrêteront ainsi de vivre en rebelles et en bandits de tous genres.

Deux mentalités qui ne se marieront jamais

La RDC est un pays multiculturel, colonisé, d’esclaves, depuis plusieurs décennies.  Les mentalités à l’Est et à l’Ouest n’y sont pas les mêmes.  Cela ne suffit pas à expliquer les guerres à l’Est, l’insécurité sur l’ensemble du territoire.

En effet, nos choix politiques, électoraux sont mauvais.  Depuis des siècles, nous acceptons l’esclavage, la colonisation, et maintenant, nous soutenons ou nous nous compromettons la dictature.  À ces maux s’ajoute notre propension à la ségrégation culturelle et à hégémonisme politique.  Tous ces vices nous maintiennent dans l’arriération politique.  C’est dans elle que nous nous retrouvons, du fait de notre propre turpitude.

Nous mourons encore, pendant un temps.  Nous nous réveillerons ensuite : furieux contre nos propres bêtises.  C’est alors, et alors seulement, que nous pourrons prétendre à la paix et à la prospérité du plus grand nombre.  Les écluses des cieux nous seront alors ouvertes : pas avant !

Propose-nous une voie qui nous mène à cette révolution qui fasse que l’Est ne subisse plus le dictat de Kinshasa. Moi, je suis candidat pour la matérialisation d’un tel projet. Nous libérer du joug de Kinshasa, totalement et définitivement est en effet notre devoir civique. C’est de cette façon que nos peuples arrêtront de vivre en rebelles et en bandits de tous genres. C’est ainsi que nous nous départiront de la pauvreté et de notre méchanceté, propre au paganisme.

Des deux mentalités qui ne se marieront jamais

La RDC est un pays multiculturel, colonisé, d’esclaves, dépendant, depuis plusieurs décennies.  Les mentalités à l’Est et à l’Ouest n’y sont pas les mêmes.  Cela ne suffit pas à expliquer les guerres à l’Est, l’insécurité sur l’ensemble du territoire.

En effet, nos choix politiques et électoraux, depuis l’acceptation de l’esclavage, sont la colonisation et la dictature. Avec ces options, notre propension à la ségrégation tribale et à l’hégémonisme politique, nous maintiennent dans l’arriération politique. Nous nous retrouvons dans cette condition, en réalité, du fait de notre turpitude, ajoutée à la méchanceté humaine.

Nous mourons encore pendant un temps.  Nous nous réveillerons ensuite : furieux contre nos propres bêtises.  C’est alors, et alors seulement, que nous pourrons prétendre à la paix et à la prospérité du plus grand nombre.

Ma proposition, tu le sais se trouve ici : https://projet2014.com. Elle est récusée par tous les Congolais, pratiquement. Pourquoi ?

  1. Il est un projet chrétien : il dérange tous les superstitieux, tous les fils de Satan.
  2. Il est démocratique : il dérange les dictateurs, les colonisateurs, les esclavagistes.
  3. Il est capitaliste : dans un pays ou la majorité croit au communautarisme. Cette dernière s’imagine qu’elle soit la solution à nos problèmes de pauvreté. Quelle erreur !

Je ne veux trahir ni ma foi, ni mes valeurs morales. Je préfère mourir opposant solitaire, aux régimes qui se succèdent à Kinshasa. En effet, c’est par le fait de notre choix que nous souffrons. (1) Le du paganisme, (2) la dictature et (3) le parasitisme nous tuent.

Appel à la levée de l’État de siège en Ituri et Nord-Kivu


Après la mission effectuée par Cheffe de gouvernement congolais, au Nord-Kivu et en Ituri, deux provinces sous état de siège, voici mon point de vue.

Madame la Première ministre, vous et votre équipe déployée dans les 2 provinces citées ci-haut, pour évaluer ce régime spécial décrété par le Chef de l’Etat, commandant suprême, en date du 03 mai 2023, dans son ordonnance numéro 21/015 de cette même date. Nous voulons vous rappeler par notre message qu’en date du 14 août 2023 au palais de la nation le Chef de l’Etat avait fait l’ouverture solennelle de la table ronde sur l’évaluation de l’Etat de siège; où toutes les couches de la province de l’Ituri et celle du Nord-Kivu ont été représentés. Lors de ces assises toutes les parties prenantes ont été unanimes pour la levée pure et simple de ce régime qui est vouer en échec dans nos deux provinces. Si aujourd’hui, nous nous retrouvons dans le quatre murs de la prison centrale de Bunia, où jusqu’à ce jour nous avions passé 9 mois, seulement parceque nous avions aussi soutenu de notre part l’idée de la délégation de deux provinces envoyées à Kinshasa pour la table ronde. Lors de cette table ronde toutes les deux parties ont été unanimes pour la levée de ce régime.
Excellence, cette même idée a été soutenue, lors de votre mission dans nos deux provinces où toutes les langues étaient soudées pour dire non à la requalification de l’Etat de siège mais plutôt à sa levée pure et simple car ce régime a été cuisant(lamentablement voué en échec). Madame la Première ministre et votre délégation, nous vous suggérons de fournir les vraies doléances de toutes les parties prenantes consultées lors de votre mission effectuée en Ituri et au Nord-Kivu où vous aviez entendue ces parties, nous vous demandons de faire la volonté da la population souveraine.
En faisant ainsi, vous allez faire la volonté de la population de deux provinces sous état de siège qui ne jure que sur la levée de ce régime spécial.
Merci pour tout, car nous nous espérons une suite favorable après votre mission.

Pour vous,
Me Augustin KURATABO MUSUBI

AKSANTE SANA

Acteur politico-social et leader d’opinion, depuis sa cellule de la prison centrale de Bunia.

Dénonçons les traîtres, les illégaux…


Vous souhaiteriez dénoncer des fraits d’irrresponsables du progrès (esclavagistes, colonialistes, dictateurs, bandits divers, voleurs assassins) de notre pays ? Remplissez le fomulaire ci-dessous. Nos compatriotes juristes engagés s’occuperont de les responsabiliser, de saisir les autorités compétentes, de suivre le dossier, de vous rendre compte des suites. Vos données personnelles ne seront transmises à personne.

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Témoin d’un (des) fait(s) :

Attention
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Attention
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Attention !

Nous valons des billions d’Euros !


Jean Bosela Chaque participant de ce fameux dialogue touche 2800$/jour x 14 =39.200$ ! Mais un enseignant de l’école primaire qui touche 40$/mois soit 480$/ans, qui ne même pas la moitié de la somme de ces délégués. Quelle honte! Puis ces mêmes personnes nous diront qu’ils n’y a pas d’argent pour organiser les élections. Espèce de Tintin.

GPAU
Dans mon village d’Ugudo (Ituri), ce montant pourrait payer 1000 cultivateurs pendant 14 jours.  Soient 54 cultivateurs pendant une années, en les faisant travailler 5 jours sur 7 dans la semaine.  Avec un salaire de 60 $/mois ; soit 50% de plus que le salaire de l’enseignant ci-dessous !  Or, ces 54 travailleurs (2 par province), enverrai du coup, près de 216 congolais à l’école.  Ce faisant, dans 12 ans, nous aurions la garantie de disposer encore de quelque vrais électeurs en plus.  Vous avez bien lu.  Le Congo c’est plus que cela.  Pour mettre au travail nos chômeurs, nous avons besoins d’animateurs compétents.  Il convient que notre peuple se mette au travail.  Sans le Projet 2014 ou sans un projet qui lui soit comparable, un tel travail n’aura pas lieu.  Ce mettre autour d’un table est notre voie de salut INCONTOURNABLE.  Toutes les autres voies sont des portes de l’abîme.  Si vous doutez toujours : suivez le chemin large…

Whitworth Bin Doukab Qu’on nous dise aussi, combien gagnerait chaque participants…  Cela va nous permettra de faire des petits calculs afin de comprendre ce que le dialogue coûte au pays…

GPAU

Mais aussi et surtout, ce que le dialogue rapporte au pays en terme de paix et d’enrichissement de tous !

Pourquoi nous proposer de petits calculs ?  Nous considérez-vous, vous aussi comme des crétins ?  Le Congo n’est pas un pays de milliers d’Euros.  Le Congo que nous proposons c’est celui des billions d’Euros.  Tenez.  Nous « serions » 73.000.000 d’âmes.  Avec une moyenne de 6 habitants par famille, nous serions donc 12,17 millions de ménages.  Pour vivre un conforme minimal, c’est bien de 2.500 €/mois, en net, que chaque ménage a besoin au Congo, comme ailleurs – nous le démontrons dans un autre article, avec des données de terrain.  En tenant compte du brut : des impôts, les taxes, des assurances, des amortissements d’équipements, les études des enfants, les investissements, c’est de 6.500 €/mois au moins que notre ménage martyre a besoin.  Ce ménage doit donc produire 186 g d’or par mois, dans l’Ituri par exemple !  Cela étant, notre pays doit produire au moins 949 milliards d’Euros soit 0,95 billions de d’Euros.

Les projets nationaux au Congo ne peuvent être des projet à milliers, ni en millions d’Euros.  C’est bien des billions d’Euros que nous pesons, sans le savoir !

Force est donc de se rendre compte à l’évidence : accepter ce dialogue, à milliers d’Euros, c’est trahir notre nation ou faire montre d’une ignorance immonde.

De <https://www.facebook.com/radiookapi> [Après quelques corrections orthographiques !]

GPAU

Maintenant nous avons conscience de tout cela.  Il ne nous reste qu’une chose.  Nous inscrire nombreux dans Kongo ya Sika.  Un parti politique qui veut montrer à nous-mêmes congolais que pouvons faire la politique autrement.

Prenons un projet quelconque, qui rapporterait à chaque congolais 10 €/mois.  Sur l’année, cela représenterait 120 € de gain.  Pour notre nation, un tel projet veut donc dire 8,76 milliards d’Euros de gain.  Le capital, pour 6% de gain par an, serait alors de 146 milliards d’Euros.

Posons nous maintenant la question suivante : que peut faire un congolais avec 10 €/mois ?  N’est-ce pas ce soit 1.000 €/mois de gain qui commencerait à avoir du sens ?  C’est donc de 146 billions d’Euros de capital que notre pays aurait besoin pour initier un projet significatif pour tous !  En prendre conscience, c’est aussi prendre conscience de ceux qui peuvent prétendre être nos partenaires…

Au national, renvoyez promener ceux qui vous viennent avec des projets à milliers d’Euros !  Nous sommes un pays de billions d’Euros et nos de petits calculs.

Ce qui s’écrit…


Cela se passe sur WhatsApp, dans un groupe : Congo Débat.  Quelle conscience avons-nous de nos tares et de nos atouts ?  Lisez cela ici.

[23:35, 9/5/2016] +250 783 302 570:
[23:38, 9/5/2016] +243 992 207 249: Je suis tellement content de voir le degré d’acceptabilité que vous affiché l’un envers l’autre au départ mais pensons concrètement à cette politique de la RDC avant le chao si nous ne prenons pas les choses en mains sérieusement.
[23:47, 9/5/2016] +33 6 51 16 69 68: Dr Bill
Je viens de lire ta contribution à ce débat et j’affirme que tu as une analyse des faits politiques reflétant exactement à la mentalité nationale, alimentée par la propagande des régimes dictatoriales sans apports des réalités politiques des pays démocratiques.
En effet, je vais être très bref. Peux tu me montrer les réalisations des politiciens populaires au Congo depuis plus de 60 ans. Peux tu me montrer un homme populaire au Congo qui est devenu président de la République? Peux tu me présenter un un homme politique congolais qui a produit un programme de gouvernement de la qualité de celui de Georges Alula si c’était facile comme tu le dis. C’est Alula qui vient de montrer aux Congolais la possibilité dun budget de centaine de milliards de dollars au lieu d’un insignifiant n budget de 7 milliards de dollars, programme éprouvé par les grandes organisations financières et pays du monde.
A ce sujet nous n’avons plus besoins des gens populaires parce qui crient au micro, ve tonneaux bides. Nous avons absolument besoin de la nouvelle génération politique des cadres qui ont une vision et des projets crédibles de développement intégral du Congo. Georges Alula incarne parfaitement ce nouveau leadership pour le Congo.
[00:01, 9/6/2016] +32 486 74 17 04: Ce que je peux dire c’est qu’il est vrai que ce soient Georges Alula et Freddy Matungulu (140 milliards) qui sont les premiers à nous emboîter le pas en matière de budget. Ils restent cependant bien en-deçà (dixième) de ce que nous proposons aux congolais nous comme objectif MINIMAL à viser dans un horizon de 50 ans : 1500 milliards de Dollars par an à dollars constant !
Cela se conçoit : ils sont instruits, ils sont intellectuellement outillés. Ni Lumumba, ni JD Mobutu, ni LD Kabila, ni J Kabila Kabange n’ont leur niveau d’instruction.
Ils sont certainement compétents : autrement, je ne crois pas qu’ils occuperaient les positions qu’ils occupent sur la scène professionnelle dans le monde.
Il est à parier qu’il soit d’une moralité haute. Comment en effet se conserveraient-ils à leurs postes s’ils étaient sans Dieu ni foi ?
Voilà pourquoi, nous, dans le cadre du projet 2014 insistons auprès de notre peuple pour que le prochain président congolais, soit constitutionnellement :
– au moins âgé de 50 ans,
– au moins titulaire de deux diplômes universitaires,
– au moins millionnaire,
– à tout le moins, chrétien.
[00:04, 9/6/2016] +243 997 001 077: Ceux la que vous qualifiez de populaire le sont devenus avec votre argent, celui du peuple congolais
Un peuple ne mérite que ces dirigeants… les dirigeants du Congo sont l’image du peuple, je comprends pourquoi ils sont retissants a la crème de la crème qu’est Dr Georges alula
Oscar kashala avait produit le miracle en 2006… rien est perdu d’avance
Il suffit de savoir coordonner sa campagne
[00:06, 9/6/2016] +243 997 001 077: En gros
Je suis d’accord avec Mr graphele paluku
[00:10, 9/6/2016] +33 6 51 16 69 68: Concernant ton affirmation sur l’handicape d’Alula parce qu’il n’est pas connu, je fais l’observation suivante:
Pour moi le fait que Alula soit déjà connu par des centaines de milliers des Congolais dans chaque province du pays et dans la diaspora, C’est largement suffisant. Car, ce que les Congolais soumis à l’ignorance de la dictature ne savent pas, c’est le rôle et l’importance de la première étape du processus électoral: propagande .
La propagande dans une élection transparente, libre, démocratique et équitable permet aux candidats de présenter aux électeurs leurs projets, leurs personnes, leurs équipes afin de les convaincre sur leurs capacités et crédibilité d’assumer des responsabilités du pays. Comme le Congo n’a jamais connu cette étape déterminante , je te comprends.
[00:15, 9/6/2016] +32 486 74 17 04: Attention !
La crème de la société congolaise laisse la place à des aventuriers, à des bandits politiques !
Le peuple, sans instruction, a cru et croit encore que les élections, ce soit les cousins, les oncles, sa langue, sa région et pas autre chose…
Les opportunistes en ont profité.
Une fois au pouvoir, ils se cramponnent et surveillent bien leur collaborateurs aux stylos – les « ndombe » ou « kalaka ». Ceux-ci sont pour eux des dangers, des menaces. La sphère politique a fini par en être pourri ! Même le peuple est un danger, parce qu’il se rend vite compte de leurs insuffisances et veut changer d’avis. Pas question ! Il faut vite le mater, avant qu’il ne prenne les habitudes des intellos : la contestation du pouvoir…
Cela donne quoi ?
Trois coups d’états après l’indépendance pour accéder à la présidence.
[00:15, 9/6/2016] +32 486 74 17 04: Que faire ?
[00:17, 9/6/2016] +32 486 74 17 04: 1. Faire comprendre au peuple sont erreur et l’amener à disqualifier ceux qu’il a, par erreur ou négligence, commis à la gestion de la chose publique.
2. Gérer le devenir national par projet écrit et conçu avec le peuple, la base et non avec l’étranger.
[00:17, 9/6/2016] +33 6 51 16 69 68: Bonne analyse mon frère Graphèle
[00:17, 9/6/2016] +32 486 74 17 04: Les insuffisants, les complexés, les aigris, les criminels ne nous apporteront jamais ce changement !
[00:19, 9/6/2016] +32 486 74 17 04: Le comprendre, c’est savoir AVEC PRÉCISION son devoir citoyen…
[00:28, 9/6/2016] +33 6 51 16 69 68: Ce qu’il faut faire c’est travailler davantage sur l’élément fondamental du changement: la conscientisation. Elle permet , grâce à une information vraie et à la sensinilisation efficace, au peuple de connaître ses droits et ses devoirs, de comprendre la cause de sa situation de misère, de savoir les actes, les conséquences, les comportements et les pratiques de leurs dirigeants, afin de se prendre véritablement en charge. C’est ce que nous faisons dans l’opposition réelle.
[00:36, 9/6/2016] +243 825 913 321: Cyrille, ce n’est pas important d’ignorer la vérité à la veille des élections, car nul omet l unanime projet de société de Mr Vital Kamerhe ? Alors qu’il fut le président de l’ensemble, Moïse Katumbi qui dit qu’il est capable de terminer la guerre de l’est seulement dans 3 mois s’il devient président alors que celle ci viens de faire plus de 2 ans et lui était encore au pouvoir , Matata Ponyo ,qui n arrete de prêcher le mystérieux miracle de l’économie congolaise pendant qu’elle est léthargique, vous et moi qui sommes congolais devons savoir maintenant que si nous vivons un malaise au Congo c’est à cause de notre crédulité unilatérale puis suicidaire à la fin
[00:48, 9/6/2016] +32 486 74 17 04: Dans le temporel comme dans l’intemporel, la crédulité et souvent la conséquence de l’ignorance.
Dans le temporel comme l’intemporel, combattons donc l’ignorance des lois qui gouvernent le monde physique et le monde non physique.
Notre question est : quel congolais, pour l’amour de la patrie, s’investit dans le combat contre cette peste qu’est l’ignorance de son monde ?
Qui apprend la physique et la chimie, pour maîtriser les lois du temporel, du monde physique ?
Qui apprend la logique et la métaphysique, pour maîtriser les lois de l’intemporel, du monde dit spirituel ?
Regarder à nos religions : un tas d’ignares et de médiocres – moi compris, attention ! Cela explique notre pauvreté matérielle et spirituelle qui nous tue inéluctablement.
[00:50, 9/6/2016] +32 486 74 17 04: Quant à la conscientisation, beaucoup d’ONG prétendent s’en occuper…
Attention : on ne peut pas passer son temps à conscientiser les gens… La conscientisation est un prélude à l’action qui elle, définitivement et principalement, réalise le progrès !

Sur les rails : les deux Kivu ?


Voici ce que nous recevons d’un contact Skype.

« BREAKING NEWS
La population de BUKAVU demande aux Députés élus du Sud-Kivu et Nord-Kivu de rester définitivement à Kinshasa s’ils votent pour la loi électorale de Kabila.

La marche des forces politiques et sociales a eu lieu ce Jeudi 15 Janvier 2015 à BUKAVU. La population de BUKAVU dit non à la modification de la loi électorale. Ils disent que le recensement ne doit pas être une condition pour organiser les élections.

La population de Bukavu exige aussi à la CENI un calendrier global dans un délai le plus bref. Les images parlent !!! dans quelques heures de image »

Voici un type de décision qui mettra les bandits politiques de la RDC dans de mauvais draps !  Ce que je comprends pas en revanche c’est (1) la désolidarisation d’avec le Maniema…  Devons-nous dire que les affinités culturelles, dont nous avons l’habitude de parler, commencent à se préciser ; et, (2) la confiante apparemment accordée à la CENI ?

Chers kivutiens : vous êtes, AUJOURD’HUI, sur la bonne voie.  Ne la quittez pas et dans 6 mois vous me donnerez raison.  Notez que c’est l’étape une du projet de disqualification de l’imposture que nous proposons depuis 2001 : https://www.google.be/search?q=%22que+nous+avons+commis+%C3%A0+la+gestion+de+la+chose+publique%22&oq=%22que+nous+avons+commis+%C3%A0+la+gestion+de+la+chose+publique%22&aqs=chrome..69i57.14975j0j4&sourceid=chrome&es_sm=93&ie=UTF-8 .

Le silence est d’or !


Moïse Katumbi sait que la parole est d’argent, mais que le silence est d’or.  Aussi, disparaît-il, s’éloigne-t-il, physiquement, de la foule.

La question essentielle est : où sont son cœur, son esprit, son âme ?

La vidéo suivante vous lancera dans la méditation utile pour la RDC que vous aimez…

http://congosynthese.com/video_reader.aspx?Id=7368.

Cocktail Molotov ou responsabilité ?


MESSAGE SUBLIMINAL POUR CEUX QUI MANIFESTENT A KINSHASA POUR LE DÉPART DE KABILA.

LEÇON N° 1 POUR ABOUTIR A UNE RÉVOLUTION VRAIE ET FAIRE PEUR A L’AGRESSEUR.

‪#‎KabilaDegage‬
‪#‎BurkinaKongo‬
‪#‎SoulevementPopulaire‬

SOULÈVEMENT POPULAIRE, KABILA DÉGAGE ?  LA PROCHAINE FOIS QU’ILS SERONT DANS LA RUE, DITES LEUR DE SE MUNIR DE CECI.  FAITES PASSER LE MESSAGE!

(…)

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GPAU

Ce n’est pas ce qui fera peur à l’imposture.  Elle connaît tout cela.  Et en plus, l’idée n’est pas du tout génial.

Pourquoi ?  Parce que ceux qui en mourons ne sont pas l’ennemi, la bande de l’imposteur ; mais des paisibles citoyens congolais qui manifestent pour revendiquer leur indépendance, congolais que votre cocktail Molotov ne distinguera des policiers congolais qui trahissent notre patrie et les étrangers que l’imposture appel à venir le soutenir dans son projet machiavélique contre la RDC.

En revanche, la responsabilisation de nos parlementaires est la solution qui nous permettra de disqualifier non seulement l’imposture actuelle, mais aussi d’envoyer, en même temps, un signal fort en direction de ceux qui tente de profiter de la mort prochaine de l’imposture, pour asseoir une autre dictature en RDC.

Quant à l’imposture, les événements semblent clairement indiquer qu’elle va à sa fin.  Ce qui ne veut pas encore dire que la RDC trouve une solution au problème de la déliquescence de l’État.  Rien n’est encore connu de ce que nous voulons faire du Congo après l’imposture présente ; et forcément, « encore moins » sur la manière dont nous voulons que le pays soit géré après…

Voilà pourquoi, au Projet 2014, nous soutenons que 2015 est encore loin d’être une bonne année !

Soulèvement populaire ?


Ce mercredi 14/01/2015, de 22 à 23 heures de Bruxelles, sur Softkens Radio (http://softkens.com/diaspora.htm), notre conférence débat une tentative de réponse à la question suivante.
« Que faut-il penser du soulèvement populaire commencé à Kinshasa ? »

Résumé
« C’est un signe encourageant en ce qu’il indique que le kinois a compris qu’il apprivoisait un ennemi, même si c’est 13 ans plus tard !
Cependant, nous devons prudents, responsables, économes, prévoyants !
Nous devons d’abord nous convaincre que la bonne disqualification de l’imposture n’est pas celle qui se fera par la violence physique, mais par sa traduction devant la justice congolaise. Il est vrai qu’avant d’en arriver là, ce sont nos parlementaires que nous devons commencer par convertir ou remplacer par d’autres qui soient patriotes et qui représentent et défendent notre cause, nos intérêts.
Faire autrement, c’est reporter l’avènement de la paix et de la prospérité au Congo, c’est participer, sans le savoir, à perpétuer la dictature, la trahison, la médiocrité.
Dans le Projet 2014, plutôt que de descendre dans les rues et d’exposer aux poisons de toutes sortes notre population, nous invitons à une interpellation de nos parlementaires ; comme l’on fait récemment les Kongo par exemple. Nous avons la ferme conviction qu’une telle démarche nous permettra de rapidement et proprement nous débarrasser de l’imposture, de la trahison et de la médiocrité. »